Des questions se posent... des réponses se trouvent. [PV]

Un bruit de pas, puis un autre, ce qui donnait un rythme monotone tel que la vie actuelle de l’enfant des ténèbres. Pourtant il paraissait tranquillement assis dans un coin, les yeux fermés dans sa chambre. De cet endroit, il écoutait les bruits de pas de nombreuses personnes qui passaient en soupirant. Ces temps ci, rien n’allait pour lui, il ne parvenait plus a respirer l’odeur du bonheur et ça quoi qu’il fasse, les raisons ? C’était toujours les même soucis, la famille, son amie qui n’arrivait pas a guérir, sans oublier qu’il y avait toujours son problème de pouvoir qui empirait. En effet, il entendait sans arrêt tous les sons de l ’école, et il s’attrapait pas mal de migraine quand on parlait trop fort.. Généralement et comme il ne se confiait a personne, il se répétait souvent le dicton de sa mère pour se remonter le moral dans ses moments sombres. Un magnifique dicton qui était que la vie est merveilleuse quand on le voulait, et qu’il fallait profiter pleinement de chaque instant comme si c’était le dernier. A son grand regret et pour une fois, cette méthode n‘avait aucun effet sur lui !

Aujourd’hui, il vit avec désarroi que le temps aussi ne jouait pas dans sa faveur, le vent soufflait tellement fort que l‘enfant des ténèbres n avait pas eut le courage d‘aller dehors. Remarque que tout le monde preferait restait dans l‘institut, a part les plus solides. Enfin pour ce samedi, il avait encore eut une mauvaise nouvelle, et il n’arrivait pas a le plein de chose a faire pour la semaine ! Il devait ranger sa chambre, faire quelques entraînement pour mieux contrôler son pouvoir, et il s’était mit dans le crâne de faire des recherches sur les mutants. C’était un magnifique programme pour un samedi, au moins il n’aurait pas a s’ennuyer. Bon ben si tu veux pas passer ton après midi a rumer de la merde, tu ferais mieux de te choisir un passe temps ! Sa bien aimée conscience avait tout a fait raison, et comme d’habitude il le savait très bien. Tristan repassait son programme en revu, mais ayant peux le courage d’aller s’exercer dans la salle des dangers, et encore moins l’envie mettre de l’ordre dans sa chambre. Il se disait qu’il irait a la grande bibliothèque faire ses recherches, ça lui semblait une bonne idée.. Le jeune troy se disait qu’il y aurait pas beaucoup de monde, donc pas beaucoup de bruit, la paix quoi ? Le pouvoir d’apprendre dans le calme absolu était bien son plus grand remède, et Tristan était sur que ça allait marcher.

Le jeune homme se dépêchait de mettre un pull noir et de s’attacher les cheveux, avant de quitter sa chambre. Durant sa petite marche pour aller a l’endroit voulu, il remarquait que les couloirs étaient totalement vide, mise a part le petit garçon qui avait couper son chemin d’un éclair. Une fois avoir pousser la porte du monde enchanté des livres, il restait figeait pendant un long moment. Tristan était bien surpris d’y voir autant de monde, et selon ses souvenirs c’étaient bien la première fois. Apparemment le froid et le vent attiraient la foulle a se cultiver, bon pourquoi pas.. En essayant d’éviter bien des regards, le jeune troy s’avançait dans la salle en direction des étalages de livre. Il en avait beaucoup pour se satisfaire, mais il lui fallait toujours un temps fous pour choisir son livre. Sa lenteur habituelle se répéter, et c’était seulement après une bonne dizaine de minutes qu’on le revoyait ressortir du gouffre. Il avait le livre, mais il lui restait a se trouver une place, était il encore possible de dénicher un siège de livre avec cette foule ? En tout cas, le blondinet faisait l’effort de rechercher, et avec une chance incroyable il en trouvait bien une ! C’était a une petite table de quatre, il n y avait qu’une jeune femme. celle-ci était déjà en train de lire, et Tristan avait l’impression de l’avoir déjà vu dans les couloirs. Ensuite en la regardant, elle devait surement avoir a peut près le même age que Tristan. Trop content d’avoir son bien, il s’empressait de s’asseoir a coter d’elle en commencent a devoir son livre. Quelques temps plus tard et alors qu’il était bien plongeait dans son ouvrage, il se rendit compte qu’il n’était pas tout seul. Un peu confus de cette situation, il s’excusait au près de cette charmante personne sur un ton des plus tendre.

« Oh, excusez moi, je ne vous avais pas vu ! J espère que je vous dérange pas. »

Ludmilla regarda le jeune homme avec surprise. Il lui avait demandé s'il ne la dérangeait pas... et elle ne pût répondre autre chose qu'un petit «Non» qu'elle-même n'entendait pas. Elle avait brusquement rougit, réaction automatique lorsqu'un garçon, qu'il soit beau ou moche, l'air sympatique ou pas, ses joues prennaient une couleur rose/rouge vif. Elle ne pouvait s'en empêcher, c'était plus fort qu'elle. Après tout, elle ne contrôlait pas la couleur de sa peau ! Elle se racla donc la gorge pour se donner un peu de courage et faire comme si c'était parce qu'elle avait un chat dans la gorge qu'elle parlait ainsi et prit une longue respiration le plus discrètement possible.

- Non, tu ne me déranges pas du tout.

Puis elle se rendit compte que le jeune homme qu'elle ne connaissait que de vue et pas de nom l'avait vouvoyé. Elle se baffa mentalement et baffouilla un peu.

- Enfin euh.. vous...

Elle rougit de plus belle et se trouva bête. C'était une impréssion qu'elle traînait derrière elle tout le temps mais cette fois-ci encore plus. Elle ne savait pas où se mettre même si elle était assise dans un fauteuil plutôt confortable pour un fauteuil de bibliothèque. Elle se contenta alors de reporter son attention sur son livre qui ne lui disait plus rien maintenant. Elle fit semblant de lire une page mais ne comprit rien à ce qu'elle parcouru des yeux. Elle laissa échapper un soupir. Elle se désespérait toute seule et se traitait elle-même d'idiote dans sa tête.

La jeune fille qui était a coté de Tristan semblait pas beaucoup bavarde elle non plus, non elle lui fit simplement un petit signe de la tête en guise de non. Remarque qu’une bibliothèque n’était pas faite pour parler, ça c’était les salons de thé. Dallieur quand il jeta un œil sur la pièce, il remarqua que personne ou peu de gens était en train de parler. De plus que grâce a son pouvoir, il n’entendait que des pages se tourner et quels livres tombés. Sur quoi le jeune homme n’allait pas en faire une tare, donc la laissait tranquille et il repartait dans sa lecture. Pourquoi l’enfant des ténèbres était il devenu un mutant ? C était pour cette question qu’il était venu à la bibliothèque, même si les réponses étaient jamais évidentes a trouver. Enfin, si , il en avait plein qui lui avait dit ce qu’il était et le comment du pourquoi. Néanmoins et pour une forte tête comme Tristan, a chaque fois il avait le droit a des versions différentes et souvant elles étaient pas très bien détaillés. les auteurs de ses rumeurs ? Faciles a dire, des amies, certains professeurs qui en avaient parler, le gouvernement et les mutants qui résident dans cette école bien sur. Beaucoup de gens et de versions pour une seule question, c’était bien difficile pour lui de faire le tris entre ce qui était vrai et faux. Surtout quand les unes les traiter de monstres ou de danger publique, ou alors quand on disait qu’on était qu’un stade de l’évolution. Bien sur ça ne n’était qu’un résumé de tout ce qu’on pouvait penser des mutants actuellement, beaucoup de chose quoi ?

C est pourquoi et comme aujourd’hui il faisait mauvais temps et qu’il avait assez de temps devant lui, il avait décidait de prendre son courage a deux mains pour faire ses propres recherches. Dans ses recherches, Il espérait quand même trouver des réponses a ses demandes , et enfin en avoir le cœur nette sur ce sujet délicas tant entendu. Comme toujours, il voulait en savoir beaucoup plus sur ses origines, trop curieux de ce qu’on lui avait dit sur son espèce, il voulait lui-même repêcher des informations de façon à se forger sa propre vissions du monde des mutants et celui des humains par allier. Pendant qu‘il était en train de lire son livre, il se demandait si les autres mutants étaient aussi passé par la. Je ne suis pas télépathe, mais il y a de forte chance que oui, pensait il en hochant la tête . Malheureusement et a sa grande déception, il ne trouvait rien de nouveau.

Il avait toujours la même histoire sur l’ADN, ou on avait modifié une chaîne et tout le même baratin. Après avoir lu vite fait en diagonale pratiquement tout le livre, l’enfant des ténèbres le reposait sur la table en gardant la main dessus. d’accord c’était bien le premier livre qu’il avait prit, mais pourquoi il en avait pas sur les relations humains mutants ? Peut etre que personne n osait en écrire, sous peine de se faire taper sur les doigts par le gentil gouvernement. Enfin c’est pas sur, et allez savoir ce qu’il se passe dans la tête des gens. Encore dans l’univers des grands scientifiques, il essayait de comprendre la question la plus essentiel sur les mutants: Comment pouvait on tous changer par des simples cellules ? Rien a faire avec cette tete de noix , il arrivait pas a ce faire une raison. Quelque temps plus tard, Tristan terminait a poussé un profond soupire en secouant brusquement sa tête. Ensuite son regard se retournait vers la jeune fille, apparemment elle aussi elle voulait avoir des réponses a sa mutation.. Et oui, le jeune homme avait vu que son livre parler du gene X, ce fameux gene qui avait modifier tous les mutants. peut être qu’elle avait trouver des réponses dans ce livre . Le jeune troy souriait un peu de la voir rougir et s’emeler les pinceaux avec cette histoire de voyoiment et du tuyoiement, enfin il était bien content que pour une fois ce n’était pas lui qui faisait la connerie. A cette même occation, il remarquait aussi qu’elle était bien timide devant les garcons, et gentil comme était Tristan, il ne fallut pas longtemps pour lui de la rassurer sur un ton amical. 

« Maintenant que tu as commencer, tu peux me dire tu.. Ca me gene pas du tout. »

Il fit une petite pose pour savoir si oui ou non il allait lui demander si elle trouvait des réponses dans le livre. Parce qu’il trouvait ça un peu mal polie de demander, mais bon qui ne tante rien n’a rien hein ? De plus que ça te fera gagner en assurance avec les autres, toi qui es si associable. C est pourquoi Tristan repris la parole sur un ton plus sobre.

«  Ton livre parle de quoi ?

Ludmilla écouta le garçon. Mainteant, elle savait qu'elle pouvait le tutoyer et fut soulagée que ça ne l'ai pas froissé qu'elle lui dise "tu". En tout cas, ce n'est pas ce qu'elle avait sentit dans le ton et l'attitude du jeune homme mais peut-être se trompait-elle. Elle n'avait as confiance en elle et se demandait si c'était réellement ce que ressentait le jeune homme. Tant pis, elle ne saura jamais et puis c'est tout ! Après tout, il y a des ystère dans la vie qui ne trouveront jamais de réponse. oilà qu Milly philosophait ! C'était la meilleure de la journé celle-là ! La mutante repris ses esprits et réfléchs à la réponse qu'elle allait donne à la question qu'il posa. C'était très difficile à dire puisqu'elle ne l'avait pas commencé et que tout dns sa tête était plus ou moins brouillé. A vrai dire, elle ne savait plus vraiment pourquoi elle était là. Elle ne voulait pas vraiment voir l'air idiote et lu quelques lignes de la page qu'elle venait d'ouvrir. Elle n'y appris rien d'interessant mais cela lui rapella ce qu'elle était venue cherchée.

- Et bien... en fait je viens ici pour chercher des informations sur les origines de ce gène X qui m'a rendu mutante mais... ce livre ne m'informe pas vraiment.

Elle était déçue de ne pas avoir trouvé ce qu'elle cherchait et commençait à réellemet désespérer. Elle se demandait même si les scientifiques avaient trouvé une réelle raison à ce phénomène. Après tout, est-ce qu'on peut leur faire confiance ?? Ludmilla n'en était pas si spure !
En tot cas, elle se souvint qu'elle n'était plus seule et que, même si elle n'était pas là pour discuter, elle ne s'était pas présentée. Sa mère lui avait inculqué la politesseet rester anonyme ne faisait pas partie des bonnes manières. Elle prit alors son courage à deux mains pour formuler sa phrase.

- Au fait... moi c'est Ludmilla !

Il avait même plus le courage de rouvrir le livre entre ses mains par degou, mais il avait pas du tout l’envie de se lever pour aller en rechercher un autre. Sur quoi l’enfant des ténèbres pris tout son temps pour jeter un œil a sa voisine,comme c’était trop mignon de remarquer comme il la regardait. Oui, il le faisait d’une facon si tendre, et il était plutôt discrait comme la fille était encore en train de lire son livre toujours sans rien dire. Tristan non plus prononçait aucun mots, car il ne voulait surtout pas la déranger dans sa lecture.. Comme il savait pertinemment au combien c’était pénible les gens qui faisaient ça, il voulait pas reproduire la même connerie que ces demeurés . Il se contenta de l’observer de haut en bas, en donnant un petit jugement assez gentillet. En effet il la trouvait assez jolie avec sa petite tenue et ses longs cheveux, même si elle paraissait bien plus jeune par rapport a lui. Bon arrête de la regarder, si jamais les autres mutants de la salle le remarque, tu risques de te faire passer pour un cochon ! De plus qu’elle vas certainement être gêner si elle sens qu’un garçon la relooke pendant qu’elle lit, et vu ton age il y a de forte chance pour que tu passes pour le pervers de service. Malgré cela, le regard de Tristan continuer a la fixait, lui tomber sous le charme ?

Oh non, c’était pas du tout le genre du jeune homme, et ce n’était pas du jour au lendemain que ça allait changer. il la regardait juste par plaisir de voir quelque un lire, cette vision était agréable et paisible a regarder. Par mal chance et comme on l aurait parié, gace a son pouvoir l’enfant des ténèbres entendu parler de lui dans son dos. Selon son ouie hors paire, il s’agissait de deux nanas qui passaient leur temps a se moquer des autres. Des petites pestes dont c est vraiment pas la peine de s’attarder dessus, faut faire car si c est que comme ça qu’elles s’amusaient, ben pourquoi pas.. En tout cas, ce n’est certainement pas moi qui vais les Engueler, j en ai plus qu’assez de jouer le moraliste de première. Ça c est sur, et partout où Tristan passait, il avait le droit a une petit enguelade parce que son point de vue était différant. Enfin Tristan compris qu’il fallait pas du tout y prêter attention, ce pourquoi il continuait a la regarder lire. Son petit jeu de gamin durait assez de temps, avant qu’il se rend compte que la jeune fille en avait rougi depuis tout a l heure. Oh, on a une petite timide a coté de nous, c est pas bien Tristan de la mettre en gêne ! Et sans savoir pourquoi, le jeune homme sentait la tension monter entre eux deux, sans même u pouvoir arranger les choses. Heureusement et par une énorme chance, la jeune fille reprit la parole en lui disant qu’elle recherchait des informations sur le gene X mais qu’elle non plus elle ne trouvait rien d’intéressant dans son livre. A ses mots, la jeune fille paraissait elle aussi déçu de se constat, ce qui était un peu normal comme tous les mutants voulaient en savoir plus sur leur origine. Le jeune mutant était quand même soulagé de savoir qu’il n’était pas le seul maudit dans l’histoire. Il se frottait légèrement le front avant de lui répondit sur un ton amusé.

« moi aussi, je ne trouve pas grand-chose dans mon livre.. A croire que personne n a le courage pour en parler. »

Il ne pu s’empêcher de marquer un petit sourire, la il avait entièrement raison et il décidait de pas pousser les choses. C est a dire qu’il attendrait un peu plus longtemps qu’on veuillent bien lui dire la vérité, que de la cherchait a s’en tuer les tripes. Et oui, pour une fois qu’il ne poussait pas trop sur sa curiosité, on pouvait l’applaudir. C’est pourquoi il décidait de se distraire avec le premier livre qu’il y avait a porté de main, il n avait même pas eut le temps de l’ouvrir que déjà elle avait reprit la parole. Cette fois ci, elle se presantait. Elle s’appelait Ludmilla, très jolie prénom au yeux de Tristan qui se presanta a son tour.

« Moi, je m appelle Tristan »

Ludmilla n'avait senti le regard de Tristan posé sur elle que quelques secondes avant qu'il ne réponde. Elle en fu cependant quelque peu troublée, comme à chaque fois qu'on la regarde. Elle se maudi interieurement, elle et sa timidité qui l'empêchait de faire certaines choses qu'une ado' normale pourait faire. Cela l'amena à ses réflexions habituelles.
*Ludmilla, tu n'es PAS normale !*
Cette question de normalité hantait la jeune fille depuis qu'elle avaitdécouvert ses pouvoirs, soit il y a déjà plus de deux ans. Elle volait être normal mais rien ne laissait paraitre qu'elle l'était réellement. Tout d'abord, peu d'américains avaient des origines allemandes, et surtout pas un prénom ! Enste, une poignée d'entre ces personnes avaient des pouvoirs ! Non, décidemment, Milly n'était pas faite pour la normalité. Elle sortit de ses pensées lorsque le jeune homme lui répondit qu'il ne trouvait pas d'infos lui non plus. Il n'avait l'air qu'un peu déçu que ses recherches soient vaines, contrairement à Ludmilla qui désespérait de savoir un jour ce qui lui arrivait. Elle avait toute sa vie devant elle, c'était sûr, mais lle n'allaittout de même pas passer sa vie à chercher quelque chose qu'elle ne comprendra jamais.
Son interlocuteur reprit un livre mais la mutante ne vit pas tout de suite le titre. Puis il se présenta à son tour et Ludmilla trouva son prénom joli : Tristan. Elle n'en avait jamais rencontré auparavent et fut ravie de l'impression que donnait cette première fois. Elle répondit au sourire de Tristan par un sourire aussi et repensa à la réponse de son interlocuteur : "A croire que personne n'a le courage pour en parler". Elle ne pensait pas de cette façon. En fait, elle croyait tout simplement que le secret ne dépaçait pas les murs des laboratoirs et qu'unepetite poignée de personnes savantes et expérimentée connaissaient la réponse au questions que tous les mutants se posient. Elle ne dit pourtant pas le fond de ses pensées et dévia la conversation.

- Et sinon, tu es ici pourquoi ?

Elle ne savait pas si le jeune homme allait répondre. Après tout, peut-être que cela le gênait. Elle ne savait pas trop l'attitude à adopter avec les autres. Encore un mauvais côté de son fichu caractère ! Elle attendit la réponse de son interlocuteur, positive ou non. De toute façon, elle allait bientôt le savoir !

Tristan non plus l avait pas l air d’etre a l aise avec cette jeune fille, c’était ironique de savoir qu’ il voulait la mettre en confiance alors qu’il était bien géné. Le jeune homme n avait jamais su comment s’y prendre avec les filles, il s’y prenait vraiment comme un pied. Enfin c’était un peu normal comme, on ne lui avait pas donné des conseils étant gamins. Ben quoi ? A la maison on ne parlait pas de fille ou de technique de dragues, c’était pas le genre de la famille de tristan. De s’imaginer de se voir avec son père a converser des filles pendant des heures et des heures, manquer pas de faire rire le jeune homme. Il savait que son paternel était aussi nul que lui, voir bien pire ! Il se souvenait au jours de la saint valentin, où il avait offert la même carte que l’année d’avant. Sans compter qu’il lui avait fait un longs discours juste pour lui dire qu’il en était désolé, la sœur de Tristan et lui-même avaient littéralement explosé de rire. Une boulette mémorable que Tristan n’oublierait jamais, la seule fois ou il avait tant rigolait de sa vie. Autrement troy n’avait pas encore osé a demander ce genre chose a un de ses amis, peut être q’un jour il allait demander conseil a son cousin réputer pour sa grande perversité. Du moins quand Tristan se branchera dans ce domaine, ce qui ne risquait pas d arriver du jour au lendemain. Mais pour le moment , il avait bien du mal a se décontracter devant cette fille, elle non plus lui arrangeait pas les choses en étant autant réservé que lui. Elle semblait vouloir évité son regard, ce que Tristan n’était pas fichu de faire. Le jeune mutant restait a la regarder sans dire de mot, et un grand silence s’installait entre eux. Quelques minutes plus tard et en comprenant que Ludmilla n’avait pas trop envie ou n’était pas du genre a faire de longue conversation et qui ’il fallait laisser le temps passer, l’enfant des ténèbres baissait les yeux sur son livre.

Il ne savait pas tellement quoi faire, entre rester ici a lire son nouveau lire ou bien de pendre son courage a demain pour aller en rechercher un autre sur le gene x. cependant il n avait rien trouver sur ce maudit gêne a la noix de coco et la fille non plus, cette excuse et la paresse le faisaient basculer sur son nouveau livre. C est alors il se penchait sur cette objet qu’il avait pris dernière lui par hazard, il le regardait soigneusement avant de l‘ouvrir. Ce livre était pas si gros que ça en devinant qu’il devrait faire vers les trois cents pages, dont on pouvait voir un dragon sur la première page de couverture. Tiens Tristan aurait il encore pris un livre fantastique ? Ça en avait tout l’air, il les aimait tellement ces livres la ! Il les trouvait hyper fascinant et envoûtant, car leurs histoires sortaient du monde réel qui l’emmenaient dans le monde du rêve. Impatient comme pas deux, il s’empressait d’ouvrir l’ouvrage sans même prendre le temps de regarder le litre. Cependant et encore une fois, l’enfant des ténèbres fut dérangé par la petite voix jeune fille, décidément elle avait tendance a parler a des mauvais moments. Elle lui demandait ce qu’il faisait ici, ce qui le choquait sur le coup comme il trouvait que la réponse était évidente. Au debut, il aurait tout de suite répondu que la raison de sa présence était la même que celle des autres mutants, qui était en un seul mot: lire. Un peu logique dirons nous, ben oui on est dans une bibliothèque non dans un salon de thé. Mais en repensant a cette histoire de gêne x, le jeune homme se doutait que c’était plus sur ça qu’elle lui demandait qu’autre chose. Ravis et enchanté de enfin pouvoir en parler dans un concept amical, l’enfant des ténèbres se retournait calmement vers elle. Sur quoi il reprit une immense bouché d’air, pour une fois il avait eut aucun mal pour formuler dans sa tête. Mais il preferait de s’éclaicir la gorge avant de lui répondre sur un petit ton amical accompagné d’un petit sourire au lèvre:

« Vous parlez bien au sujet du gene x ? dans ce cas la, je voulais juste savoir si on était a part ou simplement une sorte d’évolution.. Rien de plus troublant et vous ? »

Des beaux sourires et de magnifiques paroles en l’air, sans compter qu’il y avait toujours des gens qui les observaient en ricanant. L’enfant des ténèbres constatait avec pitiée, que c’était les même filles que tout l’heure. Laissez vieux, elles n’en valent pas la peine, en générale ce genre de personne n avait rien dans la tête ! Donc laisses tombé maintenant, dis toi que ce qui se moquent de toi sont des moins que rien ! A cause de son mode de vie assez troublant, il avait souvent entendu se genre de moqueries absolument stupide. En plus de ça, il s’était répéter sa bonne veille morale que sa mère lui disait, enfin d’éviter une vulgaire confrontation avec les autres. Pourtant la, il ne pouvait plus supporter ce genre de gaminerie, il avait meurt d’envie de se lever pour lui faire une bonne leçon de vie. Cette envie bouillait chez l’enfant des ténèbres, mais cette fois ci, il se retenait de toutes ses forces ! Quelle pouvait bien être les raisons de son refus ? Oh, ce n’était pas du tout compliquer vu qu’il en avait qu’une: le gêne ! Oh oui, le jeune troy était un peu honteux de cette situation vis-à-vis de sa nouvelle amie, qui peut être allait mal le prendre. Enfin, voila bien la situation ridicule que s’étaient mis les deux jeunes mutants ! Sans compter toutes les boulettes qu’ils tombaient en flocon de neige ! Ils se posèrent des questions bien stupide, non mais c est vrai quoi ? De demander a l’autre ce qu’il faisait ici, comme ci c’était pas évident ! Non sérieusement, Il fallait admettre qu’on avait a faire a un drôle de couple, non ? Alors pour résumer la chose, on avait devant nous une jeune fille qui était timide et impressionné de voir l’enfant des ténèbres.

Ce dernier non plus était pas mal dans son genre, qui par le rougissement de la fille, n’avait pas cessé de la regarder depuis qu’il était arrivé dans la bibliothèque. Et apparemment ils avaient pas l’air de trop de se préoccuper du problème, on pouvait même dire que ce qu’ils faisait été tout le contraire ! L’enfant des ténèbres admettait que le sujet de conversation laissait a désirer, mais il ne trouvait rien d’autres a lui dire pour le moment. Ce qui était très certainement le plus ironique dans l’histoire, c’était que les deux jeunes mutants étaient en train de tourner en rond dans le conversation. Comme c’était pathétique de les entendre, et Tristan le remarquait enfin ! C’est sans doute pour cette raison, que Tristan s’était retenu de lui répondre en hochant la tête. Heureusement pour lui que Ludmilla eut la très bonne idée de changer de conversation, quelque temps plus tard. A presant, elle se penchait sur un thème qui était vu et revu depuis je ne sais pas combien de fois, durant le séjours de l’enfant des ténèbres. En gros et pour faire vite, la jeune fille lui demanda qu’elle était son pouvoir. A croire que je devrais mettre une pancarte sur moi avec mes pouvoirs dessus, pensait il en levant les yeux aux ciels. Si jamais tu oses faire une remarque négatif sur sa question, je te jure que tu vas passer un mauvais quart d’heure. En sachant qu’il ne pouvait pas faire mieux et que Tristan troy voulait que cette tension se calma, il se contenta de lui répondre sur un ton amical.

« Je possède une agilité hors paire, et j’ai les sens décuplés… et toi ?

Et toi ? Et vous ? C est toujours cela qu’il disait pour continuer la conversation, a croire qu’il se transformait en pérroquer ! Tout a coup, une drôle de question lui vint a l’esprit. Une question qu’il avait entendu qu’une fois ou deux dans sa vie, et celui qu’il l avait posé était un grand homme: le professeur charles xavier, quand l’enfant des ténèbres était arrivé a l’école. Autrement la question en elle-même était pas si compliquer, il voulait juste savoir comment elle avait eut ses pouvoirs ? Pas bete comme question ! Finalement il était bien capable de poser des questions, lui aussi. Pris par un élans soudain et sans réfléchir aux conséquences, Tristan hésita pas de lui poser la question.

« dis moi, comment as-tu découvert tes pouvoirs ? Et comment tu as réagis ? »

( fini )