Parmi eux (pv Mark Snov )

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Une journée ensoleillée un samedi après midi, une atmosphère sèche et baignée par le soleil, des passants qui allaient et qui venaient dans les rues de new York, une journée banal, pour des gens ordinaires. Comment imaginer que parmi eux, parmi cette multitude, se déplaçaient aussi des être extraordinaires dissimulant leur singularité.
Le plus anodin des évènements, la plus commune des habitudes, Nolan Kiting, nouvel élève à l’école de surdoués du professeur Xavier, était en quête de pièces de rechanges pour son masque à assèchement de l’air. C’était devenu un rituel aussi banal que de changer les cartouches de son stylo, à peu prêt toutes les 2 semaines il devait remplacer certains composants du matériel artisanal dont il s’était doté. Sa nature solitaire et craintive l’avait retenu de demander directement au professeur xavier de mettre ses moyens à disposition pour lui créer un masque plus élaboré, et plus efficace. Nolan préférait gérer ses problèmes tout seul, l’école lui offrait surtout un refuge et un lieu où il pouvait poursuivre ses études sans s’attirer de problèmes. Pour le reste, son corps restait son corps, et ses problèmes restaient ses problèmes. Le principale de ces problèmes était l’étendue de la marque, pour ne pas attirer l’attention il avait été obligé de se vêtir d’une veste longue et de gants en cuir malgré la chaleur qui régnait dans les rues. Ajoutez à cela des lunettes de soleil pour cacher ses yeux, et il était un humain normal parmi d’autres humains. L’autre problème était l’eau. L’atmosphère terrestre est saturée à 70% d’eau, par une journée comme celle-ci, cette humidité avait du passer à 60, voir 55%, un bonheur pour Nolan. L’eau le brûlait, et notamment ses poumons la supportaient mal. Pour l’instant, il subissait de simples symptômes d’essoufflements, des symptômes qu’il faisait disparaître en respirant à travers son masque pendant quelques heures. Mais un jour ou l’autre, il serait probablement dépendant de ce masque.

Il avait trouvé sur le net l’adresse d’une boutique intéressante, les composants dont il avait besoin se trouvaient rarement dans les grandes surfaces, et puis il avait besoin de tester parfois les pièces qu’il souhaitait acheter directement sur l’appareil en question. Le masque était dans son sac justement, chaque fois qu’il le sortait dans un magasin, les vendeurs étaient intrigués, il répondait seulement qu’il s’agissait d’un prototype expérimental amateur dont le but devait resté secret. On l’importunait rarement plus que ça.
Il entra dans la boutique de Mark Snov sans rien enlever de ses lunettes, ni de ses gants ou de sa veste.

Nolan : « Hello ?! Y a quelqu’un là dedans ? »

La boutique était une sorte de caverne aux merveilles des accessoires électroniques et techniques en tout genre. Il y aurait certainement de quoi satisfaire Nolan, si seulement il avait su à ce moment là qu’il avait pénétré la seule boutique de new York dans laquelle il n’avait pas besoin de cacher sa nature.

Alors, s'il fourrait se truc la dans se machin la.. et ensuite qu'il soudait ça... Nan, c'était pas possible, le mieux était de faire ça, puis ça, puis.... Une lumière se mit à clignoter sur son bureau. Il y avait quelqu'un dans le magasin, le détecteur qu'il avait installé l'en avertissait. C'était toujours un vrai plaisir de voir qu'une de ses réalisation fonctionnait. Ca lui donnait l'impression qu'il n'était pas complètement raté. Bon, ça tombait drôlement bien, il y avait une pièce d'on il avait besoin qui ce trouvait la bas. C'était bien le comble de pouvoir réparer un avion de chasse les yeux fermé, et d'avoir du mal à réparer un simple cafetière. Il n'aurait surement pas du ouvrit les yeux. Il fit pivoter sa chaise à roulette, sur laquelle il était assit à l'envers ( c'est à dire dossier face au ventre) et s'aidant de ses jambe, il se propulsa dans le couloir, le traversa. Il parvint ainsi assez rapidement dans le magasin. Une fois rentrée dans la pièce, il se rendit compte qu'il faisait sacrément chaud. Il avait du oublier de branché la clim. Ou alors elle était encore tombée en panne. Il jeta un rapide coup d'œil dans la salle, et deux choses retinrent son attention : 1) son client : un olibrius qui ne trouvais rien de plus malin que d'être emmitouflé comme un esquimau, et qui en plus portait des lunettes de soleil. On aurait dit une description de l'homme invisible. Bah, les gens viendrait dans son magasin s'il ne posait pas de question et qu'il se contentait de faire ce qu'on lui demandait. Ce qui était déjà une gageur en soit. Enfin, ça ne faisait pas plus de trois jour qu'il avait mis cette annonce sur internet, il était déjà encourageant d'avoir un client.
2) Un appareil à l'air étrange émettait des petits flashs lumineux, et un petit son. Et ça ce n'était pas courant : l'appareil ne réagissait en présence que de 4 personne : la voisine, un touriste danois, lui, et maintenant son curieux visiteur. Or, sur 4 de ces personne, deux était identifié clairement comme étant des mutants. Ce qui pouvait ... Vouloir dire tout et n'importe quoi. Mais autant garder l'information à l'esprit.

Il se propulsa une dernière fois, donna une petite pichenette à l'étrange appareil, usant pour se faire de son avant bras robotisé, puis il fit :

"Bonjour monsieur. Que puis je faire pour votre service ? "

Il ne s'était pas levé... Il valait bien que son statut handicapé lui serve à quelque chose quand il était fatigué. Bon, vu le type, ça n'allait surement pas être pour changer les piles d'une radio. Ou alors ce serait une pile atomique. Oui, ce serait tout à fait le genre de chose qui risquait de lui tomber sur le dos. Il devenait vraiment de plus en plus pessimiste. Avec un peu de chance ce ne serait rien de bien compliqué. Mais Mark ne pouvait s'empêcher de se poser des question sur son étrange visiteur: celui ci devait avoir une raison pour se balader comme ça. EN réfléchissant un peu, ce qui le calma il en vit :- cacher quelque chose, du genre balafre, brulure
-Il n'y avait rien à voir, donc il était mutant
-c'était la nouvelle mode, mais il était définitivement hors du coup.
Il préférait franchement la troisième solution...

"Vous voulez un rafraichissement ? "

Ça ne coutait jamais grand chose, et puis ça faisait toujours bon effet sur le client. Du moins l'espérait il car il n'avait absolument aucune expérience du commerce. Franchement, il aurait peut être mieux fait de s'abstenir de faire ce commerce. Mais comme disait le dicton, qui ne tente rien n'a rien... Il aurait quand même du accepter ce stage de formation, il aurait au moins su comment ci prendre pour accueillir correctement un cliant.

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Nolan leva un sourcil derrière ses lunettes noires lorsqu’il vit le vendeur se déplacer sur sa chaise. Faignant ou infirme ? Va pour infirme, de toute façon, il était venu pour quelque chose de bien précis, il ne voulait pas s’attarder à des détails sans importance. Il porta la main à sa monture pour réajuster ses lunettes, il songeât qu’il était prêt à échanger sa place avec cet homme, être un humain normal même infirme au lieu d’être un monstre.

Nolan : « Je ne vous déranges pas j’espère. »

Lorsqu’on lui proposa un rafraîchissement, il se demanda si c’était une plaisanterie quand à son accoutrement. Le plus drôle, c’était que justement, un raffermissement n’était pas du tout ce qui le soulagerait, cela faisait des mois qu’il n’était plus capable de boire sans brûler son appareil digestif.

Nolan : « Non, non, merci vraiment, je… Je suis très bien comme ça. Je suis à la recherche de… »

Il chercha ses mots pour décrire ce dont il avait besoin, et puis il se rappela qu’il avait emporté son masque avec lui justement pour ne pas perdre de temps à décrire ce dont il avait besoin. Il plongeât sa main dans son sac pour en sortir son mécanisme. Un masque respiratoire, relié à un tube en plastique ressemblant à un tube d’aspirateur, le tout branché sur une boite métallique servant de pompe à air. Il le déposa sur le comptoir, et désigna certaines zones précises.

Nolan : « Voila, c’est un appareil artisanal, je cherche des membranes comme celles qu’on utilise pour les ventilateurs des ordinateurs. Ensuite, j’ai justement le ventilateur de la pompe à air qui me lache régulièrement. J’ai essayé plusieurs modèle de rames, mais ça fini toujours par gripper, ou par casser au bout de quelques semaines. »

Il ouvrit le boîtier en faisant attention à ne pas casser les mécanismes internes. Outre le fait que le ventilateur était utilisé pour aspirer au lieu d’expulser, ce qui rendait la durée de vie de ce gadget aussi courte, c’était sont caractère complètement artisanal. Nolan avait toujours été très intelligent, mais il était encore jeune, et inexpérimenté.

Nolan : « J’ai aussi du mal à trouver un système d’alimentation qui soit en harmonie avec le ventilo. Soit j’utilise quelque chose de trop faible, et la pompe ne pompe pas assez, soit il est trop fort, et tout crame. Vous pensez être capable de me proposer quelque chose de cohérent ? »

Nolan montrait toujours son appareil sans complexe, personne ne pouvait savoir à quoi il servait, mais comme tous les vendeurs qu’il avait connu ignoraient justement le but précis de la chose, aucun n’avait pu l’aider à parfaire sa réalisation.

L'homme étrange semblait être assez poli. C'était au moins une bonne nouvelle. Il n'aurait pas apprécié un client qui n'aurait pas été poli. Mais il l'aurait servit quand même, car il fallait bien manger, et les reste de pizza froid, ça allait bien cinq minutes, mais au bout de quinze joue, ça commençait à devenir indigeste. Par contre, une question d'importance se posait : à quel genre grammatical appartenait ce qu'il avait devait les yeux ? Homme ? Femme ? Adulte ? Jeune ? S'il n'était pas resté terré aussi longtemps dans des laboratoires obscure, il aurait eu un peu d'expérience de ses semblable, et il aurait put identifier long manteau à des détails. Finalement, au son de la voix, Mark décida que son interlocuteur devait être un homme d'age mur. Il en prit son partit, et décida d'être aussi poli que possible, ce qu'il aurait fait de toutes façon, et aussi d'éviter de faire des commentaires ironiques, ce qui était déjà plus difficile...

"Pas du tout, monsieur. Vous m'excusez de ne pas me lever pour vous saluer correctement, mais mes jambes sont faibles et j'ai encore une fois égaré ma canne..."

En voila une excuse, qu'elle est bonne. Il inspirait drôlement confiance en racontant à son premier client qu'il perdait ses effets personnel. Ça incitait vraiment à lui laisser un appareil quelconque... Franchement, il allait devoir apprendre à travailler ses relations humaines. Il avait peut être un cobaye dans la salle...Mais ce n'était surement pas le cobaye idéal.

« Non, non, merci vraiment, je… Je suis très bien comme ça. Je suis à la recherche de… »

...Il avait encore fait une gaffe. Il était tomber sur le seul client qui avait une religion lui interdisant de boire de l'eau pendant la journée, ou quoi ? A moins qu'il ne craigne les maladie et que c'était pour cette raison qu'il se baladait couvert des pieds à la tête ? Mais combien de fois devait il se répéter que ce n'était pas ses affaires, et qu'il ne devait pas se mêler de ce qui ne le regardait pas. Par contre, ce qu'il cherchait, ça promettait d'être intéressant. Pour qu'il ait autant de mal à lui expliqué ce qu'il voulait ça devait être
1) trop technique pour lui ou
2) peu banale...

« Voila, c’est un appareil artisanal, je cherche des membranes comme celles qu’on utilise pour les ventilateurs des ordinateurs. Ensuite, j’ai justement le ventilateur de la pompe à air qui me lâche régulièrement. J’ai essayé plusieurs modèle de rames, mais ça fini toujours par gripper, ou par casser au bout de quelques semaines. »

Oula, c'était quoi ce bidule ? Le ventilateur n'était pas utilisé dans sa fonction première, et il y avait un drôle de filtre... A quoi ça pouvait bien servir? Ba, pas besoin d'essayer son don sur ce truc, il y avait de très forte probabilité pour que le type lui explique. Il attendit donc des explications complémentaire, qui lui permettrai d'y voir plus clair, sans être obligé de se prendre la tête.

« J’ai aussi du mal à trouver un système d’alimentation qui soit en harmonie avec le ventilo. Soit j’utilise quelque chose de trop faible, et la pompe ne pompe pas assez, soit il est trop fort, et tout crame. Vous pensez être capable de me proposer quelque chose de cohérent ? »

Hum ? Pas un mot sur le but de l'engin ? Pourquoi ? Surement pas un oubli involontaire... Ce joujou devait avoir une certaines utilité, mais son utilisateur ne voulait as qu'on le sache... Un diffuseur de drogue ? Bien compliqué comme truc pour un junkie. Mark du se résoudre à utiliser, son don...En nouveau coup de pied, il se retrouva tout près de long manteau. Il lui prit délicatement l'appareil des mains ( tiens, pourquoi il porte de gants ?) puis se propulsa vers son établit. Il fit rapidement de la place sur celui ci (principalement en jetant une pile de journaux par terre), puis commença à regarder l'engin sous toute ses coutures. Il aurait bien aimé pouvoir bourré sa pipe et se mettre à fumer, mais il savait d'expérience que les gens supportaient très mal l'odeur acre qui se dégageait de celle ci, aussi décida t il de s'abstenir...

"Hum, malin, comme tout , ça.. Mouais, alors ça et ça, si ça ça va la et ça c'est ? Ok... Donc, ensuite... Et ce truc la ? A oui, je suis bête... En fait c'est un principe simple, remarquablement bien mis en œuvre... Dommage que le concepteur n'est pas utilisé ce qu'il fallait... en tout cas, c'est un sacré petit malin... Par contre, à quoi ça peut bien servir de retirer l'eau présente dans l'air ???"

Mark se rendit soudain compte qu'il avait posé un question indiscrète à son client. Lui et sa fichue curiosité, il aurait mieux fait de se taire. Si ça se trouvait, il avait réussit à mettre en pièce la réputation de son tout nouveau magasin. Il fallait vraiment qu'il essaye de rattraper le coup. Il fit pivoter sa chaise, se propulsa vers un coin de la pièce ou il pensait avoir laissé trainer ne bonne partie des composants dont il pensait avoir besoin. Notamment un pompe à air, ce qui serait quand même mieux qu'un pauvre ventilateur martyrisé. Peut être que ce type était un fanatique d'une religion quelconque qui refusait le contact avec l'eau ? Il y avait de ces dingues, de nos jours...

"Désolé, vous n'êtes pas obligé de répondre, c'est de la curiosité déplacé..."

Se faisant, Mark n'avait pas remarqué que ses mains avaient commencé à assemblé avec la précision et la dextérité qui nait normalement de l'habitude un nouveau modèle du masque respiratoire. Il avait en effet décidé que trop des composant était abimé, et qu'il se devait de repenser le système pour tenir compte de la pompe... Mais il n'était pas sensé pouvoir faire ça aussi facilement... Il s'interrompit alors qu'il allait commencé à souder à l'aie sa prothèse. Il jeta un vague regard à moitié coupable vers long manteau, et repartit vers son établit, et posa toutes les pièces dont il avait besoin dessus, y comprit ce qu'il avait déjà commencé à monter. Il avait fait une gaffe... En espérant que ce type serrait idiot et qu'il mettrait ça sur le compte d'un personne habitué à manipuler ce genre de matériel, plutôt que sur le ds d'un mutant.

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Nolan avait été surpris, et un peu inquiété lorsque Mark s’empara de son boitier pour l’examiner de plus prêt. Ce marchant, ou ce technicien faisait preuve d’une certaine aisance, et d’une confiance qui le rassurèrent dans un premier temps. Nolan n’avait pas à faire à un amateur. Il avait connu nombre de boutiqués incapables de reconnaitre le sens positif du sens négatif sur une pile 16 volts. Mais là, c’était différent, ce gars en chaise roulante, enfin, euh… non, pas en chaise roulante… enfin, si, il était sur une chaise, et la chaise roulait, mais ca n’était pas vraiment ce qu’on pouvait appeler une chaise roulante… Enfin bref, il savait ce qu’il faisait.
Et là, Nolan senti un frisson parcourir son échine lorsque Mark énonça sans hésitation l’utilité de son appareil. Si vite ? Si simplement ? Sans même ouvrir ou examiner la chose ? Nolan se remémora la scène dans sa tète, avait il prononcer un mot de trop ? Avait-il trop, parlé ? avait-il révélé sa nature monstrueuse ? Non, il en était certain, non, la chose la plus simple à faire c’était… De se la jouer tranquille, et naturel, cool, voler l’air décontracté…

Nolan : « C’est un, euh… Un prototype pour des recherches sur, eux… Sur les effets de l’assèchement de l’air sur le système respiratoire humain. C’est l’objet d’une étude amateur à l’université, nous voyons si ‘absence d’eau nuirait tôt ou tard à nos capacité respiratoires, c’est très en vogue ce genre de recherche avec toutes ces histoires de réchauffement climatique. »

La meilleure stratégie était toujours de détourner le propos, et de paraitre détaché. On parlait de plus en plus de l’augmentation de la température terrestre, l’effet de serre, la progression des zones désertiques en Afrique, des lors son petit baratin prenait un semblant de fausse authenticité.
Et puis Mark s’en alla brusquement en emportant le tout. Oh, il n’était pas allé tres loin, il s’était juste installé d’un point de vue plus confortable pour travailler, et examiner son travail. Nolan voulait faire passer son précieux masque pour une babiole excentrique, mais en vérité, il en avait tellement besoin qu’il n’avait pu s’empêcher d’afficher un air inquiet et d’esquisser un geste pour retenir le vendeur. Il avait retenu son geste mais mark avait certainement remarqué qu’il avait levé légèrement le bras dans un petit mouvement trop brusque ou trop vif pour être naturel. Nolan bafouilla quelques mots décousus.

Nolan : « At… Attention, le… Le propriétaire de ce joujou y tient beaucoup, n’allez pas… N’allez pas tout foutre en l’air surtout. »

S’il en avait été capable, Nolan aurait certainement transpiré d’anxiété.

Vraiment pas facile d'en fabriqué un autre. Mark avait bien une dizaine d'idée, mais elle était :
1) inapplicables
2) trop volumineuse
3) trop consommatrice d'énergie.
Mark commença à jouer nerveusement avec un stylo, faisant tourner celui ci, faisant rentré et ressortir la pointe, dans un petite cliquetis. Mouais, mais s'il faisait ça. Oui, ça pourrait éventuellement fonctionner. Ça serai gourmand en énergie, mais il pourrait toujours trouver une solution. Du genre, s'il couplait, ou qu'il mettait l'alimentation de cette façon. Malgré le fait qu'il soit tout à fait concentré sur ce qu'il faisait, il ne pouvait s'empêcher de ressentir la tension dans la pièce. Manifestement son client avait un peu ...un peu quoi ? Peur ? Et si oui de quoi ? Qu'il découvre la fonction véritable de la machine ? Ou peut être qu'il abime l'appareil, ce qui faudrait dire que celui ci avait une certaines valeur. Non, mais franchement. Il était en train de se faire des nœuds dans le cerveau à propos de chose qu'il ne voulaient pas savoir. Mieux, de choses qu'il ne devait pas savoir. Du moins s'il voulait garder un peu de travail. Il écouta ensuite l'explication de long manteau à propos de l'appareil :

"C’est un, euh… Un prototype pour des recherches sur, eux… Sur les effets de l’assèchement de l’air sur le système respiratoire humain. C’est l’objet d’une étude amateur à l’université, nous voyons si ‘absence d’eau nuirait tôt ou tard à nos capacité respiratoires, c’est très en vogue ce genre de recherche avec toutes ces histoires de réchauffement climatique. »

... Si ce type disais vrai, Mark voulait bien donner l'intégralité de sa maigre fortune à un organisme humanitaire. Le voila qui recommençait : il doutait, alors qu'il n'aurait pas du. Il devait considérer tout ce qui venait de ses commanditaires comme la vérité divine absolu, comme la parole d'un prophète comme... Oui, il fallait vraiment qu'il se calme. Une petite sieste, ça lui ferait du bien. Tiens, voyons, une bonne petite idée, histoire de tester son ami en long manteau :

"A ok... ET votre expérience, elle doit durer encore longtemps ? Parce que votre appareil est presque en fin de vie. En bricolant un peu dessus, il pourrait tenir encore un mois, ou deux, mais je ne pense pas beaucoup plus. Enfin, je suppose que ce n'est pas très grave, il n'y a pas mort d'homme."

Alors, la, on allait bien voir. Si comme il le pensait, l'appareil avait une importance plus grande que ce qu'il n'y paraissait, ce type allait faire bond de surprise. A moins qu'il ne soit déjà au courant, bien sur. Mais dans ce cas, il aurait surement demandé à ce qu'il en fabrique un autre ? pas forcément, c'était peut être un genre de test. Il l'avait dans ce cas franchis avec succès. Ou pas. Peut être que ce bonhomme cherchait quelqu'un qui était suffisamment intelligent pour réparer, mais pas assez pour voir le problème... S'il continuait à se triturer le cerveau comme ça, celui ci allait se mettre à bouillir.

« At… Attention, le… Le propriétaire de ce joujou y tient beaucoup, n’allez pas… N’allez pas tout foutre en l’air surtout. »

Pas de doutes, ce truc était important. Mortellement important,peut être. En tout cas, peut être suffisamment important pour que ce manteau cache autre chose qu'un type au physique ingrat. Du genre une belle petite panoplie d'arme, ou autres objets à l'usage similaire, mais toutes aussi désagréable. Un peu anxieux, il se retourna et vit le jeune homme faire un mouvement brusque.. Et il aperçut ..quelque chose... ce type avait besoin d'un rende vous d'urgence chez le dermato. Il ne put retenir une exclamation étouffée

"Humf"

Ce type était peut être malade. Ou peut être son organisme était il simplement en trin de muter. Dans ce cas, ça expliquerait pourquoi son détecteur avait réagit avec un niveau trois. Ce n'était pas parce qu'il faisait beau, ou qu'un pigeon muté était passé trop prêt de la fenêtre. Restait a espéré que le type ne c'était rendu compte de rien, ou qu'il ne prendrait pas la chose trop mal. Il y avait fort à parier que Mark allait devoir dévoiler aussi sa véritable nature, s'il ne voulait pas pas perdre son client. A moins que ce soit purement physique, et qu'il refuse tout simplement d'être vu, ce qui, dans ce cas,risquait de le faire quitter le magasin en quatrième vitesse. Ce que Mark ne souhaitait absolument pas.

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“Il n’y a pas mort d’homme”, la bonne blague… Non, en vérité, il n'y aurait pas mort d’homme si l’appareil tombait en panne, Nolan serait juste obligé de passer de très mauvaises nuits… Il finirait par sentir ses poumons le bruler à chaque inspiration lorsque l’air se chargerait d’humidité… Peut être devrait il définitivement opter pour la solution qui consisterait à s’installer dans un désert profond. Sans eau… Sans humidité… Pour l’instant, il aimait trop la civilisation, la musique à la mode, les films d’actions, et le red bull (même s’il ne pouvait plus trop en boire) pour décider de quitter l’Amérique et vivre en Hermite au milieu des dunes.
Pour l’instant, son problème immédiat était le diagnostique du marchant, son appareil arriverait au bout de sa durée de vie dans 2 mois… C’était vrai que les pannes s’étaient succédées de plus en plus fréquemment ces dernières semaines, même si il n’avait jamais été d’une fiabilité imparable, Nolan savait ce que cela signifiait, mais il avait préféré ignorer la vérité. C’était toujours pareil… Chaque fois qu’une solution semblait être trouvée pour compenser sa mutation, d’autres problèmes surgissaient tôt ou tard. Au départ, il lui avait suffit de mentir pour expliquer l’apparition de la marque, et puis lorsqu’il avait été évident qu’elle lui prendrait tout le bras, il avait suffit de ne se vêtir que de vêtements à manches longues. Et puis la marque avait prit sa main, et l’eau était devenu un problème… Aujourd’hui, l’appareil qui lui permettait de se sentir le mieux possible rendait l’âme doucement, il suffirait d’en fabriquer un autre, en 2 mois, ce serait possible, combien de temps cela prendrait il… Encore… Et encore… Devrait il en refaire un nouveau régulièrement ? Il avait bien songé à demandé à l’école des surdoués de lui en faire un qui tienne la route avec leur matériel à la pointe de la technologie, mais cela signifiait devenir dépendant d’eux. Si la guerre éclatait, et que l’école était détruite, Nolan devait être capable de se débrouiller.

Il porta la main à son menton en signe de réflexion, et il déglutit.

Nolan : « Et… Et… Et si nous remplacions certains éléments, serait il possible d’allongé son espérance de vie ? Nous en avons une utilisation un peu soutenue vous voyez… Et nous ne pourrons pas interrompre nos… Expertises… Sinon… Je crois que je vais devoir en faire un nouveau… Peut être avez-vous de quoi m’aider à le faire ? J’ai de quoi payer. »

Ca… Nolan ne roulait pas sur l’or, mais tout son argent était destiné à survenir à… Sa propre survie…

Sujet: Re: Parmi eux (pv Mark Snov ) Sam 13 Sep 2008 - 17:09

Mark écouta avec une extrême attention les explications de cet homme. Il était clair qu'il en avait besoin, diablement besoin. Mais pourquoi cherchait il à dissimulé ses raisons ? Il y avait probablement une explication simple et logique, mais elle n'était pas évidente. Bon alors, il n'y avait pas tellement de possibilité. Soit ce type était atteint par une maladie extrêmement rare, qui provoquait une dégénérescence de la peau et une allergie à l'eau... Soit ce type était mutant. Ce qui expliquerait qu'il se cache. Ou pas. Après tout, personne n'était très heureux de montrer des marques de blessures, particulièrement si celle ci vous défigurait. Il en savait quelque chose, avec son horrible prothèse qui faisait de lui un homme machine, un moins qu'humain. Cela le travaillait, il fallait bien l'avouer. Même ses jambes, pourtant sources d'une frustration perpétuelle le dérangeait moins. Même s'il devait de remarché à un gadget de son invention, au moins celui ci n'était il plus indispensable maintenant. Il avait juste fallut un certain temps. Mais sa main... Ce n'était pas pareil. il ne pourrai jamais en retrouver une de chair et de sang, simplement essayer de la perfectionnée. D'ailleurs, il fallait qu'il lance ce programme. Ce serait une nouvelle révolution dans le domaine des greffes si ça fonctionnait... une de plus quoi. Sur un coup de tête soudain, Mark déclara :

"Vous êtes aussi un mutant, non ?"

Il se mit mentalement une petite centaines de gifles. Il venait d'enfreindre en moins d'une seconde ce qui était son leitmotiv depuis maintenant plus d'une demi heure, à savoir, ne pas posé de questions aux clients.Il était vraiment trop bête. Il fallait absolument qu'il trouve un moyen de retenir ce client. Bon, bien sur, Sven lui avait promis de l'argent, mais il n'allait quand même pas mendier. Il fallait qu'il travail ! Il ne voulait pas être une larve qui dépendait des autres, mais un homme, même diminué.

"Euh... Pour ce qui est de votre appareil, en changeant quelques pièces, ça vous fera peut être gagner un mois. Je dois pouvoir vous en construire un autre sans trop de délais, mais les pièces ne sont pas toutes données. Mais bon, ça à l'air d'être assez important pour vous..."

Avec un peu de chance, il n'avait pas adressé cette dernière phrase au vide. Il ne voulait pas que sa première vente finisse comme ça. Ce serait vraiment trop bête. D'autant plus que si ce type était un mutant, il se sentait un peu tenu par des obligations d'aide envers un frère... Et puis, si cet homme était atteint d'une maldie rare, il devait également faire son possible pour l'aider.

» Mark Snov
» Absence de Kurkaru, Cain, Mark Snov du 16/07 au 25/07