Plaisirs encore humains ( priv)

Invité

N’arrivant pas a se faire des affinités dans la conferie et ayant envie de faire les boutiques, la marquise delarquois avait décidé de passer toute sa journée en ville ! Pour une fois, qu’ elle décidait de sortir de son trou, on n allait tout de même pas lui en vouloir ! En se rappelant qu’elle était en amerique depuis un mois, oui un mois sans avoir vu son bien aimé Gabriel, sa douce Helena, son amante Victoria et son tendre Tristan. Les seules personnes qui avaient survécu au drame, et qui étaient tout ce qu’il lui restait de précieux. Enfin on pouvait dire New yorks était tout nouveau pour elle, et déboussolent. Voila pourquoi, elle avait passé la moitié de la matinée a tourner en rond, a la recherche de vêtements gothiques. Pauvre Favole qui détestait de voir des vêtements classiques ou emos, elle avait faillit vomir de dégoût en voyant tous ça. La magnifique marquise quand a elle, portait une magnifique robe en velours noirs dont les manches étaient rouges foncés. Au tour de son cou, elle avait une croix avec des cristal rouges, attacher a ruban noir en dentelle. A ses pieds, elle avait mit des grands bottes a petit talon avec des lacets. Comme a son habitude, Favole laissait ses longs cheveux noirs jais coulaient dernière son dos. Une grande chevelure dans laquelle, elle y avait accroché des petites roses rouges ! Sa beauté hors paire se voyait encore plus, grâce au fait qu’elle s’était mise du rouge a levre. celui-ci était rouge sang, ce qui allait a merveille avec son teint pale et lise. La démarche de la rose noire était tellement souple, qu’on aurait dit une ombre qui se déplacer. Une ombre qui faisait tout pour qu’on la remarque, qu’on voit qu’elle était magnifique. Car oui, Favole se trouvait la plus belle du monde, enfin du monde des mortels vu qu’elle était tombée amoureuse de Dame Helena. En tout les cas, on pouvait bien dire que cette astuce marchait a merveille, lorsqu’elle vit de la jalousie dans les esprits des filles et l’envie dans ceux des garcons. Mais même si les mortels l‘admiraient en secret, comme elle pouvait les détestait ! Quelques heures plus tard, tellement qu’elle avait enfin trouvé son bonheur, elle ne vit même pas la nuit tombée.

Et oui, elle ne le remarquait qu’une fois sortie d’une boutique, alors qu’elle avait levé les yeux pour ne plus voir ses affreux bâtiments. Le soleil avait totalement disparu, et elle admirait pendant quelques minutes les premières étoiles qui apparaissaient. Le temps était doux, même si la température était un peu fraîche pour ce mois ci. Je pense que lorsque la nuit tombe sur les états d’Amérique, il n’y a peu de gens qui vivent la nuit. Bien sur que oui, ils sont trop peur des rumeurs qu’on leur raconte pour avoir le courage de sortir de la ! Je pense que c est la même chose, partout dans le monde ! Et ben non, cette fois je suis en train de me gourer totalement vu je remarque que dans cette capitale, il y avait toujours autant de mouvements ! Qu’Est-ce qu’ils leurs prends a ces sales mortels de traîner tard ? Normalement ces vermines sont déjà couchés dans leur plumard, en protestant que le travail a été trop fatiguant ! Remarque qu’en sachant que les boutiques étaient encore ouvertes a cette heure ci, c’était pas étonnant que les rues étaient remplies a foison de ces créatures immondes ! Non mais quoi, ils m’écoeurent rien qu’a les regarder faire ! Ils ne pensent qu’a dépenser leur sous en achetant des conneries, ce qui les différencier de moi-même. Enfin, si je ne sais toujours pas quoi faire de mon temps, je pourrais toujours me faire un plaisir de torturer les gens. Voila ce que pensait la marquise sanglante, alors qu’elle était en train de descendre une magnifique ruelle sombre. Dans ses mains, elle portait deux ou trois sacs dans lesquels elle avait réussit a s’acheter deux corsets avec une longue robe.. Même pas de bijoux ? Oh, elle en avait déjà assez dans toutes son armoire, de plus qu’elle ne prenait que de l’ argent ! Au même moment ou elle repensait au cadeau de son bien aimé Gabriel, son regard fut interpellé par une autre ruelle en face. celle-ci semblait un peu plus actif que cette petite ruelle, ce pourquoi elle décida d’aller faire un tour. Malheureusement et dans l’angle du virage, elle se heurta violemment contre une masse! celle-ci était a la fois dure et molle, mais la marquise reconnu c’était le corps d’un homme.. Mutant ou non, vu qu’elle ne savait pas les reconnaître et elle s’en fichait totalement. En colère de s’être fait arracher de son beau souvenir avec son bien aimé, la rose noire ne pu se retenir de lui lancer sur un air de degout:

« vous pouvez faire un peu attention ou vous allez ! Ça serait un respect pour les autres ! »

Invité

Lauri n'avait vraiment pas de chance, décidément. Son oeil ne lui apportait apparemment que des ennuis. Autant porter un panneau sur lequel il est écrit "Je suis mutant". Et bien sûr, il avait fallu qu'il tombe sur des jeunes antimutants. Et pour courroner le tout, il avait oublié ses lunettes de soleil.
Le chef de la bande eut un sourire sadique, pendant que ses amis encerclaient le jeune homme. Ce dernier essayait de garder son calme, même si c'était dur. Il risquait au mieux un passage à tabac en règle, et au pire, la mort. C'était vraiment la merde.

Mais je rêve ou quoi ? Un mutant seul. Et pas trop moche encore. Merci, Père Noël ! dit le leader en s'avançant un peu dans sa direction.

Eh bien, je repasserais à Noël. Ce serait dommage de gâcher la surprise. Oh non, tu croyais encore au Père Noël ? Oh je suis désolé si je t'ai déçu.

*Je suis complètement taré ou quoi ?*

Et en plus il fait le malin. J'adore ça. J'aime quand la proie se débat.

Ah oui, ça donne un sentiment de supériorité quand tes chienchiens la démolissent ? Quel courage vous avez ! Franchement je suis impressionné. Du cinq contre un, si c'est pas magnifique !

Là, il avait largement dépassé la limite. Une méchante béquille le fit tomber à genoux, en grimaçant de douleur. Mais ce ne fut pas tout. Un coup de pied l'atteignit au torse, suivi d'un autre à l'estomac. Mortis eut le souffle coupé, mais aucun gémissement de douleur ou de colère ne s'échappa de sa bouche. La souffrance physique, il l'encaissait assez bien. D'autres coups l'atteignirent encore à divers endroits du corps, dont un au visage, le faisant saigner du nez.
Aucun autre coup ne vint ensuite, mais Reaper sentit qu'on le saisissait par les cheveux et qu'on le forçait à relever la tête.

Tu la ramènes moins, hein, mon joli ? J'aurais très envie de m'amuser un peu avec toi, avant de te crever.

Puis, l'homme l'embrassa, sous les rires sadiques de ses amis. Mortis était terrifié, car il savait bien ce que serait l'étapes suivante. Profitant du fait que son agresseur était trop occupé pour voir ce qu'il faisait, le mutant créa un peu d'énergie mortuaire dans sa main, et la posa vivement sur la gorge de l'homme. Ce dernier hurla de surprise et de douleur, et lâcha Lauri, dont la fureur obligea à garder encore un moment sa main à la même place, provoquant ainsi une atroce souffrance à sa "victime". Les autres hommes s'écartèrent, en entendant leur chef crier comme ça.
Au bout d'un petit instant, le Finlandais lâcha la gorge de son adversaire qui s'écroula, puis, il tenta de s'enfuir, maintenant que les gros bras lui laissaient le passage. Bien qu'épuisé, il se mit à courir. Mais à l'angle de la rue, il percuta quelqu'un qui le rabroua sèchement. Il tomba mal sur le sol et une vive douleur dans la cheville lui fit monter les larmes aux yeux. Il entendit les voix de ses agresseurs se rapprocher et, regardant la femme qu'il avait percutée dans les yeux, la supplia:

Aidez-moi,... s'il vous plaît !

Invité

Favole recula légèrement quand la masse s’étala au sol, non pas par peur qu’il lui marche sur les pieds mais qu’il la saillisse ! Ne sachant pas encore qu’il s’agissait d’un mutant, la marquise sanglante n’avait aucune envie qu’un mortel la saillit. Raciste contre les humains ? Bien sur qu’elle l’était depuis son plus, et ça lui faisait sa grande satisfaction ! Elle le regardait d’un air méprisable, en s‘imaginant un tas de choses sur lui. Ayant l’esprit très imaginatif et même sur ces satanés humains, elle se disait qu’il s’agissait d’un vielle alccolique qui s’était perdu en route. Euh, si c’est le cas, j’éviterais a l’avenir de trop m’approcher de lui, autrement il risquerait de me vomir dessus. Ou alors, c’était un vieux pervers qui essayait de la draguer, il pouvait toujours essayé se disait elle sournoisement. Cependant, il y avait bien une chose qui attira son regard sur lui, et qui arrivait a le différencier des choses. Oui, Favole remarqua avec une grande stupéfaction que l’homme avait des plumes dans ses cheveux ! Original comme truc, du moins si ce n’était pas un pauvre fou qui s’amuser a se déguiser en indien. Ça serait pas mal ça, une lamentable connerie humaine en plus dans sa collection, a force son carnet vas etre rapidement remplit. Pour faire une bref description, L’être devant elle était bien homme, oui un homme avec les cheveux longs ?! Hum Favole, tu devrais en avoir l’habitude comme Tristan et Gabriel ont jamais eut les cheveux courts.. Personne de ton entourage, de plus qu’on pensait que tu haïssais les mecs aux cheveux courts ? Il n’y avait pas de doute, que c’était encore une excuse, pour se foutre de la tete des humains. A croire que cette mauvaise manie était devenue son passe temps préféré, ce qui ne serait pas du tout étonnant de sa part. Ces temps ci, on constatait chez elle, qu’elle changeait vite d’humeur et de goûts. En tout cas, ben la tu es royalement loupé, et je pense que physiquement tu as rien a lui reprocher. Il était vrai que de vu, il correspondait a merveille au genre d’homme que dame Favole aimait. Du genre plutôt assez grand et masseux, il avait un manteau et des bottes en cuire. A force de côtoyer le monde des gothiques, c’était facile pour elle de deviner que c’était bien un gothique. Ouai bon d’accord il avait peut être le même style que la marquise sanglante, après va savoir s’il avait le même mental qu’elle.

A en juger sa maladresse hors paire de tout a l’heure, Favole se disait avec désespérance qui s’agissait surement d’un paumé de la vie. Ayant même pas le temps de faire quoi que ce soit, le soit disant humain interpella la jeune mutante. Apparement, il avait grand besoin de son aide,et grâce a son pouvoir d’empathie elle pu voir en lui qu’il avait une douleur physique. Pas étonnant a en voir l’état de cet homme, la rose noire aurait mit sa main au feux qu’il s’était fait agressé. Aider un simple mortel ? Surement pas, ça saurait contre ses convictions et puis elle aurait quoi en retour ? Peut être que cet individu était un anti mutant ou un sale voleur ! Alors qu’elle était a deux doigts de repartir sur son chemin, elle entendit des drôles de hurlements qui s’approchaient d’eux. C’était des vois d’hommes, dont on pouvait clairement comprendre ses quelques mots: ’’ Reviens ici …Mutant… chien pourris… je vais te faire la peau !!! ». Rien qu’avec ces mots, la marquise sanglante n’eut aucun mal d’en déduire que le gothique en face de lui était un mutant et qu’il était poursuivit d’anti mutant. Un peu logique tout ça mais bon. La magnifique jeune fille regarda le jeune homme, son visage pale lui afficha quand même un petit sourire. Sur quoi; quelques mots de ses levres rouges en sorti:

« vous êtes un mutant ? Restez ou vous êtes ! »

Dame Favole était un peu plus gentil avec les mutants, même si elle jugeait qu’elle n avait rien a faire avec eux. Enfin, ce qui était bien, c’était que ça lui posait pas beaucoup de problème de leur donner un petit coup de main. Après tout, les mutants ne lui avaient rien fait, et elle les trouvaient moins stupides que ces mortels. Trop contente de pouvoir s’amuser avec des humains, et cette fois ci elle n'allait pas utiliser son charme pour se sortir de la. Sachant qu’elle avait tous les atouts pour bien faire, elle s’avançait vers leur chef avec un air menacant. Séductrice sadique mais certainement pas stupide pour se jeter dans la gueule du loup, ce pourquoi elle s’arrêta a quelques pas de l’homme. Ensuite elle entama la conversation avec un petit sourire de coins. Apres quoi, elle envoyait une émotion de douleur au bras droit du chef, qui s'acroula de douleur par terre.

« Voila ce qui arrive a des sales humains qui osent infecter les mutants ! Je vous conseil de partir, autrement, je me ferais une joie de vous tuer tous »

Invité

Les cris se rapprochaient et, tout en se tenant la cheville, Lauri entendait avec horreur les cris de ses poursuivants. S'ils le rattrapaient, il était mort, il n'y avait aucun doute à avoir. Même s'il la côtoyait depuis son adolescence, il craignait la mort. Malgré que ses pouvoirs lui pourrissait plus la vie qu'autre chose, il ne voulait quitter ce monde sans avoir fait quelque chose de sa vie.
Ses agresseurs arrivèrent bientôt à la hauteur de son interlocutrice. Mortis recula en les voyant s'approcher, grimaçant à chaque mouvement. Il devait s'être fouler la cheville en tombant. S'il se sortait vivant de cette affaire, ça allait être galère pour rentrer à l'Institut. Mais bon, à voir le regard que lui lançaient ses agresseurs, une foulure risquait d'être le cadet de ses soucis.

Je vais te crever, espèce de sale bâtard de mutant ! dit le chef de la bande en se tenant la gorge.

Mais la jeune femme s'interposa. Les gros bras semblèrent se déintéresser un peu de Reaper qui tenta en vain de se relever. La douleur était bien trop vive. L'idée lui vint de se toucher le bras pour savoir s'il risquait de mourir dans les trois jours. Il le fit donc mais rien ne se passa. Mais cela ne le rassura pas, ça pouvait aussi vouloir dire que son pouvoir de prémonitions ne fonctionnait pas sur lui. Ah, pour une fois qu'il tenait absolument à ce que son pouvoir fonctionne !
Soudain, Mortis vit le chef des antimutant se tenir le bras en criant de douleur. Le jeune Finlandais regarda sa sauveuse avec attention. Elle aussi était mutante ? Ses paroles déplurent quelque epu au jeune homme, mais il ne dit rien. Après tout, elle lui avait sauvé la vie, il n'allait pas se montrer très regardant sur ses idées. Les humains jetèrent un regard noir à Favole, puis à Lauri, et s'en allèrent rapidement.

Merci beaucoup... dit-il à la jeune femme.

Invité

Comme on pouvait retrouver la terrible Favole, celle qui s’amusait toujours a torturer les humains. C’était bien pitoyable de voir que ses victimes n’avaient aucune chance contre elle, étant donné qu’ils n’avaient aucun pouvoir. L’homme a qui, elle exerçait son pourvoir, l était plus grand que Favole, cependant qu’est qui pouvait être moche ! Il était tout bronzé, rasé, musclé et sa tenue était a pleurer. Il était du style rappeur comme ses autres copains, du genre t’shirt large avec le jean en bas de la culotte. Pas étonnant que certaines personnes pensaient, qu’ils avaient du caca dans leur pantalon. Une image qui aurait fait vomir Favole s’il aurait été heureux, comme c’était horrible a regarder ! Voir cet imbécile de bras droit du boss des anti mutants se tortiller de souffrance, ne pouvait faire sourire la rose noire. Un sourire a la fois sadique et séducteur, ses deux points forts du moment. C’était en faisant souffrir les humains de tel sorte, qu’elle arrivait mieux a faire son deuil de ses proches. C’était autant plus flippent lorsque Favole utilisait la séduction pour arriver a ses fins, une chose qu’elle faisait quand elle était toute seule. De plus que la, c’était pas du tout pratique, vu qu’elle tenait encore les sacs ou elle avait mit ses achats. Enfin, elle était quand même satisfaite de son coup, de plus qu’au passage elle sauvait un jeune mutant. Tiens en parlant de lui, ça faisait bien un petit moment que Favole n avait pas jetter un regard sur lui. Cependant et comme elle se rappelait qu’il était blessé a la cheville, elle se doutait un peu qu’il était en train de la regarder en essayant en vain de se relever. Tout a coup, Favole était pris de surprise par le chef en personne, qui avait osé de l’attaquer pendant qu’elle divaguait dans ses pensées. Attaquer Favole en traîtrise ? Mais il était fou ou quoi ? Tenait il vraiment a mourir ou faisait il ça seulement pour la provoquer ? En tout cas, la marquise sanglante ne se posait pas de questions, elle l’esquiva en lui envoyant un semblant de douleur dans le bras.

Le pauvre frimeur se courba en appuyant sur son bras droit, avant de jetait des regards noirs. A ce moment la, Favole ne pu s’empêchait de lâcher un petit rire moqueur ! Lui faire peut a la marquise ? Il rêve ou quoi ? Et puis quoi encore, de plus qu’il était pas dans de bonnes conditions pour que son coup marche. ,Son magnifique passe temps était plus appréciable, si ce n’était qu’elle avait bien pitié d’eux ! Remarque qu’elle n avait pas peur lorsqu’on s’apercevait que ses victimes ne pouvaient rien faire contre elle. En effet, Favole avait des pouvoirs de mutants et une beauté hors paire, ce qui laissaient une grande marge entre des humains qui n avaient que leur poings ou des armes pour se défendre. Euh la, Favole tu te la petes un peu trop, et ça risque de te retomber un jour ou l’autre ! Surtout si tu tombes sur des gros bras avec, cette fois ci, des gros bassoka ! La rose noire se demandait combien de temps faudra il a ce crétin, de se rendre compte qu’il ferait mieux de dégager s’il tenait vraiment a sa vie. Ce fut que dix minutes plus tard, après une mutiltude d’insultes, que le groupe des anti mutants renoncèrent a leur progrès. Favole était bien contente de son petit coup, même si c’était pas suffisant a ses yeux. Non, elle voulait que toute l’humanité connaisse sa colère, bien pour cela qu’elle avait décidé de rejoindre la conferie de magnéto. Bon c’était bien joli de s’occuper des méchants, mais faudrait peut être songer a la victime. A cette pensée la, la mutante se retourna vers le jeune homme, au même moment ou il avait remercié. Pendant un long instant, elle le regardait dans les yeux sans rien lui dire. Si elle avait vraiment été une sadique sans sentiments ni rien, elle l aurait laissé totalement tombé. Hors la, elle avait quand même fais l’effort de montrer gentille avec lui, après tout il n’était pas totalement humain si ? Bon bref, elle avait aussi eut la compassion de l’aider a se relever, même si elle n‘avait pas beaucoup de muscles. C’Est a cet instant qu’elle remarqua qu’il avait pas les yeux de la même couleur, ce qu’il expliquerait éventuellement l’agression des autres types. Il aurait pu penser a mettre des lunettes, pensait la marquise sanglante en poussant un long soupire. Cependant, Favole n avait pas grand-chose a lui dire, quoi qu’elle était quand même curieuse ! Curieuse de savoir d’où il venait, comment il s’était attiré des ennuies ? Et pleins d’autres questions. Pourtant, la rose noire se contenta de lui demandait que ces quelques questions, dans un murmure mélodieux :

« D’où venez vous ? Qu’Est-ce qu’il s’est passé ? Vous voulez que je vous aide ? »

Invité

Lauri sourit malgré la douleur. Il avait vraiment eu chaud, cette fois. Il s'en sortait avec une cheville foulée, quelques echimoses et une belle frayeur. Mais à ce moment-là, il se serait volontiers coller des baffes. Il n'y avait qu'un objet au monde donc il avait vraiment besoin pour cacher sa nature et il avait fallu qu'il l'oublie ! Il s'insulta copieusement mentalement, avant de reporter son attention sur la jeune mutante.

Je suis de New-York, mais je vis un peu en dehors de la ville. J'étais simplement venu me changer un peu les idées en ville, mais j'ai oublié mes lunettes de soleil. Et bien entendu, il a fallu que je tombe sur ces gars. J'ai eu droit à un passage à tabac en règle, puis leur chef a commencer à... m'embrasser, et j'ai riposté en lui provocant une grave brûlure au niveau de la gorge. Ca m'a permis de m'échapper, mais ils m'ont couru après. Je pense que si vous n'aviez pas été là, je serais mort. Merci encore.

Le Finlandais essaya une dernière fois de se relever en s'appuyant contre un mur. En vain. Le douleur était bien trop vive.

Et oui, je voudrais bien un coup de main, s'il vous plaît, Mademoiselle.

Invité

Et merde, mais qu’Est-ce que j’ai foutu a laisser ces imbéciles partir ? J’hallucine ou, ces vermines d’humains sont vraiment partis presque intactes ? Sérieusement, comment j’ai pu faire une chose pareil ? Je les ai juste fait une ou deux crampes dans les bras, et après rien ? Rah, mais c’est le comble du comble ! Leur chef était a moitié a l’ agonie, un peu plus et il était certainement a ma merci ! C’est sur, après toute la douleur qu’il avait au bras, il m’aurait sans doute supplié un tas de choses. Mais vous vous doutez bien qu’il n’était pas question d’atténuer sa souffrance, ce n’était pas du tout mon but ! Bien au contraire et a ce moment la, il n’était j’aurais bien pu lui faire ce que je veux sans le moindre problème ! Le pire dans toute cette histoire a la noix de coco, c’était que j’aurais pu m’amuser comme une folle pendant un long moment ! Après tout et même si j’étais en compagnie d’un autre mutant qui est plutôt pice and love, ce maudit groupe avait bien mérité ! Comme je pouvais haïr ces saloperies d’humains quand ils se prenaient pour les tous puissants, alors qu’ils n’étaient ni plus ni moins que de la merde. Cependant et je ne sais pas pour quelle raison idiote, ils s’étaient débrouiller pour filer sans que je puisse faire quelques choses ! Néanmoins et cette fois ci, la seule dont qui était coupable de se gâchis et que je pouvais en vouloir, c’était: Favole delarquois, autrement dit moi-même ! Que j’ai honte de ma connerie profonde ! Dire que j’ai loupé une belle occasion de me venger de ce groupe de merde, et de m’amuser comme une folle ! Je me demande ou j’ai la tête en ce moment, et pourquoi je suis constamment dans les nuages ? A quoi je pense en ce moment ?

Encore a un tas de choses, comme toujours ! A ma journée dans les boutiques, a tout ces abrutis qui vous regardent, et enfin a cet homme que je devais soigner. Voila le magnifique conflit que ce faisait la marquise sanglante, tendis que l’autre jeune homme était en train de se remettre de son coup. La marquise était a bout de nerf, et elle voulait a tout prix de se venger de ces cons la ! Elle ressentait le besoin de le faire, enfin heureusement pour tout le monde qu’elle avait d’autres soucis en tête! Comme celui de penser a rentrer au manoir des conferistes ? Favole allait encore raller de plus belle comme une vrai gamine, mais elle fut interrompu a entendre que l’homme a terre avait repris la parole. On pouvait dire que ce dernier n’était pas du tout efficace pour lui changer les idées, vu qu’il commençait de raconter ce qu’il s’était passé avec les humains. Tellement qu’il parlait trop vite et que la rose noire était un peu dans les choux; elle ne pouvait comprendre que quelques morcaux de phrase. Selon elle, le mutant était bien de cette ville, mais il avait eut la bêtise d’oublier ses lunettes. A croire qu’elles étaient tout aussi importante que les mitaines de Favole, qui elle n’avait pas fait l’erreur de les oublier une seule fois. La belle et majesteuse mutante poussait un petit soupire, avant de répondre doucement a sa nouvelle connaissance.

« Comme quoi, apprenez qu’un simple petit oubli de rien du tout, peu vous être bien fatal. »

A la fin de sa phrase, la marquise sanglante baissait son regard sur un mutant qui n’avait pas l’air de se remettre de sa blessure. Tandis qu’elle s’était élancée dans un geste de bonté, elle allait bien le regretter. En effet, l’homme acceptait bien son aide, qui était de l’aider a marcher, du moins a toute évidence. Enfin pas tellement regrettable, si on oublie la prise de tete qu’elle se faisait pour savoir comment elle allait si prendre avec lui. Néanmoins et soudainement, une question surgissait de l’esprit de la jeune femme, qui ne perdit pas une second de plus pour la poser. Entre nous, vous l’auriez compris, qu’elle avait fait ça pour gagner un peu plus de temps.

« Mais dites moi, ou habitiez vous exactement ? Car je suppose que je dois vous ramener a votre domicile ? »

» PV Humains
» Balade, rien de plus normal ( priv sophia )
» Quatre heure, ca fait du bien ( priv: kitty )
» Rencontre entre humains (Erwan)