Leah Anderson

Nom : Anderson

Prénoms : Leah

Alias et Surnoms : Pixel

Age + Date de Naissance : 24 ans, 13/11/1984

Genre : Féminin

Clan : Confrérie

Pouvoirs

[Passif] - Mon pouvoir ? Simple ! C'est de la cyberpathie. Oui je sais. À cet instant, vous avez les yeux comme deux ronds de flans en disant quelque gargouillement ressemblant vaguement à : "kessessé ?" Laissez-moi donc vous expliquer.

Connaissez-vous la télépathie ? Vous savez... lire dans les pensées, interagir avec le cerveau humain... Voir influencer le libre-arbitre, tout ça, tout ça.... Moi je fais pareil avec tout ce qui est électronique et informatique. Et là, vous vous dites : waouuuh. Je sais, je sais. Moi aussi je m'aime. Ce n'était pas la question ? Ah. Bon. Alors, pour vous traduire cela... Mentalement, je peux contrôler tout ce qui électronique et informatique, comme je le disais. À savoir, jouer à distance avec un micro-onde, par exemple. Pareil pour un téléphone portable. Mais bon. Ceci n'est que le côté fun. Celui qui est tape-à-l'oeil. En réalité, je vaux nettement plus que cela.

Je pourrai changer toute votre identité. Je pourrai interagir avec votre compte bancaire. Je pourrai... vous coller un casier judiciaire plus énorme et abominable que vous ne pourriez oser le croire. Et là, brusquement, l'envie de rire vous passe. Et vous avez bien raison. Vous pensiez que les mutants les plus terrifiants étaient ceux avec de grands effets spéciaux ? Moi je peux faire de votre vie un enfer. Une course infinie. Tout comme je pourrai faire de vous la personne la plus heureuse sur terre, avec un compte en banque plus rempli.

Et cela, comment ? Et bien, étant une sorte de télépathe, je n'ai pas tellement besoin de contact. Je peux très bien le faire dans un petit rayon, sauf que... L'avez-vous remarqué ? Certains télépathes préfèrent avoir un contact physique avec la personne lorsqu'ils doivent se concentrer davantage sur elle. Et bien pour moi c'est pareil : plus je serai proche de ce qui m'intéresse, plus j'aurai une certaine facilitée à me concentrer dessus et donc, à obtenir de meilleurs résultats.

Plus de détails ? Roh là là... Et bien, quelque soit la complexité a priori de "l'objet", cela ne me pose aucun soucis. Je comprends et maitrise l'informatique mentalement comme on lirait un livre. Cependant, j'ai des limites : bien que je puisse me retrouver sur le net, je ne pourrai faire qu'une chose ou deux choses à la fois. Et assez souvent, une seule, si a priori elle est complexe. Car j'ai beau maitriser tout ceci, je serai parfois plus une connexion de 56K que d'ADSL pour certaines opérations. Par exemple, si je voulais en rajouter sur votre casier, je ne pourrai pas non plus le faire en claquant des doigts. J'ai beau être douée, je ne suis pas non plus SuperFlash ultra rapide.

Ironiquement, mes pouvoirs ne seraient qu'à l'état de néant sans la civilisation. D'ailleurs, tout est à double tranchant. Je peux nuire à la société, à la science et aux technologies modernes. Et pourtant... Vous savez quoi ? Je hais, mais je hais les cages de Faraday. Nous devrions tous les brûler dans un grand feu de joie.


Niveau de maitrise du pouvoir : Ma maitrise est excellente, vous saurez ! Bon d'accord. Je ne suis pas non le nouveau Big Brother. Mais un jour qui sait.... qui sait... Bref. Nous disions donc ? Ma maitrise ? Très simple. Cela est surtout une question de concentration et de moyen. À partir d'un distributeur automatique de billets mettons. Je peux modifier tout fichiers étant plus ou moins directement en rapport avec l'informatique ou le cyber. C'est tout. Après.... Plus je voudrais en contrôler mentalement, plus je devrais me concentrer. Et plus je me concentre, plus vite j'atteins malheureusement mes limites.

Quoi ? Il vous faut encore plus de détails ? Et bien disons... Que je peux utiliser ce merveilleux don à ma guise, mais que je reste comme le disque dur d'un ordinateur : plus on ouvrira de programmes, plus je risque de saturer. Sauf que moi, une saturation équivaudrait à une mort subite ou presque. Cela ira cette fois ? Bande de jamais-contents. Nah.



Lien entre les 2 pouvoirs : n/a



Description physique :


D'une taille tout à fait acceptable, mais malgré toute trop petite pour atteindre les objets en haut des étagères dans les magasins, je suis loin d'être trop maigre ou menue : j'ai ce qu'il faut de chairs là où il le faut. Une petite poitrine, un corps plus ou moins acceptable, je suis loin d'être une pin-up et alors ? Une jolie femme ne se limite pas à cela, n'est-ce pas ? Je possède également de long cheveux châtains clair et lisse, des sourcils parfaitement dessinés me conférant un air sérieux, de grands yeux noir, un nez très bien tel qu'il est, et une bouche tout ce qu'il y a de plus normal. A cela, ajoutons que je possède de nombreuses petites cicatrices ou hématomes : maladroite, je suis également très fragile et peut rapidement, trop rapidement, tomber malade. Et puis, j'ai beau être petite, je n'en reste pas vicieuse : gare à mes petits poings, non mais !

Et sinon, je serai plutôt du genre à ne porter que du sur-mesure. Pourquoi diable s'enquiquiner à faire les "boutiques" pour avoir une robe, par exemple, que d'autres femmes auront, et en plus, qui ne sera pas tout à fait la bonne taille ? Rien ne vaut une couturière qui vous réalise des vêtements spécialement à votre taille et qui vous mettrons en valeur ou qui correspondront à vos goûts. Souvent, j'ai une certaine préférence pour le rouge et le noir. Je trouve que ce sont deux couleurs qui se marient à merveille, et qui sont sublime sur une femme. Si à mon travail, je porterai d'avantage des couleurs sombres ou neutres, et des vêtements tout à fait classique, lors de mes loisirs j'aurai une certaine préférence pour des habits plus facile à porter, léger et souple.



Signe particulier :

- tic : je lève le poing comme pour frapper lorsque je prend la mouche



Caractère, tempérament :


Hein ? Quoi ? Faut que je parle de moi aussi ? Mais t'a pas d'amis pour me demander tout ça ?

Alors... Déjà, je m'emporte vite et je prends tout aussi vite la mouche. Gare donc, à ce que tu me diras. Et lorsqu'on peut pousse à bout, je baffe et ce, quelque soit l'endroit. En public s'il le faut, cela ne me dérange absolument pas. Il ne faut pas me chercher moi. Jamais. On dit souvent de moi que je suis quelque peu trop fière, à la limite de l'arrogance. Vrai ou pas, je n'en sais rien. Ce n'est que quelques personnes de mon entourage qui racontent cela. Capricieuse, je le suis et pas qu'à moitié. J'aime qu'on m'obéisse et j'aime que les choses soient faites selon ma volonté. Pour le reste ? Je fais preuve d'un "je m'en foutisme" à toute épreuve et à en pâlir d'envie plus d'un. Têtue et bornée, je n'aime pas avoir tort ; et je sais exactement ce que je ne veux pas, à défaut d'être certaine de ce je désire.

Je suis également une jalouse comme jamais vous n'en aurez vu. Je suis même capable d'être jalouse en amitié, ou parce qu'une personne que j'apprécie aura été plus attentive à une personne que moi. De plus, je n'aime pas m'occuper des absentes. Les présents doivent passer en priorité, vous n'êtes pas d'accord ? Après tout, à quoi bon courir après ce que l'on a pas ou n'avons plus, si nous ne sommes même pas capable de prendre soin de ce que nous avons déjà ? Ou plutôt, parce que ceux qui partent... Je m'occupe d'eux personnellement. Vous pouvez me croire. Je n'aime pas la trahison et j'ai le pouvoir de punir cela. Osez me poignarder dans le dos ou m'abandonner : et vous vous apercevrez à quel point je peux vous faire souffrir.

Je suis aussi peu prêteuse : ce qui est à toi est à moi et ce qui est à moi est à moi. Chiante, vous avez chiante ? Le mot est faible ! Je le suis et je le revendique totalement. Je suis capable de mettre les nerfs à vif de n'importe qui, tout comme je suis capable d'être aussi douce que possible. Bah quoi ? Ce n'est pas parce que je lève souvent mon poing que je n'aime pas savoir qu'on me protège, qu'on s'occupe de moi. J'aime, j'adore. Être le centre d'intérêt, hmmm... Quelle femme n'aime pas cela, honnêtement ? En revanche, n'essayez pas de me câliner, me bisouiller, ou autres bêtises humaines. Je ne supporte pas cela.

Ce que je pense du fait d'être mutante ? Et bien hum... A vrai dire, je me fiche un peu de tout cela. En réalité, je suis pour le parti dictatorial, impérialiste et repressioniste des manchots. Quoi ? Ce n'est pas intéressant ? Mais c'est passionnant pourtant ! Plus sérieusement, ce que je pense de l'idéologie de Magnéto... A vrai dire... Bah je m'en fiche totalement. Pour moi, c'est plus un jeu qu'autre chose vous voyez ? Je me moque absolument de savoir si en tant que mutante je suis intégrée ou non : je le suis. Mais pour le reste, ce n'est pas ma guerre. Voilà pourquoi malgré tout, en voulant servir une cause, j'ai choisi la Confrérie : avec le profil que je me traine et mon envie de jouer avec mon pouvoir, on ne peut pas vraiment dire que je peux jouer les grands gentils au coeur pur du côté des X-men.



Talents et Compétences particulières :

- parle quasi-couramment la langue française. Du moins, j'ai le niveau d'un lycéen français. C'est déjà pas mal non ?

Histoire du personnage :

Faut que je raconte ma vie aussi ? Mais vous abusez là, non ? En tout cas, ma petite enfance débute dans un manoir. Parfaitement. Un manoir. Ma mère est une employée de l'ambassade française et mon père est un militaire. Plus précisément : un commandant de l'armée américaine. L'intérêt de tout ceci ? Il est très simple. Si ma mère du fait d'être à l'ambassade française dispose d'une immunité diplomatique, étant moi-même née en sol français, je dispose également de ce droit par la même occasion. Ça y est ? Vous commencez à comprendre "les joies" de la politique ?
Reprenons depuis le début. Quelques années bien avant ma naissance, de préférence. Mon père venait tout juste de s'enrôler dans l'armée américaine et par un très curieux concours de circonstances, se retrouve en territoire français pour rendre visite à une branche de sa famille s'étant installé en France. Quelques jours de congés, c'était assez pour venir se faire admirer par des cousins éloignés alors tout fier d'avoir un militaire quelque part dans leur arbre généalogique.

C'est alors qu'il y fit la connaissance de ma mère, alors secrétaire dans un Centre d'Information et de Recrutement de l'Armée de Terre. Coup-de-foudre. Malheureusement, il avait des engagements et ils ne purent que se voir épisodiquement, s'écrivant principalement, décidant dans leurs lettres de mon nom. Mon père qui désirait ardemment épouser ma mère et l'emmener ici, à New York, avait clairement demandé à ce que j'ai un prénom américain. Ce à quoi cette dernière, qui était fleur-bleue pendant sa grossesse, avait tranché pour "Juliet". Après tout, Juliette est un prénom français et si l'on retire le "te" de fin, nous obtenons quelque chose qui plait aux deux. Jewel est une idée de mon père. À ses yeux, j'ai toujours été son petit joyau. C'est ainsi que je naquis à Paris, alors que mon père était en mission avec l'armée à l'autre bout du monde. De ce fait, j'ai la nationalité française.


Après cela, ma mère décida de s'installer à New York, comme nous le disions. Devint secrétaire à l'ambassade française en faisant jouer ses relations, épousa mon père qui me reconnut et de ce fait, j'obtins enfin le nom de famille qui me revenait de droit, avec l'immunité diplomatique au même titre que ma mère. Vous trouvez ça cool vous ? Avoir des droits diplomatiques et être fille de militaire, dans un manoir tout à fait coquet ?


Oui et non. D'abord, mon père n'était quasiment jamais présent et ma mère aimait cette richesse, au point de me prendre une nourrice. Ainsi, quand j'apprenais à marcher, elle se pavanait dans des robes somptueuses et hors de prix, sans compter les parures et bijoux qu'elle portait. Elle ne m'embrassait jamais, ne me touchait jamais, de crainte de se "salir". Les preuves d'affections étaient aussi aride qu'un désert chez elle. Qu'importe ! À défaut d'être très présent, mon père me faisait sauter sur ses genoux ou faisait l'avion jusqu'à me donner le tournis.

Et à l'école ? Intelligente, disait mes professeurs. Et une excellente mémoire auditive. Manque de concentration. Ce n'était pas faux : je n'arrivai jamais à me concentrer sur un texte ou un livre ; mais à défaut, il suffisait que j'écoute attentivement pour obtenir des résultats non négligeables sans toucher livres et cahiers par la suite.

C'est à cette période, où je devins une "accro" à l'ordinateur. J'adorais cela. Il y avait tant et tant de choses amusantes... Et là je vois vous venir. Vous pensez que déjà, je faisais preuve d'un "certain don". Je vous coupe tout de suite. Je jouais à de bêtes jeux pour enfants. Désolée de vous décevoir. En revanche, je m'intéressais malgré moi à la mode. J'avais beau de pas avoir des relations au beau fixe avec ma mère... Je l'admirais. Elle était si belle, si inaccessible, en réalité... Je me découvris quelques atomes crochus avec elle en me mettant peu à peu à la copier. En me mettant à aimer les jolies choses de luxes, comme elle. À vouloir savoir me "tenir", être distante et belle. Comme elle.


A l'adolescence ? Mes premiers flirts ? Oh là là... Je crois que mon premier baiser était une camarade de classe. Oui oui. Une. Pas un. Je ne suis pas lesbienne, hein. J'étais juste curieuse en ce temps-là. D'autant qu'à cette période, je m'étais quelque peu détaché de mon Lord. Lord Inateur, pour ceux qui n'écoutent jamais rien à ce qu'on leur dit. Mais ce n'est pas le plus important à cette époque-là de ma vie. Je dirais que c'est lorsque je me suis mise à faire des tentatives de suicides pour qu'on me remarque plus, toujours plus. Résultat ? Ma mère a d'abord tenté les psychologues, avant de m'expédier en pensionnat. Merci maman, merci. VDM.

Pendant le pensionnat, je fus une jeune fille tout à fait solitaire. A vrai dire, je n'avais pas la moindre envie de leur parler, à eux. Pourquoi faire ? Je préférais encore m'amuser avec les ordinateurs. Ça, c'était beaucoup plus passionnant. C'était quasiment instinctif pour moi. Et puis... Je ne sais comment vous dire exactement à quel moment je me rendis compte de mes talents. C'était inconscient au début. Puis peu à peu, j'en pris conscience, tentant de découvrir ce que je pouvait faire, en ne me fixant aucune limite. Si vous saviez tout ce que j'ai réussi à faire en douce à cette époque-là... Au début, je me suis contenté de hacker, des sites, des comptes d'utilisateurs. Ensuite, j'ai appris à créer et envoyer des virus, a les faire disparaitre. Je ne faisais plus que cela. C'était à la fois un jeu et une obsession pour moi.

Si je réussis à avoir mon diplôme avec des résultats acceptables sans plus, je m'en fichais totalement à vrai dire. J'étais devenue une véritable boulimique de mon pouvoir. Plus, plus, toujours plus. Et à force de toujours en faire, encore et encore... Je découvris toutes mes capacités et mes limites. Car comme je le disais, je suis comme un disque dur : je peux vite saturer en faisant trop de choses à la fois avec ce don. Et je parle en connaissance de cause. À force de trop en faire, j'ai presque failli saturer. Je suis tombée dans un profond coma quelques semaines. Après cette expérience quelque peu... douloureuse, qui me prouvait clairement à mon grand regret que j'avais été trop gourmande. J'en avais trop voulu d'un coup, sans attendre. Alors je repris peu à peu gout à la vie, sortant avec des hommes surtout. Des militaires, des médecins... Quiconque pouvant avoir une position sociale intéressante.

Reprenant mes études également. Oh, un métier loin du cyber, mais néanmoins si reposant... Thanatopracteur. Embaumeur si vous préfèrez. Au moins, les morts ne peuvent ni parler ni m'embêter. Je suis seule maitre à bord. C'est un peu comme s'ils étaient mes marionnettes. A priori, certains trouverait curieux qu'une personne comme moi bosse sur des cadavres. Et alors ? Je travaille à mon propre compte, je décide sans contraintes. J'ai l'immunité diplomatique, des relations dans l'armée et un peu partout. Ajoutons à cela mon merveilleux talent. Le fait que je suis loin d'être laide et que je suis riche. J'ai une vie qui en fera pâlir d'envie plus d'une. Que demander de plus ?


Une cause, bien évidemment. Car avoir le pouvoir mine de rien, sans avoir de but, c'est d'un ennui mortel. Heureusement pour moi, en glandant quelques informations ici et là, d'abord par curiosité, je finis par entendre parler de Magneto. Par qui ? Oh là là... Si vous croyez que je me souviens de toutes les têtes m'ayant parlé... En tout cas, je me renseigna d'avantage, autant sur lui que sur ce curieux institut Xavier. Et je choisis le clan qui me permettait de m'amuser librement avec mes talents. La confrérie, bien entendu. Ainsi, officielement, je suis une jeune embaumeuse possèdant l'immunité diplomatique, mais officieusement... Je suis une cyberpathe confrériste.






[Cerebro]

Joueur

Personne sur l'avatar : Katie Holmes
Expérience en RP : cela fais plusieurs années que je joue...
Où avez-vous entendu parler de notre forum : je joue déjà dessus ^^
Double comptes : oui, Liora Shprinzel.
Votre personnage provient-il des Comics ou des Films X-Men : non

Je certifie avoir lu le règlement et m’engage à en respecter les clauses. Je m'engage à toujours écrire au moins 5 lignes pleines dans chacun de mes messages en Role-Play. [Lucille][b]