Savior? [Jared]

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Encore un soir d’hiver, un hiver plutôt froid cette année, la neige était présente pour le grand plaisir des enfants, la neige à recouvert les campagnes mais en pleine ville on n’en voit pas la trace à part sur central Parc. Il devait faire pas plus de 4 degrés dans les rues, le ciel était magnifique, la lune avait du mal à bercer les nuages. Il était 1h00 du matin Maélys était allez boire un café dans un bar, il n’y avait pas grand monde juste les habitués, les alcooliques, les mecs bizarre, elle n’était pas vraiment rassuré, c’était la seule jeune fille du bar, les autres devaient avoir entre 30 et 50 ans. après avoir bu son café et quelques boissons alcoolisées elle décide d’aller faire un tour à Central parc, elle aimait bien y allez, c’était si paisible.

Une fois arrivé au parc… Personne même pas un chat à l’horizon, elle voit un bonhomme de neige, elle s’approche, la nostalgie arriva. Son enfance… son enfance si banal ou elle-même faisait des bonhomme de neige avec ses camarades, avec ses parents… elle n’était pas triste non juste nostalgique. Quelques fois elle aimerait revenir en arrière.

Petite Maélys faisant des bonhomme de neige et ses yeux rempli d’étoiles à cette époque, ces yeux exprimé des choses. Courant autour du bonhomme de neige en faisant attention de lui mètre une écharpe et un chapeau et soigneusement un nez avec une carotte des yeux avec des boutons et un jolie sourire. A cette époque, elle ne se soucier pas de l’avenir peut importe ce qui pouvait ce passé, elle était bien la dans la neige, couché à coté de son bonhomme de neige.

Mais revenons à Maélys jeune fille bientôt jeune femme. Bien sûr elle avait passée l’âge de faire un bonhomme de neige mais elle ne put s’empêcher de s’approché de celui qui était devant ses yeux et de replacer le nez qui était tombé et de lui mettre une écharpe. Clin d’œil à son enfance, l’espace d’un instant elle se renvoyé faire le même geste durant son enfance.

L’alcool l’aidant à faire ce geste, à prés tout il n’y avait personne et puis elle s’en fichait un peu de ce que les gens pouvait penser de ce geste, les gens devraient retourner quelques fois dans l’enfance. Il faut garder une âme d’enfant.

Une fois avoir contemplé ce bonhomme de neige, elle décide de marché un peu, histoire de ne pas trop ce refroidir. Mais Maélys n’avait pas remarqué que quelqu’un l’avait suivi enfaite ils étaient deux, louchent, oui ils étaient plus que louches. Maélys se retourna et les aperçu, elle prit peur, elle l'est avait reconnus elle avait refusé leurs avances au bar.

Courir ? Essayé d’utilisé son pouvoir ? Elle ne pouvait pas, non pas dans son état. Que voulaient-ils lui faire ? Elle avait peur oui mais que faire, elle était habillé d'une robe ainsi que des bottes tout cela assorti de noir et une veste rouge. Elle décida alors de courir le plus vite possible dans n’importe quel direction malheureusement ils se mirent à la coursé….

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Alors que pour certains, la fête venait de se terminer, pour Sinner, elle ne fesait que commencer. En cette période hivernale, le jeune confrériste se promena dans les rues munit d'un long manteau noir et d'une petite écharpe rayée noir et blanche.Toutefois, ce soir, il sortie de la boîte aucunement accompagné d'une femme, mais d'une petite bouteille de rhum.

En effet, considérant son moral moins mouvementé qu'à la normal, Sinner décida de laisser la gente féminine de côté pour ce soir. Cela ne l'empêcha pas de sourire et de dresser certains clin d'oeil à celles qui captaient son attention.Il voulait tout simplement s'amuser en solitaire savourant différente alcool de la maison volant son coup de coeur au bar.

Sortant tranquillement de la boîte munit de la bouteille, Sinner s'aventura dans le joyeux monde de l'hiver. Serrant son manteau contre son torse, il avança à contre-courant du vent fesant balader sa chevelure noir. Ne pouvant s'allumer une cigarette en cours de route, il décida de ce réfugier contre un mur.La flamme sensible, elle parvint, tout de même à brûler l'extrémité de la cigarette.

Après avoir marché quelques distances, Sinner se plaça à un endroit fétiche. Il s'agissait d'une vieille bâtisse abandonnée. Le cadrage des fenêtres étaient assez large pour s'installer confortablement. Elle offrait une vue magnifique sur le Central Park.Malgré le froid qui plannait sur la ville, le jeune confrériste se permit se prendre le temps de savourer ses pêchés mortels: tabac et boisson.La fumée et la chaleur du liquide fit alléger le tracas quotidien de Sinner pendant un certain temps.

Un certain temps puisqu'une demoiselle capta son attention.Malheureusement, la distance qui les séparaient l'empêchait d'appercevoir ces traits. Sa chevelure rousse et cette veste rouge qui lui permettait de la distingué dans la nuit.Un léger sourire fendit sa peau blanche s'apperçevant que cette demoiselle s'amusa à améliorer la condition du bonhomme de neige conçue par des enfants auparavant. Étrange qu'une demoiselle puisse descendre dans son enfance ce comportant de cette façon ignorant tout regard qui pourrait se poser sur elle.

Sinner ne fut pas le seul a être captivé par cette demoiselle. Deux hommes s'approchaient d'elle avec beaucoup de volonté. Un peu trop, même. Sentant que le comportement de ces hommes mures était loin d'être noble, Sinner se leva de de sa fenêtre. Tirant le cou vers cette scène, il entendit un crie; la rousse à la veste rouge...

Ils avaient osé. Grotesque. Bien sûr, on pourrait bien dire des attrocités sur Sinner, mais delà à commettre un acte aussi dégradant, c'était hors de ses principes, même scandaleux.Étant témoin de cette affront, Sinner ne laissa pas les choses aller de cette façon, surtout quand la victime était une jeune femme sans défense.

Il sauta de sa fenêtre poursuivant le chemin utilisé par la jeune femme ainsi que des deux pervers.Connaissant surement mieux les rues qu'elle, Sinner coupa entre les ruelles essayant de couper la course. Il fit mieux...

Arrivé à une intersection, il vit la jeune rousse passer. Il se dit donc que les deux hommes allaient venir aussitôt. Alors, sans attendre, Sinner se plaça au centre de la ruelle interrompant les hommes dans leurs courses. En fronçant les sourcils:

« Vous êtes pas un peu vieux pour courrir après les jeunes filles ?»

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Maélys courait elle était toujours poursuivit par les deux agresseurs, elle n’aurait jamais pensé que le parc soit aussi grand et le temps si interminable. Elle jette parfois de rapide regard derrière mais malheureusement ils l’a coursent encore. Maélys n’était pas une grande sportive, elle fut vite essoufflé, en plus son pouvoir lui joué de mauvais tour, sa tenue changé de couleur, elle n’y comprenait rien. Elle se posait milles questions

*Maélys ce n’est pas le moment, t’es dans en danger la, arrête de te posez des questions*

Perturbé par ses changement de couleurs, elle courait du coup beaucoup moins vite et ces agresseurs se rapprochèrent dangereusement de la jeune file, au bout de quelques secondes sont pouvoir se stoppé elle retrouva ses vêtements initialement noir et rouge. Mais comme à chaque fois que son pouvoir agissait cela la fatigué encore plus.

Elle était prête à abandonner, a s’arrêté et a essayé d’utilisez son pouvoir autrement mais elle avait peur, oui Maélys n’est pas une fille courageuse qui ne brave pas tout les dangers non c’est avant tout encore une jeune femme innocente de ce monde et encore vierge de tout combat.

*Allez tient bon ce n’est pas le moment d’abandonner pas cette fois ci*

A quelques secondes d’abandonné, elle entendit une voix elle se retourna puis…………….

« Vous êtes pas un peu vieux pour courrir après les jeunes filles ?»

Les deux hommes furent arrêtés par ce jeune homme que Maélys ne connaissait pas, les deux alcooliques le regardèrent méchamment.

- Qu’es que tu nous veux gamin ? Tu veux une sucette ?

Ils se mirent alors à rire, Maélys se rapprocha un peu mais quand même très craintive mais elle était tellement sous le coup de la peur et de l’énervement qu’elle fixa les deux alcooliques et soudain on vit les deux hommes se cambré de douleurs, Maélys avait réussi à serrer leurs caleçon au maximum. Plutôt comique me diriez vous ? Mais cela pouvait faire très mal.

- Eh c’est quoi ce bordel, Ah vous êtes un cretin de mutant.

Un de deux hommes s’enfuit pendant que l’autre sortit un couteau de sa poche en menaçant le jeune homme.

- Arrête ça tout de suite sinon tu n’aura plus l’occasion de le faire à qui que ce soit.

L’homme ne croyait pas que c’était Maélys qui lui faisait ce désagréable sévice, Mais au bout de quelques instants Maélys ne pouvant plus contrôlé son pouvoir, lâcha son regard de l’homme. Elle eu envie de s’enfuit mais soudain…..

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Croyant passer une soirée bien tranquille auprès de sa bouteille et de sa cigarette, Sinner venait de se faire interrompre par un évènement peu agréable à constater. Deux vulgaires mortels ivres en manque d'affection se mirent à poursuivre une jeune demoiselle.Celle-ci sentant l'odeur de l'alcool et du dégoût, elle se mit à courrir en direction d'une ruelle. Étant spectateur de cette course, Sinner devait agir...

Contrairement aux principes confréristes, Sinner ne pouvait pas laisser cette demoiselle se faire agresser par deux imbéciles. Pour lui les femmes, sont des êtres aussi unique que les mutants. Ce sont les hommes les véritables coupable de ce monde intolérables et ces deux soulons en sont la preuve.

Il devait agir. Connaissant parfaitement les racoins de New York, Sinner prit les passages les plus courts pour tenter de rejoindre la jeune demoiselle en danger.Quelque chose était étrange lors de sa course. Il appercevait quelques fois, la jeune femme entre deux ruelles. À chaque vision, sa tenue avait des couleurs différentes.Sinner n'avait pas bu tant que cela pour avoir ce genre d'hallucination. Puis, il saisie rapidement ce phénomène...

Elle est mutante.

La raison qui le poussait à aider cette jeune femme devenait plus grande. Une consoeur en détresse devant des pouilleux de New York. La colère était très forte.

Franchissant la dernière ruelle, la demoiselle passait rapidement devant lui. Aussitôt, Sinner bloqua le chemin de sa présence ralentissant la cadence des deux hommes.

Ainsi, il se présenta devant ces hommes à la tension très élevé. Son manteau noir volait légèrement dans le vent. Ses yeux étaient totalement concentré sur ces deux vulgaires mortels. En les provoquant légèrement, l'un deux répliquèrent d'une façon aucunement apprécié de Sinner.

La colère le prit d'assault. Au moment où ses yeux s'intillèrent d'une lueur rougeâtre, les deux hommes se plièrent en deux hurlant d'une douleur au niveau de l'entre-jambe. Surpris, Sinner ne comprenait pas ce qui se passait.

La souffrance semblait si forte que même un des mortels quittèrent l'affrontement. Sinner poussa même un rire comprenant légèrement ce qui se passait...

En quelque sorte, il pouvait comprendre cette douleur...

Cependant, l'homme devant lui ne riait aucunement à cette attaque:

Eh c’est quoi ce bordel, Ah vous êtes un cretin de mutant..

Un crétin de mutant...Il croyait que Sinner était le responsable de cette douleur, mais ce n'était aucunement le cas. Aussitôt, il conclue que l'origin était, probablement la demoiselle...Elle se trouvait derrière lui. Pourtant, ne voulant pas la dévoiler,il joua le jeu....:

« Le crétin en ce moment, c'est plutôt celui qui en face de moi, présentement ayant jouer trop fort avec sa testostérone...»

Un sourire de fierté apparue sur son visage voyant cet homme si faible, si vulnérable.

Pourtant, la cupidité fesait partie des défaults de l'homme. Avec arrogance, il sortie un couteau de sa poche le pointant dans la direction de Sinner.

Arrête ça tout de suite sinon tu n’aura plus l’occasion de le faire à qui que ce soit.

Regardant le couteau, le jeune mutant ne réagit pas avec drame. Au contraire, il resta bien droit protégeant ainsi sa consoeur mutant de tout attaque sordide de l'homme. Cependant, un couteau peut être aussi une arme dangereuse...

Soudainement, les yeux de Sinner devint rouge fixant l'homme avec attention. Ses mains tendues de chaque côté de son corps, il emmagasina de l'énergie. Puis...

Les doigts tenant le couteau devenaient bleutée et cette couleur montait de plus en plus vers la main puis le bras...

Sinner glaçait tranquillement le sang de ce ringard...:

« Alons, mon cher....Garder votre sang froid....»

Il poussa un rire continuant toujours de s'abattre contre l'homme menaçant...

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