arrive tard... oui bon [ fini ]

C’était bien gentillet de se balader dans la foret a une heure tardif, Tristan ! Cependant tu zapperais un peu une chose primordiale: hey oui mon grand, tu n’es pas venu ici pour flâner ou faire on ne sait quoi . Une piqûre de rappel pour le jeune homme, il était là uniquement car il devait s’inscrire dans la célèbre école du sois disant professeur xavier. Aux yeux de tous, on dit que cette école est spécialisée pour les surdoués. Pourtant le jeune troy ne pouvait pas se vanter d’être le meilleur dans son ancienne classe, non il connaissait parfaitement la raison de son désir d’être parmi les étudiants de cet institut. Vous me diriez sans contestation que je suis une parfaite idiote de ne pas vous révélez le secret de ce lieux.. Et que ça serait inutile de ma part que vous faire tourner autour du pot pendant toute une journée; me tromperais je ? Rassurez vous, que je n’ai pas l’intention de vous faire ce genre de coup ! Bref, en deux mots simples et clairs:

Le véritable nom de cet école était: l’institut xavier, l’École des mutants. Cala expliquait bien des choses ,ou pour les gens un peut tordu de l’esprit: il n’y a pas si longtemps que cela, Tristan avait appris conscience qu’il était dotée de pouvoirs hors norme. Malheureusement ces derniers en faisaient qu’a leur tête avec le jeune homme, et seul contre eux.. Ben il ne pouvait pas faire grand-chose, comme il s’était pas beaucoup informé sur les mutants.. Ben il n’avait pas de doute a part d’aller demander de l’aide a des gens, dont ce fameux centre pour mutant.

En ce moment, on le vit vadrouillé sur le long chemin et on dirait qu’il ne savait pas trop ou ce chemin aboutait. les bras le long du corps, une démarche souple et décontractée. Ce qui allait parfaitement avec sa ténue, c est a dire un large pantalon large en jean, avec un t shirt aussi large tout blanc.. Ses cheveux ? Ben ils pendaient encore sur chaque épaules, et pour une fois ils étaient très bien coiffés. Oui, il ressemblait drôlement a un rappeur ! Tout pour prétende qu’il avait encore la tête dans les nuages ? les yeux dans le vague et son allure, c’était pas dur de deviner qu’ il rêvassait, en faire tout un plat ? Aha, non pas la peine ! Ces temps ci, Tristan était souvent dans les vaps , allez savoir pourquoi. Cependant, ce qu’on se douterait même pas un seul instant qu’il avait aussi une autre idée dernière la tête, une bien précise et qu’il allait bientôt accomplir. Sous les allures d’endormis, l’enfant des ténèbres savait très bien ou il allait ! Selon lui, la distance entre l’institut et lui n’était plus très loin. Malheureusement il remarquait avec honte, qu’il était au moins onze heure du soir, heures a laquelle les gens dormaient. Ouaiiii, quelle logique dit donc ! Vous rigolez peut être, mais je ne tiens pas trop a déranger les gens le soir.

Euh, super vieux ! Alors qu’Est-ce que tu fait alors a continuer sur ta route ? Bonne question, voyons: je ne peux pas revenir sur mes pas comme c’est un peu trop loin, et l’idée de… non sincèrement, je pense que le mieux pour moi c’est d’y aller.. Au moment ou il avait eut cette pensée, il vit quelques lumières s’agités au loin, pas de doute c’était bien l’école ! L’enfant des ténèbres passait quand même pas mal de temps a comprendre comment ouvrir le grand portail, sans se faire tuer par les machines. Encore une chose que son amie mutante lui avait dit, quand elle lui a conseiller d aller dans cet endroit. Le jeune troy avait du mal a voir dans le noir, mais il pu quand même observait qu’il y avait un radieuse et immense fontaine d’eau au milieux de la cour, super de pouvoir entendre le bruit de l eau qui coule avant de s’endormir ? Ouai enfin, ça tu verras si on te donne un bon dortoir ! L’enfant des ténèbres s’avança tranquillement vers la porte d’entrée, et plaçait sa main de façon a toquer. A tout évidence, il hésitait ! Ses pensées étaient carrément dans le néant total, normal pour un jeune homme qui respectait a point la politesse et l’intimité des autres. Pourtant il jugeait que dans une école, ça saurait sans doute plus pardonnable, quoi que… et puis zut, il peut bien tenter son coup, il y a forcement quelque un de réveiller a l’intérieur vu qu’il y avait des lumières . Deux, trois, quatre, euh non il faut pas compter comme ça ! Trois, deux un… toc toc ! Il s’est décidait de frapper, et ben c est pas trop tôt vieux ! Il n avait pu qu’a attendre que quelque un passe…

Marie avait pensé se coucher tôt, et elle y était parvenue, mais c’était réveillé seulement trois heures plus tard, pas reposé le moins du monde, mais complètement incapable de se rendormir. Elle rejeta les couvertures, enfila des vêtements chauds, et partis à la recherche d’une occupation. Elle pensa vaguement à un entraînement en salle des dangers, mais cela lui paraissait une mauvaise idée, et elle se ferait sans doute sévèrement réprimander. Malicia regardant la vieille horloge en passant dans le couloir et soupira. Il n’était l’heure de rien, l’Institut était paisible, ceux qui ne dormaient pas devaient être de sortie, ou planté devant la télé pour les plus jeunes. Elle bifurqua à un couloir et pris la direction de la cuisine, elle avait envie de boisson fraîche. En passant par le hall, elle entendit des coups frappés. Elle se stoppa, se demandant qui prenait cette peine, l’Institut était ouvert à tous, et les nouveaux venus se contentaient d’entrer, et d’attendre patiemment que quelqu’un le prenne en charge. Marie haussa un sourcils et s’avança vers la porte, qu’elle entrouvrit, prête à parer à une éventuelle attaque. Elle aperçut un jeune homme à l’air un peu perdu, elle ouvrit grand la porte.

-Bonsoir ? Tu comptais rester longtemps devant la porte ?

Elle lui sourit et l’invita à rentrer.

-Tu es nouveau ? Tu sais tu pouvais rentrer au chaud, personne ne t’aurai jeter dehors.

Le jour où Tristan penserait qu’il ne gene pas, il tombera des grenouilles, flipper ? Ce jeune homme ? Mes chers compatriotes, cette hypothèses est entièrement justifiable, me croyez vous toujours pas ? Voulez vous qu’on passe aux stratagèmes scientifiques de mes deux ? Plus sérieusement, le jeune homme supportait gère de sonner a onze heure du soir chez des sois disant inconnus, déjà que c’était un enfer de l’emmener chez son parrain a 9 h oo du matin. Il était né ainsi, le crâne rempli de meurs, d’ habitudes et de principes a la noix qui avait naquit en grandissant avec sa famille. Pour l’heure la pression se voyait bien a travers de son comportement, il faisait les cents pas, regardant a droite a gauche. Il faisait pensé a un homme d’affaire qui patienté comme un dingue son avion, par peur de manquer sa grande réception. Pour se détendre, il levait les yeux aux ciel, cherchant du regard chaque constellation qu’il y avait. Un passe temps qui l’aidait mieux a passer son angoisse, surtout qu’on nous offrait une pleine sublime lune. Sa lumière se reflétait dans les beaux yeux du jeune homme, c’était tellement agréable pour lui de pouvoir encore prendre du temps pour regarder le ciel.

C’était le temps, le temps qui coulait a travers les ages, mais pas a travers du cœur de l’enfant que restait tristan. Il avouait qu’il se sentait un peu perdu dans ce nouveau pays, et même si la solitude était son fort. là en ne connaissant personne, il était pommé et découragé de voir qu’il pouvait compter sur personne. Durant ces derniers jours, on esprit restait bloquer sur une seule personne, enfin deux: sa sœur et sa mère. Qu Est-ce qu’elles faisaient en ce moment et si tous ce passer bien a la maison ? Il était parti de chez lui trop précipitamment, pour se rappeler des derniers instants passé avec eux. Pour l’heure, Il espérait que son intégration dans cette école se passerait rapidement, histoire qu’il retrouve facilement ces bonnes vielles habitudes. Pensait toute la nuit ne fut pas la première priorité du jeune homme, pourtant il arrivait mieux prendre son mal en patience. Comme quoi rien ne vaut qu’une belle vu sur le soleil et de repenser au bon moment passé avec sa famille. Malheureusement, cet instant fut coupé nette lorsqu’un jolie jeune femme venait d’ouvrir la porte. Enfin quelque un, elle était pas si grande que ça , fine avec des jolies mèches blanches sur les deux cotés du viasage. Celon l’enfant des ténèbres, elle devrait être plus jeune que lui, sans doute dans les 2 0 ans ou moins. En tout les cas, elle avait un bon sent pour l’accueillir, et remarquait qu’elle n’avait fait aucune allusion a l’heure que débarquait le jeune homme. C’était plutôt une bonne chose pour l’enfant des ténèbres, celui-ci soulagé de ce fete, ce contentait que d’élargir son sourire en pénétrant dans le grand hall. Après quoi il se retourna vers la jeune fille avec un petit air amusé, il continuait conversation.

« Non, je commençais a avoir froid dehors.. C’est très beau ici. »
Il avait laisser échapper cette remarque de sa bouche à la vu de se qu’il voyait, une immense pièce bien éclairé et décoré ! Jamais de chez jamais il avait vu une aussi grande pièce, même dans son lycée. Tout était impeccablement ranger, nettoyer comme dans un palace, ah et dire que l’enfant des ténèbres aurait ce plaisir d’y vivre. Cette fois ci, tu peux pas dire que tu n’as pas de chance d’avoir mis la main sur cette école, pas comme ton fichu colège ou tu te plaignais tout les jours. A quoi bon de repenser au passé alors qu’une nouvelle vie allait bientôt commencer ? Et puis il n’eut même pas le temps de se la poser vu que la jeune mutante, lui demandait s’il était bien nouveau dans le coin. Euh ça se voyait pas qu’il avait fait tant de chemin avant d’atterrir ici ? Bon c’est vrai qu’il n’avait qu’un bagage entre les mains. Sur de lui, une fois de plus il s’était dit qu’il allait revenir plus tard pour les prendre. Finalement il lui répondit brièvement.

« C’est exatacte, je suis un mutant comme vous.. Le problème c’est que je ne sais pas les utiliser »

Marie se recula et referma la porte derrière le nouvel élève. Décidément les nouveaux arrivaient en masse, dans les deux camps, la jeune mutante avant de plus en plus l’impression que quelque chose couvait. Elle ne saurait dire quoi, si une nouvelle guerre allait éclater, ou même une sombre attaque de la Confrérie, en tout cas, la tension était palpable dans les deux camps. Et le fait que ces derniers temps, étaient calme, même trop calme, n’augurait rien de bon. Peut-être devenait-elle légèrement paranoïaque, mais elle n’aimait pas être dans l’attente. Elle réalisa qu’elle était perdue dans ses pensées depuis quelques secondes déjà, et qu’un silence c’était installé entre le nouvel arrivant et elle-même. Elle cligna des yeux, et se reconcentra sur la situation présente, faisant abstraction des soucis qui lui tiraillaient l’esprit.

-Tu es au bon endroit pour apprendre alors… mais commençons par le début, je suis Marie D’Acanto, alias Malicia, et toi qui es-tu ?

Les présentations étaient un sujet commun, par lequel, une agréable rencontre, devait généralement commencer. Il semblait impressionné par le luxe de la pièce. Le luxe même de l’Institut, cet endroit n’était pas tape à l’œil, si il avait été conçut ainsi, c’était avant tout pour le confort des élèves, après tout, les mutants avaient eux aussi le droit à un havre paisible, sans tapisserie qui se décolle des murs, ou fuite d’eau. L’institut était tout confort, et personne ne s’en plaignait jamais. Et le jeune homme ne semblait pas du tout habituer à ce genre d’endroit, mais c’était de ces choses, auxquels on s’habitue vite, et les dortoirs des élèves étaient bien plus sobres. Après tout, ce n’était pas la jeunesse dorée qui étudiait ici, mais des adolescents généralement mal dans leur peau, et rejeté par leur famille, ou par la société. Et ils étaient nombreux à venir trouver refuge, même si la jeune femme déplorait que plusieurs d’entre eux, finisse par choisir la Confrérie, comme un ancien ami avait fait. Elle soupira.

-Et quels sont ces pouvoirs, que tu as tant de mal à dompter ?

Question, pouvoir difficile à gérer, elle était une spécialiste, elle était même ranger dans la partie, pouvoir ingérable. C’était une malédiction, mais elle avait appris a vivre avec, et quand bien même, cela devenait trop dure à porter, elle partait faire un tour en salle des dangers, se défouler. Marie, n’était pas à franchement parler, une faible femme, elle était même sûrement plus forte que la plupart des hommes. Et c’était le professeur, et les amis qu’elle s’était fait ici, qui l’y avait aidé. Ce jeune homme avait frappé à la bonne porte.

Que c’était bon, que ça faisait un grand bien de se retrouver dans un endroit chaud, douillé a souhait. Un merveilleux lieux qui s’ouvrait au jeune homme, tout était si beau ! Grand, grand, et regrand ! Ah mais c est super grand, un palace ! Pire que le château du roi, cet endroit coûterait des fortunes et… c’est bon Tristan, tu vas pas en faire toute une tonne de l’institut, après tout c est normal que ça soit si spacieux. Réfléchit avant de t émerveiller comme un fou, tu penses vraiment qu’on vas loger cent personnes dans une boite a converse ? C’est le soir, donc il faut bien lui pardonner cette petite stupidité, même s’il est vrai que c’était une belle demeurs. Reste a voir si tu t entends bien avec les personnes dedans, espère mon vieux, qu’ils seront aussi beau que ce lieu. Ben pour le moment, l’enfant des ténèbres était ravis d’etre tombé sur cette ravissante et aimable jeune fille, qui par chance n’a même pas fait attention a l’heure de son arrivée.

Le visage de Tristan était comme souvent, sans expression, mais on savait qu’il était très heureux de se retrouver la. Enfin il allait pouvoir en apprendre sur ce qu’il était, le comment et le pourquoi dans le monde des mutants. S’ils étaient vraiment aussi dangereux qu’on, ou on doit dire que les medias prétendaient. Oui, combien de fois il avait entendu ce genre de choses a la tele, du style: faux tuer les mutants, c est un danger pour nous, etc.. c’était en partis les mêmes choses qui revenaient a chaque fois , a part qu’elles étaient dites dans différentes manières. Malheureusement ça avait suffit a au père de Tristan, oui il haïssait les mutants, bien pour cela que le jeune homme était partit sans rien dire. Pour l’heure, il ne tenait pas a se morfondre sur ses actes du passé, il laissait cette pensée obscure de coter pour écouter la jeune fille se présenter. Malicia ? Jolie prénom, original en plus, franchement c’était pas souvent qu’on en trouver mais Tristan le trouvait fort sympatique. C est l’heure des présentations , aller Tristan, c est a toi. Moi ? Bon d’accord, de tout facon ça ne dure jamais longtemps ce genre de trucs. Parler de lui n’a jamais été son tripe, il le faisait uniquement lorsqu’on lui demandait, comme la. Amusé du ton qu’elle avait pris, il se présenta de la même façon qu’elle avec un petit sourire du coin de la bouche.

« enchanté alors, pour ma part je suis tristan… Tristan troy »

Le baise main serait très poétique dans cette situation, mais l’enfant des ténèbres se contenta d’incliner légèrement la tête. Enchanté de la connaître, elle semblait très sympathique. Cette joie de suite coupé par la demande de pouvoir, ahaha les pouvoirs ! On change de conversation s’il vous plait ? Mon dieux tout sauf les dons mutants, c est affreux cette question, pouvoirs ? Quel était les pouvoirs de Tristan ? Euh bonne question, on ne sait pas du tout ok ? Non, sérieusement il avait un peu honte d avoir des pouvoirs tellement banal par rapport a certains mutants qui pouvaient se métamorphoser, logique ! Que voulez vous faire de bien avec les pouvoirs de troy, l’agilité et les sens accrus étaient bien des dons normal. Arrêtes de te plaindre, tu veux? Oublies pas que les mutants qui a de grands pouvoirs, sont souvent ceux qui se faisaient facilement repérer dans la rue. A cette pensée, il se rappelait du jeune mutant bleu qu’il avait vu dans les informations, son nom ? Aucune idées, mais il savait qu’il était dans un cirque. Aloes cesses de te pleindre, et puis tu devrais facilement arrivé a les contrôler, c est pas la mer a boire si ? Le bien et le mal dans une chose, c’était pas une grande nouvelle et puis.. Malicia doit sûrement avoir des pouvoirs elle aussi, quel sorte de dont elle avait ? Curieux et impatient de savoir les choses, il s’empressait de dire.

« Je suis agile et mes sens sont décuplées. Et vous quels sont vos dons ? »

Le jeune homme, semblait plutôt impulsif, mais semblait plus à l’aise que quelques minutes plus tôt. Décidément ce lieu avait un pouvoir apaisant sur les esprits, la plupart des jeunes personnes arrivant ici étant paniqués ou effrayé, trouvait dans ce lieu un havre de paix, et ne tardait pas à se calmer, et à se fondre dans la masse estudiantine. Et rien ne faisait plus plaisir au professeur, et à chaque X-men, un mutant qui choisissait le chemin de l’Institut, était un mutant en moins dans les rangs de la confrérie. La question de ses pouvoirs était délicate, les expliquer n’était jamais simples, et elle ne voulait surtout pas apercevoir la moindre nuance de pitié dans le regard azur du jeune homme.

-J’absorbe les pouvoirs des mutants lorsque je les touche, si c’est un humain… ça lui fait très mal. Si le contact est prolongé ça provoque la mort… je suis interdite de contact humain avec quiconque… si j’ai un contact prolongé avec un mutant j’absorbe définitivement son pouvoir, je peux donc également voler et je possède une très grande force.

Excepté bien sur, de Kurkaru, même si ce n’était qu’une très maigre consolation… Marie pour parler de sa mutation avait conservé un ton neutre. Elle ne voulait ni l’effrayer, ni se faire prendre en pitié, elle avait accepté sa condition depuis bien longtemps. Et ne perdait pas l’espoir, d’un jour, réussir à contrôler son pouvoir, et de pourquoi pas entamer une vraie relation avec quelqu’un.

-Comment es-tu parvenu jusque ici ? Qui t’a parlé de cet endroit ?

Elle était toujours étonnée, que ce lieu, censé être si secret, voit accueillir presque chaque jour de nouveaux mutants. Pour la plupart c’était le bouche à oreille, certains par quelques articles de journalistes un peu trop fouineur, en avait déduis que ce lieu n’était pas qu’une école de surdoué. D’autre, c’était le professeur lui-même qui les avait appelé. Et elle était curieuse de chaque histoire, y compris donc de celle de Tristan Troy.

C’était pas tous les jours qu’on voyait ce bon Tristan troy de bonne humeur, ou que non ! Normalement son visage n’avait pas d’expression, des yeux froids et peu de sourire. Ce soir c’était tout le contraire, on le sentait vraiment emballait par cet endroit et le sourire il l avait. A mon avis je pense que c est cette jeune fille,qui lui fait beaucoup des effets ! Allez dis que tu la trouves belle ! Depuis tout a l heure tu ne fais que la relooker, matteur ! Non mais c’est vrai quoi ? Même avec sa famille, qui étaient de loin les êtres les plus chers a ses yeux : pourtant Tristan ne souriait pas facilement. Seule une fois tout les deux jours et encore, donc la logique voudrait que ça soit la même chose avec les inconnues. Étonnant de constater que c’était tout le contraire, il parlait de lui et il lui posait sans gêne, comme ci elle faisait partie de ses amis. Selon l’enfant des ténèbres, ce n’était pour faire bonne figure, par politesse. Logique, je ne vais pas arriver en colère ou bien mal luné pour m‘inscrire dans une école , ça se fait pas a moins si je tiens vraiment a avoir une salle réputation. En plus, elle me reçoit a onze heure du soir, qui est désolée de le dire, incorrecte de ma part ! et voila qu’il remettait sa fameuse bonne humeur sur la politesse, la t y vas loin et fort !

T as bien de la chance qu’elle se rend pas compte de tes grossières erreurs, mon pauvre garçon qui ne sait même pas bien prendre les filles. Tristan vaincu, hochait les épaules pour avouer sa mal adresse, que voulez vous ? Les filles au collèges l’ennuyaient tellement, que la il ne sait plus quoi dire. Par chance, après les présentations dites normales, elle poursuivit sur les pouvoirs mutants. Ah l’essentiel de l’histoire, la cause de sa présence ! Les grands dons de l’enfant des ténèbres qui allaient changé le monde, mutants ou humain.. D’accord, je divague comme souvent, mais c est pas bien de rêver non ? De le voir en superman dans les rues de new Tristan n’avait pas de grands pour se permette de s’imaginer ce rêve déjanté, il trouvait ses pouvoirs banaux. A l’évidence Malicia non plus, semblait pas tellement emballer par ses pouvoirs. Les siens en revanche étaient pas si mal que ça, du moins lorsqu’on le voyait du bon coté. Volé et la force accrus, c’était des pouvoirs extras ! Tous les hommes rêvaient de volé, la chance qu’elle avait ! C’était dix fois mieux que ses pouvoirs a lui, Tristan l’enviait vraiment. Le petit point noir dans ses pouvoirs, c’était son dernier ! Celui qui lui empêchait d avoir un contacte physique avec les autres, dommage pour le bisous ! L’enfant des ténèbres se sentait beaucoup mieux avec ses pouvoirs a lui, car ce genre de pouvoir n’était pas facile a vivre au quotidien. Surtout si elle a un petit ami, ou lorsqu’elle veut faire un bisous a quelque un qu’elle aime bien. Peut être pour cela qu’elle portait des longs gants, quoi qu’il en soit Tristan n avait pas de pensée particulière. Il ne ressentait aucune peur et encore moins de la pitié a son égard, néanmoins il continuait la conversation sur le même ton que tout a l’heure.

« Je vois qu’il y a beaucoup de pouvoir dont je ne connais l’existence. »

Après quoi, il continuait toujours a admirait le grand halle, quand soudain son regard se braquait sur l’horloge. celle-ci affichait bientôt onze heure trente, hi hi ! Dire que marie s’en fichait totalement de l’heure, l’enfant des ténèbres devenait complètement paranoïaque dans ses vieux jours. Niarf, ça lui passera bien vas ! Apparemment Malicia était plus préoccuper par lui que par l’heure qu’il était. En effet elle continuait son interrogatoire, maintenant elle voulait savoir son histoire. Comment et qui lui avait dévoilé l’existence de l’institut. La Tristan n’aimait pas trop qu’on s’intéresse de prêt a sa vie privée, son passé. Il ne tenait pas particulièrement a raconter quelque chose, qui voulait fuir. D’allieur c’était un peu pour cela qu’il voulait donner une bonne image de lui, pour oublier tous ce qui et fut, après tout a quoi ça servait de vivre avec le passé ? A rien a part de se torturer l’esprit, chose que l’enfant des ténèbres faisait tout le temps. Mais ce soir, il n’avait pas envie, c est pourquoi cette question s’était vite achevé, tout en restant correcte avec elle .

« Je ne tiens pas trop a dévoiler mon passé, mais sachez que c’est une amie qui m’en a fait part. »

Marie remarqua que le jeune homme semblait discret sur sa vie privée. Il semblait vouloir conserver une part de mystère, d’anonymat. Elle pouvait comprendre ce désir, après tout qui était-elle pour lui poser des questions. Après tout si jamais il devait être un ennemi, le professeur le saurait bien assez tôt, et a vue d’œil, il ne semblait pas particulièrement hostile. Elle préféra arrêter de lui poser des questions, elle ne voulait pas le brusquer ni lui faire passer un interrogatoire. Elle se contenta de sourire et d’acquiescer à sa réponse. Sa phrase précédente lui laissait penser qu’il devait être nouveau dans ce monde, une âme égarée comme il en arrivait beaucoup à l’institut.

-Tu apprendras ici, tu vas faire beaucoup de nouvelles rencontres diverses et variées. Mais n’est crainte je ne te poserai pas d’avantage de question, tu n’auras pas à subir un long interrogatoire, mais peut être qu’un jour le professeur Xavier voudra avoir une entrevue avec toi.

Elle n’avait pas vraiment l’habitude d’accueillir les nouveaux, elle n’était même pas réellement qualifiée pour ce travail. Tornade était beaucoup plus pédagogue, Jean possédait une patience qu’elle n’avait pas, et Scott inspirait la confiance. Marie se sentait toujours un peu mal à l’aise face aux gens qu’elles ne connaissaient pas, peut être un peu méfiante aussi.

Depuis ses déboires avec gambit elle avait du mal à tisser de nouveaux liens. Il était déjà tard et lui attribuer une chambre et lui offrir un repas chaud lui semblait une bonne idée. Après tout il était tard, et ne paraissait pas bien vieux, il aurait pu lui arriver n’importe quoi, après tout New York n’était pas la ville la plus sure au monde.

-Tu as peut être faim non ? Ou fatigué ?

Elle n’était pas vraiment ce que l’ont pouvait appeler une mère poule, mais elle pouvait bien faire office pour une fois d’accueil chaleureux. A priori, dès le lendemain il se lierait d’amitié avec d’autre gens, de son âge. Chaque fois que Malicia croisait les élèves de l’institut, elle rencontrait de nouvelles têtes, pour une fois elle pourrait y apposer un nom.

A contre cœur, les yeux de Tristan se fermaient et ouvraient, un signe de fatigue de sa part. son visage était redevenue comme avant, c est a dire que son joyeux sourire et sa bonne volonté s’effondraient a cause de l’épuisement. Un vilain coup de barre parcouru son corps, son esprit sans qu’il puisse le contrôlé. Au bout du rouleau sans se rendre compte ? Une habitude avec lui a force de se prendre pour hercule, de se surpasser bêtement pour voir les limites de son état. Quel idiot a fonctionner ainsi, un jeux stupide et sans importance. Ces jeux la, l’enfant des ténèbres les raffolait, s’en délectait tout le temps. Malheureusement il comprit ses erreurs seulement après avoir goûté aux conséquences, qui n’étaient jamais très joyeuses.

Ça faisait très mal, et il ne sentait plus ses membres bouger. Le jeune blond se forçait a tenir le plus longtemps possible, et espérait en vain que Malicia le lâcherait le plut vite possible. Cet envie n’était pas spécialement contre la jeune fille, vu que lui seul était le responsable de cette veillé nocturne. Ah c est du beau, tu mérites qu’on te fouette ! Sérieusement c est toi qui penses cela alors que t as rien fait pour arriver plus tôt, tu ne pensais qu’a regarder le paysage en glandant ! Tristan le savait bien et il n était pas du genre a se montrer impolie, de toute façon il n avait pas intérêt de râler dessus. C’était certains qu’ il avait bien de la chance qu’elle ne s’oyait pas telepate, sinon il aurait passé un sale quart d heure . Il regarda les beaux yeux de la jeune fille au cheveux blanc et brun, en l'écoutant attentivement. celle ci essaya de le mettre a l aise; en lui disant qu’il allait se faire des bonnes connaissances. En clair qu'il y avait aucune raison que son séjour a l'institut ne se passe mal, ouai bon elle connaissait pas bien le tempérament de troy. Lui même avouait qu'il avait toujours du mal a se lier d'amitié. c’était un peu le même discours qu’on fait dans toutes les écoles, du moins au niveaux des amis vu qu'elle n avait encore rien dit sur les cours. cependant ca ne devaient pas trop changer, quoi que... Jusque la rien de nouveau. Cependant il prit un peu peur au moment ou il su qu’il allait devoir se frotter au professeur en personne, car il savait que c’était le rôle de tous les directeurs de prendre connaissance du passer ou de la vie de l‘élève. Comme il avait peu envie de détaler sa vie a un parfaite inconnu, il espérait que le prof serait gentillet avec lui au niveau des questions. Du moins non, comme il^pouvait facilement lire dans les pensées et.. Roh zut ! Pour le moment il se contentait de lui répondre sur un ton normal.

« on verra avec le temps, et puis je verrais le professeur un peu plus tard dans la semaine, histoire de prendre mes repaires. »

Le temps ? C est quoi cette excuse bidon ? On sait tous qu’il te faut même pas deux jours pour t adapter dans un milieu. C est vrai quoi, rien qu a voir le nombre de fois ou t as du déménager sans problème ! Sérieusement, Tristan aurait pu trouver une autre excuse plus valable, un peu de diplomatie ! Voyons, lui qui se débrouiller toujours pour sortir des grands phrases, du style des grands penseurs ! Tu faiblies la ! Hey mais on oublis vite qu il était incapable de faire marcher son cerveau tellement qu’il était fatigué ! Déjà qu’il se forçait a ne pas tomber dans les vaps, donc ne pas en demander trop. Selon ses souvenirs, Malicia n’allait pas s’étendre sur son passé et elle arrêterait de lui poser des questions, un bon point. Oui super, enfin elle lui demandait ce qu’il voulait faire. Toujours poli, il ne s’empressait pas de lui hurler qu’il était mort, il préférait attendre un peu avant de lui répondre gentiment.

« non,, j ai pas trop faim mais j avoue que je suis un peu fatigué. »

Marie avait deviné la réponse avant même que le nouvel étudiant ne l’exprime. Elle n’était pas télépathe, simplement observatrice, les yeux de Tristan se fermaient d’eux même, les traits tirés de son visage indiquaient une lourde fatigue, de même que les poches sous les yeux. Elle n’en avait pas appris beaucoup plus sur son compte, mais pensait a juste titre, qu’il avait le désir d’écourter rapidement cette entrevue. La jeune femme n’était en rien vexée, elle comprenait, elle-même actuellement ne rêvait que de se glisser sous sa couette et de plonger rejoindre son ami Morphée. Elle avait été poussée hors du lit par une fringale nocturne, mais c’est avec joie que maintenant rassasié elle retournerait se coucher. Quand a son entretien avec le professeur, il n’était pas réellement pressant, si jamais Xavier souhaitait le rencontrer, il y arriverait.

-Ne t’en fais pas je comprends, il est déjà tard.

Elle lui indiqua sommairement, le chemin le plus rapide pour gagner une chambre, lui préconisant de faire le moins de bruit possible, il fallait veiller à ne pas réveiller les autres pensionnaires, après tout ils avaient cours, et certains n’apprécieraient sans doute pas qu’on les tire du lit au beau milieu de la nuit. Dans le pire des cas, il prendrait ça pour une attaque, et l’erreur ferait beaucoup de dégât. Elle secoua légèrement la tête, faisant voler ses cheveux sur son visage, se ramenant ainsi à la réalité, et se sortant ainsi de l’intense réflexion dans laquelle elle s’était plongée durant un court instant. Elle était, elle aussi vraiment fatiguée, ce n’était pas dans ses habitudes de manquer d’attention. Ses semaines de fuites autour du monde n'avaient pas été des plus reposantes, et son retour à l'Institut bien trop tranquille pour qu'elle ne trouve pas cela étrange.

Marie se décida à accompagner le jeune homme dans le dédale de l'Institut afin qu'il ne se perde pas en cherchant sa chambre. Elle même avait eu beaucoup de mal à se repérer à son arrivée. Lorsqu'ils furent devant la porte en bois portant le numéro 6. Là où elle savait qu'il restait une place. Elle lui préconisa le silence et de remettre une installation complète au lendemain. Puis elle le salua, lui souhaitant d'une voix basse, une fois de plus la bienvenue avant de rejoindre sa chambre afin de finir sa nuit.

[fin du sujet]