Western Pub, l'habituel show de Nancy. [Ray O'Connor ]

Invité

23h00.

C'était un job comme un autre, il suffisait, par simple déhanchés langoureux et ondulations du corps, d'hypnotiser le client, essentiellement masculin à cette heure là, pour qu'il commande d'avantage d'alcool. Il lui suffisait de danser, de faire sa cow-girl et de faire tournoyer son lasso, de tirer de faux-flingues en fer et de faire "genre". Rien de plus simple, surtout lorqu'on a un corps qui aide. C'était bête, un homme, mais c'est bête, un humain. Même si la danseuse avait rarement ce genre de penser, il restait vrai qu'elle surpassait la plupart des hommes présents. Il n'y avait que très peu de mutants de passage au "Western Pub".

Il y a avait de cela quelques semaines que Susan n'avait pas retravaillé au bar, ça ne lui avait pas spécialement manqué, et elle s'en serait peut être passé quelques semaines de plus, mais si elle ne s'exécutait pas, elle perdrait son job.

Elle s'élança une fois de plus, séduisante, fine, élégant, à la limite provocante, dans ce déguisement vulgaire de cow-girl qui lui faisait afficher sans pudeur sa chair. Et alors, encore quelques minutes et elle pourrait se changer, les hommes passeraient à la strip-teaseuse suivante, Lisa, qui était l'irremplaçable infirmière du bar. Susan n'aimait pas particulièrement l'ambiance, mais le bar était devenu un abri, un endroit où Susan était apprécié en tant qu'humaine, pour autant que ses collègues le savaient. Ici, elle s'appellait Nancy, et ici, personne ne savait ce que Susan était capable de faire, et il ne vallait mieux pas.

Le show fini, et Susan changée, elle vint s'assoir au bar, où elle commanda une vodka. Plongée dans ses pensées, Susan ne vit pas venir la personne derrière elle venir se poser à ses côtés...

Invité

Son retour se fit sans crier garde , comme son départ . Ray était de retour ici , à New-York , depuis quelques jours , avec cette pensé de remord qu'il avait vis-à-vis de Kate . Il allait la revoir d'ici quelques jours question de s'expliquer et en espérant qu'il pourra se ratraper et l'amener réellement au restaurant cette fois . Bon , la ses amis voulaint l'amener dans un bar , question de fêter son retour et de lui faire changer les idées . Ses deux amis l'avaient trainé dans ce bar de danseuse pour s'éclater , voir ces humaines se déhancher et chercher à les allumer . En fais , Ray ignorait que dans ce lots , une des filles étaient une mutante . Mais il n'avait pas vraiment tête à cela . Il entrit donc dans le bar et ses amis se dirrigèrent immédiatement vers le stade , alors que lui , alla s'assoir proche d'une femme qui tenait un verre .

Pourquoi avait-il accepter de venir ici ? Il avait découvert des choses inquiétante qui demandait à être annalyse et contré . Pourquoi ? La même histoire qui c'était produit avec lui se répétait et avec les mêmes gens . Pourquoi les humains sont-ils aussi stupide avec les autres et ce qui est étrange à leur yeux ? Cerain méritait sa cure contre le normalisme ... mais d'aute méritait de mourir . Enfin ... Il remarqua que la femme à côté qu'il était assis portait des habits de cow-girl . Il la fixa de ses yeux rouges légèrement lumineux avec ses pupilles qui étaient fendu . Le petit Ray n'avait pas de gêne d'afficher son état de mutant . Il vit aussi que la jeune femme avait fini son verre .

- Bonsoir ... puis-je vous payer a boire ... mais avant que vous me proposer quoi se sois , je ne veux que discuter ... Medemoiselle , redonner lui la même chose et donner moi un verre de cognac s'il vous plait ...

Et il sortit son argent pour payer et regarda la femme .

-Puis-je vous poser une question ... qu'es-ce qui vous pousse à faire ce genre de métier ? Je ne veux pas vous juger mais vous êtes jolie , vous semblez intelligente ... et je peux dire par vôtre air que vous n'êtes pas vraiment heureuse d'être ici ...

Et il rougit alors voyant que sa question était déplacer ...

- Ho ... euh ... désoler ... je ... je devrais pas poser ce genre de question ...

Invité

Sombrant peu à peu dans ses pensées, Susan fut quelque peu surprise de découvrir qu'un homme s'était assit à ses côtés et semblait lui parler. Elle fut choquée de l'acidité des paroles de son interlocuteur, qui semblait en pleine critique de son pauvre job de strip-teaseuse. Elle eut tout d'abord l'envie de lui faire savoir ce que la "strip-teaseuse" pensait en lui mettant la main dans la figure, mais il enchaîna sans qu'elle est pu avancer quoique ce soit.
Il se précipita, avant que Susan est pu proposer quelque chose, il espérait quoi ? Elle n'était pas prostituée, c'était une strip-teaseuse. Fallait que Susan le rappelle lorsqu'elle pourrait lui répondre, de toutes façons pour le moment, elle se contenta d'écouter, elle avait encore quelques temps à accorder avant de rentrer. Il paya son verre suivant, et la serveuse interrogea du regard Susan qui acquiessa silencieusement. L'instant d'apèrs, un verre de cognac fut servit à l'individu et une autre tequila à Susan.
Il fit une remarque très pertinente quant à la présence de Susan ici, plutôt qu'ailleurs où elle serait heureuse. Susan prit notre que sa question était fortement déplacée avant de rétorquer :

- Oui, c'était assez déplacé, je vous l'accorde...

Elle souria légèrement, elle ne lui en voulait pas, d'habitudes, les hommes qui tentaient de lui parler étaient encore plus vulguaires, faisaient souvent des sous-entendus louches et étaient ivres. Celui ci différait des autres, il avait une certaine forme de classe, qui l'empêchait d'être simplement commes les autres idiots qui venaient ici. Susan remarqua alors ses yeux d'un rouge étrange, et ses pupilles fendues qui semblaient se jeter dans le regard de Susan. Elle comprit plus ou moins qu'elle n'avait pas à faire à un homme comme les autres.

- Cet endroit vous ressemble peu aussi... Vous êtes différents de ceux qui sont là non ?

Susan fit un sourire malin, savoir qu'elle n'était pas seule lui remettait un peu de baume au coeur.

Invité

- Cet endroit vous ressemble peu aussi... Vous êtes différents de ceux qui sont là non ?

Ray eu un léger rire gêner . Si seulement il aurait su que cette fille était sa soeur , il aurait eu un autre genre de conversation . Cette soeur ... il y pensait encore . Kate avait une place dans ses pensés , mais sa soeur était ce qui avait de plus important à découvrir . Il avait eu le temps d'y penser lors de son voyage . Cette Kate Sinclair était une femme incroyable qui gagnait à être connue , et le médecin voulait en savoir plus sur elle ... mais le sentiment d'être seul , sans famille , sans même avoir sa soeur à ses côtés . Et qui ne dit pas qu'elle était morte ? C'est vrai ! Son amie avait chercher des centaines et des centaines de fois des informations sur cette Susan Storm , mais rien ... Les dossiers était protéger par un étrange langage qui était inconnue . Bref , il ne connaissait que son prénom .

- Vous avez raisons ... et encore plus que vous croyez ... mais , si je suis ici , ce sont mes amis qui m'on trainer dans cet endroit ... Je ne veux pas vous critiquer , mais je déteste venir dans ce genre d'endroit où la femme est traiter comme un simple objet ... mais vous ... Comme je vous l'ai dis , vous semblez différente des autres danseuses ... êtes vous forcer à travailler dans cet endroit ?

Ray bu une gorger de son cognac et regarda la jeune femme . Il y avait chez elle quelques chose de familier , comme si elle lui était pas inconnue . Mais il ne l'avait jamais vue , et à sa naissance et lors de son kidnapping , Susan n'existait pas encore . Peut-être l'avait-il déjà vue sur la rue , dans un magasin ... ou au pire , dans l'Institut de Xavier .

- Je suis Ray O'Connor , enchanté ...

Et il tendit la main pour serrez celle de la jeune femmes . Il voyait très bien qu'elle était plus jeune .

Invité

Susan fut étonnée d’apprendre que l’homme n’était pas ici de son plein gré mais avait été traîné par ses amis, qui devaient s’être rassemblés autour des danseuses, plutôt que de s’êtres approchés du bar. Les critiques quant au bar ne touchèrent pas vraiment Susan, elle ne se sentait pas vraiment chez elle ici, c’était avant tout pour travailler qu’elle était là, et pour rien d’autre. Cela lui permettait d’avoir un peu d’argent de poche. Certes, elle n’avait rien à voir avec tous ces types ivres et toutes ces pin-up traitées comme des objets. Cependant, il lui sembla que son interlocuteur y allait un peu fort en parlant d’objets. Dans le bar, la plupart des filles n’avait jamais eut de problèmes, que se soit avec les clients ou entre elles. Susan connaissait bien les filles, la plupart d’entre elle n’avait pas de job, et c’était une façon assez simple de gagner une rémunération satisfaisante. Elles se connaissaient toutes et pouvaient compter les unes sur les autres. Le patron protégeait ses filles avec vigilance, pour qu’elles n’aient aucuns soucis. Lorsqu’elle entendit Ray lui demander si elle était forcée à travailler ici, Susan retint un grand sourire moqueur, si seulement il savait à qui il parlait ! Même un régiment entier ne pourrait pas forcer Susan à faire quoi que se soit. Elle les aurait écrasés comme de vulgaires brindilles. Cependant, elle n’était pas de nature violente, et puis c’était elle qui avait choisie de travailler là. Elle se racla la gorge avant de répondre à l’homme assit à ses côtés :

- Non, personne ne m’a forcé. Je suis ici de mon plein gré. Vous jugez peut être un peu vite, mais ce job paye, et ça, c’est le plus important.

Lorsqu’il se présenta, il planta ses magnifiques yeux rouges dans ceux de Susan, et cette dernière ne put s’empêcher d’y plonger son regard d’azur, qui avait pour réputation de faire chavirer le cœur des garçons. Cet homme était cependant différent, plus doux, plus gentil, très poli et gracieux dans tout ce qu’il faisait. Ceci dit, la question qui s’imposa à Susan fut de savoir si elle allait lui donner son vrai nom, celui par lequel elle était connue de l’Institut, ou celui qu’elle portait ici, pour éviter les ennuis. Susan hésita quelques instants, mais ici on l’appelait autrement, il valait mieux dire celui par lequel on l’a connaissait ici. Elle serra doucement la main douce de Ray et dit :

- Nancy, enchantée.

Invité

Ray n'était pas dupe . Il savait fort bien qu'il ne soutirait pas le vrai prénom de la jeune demoiselle , mais il comprenait les craintes . Lui même , si dans un éventuelle peu probable , il aurait été un gogo-boy , il se serait donner un autre prénom que celui de Ray . Dans ce genre de métier , il faut faire attention à qui nous parlons . Mais plus Ray observait Nancy , et plus il lui semblait qu'elle était plus que capable de se défendre . Elle était peut-être une mutante ... pourquoi pas ? Il en était bien un lui . Et s ce n'était pas le cas , alors elle finirait par en devenir un lorsqu'il trouverait la clé de son Vaccin XY . Mais même si cela était un choix de la jeune demoiselle , il trouvait cela dommage qu'une belle femme comme elle puisse avoir un métier de ce genre . Du moins , elle n'était pas dans la rue en train de se prostitué et de coucher avec quiconque qui aurait accepté de faire appelle à ses services . Et la main de Nancy était très délicate . Il lui fit son sourire charmeur et libéra l'emprise de celle-ci ...

- Es-ce mal de discuter avec une danseuse à la vue de toute ?

Et Ray eu un léger rire car , même si on viendrait pour lui rappeler à l'ordre , il n'obéirait pas à des macaques . Rien sur Terre saurait lui faire obliger à se plier devant qui ce soit . Il ne possédait peut-être pas de pouvoir extraordinaire tel que faire bouger les choses par la pensée , créer des champs de force ou brûler une personne sur place , mes ses yeux pouvait lui permettre d'anticiper des attaques . Et ses Rayons laser , bien placer , pouvait mettre hors d'usage le membre viser . Le petit n'était pas médecin pour avoir coucher avec un professeur ou demander à ses parents de soudoyer les directeurs d'école comme bien de petit enfant de riche . Il eu alors une petite question rigolote a poser ...

- Alors ... à quand me demander vous si se sont des vrai ? dit-il en pointant ses yeux .

Ray avait l'habitude de se faire demander par les gens où il avait prit ses verres de contactes qui était , selon beaucoup de gens , très bien réussi .

Invité

Même si l'homme qui s'était assit à ses côtés n'était pas dupe, Susan savait que lui dire son vrai prénom n'aurait servit à rien, sauf si elle avait su qu'il s'agissait en vérité de son frère, qu'elle avait tant cherché en vain. Toujours est-il qu'elle avait l'obligation d'être prudente avec son nom de bar et celui qui la nommait vraiment. Elle savait que l’homme présent n’était en rien malpoli ou vulgaire, mais cela n’en faisait pas un ange non plus. Même si savoir qu’il était un mutant mettait Susan à l’aise, elle lui rendit son sourire lorsqu’il le lui lança, et fut heureuse de constater qu’il avait une poigne douce malgré son apparente musculature. Il lui posa la question étrange, de savoir si parler avec une danseuse était mal vu. Ceci dit, Susan ne put s’empêcher de rire, de lâcher un petit rire discret et cristallin dont elle avait le secret, et qui faisait mordre le sol aux jeunes hommes qu’elle fréquentait. Elle fut toutes fois déçut qu’il continue de percevoir Susan comme une vulgaire danseuse ou comme une prostituée, bien qu’il n’en laissa rien douter.

- Il n’y a ici rien de bizarre… Hormis vos yeux et ma tenue.

Un immense sourire fendit le visage de Susan, qui exécuta un petit clin d’œil amusé à l’adresse de son interlocuteur. Il était merveilleux, ou très intrigant, Susan en sut pas comment faire distinctement la différence. Il était poli, surement bien élevé et riche à la fois, mais il n’avait pas cette prétention qu’avaient tous les riches que Susan connaissait ou avait aperçut.
C’était drôle mais lui, il avait quelque chose de plus. Ses yeux, ah oui, rouges et profonds, des fentes les coupant en deux parts égales. C’était à la fois très étrange et très mystérieux. Alors que Susan s’était perdue dans ce doux regard, il lui en parla.

- C’est vrai, j’avoue que vos yeux m’intriguent beaucoup Monsieur O’Connor. Ils sont d’une rare beauté. Cependant, vous n’êtes pas le premier mutant que je croise, donc je ne suis pas vraiment impressionnée.

Elle saisit son verre entre ses mains et le rendit transparent, avant que ce dernier redevienne opaque et bien visible. Susan s’assura que personne n’avait vu son petit tour et reporta son attention sur Ray. Elle lui fit un sourire malicieux et murmura :

- Vous n’êtes pas seul ici Monsieur O’Connor.

Invité

Ray fixait cette douce femme qui travaillait dans un endroit qui ne la rendait pas à son avantage . Il l'aurait plutôt vu comme professeur ou bien , tout simplement comme une vendeuse . Mais , les choix des gens sont divers et Ray était qui pour juger les gens ? Lui même était un mutant et avec son pouvoir , il aurait pus choisir devenir un criminelle , un type arrogant ou bien , un idiot fini , sans avenir et qui se plaint sur son sort . Non , Ray n'était pas une personne de ce genre . Il avait du caractère et il se refusait de devenir pire qu'un humain . Il ne se pensait pas supérieur au autres , mais la nature faisait les mutants ainsi , alors il devait faire profité de ses pouvoirs au mortel . Cela le répugnait de voir des mutants attaquer d'autre mutant ou des humains pour une question de supériorité . Si il aurait pu , il aurait pu rendre les gens normaux ... mais ses idées étaient différente . Rendre un monde meilleur et les gens égaux . Avec leur pouvoir , non seulement ils pourraient rendre le monde au mieux , mais il pourrait rendre LEUR vie au mieux . Ray savait que ce rêve était utopique , mais , si nous avons la chance de rendre quelques chose d'irréalisable , possible ... es-ce normal de saisir cette chance ?

Le rire de Nancy était doux pour ses oreilles et il aurait continuer à entendre cette femme rire ... mais son sentiment sur Kate était plus fort ... il savait qu'il tombait amoureux petit à petit d'une femme qu'il ne connaissait pas encore vraiment , mais là n'était pas l'importance . Alors , c'était ce qui l'empêchait de se laisser séduire un peu trop par la dame . Et il rit sous la réponse de Nancy . Le rire de Ray était moins cristallin par contre . Difficile avec une voix grave .

- Certes ... et je ne crois pas que se sont vos habits de tout les jours ... malgré qu'ils sont sexy ... Et bien quoi ? Je suis peut-être le prince charmant , mais je reste un homme malgré moi , ha ha ha ...

Et Ray fit son sourire de charmeur . Il passait un bon moment avec cette femme . Nancy , si c'était réellement son prénom , était très différente des autres femmes . Elle était belle , intelligente et possédait du caractère . Et lorsqu'elle lui dit qu'elle était habituer avec les mutants , il resta légèrement bouche bée ... elle avait donc comprit immédiatement . Il laissa sortir un petit rire et lorsqu'elle fit disparaître le verre de ses mains , Ray fut surpris ... L'invisibilité ? Elle était donc une mutante .

- Woaw ... c'est la première fois que je vois cela ...

Et Ray fit alors son tour de passe passe et fixait la salle . Il regardait donc ici et là pour trouver quelques chose à passer au rayon X ... Il tourna fini alors par tomber dans les vestiaires des filles . Certaine se changeait et d'autre s'embrassait ou se préparait . Mais c'était pas ce que Ray chercher ... il chercha dans les vestiaires et regarda les portefeuilles des filles dans leur bourse jusqu'a tomber sur celle qui l'intéressait ... Susan Storm ? ... étrange ... c'était le même prénom que sa soeur ... Mais son amie n'avait pas pus avoir plus d'information . C'était comme si quelques choses les protégeait de tout ... Il se pencha alors vers Susan et murmura :

- Vôtre secret est bien garder avec moi , mademoiselle Storm ...

Et il eu un petit sourire . Il avait un autre pouvoir , mais il ne pouvait pas réellement l'exposer ainsi et de la sorte , de peur de se faire prendre .

Invité

Parfois, l’interlocuteur de Susan semblait pensif, ou un peu rêveur. Ah, rien n’était aussi beau et mignon qu’un penseur, qu’un doux rêveur qui songe aux jours meilleurs. Elle sourie pour elle-même et accueillit la remarque ironique de Ray avec un nouveau petit rire. Il était charmant, et classe à la fois. C’était rare, de nos jours. Mais Susan était assez intelligente pour en profiter et avouer qu’elle passait un bon moment avec cet inconnu, dénommé Ray.
Lorsque Susan lui fit la démonstration, il fut particulièrement étonné, prétextant qu’il n’avait jamais vue cela auparavant. Cela fit rire Susan, qui, à l’Institut, côtoyait des individus beaucoup plus impressionnants. Elle garda pour elle la capacité de créer des champs de force, l’invisibilité ça faisait déjà beaucoup ! Elle observa avec intérêt la façon avec laquelle il examina la salle. Il semblait être à la recherche de quelque chose. Mais lorsqu’il se repositionna sur sa chaise, il reporta son regard brûlant sur celui de Susan. C’est là, alors que rien ne l’y préparait, que Susan entendit ce qu’elle ne voulait surtout pas entendre ici. Son vrai nom. Elle n’avait pas rêvé, il avait prononcé exactement un « Storm ». Elle ouvrit de grands yeux, et déglutit avec difficultés. Il s’était penché, était resté naturel, à la fois charmant, doux et calme. Mais le cœur de Susan se mit à battre la chamade. Comment pouvais-t-il savoir ? Il la connaissait ? Il la suivait depuis longtemps ? Il l’avait peut être espionné ?
Elle se racla la gorge, eut un sourire coincé et reprit doucement la parole.

- Je… Je vous demande pardon ?

Une immense angoisse envahissait Susan au fur et à mesure que son interlocuteur la regardait. Lui semblait détendu. Susan, elle, se sentait mal, une furieuse envie de vomir lui prit, ainsi qu’un sentiment d’impuissance, comment quelqu’un présent dans ce bar savait son vrai nom. Elle décida, voyant que son interlocuteur semblait sûr de lui, d’esquiver la phrase. Mais rien ne lui permis de le faire. Elle resta figée, tendue comme un arc. Elle tenta une autre approche du problème.

- Vous devez me confondre avec quelqu’un d’autre, monsieur O’Connor. Tout le monde ici sait que je m’appelle Nancy.

Invité

Ray savait qu'ici il ne pouvait pas donner le vrai prénom à la jeune femme et aussi ouvertement , c'était pourquoi qu'il lui avait souffler à son oreille . Il ne croyait pas alors que cela allait créer un énorme sentiment de malaise , mais Ray ne s'en sentait pas gêner . Au contraire ... c'était sa seule façon pour lui de démontrer son pouvoir , mais Susan fit alors l'autruche et semblait faire croire à Ray qu'il se trompait . Il sourit et il devait alors lui exposer qu'il ne se trompait pas . Il se pencha de nouveau pour lui donner tout les informations qu'il avait lut sur la carte de Susan et reprit sa place . Il voyait la stupéfaction sur son visage , et ce , même si elle tentait de prouver le contraire . Il dit alors tout bas .

- Je peux voir près de cent mètre et je peux voir a travers de tout ce que je veux ... je possède des yeux à rayon X ... mais je ne divulguerai aucunement ton nom ... et en riant , Ray dit alors à la jeune femme ... c'est étrane , vous possédez le même prénom et nom que ma soeur ... enfin , je la connais pas , mais je sais qu'elle s'appelle comme vous ...

Quel erreur de sa part d'avoir dit cela ... mais , était-il ici pour faire attention à ce qu'il disait ou pour avoir une discution avec une femme ? ... Mais , il remarquait bien la surprise sur le visage de la jeune femme et il devint alors rouge comme ses yeux et il se sentait mal ... Il avait besoin d'apprendre comment parler avec les femmes , de sortir un peu plus souvent de son laboratoire pour se connecter plus souvent avec le monde extérieur . En fait , cela lui aurait aussi permit que ce n'était pas tout les humains sur la terre qui était des imbéciles

- Dé ... désoler ... je n'ai pas l'habitude de converser avec une femme ... si vous connaitriez mon histoire , vous comprendriez ...

Invité

Visiblement, Ray n’était pas dupe, il n’avait pas vraiment gobé le mensonge de Susan, et dire qu’elle s’appelait Nancy semblait enfoncer la situation encore plus profondément dans la boue. Il la regardait fixement, droit, imperturbable, sûr de lui, froid. Susan, elle, était perdue, se sentait un peu mal et ne comprenait plus de quoi il était question. De plus, son interlocuteur connaissait son vrai nom, alors que Susan avait prit garde de ne rien divulguer à qui que ce soit à propos de son véritable nom, encore moins sur sa particularité. Mais là, ce soir, qui devait être un jour normal, un homme débarquait, s’affichait comme mutant, s’approchait de Susan, lui disait ses quatre vérités et parlait de sœur. Non, ça allait beaucoup trop vite pour Susan. Elle cligna des yeux, après avoir décrit ses pouvoirs, ce dont Susan fut intéressée, il parla d’une sœur, qui avait le même prénom et le même nom qu’elle… Il s’excusa vivement d’évoquer comme cela son passé, mais il lui fit comprendre que si elle savait son passé, elle comprendrait surement mieux. Susan resta bouche bée, mais parvint, non sans mal, à articuler sa question :

- Qui êtes-vous ?

Elle posa une main fébrile sur le bras de son interlocuteur, elle avait plongé les yeux dans les siens, elle était en train de se faire une idée sur son interlocuteur, était-ce ? Non, c’était trop beau pour être vrai. S’il avait une sœur du même nom, ce pourrait-il que ? Ce serait incroyable…

- Ray O’Connor, avez-vous été adopté ?

La main toujours posée sur le bras du jeune homme, Susan le regardait fixement, u=incapable de se détacher de son regard, de son visage, à la recherche d’un quelconque trait de similarité, était-ce vraiment possible qu’il s’agisse de son frère ? C’était à peine croyable… Il fallait que Susan écoute son histoire, lorsqu’il aurait fini, elle pourrait conclure sur une idée, mais elle ne voulait pas vraiment y croire, c’était si douloureux…Et pourtant, elle ne le savait pas encore mais son frère était peut être là, en face d’elle, après dix-neuf ans d’absence…

Invité

Ray ne pouvait pas savoir que cette femme était sa soeur , même si son désire d'enfin retrouver sa soeur était très grand . Il ne pouvait que espéré que la chance sois enfin avec lui et de plus ... la jeune femme semblait intéresser et perturbé par les affirmations du docteur . Ce pourrait-il qu'elle aussi aurait perdu une personne et qu'elle le chercherait ? Tout arrivait vite pour Ray aussi ... La rencontre de Kate et le fais qu'il pensait souvent à elle . La découverte de cette société qui ouvrait ses portes de nouveau pour répété la même tuerie . Cette partie de sa vie était encore douloureuse en lui . Et le fais que cette femme lui demande qui il était fut déstabilisant . Pourquoi lui demandait-elle cela ? Susan savait qu'il était un mutant ... à moins que ... Et lorsqu'elle lui demanda de lui raconté son histoire ...

- Je ne peux pas vous raconter en détaille tout ... car j'ai été kidnapper alors que j'étais a peine un nourrison . Je garde vaste sur la suite , car vous avez pas besoin d'en apprendre plus ... mais j'ai appris plus tard que j'ai une soeur au nom de ... Susan Storm ... et puis bref ... cela remonte à vingt-cinq ans pour moi ... ce qui est dix-neuf pour vous ... j'ai vue aussi vôtre âge .

Et Ray ne dit plus un mot . Tout cela l'enfonçait encore plus dans son désire de ses retrouvailles . Il leva alors le visage vers Susan ...

- Si tu ma demander cela ... c'est qu'il y a quelques chose , je me trompe ?

Invité

Susan patienta, afin d’avoir la réponse de son interlocuteur en entier. Hélas, ce qu’elle entendit lui fit un tel choc qu’elle laissa échapper une plainte, suivit d’un sanglot aigue et d’un flot de larmes sortant de ses yeux. C’était étrange et soudain, surtout que Ray n’avait sans doute prévu ce genre de réaction. Susan posa sa tête entre ses mains, pleurant de tout son corps, toutes ses larmes, ces douloureuses larmes qu’elle attendait de pouvoir faire sortir. C’était comme un purgatoire, une libération, elle en était certaine, la personne qui se trouvait devant lui était son frère… Il ne pouvait y avoir de doutes… C’était sûr. Cela faisait quoi ? 19 ans, mais pour lui, combien cela faisait-il ? Il répondit à sa question sans même le savoir, et Susan repartit en larmes. Quelques serveuses se tournèrent vers elle, l’air inquiet, semblant vouloir savoir si c’était son interlocuteur qui lui faisait du mal ou s’il l’insultait. Susan leur fit un bref signe que tout allait bien, mais repartit de plus bel à pleurer à chaudes larmes. Elle s’essuya les yeux doucement, eut un certain mal à se tourner vers Ray, avant de fondre en larmes à nouveau et de se précipiter dans ses bras. Elle ne se préoccupa pas de savoir s’il l’avait ou non repoussé. Elle le serra de toutes ses forces, ce qui devait sembler ridicule pour lui, un grand costaud pareil. Elle enfouie sa tête dans l’épaule de ce jeune homme, qui était en fait son frère, son grand frère, son unique famille. Peut être que lui ne comprenait pas, si ? Elle releva péniblement la tête pour croiser son regard aux couleurs flamboyantes du rubis, de longues larmes coulaient toujours sur les joues rougies de Susan, et elle daigna enfin parler…

- Vous êtes… Tu es… Je…

Une larme perla sur sa joue et s’écrasa sur ses jambes, devant elle, se dressait ce qui restait de sa vraie famille, l’unique personne qui importait vraiment, celle en qui Susan avait fondé tant d’espoirs, elle l’avait enfin retrouvé ! Elle posa une main tendre sur son visage, il était beau, il devait ressembler au vrai père de Susan, elle ne le connaissait pas, ne l’avait jamais connu, ne le connaîtrait jamais. Ses parents adoptifs, l’accouchement sous X, son frère perdu… Tout disparaissait, pour laisser place à cet homme, Ray O’Connor, qui n’était autre que son frère… Elle se remit à pleurer, c’était si bon de voir que sa famille n’avait pas totalement disparue !
Il était là, elle l’avait enfin retrouver… Elle reposa sa tête sur son épaule et murmura :

- Mon frère…

Invité

Devant tout ces éclats et les larmes, Ray ignorait quoi dire, quoi faire et quoi répondre. Il laissa donc Susan pleurer et essuyez ses larmes. Il l'aida même. Que pouvait-il faire de plus ? Mais c'est lorsqu'elle ce mit à lui dire qu'il était ... et puis rien qu'il commença à capter. Mais ? Impossible de trouver ça soeur ainsi et de la sorte. C'était même rapide pour Ray ... Il arrivait de l'Europe pour vouloir détruire cette société. Il espérait revoir Kate ... et là, il tombait sur sa soeur, alors qu'il venait presque de la voir ... enfin ! Il ne put repousser cette pauvre jeune fille... Mais cela expliquerait pourquoi elle portait le même prénom que sa propre soeur et si Ray avait apprit une chose, rien n'arrive pour rien. Le destin est si complexe et si organiser qu'on sait jamais ce qu'il nous réserve. Il laissa donc la petite reprendre son calme et elle tomba à genou. Il se pencha pour l'aider à revenir droite, mais elle en profita alors pour l'appeller '' Mon Frère '' ... Se fut un choc et Ray tomba lui aussi. Il ne savait plus quoi penser... mais il voulait être sûr. Même si il voulait rassurer la petite ... il dit :

- Je ... je sais pas quoi penser... Mais pour être sûr, voudrais tu qu'on passe un test d'ADN ? J'ai tout ce qui me faut chez moi ... Je ...

Ray ne pouvait plus parler. Il avait une énorme chance que cette jeune femme puisse être sa soeur et il voulait en être sûr et certain. Il se releva donc, aidant Susan et il attendit la réponse de la petite. Sur le coup, il parru un peu distant et froid. C'était normal. Il avait passer vingt-cinq ans sans famille et là, elle lui tombait deçut comme cela. Mais en fait, Ray ne c'était pas encore préparer à l'éventuelle découverte de sa petite soeur. Des larmes semblaient vouloir couler, mais Ray les retenaient. Il voulait être certain...

Invité

Bien qu’il fût aussi désarçonné qu’elle, Ray aida Susan à se relever. Du moins, essaya t-il avant qu’elle ne dise le mot de trop, celui où Ray s’écroula lui aussi, sous le poids des mots. Dire « Mon frère » semblait un peu rapide, et il fut perturbé par les mots qu’avait laissé échapper Susan. Il semblait froid et distant, mais Susan ne le nota pas, c’était normal, elle s’effondrait en larmes, ce n’était pas pour autant qu’elle n’était pas un peu froide à l’idée qu’il fallait être immédiatement proche de la dernière personne que représentait sa famille ! Il avait les yeux rouges, non seulement la pupille l’était mais le blanc de ses yeux s’était irrité, et il semblait à deux doigts de pleurer. Cependant, il n’en fit rien. Il lui expliqua, tout en le soutenant, qu’il voulait passer un test ADN pour en être certain. Il avait raison, ce n’était pas parce que Susan avait le même nom et prénom que sa sœur, qu’elle l’était. Elle désirait tout autant que lui être certaine de tout ça. Elle finit par se relever, sécher ses larmes d’une main maladroite et par dire :

- D’accord.

Elle espéra de toutes ses forces que tout irait bien, et que ses espoirs n’étaient pas fondés. C’était tellement bon de pouvoir espérer que sa famille n’est pas totalement disparue, elle lui montrerait les dossiers cryptées, les photos d’elle petite, toute l’étendue de ses pouvoirs, son parcours, ses amis, ses craintes, sa douleur… Elle afficha un pâle sourire repoussa son verre du comptoir et replongea dans ses pensées. Qu’allait-il se passer ?

[Hj : Excuse moi du retard, et de la qualité de ce Rp.

Invité

- Laisse-moi aller parler avec les amis que je suis venu, profite s'en pour chercher tes affaires ... Si nous sommes bien de la même famille, je dois donc te montrer tout le chemin que j'ai fais jusqu'ici !

Ray fit un demi-sourire et alla voir ses amis pour expliquer la situation. Au début, ses amis crurent qu'il ramenait une fille pour coucher, mais lorsqu'il leur avoua qu'elle était peut-être sa soeur de sang... un long silence se fit et Ray se retourna pour attendre Susan. Lorsqu'elle fut de retour, il la guida vers sa décapotable. Déjà là, l'impression serait du style '' Ouais, il doit avoir vraiment de l'argent''. Mais Ray s'en fichait. Il ne voulait pas que cette femme se sente mal à l'aise et ne cherchait pas à prouver quoi se soit. Il lui ouvrit la portière pour la faire s'asseoir et la referma, comme un gentleman et se dirigea vers le côté du conducteur. Il prit place et invita sa soeur à s'attacher et décolla.

Partie, il se dirigea vers son hôpital privé. Il ignorait comment les filles agiraient en voyant la petite arriver. Et lorsqu'il arriva, il débarqua de la voiture et invita sa '' soeur '' à le suivre. Donc, il entra, ce qui fit déclencher le détecteur de mutant et sa secrétaire Rihanna fixait toujours son écran et dit :

- Vous vous ramenez une conquête d'un soir docteur ?

- Rihanna ... je vous pris de garder pour vous vos sarcasmes ...

Et Ray conduit Susan dans un laboratoire. Il alla chercher tout le kit nécessaire pour prendre des prises de sang et procéda avec la petite. Il n'avait pas besoin de faire surgir les veines bleus. Il regarda et trouva la veine avec son regard X et piqua la veine avec délicatesse et pris du sang à Susan. Il procéda avec lui aussi et commença alors les tests. Cela allait durer cinq à dix minutes ... Il fixa Susan et dit :

- Si nous sommes bel et bien frère et soeur ... que va t-ils nous arriver ?

Il attendit la réponse de Storm et regarda les tests lorsqu'ils furent fini ...

- Positif ... nous sommes bel et bien frère et soeur ..

Et il éclata alors en sanglot cette fois et prit Susan dans ses bras.

Invité

Il lui sourie, prétextant qu’il avait à prévenir ses amis, avant de l’inviter à prendre ses affaires et à quitter le bar. Elle acquiesça en silence, d’un simple hochement de tête, et alla saisir ses vêtements, elle enfila la robe qu’elle portait en arrivant, jetant sa tenue de cowgirl dans son sac. Elle changea ses chaussures de cowboy pour enfiler les escarpins qu’elle s’était achetée il y a peu. Quand elle ressortit, elle avait l’air d’une fille un peu plus normale que dans son costume de strip-tease. Elle fit signe aux serveuses qu’elle quittait le bar avant de rejoindre Ray. Ses amis rigolaient et reluquaient Susan avec de grands sourires moqueurs, mais lorsque Ray reparla, plus aucuns d’entre eux ne parlaient, ni ne souriaient. Susan déglutit difficilement et suivit Ray, qui la conduisait dehors. Elle se figea devant la magnifique décapotable du jeune homme, visiblement, il n’avait pas les mêmes moyens que Susan, c’était bien ceci dit, il ne vivait pas à la rue, il devait avoir une grande maison, il avait déjà un hôpital privé. La route fut très courte, ou très longue, Susan avait perdue un peu le fil du temps depuis que Ray lui avait parlé. Elle ne bougea que lorsqu’il l’invita à descendre de voiture et à le suivre.
Son hôpital était grand et vaste, spacieux et luxueux, sans pour autant être « too-much ». Elle suivie ses pas à l’intérieur, où une secrétaire, à l’allure hautaine et froide lança un sarcasme à Ray. Ce dernier l’envoya balader d’une réponse encore plus froide que la stoïque secrétaire qui dévisageait Susan avec dédain. Susan baissa la tête et suivie Ray. Ses talons lui semblaient faire un bruit immense dans les couloirs.
Il lui ouvrit la porte d’un laboratoire spacieux où se trouvait divers tubes à essai et autre matériel pour divers choses scientifiques auxquelles Susan n’avait pas la tête à penser. Il procéda à l’insertion de l’aiguille dans sa veine. Susan grimaça légèrement mais ne dit rien. Il lui posa une question très intéressante, mais elle ouvrit que délicatement la bouche pour la dire, c’était comme si ses mots lui brûlaient la gorge pour sortir.

- Oh et bien, nous ferons connaissance… Nous apprendrons à nous connaître... Mais rien n'est encore certain...Je...

Au fond d’elle, Susan avait l’impression d’avoir toujours connue Ray, elle n’en savait trop rien, c’était le genre d’impression fondées sur de faux espoirs. Mais là, ils auraient le verdict très bientôt. Il s’exécuta la piqûre sur lui-même avant de débuter les tests. Susan resta assise, le bras douloureux et le cœur battant à mille à l’heure. Un silence de plomb s’était installé entre elle et Ray, patientant pour le verdict, la vérité, que Susan attendait depuis maintenant dix-neuf ans. Elle se tortilla les doigts jusqu’au moment où Ray se rapprocha d’elle. Il avait une expression grave sur le visage, semblait triste ou choqué. Et s’ils n’étaient pas frères et sœurs ? Et s’ils n’avaient rien en commun ? Que faisait-elle là ? Elle était à deux doigts de se lever et de partir en courant lorsqu’il parla.

- Oh…

Il fondit en larmes contre elle, la serrant dans ses bras avec force et douceur mélangées. Susan grimaça, avant de joindre à celles de Ray, de son frère, ses larmes lourdes et froides. C’était un si grand moment, elle venait de tout retrouver, le bonheur, un frère, de la famille, un soulagement immense lui desserra le cœur. C’était si grand, si attendu. Elle avait patienté dix-neuf ans, et voilà que son frère se tenait là, dans bras, pleurant à chaudes larmes, tout comme sa sœur. Elle lui releva la tête, lui caressa la joue, oubliant les larmes qui y coulaient, lui adressant un sourire magnifique. Elle lui déposa un baiser sur le front, avant de remettre son étreinte autour de son frère.

- Nous avons tellement de choses à nous dire, grand frère…

Invité

[

... désoler de ne pas avoir encore répondu... je n'avais pas encore remarquer ta réponse avant cette semaine... ne m'en veut pas trop... ]

Que pouvait dire le jeune docteur devant sa propre sœur, sa seule famille qui lui restait ? Il ne disait rien en faite... Monsieur qui ne se laissait rarement ravager par ses émotions ne pouvait s'empêcher d'avoir l'air d'un enfant de cinq ans qui venait d'apprendre une nouvelle triste. Mais dans ce cas, la nouvelle était plus que belle, elle était merveilleuse. Et c'est à ce moment que Ray comprit qu'il n'avait jamais prit le temps de trouver quoi dire ou quoi faire si il trouverait un jour sa sœur. En fait, il ne s'attendait pas la trouver dans un bar striptease. Et Susan avait raison... ils avaient des choses à se raconter, mais pas ici. Ray se leva donc, prenant la main de sa soeur et la traina vers sa cuisine pour se faire un café.

- Tu veux un café ?

Et Ray prépara du café sans vraiment parler. Il était sous le choc. Ses sentiments étaient mélanger entre la surprise et le bonheur. Ray alla prendre place devant sa soeur et la regarda réellement cette fois. Elle était très jolie et il remarqua quelques liens de familiarité avec lui. Cette femme paraissait si fragile, mais Ray savait qu'elle était certainement dans la possibilité de se défendre. Mais la question qui trotait dans sa bouche : de quoi parler avec une soeur qu'ont vient de découvrire ? ... Facile, parler de nôtre vie, qu'es-ce qu'elle a été... et Susan voulait sans doute savoir où sont frère avait passer durant vingt-cinq ans de sa vie...

- Tu veux sans doute savoir où j'ai passé ma vie, après avoir été kidnapper... il se leva entre temps pour se faire un café et revint avec celui de Susan, déposant le lait et le sucre sur la table. Bon... comme tu dois savoir, j'ai été kidnappé alors que j'étais qu'un nourrisson... enfin, c'est ce qu'ils mon dient. Ces gens étaient des scientifiques de Hitler... et je sais que c'est presque incroyable... Mais ces personne étaient des chercheurs de Hitler qui s'intéressait beaucoup au pouvoir mutant. Il voulait trouver un moyen pour en posséder lui aussi, c'est pourquoi que certaine information disent qu'il s'intéressait à l'ésotérisme. Donc, au départ nous étients cent... mais lorsqu'ils nous on injecter ce venin, seulement dix ont survécu... cette femme à la réception que tu a vue, fait partie de ces dix personne, ainsi que les quatre autres employer qui travaille pour moi. Les cinq autres ont simplement disparu...

Il se retourna alors, defit sa cheminse et la baissa pour montré son omoplate à sa soeur. Elle put voir un code barre avec les chiffres : 075-1-74, ainsi que des cicatrices par dizaine.

- Nous possédons tous chacun ces codes de barre. Si tu soustrait les chiffres, cela te donne zéro et Ray, en japonais, signifie ''Zéro''. Nous avons tous chacun un code barre. Le chiffre désigne la première personne qui c'est fait injecter, de un à cent. Je suis le tout premier...

Il se retourna en reposant sa chemise sur lui et regarda sa soeur.

- Ceux qui n'ont pas survécu son mort... J'ai vécu jusqu'à mon adolescence dans cet endroit secret. J'ignore à quel âge j'ai été libéré, mais nous avons tous été apporter à une famille adoptive. Mais, j'étais très difficile avec les gens... Je suis marqué à vie de cette partie de ma vie. J'ai été un élève X-men pendant un certain temps, mais je préfère travailler pour aider l'humanité et partager mon pouvoir aux humains. J'ai toujours lu et étudier les livres de médecine, du corps humains et sur le génétique. Voila à quoi se résume ma vie... maintenant, comme tu peux voir, ma vie est beaucoup mieux qu'elle la été. Je suis très connu dans le monde de la médecine. C'est un secret pour aucun de mes confrères, sur le fait que je sois un mutant. Et je suis très demander aussi...

Et Ray rougit un peu, craignant que la vie de sa soeur ne sois pas aussi remplis de belle chose...

- Et toi... raconte moi ton histoire...

Invité

[Désolé du retard...]

Susan se laissa entraînée par la main, dans la cuisine du jeune homme. Elle s’assit sur une chaise bar libre et laissa son regard bleu parcourir la pièce, c’était spacieux et lumineux, l’atmosphère y était chaleureuse et paisible. Susan saisit le café que lui tendit Ray, elle lui adresse un merci de la tête et un sourire timide. Ils étaient frères et sœurs. Que pouvait-on bien dire à un semblable que l’on n’avait jamais vu ? Susan plongea son regarda dans l’abîme du liquide noir qu’elle tenait dans sa main avant de relever la tête, lorsque Ray lui adressa la parole. Six ans séparaient les deux personnes en présence, mais leurs traits familiers et leur sang les reliaient comme une corde indestructible. Elle écouta avec attention le récit de la vie de Ray jusqu’ici. Susan était fascinée par tant de bravoure à supporter une telle douleur.

Elle examina le tatouage avec les nombres sur le dos musclé de son frère et fut abasourdie par ce qu’il avait vécut. Il semblait si solide après toutes ses épreuves. Il était riche, connu et possédait une renommée internationale. Il avait même été un élève x-men !
Lorsqu’il lui demanda son histoire, Susan eut un moment d’hésitation, puis, dans un mouvement lent et gracieux, reposa sa tasse de café et commença son récit :

- Je suis née six ans après toi, de la même mère qui a accouché sous X une deuxième fois dans le même hôpital. Toute mon enfance fut une merveille, même si ce fut un immense mensonge. La seule famille que j’ai eut était celle qui m’avait adopté. J’ai grandit en leur compagnie, la famille Storm m’a élevée comme sa propre fille, avec amour et générosité. Mon père était chercheur à la Nasa et ma mère était secrétaire.
Ils m’ont choyé, protégé et éduqué avec bonté et patience. Tout était rose dans ma petite vie d’enfant, j’avais des jouets, des amis et une famille.

Des larmes montèrent aux yeux de Susan, qui s’empressa de continuer.

- Mais tout s’est entaché le jour où je suis tombée dans une cuve de substance plasmique au labo de mon père. Il m’en a sauvé, mais les effets secondaires sont apparus quelques temps après, lorsque j’ai propulsé toute ma salle de classe lors d’un éternuement, ensuite je suis devenue invisible et là mes parents se sont ruinés pour me trouver des centaines de médecins ultra-chers qui n’ont finalement rien fait, si ce n’est sucer l’argent de mes pauvres parents affaiblis…Alors quand Professeur Xavier est venu, c’était comme un miracle, j’allais pouvoir comprendre et apprendre à gérer tout cela. C’était un jour merveilleux…

Susan laissa une larme couler sur sa joue. Tant pis, tout ça faisait remonter des tas de choses.

- Mon père est mort il y a quelques mois d’un cancer, et ma mère m’a révélée ce jour là que j’avais été adopté, avant de me laisser une petite somme d’argent et de disparaître dans la Nature, laissant pour unique adieu une lettre…
A court d’argent, j’ai cherché des jobs, mais la plupart étaient déjà pris. Je n’ai pas voulu demander de l’argent, même si je sais que tout le monde m’en aurait donné, je n’en voulais pas, je ne veux dépendre de personne… J’ai cherché du boulot, j’ai trouvé un post de strip-teaseuse au Western Pub, où l’on m’a prise parce que j’étais jolie et que je savais danser. Tu sais, j’aime beaucoup danser, même devant ces souillards. J’ai trouvé bons nombres d’amis à l’Institut et presque une famille…
Et maintenant je te trouve toi, j’ai finalement un peu de chances, mais à côté de ton histoire, je suis faible et minuscule, tu as subis tant de choses.

A nouveau une larme coula sur sa joue et elle adressa à son frère un sourire magnifique… Il était enfin là, le frère tant voulu et chercher, celui qui représentait maintenant sa famille.

» En show
» My Show [Aaron + libre]
» Ghinzu's Home, The Ghinzu's Horror Show (Ctrl C Ctrl V)