Arrivée à l'école (Xavier)

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Vincent avait eut un peu de mal à trouver le bureau du professeur Xavier même avec l'aide de Piotr qu'il avait rencontré dans le hall et qui lui avait montré la direction à prendre. Il faut dire aussi qu'il prenait plaisir à observr l'architecture de ce batiment même si parfois le sol risquait de ne pas tenir le choc fasse au pouvoir de certaints mutant comme Colossus. Le jeune garçon finit par demander son chemin une nouvelle fois à une jeune mutante qui l'amena près de la porte du bureau après avoir un peu discuté avec lui, il remercia la mutante qui s'en alla dans la direction opposée et frappa à la porte. Il attendit qu'on lui dise d'entrer derriere la porte, son sac de sport où se trouvait toute ses affaires toujours en bandouillere.

(J'espere que je le dérange pas, j'ai vraiment besoin de l'aide de quelqu'un. Si il peux rien pour moi je suis fichu.)

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Thémis était parti il y a de cela seulement quelques minutes et, comme l’avait pressenti le professeur, un nouvel élève vint le trouver. Il était rare que Charles reste aussi longtemps dans le bureau et pour cause, après une absence de quelques semaines un tel flux de personne était en quelques sortes logique. Il arrivait, Xavier attendit patiemment que Vincent soit devant la porte et, au moment ou il frappa, lui dit d’une voix simple d’entrer. Le professeur ne pénétra pas dans son esprit, ou du moins pas profondément, à son habitude il attendait que les gens parlent d’eux même. Cela permettait une certaines surprise et rendait donc le dialogue plus intéressant que d’aller espionner les pensées des autres.

Enfin avant qu’il se résolve à ne pas pénétrer dans la tête du jeune homme, il avait déjà pu voir que Piotr avait aidé Vincent à trouver le bureau. Ce nouveau retour de M.Raspoutine avait apparemment fait des remous dans le hall d’entrée. Malgré son départ, Piotr ne semblait pas avoir changé, toujours aussi serviable. Xavier leva les yeux vers l’élève lorsque celui-ci entra. Il n’était pas derrière son bureau mais légèrement devant, un des stigmates d’une visite récente. Vincent avait un sac en bandoulière, il n’avait donc pas prit la peine de poser ses affaires dans sa chambre ? Sans dire un mot, le professeur indiqua d’un mouvement de bras qu’il pouvait déposé ses affaires ou bon lui semblait, de toute façons le désordre n’est qu’une façon de dire que quelque chose est rangée d’une autre manière que nous le voulons.

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Vincent entendit une voix lui dire d'entrer, il s'executa doucement, il vit un homme chauve dans un siege roulant près d'un bureau, l'homme lui fit signe de poser son sac, Vincent le posa près d'un canapé.

-Bonjour, je m'appele Vincent. Je suis là pour integrer votre institut. Euh .... Vous êtes bien le professeur Charles Xavier?

(Je me suis peux être trompé, ça ne m'étonnerais pas, j'ai aucun sens de l'orientation.)

Le jeune homme se sentit mal à l'aise, il ne savait pas pourquoi mais un frisson le parcourit. Un silence se posa et le garçon n'aimait pas ça, il préfera rompre le silence et se remit à parler.

-J'ai un pouvoir que je n'arrive pas à controller, un pouvoir mental, je pux faire du mal au gens en me concentrant sur eux. Et j'arrive pas à le maîtriser, j'ai peur de blesser des gens sans le vouloir, ça m'est déjà arrivé plusieurs fois.

Vincent avait parlé avec une grande vitesse, mais il marqua une pause après avoir fini de parler puis repris pour poser la question qu'il se posait le plus en se moment:

-Vous pouvez m'aider?

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- "Oui, je suis bien celui que tu sembles chercher."

Il lui adressa un léger sourire, une manière habituelle de mettre les gens en confiance. Charles regardait d’un œil serein l’adolescent d’à peine dix-sept ans. Son attitude laissait entrevoir un grand stress émotionnel et pourtant aux premiers abords, il avait plutôt l’air d’être une personne calme. Il paraissait légèrement plus jeune que son âge, on lui donnerait plus seize ans que dix-sept mais après tout qui s’en soucis, un an de différence n’est rien et n’est quasiment pas remarquable sans s’attarder sur un cas précis. Soudain une pensée lui parvint, et celle-ci n’était pas passagère, le professeur contrôlait à merveille son don et pourtant par simple réflexe il lui arrivait de s’immiscer. Il profita d’un petit silence pour répondre à la question qui était censé être oratoire, celle que s’était posé le jeune homme.

- "Ne soit pas si anxieux, tu ne t’es pas trompé. A vrai dire, tu arrive même au bon moment."

A peines un temps après cette phrase, Vincent reprit à une vitesse folle. Pas de doute sur son mal-être, il semblait perdu. Il est vrai que posséder un pouvoir que l’on ne contrôle pas n’est pas forcément évident et cela en devient même très handicapant, autant pour soit que pour les personnes qui nous entourent. Xavier comprenait parfaitement la situation de l’élève et pour cause, leur pouvoir n’étaient pas si différent l’un de l’autre, il y avait juste une différence de niveau et de faculté. Le jeune homme en vint à lui demander s’il était capable de l’aider. Sûrement que Charles le pouvait mais tout dépendait de quelle aide il avait besoin, et déterminer ce genre d’information est parfois plus difficile que cela en à l’air. D’une voix calme et posée, le professeur continua.

- "Tout dépend ce que tu attends et surtout de ce que tu désir."

Phrase simple et qui pourtant grammaticalement se veux complexe. Plusieurs verbes, plusieurs sens, en général les deux vont avec même si parfois certaines personnes arrivent à ne vouloir dire qu’une chose avec un discours de dix minutes sur comment dire bonjour en bon Américain qui se respecte. Charles n’avait pas détaché son regard bleu de Vincent, l’élève devait expliquer son problème ou du moins ce qu’il attendait du professeur. On ne peut pas aider quelqu’un sans savoir ce qu’il désir de vous.

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(Coment il a vu que j'était anxieux? ça se voit tant que ça?)

Le professeur ne semblais pas très bavard, il lui demanda juste ce qu'il cherchait comme aide après lui avoir assuré par deux fois qu'il ne s'était pas trompé et qu'il était bien le professeur Charles Xavier. Vincent savait exactement ce qu'il voulait mais il reflechit bien si c'était bien ça. Il voulait vivre tranquillement sans avoir à se soucier de risquer de faire du mal à ceux qu'il aime à cause de ses pouvoirs. Et Vincent connaiscait le seul moyen d'y arriver, l'entrainement, s'entrainer assez pour maitriser du mieux possible son pouvoir. Mais pour ça il avait besoin de l'aide de Xavier car il n'avait aucune idée de la maniere de faire pour qu'il puisse se consentré sur quelqu'un sans lui faire de mal à chaque fois. Et aussi que son pouvoir ne lui cause plus de maux de têtes parfois superieurs au ceux qu'il infligait avec.

-Et bien, je voudrais pouvoir controller mon pouvoir, ne plus faire de mal inconsciement. Et aussi que je n'ai plus les maux de tête qui accompagnent les fois où mon pouvoir s'active. Je sais qu'il faut que je m'entraine mais je sais pas comment. Tout à l'heure dans le hall, je parlais avec un éleve et d'un coup je me suis trop conscentré, heureusement il n'a rien ressentit mais j'aurais pus lui faire vraiment mal ou même le faire tomber dans le coma comme j'ai fais une fois à un professeur.

Il regarda Charles tout en lui raconta son histoire puis soufla une nouvelle fois à la fin. Mais il préféra être bien clair après sa derniere phrase.

-Mais je vous rassure, c'était parce que je ne controle pas mon pouvoir, ça n'était pas voulu.

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Charles écouta le récit de son élève, comme la plupart des personnes qui venaient le trouver, il savait ce qu’il voulait. Hormis le fait que Vincent ne sache pas trop comment réagir face à ce pouvoir qui semblait lui voler une grande partie de sa vie sociale… Cependant, il se rendait bien compte qu’on se concentrant il faisait du mal et paraissait savoir quand exactement il se concentrait. Un esprit naïf aurait pu lui dire d’un ton sarcastique : tu n’as qu’à arrêter de te concentré banane ! Mais nous allons dire que ce n’était pas du tout le genre de commentaire que ferait une personne comme le professeur. Ce qui étrange s’était les maux de tête, comme chez sa première élève : Jean. Encore une fois le cas était différent, Jean était frappée de maux de tête ce qui déréglait alors tout autour d’elle. Vincent, lui, à des maux de tête après l’avoir utilisé. D’humeur sérieuse, le professeur observait le jeune homme d’un air approbateur bien qu’accompagner d’une pointe de neutralité ce qui rendait son regard plutôt indifférent - bien qu’il n’en fut pas le cas.

Pour les personnes maîtrisant un pouvoir psychique, il est difficile d’établir un quelconque diagnostic de leur puissance. Le seul moyen de s’en rendre pleinement compte était d’en être la victime, ce qui pouvait s’avérer dangereux si la cible n’est pas préparée ou ne bénéficie que de peu, voir d’aucune, force mentale. Vincent se rendait compte qu’il avait besoin d’entraînement, après tout il n’était pas ici pour rien et en franchissant le portail ce raisonnement devenait élémentaire même pour un nouveau venu. A l’annonce de l’accident que l’adolescent avait provoqué, le professeur ne pu s’empêcher de penser qu’il aurait du repérer cet enfant avant que cela n’arrive. Un certain sentiment de culpabilité et d’impuissance s’empara de lui quelques secondes avant de disparaître tout aussi vite qu’il était arrivé, l’heure n’était pas aux songes. Vincent parut s’inquiéter de sa phrase précédente, si bien qu’il rajouta quelques mots afin de bien sa faire comprendre même si cela ne fut pas nécessaire.

- "Je n’en doute pas Vincent."

A nouveau une phrase des plus simple et qui laissait pourtant transparaître une multitude de sentiments. La compréhension, l’approbation, le réconfort, autant de sensations que de sens se dissimulaient derrière ces quelques mots. Un bref instant passa, si bref qu’il ne fut presque pas perceptible à moins qu’on ne s’attende à ce qu’il arrive. Dehors, le temps n’avait pas changé : un soleil radieux qui, d’ici quelques jours, allait sûrement être caché par quelques nuages perturbateurs en quêtes de facéties. Le beau temps ne durait jamais bien longtemps et lorsqu’il durait on ne s’en rendait pas compte… On ne se rend compte des bonnes choses que lorsqu’elles nous sont enlevées.

- "Lorsque l’on se concentre, dans un cas général, c’est une action voulue. Dans ton cas nous pouvons considérer que celle-ci est éventuellement le fruit d’un manque de repère. Il y a une limite à tout : certaines peuvent être franchies, d’autres se doivent d’être respectées. As-tu déjà réfléchit à l’hypothèse que ton esprit tente de se créer ses propres limites par l’intermédiaire d’un possible essai avec les personnes qui t’entourent ?"

Après cette phrase qui était sûrement la plus longue depuis que Vincent était rentré, le professeur proposa d’un ton plus amical sans pour autant être familier tout en lui montrant le canapé près duquel même le sol reposait son sac.

- "Je t’en prie, assied-toi."

[Hj : Il lui suffit de regarder, sa faculté de raisonnement en plus de son don lui permettent beaucoup de chose. Et même en cas général, quand quelqu’un n’est pas à l’aise ça se remarque rapidement même sans être télépathe =)]

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Vicent fut surpris que le professeur lui dise que s'il se concentrait c'était une action voulue, c'est vrai que en général il se concentrait pour écouter attentivement quelqu'un ou alors quelque chose comme ça, mais Vincent ne le dit pas au professeur, il attendait de voir. Mais il écouta quand même Xavier parler. Il lui posa une question à laquelle Vincent ne sacha pas quoi répondre, le jeune garçon s'assit sur le canapé après que le professeur le lui ai demandé.

-Non je n'ai jamais pensé à ça, mais c'st vrai que si je me concentre c'est parce que je le veux, parfois c'est juste pour être attentif, comme pour ce pauvre professeur, il a eu le malheur se jour la que je veuille écouter attentivement sa leçon. Mais je sais pas si c'est possible mais parfois j'ai l'impression que mon pouvoir augmente quand j'y repense, avant je ne créais que des maux de tête, maintenant quand j'utilise mon pouvoir, enfin quand il se déclanche, la personne ne peux plus bouger tellement la douleur est grosse.

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Le garçon s’assit, il ne s’était pas fait prier par des manières abusives de politesse… Vous savez celles qui consistent à proclamer les « non merci, je suis bien debout », « c’est vrai je peux ? ». Entre ces phrases toutes faites et les personnes qui prennent le fait d’être assis comme pour être au niveau de l’interlocuteur, il y avait une panoplie de choix disponible et il prit le meilleur, le plus simple. Vincent s’expliqua ou plutôt développa ce qu’il ressentait, un bon point et un pas de plus. Avec plus d’informations, peut être que Charles parviendrai à l’aider avant qu’un autre accident ne se produise, cependant les erreurs arrivent à tout le monde et n’épargnent personne. Le jeune homme était donc capable de provoquer des douleurs grâce à une intense activité cérébrale, ce qui lui provoquait du même fait a lui aussi des troubles au niveau de sa tête. Un pouvoir donc trop puissant qu’il n’arrive pas à gérer seul. A cette pensée, le professeur se retrouva plongé quelques années en arrières et progressivement plusieurs anecdotes lui passèrent par la tête.

Pauvre professeur - celui de Vincent bien sûr, pas Charles. Pour une fois qu’un élève de plus que ceux habituels voulait écouter son cours, il se retrouvait dans le comas… Manque de chance, d’autant plus que maintenant on ne pouvait plus retourner en arrière. Xavier écoutait attentivement l’élève, après tout il était la pour ça. Etudiant chaque parole au mot prêt et une fois que le garçon eut fini, il rajouta accompagné d’un sourire en coin.

- "Te rappels-tu de cette leçon ? Si oui dans ce cas on peut dire qu’il y a eut du bon dans le mauvais."

Charles se rapprocha du canapé, se positionnant en face de Vincent avec une déconcertante habitude de manipuler l’engin qui remplaçait ses membres locomoteurs inférieurs. Le professeur se contenta d’attendre, une pointe d’humour n’avait jamais fait de mal à personne et permettait souvent d’apaiser l’atmosphère tendue qu’était en train de se créer. Il regarda dans les yeux le jeune Kyde, cela faisait déjà un moment qu’il n’avait pas chercher à intercepter toutes les pensées qui s’échappaient de l’esprit du garçon, en fait lorsqu’il cherchait quelque chose Charles avait l’impression que des mots se formaient devant ses yeux – simple impression.

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Vincent ria quand Charles lui demanda si il se rapellait de cette leçon, le jeune garçon commençait à se sentir bien dans cette institue, les deux personnes avec qui il avait parlé jusqu'à présent depuis son arrivée l'avait traité comme un de leur semblables,pas comme un monstre, comme certaint l'auraient fais. Et rien que pour cela, Vincent avait envie de rester le plus longtemps possible mais il se rapellait que son but principal n'était pas de trouver un endroit où il serait bien, mais un moyen de canaliser son pouvoir. Il souria au professeur avant de répondre tranquillement.

-En fait, oui, même si le pauvre n'a pas eu le temps de finir. Il se frottait la tête parfois mais il avait l'habitude de le faire. Puis à un moment il a laché son livre et est tombé lordement sur le sol, inconscient. Tout les éleves étaient effrayés mais moi encore plus, je savais que c'était à cause de moi.

Vincent regard sa montre, il n'était pas tard mais il était fatigué, il y avait pas mal d'heure de taxi d'ici à Boston où il vivait avant. Il jeta un oeil dehors à son tour puis reposa son attention sur Xavier une nouvelle fois.

-Excusez moi, mais j'ai passé je sais pas combien d'heures dans un taxi depuis Boston et je suis vraiment fatigué, j'ai une chambre où aller?

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Le garçon se mit à rire, le professeur de son côté ne pu contenir ce sourire franc qui le chatouillait déjà quand Vincent s’était esclaffé. Lorsque celui-ci décrit plus en détail le théâtre dont la scène principale était la chute de son professeur, Charles ne s’étonna pas de la réaction des élèves. Il est vrai que de voir comme ça son professeur, dans lequel on à une certaine estime en général, en pleine classe cela devait faire drôle. En même temps vu ce que de nos jours leur font subir les élèves, il n’y a pas de quoi être étonné quand un d’eux s’écroule mais cette fois le cas en était tout autre.

- "Savoir que l’on est le responsable d’une action prouve bien que celle-ci à un effet, sans cela comment savoir s’il y a une impacte sur ce que nous faisons."

Le garçon devait sûrement avec une chambre, en général se n’était pas le professeur qui leur donnait cependant, la moindre des choses étaient quand même de pouvoir les renseigner. A son avis s’était plus un oubli de la part du garçon qu’une absence d’information à son arrivée, certainement que quelques élèves – dont Piotr – avaient pu le renseigner.

- "Bien sûr que tu as une chambre, tu es ici chez toi. Dans le dortoir des garçon, la deuxième. Il me semble que tu la partagera avec un dénommé Morgan Strold ainsi qu’avec Antonio Velasquez. N’hésite pas à revenir me voir si tu as besoin, la porte sera toujours ouverte."

Il lui adressa un regard signifiant à la fois qu’il serait le bienvenue et que, par conséquent, il serait près à l’écouter de nouveau. Le temps passé avec les élèves semblaient s’écouler beaucoup plus rapidement que par la normales des choses.

Désolé, panne d’inspiration =/

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-En fait c'est surtout ça qui m'a decidé à venir ici donc oui, ça à eu un certaint impact sur moi. Si ça n'était pas arrivé je serais peux être pas là en fait. Mais je préfere que ce se soit passé comme ça en un sens.

Vincent fit un sourire complice au professeur Charles Xavier.Le professeur lui dit ensuite que ça chambre ce trouvait dans le coté des garçons, chambre 2, il lui dit aussi qu'il la partagait avec deux garçon, Antonio et Morgan. Vincent fit oui de la tête, personne ne lui avait expliqué tout ça. C'était une des raisons pour lequelles Vincent était venu voir Xavier.

-Merci, je viendrais vous voir au besoin. Je voulais vous dire aussi, je suis content d'être ici.

Vincent se leva de la chaise puis récupera son gros sac et le mit en bandouillere puis sortit du bureau après avoir dit au revoir à Charles. Le jeune garçon sentait vraiment qu'une nouvelle vie s'offrait à lui avec la possibilité de vivre d'une façon beaucoup plus facile pour lui. Il savait que si il fréquentait d'autres mutants il se sentirait moins seul.

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