X-men, le jeu de Rôle
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 Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)

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Katherine Pryde
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MessageSujet: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeDim 9 Jan 2011 - 22:24

Bon, elle ne savait pas vraiment ce que le grand chef, Scott Summers, avait derrière la tête, mais il avait bien formé une équipe X-Men pour pourchasser un criminel nommé Sauron, un peu connu dans les différents dossiers criminels de l'Institut Xavier, mais aussi des dossiers du gouvernement américain. Mutant parti depuis la destruction du Cube vers un grand pôle, c'était encore très étrange. Pourquoi cet étrange mutant, est parti en Antarctique? Pourquoi une personne qui n'est pas apte à vivre très longtemps dans un climat aussi froid? Il avait encore beaucoup de questions à demander, mais comme dirait un grand philosophe, l'heure n'est jamais aux questions, mais bien à l'action de réagir. De toute façon, les X-Men vont bien lui poser des questions après l'avoir capturer comme des véritables pros.

Bon, arrivant en Antarctique, on était capable de découvrir d'autres choses qu'une population assemblée dans un gigantesque dépotoir à déchet pour les travailleurs, ils avaient un fort avantage de venir en Antarctique. Vous savez ce qui est merveilleux dans ce continent glacial? C'est simplement le manque d'humanité, pour retrouver une touche beaucoup plus naturaliste qu'humaniste. Pour Pryde, voir quelques choses de merveilleux se résume à deux choses totalement différentes, un humanisme bien pratiqué pour voir un coté innocent de l'être humain à place de toujours voir une certaine aliénation. L'humain était bien capable de faire des choses mauvaises, mais elle avait quand même une bonne capacité de retrouver quelques choses derrière l'argent et le désir de pouvoir.

Ensuite, la nature était quelques chose de très innocent, derrière le vide et derrière les magnifiques couleurs, on retrouve ce qui rapproche le plus des êtres humains. Il faut simplement lire du Spinoza, du Thoreau ou du Muir pour mieux comprendre la beauté de la nature. L'antarctique était d'un blanc magnifique, où que le pied de l'Homme ne semblait pas du tout avoir atteint. C'était d'un naturel émouvant pour une personne avec un peu d'inspiration artistique. Toutefois, connaissant le caractère carré de Scott Summers, il va réfléchir de façon militaire et vouloir conduire une motoneige pour aller voir le dernier signalement du petit Sauron.

      Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Sauron10
    NOM: SAURON
    POUVOIRS: Sous sa forme de Karl Lycos, Sauron peut absorber l'énergie vitale de certaines personnes par simple contact. Si cette énergie est suffisante, il prend l'apparence de Sauron, une sorte de ptérodactyle semi humain. Il devient alors aussi capable de voler, et de générer des illusions mentale chez les personnes qui croisent son regard.
    REMARQUES: Sauron est un mutant schizophrène : une partie de lui est mauvaise et n'inspire qu'au mal ( il s'est d'ailleurs nommé d'après le méchant du seigneur des anneaux), alors que l'autre est celle d'un gentil docteur. Cependant ces deux parties doivent se nourrir d'énergie vitale pour survivre ( les mutants en sont une plus grande source)/


Peut-être qu'on peut expliqué sa raison de venir en Antarctique à cause de sa schizophrénie, bien que les X-Men doivent absolument l'arrêter, il faut lui donner une aide psychologique. Mais, elle doit réfléchir pour tout apporter dans les motoneiges. Elle avait décidé de mettre un trousse de soins, quelques objets d'escalades et ainsi que plusieurs autres objets pour aider l'équipe. Derrière son gros manteau noir, avec son petit chapeau de la même couleur, elle portait le costume jaune et noir traditionnel des X-Men.

-Je vous propose de mettre des instruments d'escalades pour quatre personnes, je vais mettre une trousse de premiers soins, mais j'aimerais aussi en avoir une autre dans l'un de vos motoneiges. Faites très attention aux motoneiges, ils ont été donné par le gouvernement américain, alors je ne pense pas qu'ils sont bons marchés. On dirait qu'ils sont assez vieux et on pourrait noyer le moteur, donc être obliger de laisser les motoneiges sur place avec un bout de l'équipement.

Selon les renseignements que j'ai sur les feuilles, Karl Lycos est placé au milieu de l'Antarctique, alors cela va prendre environ deux à trois heures se rendre au milieu de l'Antarctique. Grâce au signal du Black Bird, on n'a pas besoin de mettre des bâtons pour nous retrouver. On a de la nourriture pour une semaine et demie. Alors, je le répète pour les plus énervés, ne noyez pas vos motoneiges, sinon on risque beaucoup perdre de temps et d'instruments.


Bon, elle fait le briefing, mais elle avait quand même certaines connaissances en motoneige.

-Sur ce, est-ce que tu veux ajouté quelques choses Scott?

Au moins, elle avait quand même une bonne équipe: Scott Summers (Même si celui-ci est parfois trop barbant), Havok (Le frère de Scott, un peu moins barbant et beaucoup plus sympathique) et finalement l'un de ses meilleurs amis: Kurt Wagner.
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MessageSujet: Re: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeMer 12 Jan 2011 - 0:46

Bien emmitouflé dans sa combinaison protectrice, caché sous un épais anorak et les yeux protégés par l’habituelle visière qu’il arborait en mission, Scott Summers scrutait l’horizon. Il se tenait debout, droit comme un i, les bras croisés et le visage fermé, contemplant simplement l’immensité qui s’offrait à ses yeux. Face à lui, des kilomètres de désert immaculé, des hectares sans fin d’une poudreuse pure et fine, vierge de toute intervention humaine. Ici, l’homme ne posait pas souvent le pied et la nature conservait encore ses droits, libre encore de la folie des guerres et des civilisations. Ceux qui venaient ne tardaient pas à repartir, personne n’était vraiment apte à survivre au climat peu indulgent et aux terres stériles, et les X-Men, comme les autres, n’étaient que de passage. Cyclope, en voyant toute cette nature sauvage, n’aurait voulu qu’une seule chose. Prendre les motoneiges avec son frangin et partir à l’aventure à deux, enchainer les kilomètres avec pour seules sensations la vitesse et la liberté, deux de ses plus fidèles amantes. A cette idée, les yeux du mutant, cachés derrière leur visière écarlate, pétillèrent l’espace d’un instant, teintés d’un soupçon d’amusement et un bref sourire apparut sur son visage. La petite Kitty, très portée sur la préservation de la nature et de la vie, aurait sans doute crié au scandale et l'aurait crucifié sur place s’il n’avait que serait-ce simplement suggéré l’idée. Les motoneiges polluaient, les sports extrêmes étaient sans doute à proscrire des habitudes humaines…Allez savoir encore combien de raisons elle pouvait leur trouver...

Un bruit derrière lui le ramena à la réalité, on l'attendait pour discuter de la suite des évènements. Derrière lui, ses coéquipiers se rassemblaient pour le briefing à l’abri de la carlingue du Blackbird. Ils étaient quatre, en comptant le leader des X-Men, une équipe plutôt menue mais qui serait suffisante. Quatre contre une chasse à l'homme qui avait débutée sur le sol américain. Du Cube, leur ennemi du jour, le dénommé Sauron, avait pris son envol vers des terres retranchées et plutôt inattendues. Les X-Men avaient perdu leur trace mais finalement, une nouvelle information avait surgi...De nouvelles coordonnées à explorer, une hypothèse à vérifier...les X-Men n'avaient pas perdu de temps et avaient filé à l'autre bout de la planète pour continuer la chasse.

Quelques minutes plus tôt, le quatuor avait sorti leurs motoneiges de la soute et préparé leurs équipements. Tranquillement, Scott les rejoignit et garda le silence lorsque Kitty expliqua les préparatifs comme une grande. C’était amusant de la voir prendre les devants, elle, si frêle enfant, face aux trois hommes qui se trouvaient en sa compagnie. Elle avait supervisé les préparatifs, tâche qui normalement revenait à Scott mais elle semblait y prendre plaisir, alors il l'avait laissée faire.

Lorsqu'elle acheva son discours en lui posant une question, il lutta un bref instant contre un sourire mais ne montra rien. Le visage rigide, il hocha simplement la tête en signe d'approbation.

    « Non Kitty, je n’ai rien à rajouter. Sauf que nous partons. Gardez bien vos radios à portée de main et prévenez en cas de pépin. Les points de repère sont pas légions dans le coin, alors on va tenter de rester tous ensemble. »

Il fit signe à Havok de verrouiller le Blackbird et quand l'appareil fut complètement sécurisé et camouflé, il enfourcha sa motoneige et démarra. Très vite en tête, il guidait les autres au milieu de l'immensité. Pas trop vite non plus, il ne s'agissait pas de noyer les moteurs hein...Mais Kitty n'avait pas à s'en faire pour si peu, les frères Summers étaient calés en mécaniques et en conduite, il ne risquait pas d'y avoir d'ennuis de ce côté là.

Presque trois heures plus tard, ils atteignaient leur but, sans avoir rencontré la moindre embûche sur leur chemin. Tranquillement, Scott se mit à ralentir pour indiquer aux autres d'en faire de même. Déjà, quelque chose semblait clocher...Ils étaient arrivés, il en était sûr, mais ici, il ne semblait rien y avoir à chercher et encore moins à trouver.

Les sourcils froncés, Scott stoppa sa moto et descendit...




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Kurt Wagner
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MessageSujet: Re: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeJeu 13 Jan 2011 - 21:15

Kurt avait accepté à la dernière minute de rejoindre cette mission. Il se sentait de plus en plus démoralisé à l'institut et il craignait d'être un poid pour le groupe. Mais une séance dans la salle des dangers plus tard, il avait retrouvé le gout de l'adrénaline qu'on ressentait lorsqu'on partait en mission. L'intensité d'être toujours en éveil, près à réagir à n'importe quel moment, eut-il fallut commettre le sacrilège d'interrompre une blague. (c'est français ça ?) Il était donc là, dans le Blackbird, habillé de son costume de x-men et de trois couches de vêtements supplémentaires, s'apprêtant à aller gambader en antarctique. Il avait écouté l'énoncé de Kitty avec un sourire que sa cagoule et ses lunettes de ski dissimulaient. Elle avait même pensé au fait qu'avec des gants, il aurait besoin de matériel pour escalader une éventuelle paroi. L'idée de faire de la motoneige n'était pas vraiment faite pour réjouir le diablotin, ses dons lui avaient permit de se passer le plus souvent de véhicule, et il n'était qu'un conducteur passable, et un pilote moyen.

Pourtant, lorsque le devoir appelle, il faut savoir faire des sacrifices, et si Kurt ne savait pas grand chose des événements survenus dans le cube, il se devait, de par sa nature profonde, d'aider à en réparer les conséquences. Plus particulièrement lorsqu'il s'agissait de remettre un mutant dangereux et fou là où il ne blesserait plus personne. Celui-ci, ce fameux Sauron, nom qui ne présageait que du mauvais à en croire Tolkien, avait gagné le droit à quelques baffes supplémentaires pour avoir choisit de fuir vers l'endroit le plus froid de la planète. Sous l'ordre de Scott, Kurt vérifia sa radio et l'alluma. Il restait silencieux, plus qu'a l'accoutumé, mais cela était surtout dut à son accoutrement du jour. /Ainsi Ils quittèrent l'appareil et enfourchèrent leurs moto des neiges. Bien que l'endroit, ou plutôt le point dans l'absence d'endroit, désigné par le dernier rapport sur sa position, ne soit pas loin, le trajet semblait interminable. Et si ce n'était le Blackbird qui n'avait cessé de s'éloigner avant de disparaitre, tout ce blanc donnait l'impression de ne pas avancer. Lorsqu'ils atteignirent la zone, près de trois heures après leur départ, le désert de glace était désertique, tout comme le ciel trop bleu qui le dominait. Puis les radios se mirent à sonner, plusieurs bip très courts. C'était là l'un des nombreux signaux codés de l'ordinateur de bord du Blackbird, dont la radio était en permanence branchée sur la fréquence qu'utilisaient les x-men en mission.

-MhmmHmm MhhMmmhh..

Kurt s'arrêta de parler pour libérer, d'une main, sa bouche de l'épaisse couche qui la recouvrait.

-Désolé...Si je me souviens bien, celui-là veut dire qu'on a de nouvelles données sur la cible ça non ? On devrait y retourner.

Bien qu'il sache qu'il n'était pas le chef de cette équipe, du fait de la présence de Scott, Kurt avait prononcé sa dernière phrase plus comme une affirmation clair plutôt qu'une simple suggestion. Il savait que Cyclope était certainement d'accord, a moins qu'il fut dans un de ces jours où il recherchait l'action avant la réflexion.


Dernière édition par Kurt Wagner le Sam 15 Jan 2011 - 20:48, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeVen 14 Jan 2011 - 2:17

Une nouvelle mission s’offrait à Alexander, et elle n’était pas des moindres. Une virée en Antarctique se projetait à l’horizon, et cela avait le don d’enthousiasmer le valeureux Havok qui ne savait cacher sa joie de fouler la neige vierge de ce paysage. Bien sur il gardait en tête qu’il allait être en mission, mais pour lui les conditions dans lesquelles il allait évoluer étaient importantes : comme le voulait la phrase « esprit saint dans un corps saint », il pensait que l’environnement avait des répercussions sur l’avancée d’une mission et sur l’esprit des participants… C’était une pensée tout à fait hors sujet que lui seul pouvait se faire, à vrai dire il ne disait jamais ce genre de choses, pour éviter de passer pour un fou schizophrène. C’était alors le torse bombé, et moulé dans sa tenue de X-men qu’il avait allumé le Blackbird, chauffant les moteurs en le faisant gronder tels des lions affamés. Il n’était pas le chef d’équipe, mais apportait son aide à Scott son frère qui allait prendre les commandes de l’engin en manque d’action, et personne ne pouvait imaginer le plaisir que lui procurait cette nouvelle. Il allait enfin pouvoir piloter le Blackbird avec Cyclope, et cela n’était pas arrivé depuis des lustres. Scott avait alors fait son apparition à l’arrière de BLackbird, suivit de Diablo, puis de Kitty. Ils s’étaient tous trois munis de vestes et pulls pour pallier au froid qui allait les agressés une fois sur place. Havok quand à lui avait déjà posé ses affaires sur un siège, en arrivant quelques minutes plus tôt pour préparer le bolide. Scott s’installa sur son siège, et Havok mit en marche la fermeture de la passerelle. Il enclencha se ceinture de sécurité, et fit un annonce en poussant sa voix, d’un ton agréable et automatique :

« Attachez vos ceinture, et parés au décollage… »

Il lança un regard à Scott pour faire coïncider leurs opérations, puis le Blackbird prit son envol. Toutes ces vibrations, ces sensations de quitter le sol et de toucher le ciel : Havok ne pouvait pas demander plus, il était aux anges.

Après quelques heures de vol, le Blackbird avait atteint la zone prédéfinie dans les données du Gps. Une étendue blanche s’offrait à leurs yeux… douce et magique à la fois, la neige ne laissait présager aucun danger, et adoucissait l’esprit des X-men qui allaient souiller ce lieu innocent. Mais chaque X-men savait que le danger était partout et qu’il était maitre dans l’art de la furtivité. Une fois au sol, les X-men sortirent du Blackbird. Havok s’était occupé d’éteindre toutes les machines, puis avait rejoint les autres qui étaient déjà sortis, après avoir enfilé sa longue veste noire et épaisse, pour combattre le froid. Un air glacial et perçant agressait son visage, et ses cheveux dansaient sous un vent presque indétectable tant le froid masquait ses sens. Il enfila sa capuche entourée de poils, destinés à lui tenir chaud (quelle blague…) et enfila un masque de snowboard, pour faciliter sa vision des horizons, puis il prit les deux parties de son col de manteau pour les ramener devant son menton, avant de remonter la fermeture éclair. Puis en enfilant ses gants en laine, il s’approcha du groupe qui discutait de l’opération en cours. Il fallait repérer Sauron, cet être étrange qui s’était enfui du Cube… et il se demandait pour quelles raisons il s’était retrouvé dans un endroit pareil. Kitty parlait alors d’enjamber des motoneiges… et de soin, et de matériel de mécanique… Havok prenait en note toutes ces informations, dans son cerveau compressé par un froid glacial. Il n’avait qu’une hâte… commencer cette mission : la neige dont il rêvait devait être moins froide et plus axée « Boules de neiges et sapins blancs ».

Une fois la réunion terminée, Havok verrouilla le Blackbird sous les ordres de Scott, puis il monta à son tour sur sa motoneige pour partir à l’aventure. Scott était en tête du peloton, et Havok le fermait : à croire que les Summers étaient les chaperons de la mission… Il s’imaginait lors des soirées étudiantes Américaines, à surveiller un groupe de jeunes adolescents inconscients des risques de l’alcool… Il se perdait dans des idées totalement hors sujet… et pour cause, la route était longue et interminable. Havok n’en pouvait plus, surtout qu’avec la vitesse à laquelle ils roulaient il ne pouvait pas prétendre se réchauffer. L’argent qu’il dépenserait après la mission servirait à s’acheter un chocolat chaud et de bonnes friandises au caramel fondant… telle était sa décision !

Pourtant, trois heures de motoneige après, les X-men arrivèrent à destination. Du moins semblait-il puisque Scott avait entamé le mouvement de ralentissement en s’arrêtant le premier. Havok s’arrêta lui aussi, laissant ses 3 autres collègues devant lui, et scruta les environs. Rien à l’horizon… et cela ne semblait pas faire partie des plans. Connaissant Scott comme le fond de sa poche, il descendit à son tour de sa Motoneige et s’avança vers les X-men pour préparer la suite. Il dégagea son masque de la neige qui s’était accumulée dessus, puis il tendit l’oreille pour suivre la conversation. Difficile exercice, car il fallait faire en fonction de la température et du bruit du vent qui sifflait gravement dans leurs oreilles. Scott ne disait mot, trop nerveux et en proie à la réflexion concernant ce qui clochait ici. Kurt quand à lui entendit les Bips provoqués par sa radio et conseilla de retourner au Black Bird. Havok qui était tourné vers Scott, fit Volte face pour s’adresser a Kurt, interloqué :

« Ca va pas Kurt ! On vient de faire 3 heures de route, il doit forcément y avoir quelque chose à trouver ici (il scrute autour de lui d’un air douteux)…même si y’a rien autour de nous (il se retourne vers Cyclope) Scott… dis nous ce qui ne va pas. »

Havok ne le connaissait que trop bien. Cyclope ne parlait pas mais il n’en pensait pas moins. Sa réponse allait venir… du moins il l’espérait. Il jeta alors un œil à Kitty, pour savoir si elle avait une idée pour la suite… après tout l’avis de tout le monde importait lors de ce type de mission.
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Katherine Pryde
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MessageSujet: Re: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeVen 14 Jan 2011 - 3:24

Le décor était encore quelques choses de magnifiques, la description du froid et de l'extérieur sans construction de maisons ou de produits humains étaient quelques choses d'éternellement bien fait. Pas de conflits politiques ou économiques, simplement un petit vent qui frottait un peu les quatre héros qui étaient maintenant partis dans une aventure bien essentielle, mais peu importante. Pourquoi que ce n'était pas aussi important que les autorités essaient de nous faire croire? Parce que toute en rationalité, Karl ne dérange personne, ici. Karl est dans un coin presque vide et non-concret, alors est-ce qu'il dérangeait vraiment des personnes? Peut-être les différents scientifiques des différents pays étaient dérangés par un grand mutant, toutefois, le danger était surtout que Karl était capable de tuer des différentes personnes. Elle était lunatique, elle a presque foncé deux fois sur Scott Summers, mais c'était une mission dite paisible. Karl était très loin d'être le plus dangereux criminel des mutants. C'était bien amusant de s'amuser à traverser les différentes collines, mais elle savait très bien le problème quand elle a reçu un nouveau signal pour peut-être une nouvelle place pour le magnifique criminel. La choix était difficile, mais elle soutenait un peu plus le choix de Kurt.

-Je pense que Kurt a raison... sniiiffff....

Dit-t-elle en enlevant la neige devant son visage et aussi tout la grippe quand la morve se manifestait que madame avait eu grâce aux froids, malgré toute sa protection du froid. Regardant de nouveau un peu le paysage, elle cherchait innocemment des points de repères dans la neige.

-Le problème Alex, c'est que l'Antarctique est énorme et si Karl a changé de localisation, bien qu'on voyage pendant trois heures ou quatre heures, nous ne pouvons pas allés le chercher quand on sait qu'il a cherché de localisations. Alors, on est mieux de rentrer au Black Bird, pour retrouver la nouvelle localisation de Karl. Je sais qu'on risque de prendre un nouveau trois heures pour revenir, mais mieux prendre trois heures pour revenir que quatre ou cinq heures. Déjà que le voyage était assez long, il faut quand même y aller très rapidement parce que Karl se déplace à chaque fois très rapidement. Nous ne pouvons pas le suivre éternellement quand il change de positions à cause de sa vitesse de vol.

Tournant sa tête de nouveau, elle a commencé à découvrir des différentes couleurs, surtout le noir sur plusieurs séries. Attirée surtout par le changement de couleurs, elle était encore plus heureuse de voir des pingouins comme dans le documentaire américain environnementaliste. Encore un peu lunatique, elle était en train de découvrir une nouvelle merveille de la nature.

-Je vais allée prendre deux ou trois photos pendant que vous prenez votre décision...

Elle débarque de sa motoneige en laissant son moteur roulé pour éviter que le moteur gèle, si celui-ci s'éteint.

-Au delà des montagnes et du vent, on retrouve une ville construite non par les humains, mais par la nature. Sans subterfuge, sans illusions, on se retrouve devant l'infini des choses, devant la beauté de Dieu ou la beauté simple de la nature, on hésite à partir, mais il faut toujours se rappeler des images qui va resté dans notre âme.
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MessageSujet: Re: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeLun 17 Jan 2011 - 16:18

Pendant quelques secondes, les yeux mystérieux et écarlates de Scott suivirent les pas de la jeune Kitty qui prenait congé pour jouer les touristes, sans même se demander si elle avait réellement emporté un appareil photo avec elle…La demoiselle en était bien capable, experte pour passer en un rien de temps d’une pensée rationnelle et adulte à une gaminerie sans précédent. Le leader des X-Men se sentait agacé, non pas parce que la jeune femme venait de s’éloigner, encore qu’il aurait certainement pu y trouver à redire, mais bel et bien parce que cette mission semblait n’être qu’une succession interminable d’échecs cuisants. D’abord un coin retranché de New York, où leur cible avait semblait-il séjourné quelque peu mais où ils n’avaient découvert rien d’autre qu’une cabane abandonnée et des traces de son passage sans réelle importance. Et maintenant, ils avaient traversé plus de la moitié du globe pour se retrouver devant une nouvelle impasse ? C’est tout bonnement agaçant et surtout très désespérant, au point que Cyclope devait seulement compter sur son self control légendaire pour ne pas se mettre à hurler sa frustration et son énervement ou encore tirer une bonne rafale dans le néant, histoire de décharger sa rage une bonne fois pour toute. Peu digne d’un leader mais terriblement apaisant pour un homme et son quota de patience largement atteint…A cet instant, Scott se sentait particulièrement impuissant. Son équipe était bonne, ses membres compétents mais l’homme regrettait amèrement de n’avoir aucun détecteur de mutant ou de télépathe dans son équipe qui puisse leur indiquer clairement si âme humaine il y avait dans ce désert immense…Certes, avant de partir, il aurait pu demander à Emma de les accompagner mais dernièrement, leur couple battait un peu de l’aile. Pas qu’ils ne puissent faire abstraction de leurs sentiments respectifs et faire preuve de professionnalisme au cours d’une mission, mais ces derniers temps, il ne la voyait plus trop, la dame passant beaucoup de trop de temps à l’éviter. A moins que ce ne soit l’inverse et que ce soit lui le fuyard. Peu importait…d’ailleurs le simple fait de penser à sa compagne devenait source de contrariété et il préféra se sortir la blonde pulpeuse de son esprit pour revenir à ses coéquipiers qui attendaient ses ordres. Havok avait un semblant d’espoir vain dans son attitude et ses paroles, comme s’il anticipait déjà l’échec mais ne voulait pas s’y résigner, Diablo semblait vouloir être n’importe où ailleurs plutôt que paumé au beau milieu de nulle part, Kitty était…ailleurs. De son côté, Scott, pas plus que son frère, n’avait envie de baisser les bras et n’était pas disposé à partir tout de suite sans avoir rien tenté, surtout si cela impliquait de se coltiner de nouveau le long chemin du retour.

Cependant, les arguments des deux autres tenaient la route. Sauron se déplaçait vite et il avait besoin d’énergie pour survivre, énergie qu’il ne pouvait décemment pas trouver dans un tel endroit, et ce simple fait réduisait considérablement les hypothèses quant à la raison de sa présence dans le coin.

    « Si Karl s’est arrêté là, c’est qu’il a du avoir un souci quelconque. Peut-être qu’il a fait une pause et que c’est pour ça que le Professeur a enfin pu le détecter. Prenez quand même vos jumelles et faites un tour rapide pour voir si vous ne trouvez pas quelque chose, on ne sait jamais. Ca vaut pour toi aussi Kitty. »

Le ton dur et sec ne laissait pas la moindre place à la négociation ou à une quelconque argumentation. La jeune femme n’avait spécialement l’air heureux de se retrouver là, mis à part pour la beauté du paysage, mais le X-Men n’avait rien à faire de ces états d’âme. Ayant donné ses ordres, le mutant se mit lui-même en quête d’un indice éventuel, descendant à son tour de son véhicule et explorant les environs à pied. La poudreuse s’enfonçait faiblement sous son poids, l’obligeant à faire quelques efforts pour avancer sans problèmes. Ayant trouvé son équilibre et confiant en son excellente condition physique, il s’éloigna agilement, parcourant le relief enneigé. Il gardait le regard lointain et l’esprit vif, examinant avec soin chaque parcelle de paysage qui s’offrait à lui, avide d’y découvrir le moindre indice.

La quête ne dura pas longtemps, quelques minutes lui furent suffisantes pour trouver les réponses à ses questions. Derrière une petite colline, après avoir suivi une simple piste où la neige semblait avoir été quelque peu dérangée, il remarqua une trace rouge tenue qui recouvrait le sol immaculé. Ici, le sang avait coulé, pas assez pour prétendre découvrir un cadavre mais suffisamment pour deviner qu’un homme, ou qu’un animal, s’était tenu immobile à cet endroit pendant un moment. Rapidement, Scott fit signe à ses collègues de le rejoindre et leur montra sa trouvaille.

    « Il est blessé, il a du se faire mal en vol. Il a du aussi se reposer et repartir d’ici…On va peut-être finir par l’avoir ce salopiot. »

Horatio Caine, célèbre policier de Miami caché lui aussi derrière ses lunettes, n’aurait pas pu faire de meilleure analyse de la situation. Cela ne servait à rien de rester planté là plus longtemps, il était évident que leurs recherches finissaient dans une impasse. Seule bonne nouvelle, si le mutant était blessé, il n’avait pas pu continuer très loin, et ils étaient sans doute sur une bonne piste.

    «Nous, on rentre donc au Blackbird voir les nouvelles, à moins que Kitty veuille finir son reportage pour le National Geographic. »

Le ton cynique du mutant envers la jeune femme ne cachait pas d’animosité particulière, juste un manque flagrant de patience et un excès de sérieux. On le lui reprochait souvent, certes, mais si au lieu de se comporter en véritable leader, il s’autorisait n’importe quoi et ne gardait pas les pieds sur terre, alors qui d’autre allait le faire à sa place ? Enfin…Heureusement, les gens avaient beau dire, Scott n’était pas stupide et savait parfaitement qu’il passait pour le trouble fête de service, mais cela lui importait peu. Tout ce qu’il voulait, c’était que ses hommes lui obéissent et si cela impliquait un coup de gueule ou un non redondant de temps à autre, il ne se gênait pas. Et cela marchait, très peu osaient contester son autorité, voilà qui lui suffisait amplement pour se sentir satisfait.

Néanmoins, il n’était pas non plus totalement dénué d’humanité et il était parfaitement conscient du rythme soutenu qu’il imposait à ses coéquipiers, ainsi que de la fatigue morale et physique donc ils souffraient. Mais ils n’avaient pas vraiment le choix. Rapidement, l’homme retourna à la moto neige, passant près de son frangin qu’il encouragea d’une brève tape amicale dans le dos, tandis qu’il lançait à la ronde quelques dernières paroles dans un ton plus amical.

    « Allez, allons-y, et espérons vraiment que la prochaine sera la bonne. »

Comment ça, Scott était un casse-pied dépourvu d’une empathie quelconque ? La preuve que non !
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Kurt Wagner
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MessageSujet: Re: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeMar 18 Jan 2011 - 16:17

C'était l'équipe du siècle, qu'on se le dise. Jamais la terre n'avait encore supporté une association de super-héros si bien formée, si harmonieusement choisie. Kurt regardait parfois ses coéquipiers l'un après l'autre, et sans tout ces vêtements qui camouflaient autant tout son corps que la plus part de ses mouvements de tête, on aurait put le voir secouer cette dernière de droite à gauche.

Nous avions en premier lieu les frères Summers. Aussi souvent entrain de se faire la guerre que de s'admirer l'un l'autre. Le plus grand, Scott, Cyclope pour les populos, un modèle de droiture. Si droit en fait qu'il semblait être l'origine même de l'expression avoir un balais dans le c... Enfin, vous la connaissez. Jamais un pet de travers ou alors toujours à l'abri des regards, sauf ces rares fois où toutes les émotions comprimées surgissent de la boite de Pandore, où on le voit enfin être un peu humain. Un ami fidèle, un leader barbant et doué. Puis vient Alex, Havok en mission. Lui c'était le frère cool, celui qui faisait le mariole pour pas être comme son grand frère, puis qui l'a admiré, détesté, puis admiré de nouveau. Arrogant, un peu trop narcissique pour être honnête, il est la quintessence du Blond, oui, celui avec un grand B. Parfait dans tout ce qu'il entreprenait, le bon comme le mauvais, insupportable de blondeur en fait, si blond qu'en lui brulait le feu du soleil à qui il avait volé la couleur de ses cheveux.

Après les frères sourires, aussi agréables en soirées qu'un croquemort à une naissance, nous pouvions admirer Kitty, Shadowcat, étincelle ou encore Arielle. La belle ingénue collectionnait les noms comme d'autres les timbres. La femme enfant, qui a grandit si vite et pourtant restait presque aussi innocente et rafraichissante que lors de ses premiers pas costumés. Aussi insaisissable que le plus fin des courants d'air, elle surprenait encore une fois en jouant les photographes au milieu de ce paysage plus froid encore que la mort. Aussi insoutenable qu'adorable, si ce n'était l'âme, elle était au moins le cœur de cette fine équipe.

Pour finir, et non par le moindre, Kurt, connu dans les ruelles sombres de Berlin, sous l'adorable sobriquet de Diablo. Homme de foi et de chaire, toujours déchiré entre ces deux aspects de sa personne, la grandeur d'un amour pour Dieu, désintéressé et pacifique, ou son amour de la chaire, qui le ramenait toujours dans la chaleur grivoise d'une femme un peu curieuse. Si abattu par la vie qu'il ne marchait plus que sur les genoux, accomplissant sa tache en terrible automate, autrefois vaillant et brillant chef d'équipe, aujourd'hui pâle reflet de ses déjà vieux débuts, à peine digne du plus insignifiant porte couteau.

Une fine équipe je le répète, la plus fine de tous, car à eux quatre réunis ils cumulaient la logique d'une huitre. Fouiller le Pôle nord à quatre, sans télépathe ni personne qui ne vole réellement. Pour le vol encore, ils pouvaient se débrouiller. Kitty pouvait marcher dans les airs et mettre environ une heure à couvrir toute la zone. Kurt pouvait se téléporter dans les airs, donner le change durant cinq ou six minutes, avant de s'écraser lamentablement au sol, réduisant l'effectif à trois. Mais pour la télépathie, rien à faire, sauf si on considérait soudainement les hurlements dans le vide comme une forme nouvelle et hautement avancée de communication télépathique. Mais ils se débrouillaient, et voilà que grâce à de surprenants talents de pisteur, venant de Scott, ils surent que Sauron était blessé, et pour Kurt ça sous-entendait plus dangereux, alors que les autres eux, semblaient s'en trouver rassurés.Kurt fit son petit speach du grand frère strict, comme d'habitude, puis chacun renfourcha sa superbe motoneige, d'occasion. Un comble quand on savait que les fortunes cumulées du professeur et de Warren suffiraient à racheter la moitié de l'Afrique, pétrole et diamants compris. Mais les héros ne se formalisaient pas pour si peu, après tout ce n'était jamais grâce à un bon matériel qu'on survivait ou non à une mission en antarctique.

Ils repartaient donc vers le bird, Kurt toujours aussi silencieux. Avoir découvert ses lèvres pour parler, un peu plus tôt, lui avait quasiment gelé la langue, et il préférait de loin la conserver pour s'exprimer une fois à l'intérieur de l'appareil. Il y eut donc trois heures de trajets sans un seul mot de la part du diablotin, le courageux dépressif des enfants de l'atome. Et même une fois rendu au chaud, les véhicules rangés dans la soute, et les six couches de vêtements soigneusement tassées dans un casier, il parla enfin.

-Le temps qu'on atteigne notre nouvelle destination, on pourrait peut-être penser à la stratégie à mettre en place une fois qu'on sera en face de Karl non ? Je me doute qu'on aura pas trop de mal à le mettre KO, mais si il est chargé à bloc un seul regard et on est victime de ses illusions.

Voilà qui était dit, ensuite libre aux Summers de vouloir jouer à qui a la plus grosse ou non, mais se lancer une première fois sans plan d'attaque préalable avait été déjà une erreur suffisante, et selon Kurt, ce n'était que par chance qu'ils n'avaient pas croisés leur ennemi.
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MessageSujet: Re: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeMar 25 Jan 2011 - 11:49

Bon c’était clair. L’équipe avait de gros efforts à faire pour parfaire son esprit d’équipe, surtout si l’on considérait que chacun d’eux avait une personnalité bien distincte. Entre le chef professionnel que représentait son frère, une jeune ahurie et curieuse au sujet du monde qui l’entourait et un fanatique de la religion, Alexander était servit. Néanmoins lui faisait des efforts, il savait combien il pouvait être envahissant lorsqu’il se perdait à mettre un peu d’humour dans ce qu’il entreprenait, mais son frère était là, dans la même équipe d’intervention que lui, alors il était partagé entre le fait de s’en remettre à lui, et celui de se montrer différent : parce que oui, Cyclope ne plaisait pas à tout le monde, et Alexander y voyait une sorte de compétition malgré ce qu’il pouvait penser de lui. Un mélange d’admiration et de honte d’être près de lui, car étant le plus jeune des deux, il passait toujours après, en cas e besoin il pouvait être une roue de secours efficace et il savait, mais un jour allait il parvenir à être l’un des membres effectifs d’une équipe ?

Le faible entrain auquel il avait eu à faire de la part de ses collègues, il s’y attendait. Et pour ainsi dire, cela ne le touchait que très peu. Tant pis s’ils ne partageaient pas son avis, lui savait ce qu’il valait et il ne lui en fallait pas plus pour le satisfaire. Ainsi lorsque Scott envoya l’équipe explorer les alentours, Havok fut l’un des premiers à prendre sa route, avec toute la concentration qui le caractérisait, et le rare sérieux dont il savait faire preuve à ses heures perdues. Il marcha dans la neige, au gré du vent, foulant le sol onctueux de ses chaussures de super héros. La veste ne tenait pas en place, alors il devait sans cesse la tenir fermée avec ses mains, emmitouflées dans des gants épais. Sa capuche entourée de poils attrapait les flocons de neiges qui l’attaquaient du ciel, pour finir sur les parties découvertes de son visage. Son masque lui protégeait uniquement les yeux, et lui permettait de voir au loin, pour déceler des indices, ou des faits qu’il serait bon de noter. Si seulement il pouvait être le premier à ramener une information aux autres, concernant leur cible, il aurait été en capacité de prouver son talent et son titre de X-men, une bonne fois pour toute. En attendant son regard effectuait un mouvement panoramique de gauche à droite, apercevant à l’extrême droite Kurt, et à l’inverse Scott. Chacun avait prit son chemin, pour analyser les lieux, Alexander avait donc bien eu raison, il y avait forcément quelque chose à faire ici, même si Sauron était ailleurs. Et finalement Scott aperçu une tache de sans, récemment fusionnée avec le sol glacial de ce lieu pour le moins infernal. Il n’y avait aucun doute, aussi lorsque Scott rassembla l’équipe autour de lui, il fit part de ses conclusions. Tout le monde était pour le moins d’accord. Il allait falloir rejoindre le Black Bird, pour poursuivre les recherches. C’était donc avec vigueur et entrain que l’équipe se mit à chevaucher les Motoneiges pour aller à toute vitesse rejoindre le bijoux sacré des Summers. Cette mission allait être difficile, c’était couru d’avance, mais là, elle devenait digne des casses têtes les plus grands jamais rencontrés. Alexander sentait sa patience lui fuir entre les doigts, et pourtant il ne disait mot, pour ne pas altérer l’esprit sérieux qui régnait au sein de l’équipe, mais il n’en pensait pas moins.

Trois heures plus tard, ils arrivèrent alors devant l’oiseau Summers et tout était sur le point de s’accélérer. C’était un peu comme leur cœur depuis le début de l’aventure : dans le froid tout était calme, plat et inquiétant, alors que dans le chaud, tout allait rapidement, avec fougue et entrain. Havok était sensible à ce genre d’idée, et quand il le pouvait il se laissait aller pour analyser cette situation… bien sur, à ce moment précis il ne pouvait pas se le permettre, mais en tout les cas, c’était une chose à savoir. Il fut alors le premier à ranger sa Motoneige. Il enleva alors aussitôt ses gants et s’adressa à eux tout en se dirigeant vers le cockpit de l’appareil :

« Je vais réveiller la bête… ne tardez pas. »

Pendant que les autres rangeaient leur Motoneige, Havok mit en route l’oiseau noir, et enclencha sa ceinture après avoir ôté la tonne de vêtements qu’il avait sur le dos, et après avoir laissé tomber son masque sur la poitrine.
Scott le rejoint par la suite, et le décollage pouvait avoir lieu. Kurt quand à lui avait suggérer de prévoir un plan lors de l’approche de Sauron, et pour une fois, ils n’étaient pas en désaccord, surtout lorsque l’on savait que d’un seul regard il pouvait signifier la perte d’une équipe de X-men.

La question de Kurt s’adressant particulièrement à Scott, Havok activa le radar, qui les avait bipés lorsqu’ils étaient arrivés sur le premier point de recherche, en plein milieu des plaines enneigées.

« Le radar est activé… on va pouvoir le cerner plus facilement d’ici. Par contre comment on procède »

Havok s’était tout naturellement tourné vers Scott… car il était le chef et lui seul avait le pouvoir de prendre de telles décisions… en tout les cas, s’il ne passait pas son pouvoir à d’autres membres de l’équipage.
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MessageSujet: Re: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeMar 25 Jan 2011 - 16:28

Les méchantes répliques de Scott Summers ne l'atteignent pas vraiment, de toute façon, si on se souciait toujours des répliques d'un gars de ce genre, on serait toujours très malheureux. Scott ne fait que des bonnes répliques à ses ex ou à sa femme. Toutefois, c'était une bonne idée, Scott avait des bonnes idées. Elle savait très bien que les photos de l'Antarctique étaient très rares et surtout payant sur plusieurs sites internet. Elle pouvait peut-être en profiter d'une façon monétaire et aussi naturaliste/artistique. Le professeur encore plus barbant que d'habitudes, voulait vérifier simplement le territoire s'il n'avait pas des indices. Un moyen de perdre son temps ou d'imiter Scooby-Doo? Peut-être les deux, mais trouver des indices sur un territoire qui cumule plus de neiges par le vent que sur tout autre territoire sur la planète, c'était absolument débiles, mais c'était mieux de ne pas répliquer, sinon il va faire la crise du bacon.

Bon, Scott avait quand même immensément de chances. Les risques de trouver des indices étaient presque impossibles, mais grâce à un miracle de la marmotte, Scott avait trouvé des indices. Toutefois, pour Kitty, c'était encore perdre du temps. Karl va être capable de changer de positions à chaque heures, à chaque minutes et à chaque secondes. L'équipe doit réagir en prédateur et non en petit groupe de tacticiens, le groupe doit réagir pour chasser une proie. Bon, elle était peut-être la moins expérimentée des X-Men, alors les conseils d'une jeune adulte, ils n'ont presque rien à faire. C'était surtout Scott Summers qui n'avait rien à faire des plans de Kitty. Il a été toujours beaucoup trop sévère, malgré qu'il était un excellent membre des X-Men, Kitty n'avait presque aucune confiance envers celui-ci. Les rivalités Logan-Cyclope en sont pour quelques choses. Elle avait quand même un peu plus de respect envers Havok, malgré qu'il était blond et pour Kurt, c'était encore la grande histoire d'amitiés.

Après un long trois heures de voyage, pour aller en direction du nouveau oiseau. Elle avait un certain malaise de retourner au vaisseau. Ils avaient perdu beaucoup de temps à s'amuser à jouer à Scooby-Doo pour trouver que le grand Sauron était blessé. Les hommes ont ensuite parler d'un plan d'attaque pour le futur, mais elle n'osait pas rajoutée un autre détail pour éviter de reprendre un râteau sur la gueule. Elle était très loin d'être la meilleure stratège de la planète. Restant silencieuse sur son siège, elle avait un seul envie et c'était d'arrêter Karl avant qu'il s'attaque aux bases scientifiques des différentes pays. Elle attendait tranquillement que le vaisseau démarre et que Scott sort tout ce qui lui reste de stratégie dans son mental.
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MessageSujet: Re: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeMer 26 Jan 2011 - 16:41

Les motoneiges et le matériel étaient enfin rangés et solidement fixés dans la soute du Blackbird. En chemin vers la passerelle de l'appareil, Scott s'attarda quelques secondes à laisser sa main gantée caresser doucement les lignes pures du vaisseau. Il le sentait déjà vrombir doucement et sans heurt sous la puissance des moteurs que son frangin avait mis en marche. L'homme aimait son vaisseau, comme on aime une femme, sans condition et passionnément. La bête de métal était sa fierté, la belle demoiselle qui se promène à notre bras et qui attire les regards, les nouvelles fringues qu'on met pour frimer devant les copains, la vieille star de cinéma qu'on oublie jamais ou encore la voiture dont on passe des heures à lustrer la carrosserie. Depuis tout petit, les frères Summers avaient été plongés dans le monde fascinant de la mécanique, des engrenages et du cambouis. Combien d'heures avait passé Scott Summers à réfléchir à l'enchainement logique des pièces métalliques, à la complexité d'un moteur et au casse tête sans fin que cela représentait? Toute une vie, des minutes infinies de réflexion et de plaisir que peu pouvaient comprendre.

Mais l'heure n'était pas aux souvenirs et à la rêvasserie. La chasse à l'homme les attendait. Calmement, Scott remonta à bord du vaisseau et s'installa aux commandes, aux côtés de son frère. Derrière lui, le reste de l'équipe s'installa, attendant les ordres. Scott jeta un coup d'œil à la console où Havok travaillait déjà et hocha la tête à son attention.

    « Le professeur nous a envoyé des nouvelles coordonnées, plutôt proches de là où nous nous trouvons. Sauron doit être fatigué parce qu'il n'est pas allé bien loin. »

Il se retourna pour face aux autres, pivotant au maximum sur son siège amovible -grande classe, mieux que l'avion de Barbie- et derrière ses lunettes, fixa ses coéquipiers.

    « Ouais Kurt, comme tu dis. Le grand danger, ce sont ses illusions. On a personne dans l'équipe capable de le contrer et c'est notre plus grande faiblesse. Cela dit, on a quand même l'avantage du nombre, ça sera plus dur pour lui de nous faire face tous en même temps. Et c'est là que tu rentres dans le jeu, Kurt. »

Il colla son regard dans les yeux du mutant bleu et poursuivit.

    « L'idéal serait que quelqu'un diversion pendant que toi tu te téléportes derrière lui pour le mettre hors d'état de nuire. L'un d'entre nous devra donc l'attaquer de front. Moi, je précise et ceci n'est pas négociable. Je serai le premier à sortir du Blackbird quand on l'aura repéré, tu me suivras de près, les autres resteront en arrière. Et pendant que tu le contrôleras Kurt, Kitty et Havok viendront te porter main forte. »

L'homme lança un regard à la ronde, attendant les commentaires. Son plan était risqué, il en avait parfaitement conscience mais sans aucun télépathe dans l'équipe ni personne pour déjouer les illusions de Karl, il fallait bien que quelqu'un serve d'appât. Et en temps que leader, le rôle lui revenait, il lui appartenait de courir le risque.

    « Bon, pendant qu'on en discute, on ferait quand même mieux de décoller, histoire qu'il nous refasse pas le coup de se barrer...»

Alors qu'il parlait, il se retourna et fit signe à son frère puis lança le moteur, faisant décoller délicatement le vaisseau. Scott n'avait pas l'habitude de discuter quand il effectuait une manœuvre et il garda silence pour ne pas se tromper. Le visage sérieux et concentré, il se contenta d'échanger quelques brèves paroles avec son frère, afin de coordonner leurs actions. Sous les mains des deux Summers, le vaisseau au lignes pures qu'était le Bird s'éleva gracieusement dans le ciel, comme un oiseau de métal majestueux. Puis, lorsqu'ils eurent trouver leur cadence de vol, le leader des X-Men se laissa aller dans son fauteuil confotable, et écouta ses collègues, un œil tout de même rivé en permanence sur les commandes et le ciel...

...

A des dizaines de kilomètres au sud-est de l'endroit où avait décollé le Blackbird, Sauron se reposait, profitant des températures clémentes, inattendues dans un tel endroit. Blessé, le mutant avait dû s'accorder un bref repos sur la banquise glacée avant de pouvoir repartir, direction son chez soi. Il se savait poursuivi mais il avait besoin de reprendre des forces et la jungle qui l'entourait était le parfait endroit pour prétendre échapper à ses poursuivants. Les X-Men s'attendaient sûrement à voir une étendue de neige à perte de vue, un paysage encore immaculé et infini. Mais rien ni personne ne les avaient préparé à ce qui les attendait...

Sur le continent hostile, des brides de vie d'une lointaine époque, sombres reliques d'une ère qu'on croyait oubliée, survivaient au temps...
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MessageSujet: Re: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeLun 31 Jan 2011 - 20:42

Ainsi le petit groupe repartit dans les airs, à la poursuite de ce mutant volant, violent et dément. D'après les nouveaux relevés, il n'était donc plus si loin que ça. Kurt pensait au plan de Cyclope. C'était certainement la meilleure stratégie à adopter. Enfin Kurt aurait préféré que quelqu'un de moins dangereux que Scott fasse le rôle d'appât. Après tout, qui pouvait dire si Sauron n'allait pas se servir des rafales du leader de l'équipe pour se débarrasser de tout le monde en les faisant passer pour des menaces. Mais puisque le chef avait parlé, Diablo ne le remettrait pas en question. Surtout que la seule autre solution raisonnable qu'il entrapercevait était d'envoyer Kitty en leurre, et ça il n'était pas forcément pour. Il ne restait donc plus qu'a se détendre un peu, vraiment très peu, et se concentrer sur le rôle qui lui revenait, soit celui du piège à loup, ou à pigeon dans ce cas. Rien de plus...

Il y eut un instant de silence, comme si tout c'était arrêté après une sorte de quinte de toux suspecte. L'appareil était pourtant encore au dessus des nuages, et pour les maintenir dans les airs, il fallait bien que les moteurs tournent, fassent du bruit. Mais là plus rien. Diablo se redressa de son siège pour essayer de voir sur le tableau de bord ce qui arrivait. Et bien il ne vit rien. Non pas rien d'anormal, juste rien d'allumé. Scott et Alex devaient l'avoir déjà remarqués, après tout ils étaient en première ligne et surtout bien meilleurs pilotes que ne l'était Kurt. D'ailleurs les deux frères juraient, tripotaient tout les boutons sans qu'aucuns ne répondent. Kitty, au côtés de l'elfe, ne faisait pas vraiment non plus la fière. Le mutant bleu, de son côté, qui n'aimait pas particulièrement voler de base, commençait à serrer méchamment les accoudoirs de son sièges.

-Onvatousmourironvatousmourironvatous...

Le bird venait de traverser la couche de nuage, et Kurt ne trouvait plus rien à dire. Le spectacle qui s'offrait à lui était aussi surprenant que magnifique. Avec l'altitude, les quatre x-men pouvaient voir s'étendre, sur des dizaines, peut-être même des centaines, de kilomètres, un forêt luxuriante comme l'on n'en voit plus de nos jours. Et toute cette verdure, survolée à certains endroit par ce qui semblait être des oiseaux, était encerclée par la glace. Comme un cratère gigantesque dans lequel le froid polaire, pas plus qu'une civilisation quelconque, n'avait pas prise. Kurt n'entendait plus ses camarades parler, peut-être parce que, comme lui, le spectacle leur coupait le souffle, ou alors peut-être parce que l'esprit du diablotin était si occupé à comprendre ce qu'il voyait qu'il ne pouvait plus entendre les autres. Mais ce moment d'effroi, teinté d'émerveillement, ne dura que trop peu de temps. Déjà le fait que le sol se rapproche à une vitesse folle redevenait la préoccupation prioritaire du mutant. Kurt avait deux possibilités, continuer à paniquer comme une petite fille de cinq ans, ou bien penser, et penser vite, comme il avait appris à le faire en étant à la tête de son équipe, il y avait si longtemps déjà. Son entrainement fit qu'il pencha pour la seconde solution. Alors il réfléchit, analysa, et enfin comprit ce qu'il lui restait à faire.

BAMF

Il disparut de son siège, ajoutant à la pression du moment cette horrible odeur de soufre, pour se retrouver à l'extérieur, collé au ventre de l'appareil. Tout en s'offrant une des plus belles frayeurs de sa vie, il pouvait, alors que le sol lui semblait de plus en plus proche, essayer de repérer un endroit un peu dégagé, comme la clairière, petit point vert clair au milieu de celui plus sombre des arbres. De leurs côtés, les frères Summers avaient enclenchés un système d'urgence, basé uniquement sur de la mécanique, qui fit sortir de la coque de l'appareil quatre parachutes, prévus pour supporter le poids de l'appareil et en amortir la chute, de sorte à préserver autant que possible l'avion. Le choc provoqué par le déploiement des parachutes fut un peu rude, la course du Blackbird ayant d'un coup considérablement ralentie.

BAMF

En sentant le choc, Kurt avait préféré rejoindre ses camarades. En revanche, la vitesse n'était pas encore suffisamment lente pour qu'il n'y ait pas de bléssés à l'arrivée. Déjà il ne restait pas plus de cinquante mètres avant le grand choc.

-Désolé meine freunde* !

Alors dans un geste aussi salvateur que désespéré, Kurt agrippa Cyclope et Havok, chacun par une épaule, et entoura le poignet de Kitty avec sa queue.

BAMF

Tout trois disparurent de l'appareil...

BAMF

...pour se retrouver dans la clairière qu'avait repéré Kurt en jouant au cascadeur. Si ses trois amis avaient l'impression d'avoir reçus un coup de poing dans le ventre, lui était épuisé, comme chaque fois qu'il transportait trois personnes avec lui, et ce peu importait la distance. L'endroit était dégagé sur à peu près dix mètres de rayons, encadré par des arbres qui semblaient centenaires pour la plupart. L'air était humide, chaud, désagréable. Des bruits de toutes sortes, mais surtout inquiétants, se faisaient entendre, des bruits de déplacements, des cris d'animaux que le diablotin n'avait jamais entendu. Puis tout ces petits sons furent recouverts par le fracas, celui du Blackbird qui brisait végétation et faune sur son passage. A l'oreille, c'était à mois de cinq cents mètres de leur position. Mais ils n'eurent pas eut le temps d'en discuter. Déjà, alors que tous devaient être légèrement barbouillés, et que l'elfe, lui, était avait encore besoin quelques minutes avant de pouvoir prétendre à la moindre action, un rugissement se fit entendre. Puis, en face de Kurt, ils purent voir les buissons au pieds des arbres s'écarter pour laisser apparaitre le museau d'un dinosaure.

-Euuuh les gars ? Je crois que j'ai pris un méchant coup sur la...

Il fut coupé par la créature qui poussa un rugissement étrange, avant de bondir au milieu de la clairière. Toute personne ayant vu Jurassic Park savait qu'il s'agissait d'un vélociraptor, et que ces bestioles chassaient par groupes de trois.

-Aber Scheiße! Wo ist man bordell ?**


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MessageSujet: Re: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeMar 29 Mar 2011 - 19:08

C'était maintenant parti pour retrouver de nouveau le méchant des Seigneurs des Anneaux, Sauron, elle est restée silencieuse pendant le reste du voyage. Elle savait quand même la grande importance de Cyclope au sein de l'Institut Xavier et elle ne pouvait pas simplement critiquer sans reconnaître les véritables talents de leadership du vétéran de l'Institut Xavier. Le voyage avait mal commencé au début, au niveau des relations, mais elle ne pensait pas avoir ce genre de problèmes après on avait toujours le problème du transport. Elle ne comprenait pas vraiment ce qu'il s'est passé durant ce temps. Il avait encore plusieurs tensions autour d'elle et autour des autres.

Elle a eu des craintes quand Kurt avait disparu. Elle avait cru pendant quelques secondes, qu'il s'était enfui à cause du danger du blackbird. Elle n'avait douter que pendant quelques secondes, parce qu'elle ne pouvait pas croire avant peut-être de mourir dans un misérable crash des X-Men, que Kurt pourrait vraiment faire cela. Les parachutes se sont ensuite activés, elle sentait encore plus de pression autour d'elle. Kurt est simplement arrivé à temps pour téléporter tout le monde à l'extérieur du vaisseau. Ils sont arrivés les quatre dans un buisson avec un vilain coup au ventre.

Elle savait très bien que la téléportation pouvait être très rude pour Kurt, surtout avec trois personnes et ce genre de contextes. Se relevant avec un peu de difficultés, elle croyait aux mirages d'abord. Ils sont quand même en Antarctique et elle se retrouve maintenant dans un coin assez humide. Elle se frotte les yeux quelques secondes avant d'entendre les rugissements de dinosaures. Ouais, elle doit être morte et les dinosaures sont tous allés au paradis. Quand, elle a vu le dinosaure s'approchait dangereusement de la zone des quatre survivants. Fonçant dessus sans hésitation, elle doit bien le faire. Ouvrant sa grosse gueule comme la marmotte, le dinosaure avait essayé de bouffer le bras de Kitty, mais elle faisait simplement quelques choses, qu'elle faisait souvent.

Traversant le monstre pour éviter de le tuer, il s'est rapidement endormi assommé. Bon, au moins sa tête ne jouait pas des tours, le dinosaure était bien réelle.

-Vous allez bien?
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MessageSujet: Re: Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo)   Into the cold, there's more than life (Havok-Cyke-Diablo) Icon_minitimeJeu 21 Avr 2011 - 21:44


J’ai dormi pendant les trois heures de voyages pour les autres c’est comme si je n’étais pas présente. Il faut dire que je ne suis pas fort bavarde aujourd’hui enfin… c’est plutôt que je n’ai pas vraiment mot à dire. De plus, il faut que l’on nous amène sur une fausse piste enfin fausse, le mot est peu fort puisque nous avons quand même trouvé des traces de sang qui comme par hasard viennent de notre ami l’affreux mais bon jusque-là ça va encore. Je suis à peine réveillée, j’émerge seulement quand le professeur nous communique de nouvelles informations et une nouvelle destination ce qui ne me réjouit pas vraiment. Nous devons donc nous rendre dieu sait ou pour trouver ce Sauron que nous cherchons tant. Ah l’affreux ! Qu’est-ce que je serais heureuse quand il sera remis en cellule et qu’on pourra fêter ça.

Nous voilà repartit pour un voyage à bord du Blackbird… je pense d’abord que je vais passer encore de longues heures à dormir mais cela va s’avère être plus court et moins paisible que prévu. Je passe d’abord un bon moment à fixer Kitty, Kurt et Scott qui discutent du plan. Nous sommes donc en route pour cette destination inconnue quand je décide de fermer les yeux un court instant, mais vraiment très court quand un silence inquiétant me réveille et me pousse à regarder Kurt pour l’interroger du regard. Celui-ci ne me regarde pas et semble plutôt préoccupé par autre chose. Je le vois s’approcher du tableau de bord et je comprends alors que quelque chose ne va pas. Je n’ai pas le temps d’attacher ma ceinture que le BlackBird pique déjà du nez. Vision d’horreur, je nous vois déjà tous écrasés sur le sol. Je ne saisis pas tout ce qui se passe, je sens d’abord un énorme choc qui est dû aux parachutes, je vois Kurt qui disparais et qui réapparais ensuite pour nous sortir de là.

Nous voilà sur la terre ferme. Ma radio est hors service, j’ai dû m’écrouler sur elle. Je suis encore toute étourdie, les yeux à peine ouverts, je me relève à peine quand j’entends un rugissement qui me fait reculer contre Kurt qui lui-même semble effrayé. Alors, soit comme lui j’ai reçu un vilain coup sur la tête soit on est sur Isla Nubar ou on est tous sujets aux mêmes hallucinations. Il ne faut qu’une seconde pour que la bête s’en prenne à Kitty et tente de lui dévorer le bras. Fort heureusement, Kitty passe au travers de celui-ci et s’en sort indemne. La bête s’endort et tout semble calme enfin presque. Kitty nous demande si nous allons bien. Faut voir, jusque-là j’ai encore mes bras et mes jambes.

-« Pour le moment, ça devrait aller. »

Je charge alors mes armes, je suppose que ces bestioles sont sensibles aux armes à feu.. dans le cas contraire je sais courir.
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