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| Arkel Landomn, The Warlock | |
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Invité Invité
| Sujet: Arkel Landomn, The Warlock Mar 7 Avr 2009 - 6:23 | |
| Avis Aux Modeaux : Je sais, vous devez être en train de vous demander « Mé keseucé se bordaile ? » et vous n’avez pas tort ! Ceci est une fiche que je place délibérément sous mon premier compte. Pourquoi ? Pour deux raisons : premièrement, je n’ai aucune intention de jouer ce perso maintenant : il faut que j’introduise Inkythoughts, et je n’aurais pas le temps pour 2 perso avant quelques temps. MAIS je le jouerais plus tard, ce qui veut dire qu’il va de toute façon falloir le modérer, le plus tôt étant le mieux. Parce qu’il va y avoir beaucoup à modérer : pouvoir particulier, personnage volontairement puissant, histoire atypique etc… Donc surtout, cette fiche n’est absolument pas prioritaire ! Modérez la seulement si vous avez le temps et l’envie, elle ne presse pas du tout, quand elle sera parfaite, je la retirerais pour la poster plus tard sur un nouveau compte! - Spoiler:
Nom : Landomn Prénoms : Arkel Alias et Surnoms : Guardian Of Hellish Spirits, le Roi du Peuple, et plus récemment et dans notre monde, The Warlock Age + Date de Naissance : 2 Décembre 1238, Donc… 771ans purement techniquement parlant. En réalité, il en à 33. Genre : Masculin Clan : Institut Charles Xavier, mais pas élève Pouvoirs : Personae (Offensif/Défensif) : Le pouvoir d’Ark se présente en apparence comme un simple pouvoir de Pyrokinésie. Car il est vrai que si son pouvoir à attrait au contrôle du feu, qu’il ne crée pas, il n’est pas aussi simple. Ark peut en effet insuffler à la banale flamme une forme et une volonté propre. De fait, il ne les contrôle pas vraiment, mais peut effectivement changer le feu en arme. Son don, cependant, ne saurait être utilisé de façon spontanée. Il ne lui suffit pas d’une flamme pour l’enclencher, puisqu’il lui faut aussi que l’esprit et la forme qu’il lui insuffle soit parfaitement claire dans son esprit. Il s’est donc résolu à restreindre son pouvoir et à ne prévoir que quelques formes génériques auxquelles il est allé jusqu'à affubler un nom et une personnalité propre. Cependant, attention, même si ils sont techniquement autonomes, l'attention plus ou moins grande d'Arkel conditionne leur efficacité : O, le luminaire, est sa première option. Il nécessite à peine une flamme de chandelle, et est invoqué avec une facilité rare. C’est une petite flamme silencieuse et pas très chaude qui sert principalement de lumière à Ark. Elle, car c’est une elle, ne peut pas attaquer, ou alors causer des brûlures minimes. Mahalice et Rayri, les diablotins, sont sa seconde option. Ils nécessitent une petite flamme, comme une flamme de torche, chacun. Ils prennent une forme étrange, comme de petits diables, avec des ailes, des cornes et une queue, et brûlent relativement bien. Ils se meuvent très rapidement et tournent autour de leur cible en lui causant de multiples brûlures. Ils sont, comme leurs noms l’indiquent, malicieux et railleurs, et aiment se moquer d’Ark avec sarcasme. Ils peuvent prononcer des phrases, souvent insultantes, mais cela s’arrête là. Attention, ils ne sont que deux ! Impossible d’en invoquer plus en même temps. Peltarion, le bouclier, nécessite là même quantité de flammes que pour un diablotin, mais peut-être crée à partir de plus. Il s’agit d’un bouclier de flammes qui gravite autour d’Arkel afin de le protéger. Généralement, Arkel ne l’invoque que s’il compte tenir sa position, sans quoi il risquerait de se bruler. Il ne peut pas parler, en revanche, et s’amenuise à chaque coup paré. Artorius, Le chevalier, est enfin son dernier atout. Il ne l’utilise pratiquement jamais, cependant, puisqu’il nécessite une très grande quantité de flammes, ayant une forme à l’échelle d’un humain. C’est en fait une flamme prenant la forme d’une armure, avec une épée, qui va aller attaquer l’ennemi au corps à corps, lui causant de très lourdes brûlures. Son invocation est longue et très difficile, mais il est en contrepartie très puissant. Il peut parler et tenir des réflexions sommaires telles que des tactiques d’assaut. Bien sur, toutes ces invocations sont formées par des flammes : tout ce qui éteindrait une flamme sommaire, eau, vent, sable etc… aurait donc un effet pas négligeable du tout sur eux. Si les flammes en revanche, ne sont pas éteintes, mais la forme à été altérée (ex : coup d’épée qui crée un coup de vent qui va altérer la forme de la flamme), Arkel peut se concentrer pour essayer de rétablir la forme. S’il ne réussit pas, il devra ré-invoquer la flamme. Ces invocations sont à priori illimitées dans le temps tant qu’Arkel peut les maintenir (cela le fatigue tout de même) ou qu’elles ne sont pas détruites Niveau de maitrise du pouvoir : Sur les champs de bataille, au premier rang, on apprend foutrement vite à se servir d’un pouvoir guerrier. Ainsi, Arkel à pu se développer relativement rapidement et apprendre à se maitriser et peut par exemple invoquer quasi instantanément la plupart des esprits du moment qu’il à la flamme. Mais sa maitrise diffère selon l’esprit qu’il invoque. O n’est pas un problème : pas de personnalité et une forme minimale. Il peut donc la maintenir sans aucun problème en permanence. Les diablotins sont déjà plus subtils : s’il se concentre sur eux, il peut leur faire accomplir des prouesses, mais il peut tout à fait choisir de s’en servir comme soutien et d’aller se battre au corps à corps, auquel cas ils perdront en autonomie et en vitesse, mais resteront formés. Peltarion est un autre problème : il empêche plus ou moins le mouvement constant d’Arkel et doit réagir très vite. Il nécessite donc un contact visuel et de la concentration. Arkel peut encore bouger et contrôler ses deux diablotins, mais cela devient difficile et il perd en contrôle. Artorius, en revanche, est beaucoup plus difficile à manier : sa forme est très dure à maintenir et il concentre beaucoup de flammes : Arkel devra donc être concentré sur lui entièrement, en étant toutefois capable de bouger du moment qu’il y a contact visuel. Et même si sa maitrise est plutôt bonne, les émotions affectent encore sa maitrise des formes. Artorius, par exemple, lui nécessite déjà beaucoup d’efforts en temps normal, alors imaginez énervé ou distrait, la difficulté qu’il aurait ne serais-ce qu’a maintenir sa forme. De plus, s’il est frappé de façon violente, il est presque certain que sa concentration en prend un coup : il y a de très grandes chances pour qu’il relâche ses invocations, sauf O, et peut-être les diablotins si le coup n’est pas trop sévère. L’effort d’utiliser ce pouvoir le fatigue comme il fatiguerait un télékinésiste : il en ressort fatigué, hagard même parfois, mais pas au niveau musculaire. C’est son cerveau qui se fatigue, lui occasionnant parfois des maux de tête horripilants pendant plusieurs jours dans les pires cas. De plus, pour pallier à sa grande faiblesse, comprenez l’inutilité de son pouvoir, Arkel possède une Baguette crée grace au pouvoir d’un ancien ami, lui aussi mutant, qui pouvait insuffler le pouvoir de créer quelque chose de particulier à une baguette. Cette dite baguette contient en fait le pouvoir d’un autre mutant, qu’elle à absorbée, et peut créer par simple volonté du porteur du feu en diverses quantités. MAIS : cette baguette possède des limites bien définies. Elle se décharge, comme se déchargeait le mutant qui lui à donné son pouvoir : en fonction de son exposition (à la baguette) au feu, elle le charge et peut ensuite le relâcher. Sa charge maximale, nécessitant 1H30 dans le feu, correspond à : 8 diablotins = 4 Peltarion moyens = 1 Artorius et 2 diablotins ou 1 Peltarion minime environ. Lien entre les 2 pouvoirs : Un seul pouvoir Description physique : Il fut un temps ou Arkel était encore le jeune conquérant qu’il était. Ou il s’habillait de couleurs chatoyantes, et coupait encore ses cheveux. C’était le temps de son règne, un temps ou le futur était son mot d’ordre. Maintenant, tout à changé. Il a depuis longtemps laissé ses ciseaux de côté, pour laisser ses mèches tomber sur son visage, comme pour cacher ces yeux d’un bleu pâle, autrefois si pleins d’énergie, et ce visage aux allures juvéniles malgré sa trentaine, surtout à cause des trop nombreuses régénérations qu’il a pu subir au long de sa vie. Car si l’on ne le remarque pas au premier abord, son corps, meurtri de mille part, porte encore les fines et discrètes cicatrices de ses régénérations, témoignant ici d’un coup de hache et là d’une tentative d’empalement… Et il n’y fait, lui-même plus attention. Son costume d’autrefois, de roi guerrier, qu’il portait sur les champs de mort, il l’a gardé, comme pour se rappeler son passé. Ce noir qui représentait sa force, son audace de tacticien, la menace qu’il était. Et qui n’est plus maintenant qu’un pâle souvenir. De même, il porte toujours son epée, sa dague, ses baguettes, parce qu’il peut avoir à s’en servir, quelques fois, pour proteger l’institut. Il lui arrive de l’enlever, quand il doit absolument se rendre dans le monde extérieur, être discret, et il n’est plus qu’un grand personnage aux muscles seyants et au charme mystèrieux, pas une armoire à glace, certes, mais un homme qui s’entretient, qui à du faire du sport toute sa vie par nécessité plus que par envie de rester mince. Signe(s) particulier(s) :+ Oreilles pointues + 3 anneaux à l’oreille gauche, 5 anneaux à l’oreille droite + Cheveux Blancs devant, châtains derrière + Des tenues démodées depuis environ… 600 ans ? Caractère, tempérament : On pourrait penser qu’Arkel prend très, très mal sa destitution. Et c’est vrai jusqu'à un certain point. Ca, il garde une rancune tenace contre ceux qui l’ont envoyé à New York. C’est vrai qu’il lui arrive d’exploser, de temps en temps, d’éclater, de crier, de s’emporter, de détruire. Mais il à appris à faire avec. Il n’avait jamais, de toute façon, été très attaché à ce titre de roi. Il comptait surtout s’en débarrasser vite au profit de quelqu’un d’élu… Alors il à continué à vivre, comme une nouvelle personne, dans ce nouveau monde. Car Arkel est quelqu’un qui s’adapte, qui vit, qui se reprend. C’est un personnage qui, à défaut d’être gentil, puisqu’il est un brin asocial et difficile à comprendre, sait être là au bon moment et sur qui on peut généralement compter. Car même son côté cynique, un peu rude au premier abord ne saurait eloigner ceux qui reconnaissent en lui quelqu’un de courageux et habitué aux situations difficiles, sur qui l’on peut se reposer. Car même s’il semble n’avoir, parfois, pas grand-chose à faire de ce que vous lui dite, même s’il semble regretter que vous lui parliez, il vous écoute, et même un grand cœur enfoui sous la cendre reste un grand cœur. Si on lui fait confiance, il rend cette confiance, et même s’il est dur de tisser des liens avec lui, on ne le regrette généralement pas. Talents et Compétences particulières : + Arkel sait lire et écrire, comprend le langage d’aujourd’hui, même si il à du mal avec certaines expressions d’jeuns, mais pas utiliser toute la modernerie : tout ce qui est plus compliqué que pousser un bouton lui est impossible. Il arrive tout juste à se faire à la télé et au téléphone … Et à beaucoup de difficultés à prendre le métro. Toute la technologie le laisse complètement pantois, et il en va de même pour la plupart des concepts modernes tels que la philosophie, la musique actuelle, la politique etc... + A l’habitude des duels comme des mêlées, sait manier l’épée comme pas deux, sait tirer à l’arc, à l’arbalète, monter à cheval et est un excellent tacticien plein d’expérience.
Dernière édition par Inkythoughts le Mar 7 Avr 2009 - 18:52, édité 6 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Arkel Landomn, The Warlock Mar 7 Avr 2009 - 6:25 | |
| Histoire du personnage : Il existe un monde, au-delà des simples frontières spatiales que nous connaissons, ou les mutants n’ont pas germé au 20e siècle, comme dans notre monde. Bien sur, ils ont toujours existés. Mais imaginons qu’au lieu d’avoir un génome X qui explose au XXe siècle, celui-ci le fasse… au XIe ? Tout commence avec un homme. Un homme qui dans un univers, le notre, est signe de mystère, enfant des légendes, dont on ne sait vraiment s’il existe, et dans l’autre le plus grand icône que la terre eut porté. Cet homme, aux pouvoirs incommensurables, était Myrddin. Merlin. Merlin était un mutant aux pouvoirs immenses, un mutant qui fit trembler toute la société européenne de cette époque. Un mutant aux pouvoirs si vastes qu’il aurait pu, d’un claquement de doigts, conquérir la terre et la mettre à ses pieds. Mais aussi un mutant dont la sagesse avait égalé la force. Restant dans l’ombre d’Uther Pendragon et plus tard de son fils Illégitime, Arthur, il prouva à la société de l’époque que les pouvoirs des mutants pourraient être utiles. De partout, constatant la force de cet homme et sa grande sagesse, qui mena l’Angleterre là ou elle n’avait jamais été, on fit mander troupes pour rechercher les enfants mutants et les ramener aux seigneurs avides de pouvoirs qui en feraient leur armée. C’était au douzième siècle. Les mutants avant cela, étaient encore persécutés, traités comme des monstres de foire ou abattus dès qu’on comprenait leurs pouvoirs. Mais c’en était fini. Ils seraient désormais le signe même de la puissance des seigneurs. 1251, Royaume D’Organia La situation à changé : les mutants sont devenus des soldats d’élites, des chevaliers entrainés depuis leur adolescence à utiliser leurs pouvoirs pour servir le seigneur. Les combattants deviennent officiers ou soldats d’élites, les cerveaux, les devins servent le seigneur, et les utiles sont relégués aux autres taches. Devenir mutant est un honneur. Et c’est précisément la raison pour laquelle malgré la mort de son oncle, malgré la grange qui brûle, malgré les flammes qui volent autour de lui, malgré la peur qui le ceignait quand les hommes de la ferme voisine se sont approchés avec des torches, malgré cette même peur qui le faisait courir un instant plus tôt, malgré la colère contre les hommes qui ont fait bruler la grange et son oncle avec, Arkel est fier. Il en est un. Il est un mutant. Et pas n’importe lequel. Un combattant né. Et pendant que les flammes rongent les cadavres des hommes de la ferme voisine, sa seule pensée va à son futur. Quelque jour plus tard, c’est avec les trompettes que les hommes du seigneur vinrent le chercher. Ces parents, fiers de lui, presque en larmes, lui adressèrent un dernier signe de la main alors qu’il s’éloignait, assis dans la carriole qui l’emmenait vers un futur radieux. Ils pensa a eux pendant le voyage, à leur vie. Il en fut triste, mais son âge ne lui permettait pas encore d’y penser réellement. Et l’excitation de devenir un des soldats du seigneur se faisait trop forte. Et tout commença. On lui apposa en premier lieu les symboles légitimes. Un autre mutant, dieu sait qui, lui fit pousser les oreilles en pointe et on lui blanchit les cheveux de devant. Et un anneau lui fut donné, qu’il porta dès lors à l’oreille. On l’entraina. On lui apprit, au fil des années, le maniement de l’épée, celui de l’arc et de l’arbalète. Il se battit mille fois, en duel, à la course. Rien n’était facile, dans l’entrainement, mais tout était balayé par l’honneur d’être ce qu’il était. On lui apprenait lors de longues classes à maitriser son pouvoir, à s’en servir pour frapper, pour tuer. On le faisait combattre au pugilat contre d’autres élèves, puis avec des bâtons, et enfin avec des épées, pour l’habituer au combat réel, aux blessures, aux coups qui cognent les os et tranchent la chair. Et il était bon, très bon. Bientôt, ni l’odeur ni la vue du sang ne l’émouvaient plus. Il commença même à s’habituer à l’odeur ignoble de la chair brulée. Parce qu’il le fallait bien. Et puis, en dehors de ce monde de combat, de violence et d’honneur, il rencontra Lester. C’était un jour qu’il allait se reposer près de la rivière qu’il le vit pour la première fois. Un jeune garçon aux cheveux noirs, mal habillé, aux allures d’artisans, semblait affairé à tailler quelque chose au couteau. Seulement ses bras menus semblaient avoir peur d’appuyer, peur du couteau. Arkel le prit en pitié, amusé par sa candeur. « Besoin d’aide ? » demanda t-il poliment, en s’attendant comme toujours à l’expression confuse de quelqu’un qui se voit accorder de l’intérêt par un Cheveux-Blancs. « Moi ? Euh, oui… Ca me fait un eu honte mais j’ai pas l’habitude des couteaux. Toi, j’imagine qu’avec le… le truc que t’as à la ceinture, c’est pas une ‘tite lame qui va te déranger, hein ? » Répondit-il avec un sourire. C’est cette naturelle aisance qui l’avait séduite. D’habitude, on lui répondait quelques bafouillements étouffés et on s’inclinait, ou quelque chose du gout. Et le jeune homme lui plut. Alors ils se revirent, et en aussi peu de temps qu’il en fallut à Arkel pour apprendre à faire du cheval, ils étaient devenus les meilleurs amis du monde. Il découvrit, entre autre, que Lester était un mutant. Mais pas un mutant auquel on accordait de l’intérêt, un « utile » et pas un combattant, comme Arkel. Son pouvoir s’était manifesté tôt, et il pouvait mettre ce qu’il voulait dans une simple baguette, en le refaire sortir à l’infini. En gros. En fait, c’était plus dur, car il ne mettait pas vraiment les choses à l’interieur comme ça. Mais en étudiant une chose particulière à fond et en absorbant l’original, il pouvait en créer grâce à une baguette. Il en portait d’ailleurs toujours deux sur lui, une qui faisait apparaitre des gâteaux secs, l’autre de l’eau. C’était, aux yeux d’Arkel, un pouvoir tellement plus utile que le sien, mais qui ne semblait pas être apprécié par ces messieurs de la cour qui l’avaient relégué aux taches ménagères dans le château : les utiles n’étant, de toute façon, même pas reçus pour qu’on puisse voir leurs pouvoirs, ce qui était un terrible tort, puisque certains étaient tout de même très puissants… Ils discutaient souvent, leurs points de vue étant opposés. Les deux déploraient la différence entre mutants et humains, mais pas pour les mêmes raisons. Arkel clamait que tout le monde devrait être mutant, que cela règlerait le problème, qu’on aurait peut-être vite fait d’oublier les humains, car c’était en ce sens qu’allaient ses leçons, au château, ou on lui apprenait qu’il était supérieur à tout excepté son seigneur, son guide, enfant de Dieu. Lester, quand à lui, s’empressait souvent de le frapper sur la tête avec une baguette pour clamer que l’harmonie était la seule solution, puisqu’on ne pouvait évidement pas faire de tout le monde des mutants. « Le monde est comme il est, alors autant faire le mieux qu’on peut avec » disait-il. Et avec le temps, Ark se laissa petit à petit convaincre. Il gagna bientôt son huitième anneau, signe de sa grande capacité, et devint un véritable officier du seigneur. Cinq ans durant il parcourut les champs de batailles, signa ses hauts-faits de guerre, combattit contre cent armées galvanisées par leurs mutants si puissants… Et si il sortit parfois mourant de ces batailles, il y revint toujours avec plus d’ardeur et de force. Lester, quand à lui, était resté à ses côtés, et entreprit un jour de l’aider à ses conquêtes. Il disparut, pendant des mois, de la circulation, laissant à peine une lettre dans laquelle il expliquait avoir peut-être trouvé un moyen de servir à quelque chose, pour une fois. Et c’est trois mois plus tard, la moitié du visage brulée vive, avec une baguette qui allait parfaire le pouvoir d’Arkel. Une baguette qu’il avait crée au péril de sa vie. Une baguette qui renfermait le pouvoir d’un autre mutant. Une baguette qui créait la flamme qui manquait à Arkel pour parfaire son pouvoir. De cet acte, il tira un respect infini pour son compagnon, et se promit de toujours respecter les causes en lesquelles Lester croyait. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, Arkel était devenu le symbole des soldats de sa nation. Un commandant mutant qui combattait au front, avec ses soldats, et qui dans le feu de l’action ne faisait aucune différence entre mutants et simples soldats. Et même si son seigneur commençait à se lasser de ses tactiques prudentes et défensives, préservant ses hommes, même au risque de perdre la bataille, il ne fut jamais général plus aimé qu’Arkel Landomn, du royaume D’Organie. Les autres nations, cependant, ne virent pas d’un très bon œil la montée en puissance de ce général qui commençait même à faire de l’ombre à son propre seigneur. Et ils commencèrent à fomenter leur plan pour l’éliminer. Et pendant ce temps, Arkel, lui-même, fomentait des plans. Des plans de conquête, une fois de plus, mais ailleurs, pas dans le vaste monde, mais en Organie même. Arrivé au pinacle de son art, il attaqua, avec son armée d’humains confiants en leur chef, qui les avait toujours protégés, les fondations même de la seigneurie, vaillamment défendue par une petite caste de mutants encore fidèle. On nomma cette nuit la Révolution Silencieuse, tant l’opération fut rapide et bien menée. Car alors que le soir ils préparaient leurs armes, le matin suivant même, ils les avaient rangées. Du haut de son balcon, il contempla son royaume. Il ferait de cette terre une terre ou humains et mutants vivraient en harmonie, et ou le peuple serait protégé. Ou chacun pourrait accéder aux grandes responsabilités s’il en est digne, et non pas grâce à sa naissance. Il abolit les privilèges des Mutants, et fit de son royaume un royaume ou chacun aurait une voix, pour choisir son avenir. Il se retourna avec un sourire pour gouter à son premier banquet en tant que roi, avec tous ses hommes, devant le palais. Une domestique, sans doute de l’ancien régime, se dit-il, l’attendait de l’autre côté de sa porte. Elle lui adressa un sourire, qu’il lui rendit. Puis elle ouvrit le portail bleu dans lequel Arkel trébucha, sans doute à cause du croche-patte qu’elle lui fit. New York, notre monde, 2007. Mark Owden est en retard. Il regarde sa montre, l’embouteillage, sa montre. Rien n’avance. Puis finalement ça se débouche, il peut enfin faire avancer sa voiture. Alors petit à petit il roule. Et pendant qu’il roule, il voit, sur le bas-côté, un type bizarre aux cheveux blancs, en habit bizarre, avec une grosse épée, frapper contre les murs en criant « NOOOOOOOOOOOOOOOOON ! On m’a SPOLIEEEE ! ON M’A PUTAIN DE SPOLIE ! 15 ANS D’EFFORTS, J’Y SUIS ENFIN, ET ON ME NIQUE SI FACILEMENT ?! BORDEEEEEEEEEEEEEEEEL ! » Il sort son téléphone, tranquillement, compose le 911. « Allo ? Un psychopathe au croisement de la 8e et Whithers St. Venez vite, il a l’air violent » Et il continue en se disant que quand même, prendre une contravention pour dix minutes de retard au parcmètre, il est l’homme le plus malchanceux du monde. New York, notre monde, 2009. Arkel à été recueilli. Quelqu’un, un jour qu’il érrait dans la ville, est venu le voir, s’est présenté. Il était encore hagard, peu sur. L’homme s’est dit mutant, et à proné l’harmonie. Arkel l’a suivi. Tout simplement. Et à commençé à s’habituer au nouveau monde dans cet endroit qu’on appelle L’Institut. JoueurPersonne sur l'avatar : Un déssin supa stylé d’la mort kitue Age dans la vraie vie : 16 Expérience en RP : 6 ans Où avez-vous entendu parler de notre forum : J’y suis déjà Double comptes : oui, Inkythoughts Votre personnage provient-il des Comics ou des Films X-Men : non Je certifie avoir lu le règlement et m’engage à en respecter les clauses. Je m'engage à toujours écrire au moins 5 lignes pleines dans chacun de mes messages en Role-Play. [I.Ro] - Spoiler:
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| | | Kurkaru Elève X-Men Expérimenté(e) Gamma
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Age du perso : 18 Date d'inscription : 22/11/2007
| Sujet: Re: Arkel Landomn, The Warlock Mar 7 Avr 2009 - 16:26 | |
| Déjà, la comme ça. Je ne crois pas que cette histoire d'univers alternatif va être possible : nous n'autorisons ce genre de chose que pour les personnages d'origines marvel. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Arkel Landomn, The Warlock Mar 7 Avr 2009 - 16:47 | |
| Ah? Bon. :boulet: Donc, ça... C'est fait. Juste, puis-je avoir une raison particulière qui justifierait ce refus en bloc? |
| | | Kurkaru Elève X-Men Expérimenté(e) Gamma
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| Sujet: Re: Arkel Landomn, The Warlock Mar 7 Avr 2009 - 16:55 | |
| Il s'agit d'une règle générale pour éviter de se retrouver avec des personnages ayant des pouvoirs sans aucun rapport avec la mutanité (vu que c'est interdit dans l'univers du fofo, il suffit d'un peu d'imagination, et hop : mais en fait il vient d'un autre univers). Ce genre d'univers comporte des risque important, car nous n'en contrôlons absolument pas la trame, et il peut se passer tout et n'importe quoi dedans. Si quelqu'un vient d'un univers alternatif à la technologie extrêmement avancé, par exemple, et qu'il a un pouvoir de mémoire absolue, on se retrouve d'un coup avec un type capable de faire sauter la planète car il a vu les plans dans cet autre dimension.
J'espère avoir expliqué clairement ce qui nous motive. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Arkel Landomn, The Warlock Mar 7 Avr 2009 - 17:05 | |
| Boarf, ce qui me pose problème, en fait, c'est juste le fait de refuser en bloc la version univers alternatif plutôt qu'agir au cas par cas: vos raisons sont tout à fait valables et je comprends tout à fait le problème que cela peut représenter. Mais c'est juste une possibilité... Parce que finalement, peut-être que vous fermez la porte à des idées qui pourraient être géniales, des backgrounds poussés, des personnage travaillés, sous prétexte qu'il y a des chances, et je dis bien des chances, pour que ça soit juste un prétexte à avoir un perso surpuissant... Je me plie à votre volonté, mais je le déplore fortement...
EDITH Piaf:
Suite à la discussion qu'on a eu, Kurkaru, je te mets quelques infos complémentaires utiles:
L'univers dont provient Arkel est exactement le même que celui du forum, la seule et unique différence étant le temps de l'évolution du génome X, qui à fait exploser démographiquement les mutants au X-XIeme siècle plutôt qu'au XXe. Les évennements historiques ont ici divergé, ceci étant du à la forte influence de la recrudescence des mutants dans les guerres. Ainsi, par exemple, l'Angleterre et l'Ecosse ont disparu pour donner naissance à une pléthore de royaumes plus petits, chacun gouverné par un seigneur, aidé de ses soldats mutants. Le royaume d'Organia en fait partie, et s'étend sur une bonne partie du Sud de l'ancienne Angleterre. C'est un royaume de taille moyenne par rapport aux autres.
Donc, qui dit univers parallèle, même planète et différences historiques dit aussi: Arkel est un humain. Certes, il à un bon retard de 600 ans dans l'évolution humaine, autant dire une pécadille. Il possède la même constitution, les mêmes organes, la même force, la même endurance qu'un être humain du monde du fofo entrainé durement (soldat d'élite, par exemple).
L'epée et la dague qu'il portait quand il est arrivé étaient composées d'alliage métallique tel qu'on peut en retrouver sur les épées de moyen-age. Son armure, elle, est composée de pièces de cuir et de banal tissu noir, et arbore plusieurs décorations en métal. |
| | | Kurkaru Elève X-Men Expérimenté(e) Gamma
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| Sujet: Re: Arkel Landomn, The Warlock Lun 13 Avr 2009 - 12:59 | |
| Je place cette fiche en attente, on en rediscutera plus tard ^^ | |
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| Sujet: Re: Arkel Landomn, The Warlock | |
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| | | | Arkel Landomn, The Warlock | |
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