Les élèves X-men sa pousse comme de la mauvaise herbe[finish

Alexandre, était comme à son habitude, en train de vagabonder dans les rues. En effet, il marchait droit devant lui, sans but précis. Tôt le matin, le gamin avait quitté la confrérie avec son vieux cabot, pour New York, qu'il avait atteind en à peu près deux heures. Vu ainsi, il n'avait pas l'air énervé, cependant, il n'avait pas non plus l'air joyeux. Il ne regardait pas ce qui se passait autour de lui, se contentant de fixer le bout de la rue. Les mains dans les poches, le regard absent, Alexandre semblait songeur. Que pouvait-il bien être encore en train de trafiquer dans sa jeune tête d'enfant? Personne ne pourrait le dire à cet instant, mais il est assez facile de deviner que ce n'était surement rien de bon.

Soudainement, il fit halte devant une petite presse. Il s'engagea à l'interrieur, et traversa la petite boutique. Il s'arrêta devant les journaux, et en prit un de ses mains. Après un rapide coup d'oeil vers la caisse pour vérifier que personne ne l'observer, il glissa le journal sous son pull, avant de sortir comme il était entré; sans attirer l'attention sur lui. Une fois dehors, il le reprit entre ses mains, et commença à le feuilleté. Entre les potins de stars, l'horoscope et les programmes télé, se trouvaient les fait divers. Dedans, il y avait de tout; des accidents sans grands dégâts, toujours et encore des arrestations de mutants, la rubrique des chiens écrasés, et même des sondages dont une des questions attira l'attention du gamin. Cela disait: "Faut-il exterminer la race mutante?". Bien évidement, 85% des voies étaient pour le "Oui". Après une injure marmonnée, Alexandre fit exploser le journal. Cela avait suffit pour le mettre de mauvaise humeur. Décidement, il n'aimait pas les humains, ou du moin il ne les aimait plus depuis sa mutation. Mais de toute façon, eux non plus n'aimaient pas les mutants, et ce stupide sondage le démontrait. Il faudrait que l'institut voie un peu les intentions des humains, peut être qu'ils changeraient d'avis sur 'les humains sont nos amis'.

A fur et à mesure qu'il avançait, Alexandre sentait une colère l'envahir. Il savait très bien ce qu'il lui fallait. Ainsi, il s'approcha d'une de ces petites boutiques que l'on voit dans les rues. Arrivé à au moin 2 mètres d'un des petits magazins, Alexandre tendit une de ses mains vers la vitrines, qui volla en éclat. Il ne savait pas pourquoi, mais le fait d'avoir fait usage de son pouvoir ainsi, en publique, et d'avoir sans doute blessé des personnes, semblait le satisfaire. Après s'être rapidement enfuit en courrant jusqu'à qu'il soit totalement éssouflé, il se retourna, un de ses sourires qu'il à l'habitude de faire au coin des lèvres, comme s'il était fier de lui. Puis, il continua sa route, pensant à divers chose, comme, par exemple, ce qu'était en train de faire son pire enemis Plasm. Il aurait bien voulut l'espionner pour le prendre par surprise, et que pour une fois son bouclier ne s'active pas et que le gamin puisse gravement le blesser. Qu'il serait heureux si cela pouvait se produire, et surtout qu'est-ce qu'il serait fier de lui. En fait, ce n'était pas de tuer Plasm qui l'enchanterait, c'est plutôt de le faire souffrire, et surtout que cet homme se voye battre par un gamin de 14 ans. Mais bon, ce n'était que des rêves. Au pire, s'il attendait d'avoir 30 ans, Plasm deviendrait un vieux, et il pourrait plus facilement le vaincre, mais bon, il fallait déjà que le gamin vive jusqu'à ses 30 ans.

Arrivé au bout de la rue, il emprunta une autre ruelle, beaucoups moin fréquentée que la précédente. Cependant, il y avait quand même pas mal de monde, mais largement moin que dans l'autre. Enfin, le principale était qu'il se soit engagé dans cette rue. Il fit soudainement halte devant la vitrine d'un magazin de jeux vidéo. Depuis combien de temps il n'était pas entré là dedans? Depuis combien de temps n'avait il pas joué à une console? Longtemps...très longtemps. Ainsi, il pénétra à l'interrieur, et commença à se balader entre les rayons, ne cherchant rien de particulier. C'est alors qu'il s'arrêta pour regarder les boites des jeux d'ordinateurs, qu'une petite fille, pas plus âgée que 6 ans passa devant lui pour regarder un jeux de poney. Aussitôt le souvenir de la gamine en sang dans le centre commercial, tuée par des bouts de vers, provenant de la vitrine que le gamin avait fait explosé lui même, alors que la petite était contre. Il s'empressa de détourner son regard. Il avait commit une erreur, voilà tout. Rien d'autre qu'une simple et misérable erreur, et puis ne dit-on pas que l'erreur est humaine? Enfin, cela ne compte peut être pas pour les mutants... Cependant, il s'éfforça de quitter la boutique pour retourner dans la rue. Il s'assit au bord du trottoire, posant ses coudes sur ses genoux et sa tête entre ses mains.

"Pfff..."

Après quelques jours passés à l’institut, Lilas voulait se changer un peu les idées et alla se promener dans les rues de New York. Elle s’amusait à regarder les passants les « humains » ceux qui la détestaient tant. Elle regardait surtout les garçons, car samedi c’est la saint valentin et elle n’avait pas envie de rester seule. Même si Molly, sa nouvelle amie était là pour lui tenir compagnie, elle avait envie de tester l’expérience avec les garçons. Lilas avait déjà 14 ans et elle n’avait jamais embrassé un garçon. Elle regarda une boutique de jeux vidéo peuplés de plein de petits êtres humains, puis elle remarqua un jeune adolescent âgé de 14 ans environ. Elle avait recommencé a marcher et elle était enfuit dans ses pensée lorsqu’elle percuta très très légèrement ce si mystérieux jeune homme.

« Excuse moi je n’ai pas fais exprès »

Puis elle le regarda et tomba tout de suite amoureuse sans même le connaître. Elle n’avait encore jamais ressenti cela . Elle s’empressa d’ajoutée :


« Je m’appelle Lilas et toi »

New-York était vraiment à mourir d'ennuis. Depuis une bonne demi-heure, il ne s'était rien passé d'interressant. Ni accidents, ni bagares, sauf peut être une dispute qui avait eu lieu entre deux automobiliste, dont Alexandre avait même soupsonné l'un d'entre eux d'être ivre. Mais à part ça, il n'y avait rien eu de passionnant. Assis sur le bord du trottoire, fixant la boutique en face de lui, Alexandre semblait perdu dans ses pensées. Derrière lui résonnait le bruit de pas préssé d'une mutlitudes de gens. Depuis un petit moment, les yeux du gamin parcourraient la vitrine du magazin, qui, vue d'ici, devait être un magazin de chasse. Il y avait des fusils, des pistolets en tous genre, des couteaux de divers tailles...Le gamin tenait à peine d'y entrer pour y acheter une arme, mais jamais on le laisserait s'en approcher, il était trop 'petit'. Lui, ce qu'il voulait était une arme à feu discrète, pour faire encore plus de dégâts qu'il ne faisait habituellement. Cependant, un couteau suisse lui conviendrait bien aussi, même si il serait obliger de s'approcher de sa victime pour lui faire mal. Mais bon, si c'était le seul inconvéniant, il s'en fichait totalement.

Puis, soudainement il entendit son chien aboyer doucement. Alexandre releva sa tête, pour voir non loin de lui un vieille dame habillée de la tête aux pieds en léopard. Ses cheveux étaient roux foncés, et coiffés en pétares. Elle tenait un petit sac à main tout aussi moche qu'elle, et au bout d'une laisse en cuire, évidement assortit à sa tenue, un chien ressemblant à un caniche semblant apparement sortir du toileteur.. Alexandre ne put se retenir de rire. Ces deux là était déjà près pour le carnaval. Quand la femme passa devant le gamin, il fit un léger mouvement de sa main, pour faire exploser un morceau de la laisse. Aussitôt le chien, effrayé, commença à courir. Cependant, le gamin, doutait que les cris de la vieille jouaient aussi sur la peur de l'animal.

"MON POUSSIN! VIENS ICI! VIENS VOIR MAMAN!"

Alexandre se retourna ensuite vers la boutique d'articles de chasse. C'est alors, que perdu dans ses pensées, il sentit un léger coups dans son dos. Aussitôt, il fi volte face, pour regarder ce qui venait de le toucher. Devant lui désormait se trouvait une jeune adolescente, qui s'empressa d'ailleurs de s'escuser. Non mais! Pour qui se prenait-elle celle là? Le gamin lui lança un regard froid tout en la dévisageant.

"Nan mais ça va pas! Tu peux pas faire gaffe toi! Ouvre tes yeux idiote!"

Il se releva ensuite, pour se mettre au même niveau qu'elle. Alors qu'il allait ajouter quelque chose, la rouquine commença à se présenter. Elle disait s'appeler Lilas. Alexandre fit une grimmace, il n'aimait pas son nom. Il ne l'aimait pas tout court d'ailleurs. Voilà maintenant qu'elle lui demandait son prénom. Mais elle rêvait celle là! Comme ci le gamin allait lui dire. Ces humains alors...

"Cool! ça me fait une belle jambe!"

Puis il reprit sa place assise sur le trottoire, ignorant l'adolescente. Il passa une main sur la tête de son chien. Comme il aurait aimé que son vieux cabot saute sur cette fille, et lui fasse la peur de sa vie. Mais bon, il savait que c'était impossible. Quelques minutes s'écoulèrent, et Alexandre remarqua que la rouquine était toujours là, debout, à l'observer avec de drôles de yeux. Le gamin n'aimait pas ce regard, il s'éfforçait de l'ignorer. Mais au bout d'un moment il craqua; qu'est-ce qu'elle lui voulait à la fin?

"Tu veux ma photo ou quoi? Tu vois pas que je suis occupé! NON! Alors dégage!"

Ces filles...décidement il ne comprenait vraiment rien au femme lui. Mais il s'en fichait, car cela ne lui apportait rien. Ainsi, il se leva, et lui lança un dernier regard noir, avant de traverser la route, sans regarder si des voitures arrivaient.

Lilas n’avait pas bien compris l’attitude de ce « gamin » et elle décida d’en savoir un peu plus. Elle n’aimait pas vraiment les personnes malpolies surtout les enfants. Mais ce garçon l’intriguait et elle voulait savoir ce qui le dérangeai t. Elle lui répondit fièrement :

« Toi tu es un garçon très malpoli et les jambes des garçons sont toutes moches »
Mais Lilas décida de le suivre, elle manqua de se faire percuter par une voiture elle cria au garçon dont elle ne connaissait pas le nom :

« Attend moi !! S’il te plait »

Mais comme il ne semblait pas l’entendre elle courut derrière lui et au coin d’une rue très peuplée de magasins, d’enfants, de buildings. Le mystérieux garçon s’arrêta enfin et la jeune Lilas se mit mis à lui poser plein de questions types :

« Qui es –tu ? Moi je suis Lilas brooks et je suis au pensionnat pour surdoués car il parait que je suis surdouée mais bon je ne pense pas. Et toi dans qu’elle école es tu ? Où habites-tu ? »

Lilas espérait très fort qu’il allait lui répondre mais elle savait que les « surdoués » n’allaient pas l’intéresser.

"Toi tu es un garçon très malpoli et les jambes des garçons sont toutes moches!"

N'avait put s'empêcher de répéter Alexandre avec un ton moqueur. Non mais d'où sortait-elle pour sortir des phrases pareil? Le gamin n'en avait aucune idée, mais il s'en fichait un peu, car dès qu'il aurait traversé la route il ne la reverait plus jamais de sa vie, du moin il l'esperait. En effet, il n'avait nullement envit de connaitre d'avantage cette jeune fille ringarde, avec ses répliques débiles à en faire peur. Enfin il atteignit l'autre trottoir, juste devant la boutique d'affaires de chasse. Il s'approcha un peu, et repéra un magnifique couteau suisse. C'était celui là qu'il voulait, il en était comme tombé amoureux. Il ne savait pas comment, ni quand, mais il l'aurait un jour, coûte que coûte. C'est alors que la voix de la rouquine parvint aux oreilles d'Alexandre. Mais c'était pas vrai à la fin? Elle n'allait jamais le lacher ou quoi? Elle pouvait pas aller jouer à la barbie au lieu de venir l'embêter? Aussitôt, le gamin commença à marcher. Il était hors de question de l'attendre. Cependant elle ne tarda pas à le rattrapper, s'étant mit à courire. Alexandre se retourna dans sa direction, le regard plus noir que tout à l'heure, et les poings fortement serrés.

"Nan mais t'as rien d'autre à faire toi?"

Mais elle ne sembla pas faire attention à la phrase que le gamin venait de prononcer. Déjà elle le noyait sous une multitudes de questions, plus débiles les unes que les autres. En plus d'être débile, collante et moche, il fallait en plus qu'elle soit un moulin à parole. Alexandre se doutait que ça n'allait pas être aussi facile que ce qu'il pensait de se débarrasser d'elle. Non mais franchement, cela lui avançait à quoi de connaitre son nom de famille? Et puis, il se fichait totalement qu'elle soit dans un pensionnat ou dans une école publique, qu'elle soit une tête d'ampoule ou une cancre. Il se fichait d'elle, mais elle, elle ne semblait pas comprendre. C'est alors qu'elle annonça qu'elle était dans un pensionnat pour surdoué. Tout d'abord il n'y preta pas attention. Ce n'est que quelques minutes plus tard, qu'il se rendit compte que lui, il ne connaissait qu'une seule école pour surdouée; l'institut Charles Xavier. Ainsi, il y avait peut être une chance que cette. Cependant, il préféra ne pas y penser, mais le gamin la regarda bisarement.

"Ecoute Margueritte ou je sais pas qui: tu comprends pas que je me fiche total de toi? Retourne jouer à ta barbie, et FOU MOI LA PAIX!"

Alexandre revint ensuite sur ses pas, et retourna devant la boutique de chasse. Il replongea son regard sur le couteau suisse. Il s'était enfin décider, il allait entrer dans le magazin. Si on lui disait quelque chose, il ferait sauter tout ce qui il aurait autour de lui, si on ne lui disait rien, il se ferait discret, même si avec l'autre fille ce ne sera pas facile. Ainsi, il poussa la porte, après avoir prit soin de laisser son chien dehors. Puis il pénétra dans la boutique et commença à marcher dans les rayons du magazin, sans faire attention à la rouqine, sans même savoir si elle était derrière lui ou pas. Puis enfin, il trouva plusieurs couteaux suisses ressemblant fortement à ceux de la vitrine. Aussitôt, il en prit un dans ses mains, avant de se retourner rapidement vers Lilas.

"Bon, tu me suis depuis t'a l'heure...maintenant tu vas m'aider ok! Prend ça, et sort du magazin, moi je vais voir le vendeur, t'as pas interêt à te faire choppé, car sinon tu verras!"

Après tout, il supportait ses questions et ses phrases débiles, elle devait bien savoir faire quelque chose d'autre non? Sans attendre la réaction de l'adolescente, il se dirigea vers le bout du rayon, à la recherche du vendeur.

Lilas n'aimait pas l'idée d'aller voler quelque chose , elle n'avait jamais volé. Mais elle décida de quand même le faire. Pour faire plaisir au " gamin".Mais tout d'un coup elle eu une idée de génie.Elle proposa au jeune garçon insolant son idée.

"Voler, ça m'enchante pas vraiment, si tu veux, j'ai une autre solution, regarde"

Elle sortit son carnet et s'apprêta à dessiné mais elle abandonna vite son idée lorsque le gérant du magasin de chasse, un gros homme chauve avec une grande barbe blanche les surprit. Aussitôt, ils se mirent à courir comme des chiens enragés, et ne s'arrêtèrent qu'au bout d'une rue assez mal fréquentée à en voir le peu de monde que les deux adolescents venaient de voir. Enfin,a coté d'un magasin fermé depuis au moins 10 ans les deux enfants s'arrêtèrent.Lilas put commencer à dessiner le couteau, qui devint peu de temps après réel. Elle le tendit à l'autre gamin, en faisant un grand sourire.

"ça te plait?"

Tout en attendant la réaction du gamin, Lilas remarqua au bout de la rue, un homme aux aires louches s'approcher d'eux. Instinctivement, elle s'approcha d'Alexandre et lui attrappa la main, comme pour être rassurée, et pour lui montrer sa peur. L'amour qu'elle éprouvait pour lui semblait la rassurée, et ne redoutait pas sa réaction. Elle l'aimait, et c'était le principale.

Il ne manquait plus que ça; ce n'était pas le genre de Lilas de voler. Alexandre sentait sa tête bouillir. A quoi était-elle bonne alors, à part poser des questions totalements idiotes, à coller les gens, et à être un vrai moulin à parole? Sans doute à rien. Le gamin s'était retourné, furieux. Heureusement, Lilas s'empressa d'ajouter qu'elle avait une autre idée et que la gamin devait regarder. Bon, regarder il voulait bien, mais il devait regarder quoi au juste? Sa laideur naturelle? C'est alors que la rouquine sortit un carnet à dessin de sa poche, avec un crayon. Alexandre la regardait bisarement.

"Nan mais tu fais qu..."

Il coupa net sa phrase lorsque Lilas fixa dernière l'épaule du gamin. Alexandre se tourna, et fut surprit de voir un homme assez grand, assez causto, et portant un gilet orange fluo. Cela devait, sans doute le gérant de la boutique.

"NON MAIS VOUS VOUS CROYEZ OÙ LES GAMINS LÀ? DEGUERPISSER!"

Alexandre le fusilla du regard, avant de s'élancer à la suite de Lilas, qui était déjà partie en courrant. Près de l'entrée, il se retourna rapidement, et d'un geste bref, il fit exploser un objet non loin de lui. Il sortit ensuite rapidement, et appella son chien, qui commença à lui courir après. Alexandre parvint à rattrapper Lilas, qui courrait quand même assez vite, et les deux adolescents tournèrent dans une rue qui n'avait rien de très rassurante. Les gens avaient l'air assez louches, et la plupart ivres. C'est alors que la rouquine s'arrêta, et commença à dessiner queque chose sur son carnet. Quelques instants après, un magnifique couteau suisse se trouvait dans les mains de la demoiselle. Alexandre le prit. Non, il ne rêvait pas, il était bien réel. A cet instant précit, Alexandre comprit enfin d'où elle venait. Elle avait parlé d'une école pour surdouée, et l'école Charles Xavier se faisait passer pour ce genre d'école. Ainsi elle était une de ces élèves que le gamin détestait.

Alors qu'il allait prononcer quelque chose, et sans doute une insulte, le gamin sentit quelque chose dans sa main. Il sursauta; Lilas venait de le lui la prendre. A cet instant, il ressentit une drôle de sensation. C'était assez bisare, mais pas trop désagréable. Il regarda Lilas, et lui fit un petit sourire, avant de remarquer l'homme que l'adolescente fixait. Il avait l'air d'avoir beaucoups but, et surtout, il venait dans leur direction. Dans une de ses mains, il tenait une bouteille de bierre.

"Hey...hip...les ptits anges...hip...venez voir par là...hip...j'ai des bonbecs..."

Alexandre lacha la main de Lilas, et fit quelques pas en avant, ouvrant le couteau qu'il tenait. Il était fier d'avoir une arme, aussi petit soit elle. De plus, c'était le moment de l'essayer. Le gamin s'approcha un peu de l'ivrogne, et lui envoya le couteau dessus. L'homme recula, puis bisarement, l'arme disparu. Alexandre se retourna alors vers Lilas, lui lançant un regard interrogateur. L'individu s'approcha, tenant d'une main l'endroit ou le couteau avait été planté. Alexandre montra de sa main la bouteille de bière, et celle-ci explosa, blaissant la main de son porteur. Fou de rage, il attrappa le gamin par les épaules, et le balança contre le sol, et lui adressa un coup de pied dans le ventre, avant de se retourner vers la jeune fille. Et s'approcher d'elle.

"Hip...vient ma ptite...hip...vien voir papa...hip..."

L'homme souriait bisarement, comme s'il avait une arrière pensée. Aussitôt, Alexandre imagina le pire.

"LILAS! COURT! VITE!"

Le gamin voulu se relever, mais sa cheville et son ventre lui faisait mal. Il gemit, avant de regarder Lilas. Il fallait qu'elle parte, malgrès qu'elle soit de l'institut. D'habitude, Alexandre se serait fiché de ce qui risquerait de lui arriver, mais là, c'était différent. Elle, elle était spéciale...

Lilas avait maintenant très peur. Une atmosphère glaciale régnait à présent dans cette ruelle. Il n’y avait plus que ce garçon dont elle ignorait le nom, le soul, et elle. Apparemment tous les autres avait mieux à faire que de défendre deux enfants insouciant, de plus elle n’avait à présent plus personne pour la rassurer. Elle vit le vieux monsieur soul poussé Alexandre et cela lui à fait un choque. Son ami était maintenant à terre et inconscient il saigné du nez car on pouvait apercevoir à terre du sang qui dégoulinait. Lilas ne savait plus quoi faire elle était terrorisé et se demanda un instant si elle devait suivre les conseils du garçon qu’elle aimait ou suivre son instinct, le sauver. Puis avec seulement quelques secondes de réflexion elle comprit qu’elle ne pouvait pas le laissé la tout seul avec un ivre. Elle sortit vite de sa poche son petit carnet qu’elle avait rangé avant la bagarre, elle y dessina le plus vite possible un serpent du Sahara très venimeux dont elle ignorait le nom. Puis elle lui ordonna d’attaquer le pépé qui pue. Pendant ce temps le garçon avait repris connaissance. Mais sous l’effet de la peur elle perdit le contrôle de son serpent. Celui-ci si dangereux rampa jusqu’à elle et la mordit. Elle entendit le vieux pépé qui partait en criant et en levant les bras : « A l’aide des fous au coin de la rue ! A l’aide des fous au coin de la rue » Puis le jeune garçon se releva et lui demanda si ça aller. Elle lui répondit :

« Non j’ai mal »
Elle montra la morsure de serpent et elle s’évanouit

[fin du sujet, suite à l'hopital]