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| Grand déménagement [PV Tristan - David L.N.] | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Grand déménagement [PV Tristan - David L.N.] Lun 8 Sep 2008 - 20:45 | |
| - Spoiler:
[Topic Chronologiquement Ultérieur à ceux destinés à me faire intégrer l’Institut Xavier] Depuis qu’il avait intégré l’école de Charles Xavier, où les jeunes mutants apprenaient à maîtriser leur pouvoir pour le plus grand bien de tous, Allan sentait croître en lui son potentiel. Les idées géniales affluaient dans sa tête et son avenir s’éclairait de lumières disparates et nouvelles. Le jeune Bogglemann n’était pas du genre à se laisser aller. Au contraire, il provoquait la chance en toute occasion, car chaque occasion était une marche à gravir vers le succès. Et Allan ne doutait jamais du succès de ses plans.
Chaque défaite, de toute façon, faisait partie de la grande machination qu’il préparait depuis si longtemps … Ses ennemis se doutaient-ils seulement qu’ils auraient à affronter le plus grand génie que la Terre eût porté ? Probablement pas. Personne n’avait jamais pris réellement conscience du génie véritable qui œuvrait en secret dans l’esprit du Croquemitaine. Allan ne s’en plaignait pas : il pouvait agir à loisir derrière l’épais rideau de l’anonymat. N’avait-il pas, ainsi, saboté la soirée de remise des diplômes si bien préparée par ses camarades du Lycée ? N’avait-il pas également ruiné les projets fantasques de tous ses adversaires étudiants en pharmacologie ? Drapé d’humilité, couvert d’impotence, Allan ondulait à la manière d’un lézard sur les murs blanchâtres de la vie. Personne ne s’inquiétait de lui, mais lui savait mieux que tous les autres qu’un tout petit caillou peut triompher de n’importe quelle mécanique, pourvu qu’il soit bien placé !
L’empereur des jouets avaient quitté l’Institut quelques heures plus tôt et avait pris un bus qui devait le conduire jusqu’au centre de New-York. Soucieux de s’intégrer au mieux dans sa nouvelle famille, le jeune homme avait décidé de venir chercher ses dernières affaires pour les rapporter avec lui à l’Institut. Il détestait particulièrement les écornifleurs et n’aurait jamais supporté d’être considéré comme tel. De plus, s’il montrait dès le départ sa volonté de se plier aux règles de l’Institut et de s’y faire une place sans froisser personne, tous ses camarades baisseraient naturellement leur garde.
Ainsi, il gagnerait leur confiance tout en ouvrant la voie à de possibles emprunts qu’il réaliserait sans l’accord de ses créanciers. Qui soupçonnerait celui qui n’a rien à voler ? Qui l’accuserait d’être un voleur s’il pourvoyait lui-même à tous ses besoins ? Au contraire, tout soupçon écarté, on ferait même appel à lui pour résoudre l’enquête. Il s’attirerait ainsi la sympathie de ceux qu’il aurait jugé digne de lui, et pourrait se débarrasser des éventuels gêneurs en les mouillant d’un crime dont ils ne pourraient prouver leur innocence … Son plan était tout simplement génial !
Allan tirait derrière lui une malle quand il pénétra dans Central Park. Il devait traverser le grand espace vert pour revenir à l’arrêt de bus d’où il venait lui-même, mais un peu de marche ne l’effrayait pas. Au contraire, les médecins universitaires lui conseillaient souvent de pratiquer un peu d’exercice physique. N’était-ce pas le moment rêvé pour mettre en œuvre leurs « précieux » conseils ? Au diable, après tout, les carabins et leurs sacrosaintes prescriptions.
En tant que futur pharmacien, Allan détestait les médecins, et tous les psychologues en tout genre. La médecine est une sorte de grande fourmilière peuplée d’idiots et d’imbéciles … les domaines changent mais les demeurés pullulent toujours autant. Combien de psychologue avait arbitrairement décrété qu’Allan était un jeune homme « à problèmes », un esprit « potentiellement perturbé », ou encore une « graine de psychopathe en pleine croissance » ? Pourtant, l’esprit éclairé saurait que seuls eux auraient dû consulter. Allan, s’il était différent des autres, n’était pas dérangé pour autant. C’était encore là une preuve irréfutable du grand complot qui, sans cesse, le menaçait. Jetant des coups d’œil craintifs tout autour de lui, Allan pressa le pas. Un frisson parcourut son échine. Il était suivi depuis quelques instants déjà.
Qui était-ce ? Un ennemi prêt à le tuer ? Oh, il ne se laisserait pas abattre si facilement ! Il lutterait jusqu’à la mort pour survivre ! Etait-il armé ? Etait-il camouflé ? Etait-ce un mutant doté du pouvoir de contrôler l’air, le feu, la terre, l’eau peut-être ? Qui que ce fût, s’il souhaitait la bagarre, il serait bien servi ! Allan s’arrêta et attrapa de sa main livre un petit flacon dans la poche intérieure de sa veste.
Un éclair de malice brilla dans ses yeux. Le précieux flacon contenait en effet l’une de ses décoctions préférées. Un savant mélange d’acide sulfurique très concentrée et de naphtaline … merveilleux cocktail, n’est-ce pas ? Utilisé comme insecticide, le naphtalène est légèrement cancérigène, voire source d’anémie hémolytique. Mais combiné aux effets corrosifs de l’acide sulfurique, il provoque des crises urticantes particulièrement virulentes, douloureuses et durables ! Par commodité de langage, le Croquemitaine avait nommé ce petit bijou de la pharmacie la « Goutte de la Purulence ».
Prêt à décapsuler la précieuse flasque, Allan fit volte face, pour se retrouver nez à nez avec une vieille dame très petite, vêtue d’une longue robe bleue à pois blancs, arborant de lourdes lunettes d’écailles. Elle tenait dans sa main un portefeuille.« Jeune homme, dit-elle d’une voix affreusement râpée, vous avez fait tomber ceci je crois »Allan posa sur elle des yeux plus rondes que deux pièces de vint cents. D’où sortait cette affreuse vieille bique ? Et pourquoi diable tenait-elle dans sa main gauche le précieux portefeuille du jeune Bogglemann ? C’était à n’y rien comprendre … Allan n’était pas du genre négligent et peu attentionné. Au contraire, il n’y avait pas plus méticuleux et pointilleux que lui vis-à-vis de ses affaires … La seule solution était le vol. Le lui avait-elle volé pour ensuite le lui rendre ? Un plan si démoniaque semblait tout de même absurde … Allan se résolut donc à croire sur parole l’antiquité vivante ; il avait fait tomber son portefeuille et, mièvre et niaise petite créature, cette vieille femme l’avait ramassé pour le lui rendre. Quelle idiote ! Jamais Allan n’aurait eu une telle idée.« Ah … Euh … Merci. »« Mais je vous en prie. »La vieille dame s’éloigna en direction d’un vendeur de beignets. Allan ne la quittait pas des yeux alors qu’il plaçait bien à l’abri son portefeuille et son précieux flacon. Peut-être allait-elle se retourner pour lui sauter dessus ? Finalement, elle n’en était sans doute pas capable … Ses ennemis auraient probablement envoyé un assassin plus jeune, plus leste, plus … vigoureux. Allan reprit la poignée de sa mal et poursuivit son chemin. |
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| Sujet: Re: Grand déménagement [PV Tristan - David L.N.] Mer 10 Sep 2008 - 14:35 | |
| Faux pas comprendre ce qui ne faux pas savoir, voila la grande phrase du jour. Ce fut une journée a peut près normal qui était en train de se dérouler pour les gens de la ville , tous les habitants semblaient occupés a leurs petites habitudes quotidienne: aller au travail, faire quelques courses pour la journée ou les grands sportifs du matin commençaient déjà leur footings . Cependant lorsqu’on allait vers le central parc, on appercu une petite silhouette poser aux près en train de lire un livre. A première vu on avait affaire a un jeune homme, il était bien seul.. Il était de taille moyenne, un peu musclé et il portait les cheveux longs jusqu’aux épaules. Vêtu d’une grande chemise blanche et d’un jean, on le reconnu facilement grâce au pendentif qui pendait a son coup, qui dans le monde en avait un en forme de goutte d’eau sur laquelle on pouvait voir le nom de troy Tristan ? Personne d’autre que le jeune homme en question, c’était sur vu qu’il ne le prêtait a personne. Le jeune troy en avait eut marre de sa deuxième demeure, de vivre le train train habituelle de l’institut devenait lassant pour lui. La il avait pris son courage a deux mains pour se lever très tôt de matin, l’esprit bien décidait a faire une belle journée tranquille dans le parc.
C’était un plaisir de savourer ce moment, de détruire la vie monotone chez les mutant. De plus qu’il ne pouvait qu’être satisfait, oui trop content d’avoir réussit a débarquer a une heure ou il y avait pas un chat. Simplement une ou deux personne installaient leurs chaises pour se détendre, car on ne pouvait pas dire que le temps nous gattait point. Un beau soleil tapait sur le parc mais il y avait quelques nuages clairs, qui rendraient un belle aspect du ciel. A chaque fois qu’il tournait la page de son livre, il prenait le temps d’admirer le ciel en levant les yeux. Une petite pause ne lui faisait un très grand bien, il repensait aux dernières semaines dans l’institut. Le temps lui semblait défiler a une allure impressionnante, plus l’occasions de se poser cinq minutes ! La bas, il avait toujours un trucs a faire, cependant il ne pouvait pas dire que son intégration fut une chose longue et difficiles. Même pas, pour une fois qui ne lui fallait pas toute une année pour se familiariser au lieux, avec les autres personnes. Il trouvait que tout le monde était tolérants, sympathique malgré qu’il ne leur parlait que de temps en temps. Ensuite ben les alentours lui plaisait bien, alors pourquoi il préfère aller en ville alors qu’il y a une foret non loin de l’institut ? Pour changer d’air, après tout il a bien le droit de découvrir ce qu’il l’entour, curieux comme il est, il ne s’était pas privée. A sa grande déception, il avait pas beaucoup de verdure, seulement des grands bâtiments gris et une ordeur a en faire vomir.
Comme ça puait l’odeur de la pollution, c’était infecte aux yeux du jeune mutant. Par chance que sa sentait bon dans le parc, ils ont au moins fait cet effort la.. Hum, tu vas pas commencer a gueler sur tout ce que tu vois ? Mais non, je ne faisais qu’une remarque, rien de plus. Enfin il faut bien dire qu’a ce niveau il n avait pas tord, les habitants de cette ville râlait un peu de ne pas voir un seul arbre dans leur quartier. Autrement Le bouquin que lisait le jeune homme narrait une histoire d’un enfant qui voyageait partout, une chose que le jeune troy aimerait bien faire. Malheureusement et comme la plus part des gens, il n avait pas assez des moyens financier pour se payer se voyage. Ainsi donc, il devait bien se contenter des paysages ^dans les livres ou bien dans des albums photos. Soudain, son regard se barquait sur un jeune homme qui passait non loin de lui, Tristan amoureux ? Mais non, néanmoins il avait l’impression qu’il avait déjà vu se visage, ou ? Vas savoir, peut être une star de télé ou bien un acteur, ou peut etre. Ah oui ! Il se souvenait de l avoir déjà vu a l’institut des mutants, un nom ? Euh comment s’appelait il ? Aucunes idées, Tristan n’était pas resté suffisamment longtemps pour retenir les noms de tous ceux qui vivaient avec lui. L’envie d’aller lui parler ne lui manquait pas, pour une fois qu il était motivé pour faire la connaissance d’une autre personne. Mais sa timidité repris surface, que lui dire ? Il n’allait pas arriver devant lui en faisant, salut, comment vas-tu ? Il fait beau aujourd’hui.. GNEUH, c est des conversations de collèges voir d’école primere, sérieusement que veux tu lui dire? L’enfant des ténèbres ne savait pas, mais il ne voulait pas se casser la tête la dessus. Surtout .. Et puis mince, j’y vais le voir et on verra bien. Je vois souvent que des grandes personnes parlent de tout et de rien, donc je ne pense pas que ca lui poserait probleme. au pire, ben je lui dirais juste quej e suis de l'institut et puis voila. C est ainsi que Tristan l’ aborda gentiment après s’étre doucement rapprocher de lui.
« bonjour, je pense que vous m’avez pas souvent… mais je suis de l’institut des… Euh xavier » |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Grand déménagement [PV Tristan - David L.N.] Mar 16 Sep 2008 - 16:00 | |
| {Désolé du temps immense que j'ai pris pour vous répondre ! Désolé aussi c'est petit !!Quand à David, il était chez lui, levé depuis trois heure du matin, ne trouvant plus le sommeil pour continuer le périples de ses rêves. Il dessiner et dessiner tous se qui lui passait par la tête. On a l'avantage de pouvoir exploiter telle ou telle chose si on trouve que l'idée est réussite à notre goût. Les yeux rivé sur des centaine de base d'objet en tout genre posé sur un bureau de verre blanc. Le temps passait tellement vite qu'il ne s'aperçut pas que l'aube vint a venir rapidement et l'ammener a dix heure et demi du matin. Quand il s'en rendit compte, se fut en entendant son réveille sonner. Etrange mais bon... Le voilà qui se précipite a la douche la prenant glacial pour évaquer les saleté et bien se réveillé pour le restant de la journée. Ce fut aussi par la suite un habillage express, un tee-shirt noir recouvert d'un long manteau noir de coton allant jusqu'en dessous du genou, un jean bleu marine brossé, le tout accompagnait du paire de chaussure de cuir italienne noir. Montre d'Argent appartenant a son père au poignet droit ainsi qu'une gourmette. Une mitaine recouvrant la main gauche du jeune homme et sa chaîne porte bonheur au cou. Une longue besace de cuir noir est posé en bandoulière sur son épaule droite. A l'intérieur s'y trouve un calepin et sa trousse de quelque crayons, gommes et d'autre truc utiles pour avoir de quoi dessiner en extérieur. Un mini appareil photo numérique, fin et discret, comme disent les photographes professionel et une pomme rouge pour le petit creux ainsi qu'une bouteille d'eau.
Une fois près a connaître l'extérieur, il sortit, veillant bien a fermer son loft. Les cambriolage avait augmenté de quinze pour cent ces trois dernières annèes. Il pris l'ascenseur se trouvant en bout de couloir et une fois a l'intérieur y découvrit sa voisine de palier. Il n'y avait que deux personne dans les deux derniers loft se trouvant au dernier étage. Lui et Elle. Elle s'appelait Christina. Mais comme a son habitude, il ne parla pas, seulement éveilla un petit sourire de quoi la contenter. Il descendit rapidement de la l'ascenseur et se hatta d'aller parcourir les différente rue de New York, qui a présent il connaissait par coeur. Mais qui sais, un détail a peut être manquer a l'appel la dernière fois... Se fut dans au Central Park qu'il acheva sa balade. Il s'assit au pied d'un arbre, regardant les différente photo prise, dessinant sur son calepin ce que celles-si lui inspirait. Il ne remarqua pas Allan, ni Tristan. Il n'avait pas encore fouiller les pensées de quelqu'un aujourd'hui, tant mieux, savoir toujours tout sur une personne peut se révéler parfois choquant. Il commença a manger sa pomme et boire un cou avant de redessiner sur ses feuilles blanche de son calepin.
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