mauvaise soirée en vue [un confreriste ou un neutre]

Plasm venait de quitter Lisbeth Salander sur la terrasse de l'institut. il avait perçu trés faiblement une hostilité venant de la ville, trés loin ... ce qui l'avait marqué, car son pouvoir de detection était au plus bas niveau de perception qu'il pouvait avoir. à cette distance, il n'aurait rien put ressentir normalement. mais pour l'occasion, il avait abandonné la conversation et s'était interessant à cette angoissant pressentiment qui le tiraillait. il avait activé ses capacités au maximum ... et ce qu'il avait perçu ne lui avait pas vraiment fais plaisir. il y avait en ville un mutant aux intentions hostiles ... quelque chose de dangereux rodait dans les rues. Et Plasm n'était pas du genre a rester planté dans le parc de l'Institut. depuis qu'il avait vécu seul, un fort sentiment de justicier clandestin s'était emparé de lui ... avant, il aurait prévenu un X-men. mais il savait depuis son escapade contre le Fléau qu'on avait souvent pas le temps de prévenir et d'expliquer aux X-men ce qu'il se passait. rien que de leur expliquer que l'on pouvait ressentir les pouvoirs et les etats d'esprit (hostilité ou bienfaisance) était trop compliqué. Plasm faisait donc cavalier seul. ce qui ne lui avait pas toujours réussis.

il portait déjà ses grosses chaussures de cuir type chantier, sa veste, son t-shirt et son jean épais. n'ayant pas de tenue de X-men, il ne pouvait rien faire de plus, et ne pouvait rien trouver de mieux. aprés un rapide coup d'oeil autour de lui pour verifier qu'il était bien seul, il s'envellopa d'une trés fine couche d'énergie jaune collant à sa peau et s'envola. c'était une capacité qu'il avait devellopé dernierement : son bouclier plasmique lui permettant de soustraire toute matiere à toute force existante, il pouvait se soustraire lui-même à la force de la gravité. il ne lui restait plus qu'a deplacer son corps par la pensée. la vitesse ainsi atteinte n'était pas énorme, mais suffisante pour esquiver ou pour se deplacer plus vite qu'au sol. Plasm n'aimait pas voler. il le faisait trés rarement. mais cela pouvait s'averer utile.

il arriva en ville quelques dizaines de minutes plus tard. aprés avoir fait attention à ne pas se faire remarquer, il avait atteris et dissiper son pouvoir. puis, courant tout en faisant confiance à son "radar à mutant", il s'approchait de plus en plus de la source de son inquietude. il deboucha finalement dans une rue deserte ... ou qu'il aurait cru deserte, car il se trouvait desormais face à une bien sinistre personne ...

[à vous la suite, surprenez moi]

[j'accepte jusqu'à deux personnes]

Boner se promenait depuis un petit moment déjà dans les rues de New York, ville dans laquelle il n'était jamais allé auparavant. Tout en marchant, il réfléchissait. Il réfléchissait à lui-même, à son passé et au fait que le monde n'était qu'une boule dans l'espace mais le plus important de tout, c'était le fait que des gens bizarres étaient parfois le sujet principal des bulletin de nouvelles. Parfois était le mot juste car Boner ne regardait pas souvent la télé. Ces gens bizarres, appelés mutants, avaient des capacités surhumaines, un peu comme lui. Mais Boner ne voulait pas être traqué par les autorités, devenir un paria même s'il l'était déjà en quelque sorte.

-Hey, file moi ton fric

Boner se retourna et vit un groupe de gars, dont un avait sortit un couteau.

-Je ferais pas ça si j'étais toi.

-Ah ouais, regarde-moi aller.

Le type fonça sur Boner pour le poignarder. Le couteau s'abattit sur le mutant et la lame se brisa sur l'armure de calcium de Boner. Le gars regarda son couteau, puis Boner d'un air stupéfié.

-Merde, ce type est un mutant. Mais il est seul alors on lui fait la peau les mecs!

Un combat s'engagea mais Boner eu vite raison de ses adversaires. Le résultat de la bataille était simple: deux blessés, un fuyard et un qu'il était encore en train de frapper lorsqu'il entendit quelqu'un approcher. Il se retourna et d'un même geste planta une lame dans le ventre du gars au couteau. En face de lui se trouvait un homme qui le regardait d'un drôle de regard.

Spoiler:

Maiwenn sortait rarement de la Confrérie. Mais ce matin elle avait eut une crise cardiaque en voyant l'image blafarde que lui renvoyait le miroir. Aussi le besoin de sortir se fit pressant. L'odeur de l'essence consommée, le bruit de la vitesse, le clapotit de l'humidité... Elle connaissait tout des rues de New York pour le avoir trop foulées.

C'était dans une rue qu'elle avait rnecontré Beatrice et Dent-de-Sabre. Tout avait changé jusque là... Confrériste, vivant à fond dans ses pouvoirs... Et prête à aider tout les mutants oppressés par les humains.

Passa une main nerveuse dans ses cheveux, Maiwenn aperçut du coin de l'oeil un phénomène. Un jeune homme, se faisant acosté par des racailles armés d'opinel, se recouvrant aussi tôt d'une sorte d'armure. Un mutant !

Sans plus réfléchir, la Syréne se lança dans la bataille. En restant à l'ecart, bien sur. Murmurant un de ses vieux tubes, elle commenca lentement mais surement à hypnotiser les racailles. Mais la violente haine soudaine qui la prenait l'empécha de se concentré suffisament. Des dépits, elle lacha une injures qui alla leurs siffler aux oreilles... mais qui fissura tout le sol à leurs pied.

Elle identifia alors la phrase dîtes avant le commencement de l'affrontement. Elle eut un sourire dangereux et dit :

- Seul ? Un mutant ne sera jamais seul, pauvres mortels.

si Plasm avait cru la rue deserte, c'était à cause du fait que ceux qui l'occupaient auparavant étaient en verité étalés au sol, morts. ils portaient des traces de coupures et de blessures à l'arme blanche, et debout devant lui se tenait un homme qui tenait entre ses mains une arme étrange qu'il avait planté dans le ventre du dernier de ses assaillants. vu la configuration de la scéne, il était evident que cette homme avait était attaqué et s'était défendu, ou quelque chose dans le genre ... mais il avait massacré ses adversaires avec un sang froid terrorisant ... d'autant que ces personnes ne meritait pas ça. une rage froide s'emparait de Plasm. il voyait et il sentait que cet homme sinistre était un mutant. grâce à son pouvoir de detection, il pouvait connaître ses pouvoirs, et ce type capable de manipuler ses propres os ne lui plaisait pas. son pouvoir était morbide, et il s'en servait d'une manière qui ne pouvait que revulser le futur X-men qu'était Morgan.
mais ça ne s'arretait pas là. alors qu'il se tenait droit et immobile l'un face à l'autre, dans l'attente d'une réaction quelconque, une voix retentit sur le côté. Plasm était tellement concentré qu'il n'y avait pas fait attention, mais il detectait en effet un deuxiéme mutant dans les parages. une mutante pour être précise, capable de maîtriser le son. ça ne l'avantageait pas vraiment, d'autant que le ton de la jeune fille n'était pas engageant.
car c'était une jeune fille qui avait parlé. et bien qu'elle soit jeune et jolie, elle n'avait rien de la gentille petite gamine ... au contraire, elle degageait presque autant voir plus d'aggressivité et d'hostilité que le meurtrier aux ossements. et en observant bien le décors, Plasm se rendit compte qu'il y avait des fissures un peu partout qui devaient logiquement resulter des pouvoirs de la jeune fille ...

pendant quelques instants il ne parla pas. le silence s'installa dans la ruelle. il ne savait pas comment réagir. mais il savait en revanche qu'il ne devait pas les laisser agir impunément. ses capacités de detection lui permettant de sentir le niveau approximatif des personnes qui se trouvaient proche de lui, il savait que le combat n'était pas gagné, qu'il serait rude et compliqué ... ces deux là avaient des capacités particulieres. il n'avait rien à craindre des armes en os du premier, car son bouclier s'activait automatiquement au moindre danger, et aucune force physique ne pouvait le traverser ... seul le feu ou les énergies pouvaient le briser ... par contre, il fallait pouvoir traverser cette armure d'os qui le recouvrait ... qui plus est, la présence de la fille n'arrangeait rien : il était plus difficile de bloquer le son. il pouvait se défendre contre une onde de choc, mais ne pouvait pas s'empecher d'entendre.
il decida neammoins qu'il ne pouvait pas laisser les choses ainsi. il était seul dans cette ruelle à pouvoir arréter ces deux mutants ... et il fallait les arreter. ce genre de personne, capable de tuer de sang froid, recommencerais sans fin ... il sortit les mains de ses poches et tourna son regard vers la jeune fille, avant de revenir à nouveau vers le tueur à l'armure de calcium.

escusez moi ... je ne sais pas pourquoi vous avez agis ainsi ... mais je vais devoir vous arréter ...

Boner regarda l'homme, puis la fille et de nouveau l'homme. Il jeta un coup d'oeil au sol et vit des fissures.

-Je n'ai pas pu faire ça, pensa-t-il.

Il ramena son regard à nouveau sur les deux autres. L'homme semblait plus vieux que lui, même s'il ne pouvait dire de combien d'années exactement et la fille, qui était était jolie il y fallait bien l'avouer, semblait être de son âge aussi. L'homme avait parlé de l'arrêter mais Boner n'était pas de cet avis.

-Ses gars-là m'ont attaqué et je me suis défendu. Et si tu veux m'arrêter l'ami, et bien arrête ça!

Boner envoya six projectiles osseux vers son adversaire. Pour ce qui était de la fille, il ne savait pas comment réagir.

Maiwenn fut mi-surprise mi-terrorisée lorsque des projetiles sortir de l'homme pour tuer les autres humains. Le pouvoir de c'est homme était étrange... Et puissant. Qu'elqu'un de choix pour la confrérie. Mais la Syrène s'abstint néanmoins de lui parler directement. en partie parce qu'un homme plus agé l'avait dévancé. Son ton était agressif. L'autre, celui du début semblait penser la même chose. Les projectiles qu'il lança surprien Maiwenn. Celle ci avait deviner que c'était désormais mutants contre mutants. Elle ne voulait pas ce battre contre un des ses frère. Du même camp ou pas.

Néanmois elle ne pouvait pas intervenir. Priant pour la cible des projectiles pour qu'il ait un pouvoir utile elle ouvrit quand même la bouche, non pas pour détruire les projectiles mais pour les raisonner.

- Calmez vous ! Toi l'inconue numéros deux, comme l'a dit l'inconu numéros un c'était de la défense. Enciasser des coup et la fermer ça ne fait pas partit de mon être. Il n'y avait aucunes raison pour qu'ils nous attaquent. Enfin l'attaque lui. Moi j'ai débarqué en cour de route pour l'aider. Et pour ce qui est d'arrêter je te signale que le combat est déjà fini. A toi de voir si t veux qu'il y en ai un autre.

Elle avait laisser une ouverture à la paix. Mais comme l'inconnue numéro unn avait déjà attaqué le numéros deux il y avait des chances qu'elle doive se battre contre un mutant.

Plasm ne bougea pas d'un poil quand les projectiles avaient foncés sur lui. cette homme était bel et bien capable d'extraire ses os sous diverses formes, afin d'en faire des armes notamment. quelle vision nefaste d'un pouvoir qui pouvait servir à bien d'autres choses.
les lames de calcium fendirent l'air à toutes vitesses, mais arrivées à une vingtaine de centimètre du corps sans défense de Plasm, elle ricochérent dans tout les sens. une parois jaune vive, ressemblant à de la gélatine flottant dans l'air, était apparus devant Plasm. c'était son pouvoir principal : la capacité de se protéger contre toute forme d'attaque physique. cette "gélatine" d'energie semblait molle, liquide même, mais aucune force materielle ne pouvait la traverser. sauf une : la force du Fleau. mais le Fleau n'était pas là, et la situation était bien différente.
Plasm agita lentement le tête, attristé par l'attitude aggressive de son adversaire. si ce dernier s'était laissé faire, tout aurais put se passer calmement. tout aurais put fonctionner à merveille. l'inconnu aurait même put être accueillis dans l'Institut qui sait. aprés tout, c'était peut-être de la légitime défense.

la jeune fille ouvris la bouche à se sujet. sa voix, comme s'en doutait Plasm, était trés speciale. trés belle, mais aussi étrange, quelques peu envoutantes. on avait plaisir à l'écouter. elle argumenta calmement, disant que l'homme aux ossements n'avait fait que se défendre avec ses pouvoirs, et elle n'avait fait que l'aider. elle avait raison, mais en partie seulement. sa vision des choses était une vision trés proche de ce que pouvait penser un confreriste. mais Plasm ne pouvait penser qu'une jeune fille comme elle puisse faire partie de ces sinistres mutants.

je sais bien qu'il s'est défendue. mais cette homme et toi possedez des pouvoirs superieurs aux capacités de ces humains. vous devriez prendre vos responsabilités et ne pas les utiliser pour tuer. je suis capable de detecter les pouvoirs, et je sais qu'aucun de ces hommes n'aurait put vous faire le moindre mal ... vous auriez dut agir avec raison ... si le combat est inévitable, le meurtre lui est impardonnable ...

en disant cela, Plasm avait tendu son bras sur le côté. des particules de son bouclier d'énergie gélatineux commencèrent à apparaître et à s'agglomerées autour de son bras. petit à petit, Plasm étaient entrain de former une sorte de bras d'énergie. ce bras avait une taille largement superieur à celui d'un humain : il était plus long, touchant presque le sol, et aussi large qu'un pneu de voiture. grâce à cette utilisation particuliere de son pouvoir, il était capable de soulever des objets plus lourd et de frapper avec plus de force ... sans pour autant tuer ses adversaires. il tourna la tête vers la jeune fille avec un regard severe.

n'interviens pas gamine. si j'entend ta voix je vais être obligé de t'arréter aussi. je te laisse une chance, vas-t'en. lui par contre ...

il regarda l'homme capable de contrôler ses os, puis frappa le sol de toutes ses forces avec son bras d'énergie. les doigts s'enfoncérent dans le bitume, qui commença à se craqueler sous la pression. puis, lentement, Plasm arracha un énorme morceau de trottoire, un peu comme un gros caillous. il savait que l'armure d'os de son adversaire était suffisante pour qu'il n'en meurs pas. c'est donc sans hesitation qu'il lança le bloc de béton dans la direction de Boner.

Si il y a une chose qui peut bien donner des envie de meutres a notre ange déchue c'est bien le mot "gamine". Si péjoratif. Elle aurait pu faire ça en douveur, ne pas entrer comme une grosse brute dans l'affrontement des deux mutants mais... L'apelation de l'inconnu numéro deux était impardonnable pour la Syrène. De plus elle ne l'avait jamais vu à la Confrérie, ni entendue or ellle avait entendue toutes les voies de tous les Confrériste pour des raison de confort. Au moins elle n'attaquerait pas l'un de ses confrères.

- Si tu entends ma voix tu seras déjà mort petit crétin prétencieux.

Dit-elle d'un timbre glacé. L'insulte n'auraot pas du être placée dans sa phrase mais... Oeil pour oeil, dent pour dent. Elle était furieuse mais se contint de tout faire sauter. Elle n'aurait pas eux le contrôle. La syréne s'atit conténté de glisser des odes de terreur dans sa voix. Même l'homme le plus courageux du monde aurait tremblé suite à ces mots.

L'ange déchue recula néanmojns. Par mesure de prudence.

Boner mit ses mains devant son visage, par réflexe. N'importe qui aurait fait la même chose que lui devant un bloc de béton lancé sur notre personne. Il créa son armure de calcium, comme ça il ne serait pas tué par l'impact mais ça ferait mal. Le morceau de trottoir le frappa de plein fouet. Le projectile se brisa à l'impact, de même que son armure. Il toucha le sol durement et lâcha un cri de douleur. Il posa en direction de l'homme.

-Enfoiré, tu m'as cassé une jambe!

Mais Boner avait plus d'un tour dans son sac. Dans un craquement sec, la jambe se remit en place et il se releva. L'avantage de manipuler du calcium conférait à son utilisateur l'habileté de guérir fractures aux os. Très utile pour se tirer de situations épineuses. Il sortit ses lames et avança d'un air décidé sur l'homme mais s'arrêta net. Il regarda la fille et se demanda si elle était avec l'autre sans pour autant approuver ses actions. Il se déplaça vers la fille en rangeant une lame. Si l'autre taré le chargeait, ce qui était peu probable, il fallait parer à toute éventualité.

Spoiler:

Si Maiwenn s'attendait à quelque chose, ce n'était pas à ça. Le type qu'elle aidait depuis le début, pointait ses sorte d'arme de calcium vers elle. Indignée, commença à murmruer de vagues paroles, vestige de ses deux ans de latin.

Le latin ne servait à rien. Mais elle aimait bien les intonations. Sa voix enfla, prit de l'importance, monta, roula les consomnes et redescendit.

Elle était trop poche de l'inconnu numéro un pour ne pas le blesser gravement (voir le tuer) en chantant. Or c'était un mutant et elle répugnait le fait de le tuer.

L'onde longue de sa voix s'élança donc vers Plasm, décrirent une courbe tout juste audible pour enfler et pénétrer dans le sol. L'onde sonore avait agit d'une telle force que le sol avait explosé.

Comme elle l'avait intérieurement planifié le choc créa aussi une faille. Ca, elle ne le maîtrisait pas du tout.

Se tendant comme en ressort, les genoux à moitié fléchis, prète à bondir hors de la ruelle pour ne pas être déséquilibrée par la faille qui déjà se mouvait vers elle et vers Boner.

Voyant que ça ne s'arrêterait pas, elle bondit et fit un roulé boulé pour attèrir à une autre éxtrèmiter du terrain. Elle contempla les dégats. Ce n'était pas du tout ce qu'elle avait prévu mais c'était déjà ça. Personne ne pouvait l'atteindre sans qu'elle n'at eu le temps de faire quelque chose. Apparement personne n'avait la super vitesse ou l'agilité donc pas de mauvaise surprise.

Maiwenn grommela intérieurement en se sentant déjà fatiguer. Elle battit des paupières. Elle ne tiendrait pas le rhythme si les deux idiots continaient.

Spoiler:

Boner recula pour éviter la faille. Il dut l'admettre, la fille était très forte pour pouvoir causer des fissures. L'autre gars était face à lui, et le jeune homme ne sut que faire. S'il pouvait bloquer ses projectiles, cela pouvait également signifier que sa protection le protégerait contre les attaques rapprochées. Quant à la fille, elle semblait plus se protéger qu'autre chose et Boner ne la toucherait pas sauf si elle l'attaquait. Il dut méditer un moment sur la situation.

-C'est vraiment une situation compliquée, pensa-t-il, si je ne fais rien, ce type va m'exploser la figure. Mes pouvoirs n'ont aucuns effets sur lui. Si la fille m'attaque, je suis cuit. Comment me défendre contre elle? À moi que...

Évidemment, cette réflexion se fit rapidement. Il se déplaça vers la fille tout en gardant un oeil sur l'autre. Il pointa son bras sur lui pour faire en sorte de lui envoyer des projectiles s'il bougeait. Boner regarda la fille et essaya de lui faire savoir qu'il ne lui voulait aucun mal. Il arriva à la fissure et lui dit:

-Sais-tu comment je peux faire pour qu'il parte?

Une question stupide, mais au moins, il serait moins à cran si elle le savait. Du moins, il l'espérait...

Spoiler:

-Sais-tu comment je peux faire pour qu'il parte?

Boner s'était approché d'elle. Méfiante, elle le regarda. Avait-il compris que son but était que le combat cesse ? L'appuyait-il ? Néanmoins, les circonstances ne se prêtaient pas à la question. Certes Plasm avait menacé. Mais Boner avait attaqué. Elle ne pu se retenir de dire ironiquement en replaçant une mèche blonde derrière son oreille :

- Pour ça il aurait peut être fallut commencer par ne pas attaquer et essayer de calmer le jeu comme moi. Mais bon, apparment on ne peux pas revenir en arrière.

Elle soupira. Elle ignorait si elle avait encore assez de forces pour hypnotiser Plasm. En fait, elle était sur du contraire. Et sans volonté, pas de réussite possible.

Est-ce qu'elle arriverait à le paralyser ? Dans ce cas pas longtemps.

Oh et puis zut hein ! Dans l'histoire, c'était elle qui risquait de ne pas s'en sortir. Boner pouvait se recouvrir d'un calcium quasi indéstructible et Plasm se faire un bouclier en plasma. Elle, elle n'avait pas d'armure et était déjà crevée. En plus elle n'était pas sportive, donc pas la peine d'imaginer une fuite haletante.

Elle grogna. Elle était coincée. Elle ne pouvait rien faire. Et Boner ne pouvait pas atteindre Plasm. Quand à celui ci, on ne pouvait pas lui en vouloir.

- Bon, je n'ai aucune idée de comment me sortir de cette *****. Si toi tu n'en à pas c'est franchement dommage. Quant à lui je suppose qu'il préfére arreter deux dangereux mutants plutôt que de discuter ? Je vais être honnête : je n'ai presque plus de forces pour me défendre. Et vous deux vous n'avez pas -ou presque- d'effet l'un sur l'autre. Pas de suggestion si ce n'est des excuses mutuelles ? Bon et bien continuer de jouer à la guerre.

Sa voix était dure. Elle aurait fait fuir un chien d'un regard et sans son pouvoir. Cette dureé lui venait sans doute de son enfance peu facile. Dans les rueeles mal famées de New York.

Néanmoins elle se savait mal. Très mal. Elle croisa les doigts de sa mains droites (qui étaient dans son dos) et scruta les yeux de Plasm qui avait aparement le monopole de la décision.

Plasm commençait à se faire un profil psychologique de ses deux adversaires. tout du moins de son adversaire aux os speciaux et de la jeune fille prise entre deux feux. l'homme aux ossements était quelqu'un qui n'avait pas d'attache, pas vraiment de foyer, et pas non plus d'amis. tout les moyens semblaient bon pour survivre et s'en sortir. la jeune fille quand à elle semblait avoir envie de fuir ... et aussi savoir où elle pouvait aller ... elle devait donc avoir une attache à New York ...
aprés l'attaque de Plasm contre Boner, ce dernier avait apparemment subis des degats. mais comme Plasm le savait déjà grâce à ses capacités de detection, le contrôle du calcium qu'exerçait cet homme lui permettait de ressouder ses fractures comme un rien. Plasm n'était pas quelqu'un qui faisait couler le sang. ses pouvoirs ne correspondait pas à ce genre d'utilisation. quand il en faisait usage de manière offensive, ses capacités plasmiques étaient plutôt du genre à briser et à paralyser la victime par des dommages internes ... mais sa ne servait à rien contre ce type. et bien qu'il puisse le mettre hors d'êtat de nuire, il n'avait pas envie pour cela de detruire tout le paté de maison et de blesser la jeune fille ...

cette dernière avait d'ailleurs pris assez mal le fait qu'il l'appelle "gamine" ... les insultes dans sa voix étaient plus dangereuses qu'il n'y paraissait, et Plasm detecta l'utilisation de ses pouvoirs dans ses paroles. cette jeune fille avait des cordes vocales à ne pas sous-estimer. et comme pour confirmer ses pensées, la situation s'emballa trés vite. l'homme aux os s'était en effet rapproché de la gamine dans la volonté apparente de la prendre en otage ... et la réponse de cette dernière avait été des plus violentes. si Plasm n'avait pas put detecter l'utilisation qu'elle faisait du son, il aurait put être affecté (son bouclier avait besoin de plus de concentration pour arréter les ondes de choc). mais grâce à son don de radar vivant, il avait put agir juste avant que l'attaque ne lui arrive dessus : sautant en arrière, il avait recouvert ses pieds de bouclier, et s'était ainsi envolé jusqu'à la façade d'immeuble la plus proche, à laquelle il s'était accroché. le béton explosa sous l'impact sonore de Syrene, et des débris volerent dans la direction de Plasm et ricocherent sur les petites bulles jaunes qui apparaissaient ça et là pour le protéger ...

la fissure avait séparé la gamine du combat ... en apparence du moins. Plasm sentais en elle de la colere mais aussi de l'angoisse. elle n'avait pas demandé cette situation, elle n'avait fait qu'intervenir aprés le début des hostilités ... Plasm se decida en trés peu de temps. elle n'avait rien à faire là. elle se demenait pour s'en tirer. ses pieds se recouvrirent à nouveau de son bouclier, ce qui le fit flotter à quelques centimètres au dessus du sol. il pris son élan et partis en trombe, glissant sur l'air comme avec des rollers. c'était une utilisation de son pouvoir qu'il avait piqué à Wave, un mutant qu'il avait connu en Australie. il ne pouvait pas l'utiliser longtemps, car son bouclier finissait par s'effriter. mais pour un deplacement rapide et en ligne droite, c'était plus qu'utile.
accelerant donc, il arriva entre la jeune fille et le mutant. le regard qu'il jeta à ce dernier était severe.

ne la mèle pas à tout ça. et surtout, n'oublie pas ... je te retrouverais et on devra discuter de tes actes ...

ceci dit, il attrapa de force la gamine par le bras, et poussant sur ses jambes recouvertes d'énergie jaune fluo, s'envola comme une fleche au dessus des immeubles avant de partir loin de cette ruelle puante. la jeune mutante était dans ses bras. il ne lui avait pas demandé son avis, mais il avait toujours était trop impulsif. il savait qu'à cette distance elle pouvait lui faire exploser le cerveau d'un seul mot, mais c'est avec un regard de pardon et de compassion qu'il se tourna vers elle, le vent fouettant son visage.

je peux pas tenir trés longtemps en l'air ... je te dépose où ?

Tiens tiens tiens. Ellle lui avait fait peur avec le coup de l'onde. Bien que techniqument seuls les morceaux de bétons aurait du lui faire du mal mais bon, ca doit être un peu impressionnant de voir le sol sauter quand on est à cinq centimetre de la zone d'impact.

Soudain il fit une utilisation très, insolite de son bouclier. Comme des sortes de patins à roulettes ils glissérent sous ses pieds. Le faisant avancé étrangement vite.

Maiwenn se tendit. Elle avait planifié que personne ne puisse allé plus vite que sa voix. Idiote ! Idiote ! Idiote ! Quest ce qu'elle pouvait faire contre sa ? Même Boner n'eut pas le temps de réagir, que déjà Plasm était sur eux.

Bien qu'il n'ait pas l'air aggressif, la Syrène ne se sentais pas franchement rassurée. Il murmura à Boner quelque chose comme une menace. Elle identifia aussi qu'il l'a prenait pour une victime.

Certes il n'était pas loin de la véritée. Mais il n'avait pas du capter la conversation entre elle et Boner.

Soudain elle eut la (gigantesque) surpise de ce sentir soulever.

Bon.

Il l'a prenait vraiment pour une victime. Avançant trop vite pour qu'ellle songe à bouger, il effaça vite la ruelle et articula :

je peux pas tenir trés longtemps en l'air ... je te dépose où ?

Maintenannt il se prenait pour un taxi. Drôle de journée, vraiment. Elle dit en essayant de ne pas remarquer le sol qui défilait trop vite :

- N'importe où. Mais le plus tôt possible.

Rien que d'entrouvrir ses lévres avait fait remonter la bile dans sa gorge. Maîtrisant son envie de vomir (le mal de l'air...) elle serra ses poings et se concentra intensément pour demander :

- Par arrêter tu entendais quoi tout à l'heure ? Tes pouvoirs ne pouvais pas le neutraliser non ? Juste l'effleurer ou le tuer. Tout ou rien.