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 Première rencontre fortuite [PV : Rahne Sinclair]

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MessageSujet: Première rencontre fortuite [PV : Rahne Sinclair]   Première rencontre fortuite [PV : Rahne Sinclair] Icon_minitimeVen 12 Juin 2009 - 2:36

Récit du premier jour, aux alentours de 16h


Je venais à l'instant de quitter Lore, non pas de façon définitive – ce ne pouvait être vrai, pas avec le profond attachement qui m'unissait à elle, elle qui m'a tant soutenu et tellement donné – mais l'envie de sortir de l'appartement qu'elle nous avait trouvé, dans le principal but de trouver un lieu pour écrire ces lignes, me trottait en tête avec une caractéristique précise : il me fallait un endroit dans la ville où il ferait bon s'y trouver et surtout y être en sécurité. Car je ne supportais que trop difficilement me retrouver seul dans une ville, fut-elle grande ou petite, car j'éprouvais une sorte de phobie à l'idée de me retrouver dans une situation qui me vaudra d'avoir des problèmes, d'autant plus que j'en ai déjà connus suffisamment à cause de cette malédiction qui me hantait depuis une année entière déjà.
Certes j'aurais très bien pu rester à notre domicile pour coucher ma journée sur papier, mais je ressentis un net besoin que ce soit en plein air, ainsi cela me permettrait d'apprendre à connaître cette ville à la taille ahurissante, d'autant plus que ma seule connaissance de celle-ci ne se limitait qu'aux murs inexpressifs de ce satané hôpital qui n'avait rien trouvé pour guérir mes ennuis. Mais ce n'était pas encore le pire de mes problèmes, car rien ne saurait effacer la culpabilité qui me ronge, à l'égard d'Éloïse comme à l'égard de ma famille. Et en un sens, à mon propre égard, même si j'interprèterais ça plutôt comme une sanction encore trop faible par rapport aux maux que j'ai causés. Même le fait d'être coincé dans cette ville-monde aux dimensions faramineuses où s'accentuait cette peur de rencontrer des personnes à l'esprit néfaste me semblait encore trop clément.

C'est pourquoi je flânais un peu dans les rues, me méfiant pourtant de chaque tête que je pouvais voir, m'éloignant au possible de ceux avec une casquette, ou qui avait une démarche suspecte, je dirais même plutôt de tout le monde. Même avec toute la bonne volonté que j'eus pu trouver, dans cette situation-là je n'aurais pas pu me contraindre à voir les gens seulement comme ils étaient, j'étais plutôt dans l'incapacité de séparer mes sens de mes préjugés. Ainsi un jeune avait pour moi l'étoffe d'un violent, d'un casseur, d'un chercheur de troubles, et s'il était dans le fond totalement différent de cela, jamais cela ne me traversa l'esprit. C'était honteux de ma part il faut bien le dire, mais la peur peut créer bien des hallucinations ou provoquer bien des délires paranoïaques. Même le sexe féminin, qualifié de beau par de nombreuses personnes, moi y compris, subissait ma folie momentanée, ainsi il en fut beaucoup qui m'apparurent comme de simples copies de stars de films totalement irrespectueux des femmes.
C'était une sensation qui m'était particulièrement étrangère, et j'eus peur pour moi-même à ce moment-là que ma vision du genre féminin n'en soit altérée. Je n'aurais pas accepté cette idée comme venue de moi-même, et fort heureusement je sentais que ce ne serait que temporaire, il me suffirait de rencontrer les bonnes personnes tout simplement. Mais l'angoisse était trop forte pour le moment, seul le temps pouvait me venir en aide, or son aide n'est jamais immédiate. Je continuai donc mon chemin, évitant autant que faire se peut les gens, malgré que ce soit difficile dans une telle ville, en promenant mon regard de gauche à droite et de bas en haut, pour éviter des douleurs dans le cou et parce que sinon j'allais rentrer dans les gens. Je tâchais de mémoriser chaque détail, mais la quantité d'informations était trop impressionnante, et je n'en retins même pas le tiers.

En fréquentant les rues, je vis moult cafés, et décidai de m'embarquer dans l'un d'eux. Mais le niveau des discussions était trop peu élevé et d'une grossièreté effarante, si bien que je décidai de sortir pour en trouver un autre. Et j'eus alors tout l'inverse, un café littéraire qui avait presque l'air d'un séminaire comme celui où j'avais été vivement convié à aller sur Peter Handke, et dont je n'avais pas suivi la moitié. Je pris là un chocolat chaud, ne réservant le café qu'en de rares occasions, et abandonnai l'idée de suivre le fil de la conversation, car malgré la logique et la cohérence qui régnaient, mes connaissances à moi étaient réduites à zéro, d'autant plus que je ne connaissais pas l'auteure, à tel point que je ne saurais écrire son nom, car je l'ai déjà oublié. Puis je sortis, en mémorisant toutefois l'adresse et la situation de ce café, sans doute y retournerai-je plus tard. J'en étais même presque persuadé.
Je continuai donc à marcher le long des rues, cachant du mieux que je pouvais l'objet que j'avais sous le bras gauche, enfermé dans une petite sacoche rectangulaire noire. De par mes vêtements, on ne la voyait pas beaucoup de loin, et mes mouvements très limités du bras gauche empêchaient du mieux qu'ils pouvaient de révéler sa présence. J'évitais ainsi de heurter les autres piétons pour ne pas rendre trop visible ce que je possédais qui m'avait été confié à ma sortie de l'hôpital, une offre généreuse et pratique également. Mais je n'avais pas les moyens de m'en acheter un moi-même, alors je tenais à garder celui-ci et ne pas me le faire voler. Par chance, sans doute dû à ma grande vigilance, cela n'arriva pas. Ainsi je le possèderais encore longtemps

En revanche, cet outil devenu indispensable pour moi, pour une question de pratique essentiellement, m'a été d'une aide précieuse en cette journée. Ma promenade commençait à me peser et je pris la décision de rentrer, pour aller retrouver Lore si elle était restée à l'intérieur, mais déçu de quelque chose. Le fait était que je l'avais laissée seule, alors qu'elle m'avait laissé croire qu'elle aurait du mal à rester tant de temps sans moi, c'est pourquoi j'avais abrégé cette promenade à à peine une heure, sans compter ce qui allait s'ensuivre.
Je passai devant un magasin qui vendait et louait des DVD, et je fixai à travers la vitrine ce qu'il pouvait y avoir, lorsque je choisis de ne regarder la vitrine que pour le verre, et deux yeux vert ressortaient malgré la lumière du jour. Je me retournai pour voir à qui appartenaient ces yeux, et j'aperçus un visage féminin, plaisant pour sûr, mais pourtant le regard était effrayant. Un rictus de colère parcourait le coin de ses lèvres tandis que ses yeux auraient pu tuer sur place tant ils étaient chargés de colère, voire de haine. Je baissai mon regard et vis qu'elle serrait les poings ; manifestement quelque chose n'allait pas. Son accoutrement laissait sous-entendre des réactions dignes des jeunes d'aujourd'hui, mais il était étonnant de rester ainsi à fixer un établissement.
Je me risquai alors à m'approcher d'elle, écrivis sur mon eee pc de couleur noire que j'avais sorti de sa sacoche et que je tenais alors de la main gauche : « Il y a quelque mal qui vous est causé par cet endroit, mademoiselle ? Ou bien est-ce la faute d'une personne mal intentionnée ? » Puis j'agitai ma main droite devant ses yeux pour attirer son regard vers le petit écran, au risque d'affronter ses yeux au regard incendiaire. Je ne savais pas vraiment ce que cela aurait comme conséquence sur elle comme sur moi, je priai juste le ciel qu'elle ne décidât pas de me sauter à la gorge pour le dérangement, ou dans le but de commettre un larcin.


Dernière édition par Célar Defaurthune le Sam 13 Juin 2009 - 1:49, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Première rencontre fortuite [PV : Rahne Sinclair]   Première rencontre fortuite [PV : Rahne Sinclair] Icon_minitimeVen 12 Juin 2009 - 18:06

Cela faisait près d’une demi-journée que la jeune femme tournait en rond dans la ville, sans se perdre, juste en se laissant marcher. Elle reconnaissait chacune des rues de son ancienne vie. Un sentiment étrange la parcourait. Rien n’avait changé dans la ville durant sa longue absence. A quoi s’attendait-elle ? Elle n’était qu’une fourmi parmi tant d’autres après tout. Elle n’en fut pas moins déçue pour autant.

« Rien ne change, seulement notre perception » pensa Rahne errante dans les rues.

Elle pensa à sa vie humaine, si simple. Peut être trop. C’est d’ailleurs ce qui l’avait poussé à retourner à l’institut où on lui restitua ses pouvoirs. Ses pouvoirs… Ils lui avaient posé tant de problème dans son passé… Elle secoua la tête comme pour chasser ces sombres pensées et ces questions qui n’auront jamais de réponses.

Elle se concentra sur ces pas et sur son environnement actuel. Elle était assaillit par une multitude de bruit inconnue auparavant. Les touches du portable de la jeune fille devant elle, le nombre incalculable de conversations téléphoniques dans la rue, les bouches d’aérations qui libéraient dans, un bruit sourd, des odeurs peu agréables ; et Rahne continua de faire la liste dans sa tête, lui évitant de penser à autre chose. Malheureusement sa pensée dériva sur sa condition actuelle. Aujourd’hui elle sentait une différence de taille en elle.
Comme si on avait ôté le voile qui la gênait, elle y voyait enfin claire. Comme guérie d’un rhume, elle respirait chaque parfum présent dans l’air, même le plus infime. Comme sortie d’un avion, la pression dans ses oreilles s’étaient envolées pour laisser place à un tumultueux chant de la ville. Comme réveillé d’une anesthésie qui ravive la douleur, sa rage animal s’était elle aussi éveillée.
Un sentiment bestial étrange dont Rahne n’avait pas l’habitude à l’époque. Une rage née du conflit entre deux parties d’elle-même. Animal et humain. La jeune mutante avait du mal à concilier les deux.

Sans réelle réponse, la jeune femme continuait de déambuler dans les rues. Elle tourna la tête en direction d’une vitrine de télévisions, plus grandes les unes que les autres. L’image qu’elle vit la frappa. C’était surement un de ces films à gros budgets pour des effets spéciaux plus vrai que nature aux yeux humains. On y voyait un loup majestueux très bien apprivoiser elle en était certaine. Il était censé hurler à la mort, mais les télés n’étaient pas branchées sur le volume. Elle eu un sombre regard envers ce film mettant en scène le mythe du Loup-garou. D’un ridicule écœurant.

Elle sentit soudain une présence trop proche d’elle et trop immobile pour ne pas avoir l’intention de s’adresser à elle.

« Ce ne sera que la 8éme personne qui me mendiera de l’argent » pensa Rahne avant de se retourner en direction de la personne qui venait d’agiter sa main devant ses yeux. Son regard plein de haine s’évanouit aussi vite que passe un éclair.

Rahne fit face à un jeune homme proche de son âge surement pas là pour quémander de l’argent. Elle fut troublée l’espace d’un instant en voyant les mots inscrits sur l’écran de ce qui paraissait être un ordinateur portable. La tournure de la question l’impressionna, elle se perdit dans ses yeux d’un bleu clair. Etait-ce une farce ? Il n’avait pourtant pas l’air de vouloir lui jouer un tour. Son regard attendait sa réaction, assurant le sérieux de ses intentions.

« Muet… Il doit être muet ! » se dit-elle sans le lâcher du regard.

Elle mit un quart de seconde avant de retrouver ses esprits pour répondre oralement d’une façon hésitante :

« Euh... Non enfin… Euh ça va. Qui êtes-vous ? Pardon je ne voulais pas être aussi direct, mais il est assez rare de croiser autant d’altruisme dans les rues de New York. Je… euh » Rahne ne su que dire d’autre. Elle regarda l’étranger le questionnant du regard.
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MessageSujet: Re: Première rencontre fortuite [PV : Rahne Sinclair]   Première rencontre fortuite [PV : Rahne Sinclair] Icon_minitimeVen 12 Juin 2009 - 23:35

La réaction de cette personne aux yeux émeraude me stupéfia littéralement. Je craignais d'affronter son regard réprobateur, et de n'entendre qu'un flot presque incompréhensible de paroles dont l'unique but était de me perdre, mais au contraire toute notion de colère ou de haine disparut au même moment où ses yeux plongèrent dans les miens. Quelle étrange effet que de voir que mon regard avait suffi à calmer cette pauvre âme en proie à une colère qui avait l'air d'être irréductible et irascible. Je n'avais jamais eu ce genre de répercussion sur qui que ce soit, ou en tout cas, pas envers une personne dont la connaissance que j'avais d'elle datait de deux secondes sans que j'obtienne cette conséquence en user de ma malédiction.
Toutefois, cela me surprit que durant un laps de temps très court, m'acclimatant assez vite au changement qui s'était opéré chez la jeune fille, et je redevins maître de moi-même,effaçant l'inquiétude qui se lisait sur mon visage mais laissant transparaître encore une certaine gène d'avoir dérangé ainsi cette personne. Ce n'était pas vraiment dans mes habitudes que de déranger ainsi les gens. Pour être exact, c'était même plutôt l'inverse, je les fuyais et même parmi mes amis je restais silencieux, soit parce que je ne savais tout simplement pas quoi dire, soit parce que je les testais, pour voir s'ils me vouaient un réel intérêt ou non. Il faut bien avouer que je fus souvent déçu en adoptant cette attitude-là.
Ainsi je ne saisis pas ce qui avait pu me pousser à m'adresser à cette personne, pourquoi je l'avais ainsi abordée sans réel raison et surtout sans avoir la moindre connaissance de qui elle était. Ce ne pouvait être ses yeux ou son visage, et encore moins l'attitude dont elle s'était enveloppée. Mais quoiqu'il en soit, je lui avais adressé la parole sans raison, c'était ainsi et je n'avais pas d'autre alternative, je devais poursuivre la discussion, même si elle se déroulait à 50% à l'écrit. Car je ne pouvais me permettre une erreur de politesse à ce niveau-là, même si bien souvent je ne pouvais pas m'excuser de la manière la plus traditionnelle et qu'attirer l'attention des gens pour cela n'était pas dans mes habitudes.

Cependant, la question directe de cette fille fut pour moi… trop directe, et il m'était encore plus familier de répondre immédiatement, d'autant plus que mon aphonie me permettait de penser avant d'écrire quoi que ce fut, ce qui n'avait jamais été pour me déplaire. Il semblait toutefois que je l'avais un peu perturbée de l'avoir ainsi abordée sans crier gare, et je notais immédiatement sur mon outil plus important encore qu'un téléphone portable : « Veuillez m'excuser de m'imposer ainsi à vous. » Je gardai toutefois mes lèvres fixes, sans sourire le moins du monde, je ne souhaitais pas avoir l'air de quelqu'un qui se plait à montrer qu'il s'est excusé alors que la sincérité est au-delà de l'irrespect. Mais mes yeux restaient fixement ancrés dans les siens, comme s'il eût été impossible de les en détacher, autre fait que je ne m'expliquais pas d'ailleurs, fuyant habituellement le regard des gens pour ne pas donner l'impression d'avoir une attirance physique, particulièrement envers les filles, pour ne pas me rapprocher de la majorité des mâles qui peuplent cette planète.
Mais je fus bien obligé de quitter son regard, après cinq secondes si je me rappelle bien, pour répondre à sa question, et même à ce qui ne relevait pas de l'interrogation. Je notai le caractère interrogatif de ses yeux toutefois, ce qui était un point que je ne savais pas encore déceler comme quelque chose de conventionnel, que tout un chacun prenait pour faire croire à un intérêt même minime, ou si elle voulait réellement sincère quant à son envie de savoir. Toutefois, j'aurais opté pour un intérêt minime, car sinon quoi elle se serait arrêté après sa question, or elle a cherché à s'excuser derrière ça, ce qui trahissait en quelque sorte son attitude précédente. Elle se révélait être dotée d'un besoin de s'excuser, soit un signe de politesse pure ou de gentillesse, qui sait ?
Je retournai alors mon ordinateur et tapai plusieurs fois ce que je comptais écrire, une phrase ne me plaisant pas se voyait modifiée ou bien encore des fautes de français qui me harcelaient, ou encore même des fautes de frappe désobligeantes. Je ne m'attardai pas non plus sur le temps pour corriger ça, car elle aurait fini par s'impatienter, même si elle avait dû déjà deviner que j'étais totalement aphone. Sans doute une trentaine de secondes plus tard, ce qui devait représenter une attente étrange pour elle, je dévoilai le contenu de mon message : « Mon nom est J… Célar. Je sais que ce n'est pas le plus commun des noms, mais je fais avec. » J'avais laissé volontairement la première lettre de mon nom réel, par jeu principalement, mais également pour m'assurer de quelque chose. « Et vous n'avez pas à vous excuser pour vos paroles directes, il n'est pas usuel d'avoir quelqu'un qui vous aborde ainsi sans raison apparente. » Je fixai ses yeux en même temps que je la laissais lire, j'étais presque envoûté par ceux-ci, car de tous temps les yeux m'ont fasciné, et plus encore lorsqu'ils étaient bleu ou vert, bien que les yeux marron ou perse soient d'une grande beauté également.
Je repris l'ordinateur pour y taper à nouveau autre chose, ayant guetté le moment où elle s'apprêtait à répondre, non pas par manque de respect, mais par jeu toujours, car cette fois un sourire s'était glissé sur les lèvres, pas le genre de sourire charmeur de celui qui veut faire succomber sa proie, mais un sourire réellement amusé, d'autant plus que bien souvent je souriais à l'avance de ce que je souhaitais écrire, ou qu'une situation présente m'amusait. De toute manière, je ne pouvais plus rire… Lorsqu'enfin je terminai d'écrire, je lui fis lire : « L'idée même de connaître votre nom m'est-elle accordée, ou bien dois-je vous appeler l'être aux yeux d'émeraude colorés ? » La formulation même de ma phrase, en y ajoutant la rime, me faisait rire tant elle n'était inhabituelle, comme si je cherchais alors à travailler ces phrases avec des objectifs futurs, comme de les coucher sur papier plus tard, ou dans les fichiers informatiques de mon ordinateur.
Cette fois je choisis de ne pas chercher à lui couper de nouveau la parole, jugeant que j'en avais assez fait pour l'instant et qu'il fallait que j'attende un peu avant de réitérer cette initiative. Je me perdis donc à nouveau dans ses yeux : ils avaient ce je ne sais quoi qui vous oblige à fixer longuement, attirant l'attention jusqu'à faire que l'on ne puisse plus en détacher le regard, et même en cas de réussite le besoin de regarder à nouveau vous atteint, si bien que vous finissez par céder.
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