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| Un soir [David] | |
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Invité Invité
| Sujet: Un soir [David] Lun 4 Fév 2008 - 18:09 | |
| Première soirée ici pour Maélys elle avait fait un peu le tour de la ville, bien sûr elle n'avait pas tout vu mais, elle avait vu les choses les plus importantes, en fin de compte c'était une grande ville comme les autres, hormis les monuments historiques. Comme toute femme qui se respecte elle avait fait les boutiques de mode et désolant de voir que la mode ici est particulièrement de mauvais goût, elle avait plein d'idées elle qui est fasciner par la mode maintenant qu'elle à connaissance de son pouvoir elle comprend mieux pourquoi elle est autant attirée par le textile.
Demain cela aller être sa première journée à l'institut, elle était quelque peu stressé, elle n'avait jamais fréquenté des mutants avant de venir ici. Ce monde lui faisait peur, oui peur elle n'est pas prête à endurer tout ça, elle venait juste de découvrir son don en se posant milles questions.
Il était 23 h00 la nuit c'était installé depuis longtemps dans la fraîcheur de l'hiver. Elle était vêtue d'une robe noire et son manteau rouge. Des gants, un petit bonnet.
Tout était si paisible à cette heure-ci, elle aimait ce retrouvé dans le calme le soir, histoire de se ressourcé. Elle traverse calmement des petites ruelles, mal fréquentés mais, elle n'avait pas toujours connaissance du danger, une jeune demoiselle à cette heure-ci peut tout risquer a fréquenté ce genre de ruelle. Elle marche tranquillement, regardant le sol, plongé dans ses pensées.
Elle trouve un petit banc elle décide de s'y arrêter, elle pris son calepin à dessin dans son sac et commença à dessiner quelques tenues, dans un calme le plus total. Personne à l'horizon, deux trois chats mais rien d'autres à signaler. Elle commence un croquis d’une robe, elle adore plus particulièrement dessiné des robes. Son crayon de papier à la main, elle ne pense plus à rien, juste à la robe qu’elle est entrain de créer.
Elle pouvait passer des heures à dessiner, c’était un bon moyen pour elle de se relaxer de penser à autre chose même si créer ses dessins lui rappeler sans arrêt son pouvoir et que si elle le voulait dans la seconde elle pourrai transformé sa tenue en celle qu’elle est entrain de dessiner. Mais bizarrement elle n'ose pas utilisé son pouvoir. |
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| Sujet: Re: Un soir [David] Lun 4 Fév 2008 - 18:30 | |
| L'air était glacé,le vent s'engoufrait dans les rues et soufflait les quelqsues feuilles mortes et feuilles de journaux qui trainaient. Quelues sacs plastiques décollèrent dans les airs et se mirent à virevolter dans un frénétique ballet. L'hiver était bel et bien là. Il avait mis du temps à venir,mais il était là. Et j'étais sûr,que dans la soirée la neige se mettrait à tomber. Ce matin,je m'étais levé,juste parce que le soleil en avait fait autant. Je suis insomniaque et chaque matin,je fais la course avec le soleil pour voir qui de nous deux se lève le premier. Ce matin,à cause d'un excès de médocs, le soleil avait gagné, alors vexé,je bondis de mon lit. J'ai passé une partie de ma matinée au téléphone, à appeler ceux qui se disaient "mes amis". Je reçus aussi deux trois coups de fil de jeunes filles qui s'étaient entichés de moi et je les envoyèrepaître les unes après les autres. Oui,parfois je me dégoutais. J'aime l'hiver,parce qu'à cet saison il n'y a pas que moi qui suis froid. Dans la journée, je suis aller à une compétition libre de gymnastique acrobatique. Et j'ai gagné. Juste parce que je n'avais rien d'autre à faire. Certains était vert,de voir un ado de 17 ans bouger comme un professionnel. Mais c'était normal, grace à mes pouvoirs j'ai déjà absorbé plusieurs connaissances à des professionnels de cette discipline. Je connais les appuis,l'équilibre à avoir,etc....Bien sûr,j'ai du pas mal m'entrainer pour arriver à exécuter mes connaissances,mais les résultats sont là, et mon corps n'a plus rien de juvénile. Je fais largement plus que mon âge. Après ça, je suis allé prendre un café avec une fille rencontré à cet compèt. Pendant une heure elle me parla de sa dismormophobie par rapport à ses oreilles. Elle pensait avoir les oreilles décollées (mais en fait pas du tout) et songeait à se faire opérer. Je me suis demandé pourquoi je restais là. Mes hormones répondirent à ma place,quand elle m'invita chez elle. En fin d'après midi,je partis comme un voleur et reçut un coup de téléphone. C'était Joe Robertson du Daily Bugle, qui me demanda de rendre quelques photos à un vernissage. Oui,j'étais pigiste,histoire d'avoir un peu d'argent de poche. Je passa chez moi pour me changer et prendre mon blouson en cuir, après quoi je suis allé à mon vernissage où j'ai passé mon temps à prendre des photos et à parler aux gens avec un air faussement interessé. Toute la soirée je me suis trainer,comme toute la journée,comme tout les jours. Je suis trop blasé pour vouloir quelque chose, du coup je ne veux rien et finis avec un tas de choses et de gens que je ne veux pas. Oui,c'est cynique. Mais ma vie,n'avait pas d'interet simplement,parce que rien n'avait plus de valeur pour moi. Je faisais tout parce que je ne pouvais rien faire d'autres. Aux alentours, de 22h 30 je partis. Simplement parce que j'étais trop déprimé et dégouté de moi pour me prendre une cuite, sniffer un peu ou pour draguer. Je me mis alors à errer,dans les rues aussi glacer que mon esprit. Mes pensées étaient figés,mon esprit engourids par le froid. J'avais plutot envie de me changer sous un bus,mais même ça,ça ne m'amusait pas. Je reçus un autre coup de fil. C'était une amie qui voulait me demander un conseil. Elle commença à me raconter qu'elle était amoureuse de sa meilleure amie et qu'elle ne savait pas comment s'y prendre. J'ai raccroché en prétextant que j'entrais dans le métro. Machinalement,je sortis une cigarette et je la fourras dans mon bec. La rue était déserte, le seule bruit qui s'élevait était celui du vent qui soufflait. Un ou deux taxis passaient de temps à autre,le métro se faisaient entendre lui aussi de temps en temps.La ville qui ne dort jamais,semblait être plongée dans le coma. Etrange....Je me sentais bien seul,soudain...plus que d'habitude je veux dire. Au bout d'un moment, je suis arrivé à hauteur d'un banc,sur lequel était assis une jeune femme,habillée de rouge. Je me dis que si elle était le petit chaperon rouge,alors j'étais surement le grand méchant loup. Je ne la regarda pas disctinctement, et sans réféchir je m'asseya à côté d'elle sur un banc. L'esprit totalement vide, je m'étais incrusté. Pourquoi? Sais pas. Juste l'envie de m'assoir. Peut être de partager une solitude à deux. Ou peut être envie de faire connaissance. Peut être pas. Un silence passa, et un taxi aussi. Je dis à l'adresse de ma voisine: -Bonsoir. Fraîche nuit,hein? |
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| Sujet: Re: Un soir [David] Lun 4 Fév 2008 - 19:23 | |
| Maélys était la assise peux être depuis bien 10 minutes mais le temps passent si vite quand elle dessine, elle était perdu dans ses pensées, se posant milles questions, tout ce chamboulé si vite dans sa tête si bien qu’elle pose son crayon quelques instant pour fixé les étoiles. Elle se demandait comment elle allait faire pour continuer sa vie avec son pouvoir, l’oublier ? Ou en profiter ? Pour l’instant elle ne voit pas en quoi ça pourrait lui servir. Enfin pas pour l’instant mais très vite Maélys comprendra à quoi son don peux servir bien sûr avec de l’exercice et de l’entrainement. Pour l’instant elle n’en était pas encore la. Loin de la d’ailleurs.
Le vent c’était levé ce faisant de plus glaciale, elle relève un peu le col de son manteau pout couvrir son cou et le début de ses lèvres, ses mains tremblantes, il devenait difficile pour Maélys de dessiné dans ces conditions, elle mit alors ces gants noir en velours, un de ses tissus préféré depuis bien longtemps. Puis soudain elle sens le banc bougé puis sent une présence pendant un instant elle n’ose pas regarder qui c’est permis de s’asseoir à coté d’elle, elle se contente de fermé son calepin. Apres quelques minutes qui paraissaient une éternité.
Elle daigne lever la tête un instant pour regardé celui qui est à ses coté, c’était un homme enfin un jeune homme, elle le fixe quelques instants de ses yeux bleu perçant. Pas de sourire comme souvent Maélys ne sourit jamais c’est plutôt rare, elle n’a jamais vraiment aimé sourire, elle aime être sincère si elle n’a pas envie de sourire, elle ne sourira pas. Froide non mais seulement elle n’exprime rien d’ailleurs ses yeux n’expriment rien ce qui agacent souvent les autres. Avant elle ne comprenait pas pourquoi rien ne passait dans ses yeux maintenant avec la connaissance de son pouvoir elle à compris. Elle évite donc son regard de façon à pas le rendre mal à l’aise.
- Oui en effet il ne fait pas très chaud
*Imbécile Maélys que tu es, t’a rien trouvé d’autre à répondre*
Elle n’était pas très forte pour engager les discussions mais elle avait appris à se forcer pour paraitre moins bête, moins timide mais elle ne l’était pas réellement peux être un peu complexé, elle à l’impression d’être à plusieurs univers des gens normaux.
- Moi c’est Maélys et vous ?
Que dire d’autre , c’est parfois la que tout commence ou tout se termine si il ne veux pas en entendre plus.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Un soir [David] Lun 4 Fév 2008 - 20:28 | |
| Quelques secondes passèrent avant que la jeune femme ne lève la tête et ne me réponde. Je sursauta presque tellement je fus surpris qu'elle me réponde. J'avais déjà presque omis que je lui avais parlé,tellement j'étais distrait ce soir là. Ces deux yeux bleux se levèrent doucement,et quand ses yeux se posèrent sur moi, j'aurais juré que la température avait encore chuté. Les yeux de cette femme étaient d'un bleu magnifique, mais ils semblaient si vide, on avait l'impression de pouvoir tomber dedans. Je la regarda plus soigneusement,elle était fine,belle. Sa couleure de cheveux très sombres me faisait croire que c'était une teinture. Tandis qu'elle me répondait qu'en effet la nuit n'était pas chaude, ses lèvres se décollèrent lentement et émis des sons. Sa bouce avait quelque chose de sensuelle. Et un instant je me sentis bien bizarre. Assis,sur un banc dans une rue déserte et silencieuse, sous l'halo d'un reverbère,le froid me glaçant et parlant à une femme ....je ne trouve pas demot pour la qualifier. Mais elle me semblait bien étrange. Je ne sais pas, j'avais comme une sensation de déjà vu. Son regard me glaça tellement que je n'avais pas l'envie de lire ses pensées de peur d'y trouver le néant total. Je me trouvais ridicule d'être si destabilisé,ce regard n'avait rien d'aussi méchant. J'étais sans doute trop fatigué. Elle se présenta. Maélys. Elle dessinnait sur un calepin. Des vêtements,d'après ce que j'ai pu voir. Ses dessins étaient très originaux,extravagants dirais je. Je m'appreta à répondre, quand le vent souffla un grand coup, à tel point que mes cheveux se mirent à se plaquer sur le sommet de mon crane. J'eus un bref frisson et un léger sourire à l'intention de cette Maelys. Je me présenta à mon tour. -David Norton.Enchanté. Ne trouvant rien d'autre à dire,un silence gêné passa. Je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder. Elle avait quelque chose de ...mystique. Je ne trouve pas d'autre mot. Peut être est ceune erreur de jugement. Certainement que ma vie est tellement sans surprise, qu'à la première rencontre je vois tout de façon disproportionné parce que c'est ce que je veux voir. Peut être. Peut être pas. -Dîtes-moi...Maelys. Que faîtes vous à une heure pareil sur ce banc? Enfin...si c'est pas...indiscret. Les mots sortaient tout seul de ma bouche. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Un soir [David] Mer 6 Fév 2008 - 13:39 | |
| Elle le voyait perturbé quand il l'a regarda dans les yeux, elle le savait, ça gênait plein de personnes. Souvent les gens croient qu'elle ne ressens rien pourtant elle a les mêmes émotions que tout le monde, sa pensée n'est pas vide mais seulement ses yeux ne transmettent rien et cela gène considérablement les gens qui ne comprennent pas pourquoi. Elle évite à présent de regarder les gens dans les yeux et pour elle l'été est un moment parfait, elle peux se cacher derrière des lunettes de soleil et personne ne remarque mais l'hiver c'était déjà un peu plus dur.
Il s'appeler donc David, un prénom pas inconnu pour Maélys, c'était le prénom de son ex qui l'avait trompé et qu'elle avait bien failli tuer en utilisant pour la première fois son pouvoir. Bien sûr il lui manquait terriblement mais, elle ne pouvait pas pardonner son geste et lui n'accepterais pas qu'elle soit une mutante alors quelque part elle a bien fait de fuir, même si loin de ses repères et de sa famille elle en souffre.
Maélys a toujours été très mystérieuse pour les autres, comme si elle n'avait jamais été pareille que les autres. Elle à toujours été en décalage que ce soit mentale ou physique par rapport aux autres filles de son âge. Elle à toujours aimé les choses extravagantes comme sa couleur de cheveux d'une couleur rouge orangé signe du feu pour elle. Elle est passée par sa période noire mais, a finalement opté maintenant pour le rouge même si ça ne l'aide pas pour passer inaperçue mais, elle ne dit pas le contraire, elle aime être regardé.
*Je passe le temps, je n'ai nulle part ou allez d'autre c'est surtout ça, tu ne vas quand même pas lui répondre ça*
- Je voulais prendre l’air tout simplement et vous ?
*Menteuse*
En effet Maélys c’était enfuit de chez elle sans argent donc bien sur elle ne pouvait pas allez l’hôtel et sa chambre à l’institut lui était ouverte que demain. Elle était donc dehors cette nuit par manque de choix. Elle n’était pas très rassurée de faire ça, mais elle n’avait pas le choix. Elle n’était pas très rassurée de passez la nuit seule dans cette ville qu’elle ne connait pas.
- On peut se tutoyer ?
Elle n’aimait pas le vouvoient, pas par manque de respect, jusqu’elle n’aimait pas ça, trop formel à son goût. Espérant qu’il accepte elle attend sa reponce.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Un soir [David] Mer 6 Fév 2008 - 17:28 | |
| Le vent se remit à souffler violemment. D'un coup, les feuilles,les journaux et queques autre détritus furent projettés en l'air et reprirent leurs ballets. Se chassatn,se croisant, virevoltant. Mes cheveux et ceux de Maelys furent aussi balayés par le vent. Quelques volets claquèrent, des cages d'escaliers aussi. Quelque part à quelques rues de là, une echelle de secours se desserra en tombant. Elle martela un escalier de secours et provquit un echo qui se répandit dans le silence de la nuit. Au loin, des chiens aboyèrent. Quelque part,non loin de là,un bébé pleurait. Mon interlocutrice me répondit, et le vent porta au loin la plupart de ses paroles. Le froid m'arracha un frisson. Le vent se calma. Comme je n'ai pas entendu ses paroles, je lus ses pensées. Je capta "Menteuse"... Juste ça, ce simple mot me fit arrêter de lire dans son esprit. C'est bête,je n'ai rien entendu de sa réponse. J'ai cru comprendre qu'elle était sortie prendre l'air. Apparamment,il n'y avait pas que ça. Pourquoi les gens ne parlent jamais comme ils le devraient. Mensonges,sous entendus, demi vérité. Toujours devoir lire entre les lignes, interpréter ou rechercher la vérité. Peut m'importait ce que cette femme faisait ic. Je faisais juste un constat. Les gens sont tous pareils. Cette femme, je lui parle, là,maintenant,tout de suite. Notre rencontre n'est pas importante et notre relation peut être éphémère. Il me suffit de partir pour ne plus jamais la revoir. Et pour moi c'est comme si elle n'existait plus. Comme elle n'avait existé que pendant 5 minutes. Et pendant ces 5 minutes, à une simple question sans importance, elle m'aura mentie. C'est tout ce que je retiendrais jamais de cette rencontre,si je partais maintenant. Mais imaginons que je reste, que je parle encore et encore et admettons que je tisse un quelconque lien avec cette fille, tout aura commencé sur un tout petit,mini mensonge de rien du tout. Ca ne fait pas envie. Ca me semble grotesque de voir que les gens ne parlent jamais franchement. Elle m'a demandé ce que je faisais là. Je me demandais aussi. Qu'est ce que je fous là?C'est la question que je me répète sans cesse, partout, quoique je fasse. Elle veut qu'on se tutoie,soit. Je m'aprête à lui répondre. Mais je n'ai pas envie de lui répondre, je ne suis pas d'humeur. Je ne sais pas ce qui me traverse l'esprit mais je dis: -Dis moi ce que tu fais vraiment sur ce banc à cette heure là et je te dirais ce que je fais là. J'avais dit ça d'un ton posé,comme si je lui avais demandé l'heure. Les sacs plastiques retombaient lentement vers le sol, les détritus jonchaient de nouveau le trottoir et le silence retomba. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Un soir [David] Sam 9 Fév 2008 - 21:50 | |
| Il y avait du vent, oui beaucoup plus de vent bizarrement, elle n’avait pas trop froid, alors que le vent était parfois glacial. Il se faisait plus sentir en niveau du visage ou le froid vous frappe et vous glace avec violence. Une nouvelle rafale s’abat sur eux, faisant voler leurs cheveux. Maélys décide de les attacher un peu pour au moins y voir claire. Elle prit alors sa petite pince qu’elle mit sur le dessus de sa tête. Puis elle range son calepin dessin dans son sac.
D’un seul coup un bruit fracassant, Maélys sursauta de peur ou plutôt de surprise. Dire Que Maélys est peureuse c’est peux être vrai alors imaginez vous quand elle devra faire face aux confreristes. Elle avait elle-même pas envie de s’imaginé la scène pourtant un jour ça arrivera et il faudra qu’elle combatte ses peurs, se montrer forte au moins une fois dans sa vie.
- Dis-moi ce que tu fais vraiment sur ce banc à cette heure là et je te dirais ce que je fais là.
Elle déteste mentir mais elle est parfois obliger de le faire, ça famille l’avait rejeté à la découverte de son pouvoir et la voici ici loin de tout mais au fond loin de rien. Certes attristé par le rejet de ce qu’elle aime mais elle se dit qu’ils ne doivent pas l’aimer pour la rejeter cause de quelques choses qu’elle n’a pas choisi. Elle à beau se creuser la tête elle le sait très bien que ses parents l’ont rejeté uniquement pour ça. Elle va devoir vivre sans eux, se débrouiller, reconstruire sa vie loin d’eux. C’est comme une nouvelle vie pour elle. Une meilleure vie ? Elle ne le sait pas encore. Elle le regarde alors, elle prend une grande inspiration et le regarde.
*Allez lance toi, tu ne risque rien de toute façon ça ne peux pas être pire*
- Je viens d’arriver ici et j’avoue que je n’ai nulle part ou allez
Elle baisse le regard, c’était assez honteux d’avouer qu’elle n’avait pas d’argent, qu’elle ne pouvait pas subvenir à ses besoins enfin pas pour l’instant mais elle ferait en sorte de trouvé de l’argent par elle-même sans demander aux autres.
- Et toi alors ?
Elle l’avait presque murmuré à vrai dire elle ne savait pas pourquoi, sa voix était resté bloqué dans sa gorge peux être par honte. |
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