Vers un nouveau commencement (Maiwenn Short+1 confrériste)

En sortant de l'aéroport avec son sac à dos et un sac de voyage contenant ses effets personnels, Alaric se dirigea vers les rues de la Grosse Pomme. Ne sachant pas quelle direction prendre, il allait vers un objectif imaginaire. Lorsqu'il demandait aux gens des endroits pour passer la nuit, du genre motel pas cher, on l'envoyait promener.

-Je ne savais pas qu'un New Yorkais était si méchant, pensa-t-il.

Il était seize heures et le soleil continuait sa course vers l'est, et le temps pressait pour le jeune homme de trouver un endroit temporaire pour passer la nuit. Il marcha, marcha et marcha mais il ne trouvait rien et les gens lui paraissaient hostiles. Il est vrai qu'Alaric était timide mais tout ces gens ne faisaient que renforcer cette impression. À dix-neuf heures, il était épuisé. Il avait dépensé l'argent qui lui restait pour se payer un repas dans un resto-rapide alors la faim ne le tenaillerait pas.

-Si je ne trouve pas d'endroits où dormir, je vais devoir dormir dans la rue. Idiotstadt!

Alors, qu'il était en train de penser à son sort, il fonça dans quelqu'un. Il sortit de sa réflexion pour voir qui il avait renversée.

Spoiler:

Maiwenn prenait un "grand bol d'air" comme dirait son ancien patron. De l'air, frais. A dix neuf heure du soir, elle avait étouffé )à la Confrérie et était sortie prednre l'air dans les rues. Dans les mauvaises rues. C'était là qu'elle était née, elle avait toujours eu peur. Peur de se faire attraper par un ivrogne, peur de mourrir, peur d'y rester coincée. Maintenant elle n'avait plus peur. Au contraire elle affichait clairement sa liberté avec une jupe et des talons. Le monde se retournait sur son passage, troublé. SAtisfaite, elle se laissait porté par ses pas sans regarder où elle allait.

Geste peu grave, sauf si la personne en face fait la même chose que vous.

L'homme étant plus lourd que la jeune fille, l'envoya valdinguer. Pas trop loin. Furieuse, elle se releva les poings sur les hanche, les yeux gris lançant des éclairs et les lévres serrèes. Elle savait que si elle les ouvrait elle risquait de détruire l'immeuble d'à coté sous le coup de cette colère vaine. Elle parvint à se calmer grâce à une mélodie trottant dans sa mémoire. L'air calme rendit à la Syrène une tête froide.

Elle se racla la gorge, comme pour exger des excuses du jeune homme.

Alaric regarda la fille et rougit jusqu'aux oreilles. S'il lui arrivait de foncer dans un gars, le type en question lui disait de regarder dans la direction qu'il marchait et de cette façon le jeune homme n'avait pas à parler. Mais là s'était différent parce qu'une fille se dressait devant lui et semblait décidée à le laissé parler en premier, ce qu'il redoutait fortement.

-Euh,...euh,...désolé de vous avoir fait tombée,...je viens d'arriver et euh...

Pas facile de parler à une fille aussi jolie, car si Alaric avait des problèmes pour parler à une personne de la gente féminine, alors il en avait bien plus si elle était belle et tout. Il se concentrait pour ne pas lui reluquer les jambes mais il gardait la tête baissée, plus parce qu'il était gêné qu'autre chose.

-J'espère que...vous n'êtes pas blessée...ou quoi que ce soit?

Il s'efforça de relever la tête et de la regarder dans les yeux mais elle le regardait d'un air qui intimidait un peu le jeune homme.

-Euh,...euh,...désolé de vous avoir fait tombée,...je viens d'arriver et euh...J'espère que...vous n'êtes pas blessée...ou quoi que ce soit ?

Bon au moins il était poli. Et timide. Et nouveau à New York. Réalisant qu'il venait de dire qu'il débarquait elle du se retenir d'éclater d'un rire vrai et franc. Il débarquait, et arrivait pile dans le quartier le plus mal famés de la ville. Il avait du en voir des vertes et des pas mures !

Le visage neutre, des méches blondes revenant sur son front, elle eut un sourire amical. Elle comprennait ce que le jeune homme venait de vivre. A en juger par son air préocupé, il devait être sur le point de ce résigner à dormir à la rue. Doux malade...

- Je n'ai rien. Et excuses acceptées. Vous arrivez donc ? Pas de chance. Ce n'est pas le meilleur endroit pour ce faire des connaissance dans ce quartier. On à dut vous en faire des belles !

Elle fit un clin d'oeil, histoire de lui montrer qu'elle n'allait pas le manger et qu'il ne risquait absolument rien d'elle. Elle avait décidé de ne pas l'envoyer voir ailleur. Pas avant qu'il sache ou dormir. Elle n'avait jamais eu personellement à faire des hotel de moins de 500$ du temps où elle chantait et gagnait énormément. Mais les hotel accessible, elle ne connaissait pas. Après sa période de prospérité, elle avait reprit l'apart miteux de sa mère, morte il y avait deux mois seulement. Ensuite était venue la Confrérie. Et elle avait vendu l'appart. Dommage pour le jeune homme.

Elle dit :

- Je m'appelle Maiwenn. Maiwenn Short dîtes la Syrène. Et toi ? Tu viens d'où ?

Alaric ne sut pas quoi faire d'autres que bagailler. Il s'empressa cependant de lui répondre.

-Je m'appelle Alarik Metzger,...enfin je l'étais. Mes parents m'ont renié et donc, je m'appelle maintenant Alaric Metz...mais tu peux m'appeller Alaric. Je suis né ici, à New York, mais je suis allé vivre en Allemagne.

Mais le jeune homme avait encore un problème de taille: il n'avait pas d'endroits pour dormir. Il devait quand même essayer.

-Je sais que nous venons de nous rencontrer mais...je n'aie aucuns endroits pour dormir et...je désirais savoir si je pourrais dormir chez toi pour la nuit. Ensuite, j'essairai de trouver un autre endroit...

Il s'interrompit. Un type apparement saoul était apparu dans son champ de vision. Il regarda les deux personnes en face de lui.

-Hé, connard, cette fille vient avec moi!

Il prit une barre traînant par terre et s'élança sur Alaric. Il le frappait mais le jeune homme ne répliquait pas. Son regard croisa celui de Maiwenn et ses bras commencèrent à briller. Il les dirigea vers l'homme qui allait lui asséner le coup final mais un rayon d'énergie sortit des bras d'Alaric et frappa l'homme de plein fouet. Celui-ci tomba plus loin et Alaric se tourna péniblement vers Maiwenn.

Le jeuen homme se présenta très gnetiment et suroptut très timidement, l'air ennuyé. Il lui fit alors part d'un probléme qu'elle avait déjà deviner. Il n'avait pas de toit. Elle l'aurait bien invitée à la Confrérie mais un humaisn n'y aurait pas été toléré. Sa crainte fut aussi tôt estyompée lorsqu'un ivrogne s'étant apparement prit une cuite de trop les interrompit. Elle allait le persuader de manière définitive d'aller se confesser dans une église (bien que ca aurait été rajouté du travail vain à un homme de prière) lorsqu'Alaric la devança.

Les bras du jeune homme brillérent et un rayon d'enegie envoya voler l'homme. Nullement inquiète pour lui, elle regarda directement Alaric. Bon sang, combien de fois serait-elle surprise de découvrir un de ses fréres dans ces ruelles ? La jeuen fillle dit alors histoire de détendre l'atmosphére :

- C'est voyant ton truc. Ca te fatigue pas trop d'utiliser ton pouvoir ? Conseil d'amie, ne l'utilise pas dans un autre quartier que celui ci. Là, n'importe qui croirait qu'il a trop bu. Ailleur, on t'enfermereit en tole sans motif autre que ton pouvoir.

Elle espérait qu'il l'écouterait. Elle ne se souvenait que trop d'avoir été obligée de sauter de la fenétre du deuxième étage d'un centre commerciale pour échapper à la "justice" injuste des hommes. Elle ajouta :

- Je m'apelle la Syrène parce que j'utilise ma voix à ses extrème. De faire sauter avec des ondes sonores un building à convaincre quelqu'un qu'il n'existe pas. Je t'aurais bien proposer un toit mais maoi je n'ai pas d'apartement qui m'apartienne, je loge à la Confrérie. Tu connias ? Non bien sur puis que tu arrive. Il y a une idée simple à la Confrérie, l'homme à peur de nous et nous fait du mal. Nous leur répondons. C'est assez simpliste.

Elle n'osait pas lui proposer de rejoindre de la Confrérire. Ce serait à lui de se dépatouiller. Elle ne pouvait pas se permettre d'enroler quelqu'un. Elle ne se sentait pas en mesure de servir de "tuteur" à un nouveau.