[ Suite ] Arrivée pleine de souvenirs [ Libre]

Dans le couloir des groupes de personnes se précipitaient dans des salles... dans les escaliers... et Samuele avait peur de rater quelque chose d'important. Dans ces cas la on se pose souvent la question fatidique "Aurais-je oublié quelque chose?". Mais il se fia a Walter qui savait surement plus que lui ce qu'il fallait faire. Samuele remarqua la main que Walter continuait de lui tenir avant de la lacher avec gène. Lui même était géné parce qu'il n'osait pas l'enlever directement de peur de blesser walter, et comme il ne le conaissait pas, il avait peur qu'il réagisse mal alors il se laissa aller pour apprendre à mieu le connaitre et appréhender les choses. Walter venait de lui poser une question concernant les affaires à avoir, il lui répondit alors:

Des affaires à acheter? tu m'en apprends de bonnes là! J'ignorais totalement qu'il y avait des listes ou quoi que ce soit?

Samuele venait de débarquer, alors il commença à se poser tout un tas de questions, sur le fait que probablement il aurait du retard, et aussi sur le fait qu'il ne voulait pas commencer son apprentissage dans de mauvaises conditions! Il avoua à Walter qu'il n'était pas du tout dans le sujet, et qu'il s'en remettait à lui pour ce genre de détail. En ce qui concernait la visite de l'institut, il ne savais vraiment pas par où commencer, tout simplement parce que c'était énorme. beaucoup trop de salles, tous aussi intéressantes les unes que les autres... Pourquoi pas passer dans les bois? Ils pourraient ainsi se faire une idée du terrain qu'occupait l"institut... et pourquoi ne pas voir la salle de détente? Il y avait tellement de possibilités que Samuele était un peu perplexe quant à savoir s'il existait un ordre de visité idéal. Ils continuaient de marcher tous deux dans le couloir, sur les carreaux de marbres, ce qui rendait ce lieu encore plus spécial et incroyable. Samuele fit remarquer les décorations, car il était assez sensible à ce genre de choses. C'était une décoration entre l'ancien et le moderne. Ancien par l'architecture qu'offrait la batisse, mais moderne dans les quelques meubles qui arboraient le couloir et la mentalité qui nourrissait ce lieu. Samuele se fit bousculer légèrement par certains jeunes qui couraient parcequ'ils devaient être en retard. Puis samuele se rappela que Walter avait sortir des clés. au lieu de se poser un milliard de questions à lui même, il lui posa directement:

Au fait, pourquoi tu as sortit ces clés?

A ce moment là il appuya son regard sur Walter, tous simplement parcequ'il attendait qu'il réponde.

Cette histoire de clé perturba Samuele, car Walter lui racontait qu'il s'agissait de ses clés de voiture, mais alors... pour aller où? En plus de cela Samuele suivait Walter pour la visite donc il pouvait le suivre n'importe où: En ville, pourquoi pas? Et soudain samuele qui prenait de plus en plus de confiance répondit à Walter:

Je me demandais pourquoi tu les avais sorties... je comprenait plus si tu voulais qu'on visite l'institut, ou si tu voulais aller acheter le matériel pour les cours. Rien que ça ne t'en fais pas. Ne fais pas attention à ce genre de réaction, j'aime bien savoir où je vais, et connaitre les détails des évênements. On va dire que les surprises ne me plaisent pas toujours... je l'avoue.

Samuele venait de parler d'une partie de lui même qui lui tenait à coeur. C'était un trait de sa personnalité qu'il avait parfois du mal à accepter, mais il s'était fait une raison. Il se disait que parfois avouer ce que l'on était pouvais nous rendre plus vrais aux yeux des autres et donc plus accessibles... et il était plutôt fier de penser comme ça. En continuant dans le couloir il traina un peu devant une porte entre ouverte. Dans cette pièce se tenait un cours, et il ressentait un rassemblement de mutant derrière cette porte. Il ne savait pas de quoi ce cours traitait, mais il était interessant de voir combien ces jeunes étaient interessés par ce qu'il se disait. Chacun d'eux buvait chaque parole du professeur et cela lui rappelait certains cours qu'il avait lorsqu'il était au lycée en Italie. Malgré cela, il sentait une attention encore plus féroce, et plus disposée dans cette pièce que durant toute sa scolarité.

Il repris son chemin et rattrapa Walter qui l'avait légèrement devancé. Et durant ce laps de temps, il se rendit compte qu'il commençait à s'habituer à toute cette histoire. Ses pouvoirs commençaient à être connus de tous, donc la plupart essayait de faire avec l'effet de décuplement. Il était aussi moins perturbé par tant de présence Mutante. Il était de plus en plus à l'aise avec son environnement et content que tout se passe pour le mieux... Pour le moment.

Les cours! Samuele était parti dans tant d'autres sujets qu'il en avait oublié l'éssentiel... ce pour quoi il était venu à l'institut, l'apprentissage! Il jeta un oeil à la liste de Walter et vit la longue colonne réservée au nom de ses matières... Déconcertant mais motivant au plus haut point! Il essayait de se remémorer sa propre liste... cela faisait longtemps qu'il avait rempli la fiche... et avait surement du en oublier la moitié, surtout que ces détails étaient demandés au tout début du long processus d'inscription!
En revoyant clairement sa liste en mémoire, il répondit à walter:

Anglais, français..... histoire...Arts.... psychologie et education physique... Voilà ce sont mes matières.... je ne me suis pas trop chargé on à pas du tout le même rythme en Italie.

Il se sentait plus faiblard à coté de walter qui avait une liste infinie de matières. En plus de ça, il travaillait et avait arrété l'école depuis longtemps... il se demandais donc comment il allait pouvoir suivre tout cela durant cette année. Il enchaina ensuite:

Ben ça te fais beaucoup de matières... tu es sur que tu vas réussir à suivre tout ça en même temps que ton travail? Apparemment tu as raison il va falloir aller chercher tout le matériel... Alors à part le centre commercial je ne vois pas d'idée... si tu en as une je te suis!

Samuele appréhendais tout de même de devoir sortir de l'enceinte de l'institut Xavier... sait-on jamais, ils pouvaient tomber sur un confrériste puissant, ou assister au même genre d'attaque dont Walter parlait tout à l'heure. Il se l'avouait à peine maintenant, mais ce qu'il s'était passé pendant le bal l'avait assez troublé lui aussi... rien que d'en entendre parler il s'imaginait déjà en danger... surtout que son pouvoir n'était pas encore assez... offensif pour qu'il puisse se protéger!

La voiture démarrait à distance! C'était quelque chose d'incroyable pour Samuele, qui en était resté au stade des "Mini" italiennes... et des "vespa" qui roulaient sur les trottoirs en pavés des grandes villes d'italie. Cette voiture faisait moderne, il imaginait même les portes s'ouvrir automatiquement, comme dans les films de science fiction qu'il avait vu au cinéma. Il devait encore s'habituer à toute cette modernité qu'offraient New York et les villes alentours. Walter était monté dans la voiture et avait invité Samuele à en faire autant. Mais il bloqua sur une phrase que Walter venait de lui lancer, lorsqu'il lui avait demandé quoi faire après les achats.

"Et bien... je t'inviterais bien à sortir avec moi, mais je ne crois pas être ton genre ..."... Il ne s'attendait pas à ce genre de réponse du tout... et à vrai dire il n'y avait pas pensé du tout. Comme il n'avait pas envie de parler de ça, et surtout, vu qu'il ne savait pas s'il s'agissait d'une simple blague ou de quelque chose de sérieux, il décida de changer de sujet pour éviter toute confusion. Il s'assit dans la voiture et scruta tous les détails qui pouvaient s'y trouver. Il remarqua l'autoradio, et lança le sujet:

Tien, il est original. En Italie, la plus part des gens en sont restés au cassettes... Au fait ça fait combien de temps que tu as ton permis, tu ne m'en a pas parlé.

Il s'installa plus confortablement en attendant la réponse de Walter. il mit sa ceinture et regarda face à lui. La vue était différente que lorsqu'il était assis à la même place, dans la voiture de sa mère... Ce moment le ramena au souvenir de lorsqu'il était enfant, allant à l'école tot le matin. Les mêmes gestes qu'il faisait tous les matins, aux même heures... Il cessa d'y penser car il ne fallait pas qu'il ait la mal du pays..... il était bien parti sur sa lancée pour s'intégrer ici en amérique.