La vie des grands fauves [Nocturne + Libre]

Et voici, mesdames zes messieurs le show tant attendu ! Il est 23 heures, et sous vos yeux ébahis le fauve du grand nord de l'institut viens de s'éveiller ! ... Euh, bon, pour être exact, il est plutôt dix heures du soir, mais bon, ça n'a pas d'importance. L'éveil d'un grand fauve est toujours plus spectaculaire quand le soleil darde ses rayons rouges sans sur la savane arboricole. Même si théoriquement, une savane arboricole, ça n'existait pas, mais bon, on ne va pas se priver du plaisir de faire des métaphores qui ne veulent rien dire, non plus. En attendant, le fauve se devait de se préoccuper d'un certain nombre de choses de la plus grande importance à son réveil. Déjà, il fallait voir si Tirelipinpon-sur-le-chihuahua allait bien. En règle général, ça allait plutôt vite, l'écureuil apprivoisé de Kurkaru appréciant généralement peut d'être enfermé avec le farfadet. Bon, deuxième chose sur la liste des priorités d'un grand fauve une fois qu'il a vérifier la présence de sa famille, c'était d'aller s'occuper de la nourriture. Bon, alors, es ce qu'il y avait de la nourriture dans sa tanière ? Kurkaru regarda avec attention un peu partout, envoyant valser les oreillers, les couvertures et les trucs qu'on trouvait autour de la nourriture... Euh... les cymbales age. Bon, il fallait se rendre à l'évidence, il n'y avait plus rien à manger. Il n'avait même pas trouvé d'insectes juteux, a peine une petite larve. Par conséquent, il allait devoir se lancer dans une expédition périlleuse vers le territoire de chasse mystique connu sous le de de Fri Go ! Code bleu déclenché !

Kurkaru se précipita comme un fou vers l'accès à son comble, repoussa la trappe qui permettait l'accès, et sauta du toit, tout en rigolant comme un perdu, à grand coup de Yohohohoho, qui ne manqueraient pas de réveiller les couches tôt. Puis il se retourna en l'air, et s'agrippa à la gouttière, se laissant glissé à tout vitesse de vers le sol. Il sauta à un tiers de la hauteur de bâtiment, s'agrippant à une grosse branche basse, qui le ramena tout doucement au sol. Il avait fait la première partie du trajet. Restait maintenant à se diriger vers la cuisine sans se faire repéré par Six Clopes aux yeux rouges ou par Vé gaga le vioque. Kurkaru franchi une fenêtre resté ouverte. La meilleur méthode, c'était de s'accrocher au plat fond, afin d'éviter d'être repéré. Il se mit donc en devoir d'escalader les meubles, puis le mur. Il s'accrocha ensuite aux poutres apparentes du plafond, et se mit à avancer. Une personne attentive remarquerait les traces de gelée verdâtre qui goutait du plafond, mais Kurkaru lui était bien trop occupé par sa progression. Il s'immobilisa quand il entendit du bruit... Quelqu'un était en train de venir dans sa direction.

Dans sa position, il avait beaucoup de mal à voir de qui il pouvait bien s'agir. Surement de quelqu'un qui allait le gronder s'il était la, nom d'un baba, fut il au rhum. Donc, le mieux, c'était de resté caché. Oui, mais resté accroché comme ça au plafond sans bougé c'est fatiguant. Ses muscles sont en positions semi contracté, et ont donc tendance à se crisper, et a fatiguer très vite... Et tel la pomme de Newton, Kurkaru finit par tomber. Par chance, il y avait quelque chose en dessous de lui.... Euh, pour être exact, une personne. Kurkaru n'avait pas vraiment le temps de faire une dissertation sur son apparence, vu qu'il était en train de tomber, la tête la première. Il se rattrapa donc au premier truc qui passait... Les vêtements. Un grand crac et quelques ecchymoses plus tard Kurkaru avait a nouveau touché terre... Bon, pas vraiment dans une position très conventionnelle, étant donne que ses genoux étaient en contact direct avec ses oreilles. Dans cette position de haute intelligence, avec ses lunettes de soleil type lunettes de piscine, et son short qui n'avait jamais du voir d'eau savonneuse depuis l'apparition de la vie sur terre, tenant dans ses mains un lambeau de vêtement, Kurkaru s'offrait dans toute sa splendeur à son interlocuteur....

"Kikou ! C'était marrant, ein ? YOHOHOHOHOHOHOHO"

L'intelligence de Kurkaru n'avait d'égal que l'inverse de son inconscience. Quoi ? Pas de maths ? Bon, alors une métaphore ! Euh... L'intelligence de Kurkaru est tel la feuille du chêne dans une mer déchainée de passion dans ... Enfin bon, Kurkaru est complètement inconscient, et pas vraiment futé. Par contre il est très curieux... Et il n'a pas l'impression d'avoir déjà vu la personne qui se tient devant lui. Encore que...

On avait beau être constitué d'une des pierres les plus précieuse au monde, pouvoir soulever plusieurs tonnes et être pratiquement indesctructible, il y avait des choses auquels il fallait se plier, des preceptes regie par des forces universel qui imposaient leur loies a l'humanité et a la galaxie tout entiére. Et l'un de ces preceptes était que lorsque l'on boit une dizaine de biéres blondes et un tonneau complet de Budweiser en moins de cinq minutes, il n'y a rien d'étonnant que l'on est une monstrueuse envie de pisser quelque heures plus tard.

Scott se leva en faisant le moins de bruit possible pour ne pas reveiller les autres éléves qui crechaient dans son dortoir, enfila rapidement un t-shirt (de taille XXXXXXXXL) avec marquait dessus : Il a bon gout l'agneau français. Et se dépécha d'aller au toilette. Il pénétra dans la salle d'aisance et laissa libre cours a sa vessie. Qu'elle bonheur d'uriner quand on en a envie. C'est comme si soudain on prenait une drogue merveilleuse qui vous otez toute fatigue et tout stress.

Se sentant aussi leger qu'un colibri ayant avaler de l'helium, le colosse de rubis pris le chemin de sa chambre et de son lit douillet, dont il n'avait plus l'intention de sortir avant que les canons de Navaronne lui tonnes juste a côtés des tympans. Il était tard, et les couloir était presque desert, mais ici ou la on continué d'entendre une télé, une discussion suivit de gloussement, dix heures et demis c'était vraiment trop tôt pour un couvre feu.

Il n'était plus trés loin de sa chambre, quand le bruit caractéristique d'un pied rentrant en contact avec une matiére molle se fut entendre et donc SPROTCH. En générale cela n'augurait rien de bon, mais tout de même un des éléves n'allait pas c'être soulager dans les couloirs, et aucun chien n'avait été vu dans les parages. Le colosse baissa les yeux sur son appendice panarifére (si sa existe) et constata que sa plante de pied était recouvert d'une subsitance verte et gluante, comme du Slime dans Gosthbusters. L'institut serait-il hanté ?.

C'est alors qu'un truc lui arriva sur la figure, occultant complétement sa vue, c'était horrible puant et gélatineux. Scott se débattit un moment en jurant, puis le truc glissa arrachant son t-shirt. Scott fit un pas en arriére, pour remettre le pieds sur le machin gluant qui le fit deraper en arriére et s'affaler comme un bouse. En se relevant et se massant le crâne il entendit une voie stridente et aigrelette qui manifestait une certaine joie a la situation actuelle.

Mais c'est quoi ce machin ?

Il avait devant lui un espéce de lezard, vaguement humanoïde qui puait comme mille anes et atiffé comme l'as de pique qui aurait pioché ses vêtement sans regarder dans une poubelle. Le "truc" semblait prendre plaisir a la situation. Scott se releva et se pencha en avant pour voir la tête du "chose".

Ho sa te prends souvent de tomber sur la tête des brave et honnête mutant ?! Duchose.

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