Que dois-je faire maintenant? (PV avec Jean/Phenix)

-SALO... TU MA PIQUER MA P’TITE AMIE... J’VAIS TE BUTTER JUSQU'À SQUE TU CRÈVE CONNARD...

L'ex petit ami de la copine de Walter frappait le jeune mutant par jalousie. Il n'acceptait pas que sa copine lei laissé tomber pour un autre que lui. Walter était contre le mur à recevoir des coups de poing et des coups de pieds. La seule chose qui implorait c'était ''Aider Moi, Aider Moi''. Une voix semblait murmurer dans sa tête mais la voix était indéchiffrable mais le corps du jeune homme se mit à bouillir. Walter arracha sa chemise, se retrouvant torse nu. Le dragon sur le dos du jeune homme semblait bouger de lui même et des lianes de rose noire jaillirent de sa bouches, serpenta vers son bras droit mais, ce n'était pas tout... le corps au complet se recouvra de liane et le jeune homme, inconscient, se leva avec les yeux recouverts d'une brume verdâtre. La seule chose que le mutant se rappela fût les murmures de la forêt...

Le jeune italien se réveilla le lendemain sur une branche, recouvert par une autre branche feuillu qui lui servait de couverture. Il ne fit que mouvoir sa main et la branche reprit sa place, libérant celui si de son emprise. En déposant sa main sur sa tête, car il se demandait se qui c'était passé, il eu des flash back, se voyant torturer le mec qui l'avait battue hier. Sans attendre, il couru à son appartement, en état de choc. Il se barricada et se blottit sur son divan contre son oreiller. Que devrait-il faire maintenant? Il avait tué une personne et la police était déjà sur place, cherchant indice pour trouver le meurtrier. Le mutant voulu calmer ses nerfs en regardant la télévision mais tomba sur les nouvelles et celle si parlait déjà du meurtre qui c'était produit... la télévision se ferma immédiatement. Sans s'apercevoir, les plantes dans son appartement se tournait vers lui et tentait de le rassurer mais rien... son esprit était renfermé. Il aurait fallu une personne dotée d'un pouvoir télépathique énorme...

Jean avait décidé de se servir du cérébro: elle s'était levée très tôt, on pourrait même dire en pleine nuit, et avait besoin d'éclaircir un mystère. En effet depuis qu'elle s'était levée, une drôle de sensation la tenaillait. Le cérébro lui avait révélé une activité mutante dans les quartiers résidenciels. C'était de cette manière qu'elle avait trouvé ce jeune !mutant qui s'était, semblait-il, réfugié dans un appartement. Elle s'était bdonc rendue làbas, consciente qu'un meurtre avait-été commis. Toutefois, la peur et l'incompréhension qui se dégageait de cet endroit montrait, ou pouvait signifier que ce jeune mutant n'avait pas fait exprès...De toutes les façons elle verrait bien ce qui allait se passer maintenant. Si oui ou non ce mutant l'avait fait exprès ou non...Elle s'avança vers la porte de l'appartement. Elle savait que c'était cette porte grâce aux ondes qui s'en dégageaient, les mêmes qu'elle ressentait peu de temps avant en plus fort...Elle appuya doucement sur la poignée pour vérifier que la porte était bien fermée à clé avant de frapper fermement sur celle-ci, appréhendant un peu ce qui allait suivre...

Chaque instant était tortureux pour le mutant... chaque moment était remplit de remord. À chaque fois qu'il tentait de penser à autre chose, le visage meurtrie de l'ex petit ami de sa copine lui revenait à chaque instant. Mais, il savait une chose : un nouveau pouvoir lui était transmis par la forêt et pour le moment, il était incontrôlable, du moins, pour le moment. Lorsqu'il arriva le soir, le jeune homme tenta de se calmer. Tout autour, des plantes se mirent à pousser ici et là. Le jeune mutant fut surpris de voire ces plantes pousser à vue d'oeil. Celles si dégagea une odeur rafraichissante et apaisante, se qui fit endormire Walter. Son sommeil fut très agiter. Soit qu'il voyait son corps, déchirer par des aiguilles, soit que c'était sa victime qui l'harcelait pour son meurtre. Alors que son corps se recouvrait de sueur et qu'il criait de plus en plus, il entendit quelqu'un cogner à sa porte. Il se réveilla en sur saut. Il craignait que c'était la police, alors il cria.

-Qu... qui... qui est là?

Ce jeune mutant torturé demanda, apparament effrayé qui est-ce qui demandait à le voir...Qu'est-ce que Jean pouvait répondre à ça? Il ne la connaissait même pas: Aussi elle répondit une phrase qui n'avait pour ainsi dire que peu de rapports avec la question posée:

"Je ne te veux aucun mal..."

Pourquoi est-ce qu'elle lui disait tu? Bonne question, peut-être parce que lui aussi était un mutant? En tous cas elle espérait vraiment que ce jeune voudrait bien lui ouvrir, elle avait envie de l'aider, de le secourir. Elle ne savait pas bien s'il voudrait venir à l'Institut avec elle, tout ce qu'elle espérait c'est que la Confrérie ne l'avait pas devancée. Les jeunes mutants avaient 2 solutions suite à la découverte de leurs pouvoirs: aller à l'Institut Xavier, ou rejoindre la Confrérie. Bien sur ils pouvaient aussi rester neutres, en fait ils avaient 3 solutions mais il était fréquent que l'un des deux camps adverses tente de le ralier à un groupe...

"Je dois te parler..."

Walter avait très peur. Il ne voulait pas être accusé de meurtre, encore moins, il ne voulait pas que tout cela remonte à lui. Il n'avait que vingt ans, sa vie commençait à peine et déjà, il venait d'assassiner une personne sans raison réellement valable. Il savait que malgré tout se qu'une personne fesait, personne ne méritait de mourir... encore moin de sa propre main... en quelque sorte. La personne répondit à sa demande et se rendit compte que c'était une femme. Sa voix semblait apaisante. Elle lui dissait quelle voulait lui parler... mais pourqu'elle raison? Il était vrai qu'il ne devait surment pas la connaître car sa voix ne lui dissait rien.

Le jeune homme resta planté la, se demandant si il devait faire quelque chose...

*Que dois-je faire... elle est surment de la police ou elle est du F.B.I... et la ils vont découvrirent que j'ai un pouvoir quelconque et je vais devenir un rat de laboratoire...*

Ses yeux se couvrirent d'une fumé verte et le jeune homme fixa une fleur et lui demanda d'aller voir qui était la personne. Possédant un plancher de bois flottant et une porte en bois, cela ne fut pas dure pour la fleur de voyager. La jeune femme put voir sur le sol une petite fleur qui y apparaissait. Elle disparu pour revenir au près de l'homme et si une personne normal l'aurait entendu, il l'aurait traiter de fou.

-Alors... porte t'elle un badge de la police ou quoi se sois? Hum hum... hum hum... je préfaire rester prévenant... je ne la connais pas et j'ai pas confiance...

Il dit alors haut et fort.

-Qu... que... que me voulez vous?

Jean attendait, elle entendait des brides de pensées sans forcément le vouloir. Elle comprenait que le jeune mutant ait peur mais elle ne lui voulait aucun mal...Elle baissa la tête, surprise par un petit bruit, et vie à sa plus grande surprise une fleur passant sa "tête" si on pouvait dire comme pour voir qui était de l'autre côté. Jean comprit alors le pouvoir du mutant, pas précisément mais elle savait en tous cas qu'il avait rapport avec les plantes, c'était intéressant, et assez peu commun. Elle entendit une voix d'homme parler mais elle n'entendait pas précisément ce qu'il disait pourtant elle sentait sa peur, il craignait qu'elle ne soit de la police, il craignait pour son statut de mutant...si il savait qu'elle en était une. Il lui demanda alors ce qu'elle lui voulait. Pouvait-elle vraiment se permettre de parler de leur statut de mutant aux oreilles de tous? C'était une décision délicate compte tenu de la haine et de la peur que provoquaient les mutants auprès des humains normaux...

"Je ne te veux aucun mal....Je dois te parler de quelque chose d'important..."

Allait-il lui ouvrir maintenant, ce n'était pas dit, les dires de Jean n'étaient pas des plus précis et lorsqu'elle si'magina elle-même à la place du mutant elle se rendait compte qu'elle ne serait pas des plus rassurées, mais que pouvait-elle dire de plus? Qu'elle était mutante? Non, sans doute pas de suite c'était un peu trop risqué sans doute...

"Je t'assure, j'ai...j'ai quelque chose di'mportant à te proposer et je ne peux pas pas le faire sur le palier d'une porte..."

Jean attendait, appréhendant. Elle éspérait vraiment que le jeune homme ouvrirait, sinon bah...elle repartirait, c'était dommage mais elle n'allait tout de même pas enfoncer la porte, s'il ne voulait pas lui parler c'était tant pis, autant pour elle que pour lui. Mais la porte s'ouvrit, elle soupira, soulagée. Mais contrairement à ce qu'elle pensait ce n'était pas un jeune homme qui venait lui ouvrir mais une liane qui avait tourné la poignée. Elle fronça les sourcils mais ne dit rien. Elle pénétra doucement dans l'appartement et vit un jeune homme, sur un canapé, un oreiller collé contre lui. Elle ferma doucement la porte et put entendre la pensée du jeune homme qui la fit rire:

"Pourquoi voudrais-je te tuer?"

Elle se rendit soudain compte que le jeune homme ne comprendrait sasn doute pas qu'elle ait lu ses pensées. Lorsqu'elle essayait de s'imaginer à sa place, elle se voyait bien effrayée elle aussi, d'autant plus si une femme venue de nulle par répondait à ses pensées! Enfin peut-être ne serait-il pas surpris: elle n'était peut-être pas le premier mutant qu'il rencontrait! En tous cas elle répondit à sa question:

"Je sais que tu est un mutant...J'en suis une aussi. Est-ce que tu as déjà entendu parler de l'Institut Xavier?"

Il était possible que oui, mais le plus souvent on en parlait comme d'une école pour surdoués. Elle était pourtant beaucoup plus que ça mais avant d'enchainer elle devait savoir si il connaissait l'endroit. Elle lui sourit. Un de ses sourires qui calmait et appaisait les esprits...

Le jeune homme tremblait toujours. Même si la jeune femme ne semblait pas menaçante, il préféra rester sur ses gardes. Il savait que la police au États pouvait entreprendre mille et une ruse pour coincé une personne et il espérait que cette femme ne lui ferait pas avouer son meurtre, si vraiment il avait été concient. Mais le sourire de la jeune femme lui fit un peu apaiseur. La jeune femme lui répondit alors à sa pensé... comment avait-elle fait cela? Était-elle comme lui? COntrairement à se que la jeune femme pourrait croire, Walter connaissait l'existance des mutants.

-Co... co... comment savez-vous que j'ai pensé à cela?...

Et la jeune femme lui avoua être une mutante et lui parla de l'école de Xavier pour les surdoués... il igniorait tout de cette école. En fait, il ne s'était pas vraiment attarder sur l'existance des mutants. Il ne voulait pas se promener et demander a quiconque si il était mutant pour être ensuite chasser par les autres commes dans le temps des sorciers...

-No.. non je n'ai jamais entendu parlé de cette école...

Walter lui demanda avec surprise comment est-ce qu'elle avait fait pour savoir ce qu'il pensait. Elle sourit un peu avant de répondre, d'une voix calme et apaisante. Elle ne voulait pas faire encore plus peur au jeune mutant, et elle savait qu'avoir un télépathe dans les parages pouvait faire peur! Devoir faire toujours attention à ce que l'on pensait n'était pas toujours facile et quand bien même on avait un moral très fort, un télépathe pouvait, avec une facilité déconcertante, perçer ses secrets. A moins bien sur que notre don nous permette de se protéger de la télépathie. Cela restait un moyen des plus efficaces. Elle expliqua donc:

"Je suis télépathe, et télékinésiste aussi."

Elle ne savait pas bien s'il saurait parfaitement ce qu'était la télépathie, en général les gens pensait juste à lire dasn les pensées et communiquer par la pensée. Pourtant la télépathie offrait d'avantage de possibilités et de pouvoirs. Mais s'il était inquiétant de penser que quelqu'un pouvait lire dasn nos pensées, il l'était encore plus de penser que quelqu'un pouvait nous contrôler ou nous faire croire des choses qui n'existent pas. Aussi elle préféra ne pas lui en dire plus. S'il le savait tant mieux sinon il pourrait toujours poser une question. Et puis de toutes les façons elle pourrait lui en parler plus tard ce n'était pas un soucis...Il lui avoua ne pas avoir entendu parler de cette école. Elle sourit puis expliqua:

"On l'appelle Institut pour les surdoués. En réalité c'est une école pour les mutants, elle permet de former les jeunes mutants pour qu'ils aillent à l'école et contrôlent leurs pouvoirs. De plus elle permet de les protéger des humains."

Elle pencha la tête sur le côté, selon elle ce serait surtout ce dernier point qui plairait au jeune, pas parce qu'il ne voulait pas apprendre mais bien parce que si il venait à l'Institut, l'accident (pour elle ce qu'il caractérisait de meurtre n'était qu'un malencontreux accident, ou de la légitime défence, pas plus) serait oublié. Bien sur il ne savait pas qu'elle le savait, elle l'avait lu dans ses pensées, pas volontairement, mais elle l'avait lu. Elle continua:

"Tous les mutants peuvent la rejoindre et en venant tu pourras obtenir des diplomes en apprenant à controler tes pouvoirs. Au passage tu te feras des tonnes d'amis mutants aussi...Tu as des questions? Les questions sont assez différentes suivant les personnes alors..."

Elle ne savait pas trop comment présenter son "produit" pour satisfaire le "client". Et puis s'il n'en avait pas, elle en avait des choses à dire!

Walter tremblait comme une feuille. Un frisson lui passa dans la nuque, comme si une personne farfouillait son esprit et comprit se que ''Télépathe'' voulait dire. Cette personne lisait donc se à quoi il pensait... Il eu alors un autre frisson. Il devrait donc faire attention à se qu'il pense en présence de cette femme. Sa serait difficile, surtout qu'il trouvait la jeune femme très jolie. Mais, simplement, il avait une copine... du moins, c'est se q'il aurait voulu continuer à croire... celle-si l'avait appele dans l'après-midi pour lui dire qu'elle savait que c'était lui mais sans savoir comment...

-Je... je crois que j'ai deviné se qu'est un télépathe... mais... es-ce que vous etendez toujours les pensées des gens? Car sa doit être frustrant pour les autres de ne jamais avoir de secret pour vous...

Elle lui répondit aussi incutisme vis-à-vis de l'école. Ainsi, une personne a créé une école pour permettre au mutant de se perfectionner et d'apprendre à contrôler leur pouvoir... mais lui... il venait de tuer une personne et sa place était dans une prison...

-Mais... j'a... j'ai tuer une personne... ma place n'est pas parmis vous...

*Je devrais peut-être m'y rendre moi même à la prison, leur montré se que je suis capable et ainsi en finir...*

Elle le regardait tandis qu'il tremblait apparament guère rassuré par cette histoire. Il frissonna à plusieurs reprise en comprenant ce qui se passait. Il lui dit avoir deviné ce qu'était un télépathe puis il lui posa une question, une question à laquelle elle ne s'attendait pas. Ce n'était pas une réponse facile qu'elle pouvait donner, à une époque elle se contrôlait plus ou moins. Bien sur il y avaitr des moments où elle lisait des pensées sans vraiment le vouloir mais rarement. Il fallait juste pour cela que la personne en face d'elle dégage assez ses pensées pour que n'importe quel télépathe l'entende sans le chercher. Mais depuis l'épisode du Phénix, ses pouvoirs étaient de plus en plus incontrôlés. Elle avait un contrôle assez constant mais si elle ne faisait pas attention ou qu'elle tombait de fatigue sa télépathie pouvait lui jouer des tours. Sa télékinésie aussi mais beaucoup moins souvent et de manière moins contreignantes. A cause de sa télépathie elle avait de manière assez fréquente mal à la tête et les esprits des gens n'avaieznt que peu de secrets pour elle si elle ne faisait pas attention. Elle sourit au mutant:

"Disons que ça dépend du moment, j'entends fréquement les pensées des gens mais j'essaie de me contrôler un maximum...Quand aux gens, ils peuvent être surs qu'aucun de leurs secrets ne sera dévoilé, je ne dirai rien. Bie nsûr ça ne doit pas être plaisant mais il n'y a pas 36 solutions..."

Elle ne voulait pas entrer dans les détails, les histoires du Phénix et le reste restait tout de même difficiles à gérer même pour elle et elle ne voulait pas spécialement en parler pour l'instant...Il objecta alors quelque chose. Certes il avait tué quelqu'un, mais était-il vraiment un meurtrier? Elle sourit faiblement puis décida de le mettre face à la réalité

"Je vais te poser une question, je veux juste que tu y réfléchisse, je ne veux pas de réponse si tu ne veux pas m'en donner...Esct-ce que tu l'as fait de ton plein gré? Etais-tu conscient de tes actes? Etait-ce un cas de défense ou as-tu toi-même agréssé le type?"

Elle se dévoilait, elle montrait qu'elle avait lu ses pensées mais tant pis. Si il venait à l'Institut en pensant qu'il était un meurtrier elle serait triste pour lui. Elle savait que quelques élèves de l'Institut se jugeait ainsi aussi...Les décoiuvertes des pouvoirs chez les jeuens mutants se faisaient rarement dans le calme et la tolérance...Lorsqu'elle entendit les pensées selon lesquelles il devrait lui-même se rendre à la police elle réagit aussitôt, oubliant son bon principe:

"Ecoute moi, pour moi tu n'es pas un meurtrier et ce que tu qualifie de meurtre n'est qu'un regréttable accident, tu ne faisais que te défendre...Tu as plus ta place dans une école pour les mutants que dans une prison...Et puis en allant en prison tu pourrais de nouveau perdre le contreôle et tuer quelqu'un, à l'Institut au contraire tu apprendrais à contrôler ton don."

Jean était une spécialiste de la perte de contrôle, aussi elle savait de quoi elle parlait...Mais ce n'était pas à elle de décider et elle le savait.

Walter s'en doutait... la jeune femme entendait donc les pensés de tout les gens qui l'entourait mais, lorsqu'elle lui relatait tout sur sa réponse, il put voire sur son visage un peu de tristesse et de désespoire. Cette jeune femme ne contrôlait donc pas totalement ses pouvoirs non de son plain grés... mais que lui était-il arrivé? Mais il savait que même si il y pensait, il n'en tirait peut-être rien car ils ne se connaissaient même pas mais bon. Mais il comprenait que c'était dûre pour elle...

*Je la comprend mieux que quiconque...*

Et alorsqu'il avait pensé au meurtre, la jeune femme lui posa une question... Elle lui demanda si il avait tuer la personne de son plein grés, si il était conscient de se qu'il avait fait et si il avait tuer cette personne par légitime défence ou si il l'avit attaquer en premier. Au lieu de réponde à ses questions, il se leva déliquatement, déposant son oreiller sur le divan, se qui dénuda complètement son torse et s'approcha de la jeune femme avec une incertitude... par la pensé, il lui fit comprendre se qu'il voulait faire. Il fit se qu'il avait déja vue dnas un film où une télépathe avait déposer sa main sur le front d'un homme pour voir son passé... Il en fit de même avec la jeune femme, déliquatement, sans se brusquer et ferma les yeux. Il lui fit voire...

Il marchait tranquillement quand une personne se jeta sur lui en le traitant de salo. Celui si était entrain de battre à mort le jeune homme et se prépara même à l'étouffer quand le corps de Walter s'emblait lui faire mal ou quelque chose comme sa. Il déchira sa chemise et son corps se recouvra de son tatouage de liane rose noir. Ses yeux était recouvert d'une brume verte, un peu comme Storm. Walter fixa le jeune homme et des lianes de rose sortirent du sol et fouettèrent le l'humain jusqu'à en mourire et le décapita. Walter se dirrigea vers l'arbre et s'évanouie... Le jeune homme ouvrit ses yeux et enleva déliquatement la main de la jeune femme et il recula.

-Je me souvien de tout... j'étais pleinnement conscient de se qui se passait, même si à mon réveille, tout semblait être un rêve. Mais je n'ai pas voulu le tuer... je voulais qu'il me lâche tout simplement... alors... suis-je un meurtrié?

D'une pensée, sans doute qui ne lui était pas destinée, le jeune homme lui fit comprendre qu'il la comprenait mieux que quiconque. C'était sans doute un peu vrai, si lui aussi souffrait d'un problème de contrôle sur ses pouvoirs par moment ils étaient dans le même bateau...Les pouvoirs n'étaient pas toujours des cadeaux meêm si Jean adoraient les siens. Il y avait des moments où ils lui apportaient plus de malheur que de bonheur, d'autant plus ces temps-ci. Avant non, certes sa télépathie n'était pas encore très développée mais elle avait des pouvoirs assez puissants sans trop l'être. Le Phénix lui avait pourtant montré de nouveaux pouvoirs qui lui faisaient peur tout comme ils faisaient peur aux autres. C'est vrai qu'ils étaient effrayants, et meurtriers comme ils l'avaient tant de fois prouvé...Lorsqu'elle lui posa sa première question il se leva pour dénuder son torse de manière complète et de s'approcher d'elle avec hésitation. Elle n'était pas inquiète de ce qu'il allait faire, elle ne pensait vraiment pas qu'il lui voulait du mal et quand bien même elle pourrait se défendre. D'une pensée il lui fit comprendre ce qu'il avait en tête. Elle hocha la tête montrant qu'elle avait compris tandis que sans gestes rapides, comme si il n'avait pas envie de rejoindre trop vite ces souvenirs il lui prit la main pour qu'elle lise dans ses souvenirs. Elle n'était pas sure d'avoir besoin de mettre sa main sur son front à ce stade d'évolution de ses pouvoirs mais elle le laissa faire, sans rien dire et se contenta de fermer les yeux et de laisser des images apparaitre. Elle était avec lui, elle voyait tout ce qui se passait, elle le voyait se aire taper dessus, se faire insulter...cela allait même jusqu'à une tentative d'étranglement...Puis ses yeux, un peu comme ceux d'Ororo prendre un couleur verte, sa chemise qu'il déchire avec un tatouage qui apparait. Elle était surprise tandis que des lianes sortirent du sol pour aller frapper l'homme jusqu'à sa mort et sa décapitation. Elle était tentée d'ouvrir les yeux, de rompre le contact mais elle ne le fit pas, elle attendit qu'il le fasse après que la dernière image disparaisse. Ils rouvrirent les yeux en même temps, elle restait...étrange face à cette vision, elle ne savait pas exactement mais étrange. Voir le passé des gens était bien souvent désagréable lorsqu'il était tortueux...Il enleva délicatement sa main et se recula un peu. Elle ne savait pas quoi dire, quand il lui fit savoir qu'il était conscient mais qu'il voulait uniquement que l'homme le lache. Non, pour Jean ce n'était pas un meurtrier. Même si il était conscient.

"Tu n'es pas un meurtrier...Dans cette histoire il a commencé et toi tu t'es défendu. Si tu n'avais pas agi tu serais mort à l'heure qu'ils est et je sais que les dasn un tel état les pouvoirs sont facilement incontrolables..."

"Même dasn un autre état d'ailleurs" Pensa-t-elle tristement en pensant à son propre cas. Elle chassa cette pensée de sa tête et continua:

"Et puis tu l'as dit tu étais conscient mais à ton réveil c'était comme dans un rêve pour toi...Je ne pense pas que tu es un meurtrier, et il ne faut pas que tu pense ça de toi, tu te tortures pour rien..."

Ils étaient tellemnt semblables, et leur cas était tellement similaire. Pour elle aussi, lorsque le Phénix était entièrement( ou presque) présent c'était comme un rêve, elle, elle voyait les évènements enfermée dans son propre corps, dominée par quelqu'un d'autre de bie nplus puissant qu'elle qui ne la laissait pas prendre le dessus. Parfois elle y arrivait, mais rarement. Et lorsqu'enfin elle reprenait le contrôle de son coprps elle priait pour que ce qu'elle avait vécu n'est été qu'un horrible cauchemar, veinement...
Bien sur ces évenements dataient un peu maintenant, mais pas tant que ça...

Le jeune homme igniorait tout de son état et de se que la jeune femme pouvait vivre. Il y repensait chaque seconde à cella... avant même d'avoir été comme dans un rêve, il avait entendu une voix murmurer au creux de son oreille... mais qui était-elle et quesqu'elle lui voulait? Une faible voix se fit entendre alors... Les yeux de Walter s'obscurcire d'une brume verdâtre et Walter dirrigea ses oreilles vers les murmures, mais celle si avait arrêter. Ses yeux reprirent leur teinte. La jeune femme lui avoua ainsi que pour elle, il n'était pas un meurtrié... sans comprendre pourquoi, il éclata en saglot et s'écroula dans les bras de l'inconnue. Même si maintenant il était a peu près sure de ne pas être meurtrier, elever la vie d'une personne n'était pas toujours facile à vivre, surtout pour un sentimental comme Walter. Lorsque quelque minute passèrent, le jeune homme reprit ses esprits. Il était un homme et se devait agore ainsi... mais il était difficile de caché ces émotions avec cette femme. Il serra ses bras plus haut de son corps, dévoilant une queue de serpent qui finissait sur son torss mais a peine percevable sousla faible lumière. Une liane pousa où la prise et pousa le bouton pour faire un peu plus de lumière. La jeune femme pus alors voir des lianes rose noire sur son bras droit.

-Merci de vôtre soutien... mais... j'aurais une autre question... lors de ma naissance... je suis né avec cela...

Et il se retourna, montrant son dos. Il y avait un énorme dragon japonais qui déployait ses bras. Il semblait même presque vivant car celui si fixait les yeux de Jean et une faible petite lueur était presque percevable sur ses yeux.

-Lorsque je suis née, mes parents mon dit qu'il ressemblait à un bébé dragon et que avec le temps, il à grandit en même temps que moi et que sa queue est veni finir sur mon torse lors de mon adolescence et de plus... il ne crachait pas de liane avant mon meur... mon accident...

Un phénomène étrange se produisit alors: les yeux du jeune homme se recouvrirent d'un voile vert, comme lorqsu'il avait usé de son pouvoir dans les souvenirs qu'i lui avait montré. Il semblait se concentrer sur quelque chose, des bruits peut-être? En tous cas Jean n'entendait rien, ne voyait rien, elle ne comprenait pas ce que faisait le mutant. Il utilisait sans doute son pouvoir mais elle ne savait pas pourquoi...Soudain, ses yeux reprirent leur couleur naturelle de manière tout auss subite que lorsqu'ils étaient devenu verts et il fondit en larmes dans ses bras. Jean fut un peu surprise sur le coup et ne le repoussa pas...pour quoi faire de toutes façons? Elle était là lorsqu'il avait besoin d'elle, aussi elle le serra dans ses bras le laissant pleurer à sa guise tout en essayant doucement de le contrôler. Elle ne savait pas bien quoi lui dire mais peut-être que sa présence pouvait un peu réconforter le jeune homme. Une liane appuya sur l'interrupteur permettant ainsi de voir un peu plus clair. Un détail attira l'attention de Jean: sur le long du dos du jeune homme un dragon japonais se dessinait. Un superbe dragon japonais qui se trouvait sur le dos, comme sur le torse et un bras. Elle ne l'avait pas vu auparavent et se demandait comment elle avait fait pour ne pas l'apercevoir...Il s'éloigna un peu de manière à se retourner et lui annonça qu'il avait ce tatouage depuis qu'il était petit...Lorsqu'elle le regarda de plus près, elle avait l'impression d'avoir un être vivant face à elle, un être capable de penser, d'agir...C'était assez étrange. Il lui raconta un peu l'historique, si elle pouvait dire de ce tatouage.
Jean ne asvait pas bien à quoi c'était du. Mais elle savait que certains mutants naissait avec des particularités physiques qui bien souvent étaient assez significatives de son gène.

"Et bien je ne sais pas trop à quoi ce dragon est dû. Cependant il arrive que des jeunes mutants viennent au monde avec une particularité physique...Tout dépend peut-être du pouvoir. Je ne sais pas trop quoi te répondre."

Elle-même détenait peut-être une particularité physique. On ne savait pas précisément mais rien n'expliquait la coulaur de ses cheveux. Aucun membres de sa famille n'avait les cheveux roux depuis de nombreuses générations. Il est donc possible que ce soit un signe visible de sa mutation d'autant plus que la couleur de ses cheveux varie ou en tous cas a varié selon l'état du Phénix: lorsque le Phénix n'était presque pas existant, ses cheveux n'avait pas une couleur particulière et tournait presque vers le brun. Lorsque l'oiseau mythique devenait de plus en plus présent ses cheveux tournaient plus vers le rouge et désormais ils étaient rouges, ou presque...C'était assez étrange mais elle s'était vite adaptée...

"En tous cas il est superbe..."

Elle avança son doigt vers le dragon, pour voir sa réaction. S'il était effectivement vivant il pourrait sans doute bouger...

Walter ne détestait pas réellement son tatouage. Il l'adorait plus que tout car il était magnifique, démontrait la puissance et le caractère, et en plus, il ne lui avait rien couté. Mais, c'est temps si, il s'appercevait, lorsqu'il se regardait dans une glace, que son dragon changeait de plus en plus souvent d'endroit. Lorsque sa tête n'était pas son omoplate droit, il était sur la gauche, mais sans comprendre, les lianes le suivait aussi. Au début cela ne préoccupa pas le jeune homme mais plus le temps passait et plus cela le perturbait, surtout, qu'un matin, il c'était réveillé avec son dragon sur son torse. Rien de flippant mais quand même. Si cet homme aurait été un simple mortel, cette chose l'aurait perturbé à vie, mais étant mutant et qu'il savait que son père était identique, il devait s'attendre à tout. Il se croyait dans un film de sorcellerie. Mais un instant... tout les sorciers qui furent trouvé dans les années 1500... étaient-tils réellement des sorciers ou ils étaient de simple mutants? Il ferait une recherche sur ce sujet...

*Je me demande si dans cette école il y des informations sur les mutants, leur origines, comment les gens en deviennent, si ils existent depuis la nuit des temps...*

Mais lorsque la jeune femme déposa son doigt sur son dos, un frisson parfouru le jeune homme. Une autre chose, où son dragon se trouvais, sa peau était très sensible, mais sans le voire, les yeux du dragon s'illuminèrent et le dragon bougea pour éviter le contacte du doigt. Ce que Jean et Walter ne savait pas, c'était que le dragon avait sentit la puissance de cette femme et serpenta vers le cou pour se dirriger vers le torse de Walter. Le mutant eu bien une surprise.

-Wow... eu.. croit tu que dans cette école je pourrai trouvé explication à cela?

Jean entendit les pensées du jeune homme, sauf que cette fois-ci elle avait cherché à les connaitre. Elle avait eu envie de savoir à quoi il pensait, ça l'avait pris, d'un coup. Elle avait donc usé de son pouvoir pour le savoir. C'était étrange car les questions que se posait le jeune homme étaient exactements ses sujets à elle. Les questions dont elle s'était servie pour demander au Sénat de supprimmer le décret de fichage des mutants il n'y a pas si longtemps. Elle sourit et répondit:

"Je suis sure que tu trouveras les réponses à tes questions...En tous cas je peux te répondre sur ça: les mutants sont des personnes dotées d'un gène spécial appellé le gène X c'est lui qui prodigue les pouvoirs et tout...Mais bon, si tu veux je t'en parlerai plus en détail une prochaine fois"

Ce n'est pas qu'elle ne voulait pas en parler masi ce que lorsqu'elle commençait elle avait du mal à s'arrêter alors il valait mieux attendre. Bien sur s'il voulait en parler maintenant et avoir des réponses de suite elle répondrait mais bon, ils n'étaient pas pressés. Toujours est-il que lorsqu'elle posa son doigt sur le dos du jeune homme, les yeux du dragon brillèrent avant qu'il ne "déménage" vers le torse du jeune homme qui semblait aussi surpris qu'elle. Bien sur, elle y avait pensé en voyant les yeux du dragon briller et qu'elle avait l'impression de voir un véritable dragon, mais c'était toujours surprenant de voir un tatouage bouger...Elle sourit en entendant le jeune homme poser une nouvelle question: elle adorait les personnes curieuses alors le voir poser des questions la rendait heureuse.

"Tu trouveras sans doute, et quand bien même il n'y aurait pas à la bibliothèque, je pense que tu comprendras avec le temps..."

Mais une autre question restait en suspend et Jean avait bien envie de connaitre la réponse à cette question si importante:

"Mais dis moi,tu t'appelle comment?"

Après tout, il était agréable de connaitre le nom de son interlocuteur non? Elle n'allait tout de même pas lire dans ses pensées pour le savoir, ce serait idiot. Et puis un peu de l'abus de pouvoir...

Le jeune homme se snetiat apsier à chaque minutes. La présence de cette femme lui était bénéfique et de plus, il ne pensait plus à cette histoire de meurtre... C'était Walter... il pouvait changer d'émotion ou sa façon d'agir en quelque seconde. Tentot il était au bord du gouffre, et maintenant, il était aussi pétillant que jamais. Une porte souvrait à lui. Cette porte était la réponse à tant de question qu'il c'était posé déjà jeune. Quoi de plus normal quand on est un enfant et qu'on arrive à discuté avec les fleurs et les arbres. C'est très fréquent vous savez... Et il semblait que la jeune femme voulait en finir, pas au plus vite, mais simplement en finir. Il était normal, c'était la nuit et elle n'avait surment pas encore dormie et de plus, Walter commençait à se sentire fatiguer. La proposition de la jeune femme était attrayante car cela pourait expliquer au jeune homme pourquoi il possédait cette chose sur lui. La première réponse de Jean fit comprendre qu'il devrait aller dans cette école si il voulait en savoir beaucoup plus. Et pour le dragon, la jeune femme lui dit qu'il y trouverait surment réponse à ses questions et de plus, elle lui demanda son nom. Il prit alors déliquatement la main de Jean et déposa un baiser. C'était comme sa que son grand-père, Italien et chef de la mafia, lui avait apprit pour se présenter à une jolie fille.

-Walter... Walter Zaccarie... et j'accepte vôtre proposition... je ne crois pas que je pourrais men sortire en me clôtrant dans mon appart et en infiltrant encore de mauvaise pensé... mais, où se situe l'école?

Elle le sentait plus apaisé que précedement. Elle avait l'impression qu'il avait rapidement changé de sentiment, c'était assez étrange de voir à quelle vitesse son état avait changé. Cependant il y avait une autre solutoin: peut-être était-il comme elle, expert dasn l'art de masquer ses émotions? Quoi que non, cacher ses sentiments à un télépathe est difficile d'autant plus lorsque le télépathe en question à l'attention braquée sur vous. Après tout s'il allait mieux c'était tant mieux et l'essentiel était que ça dure...A la réponse sur son nom, il ne se contenta pas de le donner son nom simplement. Il attrappa sa main pour l'embrasser et se présenta à la manière d'un Don Juan...Elle était particulièrement amusée par la situation, d'autant plus lorsqu'elle pensa à Scott. Elle sourit puis répondit à sa question:

"Je pense que tu as raison Walter, à l'école tu seras bien...Elle est à Westchester."

Quel jeune homme charmant tout de même, il lui faisait penser à un italien, c'était étrange. Peut-être avait-il des origines italienne? Elle décida de le lui demander, avec amusement:

"Tu ne serais aps un peu italien par hasard?"

Ca assouvirait sa curiosité et ses doutes et puis en plus ils feraient connaissance même si elle avait l'impression de bien le connaitre déjà, d'entrée de jeu...

Le jeune homme possédait en fait un masque, une double personnalité. Il jonglait comme il voulait avec ses émotions et en se moment, il était dans la joua, comme si rien ne s'était produit. Il avait toujours été comme sa. Un jour, alors qu'il était plus jeune, un garçon l'avait insulter parce que sa mère avait un père Italien et celui si avait sauter sur le garçon en lui arsenant un coup de point et quelque second après, il était souriant et demanda au jeune garçon si il voulait jouer à la balle. Il ne comprenait pas pourquoi il était ainsi mais cela ne le déplaisait pas. Il vivait très heureux comme sa et sa lui allait à ravis. Il su ainsi que l'école était a Westchester... il irait ovir à quoi elle ressemblerait.

-Pourrais-tu me faire faire la visite de l'école?

Il lui sourie. Il ne se préoccupa pas du fait qu'il était torse nue devant la jeune femme. C'était pas sa l'importance. Il voulait en savoir plus sur cette école qui était très intéressante. Et alors qu'il cru qu'elle en dirrait plus, elle lui demanda si il n'étais pas Italien... il sourie et rie.

-Oui... mon grand-père Italien et ma grand-mère Française. Pourquoi?

Walter lui demanda si elle pourrait lui faire visiter l'école. Elle sourit, evidement qu'elle voudrait bien lui faire visiter l'école, mais elle n'était pas certaine qu'il le veuille bien longtemps. Pour l'instant elle devait être la seule personne de l'Institut qu'il connaissait mais pour combien de temps? Lorsqu'il serait à l'Institut il se ferait des tas d'amis et il ne voudrait peut-être même plus qu'elle lui fasse visiter. Bon d'accord c'était pas sur, et elle se faisait sans doute des films puisqu'elle était tout de même assez amie avec ses élèves, ce n'était pas un soucis, cependant il pourrait très bien rencontrer une charmante demoiselle qui lui ferait oublier sa copine et qui par la même occasion lui ferait visiter l'institut^^ C'est qu'il y avait des jeunes filles tout à fait adorables à l'Institut^^. En tous cas elle était d'accord, et puis comme d'habitude la maman Grey suivrait sa vie à l'école afin d'éviter qu'il aille mal à un moment ou qu'il ait du mal à s'adapter...Elle était comme ça Jean, toujours à se préoccuper de ses élèves chéris. Il était hors de question qu'elle les laisse seuls! Elle serait toujours derrière eux. Il n'y avait que durant son voyage d'un mois qu'elle n'avait pas pu être à leurs côtés, elle s'en était d'ailleurs voulu et s'en voulait encore.

"Bien sûr que je te ferait visiter l'école et puis is tu as besoin de moi à un moment où à un autre tu sauras où me trouver..."

Elle seras toujours à proximité, c'était certain. Il lui sourit avant d'éclater de rire, peut-être un peu surpris qu'elle n'en dise pas plus sur le gène X et les autres questions qu'il se posait. Lorsqu'il lui demanda pourquoi elle aviat demandé ça elle éclata de rire:

"Je ne sais pas, je me suis demandé si tu n'éais pas italien, tu m'as fait pensé à un séducteur italien, c'est tout..."

Walter souriait quand il lui demanda s'il pouvait tout de même continuer à vivre chez lui, dans son appartement, même s'il état à l'Institut. Certes, c'était normal qu'il ne veuille pas continuer à payer son appartement s'il n'y vivait plus. Elle lui sourit:

"Je pense que ça ne devrait pas poser de problèmes mais à ta place j'en parlerai aux directeurs, ce serait peut-être bien que tu viennes à l'Institut. Peut-être qu'ils vont te proposer une solution, et puis sinon tu pourras le vendre...Mais bon, tu fais ce que tu veux, je pense que tu pourras faire ce que tu préfères..."

Il n'y avait aucune raison pour que ce ne soit pas possible mais bon...En tous cas si elle avait dit les dirigeants ce n'était pas pour rien. En effet le professeur Xavier étant absent c'était Ororo qui s'occupait de l'école. Lors du retour du professeur Xavier, la jeune femme pourrait peut-être rester co-directrice. Ce serait peut-être plus pratique avec tous les élèves. Un directeur seul ne pouvait pas tout mener de front même si, les professeurs les aidaient bien, et que les élèves ne causaient aucun problème. Puis il lui parla qu'il n'avait pas encore trouvé une fille qui ne reste pas juste en minijupe ert string qui dépasse, qu'il voulait qu'elle ait quelque chose dans la tête:

"Je crois que je vois ce que tu veux dire, c'est vrai que ce n'est pas spécialement agréable. Il faut avoir un minimum de conversation avec son conjoint dans un couple, sinon, on s'ennuie."

C'est vrai qu'avec Scott ils pouvaient parler de choses et d'autres, ce n'était pas un soucis et c'était très agréable d'avoir des conversations censées avec lui. Jean avait besoin de ça, de discussion, de débat, d'idées échangée...Sinon elle ne supportait pas longtemps:

"Je suis sure que tu trouveras ton bonheur à l'Institut"