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 L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M.

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L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M. Empty
MessageSujet: L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M.   L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M. Icon_minitimeDim 2 Mai 2010 - 16:40

CARTE
D'IDENTITE



L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M. Zoranlazarevic
© avatar


    NOM : Acker

    PRENOM : Frank

    ALIAS ET SURNOM : l’Ordonnateur

    AGE : 43 ans

    DATE DE NAISSANCE : 12 mars 1967

    METIER : criminel – leadeur du C.R.I.M.

    NATIONALITE : américain

    GENRE : masculin

    CLAN : neutre



Pouvoirs :

Manipulation de la Souffrance


  • Description :

    Qu’est-ce que la douleur ? Une simple information transmise par de système nerveux. Pour l’Ordonnateur, c’est devenu une énergie, une matière qu’il peut à sa guise contrôler. Son gène X a fait muter ses nerfs mais également son cerveau de telle sorte qu’il se retrouve investit d’un terrifiant pouvoir. Ce dernier se décline en plusieurs capacités. Certaines son permanentes alors que d’autres demandent un effort mental pour y avoir recourt. En voici la liste.

    Tolérance absolue à la souffrance :
    (Permanant)

    On peut blesser l’Ordonnateur. Ces blessures ne sont en elles-mêmes pas différente de celles infligées à d’autres individus, elles peuvent donc entrainer la mort si elles sont d’importances. En revanche, l’Ordonnateur a mal sans avoir mal. Jamais il ne hurle ni même ne grimace à la suite un coup aussi violent soit-il. Il ressent la douleur mais celle-ci ne l’entrave pas, elle n’est pas désagréable pour lui, bien au contraire. Elle a tendance à engendrer un sentiment de puissance qui peut en devenir grisant.

    Fine perception de la souffrance :
    (Permanent)

    Pour l’Ordonnateur, la douleur a une odeur. Cette odeur est unique, propre à chaque être vivant. C’est une sorte d’empreinte, une signature. Il peut les sentir, les identifier, mais également les localiser, et ce sur une très large distance. Le cerveau de l’Ordonnateur peut à ce titre être comparé à un radar à souffrance d’une effroyable efficacité. Rien ne peut « aveugler » ce radar, la douleur est décelée même au plus profond d’un abri anti-nucléaire ; et il n’est pas non plus possible de le saturer, quand bien même une foule entière souffrirait le martyre. En revanche, l’éloignement lui fait progressivement perdre de sa précision. Dans un rayon de cent mètres environs, l’Ordonnateur perçoit jusqu’au moindre petit bobo et sait alors avec exactitude qui et où se trouve celui qui l’a subi. A une distance d’un kilomètre, il ne ressent que les souffrances conséquentes qui ne sont alors que de vagues échos, des murmures anonymes dont seule la direction peut-être supposée.

    Absorption de la souffrance :
    (Demande un modeste effort mental)

    L’Ordonnateur peut aspirer la douleur d’un autre. Pour cela, il dispose de deux méthodes : soit il touche le sujet et l’absorption est alors instantanée, soit il regarde le sujet et l’absorption est alors progressive. Concernant cette dernière méthode, la distance maximale est d’environs vingt mètres. Plus elle est grande, plus l’absorption est lente. L’être vivant visé perd toutes sensations désagréables que lui transmet son système nerveux, notamment en cas de blessures. Il ne faut pas pour autant croire qu’il est guérit car ce n’est pas du tout le cas. Pour le sujet, l’absorption de souffrance agit un peu comme une anesthésie qui dure seulement une poignée de minutes. Pour l’Ordonnateur, cette absorption lui permet de stocker de la souffrance en vu d’une future utilisation.

    Transmission de souffrance :
    (Demande un effort mental)

    C’est exactement le contraire de l’absorption. L’Ordonnateur transmet à un autre la douleur qu’il possède, c'est-à-dire sa propre douleur et celle qu’il a absorbée. Là encore, il peut procéder de deux façons différentes : soit en touchant la victime ce qui donne lieu à une transmission brutale et donc plus efficace, soit en regardant la victime ce qui provoque une transmission progressive. La distance maximale pour employer la seconde façon est toujours de vingt mètres environs. La cible a mal là où l’Ordonnateur veut qu’elle est mal. L’intensité et la durée de cette sensation sont proportionnelles à la quantité de douleur donnée. Si cette quantité est importante et administrée brutalement, elle est potentiellement mortelle.

    Décharge de souffrance :
    (Demande un important effort mental)

    L’Ordonnateur, au lieu de transmettre la douleur à un autre être vivant, peut choisir de la répandre dans une zone déterminée. Cette zone a obligatoirement pour origine un point fixe. Elle ne peut donc en aucun cas suivre une cible. Pour recourir à cette capacité, l’Ordonnateur doit se concentrer, donc stopper toutes activités demandant une réflexion quelconque. Il doit aussi disposer de suffisamment de souffrance. La zone choisit se met alors à chauffer et à bourdonner de plus en plus fort. Ce phénomène, provoqué par la concentration d’énergie, fait office d’avertissement involontaire. Ce phénomène préliminaire dure au minimum environs cinq secondes. Plus il est long, donc intense, plus la décharge sera d’envergure. Cette dernière se matérialise par une brève déferlante d’éclairs à la teinte anormalement pourpre et par un bruit de déchirement particulièrement désagréable. Elle n’affecte que les êtres vivants auxquels elle administre une importante dose de souffrance. Ce procédé extrêmement violent à pour principale avantage de démultiplier l’efficacité de la douleur utilisée. De ce fait, il est plus que dangereux et peut s’avérer mortel ou causer de graves séquelles au système nerveux.

    Evacuation de souffrance :
    (Demande un modeste effort mental)

    Garder de la douleur en « stock » trop longtemps, c'est-à-dire plus d’une dizaine de minutes, est nocif pour l’organisme. L’Ordonnateur doit donc l’utiliser ou l’évacuer. S’il opte pour cette seconde option, des étincelles pourpres, pales répliques des éclairs occasionnés par une décharge, courent le long de son enveloppe charnelle. Si, au même moment, il est en contact avec quelqu’un, cette personne aura droit à une désagréable dose de souffrance mais celle-ci est relativement modeste. La méthode de l’évacuation est un « gaspillage ». L’utiliser de façon offensive n’a que peu d’intérêt mais cela reste une alternative utile dans certaine situation. Si l’Ordonnateur a absorbé trop de souffrance et/ou qu’il ressent lui-même trop de douleur, l’évacuation est inconsciemment provoquée. Le mutant, dans une moindre mesure, peut tenter de s’y opposer mais cela lui coûte un effort conséquent et pas toujours payant.

  • Niveaux de maitrise:

    L’Ordonnateur a amplement eut le temps d’expérimenter son pouvoir. Mis à part quelques subtilités, il sait parfaitement s’en servir.

  • Lien entre les Pouvoirs:

    L’Ordonnateur ne possède qu’un seul pouvoir.



Description Physique :


  • Apparence :

    Haut d’1,92 mètre et possédant une robuste musculature, la silhouette de l’Ordonnateur peut intimider. Il a la peau mate et sur celle-ci se trouvent bon nombres de cicatrices, témoignage de sa vie riche en action. Son crâne chauve, les traits sévères de son visage et son regard d’acier n’incitent pas à la plaisanterie. C’est un individu peu commode et on le devine du premier coup d’œil. Sa façon rigide de se tenir rappel tout de suite l’armée. Chez l’Ordonnateur, tout est droit, tout est dur. Il pourrait être l’incantation de la discipline, l’antithèse de la liberté. Et pourtant, il sait être souple. Il n’y a qu’à le voir dans le feu de l’action entrain de courir, bondir, rouler entre les obstacles. Mais peut-être n’est-ce là qu’une nouvelle démonstration de maitrise, celle de son corps.
    La tenue vestimentaire de l’Ordonnateur, toujours du même style, ne fait que souligner ce qui a déjà été mentionné. Elle est simple, fonctionnelle, elle est un nouvel hommage à l’armée. Elle est généralement intégralement noire et comprend l’inévitable gilet pare-balle sans lequel l’Ordonnateur aurait depuis longtemps quitté ce monde. A ceci s’ajoute au minimum un fusil rangé dans le dos et une arme de poing à la ceinture, ainsi que la cartouchière généreusement fournie.

  • Signes Particuliers :

    Il y a tout de même une pointe de fantaisie dans l’apparence de l’Ordonnateur, un détail qui ne vient en rien égailler l’ensemble. Bien peu le connaisse. L’homme, dans le dos, à un tatouage assez volumineux. Il illustre la silhouette relativement réaliste du vautour, emblème du charognard. Le sinistre volatile, peint en noir, étend ses ailes, annonçant sans doute un sombre présage. L’Ordonnateur interprète cette marque comme la mort ; la mort qu’il ne voit jamais puisqu’elle est dans son dos. Mais elle est là, toute proche. Il la devance, il la donne, il la nargue.



Caractère :

  • Mental :

    La fin justifie les moyens, tel est le proverbe favori de l’Ordonnateur. Cela en dit long sur sa façon de penser. Il n’a pas de pitié, pas de compassion, et encore moins de morale. Seul compte son intérêt. Il est donc prêt à tout et comme si cela ne suffisait pas, il est excessivement tenace. Il ne supporte pas qu’un objectif reste hors d’atteinte et il se torturera l’esprit jusqu’à ce qu’il l’atteigne. Si la manière forte, méthode qu’il a l’habitude d’employer en premier ressort, ne suffit pas, il fera alors preuve de ruse. Il est très exigent, avec lui-même. Associé à sa volonté de fer et son expérience, la peur à bien du mal à l’atteindre. Il garde la tête froide en toutes situations. Seule la colère peut altérer sa réflexion et il faut bien avouer que la provoquer est loin d’être difficile. Mais gares aux petits malins qui essaieraient de joueur sur ce défaut. L’Ordonnateur fait payer cher, très cher, ceux qui lui déplaisent. Il est également exigent avec ses subordonnés. Il dirige le C.R.I.M. d’une poigne de fer et réprimande avec une extrême sévérité la désobéissance et l’inefficacité.
    On pourrait croire que l’Ordonnateur est un monstre, ce n’est pas totalement faut, mais il n’est en fait que le produit de la société. Le monde l’a fait souffre, alors il fait souffre le monde. Il a perdu foi en l’humanité, il est persuadé que l’Homme sera son propre bourreau et il se contente de ne pas déroger à cette règle. Pour lui, Xavier est un utopiste et Magnéto, un fou. L’Ordonnateur a beaucoup de défauts mais au moins il ne considère pas les mutants supérieurs à qui que ce soit. D’ailleurs, tout le monde peut intégrer le C.R.I.M. et il n’y a de traitement de faveur pour personne.


Histoire :

  • Talents Particuliers :

    L’Ordonnateur est un vétéran. L’art de la guerre n’a plus de secret pour lui. Il sait utiliser une grande variété d’armes allant du couteau de combat au lance-roquettes en passant par le pistolet, le snipeur, le fusil d’assaut… Son arme de prédilection est le SPAS 12, un fusil à pompe sur lequel il peut monter un lance-grenades. Il sait aussi se battre à mains nues et possède une excellente condition physique, ce qui lui offre une grande mobilité. C’est un homme endurant habitué aux caprices du temps et aux lieux difficiles.

  • Possessions :

    Tout d’abord, l’Ordonnateur dirige le C.R.I.M., une importante et illégale organisation de mercenariat. (Pour en savoir plus sur cette organisation, lisez le post suivant.) Ensuite, il possède toujours sur lui de quoi se défendre. Un SPAS 12, un Glock 34, un couteau de combat et une cartouchière bien fournie constituent son arsenal ordinaire. A ceci s’ajoute un gilet pare-balles et de quoi communiquer. Si l’Ordonnateur se prépare au combat, il est alors impossible de savoir à l’avance ce que sera son équipement, Il s’adapte à la situation.

  • Biographie :

    La famille Acker, originaire d’Allemagne, émigra aux Etats-Unis dans les années 60. Elle ne rencontra pas la fortune espérée. Le rêve américain devint un cauchemar. Frank naquit dans la misère. Les cartiers sordides de Chicago et l’ambiance conflictuelle de son modeste appartement constituèrent le morne quotidien de son enfance. Son père, rendu alcoolique par les difficultés de la vie, le battait, lui et sa mère. Heureusement, l’amour de la bouteille l’emporta alors que le garçon s’apprêtait à fêter ses 8 ans. Appréciable cadeau… mais Frank n’en voulait pas vraiment à son géniteur, il devinait bien la peine qui motivait sa violence. Madame Acker sut ne pas se résigner face à sa situation calamiteuse. Elle ne compta pas ses efforts pour offrir à son fils une existence décente. Ce dernier put aller à l’école mais abandonna vite. Il préféra les petits jobs ingrats à la nécessité de s’instruire. L’argent ne tombait pas du ciel, sa maire avait besoin d’aide.

    Le jeune Acker aurait put tomber bien bas. Il commença d’ailleurs. Presque totalement illettré, n’ayant pour atout que sa solide constitution, son avenir de voyou semblait inévitable. A ceci s’ajouta l’appel de la drogue né du besoin d’évasion, ainsi que celui de la violence né de la révolte de l’adolescence. Et pour parfaire le malsain de la situation, le garçon découvrit à ses 13 ans, alors qu’un nouveau coup dur le poussa à la crise de nerf, qu’il possédait un effroyable don. Ce dernier, lié à la douleur, faillit le faire sombrer dans le masochisme. Frank commit quelques vols, quelques agressions, et il connu la prison. Il faisait partit des cas désespérés, des rebus de la société. Mais le jeune homme, aussi mal engagé soit-il dans l’existence, trouva la force de s’arracher à ce cercle vicieux. Il le fit pour sa mère qu’il ne voulait pas décevoir. « Les Acker ne sont pas des racailles » disait-elle. A 19 ans, Frank s’engagea dans l’armée de terre américaine. C’était sa seule chance de devenir quelqu’un.

    Cet événement fut comme une renaissance. Lui qui n’était guère plus qu’un parasite pour le pays devint un précieux élément. Faisant preuve d’une discipline irréprochable, d’un courage certain et d’un talent remarquable, le soldat Acker s’attira vite l’éloge de ses supérieurs. Il se découvrit une volonté de fer. C’était elle qui lui faisait franchir toutes les difficultés, presque comme une machine. Pendant 15 ans, il gravit les échelons et collectionna les distinctions. Le seul reproche qu’on pouvait lui adresser était sa personnalité glaciale. Les hommes placés sous son commandement le craignaient autant que le respectait. Contrairement à ce qu’on aurait put croire, Frank ne tira aucune satisfaction de sa réussite. Il fut néanmoins à jamais marqué par sa profession. De champs de batailles en champs de batailles, d’opérations en opérations, il adopta l’esprit militaire, ses règles, ses principes, son inhumanité. Sa seule joie fut d’offrir à sa mère épuisée une fin de vie confortable. Quand elle s’éteignit, en septembre 95, on dit de lui que ce fut la seule fois où on le vit verser une larme. En 2001, au terme de ces 15 ans de services sous la bannière étoilée, les Etats-Unis, déjà ébranlés par l’attenta du 11 septembre, furent émus en apprenant la mort d’un de leurs héros de guerre. Le glorieux capitaine Acker était tombé en Afghanistan.

    Evidement, l’histoire ne s’arrête pas là. Il y a d’un côté ce qu’on dit, ce qu’on sait, ce qu’on veut faire croire et de l’autre, il y a la réalité. Frank Acker était considéré comme un héros de guerre alors qu’il n’était qu’un traitre. Pendant son service à l’US Army, il ne cessa de dissimuler des choses. Il cacha en premier lieu sa condition de mutant, sans pour autant arrêter d’expérimenter son pouvoir. Ensuite et surtout, dès qu’il en eut la possibilité, il œuvra pour son propre intérêt. On le croyait patriote alors qu’il n’avait que de la haine pour les USA, ce pays qui n’avait pas sut accueillir sa famille. Même adulte, il n’avait pas oublié la rancœur de l’enfance. La vengeance guidait ses pas mais pas seulement. D’une façon plus générale, il avait perdu foi en l’Humanité. Sa profession lui avait montrant tant d’horreurs, tant d’injustices. Il exécrait la société, le système tout entier, et n’avait pour seule ambition de lui nuire autant que possible. Pour ce faire, il décida de combattre le feu par le feu. L’argent était le nerf de la guerre alors il allait faire de l’argent son arme de prédilection. Il détourna du matériel, tissa des relations, planifia un ambitieux projet… Ses manigances finirent par être remarquées. Compte tenu de leur importance, l’armée préféra ne pas ébruiter l’affaire et opta pour une solution plus simple, plus radicale. La décision fut prise de provoquer la mort du capitaine Acker en Afghanistan. Hélas, l’opération fut un échec. Bien que grièvement blessé, Frank parvient à fuir et à disparaitre. Officiellement décédé, il n’était plus qu’un fugitif, un dangereux élément à supprimer.

    En 2002 apparut l’A.R.M., l’Association Radicale du Mercenariat. Implanté en Egypte, cette organisation criminelle avait pour activité de réaliser, pour le compte d’autrui et principalement par des méthodes militaires, n’importe quoi et surtout ce que réprouvait la morale. Elle était dirigée par l’Ordonnateur, un homme glacial qui n’était pas sans rappeler l’ex-capitaine Acker. L’A.R.M. représenta une véritable aubaine pour nombre d’individus peu scrupuleux. Poussé par ce succès, l’organisation gagna rapidement en importance et étendit progressivement son influence sur toute l’Afrique. Grâce à sa notoriété grandissante, elle attira des clients de plus en plus intéressants. L’un d’eux n’était autre que Néo-Tech, une prestigieuse multinationale française. Son PDG, Francis Merrel était digne du savant fou, ce que trop peu savait. Il devint vite évident que l’Ordonnateur avait du génie. En fait, il fut si talentueux qu’on se demande s’il n’y avait pas quelqu’un dans l’ombre pour le guider. Il était peut-être intelligent et expérimenté dans son domaine, mais cela suffisait-il pour tout prévoir ? Peut-être que la chance ou destin était simplement de son côté, mystère… L’A.R.M. élimina implacablement la concurrence, prit le contrôle d’autres organisations et commença à s’intéresser à la finance. En 2005, son développement fut tel qu’elle devint, à l’occasion de l’absorption d’une grosse association mafieuses italiennes, le Consortium International et Radical du Mercenariat., abrégé C.R.I.M.. Son influence s’étendait alors sur la moitié du globe.

    En 2006, l’Ordonnateur décida de porter un grand coup contre la première puissance mondiale. L’opération appelé Léviathan fut pour lui comme la concrétisation d’un rêve. Elle consistait à voler le Patriote, un nouveau porte-avions américain, le jour de son inauguration. Cette intrépide action demanda des mois de préparation et fut un succès sans précédent. Le 15 mars 2006, les médiats apprirent au monde la gigantesque humiliation que venait de subir les Etats-Unis. Le porte-avions subtilisé fut rebaptisé le Red-Ghost. Il devint le nouveau quartier général du C.R.I.M., autant que son symbole. L’imposante organisation venait de prendre une nouvelle envergure. Depuis, elle ne cessa de croitre encore et toujours. Elle représente aujourd’hui l’un des groupes criminels les plus influant sur Terre.

    Mais l’Ordonnateur n’est pas satisfait, il ne le sera que quand il aura fait sombrer le monde dans le chaos, que quand la société placée face à ses incohérences s’effondrera, que quand l’humanité se sera elle-même condamné. Le C.R.I.M. est en quelque sorte l’instrument de l’apocalypse. Si il est devenu si important, si puissant, c’est grâce à ses clients, à ses associes, à ses allés, c’est grâce au système planétaire. Il est comme un parasite, une maladie, celle de l’argent. Combattre le feu par le feu. Chaque nouveau contrat proposé à la funeste organisation est une victoire de plus pour Frank Acker, l’homme qui a déclaré la guerre aux Hommes.

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Remarque : cette fiche est en deux parties. La suite se trouve juste en dessous. La seconde partie, celle concernant le C.R.I.M., a été approuvée par Kurkaru.
Mot magique : Anole [Vu par Kurkaru]


Dernière édition par L'Ordonnateur le Lun 3 Mai 2010 - 14:31, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M.   L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M. Icon_minitimeDim 2 Mai 2010 - 16:42

Consortium Radical et International du Mercenariat (C.R.I.M.) :


  • Objectif :

    L’argent. Ce n’est pas un résumé, ce n’est pas à nuancer. Le C.R.I.M. n’a pas de revendication à faire valoir, il ne défend aucune idéologie, aucune cause autre que celle de ses comptes en banques. Néanmoins, il sait ne pas se limiter au court termine tant suggéré par la logique de l’argent. Assurer sa pérennité, dans le but de gagner toujours plus, demande de mener des actions variés, pas toujours rentables dans l’immédiat. Eliminer la concurrence, par exemple, est couteux mais permet par la suite de conquérir de nouvelles parts de marché. Le C.R.I.M. a donc un objectif des plus simples mais il fait preuve de stratégie pour le remplir au mieux. Il faut aussi préciser qu’il ne s’encombre pas du respect de la loi, ni même des conventions dictées par la morale. Pour lui, ce sont d’intolérables entraves. Il est donc susceptible de commettre de véritables ignominies si jamais cela s’avère nécessaire. Voilà qui explique le « Radical » présent dans son nom.

  • Activités :

    Principale :

    Le C.R.I.M., comme le « M » de son nom l’indique, fonctionne selon le principe du mercenariat. Il vent ses services aux plus offrants. Escorte, surveillance, assassina, attenta, destruction, espionnage, vol, intimidation, enlèvement, sabotage… voilà l’essentiel de son catalogue. L’efficacité est garantit et pour cause, quand on est prêt à tout pour honorer ses contrats, des concurrents plus scrupuleux ont bien du mal à rivaliser. A ceci s’ajoute le fait que le C.R.I.M. a de gros moyens à sa disposition. Ses clients sont généralement de grandes entreprises aveuglées par l’happât du gain, d’obscures associations, de riches familles rancunières ou intrigantes, d’ambitieux politiciens et parfois même, certains état dictatoriaux. Il va de soit que les prix proposés sont très loin d’être à la porté de tout le monde.

    Secondaire :

    Le C.R.I.M. de part son organisation, s’est rendu compte qu’il pouvait facilement se lancer dans le trafique d’armes. Cela aurait été dommage de ne pas profiter de cette opportunité. Il est loin d’être le leadeur sur ce marché mais cette nouvelle activité lui apporte d’appréciables bénéfices. De plus, il peut ainsi brader sans difficulté son matériel usagé, obsolète ou simplement inutile. C’est en Afrique qu’il écoule l’essentiel de ses piètres marchandes. En effet, les armes vendues par le C.R.I.M sont peu chers mais peu fiables. C’est en somme tout le contraire de son cœur de métier.

    Utilitaire :

    Que ce soit pour faciliter son activité de prédilection ou simplement accroitre encore et toujours ses revenus, le C.R.I.M. mène une guerre économique acharnée. Nombre d’entreprises sont tombées sous sa domination. Sans assumer leur gestion, il s’efforce d’en tirer le maximum de bénéfice même si cela conduit à la faillite des dites entreprises. L’organisation perdure en partie en ruinant son entourage. Il ne faut pas croire que cette stratégie est novatrice. Le C.R.I.M. se contente de respecter à la lettre les préceptes du capitalisme.

  • Patrimoine :

    Généralités :

    Le C.R.I.M. est avant tout un assemblement international et illégal de groupes de mercenaires. Au regard de la loi, il ne possède rien. « C.R.I.M. » est une dénomination qui n’apparait nulle part, sauf peut-être dans d’innombrables enquêtes de police. Et pourtant, tout le monde sait que le groupe est l’un des plus riches au monde, plus riche même que certains petits états. « C.R.I.M. » se cache derrière un nombre incalculable d’entreprises, d’associations, de particuliers. C’est une pieuvre juridiquement invisible qui s’insinue partout. Ses installations sont aussi nombreuses que variés. Il faut dire que la loi, le C.R.I.M. la connait. Il a un bataillon de juristes sous son influence. Il la contourne, il en profite même. Ses nombreux comptes bancaires, situés dans les paradis fiscaux, sont au nom de personnes très respectables ou de parfait inconnus. Les financiers du C.R.I.M. jouent en bourse dans le double but d’accroitre toujours d’avantage les bénéfices mais aussi de prendre le contrôle de toujours plus d’entreprises. L’argent est un but et une arme.

    Les bases :

    Comme dit ci-dessus, les installations du C.R.I.M. sont aussi nombreuses que variées. Néanmoins, la très grande majorité ne serait prétendre au titre de véritable base. Ces installations sont réparties dans le monde entier.
    -Point d’arrêt : ce sont les innombrables lieux où le C.R.I.M. peut stocker du matériel ou loger son personnel. Ce peut être un appartement, une maison, un entrepôt, l’arrière boutique d’un magasin, une cave… Dans tous les cas, les points d’arrêts ne possèdent aucune infrastructure militaire, aucune défense spécifique. Pourtant, leur importance est capitale. Sans eux, l’organisation des opérations serait beaucoup plus compliquée. La majorité des points d’arrêts se trouve dans les villes.
    -Camp : quand le C.R.I.M. agit hors des zones urbaines et qu’aucun point d’arrêt n’est à proximité ou ne convient aux impératif de la mission, il installe des camps temporaires. Ce sont souvent de simples groupements plus ou moins importants de tentes. Si le camp doit accueillir beaucoup de monde pendant une durée assez longue, ce sont alors des baraquements préfabriqués qui le constituent. Des mitrailleuses automatiques et quelques autres modestes dispositifs peuvent en assurer la protection.
    -Base : elles sont peu nombreuses et implantées dans des lieux stratégiques. Une base est fortifiée et accueille de façon permanente des véhicules militaires et des mercenaires. Si elle est suffisamment grande, elle possèdera une piste d’atterrissage et jouera ainsi le rôle d’aéroport. D’autres font office de port. Installer des baes dans les pays riches est extrêmement compliqués. On en trouve tout de même quelque unes mais elles sont alors camouflées et installées dans des endroits discrets.
    -Centre d’entrainement : ce sont des bases consacrées à la formation des nouvelles recrues. De taille conséquente, elles ne sont implantées que dans des pays pauvres afin de leurs assurer une plus grande sécurité.
    -Centre de rétorsion : trahir ou s’opposer au C.R.I.M. coûte cher. Il ne faut pas croire que la mort est le châtiment ultime, il y a pire. L’organisation possède ses propres prisons. Ce sont toutes de véritable forteresse installées dans de petites îles ou dans des lieux au climat très dur. S’évader est impossible pour la plupart des individus. Ces prisons sont l’enfer sur terre. Travail forcé, torture et humiliation constituent le quotidien des prisonniers. Généralement, ils finissent par mourir sauf si leur séjour est bref.

    Le quartier général :

    Bien malin celui qui pourrait indiquer sur une carte la position du QG du C.R.I.M. et pour cause, celui-ci est mobile. Le centre névralgique de l’organisation est ni plus ni moins un porte-avions. Ce colossal bâtiment naval est baptisé le Red-Ghost. Il a été volé aux Etats-Unis lors de l’opération Léviathan, une grandiose action qui permit au C.R.I.M. de devenir ce qu’il est aujourd’hui. Il faut savoir que bien peu d’états peuvent se venter de posséder un porte-avions. C’est la pièce métrasse de la marine et un incontestable symbole de puissance. On comprend donc aisément que le C.R.I.M. a prit une autre dimension en s’emparant d’un pareil bateau. Le Red-Ghost est à la pointe de la technologie. Il possède un armement polyvalent et extrêmement puissant. Son équipage, fort de plusieurs milliers d’hommes, rassemble les meilleurs mercenaires. Malgré cela, le Red-Ghost compte avant tout sur son système novateur de camouflage pour échapper aux forces militaires. Aucun radar ni aucun satellite n’est en mesure de le détecter. Son nom vient de ce fait : c’est virtuellement un fantôme. Il joue au chat et à la souris sur les océans du globe, et il est la souris. Le Red-Ghost a trop de valeur pour être utilisé de façon offensive. Si le C.R.I.M. le perdait, ce serait comme si la France perdait la tour Eiffel. Le porte-avions sert avant tout de base mobile, il facilite la logistique de l’organisation et rentabilise ainsi les énormes moyens qu’il demande pour son entretien.

    Les entreprises :

    Faire la liste complète des entreprises appartenant ou étant étroitement associées au C.R.I.M. serait trop long. Il faut juste savoir qu’elles sont innombrables, de toutes tailles, de toutes activités, et situées sur tout le globe. Le comportement de l’organisation n’est pas le même envers une entreprise dominée et une entreprise associée. Dans le premier cas, elle agit comme un vampire. Elle ponctionne une partie des bénéfices, profite de ses locaux pour sa logistique et, éventuellement, lui passe « de force » commande à des prix indécents. En échange, il n’y a rien mis à part une relative protection. L’entreprise dominée est réduite à l’esclavage et bien souvent cela la conduit à la faillite. Le C.R.I.M. ne va néanmoins pas s’occuper de sa gestion, il se contente de la surveiller. Dans le second cas, l’organisation se montre un partenaire très agréable. Une véritable relation commerciale est crée entre elle et l’entreprise associée, une relation qui profite aux deux parties. Dans le domaine économique, mieux vaut donc être l’ami que le serviteur du C.R.I.M..

    Parmi toutes ces entreprises, il en existe quelques-unes dont l’importance dépasse de loin celle des autres. En voici la description.
    -Néo-Tech : multinationale française dont le siège sociale se trouve à Paris, cette entreprise possède une excellente image après de l’opinion publique et participe à la fierté de l’hexagone. Il faudrait vraiment voir le mal partout pour ne serait-ce qu’envisager une quelconque relation entre Néo-Tech et le C.R.I.M., et pourtant…. La multinationale a fait tant appel à l’organisation criminelle par le passée qu’elle a finit par s’associer avec elle. Francis Merrel, PDG de Néo-Tech et septuagénaire hyperactif, est un scientifique un peu dérangé qui considère la recherche au-dessus de la loi et de la morale. Quand on le sait, on comprend tout de suite mieux pourquoi lui et l’Ordonnateur s’entendent à merveille. L’entreprise est versée dans la technologie de pointe et sa filiale, Bio-Tech, dans la génétique. Grâce au C.R.I.M., elle peut mener d’ignobles expériences en toute sécurité. Elle n’hésite notamment pas à se procurer des cobayes humains dans les centres de rétorsion de l’organisation. De plus, cette dernière teste les prototypes qu’on lui confit. En échange, Néo-Tech équipes les unités d’élites du C.R.I.M. et modernise ses installations d’importances. C’est par exemple grâce à elle que le Red-Ghost dispose d’un système de camouflage si perfectionné.
    -Chronoworld : la plus grande difficulté pour le C.R.I.M. n’est pas forcément l’accomplissement en tant que tel de ses contrats, mais plutôt l’acheminement de ses mercenaires et de leur matériel sur les lieux appropriés. Assurer une logistique mondiale n’est déjà pas simple mais en plus, il faut qu’elle soit discrète afin, évidement, de ne pas être entravée par les autorités. Un petit coup de pouce en la matière a donc été nécessaire et c’est Chronoworld qui est venu l’apporter. Cette entreprise américaine est spécialisée dans le transport de marchandises et matières premières sur de longues distances pour le compte d’autres entreprises. Elle dispose pour cela de nombreux camions mais aussi de plusieurs bateaux. En échange d’une généreuse compensation financière, Chronoworld fait profiter le C.R.I.M. de ses services avec toute la discrétion requise. Dans ses véhicules se cache donc des armes et des hommes, parfois en quantité assez importante.
    -Money-Game : Friedrich Brükner, milliardaire allemand, a une passion pour les jeux d’argents. Il possède plusieurs casinos rassemblés sous la franchise Money-Game et disséminés dans divers pays riches tel que les Etats-Unis. Seulement voilà, Friedrich voulait se démarquer de la concurrence en proposant des sensations plus fortes, des jeux plus intenses. La loi l’encombrait, le C.R.I.M. lui a permis de donner libre cours à ses délires de mégalomanes. Chez Money-Game on peut maintenant jouer sa vie pour des billets et même plus encore, on peut aussi assister aux spectacles atroces que deviennent ces jeux. Il suffit d’avoir les bonnes relations et un compte en banques suffisamment fourni. Le C.R.I.M. est là pour assurer l’ordre et le respect des règles. En échange, il est grassement rémunéré. Tout ceci se fait dans un relatif secret. La réputation de Friedrich Brükner est loin d’être glorieuse, tout comme celle de son groupe. Mais c’est peut-être justement ça qui attire tant de monde.

    Equipement :

    Le C.R.I.M., outre ses installations et l’appui de ses alliés, peut compter sur d’importants moyens militaires. Son personnel disposent d’armes modernes ; il possède de nombreux tanks et hélicoptères de combat ; le Red-Ghost n’est pas le seul bateau tombé sous sa domination ; des sous-marines et des avions de chasse viennent parfaire son arsenal… sans être en mesure de tenir tête à une armée digne de ce nom, le C.R.I.M. a très largement dépassé le stade de petite milice. Néanmoins, avoir des moyens est une chose, pouvoir les utiliser en est une autre. Quand l’organisation agit dans un pays riche, elle doit faire preuve de discrétion. Elle doit donc oublier les véhicules militaires ou les utiliser avec une extrême modération. C’’est dans le tiers-monde qu’elle peut se dévoiler et frapper avec toute sa puissance. Alors, des villages entiers peuvent disparaitre sous ses obus, des populations entières peuvent souffrir de sa froide détermination.

  • Membres :

    Généralités :

    Intégrer le C.R.I.M. est facile si on sait à qui s’adresser. Tout le monde est susceptible d’être accepté, peut importe le sexe, l’âge, les opinions politiques, le milieu social, le contenu du casier judiciaire, ou encore le fait d’être ou non un mutant. Dans un premier temps, les volontaires sont invités à exposer leur savoir faire et sont aussi informés du règlement ainsi que des sanctions en vigueurs. On leur explique également les risques de la profession et les conditions de travail qu’elle entraine. La méthode de recrutement est en fait un modèle d’honnêteté. Quand on s’engage au C.R.I.M., on sait à quoi s’attendre et on le fait de son plain gré, personne ne force la main. A l’issue de cette séance préliminaire, les volontaires peuvent abandonner ou continuer. Dans ce dernier cas, ils sont testés lors d’épreuves adaptées à leur expérience. Les menteurs, ceux qui ont prétendu être ce qu’ils ne sont pas, sont démasqués et écartés. D’une façon générale, tous ceux qui échouent aux testes doivent partir. Pour les autres, c’est l’heure du choix, celui de renoncer ou de s’engager pour de bon. Il est facile d’enter au C.R.I.M., mais en revanche il est beaucoup plus dur d’en partir.

    Ce qui attire tant de monde dans cette organisation, c’est la clarté de ses objectifs et de sa politique, ainsi que la généreuse rémunération à laquelle on peut prétendre. Bien sûr, cette dernière est évaluée selon l’ancienneté et l’utilité de chaque membre mais même un jeune débutant aura un salaire respectable. C’est simple, pour les populations défavorisées, le C.R.I.M. représente l’une des meilleures perspectives d’avenirs. Le fait qu’il soit illégal a bien peu de poids face à la misère. Les effectifs de cette organisation sont énormes et proviennent du monde entier. Mais parmi eux, il y a une très large proportion de débutants qu’il faut former pour en faire de véritables mercenaires. Il faut aussi, pour beaucoup, leur apprendre l’anglais pour des raisons pratiques évidentes. Difficile d’obéir à son supérieur si on ne le comprend même pas.

    Il ne faut pas idéaliser le C.R.I.M.. L’intégrer signifie perdre sa liberté et sa vie privée. La méthode de recrutement vulnérabilise l’organisation à l’espionnage. Pour remédier à cela, chaque membre est étroitement surveillé et surtout, les informations circulent de façon très limitée. Si, au moment de s’engager, tout était expliqué, tout était claire, après les mercenaires doivent obéir sans poser de question. Ils ne connaissent que leurs ordres et uniquement au dernier moment. Ce sont des pions dans le jeu de l’Ordonnateur.

    Organisation :

    Voici comment se compose l’échelle hiérarchique du C.R.I.M. :
    -Rang 0 – Novice : grade donné aux nouveaux dont le manque d’expérience empêche de devenir Exécutant. Les Novices font l’objet d’un entrainement rigoureux.
    -Rang 1 – Exécutant 2nd classe : grade donné aux mercenaires de base. Les Exécutants 2nd classe n’ont qu’une chose à faire : obéir.
    -Rang 1 – Exécutant 1ère classe : grade donné aux mercenaires expérimentés où particulièrement doués. Les Exécutants 1ère classe sont utilisés pour des missions plus importantes.
    -Rang 1 – Technicien 2nd classe : grade donné aux personnes dont le rôle n’est pas de se battre. Les Techniciens 2nd classe s’occupent de la maintenance de l’équipement, des véhicules, des installations et peuvent seconder les Exécutants lors de missions particulières. Le personnel médical porte également ce grade.
    -Rang 1 – Technicien 1ère classe : grade donné aux techniciens expérimentés ou particulièrement doué. Les Techniciens 1ère classe s’occupent de tâches délicates et généralement dangereuses telles que l’entretien de l’armement sophistiqué. Le personnel médical expérimenté porte également ce grade.
    -Rang 2 – Meneur 2nd classe : grade donné aux chefs de moindre importance. Un Meneur 2nd classe dirige une unité constituée d’Exécutants 2nd classe.
    -Rang 2 – Meneur 1ère classe : grande donné aux petits chefs expérimentés ou particulièrement doués. Un Meneur 1ère classe dirige une unité constituée d’Exécutants 1ère classe.
    -Rang 2 – Instructeur : grade donné aux Meneurs spécialisés dans la formation militaire des nouvelles recrues. Un Instructeur encadre un groupe de Novices.
    -Rang 2 – Technicien Instructeur : grade donné aux Techniciens spécialisés dans la formation des nouvelles recrues. Un Technicien Instructeur encadre un groupe de Novices qu’il forme au métier qui est le sien. Il est aussi chargé de l’enseignement de l’Anglais.
    -Rang 2 – Solitaire : grade donné aux mercenaires très compétents et éprouvant une vive préférence pour travailler sans équipier. Un Solitaire est autonome dans ses missions mais, en contrepartie, il n’a aucune autorité. Les Solitaires sont particulièrement appréciés dans les opérations d’espionnage ou d’assassina.
    -Rang 3 – Superviseur : grade donné aux coordonateurs d’opérations. Un Superviseur commende, à distance ou sur le terrain, une seule ou quelques unités de 2nd et 1ère classe. Les Superviseurs s’occupent de missions demandant peu d’hommes, elles peuvent d’être d’une grande variété. Le Superviseur est donc polyvalent.
    -Rang 3 – Dirigeant : grande donné aux chefs d’importances. Un Dirigeant commende plusieurs unités de 2nd et 1ère classe. Les Dirigeants ne sont envoyés que dans les missions qui nécessitent un grand nombre d’hommes. Ce sont essentiellement de véritables assauts. Le Dirigeant est donc avant tout un chef de guerre. Il est également habilité à s’occuper d’une petite base ou d’un navire.
    -Rang 3 – Technicien Superviseur : grande donné aux responsables techniques. Un Technicien Superviseur coordonne les Techniciens 2nd et 1ère classe d’un secteur.
    -Rang 3 – Instructeur Superviseur : grade donné aux responsable d’un centre d’entrainement. Un Instructeur Superviseur organise la formation des Novices.
    -Rang 4 – Surveillant : grade donné aux personnes dont la loyauté est sans faille. Les Surveillants sont chargés de démasquer les traitres et, d’une façon générale, de repérer toutes les infractions au règlement. Ils forment la police interne du C.R.I.M.. A ce titre, ils ont le droit de cacher leur fonction au profit d’une autre, moins importante. Un Surveillant peut également jouer le rôle d’émissaire.
    -Rang 5 – Surveillant Superviseur : grade donné aux hauts responsables de la sécurité. Ce sont toujours des gens qu’on pourrait qualifier de fanatique. Un Surveillant Superviseur est placé à la tête d’une base d’importance ou d’un centre de rétention. Il joue également le rôle de juge de la cours martiale du C.R.I.M..
    -Rang 5 – Opérateur : grade donné aux stratèges du C.R.I.M.. Les Opérateurs conseillent l’Ordonnateur et assurent le bon déroulement des opérations de très grande importance. Ils ne se déplacent jamais, ils communiquent à distances leurs instructions.
    -Rang 6 – Ordonnateur : grade suprême. Il n’y a qu’un Ordonnateur, il dirige de C.R.I.M..

    -« Les autres » : ils n’ont pas de grade et pourtant ils servent le C.R.I.M. parfois aveuglements. Ce sont les juristes, les avocats, les policiers, les journalistes, les politiciens, les financiers et bien d’autres encore qui ont juré allégeance à l’Ordonnateur. Il ne faut pas les confondre avec des associés, des alliés. Eux, ce sont des sbires à part entière, ils ne défendent qu’un seul intérêt. « Les autres » n’ont aucun pouvoir sur le personnel du C.R.I.M. mais leur importance n’en est pas moins grande.

    Remarques :
    -Les mercenaires du C.R.I.M. se répartissent en unités. Une unité compte entre trois et trente personnes. Tout dépend de l’objet de sa mission.
    -Il n’y a pas d’uniforme ni de galon dans l’organisation. La discrétion est bien trop souvent un impératif. Pour s’identifier, les membres du C.R.I.M. utilisent un procédé mis au point par Néo-Tech. Chacun possède une petite plaque magnétique qui contient son matricule, son grade, ainsi que son emprunte digitale. Un appareil, lui aussi de taille modeste, permet en premier lieu de lire les informations de la plaque, en deuxième lieu de vérifier si l’emprunte digitale du possesseur de la dite carte correspond à celle enregistrée et enfin, en troisième lieu, de vérifier si les informations de la plaque correspondent à celles de la base de données du C.R.I.M..Cet appareil est très largement rependu. Le procédé est à la fois simple et efficace.

    Unités particulières :

    La très grande majorité des unités portent comme nom « 2nd classe » ou « 1ère classe ». Mais il en existe certaines dont la dénomination change. Ce sont des unités d’élites uniquement constituées des meilleurs Exécutants et Meneurs 1ère classe. Leur nombre restreint et les moyens importants qu’elles nécessitent font qu’elles sont réservées aux missions de la plus haute importance.

    Unité de choc : le mercenaire d’une Unité de Choc est très aisément reconnaissable. Il porte une imposante combinaison de combat dont la robustesse est à l’épreuve des balles. Cette combinaison intègre un casque muni d’un masque à gaz et de lunettes infrarouge. L’armement associé est « de choc ». Le mercenaire doit être en mesure de tuer en masse, de détruire pratiquement n’importe quoi et de tenir tête à des blindés ou des hélicoptères. L’arsenal en lui-même est variable mais il est toujours composé de plusieurs armes lourdes et sophistiquées tel qu’un lance-missiles à tête chercheuse, un lance-flamme next-gen, une imposante sulfateuse, des grenades à gaz asphyxiant ou encore l’effroyable tronçonneuse de bataille. Les Unités de Choc peuvent cosser un véritable chaos. Leur seul inconvenant est leur faible mobilité. Mais, cette dernière vient renforcer leur image. Entendre le pas lourd et régulier de ces tanks humains, entendre leur respiration filtrée par les masques à gaz, entendre le cliquetis de leur équipement meurtrier, une Unité de Choc à de quoi faire peur même aux braves. Elle est la solution trouvée par le C.R.I.M. pour bénéficier d’une importante puissance de feu dans les pays riches. Sans l’aide de Néo-Tech, ces Unités n’auraient jamais vu le jour.

    Section Rouge : ils vivent pour le C.R.I.M., jamais ils ne reculeront, jamais ils ne renonceront. Ce sont des fanatiques, des machines à tuer, l’effrayant résultat de l’esprit militaire poussé à son extrême. Leur équipement n’a rien d’aussi insolite que celui des Unités de Choc mais il est toujours de très grande qualité. Il compte toute fois des produits dopants afin d’optimiser l’efficacité et de faire ignorer les blessures. Les Sections Rouges défendent le Red-Ghost ainsi que quelques autres hauts lieux de l’organisation. Ils assurent également la protection rapprochée de l’Ordonnateur et des Opérateurs.

    Unité expérimentale : demander à Néo-Tech d’inventer, c’est comme demander à un être humain de ne plus respirer. Il y a donc toujours de nouveaux prototypes à expérimenter. Et il faut bien l’avouer, rien de mieux pour cela que de l’utiliser en situation réelle. C’est un risque, c’est vrai, mais le test est alors vraiment instructif. Le C.R.I.M., sur la base de son partenariat, a désigné des unités spécifiques pour assurer l’évaluation des inventions de Néo-Tech. Les mercenaires qui en font parti doivent, en plus de réaliser leur mission, rédiger un rapport sur le matériel testé. En échange, ils ont doit à une prime de risque plus élevée que la normale.

  • Image :

    L’opinion publique :

    Le C.R.I.M., dans les pays riches, est méconnu du publique. On entant très peu parlé de lui et de ces méfaits, quand bien même ces derniers sont d’envergures. Les médiats semblent tous trouver le sujet inintéressant et l’évoque à peine. C’est assez curieux car le sensationnel est toujours source de bénéfice pour les acteurs de l’information, et ce peu importe d’où il provient. Le C.R.I.M. fait donc office d’exception. Relativement peu de gens connaissent son existence. Et ils sont encore plus rares ceux qui savent ce qui se cache derrière ce sigle. L’organisation est régulièrement assimilée au terrorisme international et rien n’est fait pour dissiper la confusion.
    Et pourtant, le C.R.I.M. n’a pas vocation à exister dans l’ombre. Certes, il se cache pour rester hors de porté des forces militaires, mais jamais il n’a dissimulé ses actes et la raison qui les motivait. Dans les pays en développement, le nom de l’organisation est presque omniprésent. De plus, se renseigner n’est pas si difficile que ça. Quelques clicks sur internent suffisent bien souvent à en savoir plus, bien plus que ce que la télé, la radio et les journaux américains racontent. Ce qui est en revanche véritablement difficile à savoir sur le C.R.I.M., c’est sa réelle influence. Il faut être spécialistes du monde criminel ou faire parti de ce milieu pour en avoir une idée plus ou moins juste.

    Si le C.R.I.M. est méconnu, ce n’est pas pour autant le cas de ses plus grands alliés. Néo-Tech est un géant de l’économie. La multinationale française fait souvent parler d’elle, que se soit à l’occasion de ses salons d’expositions, de ses campagnes publicitaires ou tous simplement lorsqu’un de ses contrats avec un énième client d’importance fait les gros titres. Money-Game est aussi connu qu’une franchise de casinos peut l’être. C’est un incontournable du domaine et le milliardaire à sa tête, Friedrich Brükner, a amplement de quoi alimenter la polémique. Chronoworld, quand à cette dernière imposante entreprise, possède une grande notoriété mais uniquement auprès d’autres entreprises. La logistique n’intéresse que les professionnels.

    Position des états :

    Le C.R.I.M. est une nuisance qu’il convient d’éradiquer au plus vite. Voilà ce que tout bon chef d’état digne de ce nom affirme quand on aborde le sujet. Mais il fait être honnête, si le monde voulait éradiquer le C.R.I.M., cela ferait longtemps qu’on en entendrait plus parler. L’organisation est l’ennemi de la morale, mais pas du système économique planétaire. Il est devenu un important maillon de ce système et, à ce titre, on le défend dans l’ombre et surtout, on fait appel à lui. L’organisation, aussi ignoble soit-elle, a sut se rendre indispensable. Aucun état, pas même les Etats-Unis, ne peut lui déclarer une guerre ouverte. Ce serait de toute façon difficile, le C.R.I.M. est partout et il se cache derrière tant de choses. Ses plus féroces détracteurs sont parfois ses clients. Combattre le C.R.I.M., c’est combattre l’argent. Et que valent la morale et les convictions face à l’argent ? Si peu.

    L’organisation a forcé le monde à la tolérer. Ce n’est pas pour autant qu’elle peut tout se permettre. Les états ne vont pas lui laisser carte blanche sur leur territoire, ils cherchent à faire respecter leurs lois, ne serait-ce que pour ménager leur image. Ensuite, le C.R.I.M. dérange. En respectant aveuglément les préceptes du capitalisme, il montre à quel point la rentabilité est l’opposé de l’humanité. Cette mauvaise « publicité » met à mal l’idéologie tant défendue par les pays riches. C’est pour cette raison que ces derniers cherchent à occulter l’image de l’organisation en comptant essentiellement sur les médiats. Enfin, qui détient le pouvoir attise la convoitise. Le C.R.I.M. a beaucoup d’alliés et autant d’ennemis. Beaucoup aimeraient le voir chuter afin d’occuper la place qu’il s’est créé. Au moindre faut pas, tout peut basculer. Mais pour l’heure, l’organisation est intouchable.

  • Historique :

    Mars 2002 : constitution de l’Association Radicale du Mercenariat (A.R.M.) en Egypte.
    Mai 2003 : l’A.R.M. commence à agir hors des frontières égyptiennes
    Février 2004 : l’A.R.M. commence à faire des opérations boursières
    Out 2004 : installation du premier centre d’entrainement de l’A.R.M.
    Octobre 2004 : première relation avec Néo-Tech
    Janvier 2005 : l’A.R.M. agit sur tout le continent africain
    Avril 2005 : construction du premier centre de rétorsion de l’A.R.M.
    Septembre 2005 : l’A.R.M. devient le C.R.I.M.
    Janvier 2006 : le C.R.I.M. agit en Afrique, en Europe et en Amérique.
    15 mars 2006 : opération Léviathan. Le porte-avions américain Patriote est volé et devient le Red-Ghost : QG du C.R.I.M.
    Avril 2006 : Néo-Tech s’associe étroitement avec le C.R.I.M.
    Juin 2006 : le C.R.I.M. s’associe à Chronoworld
    Janvier 2007 : le C.R.I.M. agit sur tout le globe.
    Février 2007 : le C.R.I.M. se lance dans le trafique d’armes
    Octobre 2007 : Money-Game s’associe au C.R.I.M.
    Après : le C.R.I.M. continu de croitre

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Kurkaru
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MessageSujet: Re: L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M.   L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M. Icon_minitimeDim 2 Mai 2010 - 21:14

Rebienvenu parmi nous ! Deux remarques, avant de te modérer : va lire le règlement, et es ce que tu pourrais redimensionner l'image, histoire qu'elle ne dépasse pas du cadre prévu à cet effet ?
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MessageSujet: Re: L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M.   L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M. Icon_minitimeDim 2 Mai 2010 - 22:03

C'est fait.
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MessageSujet: Re: L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M.   L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M. Icon_minitimeLun 3 Mai 2010 - 9:27

Bienvenue, je te complimente pour la qualité de l'écriture, bon courage pour ta modération Wink à plus dans les rp
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MessageSujet: Re: L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M.   L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M. Icon_minitimeLun 3 Mai 2010 - 12:01

Alors, rebienvenu parmi nous, avec ton compte pour le moins ambitieux. Je te dirais bien que ça va faire mal... mais ton perso à pas l'air d'être dérangé par ce genre de détails ><

Fine perception de la souffrance : Ca me parait un peu beaucoup... Réduit moi ça, s'il te plait.

Absorption de la souffrance : Il peut être surchargé de souffrance ? Il y a une durée limite avant qu'il relache cette souffrance ?

Absorption/transmission : quel distance maximum quand il absorbe restitue la souffrance ?

Transmission : il peut tuer par transmission de souffrance ?


Voila, c'était pas grand chose. Corrige moi ça et tu pourras rependre le mal sur le forum ^^
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MessageSujet: Re: L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M.   L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M. Icon_minitimeLun 3 Mai 2010 - 14:40

Merci pour les compliments ! Ça fait plaisir ! Very Happy

J’ai édité la fiche en répondant à toutes tes questions. (Certaines réponses se trouvent dans « évacuation de souffrance »).
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MessageSujet: Re: L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M.   L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M. Icon_minitimeMar 4 Mai 2010 - 10:08

Hey ho hey ho ! On rentre du boulot ! Bon je dois t'avouer que pour un réveil efficace ta fiche c'est le top !

Non franchement on voit bien que tu as passé du temps dessus et que chaque détail est étudié avec soin ! Rien de particulier à dire si je voulais être tatillon je parlerais de certaines fautes mais sur une fiche grande comme cela passons ><

Donc pour moi c'est un oui en plus création d'une nouvelle unité, que dire de plus ?

Rebienvenue sur le forum Very Happy
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Kurkaru
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MessageSujet: Re: L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M.   L’Ordonnateur, leadeur du C.R.I.M. Icon_minitimeMar 4 Mai 2010 - 11:17

Fiche validée, Neutre Aplha, bon rp parmi nous !

N'oublie pas d'aller te recenser sur la liste des avatars , si la liste des pseudo et sur la liste des pouvoirs.

S'il s'agit d'un double compte, pense aussi à poster sur la liste des multi comptes.

S'il s'agit d'un personnage marvel, n'oublie pas te signaler sur cette liste.

Si tu veux qu'un joueur joue quelqu'un que tu as évoqué dans ta fiche, merci de remplir le formulaire que l'on trouve ici.

D'avance merci.
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