Victoria Powell [finie !]

Nom : Powell

Prénoms : Victoria

Aliases : //

Age + Date de Naissance : 22 ans, 26 Novembre 1986

Sexe : Féminin

Clan : Elève de l'institut

Pouvoirs : Victoria est tout simplement pyrokinésiste. Elle ne peut créer le feu. Il lui faut une base pour pouvoir le manipuler. Elle possède une certaine résistance a la chaleur, son corps peut s’enflammer et elle peut contrôler la température du feu. Le feu manipulé par Victoria est visible puisqu’il prend une teinte bleuté et semble plus fluide que le feu ‘classique’.

Spoiler:

Description physique : Victoria a une silhouette assez frêle. Mesurant un peu moins d'un mètre soixante cinq, elle ne pèse qu'un petit 50 kilogrammes. Sa fine silhouette élancée et frêle peut donner l'impression qu'elle est en perpétuelle état maladif. Ce qui est faux. C'est seulement son gabarit naturel. Sa musculature est pourtant bien là, une musculature fine de danseuse, soulignant un peu plus ses formes.
Son visage ovale, arbore la plupart du temps une expression sereine, tirant un peu vers la mélancolie. Sa peau pâle, ses traits fins, contribuent à accentuer cette douce chaleur qu'elle dégage naturellement. Ses grands yeux verrons trahissent sa curiosité pour le monde qui l'entoure bien que caché par son comportement. Les rares fois qu'ils se posent sur quelqu'un ils donnent l'impression qu'ils sondent la personne jusqu'au plus profond d'elle. Ses lèvres fines s'étirent généralement en un sourire hésitant, mais qui est toujours bien là.
Ses cheveux blonds sont de nature raides. Elle ne les coiffe pas souvent, les laissant retomber librement sur ses épaules ou les attachant négligemment.
Côté vestimentaire, Victoria ne se casse pas la tête. Le plus souvent des jeans avec des hauts plus sophistiqués, mais toujours avec un petit côté « baba cool ».

Signe(s) particulier(s) : Victoria a les yeux verrons, et son corps est un peu plus chaud que la moyenne.

Caractère, tempérament : Les esprits les plus etriqués pourront croire qu’avec un tel pouvoir, cette jeune fille soit une bombe d’energie, prête à faire la fête, sensuelle, provacatrice, voir dominatrice. Il en est tout autre ...
Victoria semble complètement dans son monde. Calme, rien ne semble pouvoir la déstabiliser, rien ne semble pouvoir la toucher, comme si tout ce qu'il se passait dans son environnement glissait littéralement sur elle. Cependant, elle n'est pas non plus totalement insensible. Au contraire, elle est très émotive, beaucoup de choses pouvant la troubler profondément. Que ce soit une image, un objet, de la musique ou quelque chose de bien plus grave. Si elle ne réagit pas, c'est qu'elle ne sait pas comment faire. Elle se contentera de se tortiller un peu plus les mains et ses yeux chercheront désespérément quelque chose auquel se raccrocher. Cependant et même si certain en douteront, Victoria est bien là. Elle entend, voit, écoute tout. Sa capacité d'attention et d'analyse est assez impressionnante. Elle est toujours sur le qui vive, prête à réagir, à fuir, comme un animal sauvage. Si elle ne répond pas à quelqu'un, à un appel, c'est qu'elle n'en a tout simplement pas envie. Décalée, très maladroite, malgré sa volonté de discrétion, elle ne réussit parfois pas à passer inaperçu. Et son apparente tête en l’air laisse croire qu’elle est totalement à l’ouest !
Cette sorte de bulle qu'elle s'est crée est là pour pallier à sa timidité presque maladive. Elle ne regarde jamais les gens directement, son regard s'attachant à tout objets sauf aux humains. Et ce n'est pas faute de vouloir essayer. Elle semble toujours tenter de tisser un lien avec son environnement. Elle s'efforce d'être la plus avenante possible et la plus agréable, même si ce côté évaporée peu laisser un peu perplexe, elle aime sincèrement la compagnie. Elle en a même besoin. La solitude lui faisant terriblement peur. Il ne lui faut pas grand chose, juste une présence pour se sentir apaiser. Et cette présence peut être n’importe qui. Le PDG d’une grosse boite, le clodo du coin ou même le mafioso. Il suffit qu’elle se sente protégée et rassurée. C’est son côté naïf. Lorsqu'elle s'engage auprès de quelqu'un, elle ira jusqu'au bout, son dévouement pouvant viré au fanatisme.
Seulement son côté craintif l'empêche de tisser autant de liens qu'elle le voudrais. Elle ne supporte pas qu'on la touche ou que l'on est un mouvement brusque envers elle. Son seul réflexe sera de se replier un peu plus sur elle même et d'attendre que cela se passe. Elle cherche le contacte, mais paradoxalement, elle met tout le temps une distance entre elle et les autres. Elle est très réservée, mais il est amusant de remarquer qu’elle peut se montrer très bavarde. Victoria peut parler de tout et n’importe quoi, n’ayant pas peur d’exprimer ses opinions et de s’y camper si il le faut. Elle prône pour la franchise qui s’applique à toutes ses pensées. Elle peut dire les choses les plus dérangeantes sans vraiment de honte. Lorsque quelque chose ou quelqu'un ne lui plait pas, elle le dit, sans détour, sa franchise n'ayant pas réellement de limite. Mais sa façon de l'exposer, avec son habituel flegme et une certaine fraîcheur fait mieux passer la chose.

Histoire du personnage : Victoria vécut une bonne partie de son enfance baignée dans l'étrange monde du cirque. Sa famille était, depuis quelques générations déjà les propriétaires d'un petit cirque, nommé sobrement The Circus. Il comptait peu de membres, mais y était les essentiels : jongleur, clown, mime, acrobate, animaux ... Ils joignaient difficilement les deux bouts, mais chacun gardait sa motivation et son talent.

Sa mère était trapéziste. Elle faisait de superbe duo avec son ami d'enfance Julien, tout aussi doué qu'elle. Quant à son père, il était le dompteur de The Circus, jonglant avec les trois fauves qu'avait le cirque. Ils travaillaient très dure pour toujours perfectionner leur numéro et innover. A tel point qu'ils en oubliaient presque leur petite fille, Victoria. A vrai dire, cette dernière n'en souffrait pas réellement, puisque tout le reste de la troupe était là pour elle.

Vivant dans un cirque et descendant d'une famille de jongleurs et autres acrobates, c'est naturellement que Victoria fut initiée aux arts. D'une part, elle commença toute seule à dessiner. Ses temps libres étaient totalement consacrés aux dessins, peintures, aquarelles, représentant la vie quotidienne du cirque. Elle était très douée et elle vendait ses oeuvres pour se faire un peu d'argent de poche. Et d'autre part, elle travaillait la danse, folklorique, de salon, ou d'expression, tout y passait et elle adorait ça. C'était la seule chose d'ailleurs dans laquelle elle était réellement douée. Jongler avec deux balles, voir trois, elle savait. Au delà, elle paniquait ! Elle n’était franchement pas à l’aise suspendue dans les airs et elle n'avait pas une autorité suffisante pour se faire respecter des animaux. De toute façon, seule la danse comptait. Elle apprenait vite les mouvements, gracieuse et précise la petite fille de neuf ans se débrouillait presque comme une grande. Elle se faisait coacher par la contorsionniste, femme d'âge mûre, dure, stricte mais toujours juste.

Ses journées étaient donc bien remplies. Et Victoria s'investissait à fond dans ce qu'elle faisait, pour oublier l'ambiance de plus en plus tendue entre ses parents. Les disputes qui éclataient entre ses parents étaient toujours plus violentes et ayant toujours le même sujet, Julien. Son père était totalement jaloux de cet homme avec qui sa femme avait des liens particulier et avec lequel elle passait le plus clair de son temps. Son père se sentait totalement délaissé et mis à part de la vie de sa propre épouse. Julien lui même, parfois se mêlait à ses disputes, défendant son amie de manière virulente, défendant sa relation, selon lui, totalement amicale.

Un jour pas comme un autre, alors que les éclats de voix étaient plus fort, la mère de Victoria craqua. Elle avoua sur un coup de colère que Victoria était la fille de Julien, qu'elle aimait son époux, mais également celui qu'elle prétendant être son meilleur ami. Elle en profita pour affirmer qu'elle allait quitter le cirque, ayant marre de cette vie, du stress.

Cette révélation fut passé sous silence pendant un temps, puisque un incendie se déclara le soir même dans un coin d'une roulotte, qui se propagea rapidement a trois autres. L’origine ne fut jamais découvert. Victoria venait pour la première fois d’utiliser ses pouvoirs. Ayant entendu toute la conversation, sous le coup de la surprise, mêlé à de la colère et de profonde tristesse, la petite pyrokinesiste venait de se révéler.

Tout le monde avait donc oublié cette histoire d'adultère. Sauf sa mère qui fut retrouvée morte, dans le chapiteau quelques mois qui suivirent l’incendie. Elle n'avait visiblement pas accusé le coup de cette perte, des révélations, de la pression ...

A seize ans, Victoria était orpheline de mère et n'avait plus personne sur qui se reposer. Elle passait de moins en moins a travailler, restant a la périphérie du cirque. Non seulement elle ne pouvait s’enlever de l’esprit le visage de sa mère, mais elle ne pouvait pas non plus oublier ce qu’elle était désormais capable de faire, elle en était même effrayée. Son père biologique, donc Julien ne voulut pas la reconnaître et se montra même très froid avec elle. Quand à son père qu'elle connaissait depuis toute petite, il ne se contentait pas de se montrer glacial, mais également méprisant. Il ne voyait qu'en cette jeune fille la femme fourbe qu'il avait épousé et son plus grand rival, Julien. Ce père ne se remettait pas de tout de ces évènements et glissa doucement mais sûrement dans une dépression. Adoptant des conduites alcooliques, il finit par revenir de plus en plus souvent soule chez lui, délaissant le cirque.

Et ce qui devait arriver, arriva. Toute la colère qu'il avait en lui se déversa sur Victoria. D'abord des claques injustifiées, bientôt ce fut des coups de pieds, des mots, des coups de poings....
Cette période de latence dura trois ans. Trois ans pendant lesquels les violences de son père étaient toujours bien présentes sur la peau de Victoria, trois ans pendant lesquels elle voyait The Circus dépérir, les membres le quittant un à un. Trois ans durant lesquels, Victoria tentait tant bien que mal de contrôler son pouvoir destructeur. Sa colère contre son père l’aidait a ne pas se laisser aller et a garder sa volonté. A la fin de ces trois ans, le crique ne comptait plus que sept membres. Ils décidèrent de fermer le cirque.

Victoria prit alors la lourde décision de profiter de ce grand changement pour prendre définitivement son envol. Elle quitta son père et parti a Memphis. Elle proposa ses talents dans plusieurs bar, mais à son grand damne, les patrons finissaient toujours par lui demander de finir strip-teaseuse. Son manque d'argent finit par avoir raison d'elle et se représenta deux ou trois soirs. Mais sa timidité et sa gêne était bien trop perturbantes pour qu'elle continue.

Victoria déménagea à Little Rock dans l'Arkansas. Au détour d'un bar, elle rencontra une petite troupe de jongleurs et acrobates. Si elle ne maîtrisait pas les acrobaties elle connaissait. Victoria fit partie de la troupe pendant près de six mois. Apportant quelques pas de danse, ils se représentèrent dans tout l'Arkansas. A la fin de ses six mois, chaque membres partie de son côté, tentant une carrière seul.

Victoria, elle, choisit New York. Elle arrive sans réelles ambitions, mais son attirance pour la Grosse Pomme était trop grande pour qu'elle y résiste. Ce n'est que trois jours après son arrivée qu'un certain professeur Charles Xavier, télépathe de son état lui fit une proposition qui pouvait la sauver de cette situation plus que précaire. Elle accepta.


Personne sur l'avatar : Sienna Miller
Age dans la vraie vie : 19 ans
Expérience en RP : Ca va faire pas loin de deux ans
Double compte : Nan !
Votre personnage est-il issu du Comic ou des Films X-Men : Nan !

Je certifie avoir lu et j'accepte le règlement. Je m'engage a écrire toujours au moins 5 lignes pleines dans chacun de mes messages en Rôle Play. Anne

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