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| Sujet: Réaction du président élu sur l'attaque d'Atlantic City Dim 1 Fév 2009 - 22:48 | |
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Sujet initialEn ces temps d'élections, le pouvoir était très partagé entre la chambre des représentants, le président élu et le président sortant. Tant que la passation de pouvoirs n'avais pas été faite, Norman O'Brian n'avait rien pu dire d'officiel à propos de l'attentat d'Atlantic City quelques semaines plus tôt. Une fois arrivé à la Maison Blanche, il aurait enfin les cartes en mains. Ainsi, deux jours après son arrivée, sous l'œil des caméra et d'un peuple en deuil, il émit sa première réaction officielle depuis le balcon de l'aile Sud du Capitole. Une immense foule y était rassemblée, principalement vêtue de noir. Les yeux de tous étaient rivés vers le Président, espérant tellement de ce nouveau héros, et beaucoup versèrent des larmes, trop de larmes pendant son discours. Ainsi, il prononça fermement ces quelques phrases. Mes chers compatriotes, Comme vous le savez, le pays est, depuis quelques temps déjà, en deuil, depuis l'attaque sur la ville d'Atlantic City. Le président sortant avait déjà adopté une position lors d'un discours le jour même de l'attaque. En tant que président élu, il est de mon devoir d'indiquer une marche à suivre avant toute riposte. Une riposte, oui, car nous riposterons, nous vengerons les 9 548 vies que l'Amérique a perdue en ce jour noir, ainsi que les dégats matériels s'élevant à plusieurs centaines de milliards de dollars. Une enquête est toujours en cours pour connaître la nature de cette attaque et ses commanditaires. Tous nos services sont en état d'alerte maximale. J'ai personnellement ordonné le déploiement de la garde nationale dans toutes les grandes villes de notre pays, afin de garantir une sécurité conséquente aux citoyens des Etats-Unis. J'ai également ordonné le déploiement de nos forces de frappes dans le golfe du Mexique et dans l'Atlantique Nord. Nul citoyen ne sera privé de la sécurité. Pour l'instant, nous n'avons pu favoriser aucune piste en particulier, mais le FBI, la CIA, la NSA y travaillent d'arrache-pied. De même, nous avons décidé de collaboré avec les services de renseignement des puissances alliés et avec l'Interpol pour trouver les responsables de cet acte immonde, dans la continuité de ce qu'avait prévu le président sortant Mr. White. Il est évident que nous avons affaire à des ennemis puissants. Nous pensions avoir connu le pire lors d'un certain 11 Septembre, mais nous nous trompions. Nous avons été pris à vif, et encore une fois, c'est notre désinvolture qui a eu raison de nous. Mais que nos ennemis se gardent de cette victoire maléfique, nous serons prêt à relever le défi qu'ils nous imposent. La mort n'attend pas...et qu'ils ne s'y trompent pas, car c'est à la mort qu'ils feront face. |
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