Entre la vie et la mort( pv Sarai Hutt) terminer

La nuit était tombée sur la ville, c'était peut-être mieux ainsi. Sarai aimait la nuit comme elle aimait la pluie. Elle était le signe du repos, de l'obscurité avant la lumière de l'aube. Elle avait passé l'après-midi en ville, chose difficile pour elle. Depuis sa mésaventure avec Efledea, la jeune fille n'aimait plus s'aventurer seule dans la zone urbaine, en tout cas, les lieux qu'elle ne connaissait pas ou qui étaient mal fréquentés. Une peur absurde ? Sans doute.
L'adolescente méchès était allés à la bibliothèque, puis à une librairie pour acheter un nouveau livre. Preuve qu'elle avait changée depuis son arrivée à l'Institut : elle avait même fais du léche-vitrine ! Elle qui avait toujours détesté cela, elle en avait fait ! Le pantalon et la veste noir avec le pull rouge bordeau, Onde donnait l'impression d'une lycéenne comme les autres. Mais elle ne l'était pas et cela ne la dérangeait absolument pas. En tout cas, plus maintenant. Elle marcha jusque dans un parc, où elle respira le peu d'air qui n'y était pas pollué. Pas pour rien qu'elle n'avait jamais vraiment aimé les grandes villes...
Elle s'assit sur un banc où se trouvait déjà une autre jeune fille. Celle-ci regardait vers un grand batiment, l'air triste.

A cause de sa trop grande timidité, Sarai n'osait pas l'aborder. Alors elle regarda dans la même direction, essayant de deviner ce qu'il pouvait s'y passer à l'intérieur.

Mon portable sonna, je mis un bout de temps avant de me rappeller que c'était "C'est beau la bourgeoisie" ma sonnerie de téléphone, je le pris tremblante, et je répondis :
_Oui ? Allô ?
_C'est la mère de Mavéa ! Comment va-t-elle ? Elle c'est réveillée ?
_Ah ! C'est vous madame Turne ... non ... désolé ... elle n'était pas réveillée quand ... j'étais avec elle ... je suis désolée de ce qui lui est arrivée madame ...
_Merci, Iris ! Mais çà va à l'institut ?
_Oui ... les autres élèves sont sympas avec moi ... enfin ce que je connais ...
_Et tes pouvoirs tu arrive mieux à les maîtriser ?
_Oui ... merci de vous inquèter pour moi ... mais là je vais devoir raccrocher je vais rentrer à l'institut ... je reviendrais demain la voir !
_Très bien bonsoir !
_Au revoir madame !
Je raccrochais contrairement à ce que j'avais dit à madame Turne, je ne bougeais pas de mon banc, je fondis en pleure je m'inquété pour Maéva, c'était elle qui était devenue ma première amie, elle m'avait toujours soutenue, et elle m'avait appris à me maîtriser contre les insultes des autres, elle m'avait appris la perceverence, et là elle était dans le coma .

(HRP : désolé pour le nom de la sonnerie mais c'est la première chose qui mes passais par la tête)

La nuit était bien calme, même un peu trop au gout de Sarai. Il n'y avait que quelques bruits, principalement des voitures, qui brisaient la plénitude du silence. ** Chaque ville a deux vies : le jour et la nuit et tant que l'on ne connait pas les deux, on ne connait pas la ville. ** La jeune fille regardait toujours le même batiment, blanc, triste. Elle se demandait pourquoi elle restait là, assise sur un banc à côté d'une étrangère au bout milieu de la nuit. La brunette savait qu'elle allait se faire gronder en rentrant de l'Institut car elle avait dépassée depuis longtemps les horaires de sortie. Cela allait mal se passer et pourtant. Et pourtant, elle restait là, assise à écouter les bruits de la nuit et regarder les lumières de la ville. Elle plia ses genoux et posa ses chevilles sur le bord du banc. Elle avait l'air d'une petite fille dans cette position. Elle écouta à peine la discussion au téléphone de la fille à côté d'elle.

Au bout d'un moment, l'adolescente de l'Institut entendit le bruit que faisait l'inconnue en pleurant. Des petites larmes coulaient le long de ses joues, laissant des traces salés. Onde tourna la tête vers elle, et lui parla doucement.

<< Ca va pas ? Vous voulez un mouchoir ? >>

Et elle sortit un paquet de sa poche de sa veste noire et tendis un mouchoir à la jeune fille. Et l'adolescente attendit dans le silence entrecoupé par les larmes.

Je regardais l'adolescente, et lui prit en tremblent un mouchoir, je lui souris timidement, les larmes coulaient et tomber par terre, on pouvait entendre un "plic ploc" régulier que faisait les larmes en tombant sur l'herbe :
_Merci ... beaucoup pour le mouchoir ... tu es là depuis combien de temps ?
Je savais que j'allais me faire gronder quand je reviendrais à l'institut car j'étais censée être rentrer depuis longtemps mais bon pas grave, je m'enfichais royalement . L'une de mes amies étaient dans le coma à l'hôpital et je serais capable de rester là pendant des jours et des jours, des nuits et des nuits, des semaines et des semaines, des mois et des mois, et des années et des années . Je m'inquétée pour elle est jétée sur qu'elle le serait pour moi si j'étais à sa place .


(HRP : Voilà je suis la petite soeur de la personne avec qui tu as commencer le rp donc j'espère que tu vas être d'accord pour que je continue le rp avec toi)

Merci ... beaucoup pour le mouchoir ... tu es là depuis combien de temps ?

<< Assez pour savoir que quelque chose ne va pas. >>
Juste une phrase, quelques mots. Pourquoi en dire plus ? Sarai ignorait depuis combien de temps elle était là, assise à écouter les bruits nocturnes de la ville. Dix minutes ? Vingts ? Comment savoir ? Et puis, à quoi bon ? Cela ne leur apporterait rien de le connaitre. Le regard de Sarai était sur le grand batiment avant de se reporter sur la jeune fille assise à côté d'elle.
<< Pleurer peut faire du bien quand cela nous aide à avancer. >>
Les yeux à nouveau fixé sur l'immeuble, le visage de l'adolescente paraissait serein. Un vent légers s'était levé, la température avait doucement baissé. C'était la nuit, quoi. Le bruit des voitures ce faisait de plus en plus rare, signe de l'endormissement de la ville. Le silence était presque reposant par rapport au bruit de la cité en plein jour.

[HRP: Désolé, c'est court je n'avais pas trop d'inspiration ]

Je regardais l'hôpital toujours, puis je regardais la jeune fille, et je lui souris :
_Je ... je crois que je t'ai déjà vue à l'institut Charles Xavier n'es pas ? Tu es donc une ... une mutante c'est çà ?! J'en suis une aussi, je ... je peux créer des, j'hésité à lui dire, ... je peux créer des ondes de choc et toi ? Si biensur tu ... tu es une mutante et que je ne me suis pas trompé .
Je mis ma main sous ma chemise, et touchais ma cicatrice que j'avais eu à la bibliothéque de l'institut pendant mon combat avec l'inconnu . Maintenant j'avais un problême à se niveau, je vomissais souvent du sang car mes organes ne pouvaient pas se reconstruire complétement . Je touchais du doigt ma longue cicatrice sur mon ventre, elle faisait une longue trace blanche sur ma peau mat . Je me demandais si mes parents me regardaient d'où ils étaient .

Signe que la jeune fille assise à côté d'elle allait mieux : le sourire qu'elle lui donna. Sarai fit aussi un petit sourire. Une réponse muette à un signe silencieux. La jeune fille aux cheveux bruns se raidit en entandant les paroles qui sortirent de la bouche de l'adolescente, pour se détendre aux dernières phrases. Sarai s'adossa au banc en regardant l'inconnue. Onde regarda autours d'elle, personne. Cela n'avait rien d'étonnant, à presque minuit personne ne songerait à se promener dans un park au milieu de New-York. Ce serait le meilleur moyen pour se faire agresser. Ses yeux retournèrent vers la jeune fille. En général, des yeux marrons paillettés de striés bleues-grises mettaient tout de suite la puce à l'oreilles de ses interlocuteurs. Mais, pas pour la jeune fille assise à quelques centimètres d'elle. Onde prit la parole, un sourire naissant sur ses lèvres.

<< Je suis effectivement une mutante, mais, à ta place, je ne crierais pas sous le toits que l'Institut héberge des gens différent de la normale. Cela pourrait nous attirer de gros ennuis. Je m'appelle Onde, je suis capable de faire des boucliers énergétiques qui me prôtegent. >>

Au loin, la cloche d'une église sonnait. La jeune fille regarda dans la direction.

<< Il est tard, il vaudrait mieux que je rentre. Je te propose de rentrer avec moi, si tu le souhaite et si tu es toi aussi de l'Institut.... >>

(HRP : Je fais à partir de maintenant avec "elle" et plus avec "je")


C'était vrai il était tard, et une cloche sonnait minuit . Il fallait rentrer mais elle n'avait pas vraiment envie de partir même si elle savait au fond d'elle qu'il fallait que elle parte . Elle réfléchis, se mordit la lèvre inférieur, hésita, regarda l'hôpital, regarda en direction de l'institut même si on ne pouvait pas le voir . Puis enfin ce décida et se leva :
_Bon ok ! On rentre à l'institut, j'espère que l'on vas pas se faire engueuler parce que l'on rentre tard . En faite pourquoi tu es venue à l'hôpital si je suis pas trop indiscret ?!
Une légère brise c'était levée, et soufflait sur l'hôpital . Iris mit son manteau et commença à marcher à côté de Onde . Elle se sentait triste de laisser son amie seule mais elle reviendrait le lendemain, et chaque jour si il le fallait . Elle espérait au fond elle, que le lendemain matin elle se réveillerait et que tous cela ne fut qu'un simple cauchemar, ou bien que Maéva fut réveillée et qu'elle sortirait quelques jours après et elles iront ensemble au cinéma comme à leurs habitude . Mais il ne fallait pas trop y compter .

Iris s'était levé et avait commençait à marcher, Sarai fit de même pour ne pas rester en arrière. Le vent se levant fit flotter ses longs cheveux ondulés, au rythme des pas de la jeune fille. Souriant légèrement, Onde calqua ses pas à ceux de sa nouvelle connaissance, tout en réfléchissant quoi répondre à sa question.

<< Je suis venu ici parce que c'est un des seuls endroits calme pendant la nuit à New-York, les autres sont plutôt malfamés. Je suis sortie presque toute la journée et je n'avais pas envie de retourner tout de suite à l'Institut. En fait j'ignorais complêtement que ce batiment était un hopital, pour moi cen'était quun batiment comme tout ceux que l'on trouve en ville. Blanc, triste. >>

Que dire de plus ? Pas grand chose, et puis l'adolescente n'allait se justifier envers une personne qu'elle connaissait à peine et qu'elle venait de rencontrer sur le pourquoi elle se trouvait là. Elle était venu dans le parc parce qu'elle en avait envie, pour respirer un peu d'air autre que le pollué que l'on mettait dans ses poumons quand on était dans le centre-ville.
N'empêche, elles faisaient un peu tâche, deux jeunes filles, mutantes de surcroit, dans un parc à minuit au bout milieu de la ville. Des cibles idéales pour les malfrats .... ou les anti-mutants. Enfin, elles ne risquaient pas grand chose avec leurs pouvoirs. Entre l'une qui créer des ondes de chocs et l'autres des boucliers énergétiques, ils faudraient surtout plaindre les agresseurs que ces deux pauvres et petites victimes qui le seraient pas tant que cela.....
Souriant à pleines dents, Sarai ne put empêcher un petit rire sortir doucement de sa gorge à cette pensée. C'est que la situation pourrait être très drôle à regarder.

Elle venait de se faire la remarque qu'une agression serait presque drôle si elle ne serait pas pathétique et maintenant voilà que des jeunes veulent les dépouiller Iris et elle. Simple coïncidence ? Ironie du sort ? Mouais, pas terrible. En tout cas, Sarai se retenait de rigoler, elle avat un fou de rire comme pas possible, impossible de se retenir. La jeune fille se tenait le ventre tellement elle riait. Elle aurait dû être effrayer, regarder si il n'y avait pas d'issue et à la place elle se marrait ! Depuis qu'elle était à l'Institut, la jeune fille avait changée mais, cela se remarquait surtout depuis l'attaque du bal, depuis cette soirée où elle avait perdu son grand-frère. Finalement, quand l'adolescente réussit à se redresser et à regarder la scène sans rigoler, ce fut avec un grand sourire des plus joyeux. Elle avait dû passer pour une folle aux yeux des autres mais, bizarrement, pour une fois, elle s'en fichait. L'avis de ces sales gosses qui se prenaient pour des durs ne l'interessait absolument pas. Onde s'en désinteressait royalement, ce fut donc avec ces pensées qu'elle prit la parole.

<< Vous vous rendez compte que je me disais justement que ce serait drôle de se faire agresser ? Et que j'en étais arrivée à la conclusion que ce serait plus vous que nous les victimes dans l'affaire ? Mais c'est à mourir de rire !! >>

Suite à cela, la jeune fille se remit à rire, et se mit tout de suite dans sa « position de combat «  : jambes et bras légèrement écartés, la jeune file était prête à créer son bouclier qui protégeré les deux jeunes filles. Iris sachant sa mutation et ses capacitées, Sarai tourna la tête vers elle.

<< Tu te rappelle ce que je t'ai dit ? ... A propos de ce que je savais faire .... >>

Pendant qu'elle parlait, la brunette créa un bouclier énergétique autours d'elles deux, celui-ci, étant invisible, ne pouvait être vus par les malfrats. Elle fit un clin d'oeil à Iris.

<< Tu les veux ? Je te les laisse, cela ne me pose aucun problème. Je te l'assure, tu peux les prendre. >>

La bande s'étant rapprocher d'elles, ils n'avaient sans doute guère aimé que Sarai se moque ainsi, ne se doutait absolument pas de ce qui la séparait des deux jeunes filles ....

La scène avait de quoi rire : Iris, une mutante capable de faire des ondes, et Sarai, mutante elle aussi, ayant la c&apacité de faire des boucliers, menacé par une bande de gros bras qui croyaient qu'ils se donnaient l'air intelligent (ou malin) en agissant ainsi. Et pour combler le tout, Onde se marrait comme pas possible, et Iris avait l'air de se désinterressé complêtement de ces cäïds, qui eux ne trouvaient absolument pas cela drôle de se faire ainsi traiter de la sorte par deux pauvres, innocentes, fragiles, vulnérables, incapables du moindres gestes de violences, petites adolescentes de rien du tout ! Sauf que ces crétins dont la boîte cranienne était vide de toute matière grise et dont le QI (le Quotient Intellectuel qui calcul l'intelligence des individus(petite parenthèse pour informer ceux qui ignorent)) ne devait pas faire plus de vingts, et encore, en étant gentil, ignorait complêtement que les deux pauvres, méprisantes petites créatures qu'ils avaient en face et qu'ils considéraient comme victime, étaient en faites des mutantes dont les pouvoirs, même si pas totalement maîtrisés, étaient quand même assez puissants mine de rien. La situation était digne de figurer dans un film, assez drôle de préférence. Comme ceux de Louis de Funès tiens ! Sarai se rappellait encore aujourd'hui de tout les films que cet immense acteur (même si il était petit par la taille) du cinéma français en avait été le "héros". Encore aujourd'hui, elle ne pouvait s'empêcher de rigoler à chaque fois qu'elle revoyait une des scènes les plus drôles.

Laissant son rire cristallin résonnait dans la rue, Sarai recommença à marcher en direction de la station de bus pour rentrer à l'Institut. Tournant la tête légèrement vers Iris, Onde lui parla d'une voix amusée.

<< Ouais, je ne pense pas moi non plus, ces poules mouillés ne nous embêterons plus. En tout cas j'ai bien rigoler moi. Je pense aussi que nous sommes vraiment très en retard et qu'il vaudrait mieux ne pas se faire choper en rentrant. J'espère que personne ne fera de ronde quand on retournera dans notre dortoire. >>

La jeune fille trouva soudainement que cette journée, même si assez morose dans son ensemble, avait quand même était assez riche en émotions. Mais, c'est pas demain la veille qu'elle pourra avoir un fou de rire alors qu'une bande de singes qui se croient humains essait de l'agresser.

[HRP: C'est mon dernier post ici à moins qu'Iris rajoute un truc ]