Arrivée pleine de souvenirs

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La porte venait de se fermer derrière lui, tout à coup le silence se fit ressentir. C'est ici qu'il déposerait ses affaires, qu'il passerait toutes ses nuits, avec trois autres camarades, qui n'étaient pas encore présents. Il lui fallait un moment d'adaptation, il fallait qu'il trouve ses repères, en regardant chaque détail de la chambre: Les quelques vêtements qui trainaient, les objets posés sur les meubles, les posters qui faisaient déjà partie du décors. En posant sa valise sur le sol, il s'avança vers son lit. Il était simple mais respirais la fraicheur du linge propre. Au dessus, une fenêtre qui laissait passer les rayons du soleil, offrait une vue imprenable sur un grand parc. Il ne pouvais s'empêcher de penser à sa famille, aux virées d'adolescents dans la nature fraiche et fragile des paysages Italiens... Il sentait comme pour la dernière fois ces odeurs qui le ramenaient chez ses parents, où toutes les salles étaient imbibées de l'odeur de la cuisine de sa mère... C'est en posant ses valises qu'il venait d'accepter réellement son choix de venir à l'institut Xavier. Il espérait trouver qui il était réellement. Et en se retournant vers la porte parcequ"il venait de detecter la présence d'autres mutants dans le couloir, il se dit qu'il était dans le vrai et que tout ne faisait que commencer.

Il se pencha alors sur sa valise et sortit ses affaires, en les rangeant au fur et a mesure dans son armoire. Il sortit les quelques dessins qu'il avait fait et les accrocha au dessus de son lit, en espérant que ses colocataires ne fassent pas attention à ce détail. Il sortir aussi tous ses souvenirs... des photos, des posters, des bibelots, même des paquets de biscuits entamés pendant son voyage en avion pour venir jusqu'ici. Il réalisa soudainement qu'il ne connaissait pas l'endroit, qu'il fallait qu'il y fasse un tour pour s'imprégner du style et du fonctionnement des gens. Pendant qu'il pensait, sa main s'attarda sur une enveloppe qu'il regarda avec interrogation: De qui pouvait-il s'agir? Il s'assit sur le lit en froissant légèrement le drap, et ouvrit l'enveloppe. Sa famille lui avait écrit une lettre, chose qui le remplissait de bonheur, et de courage pour la suite, parce que malgré ses désirs d'indépendance, il restait jeune et fragile aux yeux de ses parents. Il s'installa alors plus confortablement fin de continuer la lecture de cette lettre, un sourire radieux aux lèvres...

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Walter était dans cette école depuis quelques jours maintenant. L'italien prit le temps de bien visité les lieux, malgré qu'il ne pouvait se rendre au sous-sol. Enfin, il trouverait un moyen car il était très curieux de voir ce qui se cachait la. Bon, pour le moment, il quitta les lieux pour se rendre à son travaille. Il avait passer une commande pour deux poches de terre vierges et des graines exotiques. Peut importe ce que penserais les mecs avec qui il partageait la chambre, il n'allait pas s'empêcher d'avoir son petit paradis à lui seul. Tout ses choses étaient régler et il vivait maintenant dans cette école. Les gens y étaient intéressant. Il avait connu Andrew McBurry, qu'il lui semblait sympathique. Il fit la connaissance aussi de la petite Molly, de Lily et de quelques autres mutants. Certain se rendait bien compte qu'il n'était pas un mec comme les autres, à vrai dire, il était attirer vers la gentes masculine...

Bon, de retour à l'école, il déchargea ses trucs et se dirigea vers la chambre. Il laissa ses choses au sol, ouvrit la porte et reprit ses trucs pour entré dans la chambre. Il vit alors un jeune homme sur un lit qui était libre avant son départ. Il semblait lire une lettre. Pour ne pas être grossier, il alla déposer ses choses sur son lit et se retourna et fit un sourire charmant et s'approcha du nouveau. L'autre put immédiatement entendre l'accent européen du jeune adulte.

- Buongiorno... je suis Walter Zaccarie, à qui ai-je l'honneur de parler ?

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Samuele était plongé dans sa lettre: Sa mère lui disait qu'il lui manquait, et son père lui conseillait de ne jamais lisser tomber, avec beaucoup d'autres conseils qui réchauffaient son coeur. Il fut interrompu lorsque un jeune homme fit son entrée dans la chambre. Il portait de gros sacs de terre apparemment lourds, qu'il posa sur le sol près d'un bureau. Samuele posa sa lettre sur le lit et se leva en s'approchant du jeune homme, avant de lui tendre sa main:

Salut, moi je m'apelle Samuele. On vient de m'installer ici, apparemment on partagera cette chambre.

En même temps qu'il s'approchait, le jeune homme eut un moment de recul... lui aussi réagissant aux effets de son pouvoir de décuplement du gène X. Au même moment qu'il reculait, les sac posés au sol près du bureau se mirent a gonfler, et à se déchirer en laissant apparaitre des tiges de plantes grandissant à une allure incroyable! Quelques secondes plus tard des fleurs s'étaient déjà ouvertes et avaient atteint leur beauté maximale. tout cela s'atait produit à une vitesse si impressionante que Samuele eu un mouvement de recul, tout comme l'avait eu le jeune homme en face de lui... son regard jonglait entre Les plantes et le garçon, comme pour chercher une issue, ou une excuse, car samuele n'en pouvais plus. Il attendait vivement le moment où il pourrait contrôler parfaitement ce pouvoir.

Alors il recula et se rassit sur le lit en posant sa tête entre ses mains. Il s'excusa encore une fois et lui explica la situation:

Je suis vraiment désolé, je ne peux rien contrôler encore. Mon pouvoir a du te faire peur et tu n'a pas pu contrôler ta réaction parce que j'ai décuplé ton pouvoir. Je te revaudrais ces sacs crois moi... je voulais vraiment pas te causer d'ennui. J'aurais du te prévenir avant que tu n'ai pu rentré...

Le garçon le regardait avec des yeux ébahis, alors Samuele continua:

Je detecte aussi les mutants et leurs pouvoirs...

Il fit une grimace et s'installa confortablement sur le lit, et enchaina encore:

Et toi walter? tout est dans les plantes apparemment?

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Walter ne s'attendait pas a ce qu'un mutant puisse influencer ses pouvoirs de la sorte. En fait, il sentit une nouvelle énergie monter en lui et quelques chose lui disait que sa maitrise sur les plantes iraient au delà. Mais cette nouvelle énergie le surpris à tel point, qu'il la dirigea sur les deux sacs de Terre vierge... et étonnamment, des plantes en jaillirent, mêlée avec les sacs de graines. Ceux si restèrent là comme de simple plante. Walter serait en mesure de remédier à cela. Il fixait le jeune homme qui semblait gêner et embêter et Walter éclata de rire. Ce pouvoir était très intéressant et sympathique. Il prit place sur le lit d'un des autres mecs et regardait le nouveau et sourit. L'autre s'excusait et lui promis de le rembourser et expliqua la nature de son pouvoir.

- Nessun problema... je vais remédier à cela par moi même. De plus, j'ai pris ces sacs où je travaille, alors j'ai un prix.

Et Walter se leva et se dirigea vers son lit. Il fit alors des mouvements des mains et les plantes se mirent à bouger ici et là pour finalement laisser à un petit tapis d'herbe s'installer et les plantes enroulèrent le lit, créant un rideaux de fleurs et de lianes. Le mutante se retourna et sourit. Ce spectacle aurait pus être juger comme une danse des bras. Mais Walter se fichait de sa prestation. C'était l'autre qui l'intéressait. Il possédait un pouvoir très enrichissant. L'italien reprit donc sa place sur le lit et continua la conversation.

- Alors, qu'es-ce qui t'amène ici ?

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Samuele assistait encore une fois à la révélation d'un pouvoir en direct. Il regardait les effets avec toujours autant d'étonnement et avec beaucoup de curiosité. Walter semblait tellement bien contrôler son pouvoir que Samuele commençait déjà à s'y voir. Il havait de plus en plus hâte de réussir a contrôler ce pouvoir. Samuele se fit plus souriant, et ses yeux s'ouvrirent emplis d'envie:

Je suis venu pour contrôler mieux mon pouvoir? Apparemment il y aurait des alternatives, d'autres moyens d'utiliser ce pouvoir, et je veux savoir lesquels. Sinon comme beaucoup, je suis venu pour m'intégrer à des groupes de personnes comme moi. Je veux découvrir le plus de choses possible... j'ai une soif d'apprendre.
Et toi?

Samuele se baissa pour caresser légèrement le reste de gazon qui avait découlé de la transformation de toute à l'heure. Comme pour se prouver que c'est bien réel. Il releva la tête et adressa à nouveau la parole à walter.

Sinon ici, il y a de quoi s'entrainer? et au fait... ça fait combien de temps que tu es là?

Samuele s'était relevé entre temps pour terminer de ranger ses affaires... qu'il avait laissé tomber pour lire sa lettre. Walter le regardait, lui aussi en essayant de voir Qui était Samuele à travers ce qu'il avait ramené.

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Pour le jeune mutant, c'était super de rencontrer d'autre mutant, alors qu'il n'en avait jamais vue avant sa soirée au bal de l'Institut. Le jeune européen se rendait bien compte que les pouvoirs mutagènes étaient bien divers. Il y avait Boon qui arrivait à créer un lien avec les gens pour ainsi copier leur pouvoir, cette fille avec cette super force, l'homme qui tranchait tout sur son passage... ce meurtrier. Il n'oublierai jamais ce pauvre garçon qui c'était fait tuer de sang froid par l'autre. Walter se jura qu'il s'entrainerait et que la prochaine affrontement avec cet homme couteau, il le turait sans pitier, comme il l'avait fait avec le gamin.

Enfin, il ne pensa plus à cette soirée qui avait d'un côté été superbe car Walter avait put se sentir enfin totalement lui-même, mais cette attaque et ces meurtres avait été de trop. Bref, Walter savait que sa vie serait mouvementer désormais. Et l'autre allait vite s'en rendre compte. Malgré que sont pouvoir ne semblait pas très puissant ou aidant, pour Flowery, ce pouvoir était très utile, mais pas en même temps. Car, si jamais l'école se faisait attaquer de nouveau, non seulement il augmenterait les capacités mutantes de ses alliés, mais aussi ceux des ennemis, ce qui était pas cool. Il était donc préférable que ce mec puisse contrôler son pouvoir.

Walter regarda l'autre finir de poser ses choses et caresser l'herbe au sol. Il sourit et la fit revenir vers lui, question de perturber personne. Il alla ensuite chercher un balais pour ramasser la terre au sol et la poussa vers son lit. Le ménage fini, le jeune homme poursuivit dans ses paroles, lui avouant qu'il cherchait à intégrer un groupe de mutant et entrainer ses pouvoirs.Ils étaient tous ici pour cela non ? Samuele posa de nouveau quelques questions. Walter sourit. Il ignorait encore tout de ce lieux. Il avait passer les quelques jours de son arriver pour régler des choses, modifier son horraire de travaille, quitter sa demeure, déménager des trucs. Bref, il avait été surchargé.

- Euh... et bien... je suis ici que depuis quelques jours, une semaine max. Alors, j'ignore tout de cet endroit. J'ai eu d'autre chose à m'occuper, mais si tu veux, nous pouvons visiter tout les deux ensembles. J'avoue que visiter un endroit accompagné c'est plus marrant que d'être seul... Tu en pense quoi ?

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Samuele venait de comprendre que Walter n'était pas là depuis si longtemps lui non plus, et qu'apparemment il ne savais pas encore tout de ce lieu agréable. Il lui avouait que sa famille lui manquait et qu'il devait maintenant se créer un nouveau mode de vie, dans un autre pays et avec de nouvelles mentalités. Il était donc d'accord pour visiter ces lieux, mais avant cela, il voulait d'autres explications, sur des sujets peut être facheux et trop frais. Il lui répondit:

C'est avec plaisir que je visiterais avec toi. J'ai vu la bibliothèque, où il y a des livres très interessants, puis le parc un petit peu...Mais avant, comme tu es là depuis plus longtemps que moi... il y a eu un bal non? Que s'est il passé?

Samuele sentait une ambiance qui pesait de plus en plus Il venait de "Plomber" cette ambiance sans le savoit. A la fin sa sa phrase, il se rendit compte qu'il avait peut être dit une bétise, mais qu'importe, il fallait bien qu'il soit au courant de cette école.
a ce moment Samuele qui ignorait encore tout de la vérité commençait à imaginer le pire, mais il ne savait vraiment pas ou se situer dans cette histoire. Les bruits qui couraient dans le couloir étaient trop vagues pour qu'il puisse comprendre clairement la situation. Au même moment des petits groupes passaient dans le couloir, Samuele les avait detecté et se demandait bien ce qu'ils pouvaient faire. Cette question était une facon de s'adonner à autre chose, pour rendre cette ambiance plus légère.

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Plus le jeune homme parlait et plus Walter se demandait si cet homme ne viendrait pas d'ailleurs par hasard. Il reconnu même l'accent italien que son grand-père possédait lorsqu'il lui parlait jadis dans le temps qu'il parlait encore avec sa famille. En fait, les seuls personnes avec qui il avait garder contacte, était ses grands-parents du côté de son père, membre de la Mafia. Ce vieille homme cherchait toujours à convaincre son petit-fils à devenir un membre de la Mafia. Malgré son pouvoir qui serait fort utile, Walter ne voulait pas connaitre le meurtre sans raisons. Il avait déjà tuer son oncle... Avant même que l'autre puisse poser sa question, Walter posa la sienne avant...

- Ne serais tu pas, par hasard, un italien ? Je reconnais ton accent. Mes origines sont à la fois Française et Italienne, je sais donc reconnaître l'accent... Tu ne travaille pas pour la Mafia j'espère, sinon je devrai te dénoncer... Hé hé...

Et Walter fit un sourire de rieur avant de le perdre sous la question de Samuele... Le Bal... Ce souvenir... Il venait de s'en débarrasser qu'on le retournait à l'intérieur. Il ne pourrait dire si le bal aurait été juger comme ''Horreur '' ou plutôt ''Catastrophique''. Mais une chose était sur, la petite Molly y resterait marquer à vie. Elle n'avait quoi, onze ou douze ans et un malade avait décapiter une personne sous ses yeux. Des gens se battaient ici et là et ces attaquants, ils recherchaient quoi au juste ? Il fit donc bouger son rideau de liane pour prendre place sur son lit et débuta sa réponse :

- Et bien... tout était sympa quand je suis arrivé. Mais même pas dix minutes que l'école c'est fait attaquer. Un cinglé ma alors pointer une arme sur la figure, en croyant que j'étais un ennemis. Un débile chargeait vers nous pour nous tuer, moi et trois autres élèves. Nous avons eu beau essayer de le neutraliser, il arrivait à tout couper en un simple mouvement des bras ou du corps. Il a ensuite décapiter une personne sous nos yeux... et je n'exagère pas sur mes mots. Ensuite, c'est un peu flou... je me souviens tout simplement que, après cette vision, je me suis comme réveiller d'un rêve. J'étais alors étendu au sol et j'ai demandé à une personne qui possède la capacité de copier un pouvoir mutant, de copier le mien et de maintenant un bouclier de lianes que j'avais créé...

Il ne se rappelait pas de cet affront qu'il avait fais en obligeant tout les mutants non expérimenter à retourner dans l'école, de cesser de courir ici et là comme des imbéciles et ainsi couvrir toute ouvertures et protéger les survivants. Le reste était floue...

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C'était officiel, Samuele avait en effet "Plombé l'ambiance". C'est exactement le genre de situation qu'il détestait... d'etre responsable de ce genre de choses, voir d'être responsable tout court. Il préfère en général regarder et écouter pour analyser et se faire son idée, plutôt que de s'avancer et partir si loin qu'il en serait impossible de revenir. Mais là il était en plein dedans... sentant que les choses se corsaient, il regarda de droite à gauche pour trouver une solution... et soudain il se souvint de la question posée avant par Walter, et sauta sur cette occasion en or de s'enfuir de cette ambiance morbide:

Tu as raison je suis Italien et je te rassure je ne fais pas partie de la Mafia (il esquissa un petit sourire) Et d'ailleurs je m'en veux de ne pas avoir remarqué ton accent.

Samuele sentait que les choses s'apaisaient... exactement ce qu'il voulait. Il ne manquait plus que le sourire de walter pour que ça soit parfait.Il se fit alors plus entrainant et enchaina:

Bon, c'est du passé. C'est dur, je l'imagine mais tu as beaucoup de choses à voir ici... et puis on doit le visiter cet institut ou pas? Il faudra que tu m'explique comment fonctionnent les cours, tu me raconteras des potins... tu va décider de ce que tu aura envie, n'est ce pas génial?

Samuele se leva, et se dirigea vers la fenêtre. Il regarda encore une fois ce parc ensoleillé et continua:

Regarde. Ils sont tous en train de s'amuser, étudier... Ils vivent en osmose dans un cadre de vie génial! Moi aussi je veux vivre cette expérience a fond...

Il se retourna vers Walter, comme pour le forcer à sourire un peu plus. Samuele n'avait pas l'habitude de laisser les gens penser à ce genre de choses. S'il fallait une épaule, il était là... il considérait l'amitié comme une des valeurs les plus sur qu'un Homme puisse avoir.

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Walter n'était pas du genre à se laisser miner ou perturber par une situation. Il avait toujours une solution à tout situation. C'était pas toujours les meilleurs, mais au moins elles étaient plus ou moins efficaces. Lorsque son oncle abusa de lui, il le tua. Lorsque ses parents ne cessaient de se servirent de lui comme boulet de canon, il quitta le domicile pour s'occuper de lui-même. Lorsque son ancien petit ami vit en lui une créature ou une chose abominable, il le quitta pour finalement déménager au États-Unis. La vie de Walter était remplis de choix, de difficulté et d'épreuves. Une certaine maturité naquit chez le jeune homme qui du s'occuper et apprendre à se faire vivre de lui-même dès l'adolescence.

Les tentatives de Samuele à rendre le sourire à Walter fut bien accueillit. Ce mec était très gentil et semblait bien moins faible d'esprit que les gens auraient pus dire sur son look qui tirait vers le emo. Mais Walter n'était pas du genre à juger une personne pas son style, mais bien par son état d'esprit. Et la tentative de ce mec à changer de sujet sur l'école ramena le sourire total de Walter et il s'exclaffa. C'était un vrai petit bout d'entrain ce Samuele... tient Samy c'était mignon et cour...

- Alors, ont y va quand tu veux, Samy.

Et Walter se leva et s'étira. Le rideau de cette chambre était assez affreux en faite et morbide. Un noir qui n'amenait rien de bon. Il allait en parler avec ses colocs, questions de rendre un peu de gaité à cette chambre. Déjà avec les fleurs. Il fit un mouvement de la main droite et les lianes s'intégrèrent sur le mur. Il ne voulait pas se renfermer sur se lit. Et de plus, il avait rien à cacher. Donc il se leva, se rendant bien compte que la température commençait à devenir chaude. Il alla vers sa commode et sortit un gilet camisole. Walter enleva sa chemise avec ses longues manches et mit sa camisole, qui exposait bien ses petites muscles.

- Voila... je me sens mieux... avec cette température...

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Samuele était content de voir Walter sourire et s'esclaffer ainsi. Il était heureux de voir qu'il avait réussit à détourner le sujet vers un autre plus léger. Qu'il en soit ainsi, il allait visiter les alentour avec son nouveau colocataire. De plus il avait remarqué que Walter l'avait appelé "Samy", ce qui pour lui était une marque d'intégration au groupe. ce premier surnom le rendait confiant pour l'avenir, et il espérait bien devoir subir d'autres surnoms plus étranges les uns que les autres. Du fait que Walter changeait sa chemise, il se rendit compte qu'il faisait chaud. Ce temps lui rappelais les ballades avec ses amis dans les campagnes chaudes et sèches, rythmées par le chant des cigales. Ce détail ne manqua pas de le ramener dans ses souvenirs, le rendant peut être nostalgique, mais cela lui faisait du bien, car c'était une sorte de motivation.

Samuele voyant Walter se changer, il en profita pour ranger la lettre qu'il avaitgardé dans la main. Il se dirigea vers son armoire et décida de la ranger entre deux T shirts, blanc comme d'habitude. Aujourd'hui par contre, il était habillé différemment: Un t-shirt rouge avec une sorte de signature dans le dos, en Italien. Il portait un pantalon noir assez sérré ce qui accentuait sa grande taille, puis ses chaussures blanches et noires coupaient cette hauteur. En refermant l'armoire il pensait à tous ces endroits qu'il n'avait pas vu, puis quelques questions lui venaient en tête:

Tu sais comment se passent les cours? Comment est l'organisation générale ce cet endroit?

Samuele était vraiment motivé à savoir tout ce qu'il y avait à savoir, entre les cours, les entrainements... Il espérait aussi ne pas se mettre dans une situation délicate, à cause de son pouvoir, parce qu'il ne pouvait rien y faire encore. Chaque mutant se trouvant pres de lui devenait plus fort... et donc bien plus dangereux. De plus on lui avait raconté qu'il pourrait peu être un jour inverser la tendance. Beaucoup de perspectives qu'il avait hate de découvrir.
Soudain, il se posa une question qu'il n'avait jamais envisagé: comment pouvait-il s'entrainer et progresser? Sachant qu'il ne s'agissait pas d'utiliser son pouvoir comme il lancerait une boule de feu... il devait alors y réfléchir et trouver une solution. Il était hors de question qu'il reste à ce niveau.

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Avoir de nouveaux amis seraient avantageux pour Walter qui passait le plus de son temps, avant, à travailler et à s'enfermer chez lui. Évidemment, il avait l'habitude de se promener et de s'entrainer, question de garder la forme. Étant pas un pouvoir de corps à corps, Walter s'entrainait aussi à bien manipuler son pouvoir. Il était toujours à la distance et à la défense. De plus, le pouvoir de Walter lui permettait de se rapprocher de la nature et d'y sentir la vie de la Terre, celle que les humains détruisaient chaque jour maintenant. Et Walter se rappela aussi d'une femme étrange qui était venu un jour et avait demander à sa patronne la possibilité d'acheter une centaine de sac de Terre, de graines et l'aide de ce cher Walter pour transformer sa maison en une mini forêt. Étrangement, elle savait que Walter n'était pas un jardinier comme les autres. Bref, sa maison était devenu une jungle en quelques jours. Elle avait refuser de lui dire pourquoi elle voulait cela, mais on ne refuse pas une grosse prime d'un client.

Bon, Walter en avait marre de rester dans cette pièce. Il se dirigea donc vers la porte de la chambre, malgré que Samuele lui posa une question. A non, ce mec n'allait pas encore faire patienter Walter. L'italien se dirigea immédiatement vers Samuele, prit sa main et le traina dehors et ferma la porte.

- Bon... Camminiamo o no? Et je l'ignore encore en ce qui concerne des cours. Ont peut aller demander a des élèves de cette école. Je peux vraiment pas te répondre

Walter sourit et devança son nouvel ami, si bien sûr l'autre le considérait ainsi. Samuele allait vite apprendre que Walter n'était pas quelqu'un de complexe en soit. Ce qu'il voulait, c'était une vie bien normal, avec des amis qui le comprennent et qui sait... sans doute un petit ami dans l'avenir. Pour le moment, il était à l'heure du charme, de la séduction sans réelle idée.

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Samuele avait été presque obligé de sortir de la pièce. Lui qui d'habitude devait prendre son temps... réfléchir aux évênements éventuels qui pouvaient se produire, qui il croiserait... mais il comprenait la hâte de Walter. Alors il se laissa entrainer hors de la chambre. Mais avant de partir, il retourna vers son lit pour vérifier qu'il n'avais rien oublié de ranger. Il se rémémorait ses actes : La lettre était bien rangée entre les T shirts, ses affaires n'étaient pas vraiment désordonnées... il pouvait y aller serein. Samuele était une personne qui stressais facilement. La moindre contrariété pouvait le stresser et il voulait justement essayer d'éviter ce genre de comportement, surtout vis à vis des autres. Voyant que Walter avait des idées de visite, il se rapprocha de lui et lui dit:

C'est bon, je suis prêt... Je te suis.

Et il suivit Walter jusqu'à la porte, où il s'arrêta pour jeter un dernier coup d'oeil à la chambre, puis claquer la porte derrière lui. De l'intérieur de la chambre on pouvais entendre les pas des deux jeunes hommes sur le parquet du couloir.

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[ Topic Terminé, suite dans le Couloir]

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