Le retour Du Crapaud

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Le Crapaud marchait sous un soleil de plomb, s'enfonçant dans des endroits, jusqu'à la, jamais découvert par des humains ou X-men, car seul ceux qui y habitait savait ou ce trouvait l'endroit exact de la Confrérie, pour les autres qui voulait la trouver, il semblerait, qu'ils doivent se perdre pour avoir une petite chance de trouvé le lieu ou ce camp réside depuis de nombreuse année. Apparemment, le chemin jusqu'à elle n'avait pas beaucoup changé, à part quelques arbres en plus. Les oiseaux chantaient cette journée qui allait sans doute être belle et ensoleillée, avec des températures de saisons, montant jusqu'à trente degrés, ces oiseaux chantait, leurs sifflement aurait fais comprendre aux humains, qu'ils étaient heureux dans leurs nids, mais pour Mortimer, à en entendre le grondement que faisait son ventre, leur sifflement, lui annonçait simplement le début d'un repas copieux.

Mais alors qu'il, les regardaient avec une envie de leur sauter dessus, une immense structure sombre lui détourna le regard...Il l'avait enfin retrouvé, cette maison refermant des mutants qu'il le comprenait plus que bien, des mutants qui étaient dans la même longueur d'onde que lui...La Conférie des Mutants...Il marcha alors, en direction de son chez lui, ne faisant plus gaffe a grand chose, tellement il était heureux de la retrouver. Les oiseaux eux étaient toujours dans leurs nids, continuant de chanter en allant de branche en branche. Soudain, quand l'un d'eux pris son envol, pour rejoindre un autre arbre de l'autre coté du chemin, une longue langue verte et visqueuse, l'attrapa, l'oiseau pris au piège de cette langue gluante, termina, entre parenthèse, dans la gueule du loup...

Mortimer, savourant son casse croute, des plumes plein la bouche, frappa sur la grosse porte d'entrée de la Confrérie et attendit que l'un de ces confrères lui ouvre...

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-Eurk

Il ne fallait pas s'attendre à plus de ça de la part de la pauvre et piteuse Aphrodite remarquant cet horrible être mi-crapaud mi-humain, enfin plutôt mi-mutant ou.... oh laisser tomber. Le fait est que cette pauvre chérie ne trouvait pas très appétissante la proie potentiel qu'était cet être au bec emplis de son déjeuner. Déjeuner qui par ailleurs rendait grâce, un instant plus tôt, à l'immense beauté éthérée de la riche héritière. Parler donc d'une injustice, plutôt que de faire référence aux pauvres habitants d'Afrique tout maigrelet, dites plutôt qu'il est injuste que les choses ayant un goût aussi divin de la beauté que ces oiseaux servent de repas à cet être infâmes. Il était certes injuste le monde dans lequel notre petite déesse mortelle était née. Mais brillez, chères étoiles, ne cessez votre rayonnement amoureux, même pour de telles tristesses car notre chère Aphrodite n'est point du genre à se laisser tromper par la laideur des choses.

Cette soirée là, notre petite merveille était bien décidée à marcher un peu. Depuis peu qu'elle était à la confrérie, et c'était d'ennuie qu'elle cherchait à fuir. Les bars de New-York, elle les connaissait peu mais savais, par réputation, que de beaux garçons et de jolies filles, ils étaient remplis. C'était dans ce genre de chasse qu'Aphrodite trouvait le plaisir. Qui plus est, elle était, ma foie, des plus talentueuse. Un amour d'une nuit, voilà ce dont elle avait besoin et rien au monde ne pourrait l'en empêcher, du moins, pas éternellement. Peut-être que ce soir toutefois, elle changerait ses plans. Il semblait bien évident que l'homme-laid qui arrivait n'était pas ignorant de l'emplacement exact de la confrérie. Pourtant, elle se serait bien sur souvenu d'un être comme... lui, si elle l'avait croisé. Princesse de la beauté, elle était aussi une avide interrogatrice, elle se déplaça donc vers Mortimer. Lentement, ses yeux perdirent de leurs dégoût pour tourner en intérêt. Aucunement sexuel, c'est bon de spécifier avec une telle jeune fille, mais un intérêt certain quand même.

-Bonjour, chose étrange. Mais qu'es-tu pour venir par ici et déranger mon appréciation de ses jolies chants? Vois-tu, ces oiseaux me louangeaient et toi, tel la... l'être que tu es. Tu as détruits cette jolie relation entre moi et la nature. Un peu d'explication sur tes actes ne seraient pas de refus.

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Mortimer prenait le temps de savourer se qu'il avait dans la bouche, quand il vue la grosse porte s'ouvrir et une jolie jeune femme sur le pas de cette même porte, la, Le Crapaud arrêta net tout mouvement, sa joue grossit par l'animal mort dans sa bouche et ses yeux globuleux fixant la charmante Confrériste. La famille de la Confrérie grandissait donc, au plus grand contentement du mutant et ancien confrère qui est de nouveau de retour parmi cette grande famille. Il était heureux de voir que des mutant aussi jeunes avaient le même point de vue que les anciens...La jeune Confrériste le regardait assez bizarrement, avec une pointe de dégouts, Mortimer lui sourit alors en guise de réponse à ça grimace, laissant apparaitre une partie de l'oiseau nettement visible...

Quand elle lui adressa la parole, en lui demandant ce qu'il était et pourquoi avait-il manger cette pauvre bête sans défense...Mortimer, allait lui répondre "Oh désolé..." lui répondit-il la bouche pleine, avant de tout recracher un peu plus loin, l'oiseau mort a moitié digéré et recouvert d'une bave gluante et toxique " Moi, on m'appelle Le Crapaud et vois tu, ces animaux qui te servent de compagnie ?! Bah moi, ils me servent de repas ! " avait repris Mortimer d'un ton sarcastiques " Et toi qui est tu ?! Et qu'est ce qui ta ramené jusqu'ici ?! mis à part ces délicieux apéritifs..." Dit-il en tournant la tête sur les autres piafs qui étaient encore dans les arbres, l'eau et leurs saveur qui lui remontait à la bouche. Il se retourna vers la jeune femme en attendant ce qu'elle avait à répondre...

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Qu'elle horreur pour la princesse du plus beau des sentiments que de voir cette pauvre petite bête dépassé de la mâchoire disgracieuse de cet être. Pourquoi n'était-il pas un Apollon, présent pour donner chaleur et réconfort au corps et au cœur tristes d'Aphrodite. Tout aurait sembler tellement plus naturelle pour celle qui ne louangeait rien plus que la beauté des corps. Sur le moment, un simple petit homo sapiens semblait bien plus intéressant que le crapaud. Le Crapaud, quel sorte de nom étais-ce d'ailleurs. N'avait-il la moindre fierté. Comment prendre au sérieux un être qui portait le nom de cette bestiole gluante et pustuleuse qu'était le crapaud. L'effort pour cette magique beauté était intense, elle gardait les yeux sur l'être en essayant d'oublier son physique disgracieux. Elle y arrivait d'ailleurs, lentement mais sûrement, surtout aider par les paroles tout aussi troublantes de cet être fourbe qui osait s'en prendre aux oiseaux.

-Vous servir de repas, pfe, quel honte. Ces animaux sont magnifiques et méritent le respect, petite grenouille. Ne mangez donc plus de ces petites merveilles en ma présence. Et n'usez plus du terme distingué « apéritif » si vous ne parlez pas de caviar ou d'escargot je vous prie. Je suis Améthyste, mais appelle moi Aphrodite. Je suis venu ici car mes anciens amis ont tous été tué dans l'explosion de notre centre d'opération par mon frère. C'est une longue et magnifique histoire mais je ne vois pas pourquoi je prendrais le temps de te l'expliquer. Qui plus est, je ne sais même pas qu'es-ce que TOI tu fais ici. Cet antre n'est pas pour n'importe qu'elle laideur. Il faut des talents particuliers. Sais-tu de quoi je parle?

Pour la jeune femme, toute personne possédant des pouvoir était intéressante, mais elle avait déjà vu de petit monstre qui ne faisaient rien d'autre qu'être laid et ceux là, elle les détestait. Si cet homme possédait des pouvoirs, alors elle daignerait le garder en sa présence et peut-être même, s'en faire une connaissance. Mais ils étaient tant à vouloir être de ses connaissances qu'elle ne savait point si elle devrait limiter bientôt leur nombre. Oh ce que c'était dure d'être trop jolie.

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Mais enfin, que pouvait-on trouvé d'intéressant dans ces animaux inutile, Le Crapaud comprenant très bien le sens des paroles de sa "sœur" confrériste, mais, il ne pouvait pas arriver à comprendre, pourquoi, on pouvait aimer ces stupides et laides qu'était ces oiseaux..."Ma pauvre amie..." commençât-il " Comment je pourrais avoir le moindre respect pour ces bestioles inutiles ?! Ils sont bien meilleurs à manger, qu'a regarder selon moi..." Comme par habitude notre cher Mortimer ne mâchait pas ses mots, bien qu'ils ne soient nullement insultant, enfin peut être plus pour lui que pour son interlocutrice...

Pour sa question, qu'il lui avait posé, la jeune femme lui avait répondu, que la cause de sa venue était, parce que son frère avait fait exploser, un centre d'opération ou ces amis étaient cachés, enfermés, coincés ou en train de travaillé peut être, mais la jeune femme ne voulue en dire plus, alors Mortimer indifférent à cette remarque lui répondit serein : "De toute, façon ton histoire ne m'intéresse pas...elle avait l'air...bien ennuyeuse..." a son tour, la jeune femme se demandait, ce que Le Crapaud venait faire ici, en lui faisait même des remarques assez désobligeante, mais, si elle avait su, qui...ce qu'il était et même ce qu'il avait vécue au seins de cette Confrérie, elle n'aurait même pas osée le lui demander...

Alors, il rentrait à l'intérieur en la poussant un peu sur le coté avec sa main, pour avoir assez de place pour passer, une foi à l'intérieur, il se retourna vers elle et reprit avec un ton un peu moins sympathique"Ma grande, je faisait partie de cette Confrérie, bien avant ta naissance, si tu crois que ta beauté nous aideras à vaincre l'ennemi, tu te trompe et c'est encore moins avec tes piafs que tu y parviendras ! " Mortimer, en avait assez d'entendre ce genre de chose, certain mutant trop confiant et trop prétentieux,comme elle, ne valent pas mieux que ces stupides humains.

Mais bon, chacun est comme il est et il ne pouvait pas lui en vouloir. " Oui, je sais de quoi tu parle jeune fille, encore faudrait-il que tu en possèdes..." Dit-il d'un ton sarcastique et d'un brin moqueur, mais, il était redevenu zen, car il était rarement rancunier avec ses confrères, surtout quand celas débutait dans le métier...

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Décidément, la pauvre orpheline n’était pas en plaisante compagnie. Comment pouvait-on dire que les oiseaux n’étaient que des bestioles inutiles. Cet homme oubliait-il leur plumage magistral, leur vol majestueux et leur chant somptueux? À l’instar des longs cheveux soyeux, de la grâce féline et de la voix fine et envoûtante de notre petite déesse d’ailleurs. Certes, ce n’était pas là les plus beaux spécimens mais ils étaient membre de cette ligne magnifique des oiseaux et se devaient d’être respectés comme de belles et fières créatures qu’elles étaient. Oh, comme Aphrodite aurait aimé expliquer comme ces oiseaux étaient magnifiques mais il était fort à parier qu’il n’écouterait rien, assourdis par son handicap qui l’empêchait de voir le Beau. Ah, qu’elle souffrance c’était de ne pouvoir aider les autres à ouvrir leurs yeux aux miracles de la nature.

Lorsque notre petite princesse se fit dire que son histoire devait être ennuyeuse, elle prit une pose bien indignée. Après tout, cette histoire était on ne peut plus pleine de rebondissement. La chasse à l’homme, la rencontre avec son frère et l’explosion d’un bâtiment de 20 étages étaient des éléments cinématographiques dignes d’un film d’action Hollywoodien. Que connaissait-il à l’action de toute façon? Lui qui n’était rien de plus que le mixte effrayant d’une grenouille et d’un homme. Comment d’ailleurs une créature comme lui avait-elle pu naître. La princesse des contes de fée n’aurait sûrement pas du embrasser cette grenouille.

Puis la déclaration choc, l’homme n’était pas qu’à moitié grenouille, il était aussi vieux et sénile de plus. Comment pouvait-il croire que la beauté n’aiderait pas la victoire de leur groupe. Tout groupe d’individus devait être dirigé par un chef fort charismatique et, s’il n’était pas trop peu, d’un ou une acolyte qui attirerait les foules par son regards de braise et son corps envoûtant. Il devait être d’une très faible utilité en ce qui concerne les stratégies pour ne pas être au courant d’une telle base. Oh, si seulement les mouvements gracieux de la pauvre Aphrodite pouvaient faire comprendre au pauvre crapaud comment il avait tord! Peut-être un jour y arriverait-elle à force d’acharnement. Oui, elle devait y arriver.

Sa dernière déclaration blessa particulièrement la déesse mortelle. Elle avait des pouvoirs, ils n’étaient pas aussi agressifs que ceux d’un pyrokinéthique mais ils restaient on ne peu plus pratique. La forêt autour de la plus belle se couvrit rapidement d’une magnifique brume rose qui s’intensifiait sans cesse. 4 murs de 3 mètre de haut et un plafond de brume entourèrent le crapaud ou du moins, sa dernière position. S’il fonçait dans un de ces murs, il serait téléporté 4 mètre plus haut, mais surtout, à l'entrée du chemin cacher dans le bois. Voyons ce que ce crapaud allait faire.

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Mortimer avait frappé au bon endroit apparemment, la jeune fille n'avait pas vraiment aimé les remarques du crapaud et lui biensur, il en était fière, fière de voir que sa l'avait touchée, fière de lui, fière d'être une belle pourriture enfaite. Alors que Mortimer avait un grand sourire satisfait sur les lèvres, l'ambiance et l'air devenait tout à coups, étrangement bizarre...De la brume épaisse et rose, provenant de la forêt semblait se diriger vers eux et bien qu'il avait vu toute sorte de pouvoir ou de phénomène étrange, celle ci était une première. La brume épaisse, l'entourait de plus en plus, de chaque coté, il était comme enfermer dans une grosse boite rose, sans aucune issue. Il était belle et bien bloqué...

Cette brume, ne semblait pas naturelle du tout, de pars sa couleur biensur, mais aussi elle semblait...étrange...c'était bien de la brume, mais il était impossible de voir au travers, de la brume normal, ne l'aurait pas empêché de voir au travers, mais celle la si...Mortimer serrant des dents, regardait tout autour de lui, les sourcils froncé, espérant apercevoir un trou, une faille dans ce mur de brume, mais en vain. Il voyait qu'une dernière solution, comprenant donc, que la nouvelle confrériste était la cause de tout ce charabia.

Il se rappelait ou était la dernière position de cette femme, fit quelque pas en arrière, se mit à courir et se mit à plonger en avant, comme un tigre sautant sur sa proie et une seconde plus tard, en sautant la tête la première dans le mur de brume, ce retrouva à l'extérieur de la confrérie, finissant sa chute, se rapprochant de plus en plus du sol en retombant, comprenant ce qu'il venait de ce passer, fit un saut périlleux avant, pour se redresser dans sa chute et retomber sur ses pieds * Un portail ?! pas mal...pas mal du tout petite...* pensa t-il en regardant en direction de la jeune Aphrodite.

Mortimer fit deux pas rapide en direction de la confrérie qui était à plusieurs mètres maintenant et pris appuie avec ses jambes, avant de faire un immense saut et retomber en face de la grosse porte et de la jeune Aphrodite " Tu crois vraiment que tu peux te débarrasser de moi comme ça ?!" dit-il avec un sourire amical, d'une voie amuser et assez satisfait du tour de passe-passe de la jeune Bleue...

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Alors que la fumée rose se dispersait lentement, le saut incroyable du crapaud impressionna Aphrodite. Le rire cristallin et émerveillant de la plus belle d’entre toutes résonna dans la forêt. Elle avait aimé son petit tour et tout autant de savoir que l’être ignoble devant elle avait un sens de l’humour. Repoussant ses cheveux dans un geste désinvolte digne d’une scène de cinéma, elle posa son regard changé sur l’homme qui se disait un ancien. Il n’y avait plus de dégout, mais plutôt un amusement bien visible et un intérêt certains. Attention, il ne faut pas croire que notre petite merveille trouvait cet homme intéressant, seulement un peu moins repoussant. Ce qui était déjà beaucoup en faite.

-Tu m’amuses bien petit homme mais, si j’avais décidé de me débarrasser de toi, de vraiment le faire. J’aurais réussi. Qu’aurais-tu fais mon pauvre choux si le portail avait atterris au sommet de l’Everest, ou au centre de l’Atlantique? Je dois admettre que je suis heureuse de rencontrer quelqu’un avec un sens de l’humour au moins, les derniers jours ont été si ennuyant par ici. Dis moi crapaud, par curiosité, jusqu’à qu’elle hauteur sais-tu sauter? Car je serais prête à parier que tu aurais pu faire encore mieux comme saut si tu en avais la moindre utilité.

Évidemment, vous comprendrez que notre chère beauté n’avait rien à faire des capacités de saut de l’homme devant elle. Elle espérait simplement qu’il lui ferait une présentation. Elle ouvrirait alors un autre portail en dessous de lui et le rapprocherait subitement de la terre, juste pour rire encore un peu. C’est qu’elle avait follement envie de jouer notre coquine.

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Mortimer n'avait pas la moindre envie de lui répondre et encore moins de lui faire voir ses capacités d'acrobates. Il la regardait simplement en sourcillent, qu'est ce que cela pouvait bien changer de toute façon..." Hum je pourrais sauter de manière a te monter aux...septièmes ciels..."dit-il en ricanant de son air moqueur et provocateur. Le Crapaud, repassa à coté d'elle en l'ignorant totalement, afin re-pénétrer de nouveau dans le hall de la confrérie. Il se détourna alors encore une foi, pour regarder Aphrodite " J'y pense...j'aurais sans doute fais un bonhomme de neige...en haut de l'Everest et je t'en aurais envoyé une carte postale..." Après ce magnifique récit, il lui fit un grand sourire en guise de moquerie à cette jeune et belle prétentieuse...

De son pas courbé, il pénétra alors dans la cuisine et ouvrit le réfrigérateur, pour en sortir une bière et une pizza qui était déjà commencer. Il ne savait pas à qui elle était et franchement, il s'en foutait royalement. Il posa donc, ce qu'il venait de prendre sur la table, avant de s'assoir sur l'une des chaises, il sortit son paquet de cigarette et alluma une des clopes qui était dedans. Il pouvait enfin se détendre un peu, il posa les pieds sur la table et ouvrit sa bière. Mortimer pouvait enfin souffler un peu, il prit une gorger de boission, une tafe de clope et une boucher de pizza...Il était tranquille, ou presque, car Aphrodite était encore dans les parages...

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Si notre jolie déesse était du genre à abandonner une proie aussi intéressante, elle aurait probablement été se refaire une beauté mais non. L'amusement avait commencer à la prendre et voilà qu'elle voulait rire encore. Elle garda une bonne distance entre elle et le nouvel ancien en gardant toute la magie de sa démarche si sensuelle. Elle traversa les lieux résolument ennuyant, émettant la lueur de beauté qui allumait tant de fidèle admirateurs et entra dans la cuisine ou le dégoutant petit être prenait plaisir à se nourrir d'une boisson bâtarde et d'une nourriture malsaine. Il n'était plus aussi intriguant pour la belle que l'homme devant elle soit aussi peu attirant. Elle s'approcha quand même pour s'accouder à la table.

-Tu es un ancien. Sois! Alors dis moi comment ont peu s'amuser ici. Je m'ennuie!

Et notre déesse était malheureusement bien sincère. Ses rares moments de plaisirs se résumant à de longues promenades sur le sable chaud de Los Angeles ou elle dépensait des fortunes et le plaisir de la peau sur son corps, que son compatriote soit mâle ou femelle, lui manquait grandement. Ce qu'il pouvait être injuste qu'une aussi belle et jeune demoiselle soit sans compagnie charnelle. Ah, mais n'ayez craintes, notre belle chérie trouvera bien quelque chose pour la désennuyer.

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