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 Quand la mutation s'inspire d'un film d'horreur [Elizabeth]

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Lilian D'Eyncourt
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Lilian D'Eyncourt


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MessageSujet: Quand la mutation s'inspire d'un film d'horreur [Elizabeth]   Quand la mutation s'inspire d'un film d'horreur [Elizabeth] Icon_minitimeMer 18 Jan 2012 - 1:18

Peu de films retenaient l'attention de Lilian dans la catégorie blockbusters, et il était théoriquement improbable de le trouver assis sur un siège rouge devant la dernière grosse production de l'horreur. La soirée avait pourtant commencé de la manière la plus banale du monde, des amis newyorkais lui avaient envoyé un sms en début de soirée pour l'inviter à les rejoindre dans un restaurant d'aspect miteux où l'on ne servait que des spécialités irlandaises, richement assaisonnées à la bière. Comment pouvait-on atterrir dans ce genre d’endroit ? En cherchant à manger après une demi-douzaine de pintes, en général. C’était en tout cas grâce à une nuit trop arrosée qu’ils avaient atterri dans un lieu assez insolite pour devenir leur quartier général. Lilian n’était pas vraiment responsable de ce choix. Au sein de la bande, il n’était qu’un adopté de passage. S’ils restaient en contact avec lui, ils le voyaient peu. La plupart étaient encore à l’université ou vivaient de petits boulots sans ambition. Il aimait leur compagnie, parce qu’elle le reposait. Et ils avaient des vues assez larges. Nombreux étaient ceux qui menaient une vie artistique ou musicale à côté. Mais ils se tenaient à l’écart des milieux huppés, dans le microcosme de l’underground. Ils exploraient le subversif sans se préoccuper des critères mondain, et leurs œuvres demeuraient inconnues du grand public. La plupart étaient humains, mais il y avait deux mutants, parfaitement intégré dans le petit groupe. Tous savaient, au fond, ce que c’était de se faire rejeter pour sa différence. Avec leurs vêtements noirs, piercings, crâne rasés ou cheveux colorés, et leurs drôles de goûts, que l’on prétendait morbides, ils s’étaient mis hors de la société bien-pensante. Les remarques déplacées, les regards mauvais, ils connaissaient. Alors ils soutenaient la cause mutant « à fond », comme ils disaient souvent. Lilian regrettait parfois de ne pouvoir leur révéler sa nature. Ils étaient peut-être les seuls êtres en ce bas monde capables de trouver ses facultés vampirisantes absolument géniales.

Personne, dans les milieux plus élevés qu’il fréquentait, n’aurait pu l’imaginer devant une table marquée au couteau, à côté de ces jeunes marginaux. Le tenancier du pub ne voyait quant à lui qu’un jeune homme plus charismatique et théâtral que les autres, un musicien connu des milieux obscurs peut-être ? Il donnait toujours l’impression d’être important, mais à une échelle toute autre avec ses cheveux longs, ses yeux subtilement relevées de noir, son pantalon aux fines rayures mauves et noires. Il portait des mitaines de cuir noires, un t-shirt sombre où deux serpents en forme de S s’entrelaçaient sur une canne – le sigle de Skinny Puppy – et il y avait cette émeraude discrète qui brillait à son oreille. Pouvait-on réellement l’envisager à la tête d’un empire médiatique ? Loin de lui parler affaires, ses joyeux compagnons s’étaient empressés de lui faire le résumé de toutes les dernières coucheries dont il n’était pas encore au courant. Ce type de discussion l’amusait beaucoup, mais il se contentait d’écouter, parfois de commenter, et, à propos de ses histoires à lui, le mystère restait complet. Bizarrement, on n’avait souvent moins de choses à raconter lorsqu’on enchaînait les conquêtes.

La rubrique commérage épuisée, ils s’étaient mis à parler de tout, de rien, de leurs films préférés. Et la conversation avait dérivé sur le cinéma d’horreur, les bons titres du genre, les réalisateurs à éviter, le fait que les productions d’aujourd’hui édulcoraient beaucoup trop les scènes de violence et évidemment, tous, à part lui, s’étaient mis à débattre sur Le film du moment, dont on racontait que certains passages avaient réussi à écœurer les spectateurs les plus aguerris en matière de gore. Alors l’idée avait été lancée, « et si on y allait ? ». Lilian s’était donc retrouvé à suivre le mouvement pour suivre une histoire très banale où un tueur difforme massacrait sans raison apparente tous les personnages qui avaient eu l’idée absurde de passer la nuit dans un motel sordide perdu au milieu du Kansas. Ah, il était certain que les amateurs d’hémoglobine en auraient pour leur argent. Certaines vues étaient tellement sanglante qu’elles semblaient déborder le long de l’écran. De son côté, ce n’était pas la peur qui le crispait agréablement, mais une nervosité de plus en plus vive. La représentation de tout ce sang réveillait en lui un appétit inassouvi. Il semblait que sa mutation devenait de plus en plus vorace depuis quelques temps. Avant, il pouvait se régénérer doucement, en aspirant à petite dose une personne puis l’autre, sans laisser à ses victimes autre chose que l’impression d’avoir été piquées par un insecte. Comme cette méthode avait fini par trouver ses limites, il avait trouvé comment se procurer beaucoup de sang d’un coup sans créer le moindre dommage ni risquer de se faire repérer, en se mêlant à la foule éméchée des boîtes de nuit. Or, ces derniers jours, il n’avait pas eu le temps de s’en occuper. Sa semaine avait été particulièrement chargée et il pensait pouvoir contrôler les effets secondaires de son pouvoir. Or, avec un film aussi appétissant, il n’en était rien. La fille qui lui tenait la main depuis quinze minutes sous le prétexte d’être trop terrifiée par les images le lâcha d’un coup en poussant un gémissement douloureux.

- Excuse-moi j’ai… j’ai eu l’impression qu’un truc me mordait. Je me sens vraiment bizarre…
Et pour cause. Il se passait ce qu’il redoutait par-dessus tout. Les veines de ses poignets semblaient sur le point d’exploser. Le sang s’échappait malgré lui et irriguait de plus en plus abondamment sa peau maintenant qu’il avait trouvé une victime à aspirer. Lilian se leva d’un coup. Il devait quitter cette salle tout de suite. Mais la fille, aussi appelée Bettie, lui attrapa le bras pour gémir :
- Non me laisse pas, je me suis jamais sentie aussi mal, il faut que je sorte aussi.

Ce contact plus franc fit jaillir plus de sang qu’il ne l’aurait voulu et la douleur la fit heureusement lâcher. Mais cette idiote avait rendu le flux plus abondant. Il ne contrôlait plus rien. En quittant la salle d’un pas précipité, il sentait bien qu’il continuait de l’aspirer, que ses amis commençaient à se pencher sur elle avec inquiétude et qu’un filet de sang, dissimulé par l’obscurité, le suivait. Une fois dans le couloir, il se précipita dans les toilettes, et retira sa mitaine devant l’évier. Tout son avant-bras luisait de son hémoglobine étrangement élastique. Il la liquéfia pour la faire couler dans le siphon et essaya sans grand succès de se détendre. La crise ne semblait pas décidée à passer, il n’en avait pas eu assez, c’était pire qu’être en manque d’héro. Comment pouvait-il gérer ça ? Impossible de sortir dans cet état.

Pendant les séances, les toilettes étaient généralement plutôt désertes, il disposait d’une demi-heure minimum avant les affluences de masse, mais, il fallait toujours qu’un spectateur craque avant. Une femme entra ainsi par la porte opposée. Il le devina sans la voir, et son corps la sentit aussitôt. Le sang se déversa à nouveau dans sa paume et moins de trente secondes plus tard, la femme hurlait. Il n’y avait rien d’étonnant à cela. Quoi de plus effrayant que de voir son sang se faire gentiment la belle ? Si elle avait assez de présence d’esprit pour suivre le flux de ses globules rouges, elle allait le trouver, elle allait comprendre et, plus elle était proche de lui, plus elle avait de chances d’être tuée. La panique le gagna, il libéra assez de sang pour recouvrir son bras tout entier et provoquer l’évanouissement instantané de la femme. A ce rythme, il serait bientôt apaisé. S’il évaluait bien, avec ce qu’il avait pris à l’autre fille, il pouvait ôter deux litres à celle-ci et retrouver un état normal sans tuer personne.

Il souffla et se laissa glisser contre un mur. Il était inutile de fuir de toute façon et, il fallait bien l’admettre, toutes considérations morales mis à part, les sensations procurées par la régénération sanguine étaient terriblement agréables. Mais, il y eut un autre bruit du côté des filles, une autre présence. Son cœur rata un battement, le sang accroché à ses deux bras s’écrasa sur le carrelage blanc et le flux continuait malgré lui. Il réussit tout au plus à l’amincir, parce que son pouvoir, doucement rassasié, commençait à se stabiliser. Cependant, ça ne suffisait pas, et il était coincé. Avec un peu de chance, ce serait Bettie. Sa meilleure amie était une mutante, elle pourrait comprendre s'il lui expliquait avec les bons mots en poursuivant un discret jeu de séduction. Le cas échéant... il n'avait aucune idée de la manière dont il pourrait s'en tirer sans encombres.


Dernière édition par Lilian D'Eyncourt le Dim 22 Jan 2012 - 20:31, édité 1 fois
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Elizabeth Joggs
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MessageSujet: Re: Quand la mutation s'inspire d'un film d'horreur [Elizabeth]   Quand la mutation s'inspire d'un film d'horreur [Elizabeth] Icon_minitimeDim 22 Jan 2012 - 16:06

Il y avait parfois des nuits comme celle-ci, où aller à New-York pour boire quelques verres dans un bar puis faire un passage au parc, pour parler, quelques heures, était bien pauvre pour passer une bonne soirée.

Un des amis de Liz', ceux de la bande qu'elle fréquentait si souvent, dans et en dehors de l'institut, avait vu par l'intermédiaire de l'écran de télévision de la salle de détente de l'institut qu'un nouveau film était sortie : le genre de film à vous faire vomir tripe et boyaux par la seule présence de sang à profusion, de membre qui partait des corps d'innocent, et où le meurtrier mystère était le Tout-puissant du film, et qui généralement s'avérait être le meilleur ami du héros, qui menait la petite bande de gentilles victimes, comme le voyait Eliz'.

Le nom de ce film avait échappé à l'unique femme du groupe puisqu'elle n'aimait pas ce genre télévisuel : l'hémoglobine, les meurtres, les cris, tout cela donnait à Elizabeth un taux de frayeur tel qu'elle ne cessait de crier, de se cramponner à sa banquette, dans ces scènes, et quand l'on connaît leur nombre dans un seul film et le désamour de Liz pour avoir l'air d'une cruche, l'on pouvait comprendre pourquoi elle ne les aimait.

Car son ami ne voulait pas attendre, la bande de copains étaient directement allés à la séance de vingt-deux heures, sans boire ni manger : le dit-ami de Liz les ayant convaincu d'aller manger un quelque chose après, à minuit passé.

S'en suivit quelques longs quart-d'heure d'un calvaire insurmontable, où Liz' sursauta, cria, se cachât les yeux à de nombreuses reprises, comme à l'habitude, avant qu'elle eut l'idée brillante de quitter la salle, enfin, entre deux scènes d'un gore affreux, donc lors d'un intermède de dialogue brillamment commun aux autres films du même genre. Et ça c'est un super film..., se dit-elle.


« Bon, je vais faire un tour au toilette. »
« Ouais, ok. »
« Vous me rejoignez après le film. »
« Ouais, ok. »
« Et dire que vous aimez ces film... »
« Ouais, ok. »


Puis elle s'éloigna ; au même moment l'ami qui était à gauche de Liz' demanda à celui de droite ce qu'elle avait dit, et celui-ci n'en savait rien, visiblement, puisqu'il lui répondit avec le même ton qu'il avait employé pour répondre à Liz, et avec les même mots.

« Ouais, ok. »

Fort heureusement, le cinéma, quand l'on escomptait les salles où étaient diffusé les divers film, était vide à cette heure, entre toutes les séances, et Liz' pût donc circuler librement, sans encombre, dans le grand hall, et donc se diriger vers les toilettes sans trop de difficulté. Alors donc, elle entra, et s'en suivit un cris de surprise à la vue d'une jeune femme à ses pieds, le corps blanc, livide, les yeux clos.

L'élève X-woman, qui n'avait malgré tout jamais vu de corps auparavant, du moins réel, devint aussi livide qu'elle, tant elle fut décontenancé, et effrayé. A quelques mètres du corps se trouvait un homme, conscient, lui, aux cheveux longs, noirs. Visiblement, il avait l'air tout autant éprouvé mentalement que la jeune femme, à ce qu'en jugeait Liz', puisqu'il était assis, le dos contre le mur ; une tâche de sang couvrait le parquet, visiblement, devant lui, et s'en suivit donc une question :


« Vous êtes blessé, vous aussi ? Vous voulez que j'appelle du secours ? Euh... je n'ai pas de téléphone, vous en avez un ? Je vais appeler la police, aussi... ça m'a pas l'air d'être deux coïncidences, ça peut pas... non ? Il c'est passé quoi, ici, en faites ? Enfin... si vous pouvez parler, je veux dire, vous êtes... enfin, je sais pas, ça va ? »
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Lilian D'Eyncourt
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MessageSujet: Re: Quand la mutation s'inspire d'un film d'horreur [Elizabeth]   Quand la mutation s'inspire d'un film d'horreur [Elizabeth] Icon_minitimeDim 19 Fév 2012 - 22:07

Ce n'était pas Bettie. La jeune femme qui avait eu la mauvaise idée d'entrer dans les toilettes des hommes après sa découverte macabre était une inconnue. Lilian l'observait entre ses doigts maculés de sang. Il avait heureusement eu le bon réflexe de cacher son visage avant qu'elle ne puisse l'identifier. Des mèches tombaient devant ses mains. Il faisait de son mieux pour garder l'attitude prostrée d'une personne en état de choc. La ruse fonctionna dans un premier temps, elle lui demanda s'il était blessé d'un air complètement paniqué. Pendant qu'elle s'inquiétait de trouver un téléphone, il essayait en vain d'arrêter la crise. Mais, le mot « police » brouilla sa concentration. Une enquête serait ouverte, c'était inévitable. Cependant, les flics ne devaient pas intervenir trop tôt. Il devait récupérer le sang qui avait giclé sur le carrelage et prendre la fuite.

- Il ne s'est rien passé, il ne se passera jamais plus rien, souffla-t-il d'une voix éteinte.

Il allait donner une chance à la naïveté de cette jeune femme. Dans ces moments, les gens réfléchissaient peu. Une explication d'une logique apparente pouvait leur convenir, et il était assez bon acteur pour que la comédie se tienne. Avec autant de sang autour de lui, il n'y avait qu'une seule chose à faire s'il voulait éloigner la police des lieux du crime : jouer les suicidaire... En d'autres termes, il se parodiait lui-même, un jour où, pour une fois, il se sentait d'excellente humeur. Sa mutation lui faisait un tour d'une ironie sinistre.

- Comment va la femme ? Je sais que je n'aurai pas dû faire ça ici..., poursuivit-il faiblement.

Il baissa la tête en laissant ses cheveux retomber complètement sur son visage et tourna ses avants-bras vers le plafond, afin qu'elle puisse mesurer la gravité de ses blessures. Le fluide vital coulait le long de ses veines. Elle devrait comprendre qu'il était impossible de guérir quelqu'un qui s'était sectionné de la sorte, que ce n'était pas le travail d'un dépressif désorienté mais d'un véritable dément. Si tout se passait bien, elle en conclurait que la femme n'avait pas supporté la vue de tout ce sang, puis, elle prendrait peur elle-même et ne songerait plus qu'à trouver de l'aide pour se décharger d'une situation qui la dépassait. Il avait le temps de disparaître avant l'arrivée des secours.
Le contact qu'il maintenait malgré lui avec la femme étendue sur le sol se rompit enfin. Il commençait à entrevoir le bout de ses peines. Cette fille allait partir, et sa victime serait sauvée. Mais, en réalité, il était loin, très loin, d'être tiré d'affaires. Son pouvoir avait tout simplement été détourné par un corps plus proche et encore parfaitement sain. Le flux reprit, et, cette fois, il circulait de manière assez éloquente entre la jeune inconnue et lui. Finalement, il se retrouvait confronté au pire des scénarios. Et, lorsque la ruse ne marche pas, que reste-t-il sinon les solutions radicales ? La seule réponse tenait sur ce schéma en trois actes : la franchise, la menace et son éventuelle mise en application. Sans laisser le temps à la jeune fille de comprendre ce qui lui arrivait, il envoya deux balles de plasma sur ses paupières pour les maintenir collées et il se redressa en déclarant d'une voix étrangement suave :

- Ne bougez plus et écoutez moi bien... Tout ceci n'est qu'un malheureux concours de circonstances. Mais comme je sais bien que vous n'y croirez pas, je suis bien obligé de prendre quelques précautions. Alors je vais vous laisser le choix... Celui de subir le même sort que cette pauvre femme ou de me suivre bien gentiment jusqu'à la sortie et nous nous sépareront sans le moindre accroc.

Du moins, il l'espérait. La crise n'était toujours pas passée mais, avec tout ce qu'il avait déjà aspiré, le processus de vampirisation s'apaisait. Il ne représentait pas, pour l'instant, un danger direct pour la nouvelle proie que sa mutation avait trouvée. De toute manière, il n'était pas suffisamment serein dans sa tête pour reprendre complètement ses moyens même si, à ce stade, il en avait peut-être les capacités.
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MessageSujet: Re: Quand la mutation s'inspire d'un film d'horreur [Elizabeth]   Quand la mutation s'inspire d'un film d'horreur [Elizabeth] Icon_minitime

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