Une petite faim [Pv la belle demoiselle, Susan. Clos°

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Dolce se réveilla ce matin la avec la tête dans les fesses, il avait un de ses mal de crâne qu’il prit plus de deux heures avant de se lever de son lit pour aller se laver… Et oui, notre jeune homme était un paresseux quand il le voulait, néanmoins, c’était quand même assez rare de le voit debout après 9heure ! Le jeune homme alla donc se laver et revient avec une serviette atour de sa taille, il prit un t-shirt noir à courte manche, laissant voir plusieurs de ses tatouages. Il mit un pantalon en jeans troué par endroit, c’était le modèle qui était fait ainsi, puis enfila des chaussures noirs. Il faisait chaud aujourd’hui, mais il prit quand même une veste, on ne sait jamais se que la météo vous réserve hein. Le jeune homme avait faim et n’avait pas envie de manger ici, il avait envie de se faire un petit restaurant même si seul ce n’était pas super. Il se dit que après, il irait ennuyer quelques passant en les faisant trébucher sur des racines, ou alors qu’il chercherait un X-men pour le faire enrager ! Oui, Dolce était ainsi, il cherchait toujours la guerre et sa les X-men le savait. Ce jeune homme était un fouteur d’embrouille professionnel, toujours à mener la vie dur aux humains. Le jeune homme sorti de sa chambre et souhaita le bonjours à plusieurs personne, voila deux ans qu’il était ici, sa tissait certain lien… Il sorti alors de la confrérie et se mit à marcher, il n’avait pas envie de prendre sa voiture aujourd’hui, la marche était bien mieux.

Dolce marchait donc, il regardait les environs, ne cherchant pas grand-chose pour tout dire. Il prit des lunettes de soleil qui pendait à son t-shirt et les mit devant ses yeux, ses cheveux en batail lui donnaient cet air charmeur et rebel en même temps. Il tenait sa veste à bout de doigt qui était déposé sur son épaule droite, il posa son regard droit devant lui et vit enfin le restaurant qu’il voulait trouver. Un restaurant fréquenté par les mutants, pas loin de l’institut mais sa il n’en avait que faire, tans qu’on le laissait manger en paix ! Le jeune homme entra dans le restaurant calmement, le serveur le vit mais jamais Dolce n’avait mit la pagaille ici… Il aimait y manger… Il lui fit un signe de tête et le jeune homme alla se mettre à une table près de la fenêtre, il prit la carte que le serveur lui apporta et se mit à lire celle-ci doucement et très calmement. Il posa alors son regard sur les alentours, Dolce enleva ses lunettes dévoilants ses yeux si spéciaux… Marrons et bleus… Il commanda alors un verre d’eau et à manger et rendit la carte

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C'est en talons aiguilles et vêtue d'une robe courte blanche que Susan pénètra dans le restaurant. Elle avait fait des anglaises à ses cheveux et s'était maquillée. Elle s'était faite jolie, mais n'attendait en réalité personne. Elle avait décidé, sans une raison quelqueconque, qu'elle allait dîner au restaurant ce soir. Pour se faire plaisir, pour elle, pis parce qu'elle avait envie. Elle s'avança donc auprès d'un serveur, qui lui indiqua une table dans un coin.
Elle s'y assit et patienta le temps que l'homme lui tende la carte. Elle surprit, à la table d'en face, un jeune homme aux yeux magnifiques la regarder. Elle tenta un sourire discret mais fit comme si de rien était. Elle l'observa discrètement. Il était grand et brun, d'une allure imposante, d'un teint ni pâle ni foncé, et une étrange sérénité semblait émaner de son corps tout entier. Susan fut coupée dans son observation par le serveur qui lui servit une caraffe d'eau et lui tendit la carte.

Elle l'a saisit, murmura un vague merci et se retourna vers l'homme assit à la table d'en face. A ses traits tirés, on devinait un jeune homme sportif et impulsif, mais à son regard, on reconnaissait un éternel brun ténébreux. Susan était tellement absorbée par son analyse du jeune homme qu'elle ne vit pas son bras, replié vers son decolleté, devenir invisible. Etait-ce l'émotion ? Susan n'en savait trop rien, elle n'avait pas remarqué. Elle reporta son attention sur la carte et son bras réapparut. De toutes façons il y avait peu de chances pour que l'omme d'en face l'ai remarqué, en revanche elel était quasiement sûre qu'il l'a regardait à présent.
Plongée dans ses pensées, elle se repencha sur la carte...

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Dolce venait de commander et attendait son plat quand un bruit résonna, curieux, il tourna les yeux vers la personne qui venait d’entrer dans le restaurant et vit une jeune fille ravissante. Celle-ci se fit indiquer une table juste en face de la sienne, il la regarda quelques secondes mais se fut assez pour qu’elle le remarque et lui fasse un petit sourire discret. Elle reporta alors son attention sur la carte, Dolce vit le serveur venir vers lui et lui donna son verre d’eau, le jeune homme remercia le serveur et bu une gorgée calmement. Il se senti alors observer, il leva calmement les yeux et vit la jeune femme le regarder discrètement mais il vit aussi son bras disparaître…Une mutante, une très belle mutante d’ailleurs. Il ne pu s’empêcher de sourire et il se leva avec son verre, Dolce s’assis alors juste en face de la jeune demoiselle et croisa les bras sur la table

« Une femme invisible, originale »

Il avait dit cela de son ton mystérieux mais amusé en même temps, il déposa son verre sur une soucoupe et observa la jeune femme discrètement. Elle était belle, de jolis cheveux blonds, des yeux magnifiques et sa robe lui allait à merveille. Dolce était un dragueur, mais pas un dragueur qui draguait tout se qui bougeait… Il montrait juste aux filles qui lui plaisaient ses avis. Il bu une gorgée d’eau de nouveau et reposa son verre il dit alors

« Je suis Dolce Ryan, j’espère ne pas vous déranger »

Il sourie calmement, il souriait c’était dans sa nature mais il ne souriait que avec les mutants et encore, si c’était des hommes, sa dépendait de la conversation qui pouvait être très mouvementé ! Il repensa alors à se qu’elle avait fait, elle était donc une femme invisible, cela coulait de source quand il avait vu son bras disparaître ainsi sous ses yeux… Il ne pensait pas qu’une autre personne l’aille remarqué, enfin, aille remarqué le bras car des regards masculins c’étaient posés sur elle.

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Il se leva, se rapprocha, le même regard tranchant, le même sourire charmant sur le visage. Susan fut étonnée de le voir approcher, comme si de rien était, posant son verre sur la table où elle était assise et prenant la chaise d'en face. Susan resta bouche bée, surtout lorsqu'il murmura quelque chose qui sous-entendait qu'il l'avait vu. Susan se figea, mais afficha un sourire mal à l'aise. Comme d'habitude, dès qu'elle sortait il fallait qu'il se passe quelque chose et qu'elle se fasse remarquer.

- Je ne vois pas de quoi vous parlez !

Susan se sentait un peu agressée, mais son regard métallique, mélange de marron et de bleu, lui donnait un air gracieux et attirant. Susan sourit maladroitement, mentir n'était pas son fort et ne l'avait jamais été. Elle se ravisa lorsqu'il demanda s'il dérangeait. De toutes façons il croyait qu'elel pouvait devenir seulement invisible, il ne savait pas que s'il l'a dérangeait, elle lui écraserait la tête entre deux champs de force. Elle changea soudainement d'attitude et se penchant sur la table, redressant sa poitrine dans son décolleté à l'aide de ses bras, elle murmura d'une voix sensuelle :

- Vous ne me gênez pas. Je suis Susan...
Enchantée.

Elle avait prononcé "Enchantée" avec un ton sussureux et aimable à la fois. Elle ne connaissait pas, elle était d'habitude timide et réservée, mais elle savait jouer de ses atouts pour s'adresser à la gente masculine. Il l'avait vu devenir invisible, il fallait à Susan un bon argument pour l'entuber et le mettre à ses pieds, de façon à ce que cet humain ne cherche pas à lui nuire et qu'elle puisse regagner l'Institut sans encombres.

- Alors Dolce ? Vous croyez avoir vu une femme invisible ?
N'est-ce pas un peu paradoxal ?

Elle leva un sourcil. C'était certes arrogant, mais elle était sûre qu'elle avait fait mouche ! Elle posa ses coudes sur la table, et croisa ses doigts sous son menton. Lorsque le serveur revint, elle lui fit signe que le jeune homme mangerait avec elle.

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Dolce observa la jeune femme, celle-ci fit un sourire mal à l’aise, cela l’amusa assez car il n’était pas du genre à être comment dire… intimidé par la gente féminine et malgré qu’elle soit plus que ravissante il ne se laisserait sûrement pas avoir. Elle dit alors qu’elle ne savait pas de quoi il parlait, elle ne savait pas mentir, elle avait l’air pas très assurer dans son genre mais cela lui donnait un charme. Elle dit alors d’une voie sensuelle après s’être penchée légèrement, laissant ainsi entrevoir son décolleté plongeant qu’il ne la dérangeait pas et qu’elle se nommait Susan. Il ne pu s’empêcher de sourire avec amusement

« Enchanté de même Susan »

Il avait dit cela d’une voie assez charmante mais gardant ce piment de mystère, pensait-elle avoir affaire à un simple humain…Elle essayait de s’en sortir comme elle le pouvait, sa aurait pu marcher son charme si il n’était pas résistant à cela. Néanmoins, cette attitude était la bienvenue avec lui, surtout avec lui. Il l’observa quand elle parla, il ne pu s’empêcher de rigoler, le serveur approcha et la jeune fille lui fit signe qu’il mangerait à sa table. Que demander de mieux ? Il la regarda

« Paradoxal ? Oui, sûrement, mais bon je ne pense pas en même temps »

Il sourie et le serveur vient le servir, quand il reparti, il regarda Susan et vit en même temps une petite fleur dans son pot posé entre eux deux. Cette fleur n’avait pas encore fleurie, c’était juste une petite pousse qui était néanmoins très belle. Dolce l’observa et regarda ensuite Susan il dit

« Les fleurs ne pousse pas vite en pot…dommage »

A ses mots, il reposa son regard sur la plante, celle-ci se mit alors à pousser de plus en plus rapidement et devenir une magnifique fleur bleutée. Le jeune homme reposa ensuite son regard sur son assiette et se mit à manger comme si de rien n’était, il haussa les épaules et dit

« Je trouve qu’elle est mieux ainsi, encore, ce n’est qu’un début… »

Il sourie avec charme à Susan comme toujours, ainsi, il venait de lui montrer qu’elle n’avait pas affaire à un humain mais bien un mutant… Il espérait juste qu’il n’aurait pas besoin de faire marcher la fleur pour lui faire comprendre, sa aurait été comment dire…plutôt amusant mais il se serait vite fait remarqué par les autres !

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Son ton mieleux et sa voix grave faisait vibrer en Susan une émotion étrange. Qu'est-ce qui produisait cet étrange effet ? La séduisait-il ou se laissait-elle aller, au lieu de se dissimuler derrière son écran de timidité qu'elle avait habitude de dresser ? Son air mystèrieux et sombre plaisait beaucoup à Susan. Le serveur leurs apporta bientôt leurs assiettes. C'était étraneg de voir cet homme inconnu et étranger parler et plaisanter allègrement et même rire de ce que disait Susan. Charmant, poli ? Faux-Cul ?
Susan se laissait aller, mais restait méfiante.
Il planta son regard dans le sien. Un sentiement étrange traversa Susan. Heureusement, il détourna les yeux vers la maigre pousse qui les séparaient. Susan fut d'abord étonnée de la voir onduler, puis pousser avec vigueur pour devenir une fleur d'un bleu d'azur magnifique. Elle écartilla les yeux de surprise et ne pu que murmurer un pâle petit :

- Wow....

Dolce avait recommencé à manger, comme si de rien était. Susan fut convaincue, pas besoin d'avoir à l'écraser d'un champs de force, il était mutant lui aussi. Susan sourit, et piqua dans son assiette un morceau de son plat, qu'elle mangea avec avidité.
Elle reposa son couvert et posa ses mains sous son menton.

- Alors je dîne ce soir avec un confrère ?

Susan, sur le coup, n'avait pas réalisée que son interlocuteur ne partageait peut être pas les mêmes idéaux qu'elle.

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Le jeune homme faisait souvent sa aux jeunes filles, enfin, il n’était pas vraiment dragueur de nature sauf quand une demoiselle lui plaisait… Il devait avouer que physiquement, Susan, était très attirante. Le jeune homme venait donc de montrer à la jeune demoiselle que lui aussi était un mutant, il n’était pas dangereux pour ses semblables loin de la, justement, il était plus protecteur qu’autre chose. Il était dans la confrérie, pourquoi ? Parce qu’il avait la haine des humains, cette sous race… Le jeune homme entendit la demoiselle dire qu’ainsi, elle dînait avec un confrère. Oui, elle avait bien raison, il ne savait pas qu’elle était une X-men sa aurait été de son devoir de s’en aller et ne pas lui parler, quoi que, il était libre de ses choix !

« Exactement ma chère Susan, moi, j’ai l’honneur de dîner en compagnie d’une charmante jeune fille. Aussi belle qu’une rose qui ne demande cas s’épanouir »

Il lui fit un léger clin d’œil, oui, il était ainsi. Il montrait quand une demoiselle lui plaisait, Susan était son genre de fille donc il ne se gênait nullement pour lui montrer. Il attrapa une bouchée de son assiette, il regarda la jeune demoiselle en souriant calmement et il reposa son regard sur son verre et prit une gorgée. Il regarda la jeune demoiselle et demanda

« Que fais une jeune demoiselle, seule, ici ? »

Oui, c’était une question assez indiscrète mais il aimait bien savoir pourquoi les gens étaient seuls… Dolce regardait toujours la demoiselle calmement mais avec un certain charme, un charme certain. Il était ainsi lui, dragueur dans l’âme mais que avec les filles qui pourraient bien lui plaire réellement et il pensait cela de la jeune demoiselle.

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Le compliment du jeune homme fit mouche. Susan devint rouge comme une pivoine. Elle s'était montrée offensive d'un point de vue morale, elle avait argumenté son ton de voix d'un décolleté plongeant à en faire baver n'importe quel gentleman. Dolce, lui, était resté de marbre. Il lui rappellait Azer, grand, brun, beau, gentil et doux, sauf que Dolce possèdait un air mystèrieux qui faisait naître en Susan un sentiment d'intérêt... Elle eut un sourire gênée, qui trahissait la zone sensible que Dolce avait percée. Perdrait-elle ses moyens ? Son bras devint invisible l'espace d'une seconde. Elle ne su s'il l'avait remarqué, elle déglutit avec difficulté, et, toujours écarlate, articula une réponse au compliment de Dolce.

- Je ne saurai en dire autant sans articuler maladroitement une phrase sans aucuns sens.

Le clin d'oeil la désarçonna. Elle sentit passer sur ses joues un afflux de sang, le feu lui montait au visage, à nouveau, une partie de son visage disparut, pour revenir aussitôt. C'était très visible cette fois ci. Susan fit mine de rien et but une gorgée du contenus de son vin. C'était assez énervant, cette façon qu'avait ses pouvoirs de réagir aux émotions. C'était toujours pour lui causer du tort ou pour la trahir. Silencieusement, elle se promit de se concentrer la prochaine fois pour qu'il n'y paraîsse rien.
Elle sourit habilement pendant que Dolce lui posa sa question et cette fois ci, elle répondit presque aussitôt pour reprendre un peu le contrôle.

- Je prenais un peu l'air...

Elle baissa les yeux, c'était comme si soudain, un fardeau immense s'était abattut sur ses épaules. Elle pencha la tête, ses yeux s'embrumèrent de larmes sans qu'elle n'en comprenne la cause. Elle fit un pâle sourire qui se transforma en grimace. Elle but cul-sec son verre et le reposa bruyamment sur la table. Elle vascilla très légèrement sur le côté avant de se ressaisir et de se reservir un verre.

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Le jeune homme voyait bien qu’il faisait naître l’intérêt de la jeune demoiselle, il aimait bien sa, puis, il voyait bien aussi qu’il était en train de la désarmer sans vraiment le vouloir. Il l’entendit alors répondre à sa phrase et cela le fit sourire, Dolce était un beau parleur de première c’était sûr, il savait formuler des phrases magnifiques et parfois il parlait comme toute personne. Souvent, quand il était en pleine bagarre, il faisait de l’humour et sa l’amusait… Il ne vit pas le bras de la jeune demoiselle devenir invisible pendant une seconde, l’air de rien, sa devait pas être facile d’être invisible, il préférait nettement son pouvoir. Après ce clin d’œil donné, il vit la jeune fille devenir aussi rouge que son sang. Quelle image plutôt comique et amusante, serait-elle ainsi timide ? C’était…touchant. Il vit une partie de son visage disparaître et revenir directement, c’était assez impressionnant à voir il devait avouer

« Vous avez un beau visage, essayé de ne pas le cacher…se serais dommage »

Le jeune homme demanda alors se qu’elle faisait ici seule, elle répondit directement qu’elle prenait l’air… Il la vit alors baisser brusquement les yeux, comme si elle avait à porter un fardeau immense dans ses paroles. Les yeux de la jeune demoiselle se remplirent de larme à la grande surprise de Dolce, il la regarda avec surprise mais inquiétude aussi, il n’aimait pas voir les filles pleurer. Il la vit boire cul sec son verre de vin et s’en servir un autre, mais, avant qu’elle puisse le porter à ses lèvres Dolce l’attrapa et le déposa doucement sur la table

« Voir une demoiselle pleurer me remplit de peine, quel est donc la cause de ses larmes qui ne demande cas couler ? »

Le jeune homme regarda Susan tout doucement, sa voix c’était faite douce et calme, il n’avait rien contre elle et donc voulait comprendre le pourquoi elle était triste ainsi….

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Susan se ressaisit aussitôt lorsqu'il lui toucha la main et reposa le verre. Elle fit un sourire timide et cligna plusieurs fois des yeux, comme si cela lui permettait de ravaler ses larmes. Ses mains étaient grandes et musclées, mais pourtant si douces. La phrase qu'il lui lança, lorsqu'elle était devenu l'espace d'un instant invisible, lui avait fait un frisson, comme si elel l'avait déjà entendu quelque part... Susan ferma doucement les eux, l'image d'Azer, proche d'elle, lui murmurant des mots doux et tendres lui revint en mémoire. Dolce représentait Azer, mais avec un côté mystérieux. Peut être lui manquait-il ? Peut être avait-elle du remord de séduire une autre jeune homme alors que son coeur s'était offert à un autre. Elle fut soudain si perturbée qu'elle retira sa main imméditament, avec un geste légèrement brusque. Elle ne saurait dire si Dolce fut impressioné ou surprit, mais elle ne s'en souciait guère. Que faisait-elle ? Elle succombait à la tentaion ? Elle se faisait avoir comme une débutante ! Elle déglutit bruyamment et planta son regard dans celui de Dolce. Son regard se voulait froid et d'acier, mais bien vite, face au visage angélique du jeune homme, Susan perdit pied et laissa son visage se radoucir. Elle aimait Azer, plus que tout, mais il était peu là, il avait beaucoup de choses à faire et Susan ne pouvait le blâmer, il était parfait.
Qu'allait-il dire si Susan lui avouerait s'être fait avoir par un inconnu ? Lui en voudrait-il ? Le brusque chagrin qui avait envahit Susan s'effaça brusquement et elle secoua légèrement la tête pour répondre à Dolce.

- Rien de bien important, je suis fatiguée et mes nerfs lâches.

Elle avait dit cela avec une telle assurance qu'elle en était presque convaicante. Il fallait qu'elle se ressaisisse, et ne pas lâcher prise, même si le jeune homme lui plaisait, elle ne l'aimait pas. Ou se persuadait-elle juste qu'elle était fidèle ? Un éclair de raison passa dans son regard. Elle ravala son chagrin aussi bien qu'elle pu, mais ses yeux scintillèrent de larmes.

- Et vous, vous n'avez pas évoqué la raison de votre solitude ?

Un sourire maladroit dissimula une montée d'émotion. Susan tiendrait bon, ou appellerait du secours. Elle ne voulait pas que Dolce, aussi séduisant soit-il, la voit faible et fatiguée.

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Dolce venait donc de toucher la main de la jeune demoiselle, il avait fait cela avec douceur et calme en même temps. Celle-ci paressa d’un coup très perturbé, comme si quelque chose n’allait pas… Il la regarda doucement, que se passait-il en elle, pourquoi ce regard si froid poser d’un seul coup sur lui ? Avait-il fait quelque chose de mal, il n’en savait pas grand-chose, il avait pourtant rien à se reprocher. Il l’observa alors droit dans les yeux, malgré qu’elle le regarde si froidement, il ne méritait pas réellement ce regard et le savait. Il se demandait pourquoi, pourquoi ce changement soudain envers lui ? Il essayait d’être gentil et voila ce regard qui surgit dans ses yeux… Il vit alors le regard de la jeune demoiselle devenir moins froid pour s’adoucir, mais la question restait toujours en lui. Il entendit ses paroles, à bout de nerfs ? Elle avait dit cela avec un ton convainquant mais Dolce n’était pas dupe, il sentait qu’il y avait plus que la fatigue la dedans. Il regarda un moment par la fenêtre, puis, il reposa son doux regard qui était resté le même sur Susan.

« Je comprend »

Il sentait le chagrin envahir celle-ci, ses yeux étaient légèrement rouges, montrant cette envie de pleurer en elle. Il se demandait comment la consoler, il ne voyait vraiment pas, il devait simplement rester gentil comme il l’était depuis le début. Il ne quitta pas son regard, essayant de déceler la raison de cette peine en elle. Puis, elle surgit comme une évidence, peut-être un chagrin d’amour, des doutes, de la peine, Il n’en savait rien, mais il ne voyait rien d’autre que cela… Ou alors se trompait-il totalement sur la raison, mais il fallait qu’il prenne cela en compte. Mais bon, quand Dolce avait une personne qui lui plaisait en face de lui, difficile de le faire changer d’avis. Si elle ne voulait plus qu’il l’approche, qu’il lui parle ou autre elle le lui dirait tout simplement mais sinon, il resterait le même. Il entendit alors sa question, qu’elle était la raison de sa solitude ?

« J’avais besoin de prendre l’air tout simplement…puis, ma solitude n’est pas éternel »

Il lui sourie doucement, toujours ce petit air charmeur sur le visage. Il fini son assiette ainsi que sa boisson, il regarda ensuite la fleur calmement. Il prit alors doucement la main de Susan la regardant droit dans les yeux et dit dans un murmure

« Laisse toi faire »

Il positionna la main de Susan au dessus de la fleur, celle-ci se mit à se balancer légèrement frôlant la main de Susan avec une telle douceur. Il savait que cela relaxait souvent les gens, les pétales de celles-ci étaient d’une grande douceur, d’une grande légèreté.

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Susan se laissa saisir la main, mais resta bouche bée lorsqu'elle sentit l'incroyable douceur avec laquelle il l'avait saisit. Dolce, aussi beau ténébreux soit-il, grand et fort, semblait possèder un touché délicat absolument irréel. Le regard dur qu'elle lui avait lancé s'était immédiatement adoucis, pour devenir bientôt une regard admiratif et emplit de charme. Les pensées de Susan varièrent soudainement, passant du doute, du chagrin et à la peine, à une sorte de sentiment étrange, à la croisée d'un malaise et d'un sentiment de confort. Avait-elle un brin de remord à être ici avec un homme qui lui faisait du charme, auquel elle n'était pas insensible ?
Susan se laissa aller à l'écouter parler, sa voix était sonore et douce, profonde et grave. C'était à la fois hypnotisant et ensorcelant, ou les deux à la fois, peut être...

Il lui saisit la main plus fort, mais la douceur sembla s'amplifiée. Il lui avança la main jusqu'au dessus de la fleur, trônant au milieu de la table. La fleur, tout doucement, se mit à se balancer et à effleurer la main de Susan. C'était très relaxant et très agréable. Elle souria timidement. Dolce avait des mains si douces...
Susan se laissa faire, le soudain tutoiement ne la gêna même pas, elel ne l'avait presque pas entendu...
Elle s'était avancée, son visage s'était rapproché, ses yeux cherchait quelque chose à regarder... Elle était brûlante, une chaluer et un confort étrange c'était emparés d'elle... Elle sentait le souffle silencieux du jeune homme, l'entourant et la percuta doucement... Elle était si proche...

- C'est très agréable... dit-elle doucement.

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Et oui, Dolce était ainsi, il savait se qu’il faisait et c’était tans mieux, il essayait de la séduire, la faire tomber mais ne jouait pas la comédie se qui était bien. Le jeune homme venait donc de prendre la main de Susan pour la mettre au dessus de la fleur, celle-ci caressa sa paume avec une grande douceur, laissant son parfum s’ancré dans la main de la belle demoiselle. Il entendit ses paroles, elle dit que c’était très agréable et il trouvait aussi… Ben oui, il était fort proche d’elle à ce moment la, il avait son visage près du siens, sa main dans la sienne. Le jeune homme sourie doucement à celle-ci et fit un beau clin d’œil à Susan, il chercha alors son regard et le trouva puis, simplement, doucement, il déposa un unique baiser sur le front de la demoiselle.

« Pour moi aussi, ta compagnie, ta présence m’est très agréable… »

Il se recula alors lâchant sa main, la fleur cessa alors de se déhancher au bon désir de Dolce. Il ne cessa pourtant pas de regarder la belle blonde devant lui, il ne voulait même pas savoir si elle était des X-men ou pas, il ne voulait rien savoir… Oui, il était peut-être confrériste mais n’en voulait pas spécialement aux X-Men, lui, il était libre comme l’air et détestait simplement les humains point ! On lui avait apprit à les détesté, puis, quand il repensait à ses parents il n’avait qu’une envie…Tous démolir sur son passage !

[désolé c’est court, tu me pardonne ? ]

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[Y a pas de soucis : ) ]

La séduction venait à son point d'apogée. Jamais Susan ne s'était autant sentit détendue... C'était un moment très intense et plutôt chaleureux. La main si protectrice et douce de Dolce sur la sienne, son regard magnifique, sa présence imposante vis à vis d'elle. La fleur lui caressa la paume, c'était presque comme si elle remuait aux pensées de Dolce et traduisait la sulfureuse façon d'être des deux jeunes gens. Le clin d'oeil fit rougir Susan et le baisé sur le front l'acheva... L'espace d'un instant, son visage disparut, avant de réapparaître rouge comme un poivron trop mûr. Elle se mordit les lèvres et un sourire radieux se forma sur son visage. Il était si magnifique, si doux, si gentil. C'était presque un rêve.
Il lui parla, c'était comme si ils étaient seuls... Elle n'entendait plus que ça voix, plus rien d'autre, il n'y avait que lui et elle. Elle tendit sa jambe discrètement sous la table pour plaquer son talon contre le pied de Dolce et lui adressa un sourire gracieux. Elle allait lui proposer de prednr eun dessert, un café, ou autre chose, lorsque son regard se dirigea vers la montre du jeune homme...

- Oh mon dieu !

Elle sursauta d'un bond et saisit son sac à main. Elle regarda si elle n'avait rien laissé et se redressa de sa chaise. Elle n'aimait pas laisser Dolce dans ce restau, là, d'un coup, alors qu'elle planait à mille pieds il y avait encore 10 minutes. Elle devait travailler, comment avait-elle pu oublier ? Sacre-bleu. Et Azer ? Elle 'navait pas de nouvelles, elel s'inquiètait, elel draguait Dolce qui lui plaisait énormément, en restant convaincu qu'elel faisait quelque chose d'odieux à Azer... Elle secoua la tête, ce n'était pas le temps de penser, il fallait qu'elle se dépêche, c'était déjà 22h45. Elle devait être au bar à 23h. Il fallait qu'elle se dépêche. Elle saisit sa veste. Il lui sembla que Dolce resta bouche-bée devant tant de précipitations d'un coup, elle lui fit sigen que tout allait bien.

- Je suis désolée Dolce, je travaille ce soir, je dois partir... Excuse moi.

Elle s'était déjà détournée, lorsqu'elle se stoppa net. Pas la peine de l'embrasser, enfin si, elle ne savait pas, il ne comprenait peut être pas tout. Dépêche toi. Vite, 22h49. Elle se retourna vers lui. Son regard se planta dans le sien et elle se rapprocha. Susan se pencha vers le beau ténébreux avec qui elle venait de passer un moment inoubliable. Elle déposa un baisé sur sa joue. Resta un moment, à l'observer, l'admirer, comem si elle craignait que tout ceci ne soit qu'un rêve, et qu'elle désirait en profiter le plus longtemps possible... Elle passa une main sur la joue de Dolce. Il était maintenant 22h52. Dépêche toi, en retard et c'est de l'argent en moins... Elle se rapprocha de lui, son odeur était si douce, si agréable... Elle posa ses lèvres sur les siennes et ferma les yeux. Ce fut comme... comme quelque chose d'inexplicable... Ses lèvres avait le goût du désir, et la chaleur de sa peau donna à Susan un frisson de plaisir. Elle rouvrit les yeux et se détourna, lançant un dernier regard à Dolce, le sourire aux lèvres...

Il était 22h54.

Vers le Bar "Western Pub".

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» Petite faim? ( PV Kate)
» .:.Susan and Me.:.