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| Viktor Leiden - Le Navigateur | |
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Invité Invité
| Sujet: Viktor Leiden - Le Navigateur Mar 19 Fév 2008 - 9:09 | |
| Nom : Leiden
Prénoms : Viktor Hans
Alias : Le Seefahrer, le Navigateur
Age, Date de Naissance : 45 ans, 11 Février 1963
Sexe : Masculin
Clan : Neutre
Pouvoirs : Viktor a une capacité peu commune de voir l'avenir proche en rêve, chaque fois que le sommeil le gagne. Cet avenir est bien sûr le sien ou celui de son entourage, tout ce qui peut être important. Ce pouvoir est assez aléatoire mais avec de l'expérience, Viktor peut arriver à contrôler ses visions et choisir la personne dont il veut voir le futur. Son surnom est du à une métaphore que Viktor dénicha Dieu-Sait-Où, montrant le futur comme un immense océan. Prit dans ce sens, Viktor pouvait « naviguer » sur cet océan.
Description physique : Viktor est de consistance fragile et juvénile. Sa maigreur lui donne un halo fantomatique depuis le début de sa vie, mais ses traits sont ceux d'un jeune homme et il paraît toujours plus jeune qu'il ne l'est. Viktor n'est pas comme on pourrait l'attendre de ses origines de type aryen. Son teint est blafard mais ses cheveux sont bruns et ses yeux noirs.
En ce qui concerne sont style vestimentaire, c'est... particulier. Viktor n'a jamais eu de préférences pour les vêtements, si bien qu'on lui traduisait souvent un mauvais goût proéminent. Il est vrai qu'il ne fait absolument jamais attention à son apparence physique, sauf en cas d'occasions où l'habit est inévitable. Il néglige totalement ses cheveux qui sont la plupart du temps emmelés et gras, et il fallut le supplier pour qu'il aille au coiffeur.
Viktor n'est pas de ceux-là qui s'embarassent pour leur physique.
Signe particulier : /
Caractère, tempérament : Le caractère du Seefahrer, alias Viktor Leiden, a beaucoup évolué selon son âge et les évènements qui survenaient dans son entourage. Au départ, quand il n'était qu'un bébé, il était comme tout le monde une pâte à modeler pret à recevoir toute éducation que l'on voudrait bien lui inculquer. Mais il afficha un caractère bien distinct dès ses six ans : nettement plus avancé que les autres à l'école, résonnant comme un adulte, il fut l'object de beaucoup d'études. Un psychologue pour enfant expliqua un jour à ses parents, Gloria et Hans Leiden, que leur enfant était surdoué. Ils comprenaient tout à fait et saisissait l'ampleur de la chance qui leur était offerte. Leur enfant serait spécial, et en bien... Mais pouvaient-ils se douter à quel point leur enfant serait « spécial » ?
Après ses dix ans, comme vous le verrez dans l'histoire, Viktor a commencé à s'enfoncer dans la dépression, pour tant de raisons. Il ne parlait à personne et ne manifestait aucune souffrance intérieure, mais encaissait et encaissait sans en finir. Mais un changement survint, un changement brutal, qui le remonta et lui redonna une certaine confiance en lui-même. Viktor eu enfin une amie. Mais je ne veux pas vous raconter ce que je vous raconterais dans l'histoire. Viktor avait enfin dans sa vie ce qu'on pourrait qualifier de « bonheur ». Il redevint dans la normalité, avec ses amis et ses ennemis, puis après quelques mois, rechuta.
Après ses quinze ans, ses parents moururent. Il était seul. Dépression depuis cinq ans. Tant et tant de tentatives de suicide avait défilé devant ses yeux, aussi vaines que son immense savoir qui ne servirait donc à rien. Il passait ses journées à dessiner, était nourri jusqu'ici par ses parents. Mais maintenant, il était seul. Il n'y avait plus personne, il n'avait plus qu'une chose à faire. Et cette fois-ci, ça a bien faillit marcher... Heureusement, non. Il fut transféré aux urgences, après qu'un passant l'ait vu sauter du troisième étage d'un bâtiment proche et s'écraser sur sa voiture. Il n'était pas mort sur le coup ; il avait encore une chance.
Il se rétablit vite. Le seul problème était qu'il ne se souvenait plus de rien. Il redevint une pâte à modeler à façonner. Il ne savait plus rien, mais sa faculté à apprendre et à raisonner n'était pas partie. Il ne s'était pourtant pas rendu compte d'une chose capitale : il était désormais capable de choses étranges...
Il accepta son pouvoir comme un don du ciel. A trente ans, il était maintenant un vrai optimiste solitaire, toujours aussi doué, mais maintenant doté de quelque chose que les autres pouvaient considérer comme une tare mais que lui adorait plus que tout. C'était une des seules choses en lui qu'il aimait. C'était une contradiction ressortissante chez lui : un optimiste qui ne s'aime pas, ça ne court pas les rues ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Suite Mar 19 Fév 2008 - 9:09 | |
| Histoire du personnage : Viktor est né à New York, où la famille de son père était venue s'installer après leur fuite de Nuremberg, causée par la montée du nazisme. Hans Leiden épousa une québécoise du nom de Gloria Damian. Ils eurent deux fils, dont un mort juste avant la naissance de Viktor à l'âge de 4 ans. Les parents délaissèrent quelque peu leur fils, car la mère dut effectuer des ménages pour compenser le peu d'argent que rapportait l'emploi en quincaillerie de son mari. A ses cinq ans, ses parents décidèrent de le faire entrer à l'école, même s'il aurait alors une année d'avance, car ils ne pouvaient plus se permettre de payer une nourrice. Ils n'avaient qu'une crainte : que leur fils soit en retard à côté des autres. Et pourtant, ce fut loin d'être le cas... Viktor était en effet tout simplement particulier, bien plus logique que les autres. Il sut écrire et lire au bout de deux semaines seulement, alors qu'il n'était jamais allé en maternelle ; son esprit était étrangement créatif, et il avait une mémoire aussi puissante que celle d'un adulte. Un jour, le directeur de son école l'emmena dans une salle informatique et lui fit passer un test de Q.I. L'enfant comprit presque simultanément le fonctionnement de l'ordinateur et répondit à chacune des questions rapidement. A en croire les résultats, l'avance que l'enfant avait sur les autres était effrayante. C'était la première fois que le directeur voyait cela : un enfant apparemment surdoué dans son école. Les parents furent contactés et on proposa de lui faire sauter des classes. Les parents refusèrent, car même si l'intelligence proéminente de leur fils les étonnait et les effrayait quelque peu, ils ne pouvaient pas faire cela à leur enfant : qui sait combien il souffrirait plus tard d'être si petit et fragile parmis une classe de brutes bêtes et méchants ? Ils dirent aussi à Viktor de ne pas parler de cette particularité à tout le monde. Non pas qu'ils aient honte, ils étaient au contraire fiers ; mais ils savaient que les autres enfants le haïraient pour cette petite différence... Après ses dix ans, Viktor entra au collège. Il ne fallut que deux semaines aux les professeurs pour constater qu'il n'avait aucun ami, que tout le monde passait son temps à le rabaisser plus bas qu'il ne se mettait lui-même, et qu'il se faisait régulièrement agresser dès qu'il posait le pied en dehors du collège. Il se laissait faire. Les responsables contactèrent les parents et les avertirent ; il y eu des rendez-vous avec le Proviseur. Les psychologues s'allièrent aux parents pour aider l'enfant mais ils n'y parvinrent pas. Viktor était toujours méprisé, insulté ; même les pires sanctions n'arrêtèrent pas la cruauté des enfants pour eux-mêmes. Viktor ne parlait pas, il ne racontait rien. Il ignorait les autres même s'il sentait les coups, encaissait et encaissait dans son pauvre coeur. Il courait droit à la dépression quand survint un évènement qui le remonta presque immédiatement. Cela arriva dans un cour d'anglais : alors qu'il s'ennuyait sans dire mot en écoutant toute une ribambelle d'information sur le Simple Past et le futur qu'il connaisait déjà, on frappa à la porte. Cela n'arrivait que peu souvent dans ce collège où les mots d'ordre étaient Routine et Ennui. Mais cela arriva tout de même. D'une voix toute étonnée le professeur dit bien haut son nasillard « Entrez ! » et la porte s'ouvrit. C'était le Proviseur. Et il n'était pas seul : une jeune fille, petite et maigre, le suivait derrière lui. D'un ton d'excuse, on entendit le Proviseur dire au professeur, tout bas : « Désolé, je n'ai trouvé aucune place dans les autres classes... » Puis se tournant vers les autres élèves : « Bonjour les enfants. — Bonjour Monsieur ! — Cette année, vous allez devoir accueillir la petite Wilhemina Bones dans votre classe. Elle est très gentille, vous verrez. Je compte sur vous pour lui montrer comment marche notre établissement. »Il se tourna vers Wilhemina avec un grand sourire bienveillant et paternel. « Wilhemina, bienvenue à Silver School. »Elle rendit un grand sourire au Proviseur et entra dans la classe. Elle avait des cheveux assez courts pour une fille et une peau étonnament blanche. Elle souriait d'un air timide vers ses camarades mais personne ne lui rendait ce sourire radieux. Comprenant qu'elle était en train de vivre un des tourments qu'il vivait chaque jour, Viktor, lui, lui sourit. Elle s'illumina alors et vint s'asseoir à côté de lui. Il appréciait la solitude et regrettait quelque peu d'avoir donné de faux espoirs à la Wilhemina : il n'était pas son ami, simplement quelqu'un qui éprouvait de la compassion pour elle. Mais elle pensait autrement, et elle semblait heureuse, alors qu'elle ne savait même pas comment il s'appelait. Wilhemina était très intrigante. La première fois qu'ils se parlèrent, Viktor lui apprit son prénom. Il en sut plus sur elle : elle n'avait pas connu ses parents et vivait avec sa tante. Cette dernière avait choisi de s'installer avec son petit ami à New York, et elle avait été obligée de la suivre. Dans l'établissement, elle subissait le même sort que lui-même : les autres enfants la traitaient comme une moins que rien. Pourtant, elle était également très intelligente pour son âge et débordait de ressources. Elle était dotée d'une créativité très étonnante et, malgré son sort, était toujours joyeuse, empreinte d'énergie et pleine de vie. Elle refusait perpétuellement de se laisser abattre par le destin cruel et essayait de remonter Viktor. La distance qu'avait d'abord éprouvé ce dernier pour la jeune fille s'était évaporée au bout de quelques jours. Les points communs qu'ils avaient ensemble les reliaient : rejetés et haïs, ils ne pouvaient qu'être amis. Ils riaient sans cesse, jouaient ensemble et se racontaient leurs vies à longueur de journée. Wilhemina était passionée d'histoires fantastiques et Viktor s'y interessait de plus en plus maintenant qu'ils étaient plus proches que jamais. Ils parlaient de mythologie et de contes, de héros et de mondes imaginaires... et Viktor semblait relever la tête. Il était de plus en plus à l'aise avec ses parents. Pourtant, il n'était pas encore près à aller vers les autres enfants de son âge, il faudrait encore attendre un peu. En attendant, il éprouvait une telle joie quand il se trouvait près d'elle qu'il aurait été capable de ne pas s'endormir juste pour raccourcir le moment qui la séparait d'elle. Il voyait l'avenir comme un champ rayonnant, plein de bonheur et de promesses. Et pourtant... Trois mois après l'avoir rencontrée, on lui annonça une chose qui le décomposa. Sa tante, emmenant la jeune fille au cinema, avait été percutée par un cyclo lancé à toute allure. La petite fille était morte sur le coup. La tante, elle était en vie. Non ! Viktor ne pouvait accepter cela. C'était impossible, elle ne pouvait pas mourir, elle contenait trop de vie en elle pour tout perdre si brutalement. Elle ne pouvait pas partir, il se trouvait forcément un moyen de la faire revenir ou de l'empêcher de quitter le monde où lui, Viktor devrait rester jusqu'à la fin de sa vie... Jusqu'à la fin de sa vie ? Erreur. En effet, qu'est-ce qui l'obligeait à vivre jusqu'à la fin ? Il l'avait rencontrée, elle l'avait sortit de sa torpeur. Il ne pouvait plus souffrir en silence, elle lui avait fait comprendre cela. Il ne pouvait plus supporter ce que les autres lui infligeaient, car l'amitié était finie et sa vie par la même occasion... Elle était venue, elle avait tenté de l'entraîner dans son monde. Elle lui avait plongé la tête dans une mare de bonheur en lui montrant tout ce qu'il pourrait avoir, mais avant qu'il n'ait plongé dedans, elle était partie, loin, le ramenant imédiatement à la réalité si brusque et cruelle... Il ne restait plus qu'une solution. Rejoindre Wilhemina, peut importe où elle était. C'était décidé, Viktor était formel. Aujourd'hui, avant la fin de la journée, il serait en enfer avec sa meilleure amie. L'ambulance... L'hôpital... Des tuyaux sortant de son nez... Il était vivant. Etait-ce un rêve ? Oui, surement. Il allait se lever et Wilhemina serait là, l'attendant au collège, et ils riraient bien quand il lui raconterait son rêve ridicule. Il se souvenait de ses paroles si encourageantes, de son pardon invincible et de sa volonté d'aimer, d'aimer et d'aimer encore jusqu'à sa mort. Sa mort... Oui, il s'en souvenait. Il se souvenait de l'annonce que lui avait fait son père mais il ne pouvait se résoudre à y croire, car alors ce serait fini, il n'y aurait plus de moyen, et elle serait morte à coup sûr. C'est pour cela qu'il se défendait de se lamenter mais plutôt de penser à ce qui se passerait quand il la retrouverait. Mais où était-il ? Oh, c'était l'hôpital. Que faisait-il ici ? Pourquoi était-il alongé ? Bien évidemment, il savait pourquoi. Il savait depuis longtemps où se trouvait l'endroit où ses parents cachaient les médicaments, dans la pensée que Viktor saurait en faire usage mais pas forcément à bon escient. Et le pire, c'est qu'ils avaient raison... Ah, il avait de la peine pour ces deux êtres aimés qui allaient être forcément déçus par leur fils. Pourtant, il n'avait aucun regret. Il avait aussi désormais une certitude : il allait rééssayer, au moins une fois, quand le momment serait venu ; et cette fois ci il ferait tout pour réussir... Près de cinq ans avaient passé. Viktor était prostré, dans la chambre au sous-sol qu'avaient aménagé ses parents dans ce qui était auparavant une cave. Ils savaient qu'il serait bien, seul, protégé, dans cet endroit. Ils l'aimaient plus que tout et cela depuis sa naissance ; mais là ils devaient plus que jamais faire attention à lui. Et là, il était prostré, meurtri, devant un mur sur lequel figurait une photo agrandie dans un cadre peint de vert. Cette photo montrait Wilhemina Bones sous son plus bel angle, souriante, fine, magnifique. Savait-elle à ce momment là le triste sort qui l'attendait ? Surement pas. Cinq années n'avaient pas réussi à effacer le chagrin de son éternel meilleur ami, resté cinq ans auparavant à l'instant où il réalisait avec horreur le drame de la situation. Il avait vécu un enfer permanent depuis cet instant tragédique, de dépression assidue passée à dessiner et redessiner un même visage sur des dizaines et des dizaines de feuilles, celui de la seule amie qu'il n'ait jamais eu. On aurait pu croire qu'il était devenu muet si on ne l'entendait pas crier chaque nuit dans son sommeil. Quelques semaines auparavant, son père avait perdu son travail et ils avaient dû partir de New York pour s'installer dans la maison que la famille de sa mère avait contribué à payer, à Washington. Là, le père chercherait un emploi, la mère resterait à la maison pour s'occuper de Viktor et la vie reprendrait son cours. Seulement une nouvelle tragédie s'abbatit sur la famille Leiden : Hans et Gloria périrent dans un carambolage sur l'autoroute Interstate 495. Alors, Viktor sortit de sa chambre et il exécuta ce qu'il s'était promis de faire cinq ans auparavant. Il s'écrasa sur une voiture en bas de l'immeuble adjacent, résultat d'une chute de trois étages. Il se retrouva à nouveau à l'hôpital, revit le visage de Wilhemina qu'il aimait tant, pleura, pleura... Pourquoi avait-il survécu ? Pourquoi n'était-il pas parti rejoindre son éternelle meilleure amie ? Etait-ce cette autorité supérieure, bienveillante comme malfaisante, que certains appellent Dieu, qui l'avait préservé de ce sort funeste qu'il eut tant désiré ? Surement, car cela faisait maintenant plusieurs fois. Il devait donc cesser, abandonner ce qui lui avait fait attendre cinq années. Et pour l'instant surtout, s'endormir... Il ne se réveilla pas. Ou plutôt, Viktor Leiden ne se réveilla pas. Son corps et son cerveau désormais vide se réveillèrent, eux. Sans souvenir. Wilhemina et ses parents, tout était parti en fumée. Il ne savait rien. Il y avait cependant un avantage considérable : il ne se souvenait de rien, donc plus de déprime. Il pouvait de nouveau avancer même si ce serait tout ce qu'il y avait de plus difficile... Hunch... Outch... HAH ! Viktor se réveilla en sursaut après un rêve horrible. Il ne se souvenait pas des détails, mais il avait distingué dans le flou une voiture, puis une jeune personne, puis du sang... Rêve stupide et étrange. Sans intérêt. Viktor se tira hors du lit. Il avait une longue journée devant lui. Cela faisait plusieurs jours qu'il faisait des rêves idiots mais réalistes, qui semblaient coincider la plupart du temps avec la réalité. Etrange. Mais il avait d'autres chats à fouetter. Viktor était infirmier depuis dix ans maintenant. Il avait très vite progressé vu ses facultés mentales surdéveloppées. Il avait bien trente ans, et cela faisait quatre ans que les services sociaux avaient retrouvé sa vraie identité. Mais il rêvait, il fallait se dépêcher, pas de temps à perdre avec des sottises comme le passé ! Il s'habilla, se coiffa, se rasa, se parfuma... Sans boire ni manger il sortit en trombe, ferma à double tour et descendit les escaliers. Il s'engouffra dans sa voiture, démarra... Il se regarda dans le rétroviseur. Mince, il s'était coupé sur la joue. Il regarda dans sa boîte à gant s'il avait un pansement transparent... Rhô et pis Zut-Flûte, tant pis. Soudain... Un cri retentit. La voiture eut un choc, la ceinture l'étouffa et l'airbag se gonfla. Pas de panique. Il y avait toujours une paire de ciseau par là. Il la chercha, la trouva, coupa la ceinture sans ménagements et, sans hésiter, creva l'airbag. Il sortit de la voiture. Alors, il constata avec horreur que du sang maculait ses roues et le sol juste derrière ces dernières. Et là, se trouvait une abomination inconcevable : une jeune fille ensanglantée, inanimée, alongée juste derrière les roues meurtrières... Il avait comprit. Age dans la vraie vie : 16 ans Expérience en RP : Assez Bonne Double compte : Non, peut-être bientôt. Votre personnage est-il issu du Comics X-men : Non.Je certifie avoir lu et j'accepte le règlement. Je m'engage a écrire toujours au minimum 5 lignes complètes dans chacun de mes messages en Role Play. Maxime. |
| | | Electra X-Men Alpha
Nombre de messages : 4349 Age : 33 Autre(s) identité(s) : Angel Martinez (à repris le nom de sa mère) / Voltra
Pouvoirs : contrôle et création de l'électricité, prémonitions et champ d'énergie protecteur
Age du perso : 22 ans Date d'inscription : 22/06/2006
| Sujet: Re: Viktor Leiden - Le Navigateur Mar 19 Fév 2008 - 10:28 | |
| bienvenu parmis nous en tout cas ta fiche est très longue à mon avis on te dira rien sur il te manque des lignes bravo | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Viktor Leiden - Le Navigateur Mar 19 Fév 2008 - 10:34 | |
| Bienvenue ! Très belle fiche ^^ |
| | | Béhémoth X-Men Delta
Nombre de messages : 3562 Age : 36 Autre(s) identité(s) : Markus Ford (civil), Links (X-men)
Pouvoirs : Transformation en Béhémoth
Age du perso : 21 ans Date d'inscription : 03/01/2007
| Sujet: Re: Viktor Leiden - Le Navigateur Mar 19 Fév 2008 - 14:23 | |
| Naaaaaaaaaaaaarrf c'est long ><
Bienvenue parmi nous, ça tombe bien, je suis en vacances et je fais rien cet aprèm, ni même dans la semaine donc je vais pouvoir modérer ta fiche. Je prends mon baluchon, des rations de survie et je me lance ^^
Nom : C'est triste
Prénoms : OK
Alias : Un germaniste, ja voll, das ist gut ^^
Age, Date de Naissance : Ok
Sexe : OK
Clan : OK
Pouvoirs : Yahoo, enfin un pouvoir qui ne pose aaucun problème, j'adore.
Description physique : Un aryen aux yeux noirs et aux cheveux bruns ? Spécial ça tiens. J'AI TROUVE UNE FAUTE !!!! On dit "chez le coiffeur", pas "au coiffeur" ^^ Ou si tu insistes, au capiliculteur (référence humoristique inside, celui qui trouve qui a fait cette blague gagne rien du tout ^^)
Signe particulier : OK
Caractère, tempérament : En général, donné le caractère actuel du personnage suffit mais bon, comme tu le donnes, rien à redire hein ^^
Histoire du personnage : Tu t'es planté à un moment, t'as écrit "aux les professeurs". Putain, c'est glauque comme histoire quand même >< Enfin, la même que les 9/10 du forum mais en mieux raconté, tu me diras. Yeah, une autre faute, t'as écrit "tragédique", ça se dit pas, on dit "tragique". Bon, je t'aime, veux-tu m'épouser ? Non, sans rire, ta fiche est géniale. Donc voilà, t'as fait trois fautes donc bon ben autant que je te valide tout de suite hein ^^
Bienvenue parmi nous, bon jeu | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Viktor Leiden - Le Navigateur Mar 19 Fév 2008 - 17:20 | |
| Merci beaucoup |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Viktor Leiden - Le Navigateur | |
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| | | | Viktor Leiden - Le Navigateur | |
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