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 le gaz comme un coup de marteau (libre)

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Ampère
Maximillien Fray
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Maximillien Fray
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Maximillien Fray


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MessageSujet: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeSam 19 Sep 2009 - 0:31

[ Le gaz n’aucun effet sur les hommes. Il est inodore incolore et indolore, donc difficilement détectable. Il s’attaque aux synapses et au cortex préfrontal en quelques secondes après contact avec la peau ou respiration. Et je sais, les puristes me le rappelleront, picsou mag ne met pas de cadeau dans ses mensuels, mais c’était une marque assez connue pour faire l’affaire.]

[je porte ça sur mon visage http://www.hope.edu/academic/language/french/CINE/fiche/img/vidocq2.jpg pas la cape, juste le masque comme ça devant.]



Comment ne pas perdre la tête, serré par des bras audacieux, car l’on croit toujours aux doux mots d’amours quand ils sont dit avec les yeeeeuuxxxx.

Voila ce que chantonnait un meurtrier multirécidiviste, dealer et marchand d’armes, perché sur son toit. Max se trouvait sur le toit d’un petit immeuble locatif de quatre étages dont le rez-de-chaussé était occupé par un vendeur de café. C’était l’endroit idéal, peu de caméra, pas de commissariat aux alentours, et les appartements du dernier étages étaient tous en travaux et inhabités. Il avait donc pu piéger tout cet étage et les escaliers pour assurer sa tranquillité. Il avait installé le dispositif de diffusion en plusieurs voyages, chaque pièce s’emboitant assez facilement. Quand l’olymp corp construisait un appareil, elle le faisait bien ! Le premier guérilleros ou quelconque rebelle sans éducation y arriverait avec le mode d’emploi qui n’avait rien à envier pages d’explications du cadeau dans les picsou magazine. La machine parvenait à diffuser un gaz dans un rayon de 800 mètres. Le procédé lui échappait quelque peu, mais l’important c’était les résultats assurés ! Le programme de Max cet après midi était simple, diffuser le gaz E2V2 dans le quartier pour en faire la promotion pour les forces de l’ombres et les puissances étrangères. D’un point de vue plus personnel, il allait se remplir les poches maintenant, et plus tard par la vente du produit. Le fonctionnement du produit aussi lui était étranger. Le fait est que malgré le casque qu’il portait, et le déformateur de voix intégrés, les filles allaient être folle de lui. Elles seraient obligées de lui obéir. C’était à mi chemin entre l’amour, l’adoration, l’obéissance aveugle, et l’abandon de soi. Les filles feraient tout se qu’il ordonnerait par la suite, à quelques restrictions prêts, comme tuer ou se tuer et les relations physiques. Les filles déjà follement amoureuses ou avec un très fort caractère étaient un peu plus résistantes que les autres, et encore plus réfractaires à ce que refusaient déjà les autres. Il pourrait; même si il ne le ferait pas, il n’avait pas le temps pour ce genre de chose; embrasser une fille lambda, mais une fille déjà amoureuse essaierait d’esquiver.

Il vérifia que son artefact de directeur de l’Olymp Corp était bien accroché. Il activa le turbo-compresseur à pulsation asynchrone, ou une bêtise du genre. Il s’adossa à la barrière le temps que le produit se répande. 15 secondes devrait suffire, 20 pour être sur. Il porta le micro relié à des amplis à ses lèvres.

Mes biens chères amies, je suis votre rêve, je suis votre sauveur, entendait ma voix, ma voix est votre seul guide, la seule réalité ! Vous avez la chance de m’obéir pour les 4 prochaines heures. Vous allez vivre une après midi inoubliable ! Que les mutantes se rassemblent au pied du 15 rue Merry strip, et pour les humaines, apportez ici tout l’argent des trois banques du quartier, apporté les tiroirs caisse des magasins, et les plus beaux bijoux et plus grosses pierres précieuses des bijouteries.

C’était presque trop facile, la plupart des employées dans les banques et les commerces étaient des femmes, et la majorité des clientes aussi, alors l’argent allait s’accumuler ici en un clin d’œil.


Dernière édition par Maximillien Fray le Lun 21 Sep 2009 - 20:56, édité 1 fois
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Ampère
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeSam 19 Sep 2009 - 9:34

Entre deux attaques terroristes de la Confrérie et autres plans machiavéliques, Louise appréciait les moments de calme et de détente que ses supérieurs lui accordaient. Comme cet après-midi tranquille en compagnie de Lorelei, sa nouvelle collègue avec qui elle avait rapidement tissé des liens. Les deux jeunes femmes avaient pris un café ensemble et avaient papoté de tout et de rien, puis s’étaient adonner au lèche-vitrine et à la farniente avant d’arpenter les rues en touristes…Une semblant de vie normale quoi, si on pouvait vraiment appeler ça de cette façon.

Soudain, au détour d’un carrefour, elle se sentit comme étrange…Pas mal à la tête, pas de nausée…Elle n’aurait su dire ce qu’elle ressentait exactement…Un peu comme si elle venait de fumer un joint, en fait. Elle n’eut pas le temps d’avertir Lorelei, elle se sentait partir dans un sacré trip, les pieds qui décollaient du sol et l’esprit à des années lumières de là…Avant de retomber subitement sur terre lorsqu’elle entendit une voix masculine crier quelque chose…Enfin, cette voix semblait plutôt grave, comme déformée. Elle leva les yeux dans la direction du bruit et aperçut un homme en haut d’un immeuble. La jeune mutante ne saisissait pas tout ce qu’il disait mais qu’importe, sa voix lui plaisait tout de même. Elle avait quelque chose d’attirant…Et cet homme aussi était…attirant…

Devant la pauvreté du vocabulaire qui lui venait à l’esprit, Louise secoua la tête. Que lui arrivait-il ? Plongée dans le doute pendant quelques instants, elle tenta de comprendre ce qui se passait. Ce n’était pas très normal. Elle n’était pas du genre à s’accrocher au premier venu, quand même. Elle farfouilla encore dans son esprit, s’accrochant à quelques brides de lucidité mais y renonça bien vite. Son cerveau n’était plus en état de fonctionner. Doucement, elle oublia les questions qui lui traversaient l’esprit et se replongea dans la contemplation de cet homme. L’envie de le rejoindre et de se jeter dans ses bras l’assaillit. Elle en avait envie…Non, plutôt elle en mourrait d’envie.

Mais elle ne pouvait pas…Elle devait d’abord l’écouter puisqu’il…Comment s’appelait-il, au juste ? Bah, ce n’était pas important. L’homme aurait pu s’appeler Arnold ou Patrick, elle l’aurait suivi au bout du monde à cet instant précis. Comment ? Ah, atteindre le bout du monde allait se révéler plus facile que prévu puisque il s’agissait tout simplement d’arriver au bout de la rue. Si elle se pliait à ses exigences, peut-être pourrait-elle l’approcher de plus près ensuite ?

Elle se retourna vers Lorelei et lui lança d’un ton bref :

« Allons-y. »

Tant pis si le ton n’était pas amical…Pour l’instant, ce détail était au dessus de ses préoccupations. Et sans attendre la réaction de sa compagne, elle se mit en route, s’activant pour ne pas arriver en retard. C’était tout juste si elle ne courrait pas. Quelques secondes après, elle parvenait à son but. Autour d’elle, les gens paraissaient d’activer étrangement mais elle n’y prêtait plus attention. Elle était sur un petit nuage, indifférente à ce qui se passait autour d’elle, son esprit simplement et exclusivement rivé sur cet inconnu…


Dernière édition par Ampère le Jeu 8 Oct 2009 - 1:10, édité 1 fois
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Lorelei Schönherz
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeDim 20 Sep 2009 - 13:54

C'était un après-midi, non pas comme tous les autres car il était de ceux qui étaient totalement différent de mon train-train habituel, comme ce fut le cas lors de notre fameux accrochage avec des élèves de l'institut Xavier. Oui fameux, car pas un seul journal dans toute la ville, et très certainement même en dehors de New-York, n'avait fermé les yeux sur notre attaque ainsi que la réponse à celle-ci. Et dans un cadre strictement privé, celle qui m'avait valu tout le bras dans le plâtre. Une fois remise sur pieds ou en tous cas bien habituée à porter ce fardeau emplâtré, et bien que la douleur ne manquait pas de revenir à l'assaut lorsque je faisais des mouvements trop brefs ou trop intensifs du bras, je me promenais avec une de mes collègues, avec qui les débuts furent difficiles, non pas que l'entente fut mauvaise, mais je veux dire par là que j'avais eu quelque mal à engager une discussion plus… amicale et assurément plus libre.
Or ce jour-là, une certaine sympathie ayant gagné l'une et l'autre, nous nous adonnions à des activités dites de femmes, à savoir déambuler dans les rayons pour tenter de trouver quelque chose à acheter, une coutume dont je n'étais pas spécialement fan mais qui pouvait parfois se révéler intéressante et pratique, même s'il ne s'agit pas nécessairement d'acheter quoi que ce soit, au moins il est possible de faire des rencontres souvent inattendues et qui peuvent se révéler fort utiles. Cependant ce même jour, tout n'allait pas forcément aller comme nous aurions voulu que cela se passe, et je crois bien, avec une conviction presque certaine, que se produisit une étape importante de ma vie, pas obligatoirement par les évènements vécus mais plutôt par tout ce qu'ils auront entraîné, même si à vrai dire cela ne datait pas intégralement de ce jour.

Perdues entre un instant d'oisiveté et des interrogations sur la manière d'égayer de plus belle notre journée sympathiquement commencée, nous nous sentîmes toutes deux à un moment précis comme parcourues d'étranges sensations. Ce détail chez elle je l'avais remarqué car elle secoua la tête soudainement. Et pour ma part, je ressentis un léger mal à la tête, mais ce simple détail était parfaitement anodin car ce n'était pas la première fois que je le vivais. Ce qui à l'inverse trahissait cette anomalie et que je puis me souvenir encore, c'était d'avoir été subitement été la proie d'un manque profond. Je réalisai qu'il me manquait quelque chose d'essentiel pour que je me sente bien. Une certaine compagnie, mais ce n'était pas celle d'Ampère dont j'avais besoin. Ce qu'il me fallait c'était une présence constante mais surtout masculine, comme si toute la réalité de ma vie ne tournait qu'autour d'un homme dont je connaissais l'existence mais dont je ne pouvais mettre un visage dessus.
Or ce manque devenait douleur, puis souffrance et tourment, et je devais au plus vite mettre à un terme à tout cela sinon quoi ma tête et les idées qui la parcouraient allaient devenir les seules sources d'un calvaire au mal que même la morphine ne saurait calmer. Toutefois, tout s'estompa presque rapidement lorsqu'une voix survint dans le ciel. Certes le son de cette voix avait été clairement modifiée, car elle ne semblait pas véridique, et pourtant, elle exerçait sur moi une attraction inévitable. Je ressentais le besoin d'aller à son encontre, de trouver qui en était l'auteur, et par-dessus tout, de lui prouver que j'affectionnais très fortement la personne qui se trouvait derrière.
Je lançai un bref regard à Ampère, qui fut certes contraint par l'ordre indirect qu'elle m'avait donné mais auquel je ne m'opposais nullement, je voulais sans doute au moins autant qu'elle retrouver l'homme qui avait prononcé ces mots. Elle prit de l'avance, elle marchait sacrément vite, sans aucun doute parce qu'elle avait des jambes plus longues que les miennes. Par chance cet homme ne se trouvait qu'au quartier à côté et non à plusieurs minutes de marches car j'aurais eu les chevilles enflammées à cause de la vitesse à laquelle je devais marcher pour suivre le rythme d'Ampère. Et enfin nous le vîmes malgré son casque, et intérieurement je souhaitais qu'il me voit moi parmi la masse, qu'il me choisisse moi pour être celle qui allait l'accompagner tout au long de sa vie. Mais si j'adhérais à ses mots, j'en étais affreusement blessée. Cela ne devait durer que quatre heures alors que je voulais l'éternité…
Toutefois, conformément à sa demande, j'allais me positionner en compagnie d'Ampère à l'endroit exact où cet homme le souhaitait, n'ayant absolument pas la volonté de lui désobéir, tout mon être lui appartenant entièrement jusqu'à la fin des temps, même s'il avait l'audace de dire que cela n'allait durer véritablement que quatre heures…
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Enigma
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeLun 21 Sep 2009 - 15:53

La tête dans les nuages, Enigma allait quitter les quartiers résidentiels pour se rendre à l'institut. Il y avait maintenant quelques jours qu'elle n'avait pas croisé son amie et colocataire, Electra, et elle espérait bien qu'elle serait présente dans leur chambre afin de pouvoir bavarder un moment toutes les deux. Elle avait vécu tellement de choses ces derniers temps qu'elles n'avaient pu évoquer ensemble. Les deux amies avaient pour habitudes de parler de leurs problèmes respectifs, mais aussi de leurs joies, de tout partager en fait depuis leur rencontre. Elles aimaient beaucoup sortir et faire la fête ensemble, et, il fallait bien le dire, se faisaient assez rapidement remarquer....
Cette fois-ci, Enigma avait besoin de se confier à sa fidèle amie, elle qui connaissait tout des problèmes liés à sa liaison, si l'on pouvait dire, avec Mimic, et qui avait connu, presque aussi peu qu'Enigma, Zolf Tarantino.... Si elle voulait garder son amour secret, elle savait qu'elle pouvait tout de même se confier au moins à Angel, d'autant que la situation était vraiment difficile à vivre pour une fille telle qu'Enigma, qui se voulait pleine de principes et qui ne pouvait s'y tenir quand il s'agissait de Célar !

Elle voulait rentrer assez rapidement afin de ne pas rater Electra et marchait d'un pas assez rapide, tout à ses pensées que l'on pouvait qualifier de "romantiques", quand, sans vraiment s'en rendre compte au début, elle ralentit le pas, petit à petit, jusqu'à être quasiment immobile sur le trottoir... une étrange sensation avait pris possession de son corps, comme un léger malaise, un trouble infime qu'elle ne pouvait expliquer et qui la perturbait toutefois assez pour ne pas reprendre la route qui la menait à l'institut... Ses pensées, jusque là toutes dirigées vers son nouvel amour, semblaient court-circuitées, dirigées vers une autre personne, quelqu'un qui lui était inconnu certes mais pas un étranger. C'était juste qu'elle n'arrivait pas à mettre un nom sur cette personne, ni même un visage... En fait, elle n'arrivait pas à se défaire de cet appel qui résonnait au fond d'elle, il fallait qu'elle se rende à un endroit précis, un endroit que lui dictait son cerveau, même si son intuition lui dictait de ne pas s'y rendre... elle devait savoir, comprendre pourquoi, tout à coup, elle ressentait le besoin d'être auprès de cet homme. Le besoin ? Il lui semblait presque qu'il lui était impératif de se trouver auprès de lui, qu'elle ne pourrait faire autrement.....
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Lucifel
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeLun 21 Sep 2009 - 18:23

Je lui enfonçai mon poing dans la gueule pour une quatrième fois. Je voulais ma réponse et je la voulais vite. Rien à faire que c’était une fille. Elle savait quelque chose que j’avais besoin de savoir et elle allait cracher le morceau. Je n’avais pas l’intention de risquer la vie de Swindler en l’emmenant en ville conformément à mon idée de base sans être certains qu’on ne risquait pas d’être attaquer. Pourtant, tout ce que j’arrivais à en retirer c’était des pleurs et de piètres excuses de menteuse. Je savais reconnaître ce genre de fille et elle n’allait certainement pas avoir un professionnel dans mon genre avec une technique aussi minable. C’est alors que je remarquai une certaine différence tout d’un coup dans le comportement de ma victime. Elle semblait un peu perdue, elle perdait le contact avec la réalité. Elle avait déjà perdue du sang mais pas suffisamment pour qu’elle s’approche de l’inconscience. C’est alors que la voix résonna. Je fus presque paralysé d’étonnement une seconde mais j’étais doué dans mon genre et donc, quand je vis la jeune fille tant désirer rejoindre la voix, je sus que c’était tout à mon avantage. Je la retins et la plaqua fortement sur le mur. Elle laissa tomber un petit cri, pas de douleur mais de frustration de ne pas pouvoir se rendre jusqu’à l’homme.

- Tu me dis ou sont les Revenants et je te laisse aller le rejoindre ou tu ne me réponds pas. Auxquels cas, tu ne rejoindras jamais personne.

Je plaquai alors le canon de mon pistolet sous sa mâchoire. Elle regarda un instant la rue derrière moi qui semblait si loin de la ruelle ou nous nous trouvions. Elle me répondit alors simplement. Tous les Revenants étaient partis pour Washington D.C. quelques jours auparavant. Elle tenait tant à se rendre auprès de cet homme qu’elle venait de trahir les déplacements de son propre frère. J’avais donc deux informations pour le prix d’un. Elle me supplia alors de la laissé partir. Je pris à peine le temps de dire désoler avant d’appuyer sur la gâchette, explosant le crâne de cette pauvre folle. Mon ange ne fit presque pas de bruit grâce au silencieux que j’y avais fixé. Je laissé tomber le corps de cette terroriste sur le sol dans un son mou, presque liquide. Son corps réagis encore à quelque reprise avant de finalement s’éteindre une fois pour toute. Ma vision thermique me confirma que le corps commençait déjà à refroidir. Pour n’importe quel flic des environs ce ne serais qu’une autre prostituée exécutée par son mac qui n’avait pas été comblé par les profits qu’elle lui apportait. Cette idée était amplement suffisante pour moi. Je n’étais pas un sans cœur mais je ne respectais rien des terroristes et je ne pris donc même pas le temps de disposer correctement du corps avant de me diriger vers la voix masculine.

Évidemment, je ne ressentais aucun désir face à celui-ci mais le fait que cette femme, dont j’oubliais déjà le nom, en avait été éperdument amoureuse après quelques phrases, me donnait à questionner. Je me demandai si c’était l’œuvre d’un pouvoir comme celui de Shawn. En faites, c’était probablement la seul possibilité raisonnable mais alors ce mutant se servait de ses pouvoirs d’une façon très négative et il méritait que je lui mette une balle entre les yeux, ou sous la mâchoire jusque dans le crâne comme ce que je venais tout juste de faire. Je ne me cachai pas vraiment en me rendant jusque là, mais je rasais les murs et je gardais un profil bas. Je voyais des tas de femmes autour de moi ce diriger vers le lieu de rendez-vous avec des objets de valeurs ou même des tiroirs-caisses bien remplis. C’était une véritable vision apocalyptique. Comme si ces femmes croyaient que cet homme allait les tirer de l’enfer si elles agissaient comme cet homme le leurs demandaient. J’arrivai finalement à l’endroit. Je me tins du côté opposé de la rue, nonchalamment accoté au mur d’un magasin sans nom. Je jetai un œil à l’homme. Je fis un zoom pour le voir d’un peu plus près mais si je ‘approchais trop, je perdrais de la qualité d’image alors ce n’étais pas parfait mais la photo que je pris se stocka dans ma mémoire interne et fut analyser avec précision. Si je le recroisais par hasard dans la rue, je saurais qui c’était. Je le surnommai mentalement Super-Macro. Maintenant j’étais curieux de savoir si j’allais devoir l’abattre ou me foutre de lui.
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Maximillien Fray
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeLun 21 Sep 2009 - 22:27

Les filles se rassemblaient autour de l'immeuble. S'accumulant au pied du batiment dans une flaque de plus en plus grande, telle une marée inexorable qui montait encore et toujours à l'assaut de la côte. Quelle belle image pour évoquer cette attaque gazeuse sur les fondements du capitalisme et de la vie en société. Phobos entendait démanteler ce système bancale pour créer une utopie. Cet idéaliste était un fou mégalomaniaque dangeureux qui ne révait que de prendre le controle du monde pour le sauver contre son gré. Max bossait pour lui non par conviction, mais par intêret. Lui préférait profiter du système, et Phobos lui en donnait les moyens. Dans ce monde ou dans le prochain, il tirerait toujours son épingle du jeu. Dans celui ci en tout cas, il n'avait pas perdu son après midi. Les femmes apportaient tout l'argent qui leur tombait sous la main. Les vendeuses apportaient les tiroirs caisses de leurs boutiques et les guichetières de la banque apportaient le contenu de leur caisson. Bientôt elles auraient ouvert les coffres et les distributeurs et lui apporteraient des monceaux de billets.

Mesdames, j'ai besoin de vos mains travailleuses ! Il lanca de gros sacs en toile de jutes. Mettez les plus grosses devises la dedans. Les billets en priorité, et après les pierres précieuses et les lingots pour tasser. Je ne veux pas de pièce, sauf si elles sont des collections et de grandes valeurs !

Il contempla la foule. Des jeunes, des vieilles, des belles, des moches, des caucassienes, des africaines, des asiatiques ; toutes les strates de la populations féminine brassées et exposées ici. Elles avaient toutes répondu à son appel, n'était ce pas la un message d'espoir ? En fait non, juste un sujet d'amusement pour lui. Il chercha dans la foule pour trouver une éventuelle connaissance. Il fut surpris, et embarassé de trouver Enigma dans leur rang. Voila un sérieux problème qu'il convenait de ménager pour éviter les complications.

Les mutantes, restez en bas de l'immeuble, les humaines, dénichez les hommes et faites les sortir du paté de maison. Empêchez la police de venir ici.

Il repéra un cadavre frais avec son don, voila qui était inquiétant. Allez voir dans la ruelle la bas dit i lau dernier groupe d'humaine. Mutantes, protégez moi
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Ampère
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeMar 22 Sep 2009 - 22:08

Un grand nombre de femmes s’était rassemblé au coin de la rue. Toutes différentes mais avec un point commun : elles étaient toutes porteuses du gène X, sans exception. Mais cela, Louise n’en avait pas du tout conscience et pour être honnête, à cet instant précis, elle s’en fichait pas mal. Elle n’avait d’yeux que pour l’homme qui se tenait quelques mètres au dessus d’elle et même s’il ne lui accordait aucun regard, elle avait l’impression de n’appartenir qu’à lui. Qu'elle était sienne et qu’il ne regardait qu’elle. Parce qu’elle, elle lui appartenait corps et âme, alors cela ne pouvait être autrement.

La voix de cet homme lui parvenait de nouveau. Il parlait aux femmes, à d’autres femmes. Louise en était presque jalouse. Et pourtant elle ne comprenait pas ce qu’il disait, elle saisissait seulement quelques morceaux de phrases, trop peu pour savoir ce qu'il disait réellement. Elle, elle devait juste rester là à le défendre et ça tombait bien parce qu'à cet instant, elle aurait donné n’importe quoi à cet instant pour être à ses côtés. Il voulait de la protection et Louise était tout à fait capable de lui en apporter. De la protection et bien plus, s’il le lui avait demandé, d’ailleurs.

Lorelei était près d’elle. Elle aussi regardait cet homme. Son homme. Mais elle n’allait pas lui laisser le loisir de s’approcher de lui. Ca aurait été mal la connaitre...Quand elle voulait quelque chose, elle l'obtenait et les inconscients et inconscientes qui se dressaient sur son chemin...Eh bien, dommage pour eux...

Mue par une soudaine impulsion, elle agrippa l'allemande de toutes ses forces et la gifla avec violence.

« Arrête de regarder mon mec comme ça, espèce de p*** !!! »

Voilà, si avec ça elle comprenait pas, c’était qu’elle était vraiment limitée. Et sinon, elle se chargerait de lui faire entendre raison. Que cet homme était à elle et rien qu’à elle. Si elle aussi voulait un mec, elle n’avait qu’à aller s’en chercher un autre, c’était pas ce qui manquait sur terre quand même!

Sans attendre la réaction de sa collègue confrériste et ennemie temporaire, elle se retourna vers le reste du petit groupe de femmes restées pour la protection de l’inconnu. Ça commençait à chahuter pas mal et à s'insulter de tous les côtés là aussi. Ah, il ne fallait jamais sous-estimer le potentiel de jalousie des femmes...Ca pouvait être terrible...

Ivre de colère, Louise s’approcha de la mutante qui se trouvait près d’elle et l’attrapa par le col de sa veste.

« Toi aussi, qu’est-ce qu'tu crois! Tu dégages ou je m’occupe de toi ! »

Elle avait intérêt à dégager celle-là ou elle allait lui faire la peau. Avant de faire celle des autres...


Dernière édition par Ampère le Jeu 8 Oct 2009 - 1:08, édité 1 fois
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Lorelei Schönherz
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeVen 2 Oct 2009 - 12:08

Tout avait très vite dégénéré au bas de cet immeuble où se terrait ce mystérieux inconnu incroyablement attirant, dans tous les sens du terme. Oui, je crois que même cet homme avait même fini par transcender mes propres principes, ceux-là même auxquels j'avais le plus d'attachement et qui régissaient à peu près toute ma vie, de la recherche du pouvoir à la quête de soulager le monde du fléau qui le tyrannise depuis des millions d'années déjà. Ce grand nettoyage ne manquerait pas de tout apaiser, et empêcherait très certainement que ne se reproduisent les mêmes évènements que ceux qui faisaient actuellement rage ici-bas, dans ce regroupement de mutantes qui avaient entendu et écouté la voix de cet homme.
Seulement ma collègue et amie en avait décidé autrement, et si la surprise avait été le maître mot de la situation, très vite je fis une sorte de vide dans ma tête, afin que seules deux notions ne subsistent. D'une part l'homme à lui seul envahissait la moitié de mon esprit, si ce n'était plus. Mais j'agis de manière à ce que l'autre moitié, plus destructrice, plus meurtrière, occupe une égale proportion. De fait, l'une comme l'autre avaient en elles-mêmes un lien. Cette autre moitié était bien évidemment la vengeance. Ma collègue, devenue soudainement une ennemie, avait eu l'audace de lever la main sur moi et de me faire porter le nom des plus bas êtres du même niveau que ceux que je traquais ordinairement. Elle devait le payer, d'autant plus que la raison s'effaçait au profit des deux notions dominatrices. Car rejoindre cet homme, même s'il nous demandait de rester ici et de le défendre, chose véritablement difficile du fait de notre position, impliquait avant toute chose se débarrasser des éléments perturbateurs, et j'avais donc besoin de la vengeance déclenchée par la colère, et peu importait l'issue d'un point de vue strictement démographique, car si j'étais la dernière à rester en vie, cet homme n'aurait donc plus que moi.

Autour de moi, les autres mutantes commençaient à s'agiter, avec une intensité croissante certes mais surtout extrêmement rapide. Si cela avait commencé par des insultes de faible envergure, très vite tout le monde se balançait des noms profondément blessants, et pas des noms d'oiseaux. Puis on en vint aux menaces de mort, et si en temps normal cela s'arrêtait là, cette fois-ci non, et une rixe générale gagna la population féminine mutante. Et moi tout comme les autres, je devaient m'y impliquer, poussée d'une part par ce je ne sais quoi qui nous avait transporté tout à l'heure, mais surtout par ce désir de vengeance, de faire comprendre à cette effrontée qui était celle qui méritait le plus des deux de se retrouver auprès de cet homme ! Ce ne pouvait être que moi, et elle, ou plutôt elles, allaient vite le comprendre, à leur insu d'une part puis de force par la suite.
Ayant gardé mes yeux baissés suite à la gifle que m'avait donné cette pilote médiocre, je finis par relever la tête avec un regard assassin fermement fiché au visage. Je fermai les poings et les serrai si fort que je commençai à en avoir mal. Je me rapprochai d'Ampère qui s'était tournée vers une autre mutante que je n'avais alors pas encore reconnue, et lui tapota avec le poing sur l'épaule, et avant qu'elle ne put prononcer le moindre mot en se retournant je lui donnai un bon coup de poing dans la joue, et m'offrant par-là même quelques douleurs ultérieures car je n'avais aucune idée de comment placer le pouce sur la main afin d'éviter de se faire trop mal, et la rotation que j'avais dû employer dans un geste trop vif provoqua des tremblements dans mon bras emplâtré, ce qui m'arracha quelques souffrances involontaires.
Reprenant un minimum la raison, j'en conclus que le combat au corps à corps n'était pas spécialement mon approche favorite. Combien aurais-je pu donner pour pouvoir avoir tenir un arc en ce moment dans les mains et flécher toutes ces abruties… Adoptant un air profondément meurtrier comme j'avais pu avoir sur le pont quelques temps auparavant, je me résolus à toutes les éliminer une bonne fois pour toute et à cette fin, je fis s'évacuer mon propre monoxyde de carbone sur le champ d'action maximal, à savoir cinq mètres. Il n'était plus question de faire savoir qui avait le droit d'avoir cet homme pour elle seule, désormais c'était une bataille royale, et j'allais pour la remporter devoir gazer chacune d'entre elle, et toutes en même temps, à moins bien évidemment que quelqu'un m'en empêchât, mais j'étais fort loin de m'être glissé cette idée dans la tête, surtout à un tel moment…
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Enigma
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeVen 2 Oct 2009 - 14:19

Les mutantes devenaient toutes complètement folles, une véritable petite guerre venait de naître au bas de cet immeuble, elles se jetaient les unes sur les autres, s'insultaient, se battaient... toute dans un seul et unique but... rejoindre l'élu de leur coeur, celui qui comptait à présent plus que tout pour chacune d'entre elle....
Enigma avait du mal à reconnaître les jeunes filles qu'elle avait vu lors de son arrivée tellement elles semblaient ivres de colère ! En fait, elle se sentait loin de tout ce chahut, car elle savait que ce serait elle qui prendrait la première place, celle qui lui revenait de droit, auprès de cet homme qui chamboulait son esprit et son coeur.
Elle n'était pas la maîtresse du temps pour rien et n'avait pas besoin de se battre pour arriver à ses fins, il lui suffisait d'ulitser son pouvoir et le tour serait joué.

A cet instant, une mutante, qui se trouvait juste à côté, gifla violement sa collègue qui, par ailleurs, semblait être son amie, tout en l'insultant.. Décidément, elles avaient vraiment perdu la tête ! D'autant que juste après, elle se jeta sur Enigma, l'attrappa par le col de la veste et lui hurla

Citation :
« Toi aussi, qu’est-ce qu'tu crois! Tu dégages ou je m’occupe de toi ! »

A cet instant, elle eut un choc. La mutante qui venait de l'agresser n'était autre que celle avec qui elle s'était battue sur le pont, celle-là même qui avait fait basculer Carmine par-dessus le pont.

Sale tueuse, tu crois que je ne t'ai pas reconnue ? Tu ne vas pas t'en tirer à si bon compte, crois-moi....
Mais à peine ces mots prononcés, que l'autre mutante envoya son poing au visage de sa compagne en riposte à la gifle. Presque aussitôt elle regarda sa main avec une grimace de douleur évidente, recula et sembla se concentrer avant de laisser échapper un gaz toxique qui menaçait toutes les mutantes ici présentes....

Une seule chose vint alors à l'esprit d'Enigma, stopper cette attaque, et pour celà, elle se concentra et stoppa le temps. Puis elle se dit qu'il était temps pour elle de rejoindre la place qui était la sienne, c'est à dire aux côtés cet homme. Cela devenait vital pour elle de se trouver à ces côtés, de le voir, de le toucher... Elle aurait tout le temps de se venger de cette tueuse sans scrupule par la suite. Il lui appartenait à présent et personne ne pourrait plus l'arrêter...

Elle dût cependant laisser le temps s'écouler à nouveau, mais au ralentit, juste assez pour laisser les pensées de celui qu'elle voulait retrouver l'atteindre et la diriger dans sa direction.

C'est ainsi qu'elle se retrouva presque en haut de l'immeuble, si près de son but.. elle allait enfin se trouver avec lui, le voir, le toucher !!! Il occupait la plupart de ses pensées, pratiquement tout son esprit, mis à part une infime partie qui lui rappelait que l'unique amour de sa vie, celui qui lui avait volé son coeur à jamais c'était Célar...
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Lucifel
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeDim 4 Oct 2009 - 19:55

Pas bon, pas bon du tout. S’il se met à m’envoyer des hordes de femmes à la tronche je vais me ramasser avec tout un problème. J’entre donc dans le grand bloc appartement ou j’étais accoté sans trop me presser. Il y avait bien quelques femmes qui m’avaient vue mais ce n’était pas comme si je n’avais pas été repérer bien avant. Je commençai à monter les marches quand une femme m’attrapa, me hurlant que je devais quitter. Avec une légère torsion du bras, je touchai du bout des doigts la femme qui ressentit tout d’un coup un puissant choc lui traverser le corps. Elle s’effondra alors, incapable de contrôler sa chute. Elle renversa d’ailleurs deux autres femmes qui émirent un bruit de douleur et de frustration une fois au bas des marches. Moi je continuais à monter dans le bâtiment. Il ne s’y trouvait pas de femmes mais un certain nombre de mari humilié, ça oui. Certains mêmes étaient armés et hurlaient des bêtises.

Ils ne firent pas trop attention à moi, trop occupé à blasphémer contre ses femmes qui ne se dirigeaient visiblement pas. J’entendis un ou deux coup de feu et quelques bruits de batailles qui s’éteignirent derrières moi alors que je débouchais sur le toit. Je m’avançai vers le bord pour jeter un coup d’œil à ce qui se passait en bas. C’était une véritable scène de guerre qui était en action. Je souriais et relevai les yeux vers le pauvre minable qui était l’artisan de cette escroquerie. Je remarquai à côté de lui une machine étrange. Lui était dans un appartement mais comme mon bâtiment ne faisait que 3 étages, nous nous retrouvions à la même hauteur. Les chances qu’il ne m’ait pas remarqué étaient, ma foi, assez faibles. Je sortis donc sans attendre un de mes Anges. En plus du long canon, j’y posai une visière apte à augmenter de 10X ma vue. C’était plus que suffisamment pour ce que j’avais l’intention de faire.

Tiré sur l’homme? Pourquoi faire? Vous connaissez quelque chose de plus dangereux qu’une femme en colère vous? Alors imaginez maintenant des dizaines de mutantes très en colère. Je crois que l’image n’est pas trop difficile à comprendre. J’allais plutôt détruire le mécanisme qu’il avait avec lui. Comme ça, si cet objet était ce qui crée cet étrange contrôle, il allait forcément perdre contrôle de ses ouailles et je pourrais rentrer sans encombre à l’institut. Tout ce faisant je sifflotai la chanson, vous savez, cette chanson, dans Kill Bill. La vipère la chantait alors qu’elle allait abattre la pauvre mariée. Oui bon, c’était un coup raté mais j’aimais quand même la chanson et elle se prêtait à la situation. Je m’agenouillai donc devant le garde-fou du bâtiment pour tenter un tir.
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeMer 7 Oct 2009 - 16:17

Magnéto était dans son bureau en train de réfléchir à sa prochaine invention. La conception de son nouvel appareil se révélait beaucoup plus compliquée que Magnus avait prévu. Magnus était devant le tableau et une douce musique classique était diffusée dans le bureau. C’était cela qu’il faisait quand un de ses mutants entra sans frapper. Cela devait être suffisamment grave, car Magnus détestait qu’on entre sans frapper d’abord. Sans quitter du regard le tableau où étaient affichées les équations sur lequel travaillait Magnéto. Magnus contemplait le tableau. Sans faire arrêter la musique, Magnus dit d’une voix sèche et contenant un tantinet de colère.

‘’J’espère que c’est important. ’’

Magnus détestait quand on entrait dans son bureau sans s’annoncer. Peu de mutants avaient ce privilège et cela se comptait sur les doigts de la main. Malheureusement pour le mutant qui venait d’entrer, il n’en faisait pas partie de ce groupe de mutant. Magnus attendit que le mutant lui explique. La raison était valable. Magnus sans se détourner dit

‘’Je vois. La prochaine fois, à moins que cela ne soit aussi urgent que ça, cognez avant d’entrer. Maintenant, sortez. ’’

Magnus vit avec satisfaction le mutant partir rapidement. Par contre, les nouvelles que le mutant venait de lui annoncer n’étaient pas réjouissantes. Il aurait pu déléguer pour aller voir, mais il préférait nettement mieux d’aller voir par lui-même. Il utilisa son pouvoir pour faire venir son casque vers lui. Il avait besoin d’une pause. Comme le temps pressait, Magnus utilisa ses pouvoirs pour ouvrir un passage vers un autre lieu. Il ne voulait pas apparaître directement où il avait le grabuge. Il franchit le passage.

Il apparut dehors dans une ruelle sombre. Il savait qu’il n’était pas trop loin du lieu où se passaient des choses étranges. Magnus voulait une vue aérienne de la situation et c'est pourquoi il utilisa ses pouvoirs pour voler vers le quartier. En s’approchant du quartier, Magnus utilisa ses pouvoirs pour repousser la lumière de lui. Il devient ainsi invisible. Il ne voulait pas qu’on puisse le voir. C’est invisible que Magnéto arriva sur au lieu où le mutant disait qu’il se passait quelque chose d’inhabituel. La première chose que remarquait Magnéto était l’attroupement monstre de femmes. Si Magnus ne savait pas ce qu’il se passait quelque chose d’anormal, il aurait dit qu’un chanteur ou acteur était en ville.

La deuxième chose que remarqua Magnus était un étrange personnage sur le toit d’un immeuble. Il regarda cet homme qui semblait contrôler la meute. Il l’observait à une distance de quarante mètres. Magnus était plus haut d’environ trois mètres, mais comme il était invisible, il pouvait tout voir sans être vu.De plus, Magneto avait son bouclier qui l'entourait d'un rayon de 5 mètres. Il observa l’étrange homme masqué qui donnait les ordres par micro. Magnus sourit et se concentra pour percevoir le champ magnétique du micro. Utiliser un micro était une erreur pour donner des ordres. Il avait un avantage sur l’homme, mais il ne voulait pas l’utiliser pour le moment.

Quand il perçut le grabuge vers le bas et l’apparition d’une élève de l’institut. Magnus n’eut pas de scrupule à utiliser le micro pour mettre des bâtons dans les roues du mystérieux homme. Il utilisa le micro pour reproduire la voix de l’homme masqué.

’’Mutantes, attaquez-moi.’’

Magnus savait que l’homme n’avait jamais dit le mot attaqué. Il avait tout simplement déduit que les mutantes désireuses de plaire ne réfléchiraient pas et attaquerait l’homme masqué pour lui plaire. C’était la faiblesse de vouloir satisfaire à tout prix une personne. On n’utilise guère son cerveau sauf pour trouver un moyen de lui plaire. Magnéto utilisa pour une dernière fois son pouvoir du magnétisme pour détruire le micro. Il voulait maintenant voir comment l’homme masqué ferait pour se défendre. Le spectacle promettait.
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Maximillien Fray
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeVen 9 Oct 2009 - 14:40

Il n'attendait pas un grand intellect de ses victimes du jour, mais là on atteignait un niveau de crétinisme hors du commun ! Elles étaient toutes des descendantes de familles avec quatres générations de consanguinité de cousins de la campagne ou c'était juste les hormones qui les travaillaient ? Les voila qui se mettaient à se battre dans la rue pour son amour, ça se criait dessus, de tirer les vêtements et les cheveux, et les plus folles d'entre elles en venaient aux poings ou usaient de leurs pouvoirs ces idiotes ! Ca s'insultaient, et ça voulaient être la seule à aduler le maître. En attendant le maître n'en menait pas large. Ca se battait en bas, et quelqu'un d'invisible volait à bonne distance du sol. Son don lui indiquait la présence d'un être vivant en plein milieu du ciel, et il ne le voyait pas, alors c'était un petit malin. Il ne le connaissait pas, mais aucun doute, c'était un mutant. Il devrait régler son compte au plus vite car se devait être un homme. Les humaines continuer d'apporter de l'argent près de l'immeuble, mais évité la zone de combat.
Il se figea à cause d'un problème. Se figea dans les deux sens du termes. Enigma devait avoir figé le temps car les walkyries en bas ne bougeait plus, et elle allait très vite. Lui même devait être ralentis. Elle arriva derrière lui. Nul besoin de la voir pour lui. Son don lui permettait de la reconnaitre sans difficulté. Le temps reprit un cours normal. Il allait lui commander de redescendre, et ordonnerais aux femmes d'arrêter de se battre. C'était une réaction logique vu la circonstance, mais qui ne posait aucune difficulté à sa réalisation. Si ce n'était que le micro ne marchait plus, et que quelqu'un s'en servait contre lui. Il ne réalisa pas tout de suite se qui s'était passé.

’’Mutantes, attaquez-moi.’’

Quelqu’un s’était servit du micro pour reproduire sa voix et donner un ordre on ne peut plus néfaste pour sa personne. Autant de mutantes qui allait l’attaquer, ça risquait de quelque peu réduire son espérance de vie. Spontanément, il se serait bien servi du micro pour annuler cet ordre, mais celui lui explosa au masque. Plus de micro, et une légion de mutantes en colères, c’était pas bon du tout ! Une seule alternative, malgré toutes les répercussions qu’il y voyait. Il s’adressa à Enigma au travers de son synthétiseur vocale.

Ne m’attaque pas ! Je veux que tu arrêtes le temps sauf pour nous deux !

Et le monde se figea, un pigeon immobile restant en l’air, toutes les femmes paralysées dans leur ire extrême.

Suis moi !

Ils descendirent dans la rue, là où se trouvait toutes les mutantes qui étaient normalement sous son contrôle. Une fille à la fois, il ordonna à Lydia de relancer le temps pour elle, et aussitôt, Max lui ordonnait de ne pas l’attaquer et d’attendre un peu sans faire de mal à quiconque. Il leur interdit de se rebattre entre elles. Tout se passa à peu prés bien et rapidement. Quand toute les filles furent revenues sous sa tutelle, il leur expliqua que quelqu’un lui voulait du mal, à lui, l’être unique, et qu’elle devait le protéger. Il indiqua aux femmes où se trouvait vraisemblablement la cible, à savoir invisible dans les airs et leur précisa bien sa position. Il n’avait aucune certitude, mais un homme qui volait invisible juste devant lui, c’était assez comme éléments à charge, même si il n’excluait pas la présence d’un autre antagoniste.

Abattez le et protégez moi de toute les menaces !

il ordonna à Enigma, toujours sans la nommer, de relancer le temps. Le pauvre homme devrait affronter un bataillon de mutante pas contente.

Si il est trop puissant, tu serais capable de l’envoyer de quelques heures dans le futur pour qu’il ne nous embête pas ?

Il craignait un peu pour l'argent, alors il ordonna à quelques humaines de charger l'argent dans un vanne volé à côté et de rouler vers un lieu préétablie où ses acolytes récupèreraient la marchandise. Si la situation devenait tendu, se serait toujours ça de sauver. Il y avait des sacs de banques, des lingots, des bijoux. Se serait un enfer à écouler, mais avec son réseau, ça se ferait sans trop de mal.


Dernière édition par Maximillien Fray le Mar 13 Oct 2009 - 21:03, édité 1 fois
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Ampère
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeSam 10 Oct 2009 - 10:26

La jeune femme que Louise avait empoignée par la force ne semblait pas prête à se laisser faire…Elle se retourna d’un coup et resta soudain figée en l’apercevant. L’esprit encore occupé par l’homme à qui elle aurait donné sa vie sans compter, Ampère ne réagit pas immédiatement. Jusqu’à ce que son opposante se mette à crier…Elle l’avait reconnue et elle voulait également lui faire la peau. Alors même qu’elle proférait ses menaces, Louise l'identifia à son tour. Cette fille, c’était l’amie de la métisse, celle qu’elle avait envoyé faire le grand plongeon lors de l’attaque du pont.

Mais…Que faisait cette mutante dans le coin…Et surtout, qu’est-ce qu’elle faisait si près de son homme? Vraiment cette mutante marchait toujours sur ces plate-bandes...Pendant une fraction de secondes, des jolis mots de langage très fleuris lui traversèrent l’esprit mais elle n’eut pas le loisir de pouvoir les prononcer…Elle sentit soudain que quelqu'un l’appelait en lui tapotant l’épaule. Qui donc se permettait de s'adresser à elle de cette manière ? Elle fit volte face, excédée et résolument décidée à bien exprimer le fond de sa pensée à celle qui prétendait l’ennuyer dans un tel moment. Mais elle n’eut guère le temps de s’exprimer. Toutes les belles insultes et remarques désagréables qu’elle aurait pu dire s’évanouirent à l’instant même lorsqu’elle aperçut Lorelei qui se trouvait juste derrière…L’instant suivant, le poing fermé de l’allemande s’abattait lourdement sur son visage dans un terrible crochet, lui arrachant un cri et lui faisant voir les étoiles.

Encore ébranlée par le choc, elle porta aussitôt la main à sa joue. Le coup, visiblement porté par une personne peu expérimentée, n’en était pas moins douloureux. En face d’elle, Lorelei n'avait pas l'air d'en mener large non plus. Cette idiote n'avait pas réfléchi et l'avait attaqué, sans tenir compte de la fragilité de son autre bras, encore emplâtré à la suite de sa blessure récente. Et à voir la souffrance qui se marquait sur son visage, nul doute qu'elle avait dû certainement faire les frais de cette vulnérabilité passagère. Et c'était bien fait pour elle, d'ailleurs, ce n'était que pure justice après ce qu'elle venait de lui faire subir.

Elle n’avait plus trop le choix. Elle ne pouvait pas se défendre à la fois de sa collègue et de la maudite maitresse du temps. La seule solution qu’il lui restait était d’utiliser ses pouvoirs pour électrocuter les deux mutantes ou du moins les tenir en respect pour éviter d’autres attaques potentielles. Elle fixa sa collègue confrériste, et se prépara à lui en faire voir de toutes les couleurs. Au combat au corps à corps, elle n’était pas plus spécialiste que l’allemande mais elle avait plus de force. Et avec toute la colère qui remplissait ses veines et la douleur qui parcourait son visage, elle avait de l’énergie à revendre.

Les moments suivants se déroulèrent trop vite pour que l’esprit de Louise les enregistre correctement. Elle ne fut pas consciente de l’attaque mortelle que menait Lorelei contre sa personne et contre les reste de la gente féminine attroupée autour d’elle, pas plus que la distorsion du temps qui venait de se produire.

Mais soudain elle entendit une nouvelle fois la voix de cet homme, et ce fut à cet instant qu’elle réalisa combien il lui avait manqué…Pourtant, cela ne faisait pas si longtemps que ça. Elle écouta attentivement, pleinement concentrée sur celui qu’elle adulait, et l’entendit lui donner un ordre pour le moins curieux…Il voulait qu’il les attaque. Mais pour Louise, peu importait la logique des paroles de cet homme…Pour elle, elles étaient sacrées et elle se devait de les respecter. Mais le type était trop haut, elle ne pouvait l’atteindre. Peut-être qu’en lui envoyant une bonne décharge, elle parviendrait à le toucher de sa slave mortelle…Ou alors elle pouvait tout simplement rentrer dans l’immeuble. Elle courrait vite, elle aurait tôt fait d’atteindre sa cible et d’exécuter ses ordres.

Mais une nouvelle fois, quelque chose l’empêcha de mener à bien sa mission. Elle ne fut consciente de rien et elle n’aurait pas su dire ce qui s’était passé mais soudain elle aperçut l’homme tout près d’elle. Lui. Elle resta tétanisée quelques secondes, les yeux rivés sur cet individu dont elle ne voyait pas les traits mais qu’elle ne pouvait s’empêcher d’admirer malgré tout, subjuguée qu’elle était par sa présence et son charisme extraordinaires. Elle voulait lui dire qu’elle aimait, qu’elle n’attendait que lui. Elle se prépara à déclamer ce qu’elle pensait être une véritable déclaration en vers mais de l’extérieur, cela devait plutôt ressembler à :

« Glblrddgglrrdl… »

Son état catatonique de femme amoureuse et empotée passa heureusement très vite lorsque l’ordre lui revint aussitôt en mémoire…Il fallait qu’elle l’attaque ! Mais avant qu’elle ait pu esquisser le moindre geste dans sa direction, l’homme s’adressa à elle, lui enjoignant de se calmer et de le laisser tranquille. Stoppée net dans son élan, Louise obtempéra sans rechigner et attendit la suite...Elle était heureuse de l'avoir enfin près d'elle mais son cœur se teinta d'un soupçon de désolation lorsqu’il lui annonça qu’elle n’avait pas le droit de s’attaquer aux filles.

Autour d’elle les autres faisaient de même et bientôt tout le petit groupe était attentif…Les femmes buvaient les paroles de cet homme, il ne pouvait en être autrement. Il leur donna de nouvelles consignes. Louise obéit, peu lui importait qu’elles soient totalement contradictoires avec celles qu’elle avait entendus quelques instants plus tôt. Il fallait le défendre, quelqu’un en voulait à sa vie…Une personne qu’elle ne pouvait voir mais qui bientôt aller goûter toute sa puissance de feu et toute sa haine d’amante transie.

Sans perdre de temps et sans se poser de questions, elle braqua sa main sur une petite voiture garée au coin de la rue et appela le courant à elle. Aussitôt les arcs électriques crépitèrent dans sa main, disciplinés et dociles. Elle leva le bras vers le ciel et visant avec précision, ou du moins le plus possible, le point que lui avait indiqué son maitre elle envoya une puissante rafale dans le vide…
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Lorelei Schönherz
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeVen 16 Oct 2009 - 18:04

Je regrettais vraiment d'avoir frappé ainsi ma collègue, non pas parce que j'avais pu lui faire mal, bien au contraire j'en étais même ravie, mais parce que du coup je m'étais fait mal par la même occasion, en sentant crier les phalanges de mes doigts, mais surtout, mon bras lourd du fardeau de plâtre avait rencontré mes côtés suffisamment fortement pour causer quelque mal non désiré. Déjà qu'à l'origine avoir un quelconque membre dans le plâtre n'était pas nécessairement une joie dont on souhaiterait qu'elle nous accompagne à chaque instants de notre vie, mais si je persistais à faire ressurgir cette stupide douleur causée par une chute tout simplement mal réceptionnée, et violente qui plus est, au moyen d'efforts inutiles dans leur sens, même s'il peut être pratique dans ses conséquences, je n'allais faire que prolonger ma convalescence jusqu'à n'en jamais voir la fin. Je souhaitais bien évidemment retrouver cet homme qui avait fait son chemin en mon âme et mon cœur, mais je souhaitais aussi garder mon bras en état, et pour l'instant ce n'était pas le cas alors je devais le préserver et le soigner.
Cependant elle ne me rendit pas ce coup, alors que je tentais d'asphyxier tout un chacun ici présent. Trop occupée par cette autre mutante à côté de nous qui s'exclama la reconnaître, pour ma part je ne voyais absolument pas de qui il s'agissait, mais vu l'animosité qui l'éveillait, je fis un rapprochement entre les évènements du pont qui lui avaient valu toutes ses blessures et la haine évidente actuelle. Cependant, je fus étonnée par la suite car ni l'une ni l'autre n'engagea réellement de combat, et bien au contraire il ne se passa rien. Si ce n'est la disparition mystérieuse de cette autre mutante, dans une situation totalement inexpliquée. Ce qui était certain en revanche, c'est qu'à un certain moment il nous fut ordonné par cet homme irrésistible de l'attaquer, chose certes des plus intrigantes mais soit, si c'était ce qu'il désirait, il n'y avait pas de charte à ma connaissance qui interdisait le masochisme. Cependant, sa position en haut de l'immeuble ne le permettait guère, si bien que je dus rester en bas, déconcertée, attristée et comme profondément et intérieurement blessée de ne pas pouvoir subvenir aux volontés de cet homme…
Puis la suite me coupa le souffle, sans que je puisse comprendre de quoi il en retournait, cet homme se trouvait tout proche de nous, à côté… à côté… à côté de cette mutante qui croyait pouvoir me piquer cet homme ! Je voulais lui sauter dessus, l'étriper, lui arracher les yeux, la gazer, la déchiqueter mais au même moment je réalisai ne serait-ce que pour un bref moment que nous n'étions plus que trois à être encore en mouvement, et que les autres mutantes ne se trouvaient jamais à la même place.
*Was ist los ?* [Que se passe-t-il ?] Puis avant que je ne puisse effectivement mettre en application ce que j'avais l'intention de causer à cette mutante désopilante, cet homme mystérieux me dit qu'il était soumis à une menace et que je devais par conséquent le protéger, ce qui coulait de source, s'il était en danger je devais donner ma vie avant que la sienne ne soit ôtée. Il demanda par ailleurs à ce que nous arrêtions de nous entretuer, et j'arrêtai immédiatement la diffusion de ce gaz hautement mortel, donc les autres mutantes avaient déjà fait quelque peu les frais.

Cependant, il désigna un point dans le ciel, localisant visiblement la source du danger, mais il n'y avait rien, absolument rien. Et puis même, en concevant que je puisse voir la cible, comment pouvais-je l'atteindre ? Question purement rhétorique naturellement puisqu'il n'y avait là pas la moindre solution possible. Je ne pus donc que me résoudre à essayer de le défendre, et à cette fin me placer tout juste devant lui, mais si l'auteur de la menace était en l'air, je ne pouvais décemment pas faire grand chose, si ce n'est me jeter sur cet homme pour lui faire éviter le moindre assaut, mais aurais-je au moins la force de le faire se déplacer par le poids de mon corps ? C'était difficilement envisageable, d'autant plus que son armure semblait incroyablement résistante, et lourde.
Toutefois, ce fut ma collègue, envers qui la rivalité semblait s'être éteinte pour le moment, qui s'y employa la première, lorsque des arcs électriques firent rage dans ses mains… impressionnant tout de même. Je n'avais pas eu l'occasion de la voir réellement à l'œuvre auparavant, mais je dois bien dire qu'elle était stupéfiante. Je n'aurais pas réellement voulu sentir cette énergie traverser mon corps, ne serait-ce que pour en connaître l'exacte intensité. Puis elle visa le ciel, dans la direction que l'homme avait déterminée, et tout ce qui avait rejoint ses mains partirent en chœur vers les cieux dans un bruit presque harmonique, mais je doutais sincèrement que les mots que pourraient prononcer la personne qui allait se prendre tout cela furent harmonieux, eux. Quoi qu'on puisse en dire, Ampère était vraiment une personne polyvalente, pouvant se battre tant de loin que de près, alors que moi, encore une fois, je ne servais à rien…
La colère commençait encore à ressurgir, et je serrais les dents tellement cela me plongeait dans des colères destructrices, principalement contre moi en fait. Je ne pouvais pas supporter d'être ainsi insignifiante, de n'être capable de rien faire seule, de devoir contempler la puissance des autres et mon impuissance infiniment grande. C'était la deuxième fois que l'on me demandait de m'impliquer dans un combat, et la deuxième fois que je ne pouvais que gêner les autres, j'en avais assez. Supplantant la colère, le désespoir s'empara de moi, et je souhaitais ardemment que la mort vienne me chercher là dans l'immédiat, qu'elle vint de n'importe qui, surtout de la menace environnante. Peut-être qu'une fois morte, mon cadavre allait servir de moyen de protection à l'homme que je souhaitais protéger de tout ce que je pouvais… Quoi qu'il en soit, la seule chose que je puisse faire à cette fin était de provoquer directement la source du danger, et peut-être celle de ma libération, et à cette fin, parmi les différents rayons qui pouvaient des mutantes qui en avaient le pouvoir, je lançai en simulant un esprit combatif :


« Es-tu trop lâche pour te montrer !? Descends et viens me tuer si tu crois en être capable ! Ou bien tu es trop faible et tu ne sais que te cacher !? Allez ! Approche je t'attends ! »
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Enigma
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeDim 18 Oct 2009 - 20:49

Enfin elle arrivait près de lui, elle allait enfin être à ses côtés... elle aurait dû être au comble de la joie de pouvoir le voir, le toucher, le sentir. Tout en elle lui indiquait qu'elle avait besoin d'être à ses côtés, de le voir, le toucher... Mais en même temps, son coeur lui indiquait tout autre chose... que c'était frustrant de se sentir aussi perdue dans tout ce méli-mélo de sentiments, de sensations !!
Mais l'attirance vers cet inconnu était trop forte, il fallait qu'elle sache. Elle se trouvait si près de lui maintenant !

Citation :
Mutantes, attaquez-moi !

Il venait d'émettre un ordre bien surprenant qui la fit stopper son avancée un court instant. Mais après tout, si telle était sa volonté, elle se devait de lui obéir.

Citation :
Ne m’attaque pas ! Je veux que tu arrêtes le temps sauf pour nous deux !

Encore une fois, elle stoppa son avancée. Décidément, tout celà lui paraissait bien étrange, mais elle aurait fait n'importe quoi pour lui, et stoppa donc le temps pour tous et pour tout. Ils étaient maintenant tous les deux seuls dans cet espace temps et elle allait enfin pour l'approcher, et même si elle ne pouvait le voir réellement, car il portait un masque.

Ils descendirent tous les deux pour rejoindre les autres filles. Elle aurait tant aimé rester seule avec lui, quel besoin avait-il d'aller chercher toutes ces poules ? Elle pouvait lui apporter tout ce dont il aurait besoin ! Mais si tel était son désir, alors elle le suivrait, c'est tout ce qu'elle voulait, qu'il ait tout ce qu'il désire et qu'elle puisse rester auprès de lui... Mais alors, quel était cette étrange sensation qu'elle n'était pas vraiment à sa place ?

Il lui demanda de relancer le temps pour chacune des filles, une par une. Chacune à son tour, elle eurent pour ordre de ne pas l'attaquer et de cesser de se battre entre elles. Puis il leur demanda de le protéger d'un mutant qui lui voulait du mal et leur donna quelques précisions sur l'endroit où il se trouvait....
Puis , suivant ses ordres, Enigma laissa le temps reprendre ses droits sur tout...................

Citation :
Si il est trop puissant, tu serais capable de l’envoyer de quelques heures dans le futur pour qu’il ne nous embête pas ?

Bien sûrs, à condition de pouvoir le toucher, mais en stoppant le temps avant, celà ne devrait pas me poser de problème...
Elle avait le privilège de pouvoir rester à ses côtés et comptait bien en profiter, un ami à elle lui avait récement dit qu'elle devait utiliser ses pouvoirs sans se poser autant de questions, alors si c'était pour aider celui qu'elle aimait......
Encore une fois, elle avait cette étrange sensation de ne pas se trouver à sa place réellement. Il fallait qu'elle en ait la certitude. Elle devait le toucher, le voir... elle avait besoin de savoir ce qui lui arrivait !!!

Mais avant celà, j'ai besoin de savoir à qui je viens en aide....
Célar.. Jonathan... ces noms résonnaient dans sa tête et dans son coeur, et elle ne savait plus ce qu'elle devait penser, comment réagir.... Elle ferma les yeux un instant et le visage de celui qu'elle aimait lui apparut... peut être qu'il s'agissait de lui sous ce masque ? Non, elle sentait bien que non, mais alors pourquoi était-elle si attiré vers cet homme ?
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Shawn Spencer
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeLun 19 Oct 2009 - 3:10

HJ : J’ai cru bon de m’incruster avant Lucifel. N’ayez crainte ! J’ai sa permission !

*Ouf ! Je crois que j’arrive au bon moment !*


Ces pensées me traversèrent l’esprit lorsque la moto que j’avais empruntée à l’institut Charles Xavier s’arrêta quelques coins de rues non loin de cette meute de femmes folles dingues. Les X-mens m’avaient envoyés sur place, m’annonçant que j’étais le seul à pouvoir régler ce petit problème. En effet, j’étais le seul ! Quelqu’un s’amusait à utiliser ce pouvoir de charme d’une très mauvaise méthode. Il n’avait pas la bonne technique. Ce n’était qu’un petit débutant parmi tant d’autres. Ayant fait l’expérience dès l’acquisition de ce don, je m’amusais souvent à rendre folles amoureuses certaines filles. Après plusieurs mauvaises expériences, mes manières avaient heureusement changés et mes principes étaient désormais saints…. Enfin presque !

Ma mission était simple : arrêter ce carnage en combattant le feu par le feu, l’homme contre la machine, Coke contre Pepsi ! Plaçant le pied de fer contre terre afin que mon véhicule ne tombe pas, je décidai de faire le reste de la route à pied. Mais allais-je nécessairement me lancer inconsciemment dans cette foule de femmes égayées par l’amour fictif ? Non ! Premièrement, mes sous-vêtements étaient propres. Il était trop risqué de les souiller au tout début de la mission. Je décidai donc de passer par la porte arrière de l’immeuble se trouvant en face de l’endroit ou se trouvait jadis le mystérieux homme et sa machine.

Selon mon expérience, mes dons allaient faire un plus grand ravage si j’allais me positionner en hauteur. Je montai donc les escaliers un à un, motivé à mettre un terme à cette canaille. Un sac à dos m’accompagnait. Quelque chose d’extrêmement utile m’avait été offert par l’un des X-men afin d’offrir un meilleur impact à mon approche qui approchait à grands pas.

Finalement, mon pied atteignit la dernière marche de l’immeuble. J’étais si essoufflé que quelques toxines s’étaient échappés de moi accompagnant ma propre transpiration. J’espérais seulement ne pas avoir charmé la femme concierge de 75 ans que j’avais croisé en route. Devant moi se trouvait le lieu idéal : un balcon qui offrait une vue admirable sur la scène. Je me dirigeai vers cet endroit, laissant tomber mon sac à coté de moi. Je pris quelques bouffés d’air frais avant de me lancer. Parler à un grand public n’était pas l’une de mes forces. Cela me stressait amplement.

*Bon, Shawn ! C’est à ton tour de mettre tes règles. Tu vas faire comme l’on t’a dit lors du briefing.*

Je m’apprêtai à laisser aller des tonnes de toxines charmeuses pures quant j’aperçus une silhouette familière de l’autre coté de la rue. Celui-ci semblait couchée, attendant le bon moment pour attaquer.

*Mais attends… ce visage… c’est…*

Je me penchai vers mon sac afin d’y sortir mes jumelles. Je jetai un œil pour finalement constater qu’il s’agissait bel et bien de ce charmant technopathe, Lucifel. Oh que le monde était petit ! Mais pourquoi restait-il planté comme ca dans son coin ? Surveillait-il quelque chose en particulier ? Je tentai de suivre son regard si semblait fixé vers une étrange machine. Cette machine, étais-ce la cause de toute cette mascarade ?

Étant un collègue et peut être même un frère pour Lucie, j’essayai un contact radio avec lui. Sachant qu’il avait tant de trucs électroniques en lui, j’étais confiant qu’il allait recevoir le message par une antenne quelquonque. Je m’emparai de mon émetteur récepteur et lui envoya son message :


- Salut Lucie ! Devine c’est qui ! Eh oui ! C’est ton petit Shawninouninet en chair et en os ! Les X-men m’ont envoyés pour faire le ménage ! Mais pour réussir, j’ai besoin de tes talents, oh grand tireur d’élite. Pourrais-tu tirer sur l’engin qui crée ce gaz qui ne me revient que de droit ? Je vais m’occuper du reste ! Shawnator, terminé !

Je remis mon émetteur dans mon sac et m’approchai encore plus du bord du balcon afin que les vents favorisent l’évaporation de mes toxines. Je levai les bras en l’air afin de me concentrer et d’ouvrir à pleine puissance mes pores de peau. La version de mon gaz se mit à se mêler à celle qui avait été créé artificiellement. Je n’étais pas un grand scientifique en la matière mais j’espérais que la pureté brut de mon gaz puisse englober l’effet de celui qui me rivalisait.

Je restai planté de cette facon pendant quelques minutes, voulant être certain que toutes ces filles qui se chamaillaient allaient avoir la chance d’inhaler cette eau de Cologne nommée « Shawn Spencer #5 ». Une personne qui ne connaissait pas le contexte aurait pu croire que j’imitais la dame dans le film « Le Titanic » mais bon…

Je baissai la tête afin de regarder si les résultats étaient concluants. Malheureusement pour moi, j’étais trop haut pour remarquer en détail l’expression sur le visage des gens. Étaient-ils toujours dingues ? Voulaient-ils toujours s’arracher la tête ? Je n’avais qu’une chose à faire pour m’en assurer : celle de parler au peuple de l’autre sexe ! Je refouillai dans mon sac afin d’y sortir un porte-voix. J’ouvris l’engin et me mit à parler au peuple fou à lier. Je levai la main en l’air afin d’attirer l’attention.

- Euh… bonjour mesdames les superbes beautés ! Arrêtez-moi ces choses ridicules ! C’est pas gentil et vous le savez ! Vous devriez savoir que ca fait mal au petit cœur de celui qui vous aime tant : moi ! Vous vous souvenez de moi ? C’est moi qui occupe vos meilleurs rêves et qui vous rend si heureuse. Eh oui ! Alors, par pitié et parce que ce n’est pas séduisant ce que vous faites, arrêtez de vous chamailler ! C’est digne des personnes qui me font de la peine !

Mon discours était digne d’une émission pour enfants. Cependant, mon mandat était de calmer les troupes. Par contre, je possédais toujours cette envie de vengeance à celui qui avait osé utiliser un pouvoir identique au mien :

- Oh mesdames ! Je voulais seulement ajouter… si vous voulez faire quelque chose de vraiment séduisant, je vais vous raconter ce qui me fait le plus craquer chez une fille. C’est lorsqu’une fille se met à tabasser un mec qui a l’air louche. C’est toujours aussi joli de voir ca et c’est si féminin ! Donc, je lance cet appel à tous ! Faites ce que je vous dis et en échange, vous aurez droit à un petit bisou de la part de votre fidèle amour qui hante vos cœurs de grandes déesses.

Je fermai le porte-voix, ne rigolant que sur le tas de bêtises que je venais de dire et en m’imaginant la tête du type qui allait devoir subir toutes ces femmes qui allaient le prendre pour un sac de sable. Ah que la vie pouvait nous offrir de petits plaisirs ! Je repris la radio afin de relancer un appel à mon collègue :

- Alors ? J’étais comment ? Tu n’as pas pleuré j’espère ?
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Lucifel
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeMer 21 Oct 2009 - 14:49

Je me calé aussi confortablement que possible contre le sol et je visai aussi précisément que j'en étais capable cette petite machine qui m'intriguait vraiment. J'aimerais bien en avoir une copie en bonne état. Dommage que je doive faire exploser celle là. C'est alors que j'entendis l'appel, comment dire, suspect, de cet homme. Pourquoi demanderait-il à des mutantes de l'attaqué. Je remontai ma cible vers lui. Dommage qu'il porte un masque, mais il avais quand même l'air de ne pas trop comprendre ce qui lui arrivait dans ses gestes. C'est alors que le micro explosa. Je n'avais pourtant pas tir. Dessus. Sauf que je dois quand même admettre que ça aurait été une bonne idée. Bon, peut-importe pour l'instant. De toute façon il... il n'est plus là?

Comment il avait fait ce coup lui. Oh je paris que c'est son pouvoir de devenir invisible. Non qu'es-ce que je dis là, mes lunettes sont faites pour que ce genre de tour de passe-passe n'aie pas d'effet sur ma rétine. Alors il c'était vraiment déplacer, un téléporteur? Très probable aussi alors je vais faire comme si c'était la bonne réponse. De toute façon, je n'aime pas l'idée de laissé cette machine en fonction. 3 tirs devraient être suffisant. Au moment ou je me prépare à tirer, mon bras émet un petit son puis une voix familière résonna. Ce devait être une erreur, je vous en pris bon Dieu dites moi que c'est une erreur. Eh bah non, Spencer se trouvait là, à quelques mètre de moi, je ne savais pas trop ou. J'ai confiance que Shawn peut-être une excellente personne mais là je doute que ce que nous faisions était tout à fait dans ses cordes. La preuve, il me demandait de tirer sur la machine, il croit que je me prépare à faire quoi là? Je remis mon attention sur la machine.

Au moment ou je tiré mes trois balles, d'immenses éclairs électrique se formèrent dans le ciel. Je sentis que mes yeux s'enflammaient et tout autour de moi vira au blanc. Au moins, mes balles étaient parties et je savais qu'elles devaient avoir atteint leur cible. Seulement là je n'avais pas teinté mes lunettes et ne rien voir n'était pas à mon avantage alors que j'étais étendu sur le sol d'un toit, relativement à découvert. Alors que je me remettais à voir, j'entendis Shawn, à mon grand désappointement, vous l'aurez deviné. Je dois admettre que je trouvais cette déclaration plutôt pathétique. D'un autre côté, je me doutais bien que c'était les bon mots pour les filles. Je n'étais pas du genre à faire de grandes déclarations, ou plutôt de grande déclarations amoureuses, mais j'imagine que ce qu'avais dit Shawn était plutôt charmant.

- Désolé « Shawnator », mais je ne pleure pas pour ce genre de chose. J'espère juste que ça va fonctionner parce que sinon on es cuit. Après tout, je paris que tu n'as pas pensé à te mettre à couvert. Je ne sais pas si tu te rend compte que si ça ne fonctionne pas tu vas recevoir les attaques de dizaines de mutantes mais c'est un petit peu ça. Pour ce que j'en dis, tu devrais peut-être te mettre à l'abris dans quelque chose comme, tout de suite! Je sais ou tu es alors je te couvre. Tu n'aurais pas mis l'armure par un heureux hasard? Oh et au juste, tu lui a trouvé un nom finalement?

Quoi? Que voulez-vous dire « ce n'était pas vraiment le moment de demander ça »? Le contact vocal est l'un des meilleurs moyens de s'assurer que l'autre n'est pas blessé ou en mauvaise posture. Après tout, tu le remarque forcément si ton compatriote hurle de peur parce qu'il se fait tirer dessus au beau milieu d'une phrase. Bon, et maintenant je fais comment pour traverser cette rue sans que je ne devienne une cible potentielle très intéressante moi?
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Ampère
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeSam 6 Mar 2010 - 13:02

le gaz comme un coup de marteau   (libre) Modean10

Le maitre du métal n’est pas parti...

    le gaz comme un coup de marteau   (libre) Magnet10

    Magnéto...

    Est-ce vraiment nécessaire de le présenter...




    Encore dans le ciel, Magnéto n’eut aucun mal à éviter l’éclair qui arrivait sur lui...Surtout qu’avec le manque de cible précise à viser, la mutante empotée qui lui avait tiré dessus était loin d’avoir lancé avec précision. Le tir passa donc plusieurs mètres à côté d’où se trouvait le maitre du métal pour finalement s'estomper dans le ciel. Magnéto soupira et oublia aussitôt les mutantes excitées qui se comportaient comme des poules de basse cour face au coq de la ferme, prêtes à tout pour obtenir ses faveurs et son exclusivité. Et il se concentra sur la menace principale...L’homme et sa machine. A travers son pouvoir il pouvait en sentir les mécanismes. Ce n'était pas bien dur pour lui...

    Il aurait pu tout simplement la briser, et la mettre en pièces d’une simple poussée mentale, mais il préférait savoir à qui il avait affaire. Il posa alors toute son attention sur ses deux cibles, l’individu et son « arme » et les téléporta avec lui. Plus loin, très loin....Loin de la Grande Pomme et de ses gratte-ciel gris. Direction une petite île perdue et déserte en plein Pacifique...

    Le reste se passait à l’abri des yeux indiscrets. A l’ombre des palmiers et des cocotiers, le face à face commençait...

    *****
    Mode Rp

    Pendant ce temps, dans le quartier résidentiel de New York, l’objet de désir collectif s’était certes envolé mais les effets du gaz n’avaient pas encore disparu...A présent, c’était plus une véritable cohue autres chose...Une bataille d’ongles manucurés et de sacs à main...Un peu plus et on se serait cru le jour des soldes d’ouvertures de janvier dans une grande galerie. Les mutantes et les humaines n’en pouvaient plus...Leur homme venait de se volatiliser sous leurs yeux...

    Maintenant l’incompréhension laissait place à la frustration et à une grande colère... Et la jeune Ampère n’était pas en reste. On lui avait volé son homme, celui qu’elle admirait plus que tout et dont elle était follement amoureuse, l’objet de ses fantasmes et de ses rêves les plus fous et les plus improbables...Bref, son amant n’était plus !! Disparu devant ses yeux, sans qu’elle ne puisse rien faire, sans qu’elle ait eu le temps de lui crier son amour. C’était désespérant, déchirant...Et elle ressentait à présent un grand vide en elle, la douleur du manque et de l'amour perdu. Mais elle refusait de se laisser aller....Tout cela était forcément la faute de quelqu’un...

    Et elle savait qui en était responsable...Oui, parfaitement. La maitresse du temps. C’était elle, cette sale garce. Dans l’esprit de Louise, il n’y avait aucun doute: elle qui l’avait combattu sur le pont avait voulu lui enlever la victoire et comme elle n’avait pas pu, elle se vengeait à présent sur celui qu’elle aimait.

    Sans plus réfléchir, elle se lança à la recherche de la demoiselle en fendant la foule de femmes en colère, à coup de coudes et de gifles....
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Lorelei Schönherz
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MessageSujet: Re: le gaz comme un coup de marteau (libre)   le gaz comme un coup de marteau   (libre) Icon_minitimeSam 20 Mar 2010 - 12:12

Tout était devenu relativement calme parmi nous, si ce n'était que des volées de foudre, de flammes ou bien d'autres projectiles certains plus indescriptibles que les autres fusaient vers le point invisible dans le ciel. Visiblement je n'étais pas la seule à ne pas savoir où il fallait frapper précisément, croyait-il vraiment que son bras nous aurait permis de déterminer avec exactitude la position de la cible ? Enfin, cela ne changeait strictement rien pour moi de toute manière, j'étais totalement impuissante et ne pouvais pas agir dans le bien de cet homme qui avait dérobé mon cœur d'une manière dont j'ai du mal à me souvenir quand cela s'est produit exactement. Donc à défaut de pouvoir lancer la moindre offensive, et puisque la source du danger ne semblait pas vouloir venir se battre contre moi, je me postai tout près de celui que j'aimais, totalement anéantie entre ma volonté et mon désir. Autant ma volonté me dictait de demeurer tout près de lui et de rester à l'affût du moindre mouvement dans le ciel, autant mon cœur me pressait de me retourner pour sauter dans les bras de cet homme, de lui arracher son masque et ses vêtements ainsi que les miens pour que nos peaux respectives soient en contact l'une de l'autre, et enfin je pourrai jouir de cet amour inconsidéré pour ce mystérieux inconnu.
Seulement je le sentais, les choses n'iraient pas en ma faveur, car je n'étais pas la seule tombée amoureuse de ce prince, et il y avait cette autre brune encore plus près de lui que je ne l'étais moi… et si elle était sa préférée ? NON ! Jamais ! Cela ne pouvait être ! Nulle autre femme ne saurait se trouver au même niveau que moi et ne saurait vouer à ce sauveur des pauvres femmes désenchantées plus d'amour que mon seul petit cœur lui donnait. Mais il ne le voyait pas, ne le pouvait pas ou ne le voulait tout simplement pas ! Monstre ! Comme je l'aimais et détestais son attitude en même temps ! Et ces grognasses humaines qui ne bougeaient pas et restaient bêtement là à le regarder, elles ne servaient à rien celles-là ! Pourquoi il ne leur disait pas de dégager !? Ainsi malgré ses injonctions je commençais à développer une légère colère nouvelle contre ces mécréantes qui ne faisaient rien pour mériter l'attention de la cible de mon amour. Et si cela s'était poursuivi, je les aurais sans doute toutes étripées une par une jusqu'à ce qu'il finisse enfin par voir que j'étais celle qui méritait le plus son exclusivité.

Puis brutalement je tombais à genoux. Mais cependant j'étais encore consciente naturellement, je n'avais pas reçu le moindre choc à la tête, bien au contraire, ma tête allait bien, enfin ainsi le paraissait-elle… Car intérieurement j'étais presque entièrement désemparée. Mais pourquoi donc ? Tout simplement parce qu'alors que j'étais certaine d'être la femme qui était l'élue du cœur de cet homme, une sorte d'ablation s'empara de la moitié de mon propre cœur d'un point de vue presque physique, et qui fut très vite remplacée par une autre image masculine encore imprécise, et je sentais une césure nette s'immiscer en plein milieu de moi, séparant à la fois le cœur et l'esprit en deux, chaque partie destinée à deux hommes. Je relevais la tête et regardai vers les sommets des bâtiments, lorsque je le vis enfin, indistinctement car il était loin de moi, mais j'aperçus sa silhouette surplombant la rue. Et le même cycle recommençait, à la différence que je ne savais pas quoi faire, rester auprès de celui à côté de moi ou bien tenter de rejoindre ce nouvel arrivant que j'aimais déjà ? Je n'étais plus capable de rien, et je ne faisais par conséquent rien, incapable d'émettre la moindre pensée cohérente ni le moindre mouvement.
Et ses paroles me brisèrent, j'étais responsable de son propre mal, il souffrait par ma faute, et mon effroi grandissante menaça de m'achever puisque j'interdisais en temps normal de briser le cœur de la personne que l'on aime et j'agissais exactement comme ce que détestais. Et d'ordinaire j'aurais moi-même donné une correction dévastatrice contre le responsable de ce mal, et ce au moyen d'un gaz ravageur, mais là je ne pouvais me frapper moi-même de ce gaz, il ne fonctionne pas sur moi… Que devais-je faire ? Me flageller ? Non ce n'était pas la bonne solution, cela me « satisferait » moi mais ça ne lui plairait pas à lui, alors que faire ? Je méritais punition pour mon affront ! Mais les paroles de la rédemption suivirent, bien qu'elle nécessitèrent un lourd choix. Ce qu'il demandait était fondamentalement simple, il fallait mettre à tabac cet homme qui s'était présenté le premier. Blasphème ! Comment pouvait-on en arriver là ? Je ne pouvais pas me retourner contre celui qui s'était accaparé la moitié de mon amour, c'était impossible, à moins qu'il ne me l'ait lui-même demandé, mais ce n'était pas le cas.

Puis soudain encore un grand vide soudainement, quelque chose clocha, mes sens m'en alertèrent. Il y avait quelque chose d'anormal qui s'était passé. Je tournais la tête pour regarder derrière moi, et l'un des deux que j'aimais avait disparu, et d'après les regards hébétés de celle qui avait été sa favorite, il avait mystérieusement disparu. Anéantie. Comment avait-il osé s'enfuir et me laisser seule ! Je me sentais ravagée par la haine de plus en plus, et cela commençait à générer de part et d'autres encore une fois. Visiblement la gente féminine, autant mutante qu'humaine, avait pour la plupart des préférences pour l'un ou pour l'autre, et elles commençaient à se rentrer dedans comme de vulgaires fanatiques. Puis je pris un coup arrivant du côté qui me fit chavirer. Par chance il était venu du bon côté et ce n'était pas mon bras déjà en piteux état qui avait pris le choc. Je restai quelques secondes sur le coude, risquant presque de me faire piétiner par la cohue, avant de me relever.
Je n'allais pas me laisser ainsi frapper, puisque ce misérable était parti et qu'il ne restait vraisemblablement plus qu'un seul, pour lequel mon amour commençait à gagner du terrain sur l'autre, il fallait donc faire raisonner les autres, même si les moyens employés n'étaient pas les plus louables mais soit, le monde se devait de subir des fléaux supplantant le mal pour espérer un jour le purifier. Après m'être relevé je me retournai vers celle qui avait été sensiblement la préférée de l'ancien conquérant de mon amour, et en m'approchant d'elle je lui pressai mon coude encore valide contre la gorge pour la plaquer contre un mur, la flamme dans l'œil et prête à appuyer encore plus fort si jamais elle se montrait déraisonnable. Puis je lui dis :
« Dis-moi toi, tu es de quel côté ? L'homme masqué ou le véritable amoureux des femmes qui git en haut de l'autre bâtiment ? Sache que de ta réponse se joue ta vie, alors tu as intérêt à faire le bon choix. »
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