Liberty arrive{Libre}

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Le paysage défilait devant mes yeux, un beau et sublime paysage. Il y avait du vent aujourd’hui, la pluie menaçait de tomber. Moi, j’étais à l’abri dans ma voiture, ma mère conduisait mon père, lui, travaillait et n’avait pas pu venir m’accompagner à l’institut. J’aimais quand il y avait du vent, peut-être parce que cet élément faisait partie de ma vie depuis pas mal de temps… Nous allions bientôt arriver, je sentais ma mère nerveuse à l’idée de me laisser dans les mains de gens inconnus. Oui, elle n’en avait que faire qu’ils soient mutants ou non, mais se qui l’inquiétait c’était qu’elle ne connaissait personne ! Mes parents avaient acceptés dés le début le faite que je sois mutante, essayant de m’aider comme ils le pouvaient, mais plus mes dons évoluaient plus ils étaient dépassés. Quand un homme en chaise roulante, prénommé charle, était venu nous voir ils avaient acceptés le faite que j’irais apprendre là-bas. Mes yeux fixaient l’horizon quand j’entendis ma mère parler

« Quel temps de chien…La pluie s’annonce, tu devrais mettre une veste ma chérie. »

Je tourne les yeux vers ma mère et pour simple réponse je lui sourie, elle me rend ce si doux sourire avec une grande tendresse. Ensuite, au loin, je vis un grand bâtiment se dresser ainsi que des grilles. Je bouge légèrement dans mon siège, je devenais nerveuse se qui était mauvais signe. Comment allais-je être traité ici ? Es que j’allais me faire des amis ? Tellement de question, puis, avec ce « handicap » d’être mutante ce n’était pas la joie tout les jours. Finalement, la voiture pénètre dans une allée rocailleuse, quelques gravier vole contre la carrosserie de la nouvelle voiture de mes parents et ma mère grimace alors que moi je rigole. Elle et sa voiture… Ma mère va garer la voiture non loin de l’entrer, une fois arrêtée, je sors de celle-ci avec une aisance et une facilitée hors norme. J’étais assez souple, même très souple et j’avais des gestes félins quelques fois se qui me donnait une certaine élégance que je tenais de ma mère. Le vent vient caresser ma chevelure noire qui vola un peut dans tous les sens, mes yeux noisettes observèrent les environs avec curiosité. Ma mère attrape une valise et je fais de même, ensembles, nous nous dirigeons vers le hall d’entré. Une fois à l’intérieur, je regrette déjà la brise fraiche qui fouettait l’air à l’extérieur. Ma mère me dit au revoir, elle me pose un baiser sur le front les larmes aux yeux, je lui sourie et lui dis que tout va bien se passer. Enfin, je l’espérais. J’observe ma mère s’éloigner et sortir, me voila seule dans un endroit inconnu. Je pose ma valise sur le sol et sors un plan du bâtiment, il était écris qu’une personne viendrai m’accueillir et me dire quelques petites choses. Je dis alors à haute voie

« Bon, j’ai trouvé l’institut maintenant, faut que je trouve la personne en question…en espérant qu’elle soit pas invisible…

Un petit sourire se désigna sur mes lèvres.

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Il était quand même tard dans la journée et Julien n’était toujours pas levé, il dormait toujours. Alors qu’il se réveillait en sursaut, il vit par la fenêtre que le temps était plus ou moins beau. Il se leva, se regarda dans le miroir, et entendit son ventre crier famine. Il sorti de sa chambre et se dirigea vers la cuisine. En chemin il croisa plusieurs personnes et salua du monde par-ci par là. Il arrivait tout près des escaliers et c’est alors qu’il entendit une jeune fille parler. *Tiens tiens, une nouvelle on dirait…*[*] Julien regarda la jeune fille avant de descendre et puis, rapidement, il sauta par-dessus la rampe et atterrit tout en douceur en faisant en sorte que le vent le soulève. Il se dirigea vers la jeune et tendit sa main en disant…

-Bonjour mademoiselle, mon nom est Julien et Willson. Bienvenue à l’institut Charles Xavier pour enfant surdoué. Avez-vous besoin d’aide ?

Il fit une révérence ensuite pour faire rire la jeune fille. C’est en faisait cette révérence qu’il s’aperçu qu’il était encore en caleçon, sans chandail ni rien d’autre. Il eut un sursaut et se cacha un peu le corps et se gratta la tête en singe de gêne. Il regarda la jeune fille dans les yeux et dit…

-Désolé, je savais vraiment pas que…euh..et bien tu vois…

Puis il recula un peu en signe de gêne, encore. Puis il lui sourit pour essayer de détendre l’atmosphère. Il regarda les valises de la jeune fille et vit qu’elle en avait moins que lui à son arrivée, ce qui le fit sourire. Il se reprocha de la jeune fille comme il l’était au départ puis lui demanda…

-Alors, nouvelle..j’imagine que vous avez besoin d’aide. Quel est votre nom ?

Puis Julien pencha la tête mais continua de regarder la jeune fille.

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J’observais autour de moi d’un air calme et simple, je tapotais quelques fois du pied ou observais ma montre avec angoisse. M’aurait-on oublié ? Finalement, j’entends des bruits de pas venir vers moi, quand alors, je sens le vent se lever. Etant donné que cet élément faisait partie de moi, je le sentais mieux que les autres. Je tourne alors la tête et vois un jeune homme arriver vers moi en caleçon, je le regarde drôlement quand il me tend la main. Je ne peux m’empêcher de la serrer en pouffant de rire, franchement, mon arrivée commençait drôlement bien ! Je serre donc la main de Julien en pouffant de rire, néanmoins, cette image me déconcerta quand même assez. Je l’observe calmement

« ….En…enchanté Julien. De l’aide ne serai pas de refus, mais tutoie moi s’il te plaît. »

Quand il fit une révérence et remarqua sa nudité j’explose totalement de rire face à ses paroles et sa gêne, quoi, en prime il n’avait même pas remarqué qu’il ne portait rien sur lui ! Et ben, c’est un phénomène celui-là ! Il fini par revenir vers moi avec un sourire, il regarde mes valises et me dit que je suis nouvelle puis me demande mon prénom. Je passe une main dans mes cheveux calmement, mais avec un air assez nerveux

« Oui, nouvelle et toute fraîche de cinq minutes… Je suis Tania, Tania Stuwart mais appelle moi Liberty je préfère… Ben, comme je suis nouvelle je ne sais pas vraiment ou je dois aller, je sais que j’ai la chambre sept c’est tous…Puis bien sur, que ici c’est une école de mutant et tous le tralala. »

Je fais un petit sourire d’amusement, puis, je regarde autour de moi calmement. C’est alors qu’un grand bruit sonore retentit, par peur, je sursaut et brusquement je prends une forme gazeuse comme le vent. Je détestais quand cela m’arrivait ainsi, la carte que j’avais en main flotta quelques instants dans les airs sur la paume de ma main. Oui, maintenant, j’étais simplement comme le vent. Je grimace alors et me concentre comme je peux pour retrouver ma forme solide, quand cela arrive, j’attrape la feuille qui commençait déjà à tomber, je sourie gênée
[color =orange] « Dés
olé, problème d’émotion »[/color]

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Julien se sentait ridicule d’être sorti sans chandail, et juste en caleçon. Il regarda la jeune fille avec gêne encore et encore. La jeune fille, semblait être amusée, ce qui fit rire Julien aussi. Valait mieux en rire qu’en pleurer. Julien regarda autour de lui et vit qu’il n’y avait personne dans le grand hall de l’institut. Il trouvait ça bizarre, surtout à cette heure, d’habitude l’institut était plein de vie à six heures du matin. Mais il se disait que la température était mauvaise, alors les gens ne voulaient pas sortir. Julien senti qu’il se préoccupait plus de la nouvelle jeune fille. Il se tourna vers la jeune fille et elle dit…

« ….En…enchanté Julien. De l’aide ne serai pas de refus, mais tutoie moi s’il te plaît. »

Julien voulait bel et bien l’aider mais il ne savait pas trop comment, il n’avait jamais accueilli un nouvel élève, et puis son accueille à lui était un peu catastrophique. Quand il y repensait, il se sentait gêné de lui-même et voudrait tout recommencer. Encore une fois, il déviait du sujet, il se concentra de nouveau sur la jeune fille…

« Oui, nouvelle et toute fraîche de cinq minutes… Je suis Tania, Tania Stuwart mais appelle moi Liberty je préfère… Ben, comme je suis nouvelle je ne sais pas vraiment ou je dois aller, je sais que j’ai la chambre sept c’est tous…Puis bien sur, que ici c’est une école de mutant et tous le tralala. »

Julien écouta la jeune fille et la trouvait quand même drôle, comment elle s’exprimait. Puis elle se présenta, elle s’appelait Tania Stuwart mais elle préférait qu’on l’appelle Liberty, Julien n’avait aucun inconvénient à cela. Elle dit aussi qu’elle avait la chambre sept et qu’elle ne savait rien d’autre. Puis elle fit une brève description de l’institut. Julien voulait préciser un peu plus le but de l’institut…

-Alors bonjour Liberty, comme je t’ai dit je te souhaite la bienvenue à l’institut. Si tu veux, je peux t’amener à ta chambre…

Mais un bruit sourd retentit près des deux jeunes gens. Julien eu un sursaut mais ne paniqua pas parce qu’il savait que c’était rien de grave. Mais par contre, Liberty, elle, avait paniquée et son pouvoir c’était enclenché tout seul. Julien savait ce que c’était ne pas avoir le contrôle de ses pouvoirs, mais il remarqua que la jeune fille c’était transformé en aire. Julien était stupéfait, car lui, pouvait contrôlé cet élément. Julien regarda la jeune fille avec étonnement....

« Désolé, problème d’émotion »

Julien était encore étonné…

-Non non, je comprends, j’ai déjà été dans cette situation là moi aussi. Mais je suis stupéfait de ton pouvoir, parce que le mien c’est de contrôler les quatre éléments. Je sais que ça se dit pas mais, je pourrait te contrôler quand tu est sous ta forme gazeuse.

Julien regretta d’avoir dit ça, il trouvait ça un peu trop déplacé…

-Oups, désolé je n’aurait pas du..

Puis Julien se gratta la tête.

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J’étais donc la devant le jeune homme en caleçon, enfin, plutôt Julien en caleçon car c’est sa son prénom. Curieusement, je me demandais se qu’il savait faire lui. Oui, tous le monde dans cet institut savait faire quelque chose d’étrange, d’extraordinaire, c’est comme sa que je le voyais. Je passe une main dans mes cheveux, je n’aimais pas les avoirs longs et pendant dans mon visage, je les attachais toujours en général mais pas aujourd’hui. Je l’écoute me souhaiter une nouvelle fois la bienvenue et dire que si je le voulais, il me montrerait ma chambre. Je lui sourie une nouvelle fois, je n’étais plus vraiment mal à l’aise face à ses habits plutôt inexistant, sur le coup sa fait rire mais après ben on s’y habitude quoi. C’est quand je voulu le remercier qu’un bruit sourd retenti, Julien sursauta à peine alors que moi je pris peur et déclencha mon pouvoir défensif. Je deviens aussi légère que l’air, je me mis à flotter légèrement dans le vide, mon corps en entier bougeais comme une vague de vent. J’étais transparente mais pas invisible, quand je me rendis compte de sa, je me concentre pour redevenir solide assez confuse. Faudrait vraiment que j’apprenne à me contrôler… Bref, je m’excuse envers Julien, je lui dis que c’est un problème d’émotion, néanmoins il a carrément l’air sous le choc. C’est alors qu’il me dit qu’il est stupéfait, qu’il contrôle lui-même les quatre éléments et qu’il pourrait me contrôler sous ma forme gazeuse. Ouai, c’est sûr que cela ne se dit pas…. Néanmoins, je fais un petit sourire amusé, se qu’il ne savait pas c’est que je savais ma matérialiser en vent mais aussi contrôler le vent, donc, il ne pourrait pas me contrôler entièrement. Il me demanda ensuite pardon, il dit qu’il n’aurait pas du dire sa mais bon, ce n’était pas fort grave…

« Ce n’est pas grave… c’est super ton truc des éléments, mais je suis pas tout à fait d’accord avec toi…Je peux, comme tu l’as vu me matérialisé en vent, mais aussi, contrôler cet élément…Donc, tu saurais pas réellement me contrôler. »

Je lui tire la langue avec amusement puis lui fais un clin d’œil pour lui montrer que je ne lui en voulais pas, ensuite, j’attrape une de mes valises et regarde autour de moi avec un air amusé, doux et calme. Je passe une nouvelle fois une main dans mes cheveux pour les replacer convenablement, puis, je pense à un truc et regarde le jeune homme

« Ben, comme tu sais contrôler le vent aussi, tu ne saurais pas m’aider a le contrôler aussi j’ai quelques problèmes pour sa…. Paraît que c’est un problème de concentration, j’arrive à viser de gros objets comme des arbres, voitures…mais se qui est petits ben je passe à côtés avec mes rafales. En plus, la dernière fois, me suis envolée en même temps et je me suis retrouvée dix mètres plus loin dans un mûr… »

Je me mets à rigoler toute seule du à ce souvenir assez douloureux je l’avoue…

Invité

Julien se sentait un peu gêné d’avoir dit cette phrase, qui selon lui, ne se disait pas du tout. Dire à quelqu’un qu’il pouvait le contrôler, c’était un peu trop maniaque, désaxé mental. Mais La jeune fille lui avait dit qu’elle n’était pas blessée, mal à l’aise ou même offusqué. Tania, ou Liberty, avait l’aire d’une jeune fille bien enthousiasme, qui aimait rire, ce qui fit sourire Julien, car lui-même était ce genre de personne. Le pouvoir de Liberty c’était activé lorsque que le bruit les fit sursauter, et elle avait dit que c’était un problème d’émotion. Julien, lui, connaissait ce genre de problème, avant, c’est pouvoir s’activait lorsqu’il se sentait en danger. Julien avait appris, avec le temps, comment contrôle ses émotions et ses pouvoirs. Mais Julien se souvint les paroles qu’il avait dites à la jeune nouvelle et se sentait encore coupable…

« Ce n’est pas grave… c’est super ton truc des éléments, mais je suis pas tout à fait d’accord avec toi…Je peux, comme tu l’as vu me matérialisé en vent, mais aussi, contrôler cet élément…Donc, tu saurais pas réellement me contrôler. »

Julien senti un poids énorme se dégager des ses épaules, Liberty n’était pas fâché contre lui, il se serait senti vraiment mal si elle l’avait mal pris. Mais bon, l’histoire était ancienne, il fallait maintenant aider la nouvelle jolie et sympathique jeune fille prénommé Tania à chercher sa chambre. Julien se préparait à aller montrer la chambre à la jeune Liberty mais il se fit interrompre par celle-ci…

« Ben, comme tu sais contrôler le vent aussi, tu ne saurais pas m’aider a le contrôler aussi j’ai quelques problèmes pour sa…. Paraît que c’est un problème de concentration, j’arrive à viser de gros objets comme des arbres, voitures…mais se qui est petits ben je passe à côtés avec mes rafales. En plus, la dernière fois, me suis envolée en même temps et je me suis retrouvée dix mètres plus loin dans un mûr… »

Julien aurait bien voulu aider la jeune et nouvelle élève pour le contrôle de ses pouvoirs, mais il avait lui aussi de la difficulté à contrôler ses propres pouvoirs, par contre son entrée était un pur hasard. Julien ne voulait pas décevoir sa nouvelle future consoeur et lui dit…

-Tu sais, le contrôle du vent, ce n’est pas très difficile parce que c’est l’élément le plus présent dans notre vie. Tout ce que tu as à faire, c’est de te concentrer et de chercher toutes les particules d’aire que tu trouves et ensuite, que tu te les appropries…

Julien ne savait pas si il avait été clair dans ses explications, c’était probablement la pire explication qu’il avait pus donner dans sa vie. Il regarda Liberty et lui dit…

-Tiens, fais un test. Ferme tes yeux, ça l’aide. Alors concentre toi, chercher et cherche, ensuite quand tu les a fais les avancer jusque dans les paumes de tes mains et concentre-les tous ensemble, et ensuite tu les envoie où tu veux.

Ces explications là, Julien trouvait qu’il les avait bien réussi. Il se voyait professeur, expliquer à ses élèves comment faire pour contrôler leur pouvoir. Non, il n’aurait pas assez de patience pour faire apprendre des élèves, la patience c’est ce qui lui manquait le plus. Mais pour l’instant, il attendait de vois ce que le résultat de Liberty allait donner.

» Pourquoi faut il qu'il flotte quant j'arrive ? (libre)
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