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| Jhosua Rowlen, Sheshire Kat | |
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Invité Invité
| Sujet: Jhosua Rowlen, Sheshire Kat Sam 25 Avr 2009 - 10:09 | |
| Nom : Rowlen Prénoms : Jhosua Alias et Surnoms : L’Oniromancien, Sheshire Kat, ou plus ironiquement Keyser Söze, ainsi que divers diminutifs de ces surnoms. Age + Date de Naissance (JJ/MM/AAAA) : 16/11/1982 – 26 ans Genre : Masculin Clan : Neutre
Pouvoirs (identifiez : passif/défensif/offensif) :
Conversion Oniromantique – “Fairyzation” (Pouvoir Utilitaire à faible potentiel Offensif et Défensif):
Regardez votre téléphone. Un bête téléphone basique (et ce même si vous l’avez payé 300 balles et qu’il fait tondeuse et grille pain), comme on en voit tous les jours. Maintenant, pensez au genre de téléphone qu’utiliserait Coyote pour commander ses joujoux Acmé. Bon, vous voyez la différence ? Imaginez maintenant que l’on puisse, d’un simple toucher, transformer votre Ipheaune en un bon gros téléphone rouge gros comme vous de cartoon. Sympa, hein ?
En réalité, le pouvoir est plus large que ça : sur un toucher, Jhosua peut altérer les propriétés physiques d’un objet. Si la plupart du temps, ce pouvoir se solde par une simple modification de l’apparence et des paramètres physiques basiques comme le poids ou la taille, il peut aller plus loin, sans cependant que Jhosua puisse influer sur le résultat.
Les conditions de la conversion : ° Il faut un contact de la main pendant quelques instants pour que le pouvoir fonctionne ° Un seul objet (on considèrera qu’un vélo, par exemple, constitue un seul objet, même formé de plusieurs pièces), ne pouvant dépasser la taille d’une voiture, peut être Fairyzé pour une durée donnée et non contrôlée par Jhosua. Plus il Fairyze de choses en même temps, plus cette durée sera courte. Le degré de complexité et la taille peuvent aussi influer sur cette durée. Tout objet fairyzé se déconvertissant peut l’être de nouveau immédiatement. ° En dehors de ça, ce pouvoir affecte potentiellement tout ce que Jhosua veut, quelque soit le degré de complexité (cela le fatigue seulement plus) quel que soit ses connaissances sur la chose et quelque soit la matière. Il peut même affecter des organismes vivants. ° Dans le cas des organismes vivants, il affecte à la fois les paramètres physiques et le psyché de façon très légère. Dans le cas de l’humain, ceci est très, très difficile, mais plus facile chez certains animaux. Quoi qu’il en soit, le changement psychologique sera souvent subtil et il ne peut en aucun cas affecter grandement le caractère de sa cible : cela se limite à des variations d’humeur. ° S'il s'évanouït, les objets ne reprennent pas leur forme initiale: la durée reste inchangée ° Oui, il peut s’affecter lui-même. Mouhahahihahaha
Attention cependant, je vous vois sortir les armes anti-grosbill. Minute : Jhosua n’a aucun contrôle sur le résultat de cette Fairyzation ! Il ne peut que prier pour que ce qu’il fait soit utile. Cependant, la conversion répond aussi à des règles :
Les conditions dont dépend le résultat de la conversion : ° Le type d’objet de base reste inchangé : un téléphone donnera un téléphone, un gant un gant.
°Variation de résistance: En fonction de la matière et de la forme.
°Propriétés physique alterées: Taille, Poids, Matière, Forme, Couleur Il se peut que certains de ces facteurs entrent en contradiction, et ce n'est pas un problème (taille et matière peuvent ne pas correspondre à la masse, par exemple, et la matière peut ne pas correspondre à la couleur.). Occasionellement (et très rarement, il va sans dire), il peut arriver que la matière soit une matière incongrue et inconnue au bataillon ou que l'objet manifeste une forme primaire de conscience.
°Augmentation des capacités des objets: c'est possible mais pas obligatoire. Je reprends l'exemple du poisson: Jhosua ne les aime pas, ils prendront donc probablement une forme monstrueuse, par exemple avec de grandes dents, une plus grosse taille et de plus longues nageoires. C'est une forme d'amélioration. Si Jhosua se retrouve dans une situation ou il à un besoin vital d'avoir du réseau, par exemple, et qu'il sort son portable, qu'il connait bien, et qu'il le transforme, il y a des chances que l'objet capte effectivement plus loin. Mais pas sans réseau, puisque l'objet garde la même fonction, et qu'il faut a un téléphone du réseau pour fonctionner.
° L’objet prend toujours une apparence typée féerique/onirique ne répondant pas toujours avec la logique de notre univers : il se peut parfois que la matière, la forme ou autres facteurs entrent en conflit avec la fonction : pour reprendre l’exemple du téléphone, il peut arriver que Jhosua produise un téléphone en feuilles et branches : à priori donc, avec lequel on ne peut pas téléphoner. Dans ce type de conflits apparents, la règle est que la fonction prévaut toujours sur la logique. Tout objet, quelque soit les transformations qu’il subit, gardera toujours la même fonction.
° Le résultat exact dépend grandement de l’état d’esprit profond de Jhosua envers l’objet : Par exemple, il n’a jamais aimé les poissons, qu’il trouve glauques. Si cela le prend de Fairizer un poisson, celui-ci prendra sans doute une forme inquiétante, voir monstrueuse.
° Le résultat dépend aussi de l’état d’esprit immédiat de Jhosua : un jour de très bonne humeur, ce même poisson inquiétant peut l’être beaucoup moins.
° Bien sur, le résultat dépend aussi de l’objet de base, de son « vécu d’objet » (psychométers me comprendront), ce qui fait que deux Fairyzations d’objets similaires, voire du même objet ne seraient jamais purement identiques.
° Attention : malgré l’effet que peut faire l’humeur de Jhosua sur le résultat, il n’a aucun contrôle conscient de son pouvoir : il ne choisit pas ce que cela va donner, n’en a pas conscience et ne peut qu’y aller au petit bonheur la chance.
° Deuxième Attention: Même si les objets et les êtres vivants affectés par la Fairyzation se voient modifiés, ils sont toujours victimes de toutes les lois de la physique: c'est la matière et la forme qui dicteront la résistance, ils seront soumis à la gravité etc...
Il résulte généralement d’une Fairyzation des changements de matière, de masse, de couleur, de forme et tout ce qui s’ensuit. Virtuellement, elle peut donner naissance à a peu près n’importe quoi dans certaines limites : la masse et la taille dépassent généralement pas 150% environ de celles de l’objet initial. En pratique cependant, elle se révèle souvent… pas très utile et Jhosua est souvent obligé de Fairyzer un grand nombre d’objet avant de tomber sur un approprié à la situation.
Espace Onirique – “Through the looking glass” (Utilitaire mais potentiellement Défensif)
Ici, on est à la fois pas loin du premier pouvoir et plus loin dans la même logique. Que se passerait-il si on Fairyzait non pas un objet mais un espace entier ? Les règles sont à peu de choses prés les mêmes : seulement il y a des subtilités :
L’espace s’étend sur une pièce. Pour le déclencher, Jhosua doit, bien sur, être dans la pièce au préalable. Impossible de la déclencher cependant dans une pièce qu’il ne connait pas : il doit connaitre les moindres recoins de l’endroit, s’être imprégné de l’ambiance du lieu. Lors du déclenchement de cet espace, la pièce est transfigurée : au lieu d’une bête fairyzation de tous les objets à l’intérieur, il s’agit en fait d’une transformation de l’ensemble de la pièce, du tout. Ainsi, on ne retrouve pas chaque objet, même si certains détails les rapellent (une colline en forme de téléphone , des arbres aux feuilles de cours). L’espace nouvellement crée s’accompagne d’une distorsion de l’espace qui fait que ce « monde » onirique peut être considérablement plus grand que la pièce qui le contient, ceci étant fonction de la concentration initiale de Jhosua. Quelqu’un en dehors de la pièce ne la verra pas varier de taille mais pourra voir en ouvrant la porte l’espace onirique. Un traceur de mutants pourra tout à fait tracer un mutant dans cet espace
Plus la pièce de base est grande et plus elle contient d’objets, plus le « monde onirique » est grand, plus la durée qu’il veut le faire durer est grande, plus le nombre de personne est important, plus la concentration de Jhosua lors du déclenchement du pouvoir doit être importante. Plus il connait la pièce, plus il est habitué à y résider et plus le nombre de fois ou il à relâché la zone est important, plus au contraire, sa concentration devra être moindre.
Chaque être vivant entrant ou étant simplement de la pièce ressentira les effets d’une conversion onirique : altération des caractères physiques, pouvant se rapprocher des caractères animaux/monstrueux, ceci étant laissé totalement à la discrétion des joueurs de ces personnages ou à moi dans le cas des animaux. De plus, chaque chose qui rentre dans la pièce après déclenchement du pouvoir raccourcit la durée de ce dernier. En effet, une fois déclenché, Jhosua n’a plus à s’en soucier pour une durée donnée.
L’espace Onirique répond souvent aux règles de la physique telles que nous les connaissons. Mais pas toujours. En effet, il peut arriver, les jours de grande confusion, colère ou tristesse, que les lois de basiques comme la physique en prennent un coup dans le nez : inversions, oublis ou autres. Il s’agit de cas extrêmement rares, qui peuvent se produire de façon totalement incongrue. Dans ce cas là, tout l’espace onirique est affecté, même Jhosua, de façon totale par ces nouvelles lois. Virtuellement, toutes les lois de la physique peuvent être affectées, ce qui rend le passage dans ce monde lorsque Jhosua ressent une émotion grave très dangereuse, et ce malgré la grande rareté de ces incongruïtés de la physique.
Niveau de maitrise du pouvoir : Jhosua maitrise bien son pouvoir : Il peut maintenir une Fairyzation en moyenne 10 minutes sur des objets de taille et de complexité raisonnables, et il peut maintenir pendant une bonne heure et demie sa Zone Onirique dans les endroits qu’il connait très bien, comme sa chambre, en étant seul.
Les émotions, quand à elles, affectent bien évidemment son pouvoir, d’abord de par la nature du dit pouvoir. Mais aussi, dans le cas du premier, une émotion forte peut raccourcir la durée de la fairyzation et dans des cas extrèmes donner naissance à des objets difformes, mal transformés. Dans le cas du second, parce qu’une émotion intense (qu’elle soit positive ou négative), peut rendre très difficile la mise en place du champ onirique et qu’elle peut rendre ce même monde particulièrement dangereux ou incongru. Pour cette raison, Jhosua n’utilise généralement ce pouvoir qu’au calme, et généralement seul.
Lien entre les 2 pouvoirs : Dans le premier cas, il s’agit de fairyzer un objet, dans le deuxième de faire la même chose, mais avec un espace entier : en réalité, il s’agit juste d’une variation de la taille de la zone onirique : le premier pouvoir limite la zone à un objet, le second à toute une pièce.
Description physique : Jhosua n’est ni grand, ni fort, ni un modèle de masculinité exacerbée : il n’est pas de ces héros aux allures de durs costauds, il n’est pas de ceux dont on les dirait si robustes que faits de métal et qui ont vu la peau tannée par l’expérience et le sang de leurs ennemis. Il serait même plutôt petit, svelte et efféminé. Mais quelle importance, hein ? Jhosua est un jeune homme aux allures élégantes, doté de cette aisance naturelle qui fait les roublards de premier ordre et de cette démarche dans laquelle un petit je-ne-sais-quoi rappelle les félins. Aussi loin que peuvent aller les androgynes, il est assez beau dans sa façon particulière d’être, et même si on peut le confondre, de dos, avec une femme, sans doute à cause de ses longs cheveux noirs, fouettant le vent de milles mèches comme tout bon mec classe qui se respecte, il reste une personne a qui on peut s’intéresser au premier abord par son physique particulier, se démarquant du commun des mortels. Car entre son sourire, narquois et sur de lui, et cette aisance naturelle, cette énergie posée et cette tendance à la narquoiserie, qu’il porte au niveau d’art, deux genres de personnes peuvent s’intéresser a lui : la gent féminine d’abord, la police ensuite, dans les deux cas pour s’informer de ses activités dans la nuit du six au sept.
Toujours décontracté, Jhosua ne court pas, il marche, et ne saurait s’encombrer d’habits trop restreignants. Il s’en tient le plus souvent à des pantalons larges, de grands tee-shirts aux messages subversifs ainsi que des manteaux longs, acmé de la classe selon lui-même.
Signe(s) particulier(s) : Un discret petit tatouage sur le dos de la main, représentant un sourire et des yeux sans visage.
Caractère, tempérament : Jhosua n’est pas a proprement parler quelqu’un de très facile a cerner : lunatique et changeant, on ne sait jamais trop vraiment si il est sérieux. On parvient cependant a dégager deux facettes de sa personnalité.
Au quotidien, Jhosua est un jeune homme exubérant et quelque peu excentrique, le tout nimbé d’une couche de sarcasme parfaitement étudié pour faire mouche. Irrévérencieux, ce jeune homme n’a rien de rebelle, cependant il reste fasciné par la découverte de ses propres capacités a titiller l’autorité le plus possible sans se faire piquer. Parfois irritant compte tenu de sa forte propension a l’irrévérence et au sarcasme incisif, il lui arrive de tenir des propos forts peu élogieux, a tel point qu’il s’attire continuellement des ennuis, envers les personnes qu’il hait le plus, les gens qui profitent de leur position sociale ou hiérarchique pour rabaisser les autres. Cependant, Jhosua, loin de donner une image enfantine présente une certaine maturité dans son exubérance. Son calme constant y contribue en grande partie.
Quand viennent certains jours de pluie ou de fatigue, le mutant apellé Sheshire Kat par ses amis se fait plus silencieux, moins sarcastique, moins exubérant. Ces jours là, ou il jette un regard lassé par la fenêtre, on le sent ailleurs. Il se fait plus sage et moins turbulent, d’un calme impassible éternellement figé d’un doux sourire rêveur. Ces jours ci, il se fait plus silencieux, évitant de parler pour ne rien dire d’utile, et si parfois il parait dans la lune, il lui arrive de sortir des phrases qui laissent présager qu’il a tout écouté. Il se fait plus simple, plus amical et laisse tomber tous les subterfuges de l’esprit. La déprime lui est nécessaire, de temps en temps, et elle l’enchante plutôt qu’elle ne le mine.
Talents et Compétences particulières : ° Peintre de renommée internationale (sous le nom de Sheshire Kat), surtout pour ses paysages féeriques et irréels. °Niveau d’enseignement : N’a plus vu une salle de classe depuis ses 14 ans, à peu près, mais apprend surtout en autodidacte. °Imagination ultra-débordante
Dernière édition par Jhosua Rowlen le Lun 27 Avr 2009 - 10:22, édité 3 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Jhosua Rowlen, Sheshire Kat Sam 25 Avr 2009 - 10:11 | |
| Histoire du personnage : Twas brillig, and the slithy toves Did gyre and gimble in the wabe ; All mimsy were the borogoves, And the mome raths outgrabe. On a déjà vu homme sans sourire. Mais a-t’on jamais vu un sourire sans homme ? C’est un peu la manière dont on pourrait résumer sa vie tant on connait son nom et peu son histoire. Pour certains, c’est une légende urbaine qui conte l’histoire d’un jeune homme qui à un jour disparu dans sa chambre devenue une forêt, et qui réapparait de temps en temps à des gens pas très nets niveau boisson, des ailes dans le dos. Pour d’autre, c’est un chat du Cheshire qui apparait ça et là au gré de ses envies, duquel on ne connait aucun passé, aucune famille, et qui est un jour tombé du ciel sans prévenir dans les affaires importantes du monde de l’ombre, comme un juge impartial qui veille au respect des règles tacites de ces mafias. Pour d’autres, c’est un chef de bande organisée très mystérieuse, qui ferait des affaires dans le monde de la pègre bien caché derrière des centaines d’hommes de main ne savant même pas pour qui ils travaillent, un vrai Kayser Söze. En effet, personne ne l’a jamais vu travailler ouvertement. Qui se rappelle du petit gamin rêveur des rues de Londres, qui rêvait du futur avec de grands yeux brillants ? Et ceux qui s’en rappellent, peuvent-ils savoir ce qu’il est devenu ? Comment il est arrivé là ou il en est ? Comment il est devenu l’homme sans passé, sans famille, sans travail, mais pas sans argent, qu’il est devenu aujourd’hui ? ** Petit, déjà, il dessinait très bien. C’était d’ailleurs un gamin doué : intelligent, calme, lisant beaucoup, n’embêtant pas beaucoup ses parents, enfin bref, le gamin idéal, qui se tait et qui écoute ce qu’on lui dit. Il parlait d’ailleurs très peu, tout comme il s’intéressait très peu au monde réel, préférant le doux refuge de ses pensées. C’était un élève discret, intelligent sans être un génie, attentif sans l’être vraiment, enfin bref, un bon élève, mais sans plus. Tout était fait pour qu’on l’oublie. Et il aimait à se faire oublier un temps, pour disparaitre soudain. Pour dessiner. Il dessinait beaucoup. Chaque dessin qu’il finissait, satisfait de son travail, il le punaisait au mur de sa chambre. Alors quand les murs furent pleins, il commença à en faire de petits dossiers, qu’il empila jusqu'à ce qu’il n’y ait plus de place sur le bureau. A ce moment là, un problème se posa : le manque de place. Alors il commença à les colorier. Du coloriage il passa petit à petit à la peinture. Et là il fut comblé. Il avait trouvé sa vocation, sa passion et son don en une après midi. Ses parents, en revanche, ne virent pas la chose d’un bon œil : en effet, issus d’un milieu petit-bourgeois, ils voyaient l’art d’un mauvais œil, rêvant pour leur fils d’une paisible carrière comme le font les parents, surtout quand l’art n’était pas réel. De l’avis du père, si la photo avait été inventée, ce n’était pas pour rien, alors si on voulait capturer une scène, on la photographiait. Et si quelque chose n’existait pas, on ne cherchait pas à le photographier : on le laissait là ou il était, dans son imagination. Chose dont le dit père était définitivement dénué. Alors le père, grand modèle de pragmatisme crétin, entra soudainement dans la chambre de son fils avec le charisme d’une huitre avec une cape et un slip. Rouges. D’un mouvement agile, presque félin, l’œil captant le pinceau comme une proie que l’aigle vise, il retira des mains de son fils l’instrument du malin. D’un œil intransigeant et plein de rigueur terrible, il inspecta la créature de Satan que son fils peignait sur le papier impie. Un gnome ! Son fils ! Un gnome avec un chapeau pointu ! Grands dieux ! D’une voix comme le tonnerre qui gronde, il fit tonner sa sentence : ou le fils se remettait au travail dans le monde réel pour devenir fonctionnaire plus tard, ou bien il continuait ses activités artistiques et devenait peintre dans le caniveau. Il ignorait sans doute que, et beaucoup de peintres vous le diront, forts de leur expérience, peindre dans un caniveau est une tâche ardue : le chevalet est bancal et peut se mouiller. Donc, il interdit au fils bouche bée ces activités impies que sont la peinture, en criant à tout va que dans une famille de fonctionnaires depuis huit générations comme la sienne, qui avait vaillamment servi l’Angleterre avec honneur, même pendant le terrible Blitz de ces sales boches, on ne verrait pas un fils gitan. Ce qui dans son esprit équivalait artiste, le métier de fonctionnaire ne demandant de toute façon pas beaucoup d’instruction ni de jugeote. Il s’en fut alors, avec la grâce d’un prince, le pinceau toujours en main, et claqua la porte, comme un ultime coup de théâtre. Lorsqu’il revint, une heure plus tard, la chambre était devenue un champ verdoyant. La fenêtre du champ étant ouverte, il s’empressa de la fermer avant de réagir enfin : son fils n’était plus là. ** Le garçon, déjà agé de 14 ans, s’étant enfui eut tôt fait d’être récolté, comme on cueille une pomme, par un nouveau foyer : le pub de la ville voisine. Il y avait au pub un vieil ami de la famille qui l’hébergea quand l’enfant lui fit croire que ses parents, pour lui apprendre la rigueur d’un métier ardu, l’avaient envoyé ici pour apprendre comment travaillent les gens honnêtes. Bien sur, il cacha ses pouvoirs, ne les comprenant à vrai dire pas lui-même, encore, à l’époque. ** Un jour que Jhosua était une fois de plus assis sur un banc, au parc, en train de rêver, comme toujours à un monde plus beau qu’il rejoindrait la nuit venue dans sa chambre exigüe du Pub, et que son crayon dessinait distraitement sur le papier une foret enchantée, un homme, un passant, un personne, quelqu’un dont le nom n’a pas d’importance le flatta de ses dessins. Amusé, même, il lui déclara que ses enfants adoreraient ce genre de dessin, qui leur rappelleraient leurs contes favoris. Alors Jhosua ouvrit les yeux en grand. Et il sourit. ** Quelques années plus tard, Jhosua débarqua, d’un avion, en Amérique. Il avait amassé fortune en Angleterre, vendu ses toiles aux plus offrants. Il était maintenant assis sur une renommée confortable comme peintre du fantastique et de l’incongru, ainsi que sur quelques coquettes économies, mais il ne tenait qu’a lui maintenant d’enflammer le continent de la liberté. Ses pouvoirs, il les avait gardé, les avait cultivés, discrètement, en secret, presque, et ils l'avaient inspirés dans sa peinture. Car il continuerait de peindre, vendrait certains tableaux, en garderait d’autres, et se construirait une renommée comme peintre. Mais pas comme homme. Car ses tableaux, il les signerait Sheshire Kat. Ainsi, Jhosua Rowlen, l’homme, disparaitrait de l’esprit des gens. Il ne resterait que son sourire. Ses tableaux. Twas brillig, and the slithy toves Did gyre and gimble in the wabe; All mimsy were the borogoves, And the mome raths outgrabe. JoueurPersonne sur l'avatar : / Age dans la vraie vie : 16 ans Expérience en RP : Pas mauvaise, je pense Où avez-vous entendu parler de notre forum : Chi zui décha Double comptes : Oui, Inky. Votre personnage provient-il des Comics ou des Films X-Men : non Je certifie avoir lu le règlement et m’engage à en respecter les clauses. Je m'engage à toujours écrire au moins 5 lignes pleines dans chacun de mes messages en Role-Play. [I.Ro] Code : [vu par Lisbeth] |
| | | Kurkaru Elève X-Men Expérimenté(e) Gamma
Nombre de messages : 5428 Age : 35 Autre(s) identité(s) : John Heston, le gnome, le farfadet, le nain vert, ce Truc, cette Plaie...
Pouvoirs : Zone N, capable de grimper au paroi présentant des aspérités, Frangin symbiotique, Pictsies.
Age du perso : 18 Date d'inscription : 22/11/2007
| Sujet: Re: Jhosua Rowlen, Sheshire Kat Dim 26 Avr 2009 - 11:43 | |
| Bon, en avant pour un mal de tête avec aspirine double ><
Nom : oki Prénoms : oki Alias et Surnoms : oki
Age + Date de Naissance (JJ/MM/AAAA) : oki Genre : ok Clan : ok
Pouvoirs : Conversion Oniromantique : Voila un nom superbe ^^ Et l'idée n'est pas moins originale. Mais j'aimerais en savoir plus sur ces objets "farizés" : cela entraine une variation de leur résistances ? De leurs propriétés physique ? Une augmentation des capacités des objets ? Par exemple un téléphone farizé pourra t il téléphoner plus loin ? Sans réseau ? Ton pouvoir m'évoque un peu une transformation en "toon" C'est voulu ? Si oui, es ce que tes objets ont les mêmes propriétés que des objets toons ? S'il pert connaissance, les objets redevienne normaux ?
Espace Onirique : ok, c'est grosso modo les mêmes questions que pour le pouvoir précédent... Excepté, ça : toutes les lois de la physiques peuvent être modifiés ?
Niveau de maitrise du pouvoir : oki
Lien entre les 2 pouvoirs : ok
Description physique : oki
Signe(s) particulier(s) : ok...
Caractère, tempérament : oki. Il pense quoi des idéologies Xavier et Magnéto ? S'il les connait, bien sur.
Talents et Compétences particulières : oki
Histoire du personnage : oki
précise moi ça, et on en reparle. Je pense que Lisbeth ou links devraient passer prochainement te donner leurs avis. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Jhosua Rowlen, Sheshire Kat Dim 26 Avr 2009 - 12:01 | |
| Okay. Je te mets ici ce que j'ajoute dans la fiche pour que tu n'aie pas à aller les chercher:
°Variation de résistance: En fonction de la matière et de la forme.
°Propriétés physique alterées: Taille, Poids, Matière, Forme, Couleur Il se peut que certains de ces facteurs entrent en contradiction, et ce n'est pas un problème (taille et matière peuvent ne pas correspondre à la masse, par exemple, et la matière peut ne pas correspondre à la couleur.). Occasionellement (et très rarement, il va sans dire), il peut arriver que la matière soit une matière incongrue et inconnue au bataillon ou que l'objet manifeste une forme primaire de conscience.
°Augmentation des capacités des objets: c'est possible mais pas obligatoire. Je reprends l'exemple du poisson: Jhosua ne les aime pas, ils prendront donc probablement une forme monstrueuse, par exemple avec de grandes dents, une plus grosse taille et de plus longues nageoires. C'est une forme d'amélioration. Si Jhosua se retrouve dans une situation ou il à un besoin vital d'avoir du réseau, par exemple, et qu'il sort son portable, qu'il connait bien, et qu'il le transforme, il y a des chances que l'objet capte effectivement plus loin. Mais pas sans réseau, puisque l'objet garde la même fonction, et qu'il faut a un téléphone du réseau pour fonctionner.
°Ton pouvoir m'évoque un peu une transformation en "toon" C'est voulu ? Plus ou moins. Mais au lieu de sortir de bip bip et coyote, ils sortent des contes de fée ^^
°Si oui, es ce que tes objets ont les mêmes propriétés que des objets toons ? Si par la tu veux dire l'indestructibilité, non. L'incongruïté, les proportions foireuses, ça peut arriver, oui.
Pour l'espace Onirique: Virtuellement, toutes les lois de la physique peuvent être affectées, ce qui rend le passage dans ce monde lorsque Jhosua ressent une émotion grave très dangereuse, et ce malgré la grande rareté de ces incongruïtés de la physique.
°S'il s'évanouït, les objets ne reviennent pas à leur forme première.
Ah, et il ne sait rien de Magnéto ou du Pr.X
Dernière édition par Jhosua Rowlen le Lun 27 Avr 2009 - 10:23, édité 1 fois |
| | | Béhémoth X-Men Delta
Nombre de messages : 3562 Age : 36 Autre(s) identité(s) : Markus Ford (civil), Links (X-men)
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Age du perso : 21 ans Date d'inscription : 03/01/2007
| Sujet: Re: Jhosua Rowlen, Sheshire Kat Dim 26 Avr 2009 - 21:31 | |
| Rien à redire, j'adore. Bienvenue au pays des merveilles. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Jhosua Rowlen, Sheshire Kat Lun 27 Avr 2009 - 18:25 | |
| J'adore aussi! A quand le Chapelier Toqué sur le forum? xD |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Jhosua Rowlen, Sheshire Kat Lun 27 Avr 2009 - 18:47 | |
| J'adore ta fiche, ton pouvoir est original, je suis totalement ok pour la validation ! |
| | | Kurkaru Elève X-Men Expérimenté(e) Gamma
Nombre de messages : 5428 Age : 35 Autre(s) identité(s) : John Heston, le gnome, le farfadet, le nain vert, ce Truc, cette Plaie...
Pouvoirs : Zone N, capable de grimper au paroi présentant des aspérités, Frangin symbiotique, Pictsies.
Age du perso : 18 Date d'inscription : 22/11/2007
| Sujet: Re: Jhosua Rowlen, Sheshire Kat Lun 27 Avr 2009 - 18:49 | |
| Après avoir entendu l'avis de lisbeth, fiche validée ! mutant alpha ! Si tu veux un logement, envoie moi un mp. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Jhosua Rowlen, Sheshire Kat | |
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| | | | Jhosua Rowlen, Sheshire Kat | |
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