Mon pouvoir? attirer les enmerdes (Terminé)

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Voila, c'est mon premier post de RP si on ne compte pas la description de mon appartement et ma fiche ( que je vous incite a lire d'ailleurs :p ). Libre a vous de répondre ou non comme vous le voulez (me sauver, les faire fuir et s'en aller ou même les aider pour le plaisir).

Cela faisait maintenant près de trois ans que Maximilien menait une vie de vagabond, mais à présent,il avait un toit,
un lieu qui le ratachait a nouveauà une vie normale, comme celle de tout le monde.

Mais dans ce monde capitaliste, pour vivre comme tout le monde, il fallait gagner un minimum d'argent, et lui, ne gagnait vraiment pas grand chose, même en cumulant 2 petits jobs minables. Maximilien était intelligent et savais pertinemment que s'il voulait trouver un meilleur emploi, il lui fallait d'abord soigner son apparence et avoir un logis.
Il ne lui restait donc plus qu'a aller en ville pour troquer ses habit en lambeau contre des vêtements dignes de ce nom.

Une fois sa journée de shopping terminée, Maximilien retourna donc dans son vétuste domicile, a présent vêtu convenablement,
et après être passé chez le barbier. Il ressemblait maintenant a un jeune homme tout a fait correcte.
Mais une fois n'est pas coutume, surtout dans un quartier aussi affamé que celui dans lequel il vivait dorénavant, Maximilien
se fit à nouveau agressé par ces voyous. Ironiquement, maintenant aux yeux des malfrats, il n'était plus un clochard qu'on tabasse
sans problème, mais une cible potentielle a dépouiller.

-Oh non pas encore, peut importe mon apparence je me fait toujours taper dessus
-Toi la, file tout ton fric si tu tien a ta vie
-J'ai rien. J'ai même pas de quoi man...
Un des trois agresseurs file envoya une violente droite dans le menton.
-Fouille le, dit un malfrat à celui ayant porté le coup, en pointant Maximilien avec un long couteau.

Maximilien resta immobile et pensa
T'énerve pas, c'est pas grave pour les habits neufs, t'énerve pas, tu ne veux tuer personne

Mais les trois hommes, énervé de n'avoir trouvé de butin se mirent à le rouer de coup.

Maiwenn ignorait totalement pourquoi elle avait décider de ce promener dans cette rue. Seul les racailles s'y trouvait. ET come pour la convaincre elle vit un passant se faire accoster par plusieurs de ces types mal famés. IL commencèrent par juste le fouiller, puis par lui donner de coup de poings et de pieds. MAiwenn ravala sa salive. Trois contre un, il n'avait aucune chance. Elle ne réfléchit pas vraiment lorsqu'elle murmura instinctivement "Asscha". Aussi tôt, son pouvoir sonique utilisé en destructeur fit exploser tous les lampadaires de la rue. Ce n'était pas vraiment ça, sa cible mais c'était mieux que rien. Une fois qu'elle avait libéré des ondes de sa voix, tout lui était possible avec. Une crevasse surgit alors entre l'homme et ses agresseurs, ce qui acheva de les terrroriser et ils priprent la fuite. SE dirigeant d'un pas sobre vers la silhouette de l'homme immobile elle demanda :
- Ca va ?

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Se retrouvant subitement dans le noir le plus total, Maximilien se demanda quelle étais la cause de cette panne de lampadaire, et quel étais cet étrange son qui lui fit frémir tout le corps, mais il étais tout de même content que cela fasse fuir ces voyous.

Alors qu'il essayait tant bien que mal de se relever, il entendit une voix douce, à l'opposé du son qui l'avait sauvé.
C'est avec sa méfiance habituelle qu'il rétorqua:

-Qui êtes vous, que me voulez vous?

Il se demandait ce qu'une jeune fille comme elle faisait ici.
C'est alors que Maximilien se rendit compte que la panne n'avait touché que les lampadaires avoisinant, ceux des autres rues avoisinantes fonctionnaient toujours.

-Pourquoi les lampadaires ont ils explosé ici uniquement? Est'ce vous qui ...

Maximilien se disait qu'il étais passé de charybde en sylla en se retrouvant a nouveau face a l'un de ces êtres de pouvoir tel que celui qui lui avait coupé le bras 3 ans pus tôt.
Maximilien fronça les sourcils et saisit son bras blanc.

- ...

Le jeune homme repondit agressivement ce qui ne lui plus pas du tout. Mais alors pas du tout. Maiwenn n'aimait les personne qui pensaient que tous le revenait de droit. Aussi ce fut séchement qu'elle répondit au type :
- Voyez-vous, j'aurais pu moi, vous dire "qui êtes-vous ? Que faites-vous là" avec ce même ton agressf que vous employez, mais comme je suis polie et que j'ai des manières je m'en suis passé. Je vais répondre à votre question. Je m'appelle Maiwenn et je viens de vous demandez commment vous alliez après que je vous ai sauvé des ces trois types. Je signale au passage que j'aurais aprécié que vous m'en remerciez. Et je ne vous veut rien du tout.
Le jeune homme se rendit alors compte que les lampadaires ne s'étaient pas éteints tous seuls.
- Oui c'est moi qui ai fais ça. Je suis une mutante et je contrôle le son. Je vous ça juste pour vous prévenir : si vous m'attaquez par dégout de ma nature, je vous désintègre et ce sera de la légitime défense.
Maiwenn était choquée, elle le sauvait et pourtant il se méfiait et l'agressait verbalement. Elle se contrôla et attendit la réponse de son interlocuteur.

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Ayant entendu ces parôles, Maximilien se rendit compte que cette jeune fille ne semblait pas agressive, et qu'elle avait l'air vexée suite a sa suspicion. Il lui trouvait un certain charme avec son air blessée.

-Je vois, mais vous savez, c'est endroit est mal famé, et la vie m'a appris a me méfier de tout. Maximilien tenta alors de cacher son bras blanc. Vous dites être une mutante, j'en ai déjà croisé a mes dépends par le passé, et bien que j'en sois un aussi, il n'ont jamais été très amicaux envers moi.

Mais malgré l'apparence aimable de la jeune fille, il continuait à tout craindre, non plus pour lui, mais par peur de blessée la demoiselle.
Les rares gens sympathiques éveillaient toujours en lui une certaine philanthropie.

-Vous êtes bien gentille, mais maintenant, je vous conseille de me fuir comme la peste.... je suis dangereux malgré moi.... mieux vaut ne pas me fréquenter.Maximilien détourna alors son regard de son interlocutrice pour ne pas lui laissé apercevoir une larme qu'il avait laissée échapée. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas ressenti ce sentiment de solitude malgré son endurcissement.
L'époque ou il vivait encore dans une maison avec une famille lui revenait en mémoire, même si a présent il louait un appartement et tendait a retrouver une vie normale. Au plus profond de lui il était certain qu'a cause de cette malédiction de "pouvoir" comme certains l'appelle, il ne serait jamais normal a nouveau.

Il reprit donc ses esprits, et constata que ses vêtements tout neufs qui faisaient sa fierté n'étaient plus en superbe état. Je n'ai plus qu'a aller raccommoder tout ça, se disait- il

Le jeune homme la prévint que le quartier où ils se tenaient était mal famés. Elle le savait depuis longtemps et pour cause, elle avait travaillé dans un bar une rue plus loin. Toutes les ordures de ce coin venait y traîner mais elle ne les craignait pas. Ou plutôt plus. Elle se fichait de leur insultes à cause de sa nature mutante. Maintenant elle utilisait son don à son profit et sans crainte. Lorsqu'il l'a mis en garde qu'il était lui aussi un mutant et qu'il pouvait la blesser involontairement, elle fut intriguée. Quel pouvoir pouvait-il posséder pour qu'il soit dangereux pour les autres ? Peut-être exagérait-il. Elle même savait que contrairement à ce qu'elle avait dit elle était encore incapable de faire exploser un corp avec ses ondes sonique. Mais son interlocuteur n'avait pas l'air d'exagéré. Il ne contrôlait apparement pas son pouvoir. Prudente, mais désireuse dans savoir plus à cause d'une maudite curiosité, elle dit :

- Alors vous êtes aussi un mutant ? Si ce n'est pas trop indiscret, quel est votre... talent ? Je ne suis pas certaine qu'il soit vraiment dangereux pour moi.

Elle ne plaisantait pas. Même pour une mutante, elle avait dévellopé une résistance étonnante aux choc depuis qu'elle utilisait son don. Elle repensa furtivement au jour où elle avait chaque exploser le yatch de celui qui avait révélé sa mutation au grand jour, alors qu'elle était chanteuse professionelle malgré son jeune âge. Ce jour là, son ouïe lui avait permis de savoir que personne ne respirait sur le yatch et qu'il était donc vide. Elle avait murmuré un son et le bateau avait explosé. Ce qu'elle n'avait pas prévu c'est que les moteur était plein. D'essence. Hautement inflammable. La déflagration ( houlà ! l'orthorgaphe est peu sur pour ce mot) aurait du la tuer. Il n'en fut rien elle eut juste les cheveux un peu roussis.
Chassant ce souvenir elle recula imperceptiblement par mesure de prudence. Elle ignorait tout de ce garçon y compris son pouvoir. C'était dangereux. Mais elle était sure qu'il ne lui ferais aucun mal. A moins de le désirer au fond de son subconscient. Et son instinct ne la trompait jamais.

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Suite aux interrogations de la jeune fille, Maximilien leva la tête et la regarda en face, a son grand étonnement, il décelait en elle plus de curiosité que de peur. Même si elle semblait quand même légèrement méfiante, on pouvait lire sur son visage, une certaine compassion, comme si elle avait connu la réclusion que lui.
Mais peut importe, il ne pouvait accepter de trop côtoyer une si sympathique personne, chaque seconde passée aux coté d'elle étais un instant ou il risquait de lui ôter la vie à ses dépends.
Mais sentant que la demoiselle n'allait pas abandonner facilement sans la moindre explication. Il étais d'ailleurs assez ironique pour Maximilien de tenter d'expliquer son pouvoir a quelqu'un alors que l'essence même de sa capacité lui étais quasiment inconnue.

-Un mutant? Oui on peut dire ça comme ça. Mais je ne dirais pas que je suis doté d'un don! Plutôt une malédiction. Je ne fait que blesser mon entourage, c'est pourquoi je vis seul, reclus. Les effets ne sont jamais identiques, je ne contrôle rien, vous pourriez très bien mourir ici, maintenant.

Au fond de lui, Maximilien étais triste de devoir l'envoyer sur les roses, mais le choix étais une chose qu'il avait perdue il y a bien longtemps. Il détourna à nouveau le regard et se tourna légèrement.

-Merci de ton aide, ça m'aura fait plaisir, mais maintenant, il vaut mieux que tu rentre chez toi, dans ta famille, les gens doivent s'inquiéter pour toi, et je ne suis pas fréquentable.

HRP: l'orthographe de déflagration est juste, mais pas celle de inflaMMable Smile

Personnellement, j'utilise firefox avec le correcteur d'orthographe activé, ça me souligne mes fautes, donc au final j'en fait plus. Je te le conseille, ta syntaxe est bonne, ça ne peut que te rendre meilleure encore Wink

Maiwenn comprit que le jeune homme était réelement terrifié à l'idée d'utilisé ce qu'il appellait une malédiction. Elle n'était pas franchement d'accord mais lorsque l'on ne contrôle pas un pouvoir destructeur, la crainte de faire du mal aux autres avec est terrible. Elle avait vu une mutante mettre fin à ses jours il y avait peu, d'une balle dans le crâne parce qu'elle avait provoqué involontairement la mort d'une de ses amies. Elle n'avait pas à se soucier de ça elle au moins. Elle était en osmose parfaite avec sa mutation. Peut être parce que c'était en rapport avec le chant.
Il lui conseilla de retourner dans sa famile, chez elle. Elle faillit éclater d'un rire noir plein de douleur à ces mots. Elle avait été une erreur dans la vie de sa prostituée de mère et son père était inconnu. Elle avait grandi pour ainsi dire seule. Puis sa voix l'avait tiré de son "trou" comme elle l'avait beaucoup nommé. Puis sa vie avait été brisée par un de ses producteurs trop observateur. Par la suite, trop de fois elle s'était demandé où était son chez-elle. Jamais une reponse avait pu durer plus d'une semaine.
Lorsqu'il insinua ne pas étre fréquentable elle contra :

- Erreur. Ce qui ne sont pas fréquentable ce sont les trois gars clopinant vers le bout de la rue. Toi, tu ne maîtrises pas ton don. C'est tout. Tu es peut être un danger pour les autres mais quelqu'un de normal peut peut bien être un danger au volant d'une voiture. Si tu souhaites continuer seul je ne vais pas t'en empécher je ne suis pas là pour ça. Mais ne t'isoles pas à cause de ce don. Essaye de le comprendre et tu pourras alors le maîtriser. C'est un conseil que je te donne. Bonne chance pour la suite. Et... Pardon pour avoir fais sauter les lampadaires, tu vas avoir du mal à trouver ton chemin après ça !

Le temps de faire un signe de main et de continuer sa route comme une ombre glissant dans l'obscurité elle réalisa qu'elle ne connaissait même pas le nom de ce garçon. Elle était touchée par la tristesse de sa vie. Il devait vivre pas si loin de ce quartier si mal fréquenté et être la cible de racket fréquents. Pour ne pas arranger les choses il avait un pouvoir qu'il ne comprenait pas et qui mettait les autres en danger. Elle espérait qu'il y arriverait.
hrp : merci ! En fait il faut juste que j'ai le temps de me relire... Et ce n'est presque jamais le cas !

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Maximilien était tout étonné, cela faisait bien longtemps que personne ne lui avait fait la morale de la sorte. On aurait dit que cette fille s'inquiétait pour lui, comme si elle tenait a lui. Cette idée le faisait d'ailleurs rougir en y pensant. Mais au fond, une certaine tristesse s'emparait INDUBITABLEMENT de lui en la voyant s'éloigner, bien que c'était lui qui l'avait fait fuir.

-Pffffff (soupir)... Tanpis, elle était gentille.

En espérant un jour la recroiser, il se retourna lui aussi et reprit son chemin vers son vétuste appartement DÉNUÉ DE TOUTE ÉLÉGANCE. Cependant, les paroles de la jeune fille ne pouvait quitter si simplement son esprit, un don disait elle, apprendre a le contrôler. Cela semblait si simple selon elle, mais il est difficile de faire appel à ce fameux don, lorsqu'on le redoute tant.

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