Doum Doum Doum

Invité

« Doum doum doum, je suis un sociopathe
Doum doum doum mon hobby c'est le découpage
Doum doum doum, ça va être un vrai carnage
Doum doum doum... »

The Joker fredonnait ce petit refrain de sa composition comme s'il s'agissait du plus grand tube jamais écrit depuis le début de l'histoire de la musique, tout en déambulant dans les rues, s'arrêtant de temps en temps pour faire la révérence à une charmante créature, sous le regard amusé des passants. Ceux-ci devait surement le prendre pour un illuminé, et cela convenait parfaitement au Joker, qui en plus de s'en moquer comme de sa première chemise (qui était rose en plus), lui permettait de repérer une éventuelle proie sans trop se faire remarquer. « Il faut se méfié de l'eau qui dort » comme dit le dicton, et en l'occurrence, l'eau que représentait le Joker ressemblait plus à une mare infestée de piranhas nourrit au yaourt 0% depuis 3 semaines qu'à un simple étang où barbotent les canards. Les gens n'étaient donc guère méfiants envers le Joker, ce qui lui permettait de se promener à sa guise, ce qui lui permettait de rester dans la foule, car malgré une très nette tendance à la violence, le Joker aimait les bains de foule, ce qui faisait de lui un sociopathe encore plus singulier. Comble de son affection, entre deux massacres sanglants à souhait, le Joker aimait siroter un petit café crème brûlant à la terrasse d'un café, histoire de passer le temps, car il ne passait pas sa vie à tuer, loin de là. Sauf dans le cas de certaines pulsions incontrôlables, le Joker ne s'en prend qu'à ceux qui lui manquent de respect, bien qu'il lui arrive aussi de tuer ou de jouer les psychopathes par pur plaisir, pour vérifier le tranchant de ses scalpels ou simplement pour sentir la chair se découper sous fil de ses instruments.

C'est donc en fredonnant son petit chant improvisé que le Joker se dirigea vers un café, afin de prendre une petite collation. Il poussa la porte de l'établissement, et alla s'asseoir à une table vie en sautillant, déclenchant l'hilarité générale. Il interpella un serveur dans un grand geste théâtral, et lui commanda un café crème, sans sucre, et croisa les jambes tout en posant son coude sur la table. Il tint la pause environ 3 secondes, puis décroisa les jambes pour venir poser sa jambe gauche sur sa jambe droite, puis il inversa, et ainsi de suite, jusqu'à ce que son café crème arrive, ce qui, aux yeux des gens présents dans le bar, sembla duré une petit éternité. Le serveur arriva, et le Joker cessa enfin ses pitreries.

« Merci bien mon jeune ami! Voilà pour vous! » dit-il en jetant un billet de 10 dollars sur la table.

Ce n'était pas son argent, mais celui d'un loubard qui gisait maintenant dans une mare de sang au détour d'une ruelle sordide, il pouvait donc le dépenser à sa guise. Il entreprit de siroter son café tout en embrassant la salle du regard, quand son regard tomba sur un jeune homme assis à une table voisine, qui le regardait lui aussi. Amusé, le Joker soutint son regard, et le jeune homme semblait doué à ce petit jeu, ce qui fit sourire le Joker qui se mit alors à jouer avec lui, pour « passer le temps »...

Jack avait chassé tout la nuit, il était crevé depuis quelque temps LEUR agents étaient plus nombreux, c'était la preuve qu'il se rapprochait du but. Mais bon il fallait savourait l'instant, il revivait dans sa tête se moment ou il avait coincé ce type en costume, c'était si evident qu'il était avec EUX, ce type l'avait suivit durant trente mêtre avant de changer de direction, mais c'était trop tard il l'avait grillé.

Il se revoyait le piegeant dans ce hall d'immeube desert et ensuite avec qu'elle précision il avait tranché la langue, le nez et le visage pour le fair avouer qu'il EN faisait partie. Il était ressortie le coeur leger du devoir accomplit. Il avait nettoyer le sang sur ses main, l'aube se levait maintenant il se posa dans un café et regarda passer les gens en se demandant lequel serait LEUR prochain agents.

Il était habillé normalement jean, t-shirts recouvert d'un blouson de motar noir. Il commanda un coca et un café, l'un pour se désaltérer l'autre pour se reveiller. Bizarrement les gens semblait l'éviter comme si leur instinct les prevenaient qu'ils risqueraient de ce blesser en l'approchant. C'est alors qu'un énerguméne se pointant attirant tout les regards a force de simagré, c'était son exacte contraire, Jack était discret, lui exubhérant, mais se type cachait quelque chose sous cette apparence débridé, il en était sur.

Le "Tueuer a l'étoile", puisque c'est ainsi que les médias l'avait baptisé en raison des l'étoile qu'il gravé sur la joue de ses victimes, mit ses mains sous son menton, il y avait encore du sang sous ses ongles, et le devisagea, ce type pourrait trés bien un des chez EUX, le clown le remarqua et le fixa son tour. Une espéce d'atmosphére lourde commença a naitre entre eux. Leur regard étaient fixe, celui bleu, froid de Jack contre les yeux fous du clown qui allait baisser les yeux le premier ?

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L'inspection des bar faisait partie de la routine d'un patrouilleur. C'était un peu ennuyant en solo, mais bah, il finira bien par trouver un partner...

D'autant plus que c'était connu qu'il y avait souvent des petits jeunes qui tentaient de contourner la loi en se présentant avec une fausse carte afin de boire aux côtés des adultes en toute illégalité... les médias n'attendaient que cela pour que le Claude Poirier local fasse son show off: « Mais où étaient donc les policiers?!?!? » Qu'à cela ne tienne avec Bishop... lorsqu'il s'agissait de maintenit l'ordre public, il ne pouvait y avoir aucun passe-droit!

Il stationna donc sa voiture à côté du bar. Déjà, les deux doormen à l'entrée eurent comme un soulagement en voyant un représentant de la justice arriver.

Bishop avait sa veste anti-balle cette fois, avec l'uniforme réglo du NYPD. Il avança vers l'entrée et un des deux doormen, un afroaméricain, le salua de manière assez familière, sourrire en coin.

- Salut à toi, mon frère, c'est bon de te voir venir faire un tour. dit le bouncer

- Aucun problème, mon frère. répondit Bishop. Tout baigne ici?

- Si tu veux mon avis, tout baigne, mais bordel, j'en ai vu rentrer tout-à-l'heure qui m'ont filé les jetons. Un type maquillé en clown et un type qui me rappelait trop un mec qu'on a vu aux infos... si tu pouvais aller voir...

- Je vais t'arranger ça, mon frère. Si vous avez des ennuis, cassez-vous pas la tête et appelez-moi. Peace.

- Peace!

Lucas pénétra à l'intérieur du bar. Il regarda et se dirigea vers un groupe de personnes qui n'avaient pas tous l'air d'avoir 21 ans... il apperçu les deux types que le doorman lui avaient décrit plus tôt. Il releva ses lunettes sur le crâne et resta aux aguets.

Certes, ce n'était pas tous les employés du bar qui étaient à l'aise de voir un policier faire son tour ici... si jamais il découvrait une crocherie, ça pourrait peut-être mal aller... Arrivé à la table des jeunes, ces derniers le regardèrent d'un air méfiant.

- Bonsoirs messieurs. dit-il d'un ton assez haut pour se faire entendre.

- Euh... bonsoir...

- Je voudrais voir vos pièces d'identité, je vous prie.

L'un d'eux semblait vraiment sur la défensive.

- Eh! On les a montrées à l'entrée!

- Je veux les voir tout de même, allez hop!

Très nerveux, ils lui passèrent tour à tour leurs cartes... ils étaient cinq. Trois d'entre eux présentèrent des fausses cartes que Lucas confisqua sur-le-champ.

- Toi, toi et toi, suivez-moi, je voudrais vous poser quelques questions.

Lucas les amena dans le fond du bar, où il fit des fouilles corporelles sommaires. Celui qui avait été sur la défensive clama, lorsque Bishop trouva une carte prouvant qu'il avait dix-neuf ans:

- C'est injuste! Fous-moi la paix, chien sale! Je hais les putains d'flics! Ne me touche pas! Vas te faire...

Bishop le plaqua au mur lorsqu'il tenta de filer... Au bout de cinq minutes, une fois qu'il avait pris les infos sur lui, il le laissa aller. La bande quitta le bar en vitesse.

Puis Lucas s'approcha du Joker et de Jack... il était loin de Jack encore trop pour le reconnaître... par contre, les deux pouvaient voir le « M » tatoué sur son visage au fer rouge...

- Bonsoir messieurs... pourrais-je vous demander vos permis de conduire afin de vous identifier, je vous prie?

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L'homme installé à la table en face de celle du Joker avait accepté son petit jeu, et tout dans son attitude, son regard, sa démarche, indiquait au Joker qu'il avait bien compris les règles de "si-tu-baisses-les-yeux-je-te-tue". Ni lui ni l'homme ne bronchèrent lorsqu'un homme fit une entrée théâtrale dans le bar, demandant des pièces d'identités à tout va et demandant à s'expliquer avec les fraudeurs à l'extérieur. Le genre de super-flic gros bras qui pense qu'à lui seul il va pouvoir effacer toute la merde de ce monde. Cette pensée fit naître un léger sourire sur le visage du Joker, suffisamment voyant pour que l'homme et le policier le remarque, mais avec un regard qui en disait long sur ses pensées du moment.

Il entendit vaguement Super-Flic lui demander sa carte d'identité, ce qui le fit soupirer d'un air las et blasé. Mais désireux de jouer à son petit jeu jusqu'au bout, il accéda à la demande de Super-Flic. Sans quitter son partenaire de jeu des yeux, il ouvrit les mains...

"Hop, rien dans les mains, rien dans les manches!", dit-il tout en retroussant ses manches.

"Et... Tadaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaam!"

Une carte de l'ordre national des médecins et un permis de conduire apparurent dans sa main gauche, qu'il jeta négligemment sur la table. Les deux papiers indiquait "Dr Jack Nicholson", l'ancienne identité du Joker, ce qui prouvait son envie de s'amuser, bien que le Dr Jack Nicholson soit mort et enterré depuis un léger bout de temps, et que tout, maisons, comptes en banque, devises, avait été déplacé sur trois comptes aux îles Caïmans sous un faux-nom que seul le Joker était à même de connaître.

Par pure envie de rire, il avait ajouté sur les photos du maquillage pour que celles-ci ressemblent à son visage actuel, ce qui bien sûr n'échapperait sans doute pas à Super-Flic.

Le Joker avait fait tout son petit numéro sans quitter son "adversaire" des yeux, et dans le regard qu'il lui lança, il n'y avait plus le moindre sourire, et espérait faire passer un message...

*Il se peut très bien que Super-Flic viennent chercher des problèmes là où il n'y en a pas... Alors pourquoi ne pas lui apprendre la politesse? Oui oui, il se peut que ce soit ta dernière nuit petit prince.*

Il était près à se débarrasser du gêneur si celui-ci devenait trop collant, dans le seul but de pouvoir finir son petit jeu. D'un autre côté, le Joker venait à l'instant de lui donner une raison de fouiner dans ses propres affaires, ce qui le fit sourire intérieurement. Instinctivement, il avait déjà choisit comment cette nuit allait se terminer : par une chasse, et ce serait, histoire de s'amuser un peu, lui la proie, jusqu'au moment où il jugera que le jeu est finit...

Il avait hâte de voir comment son partenaire de jeu allait réagir, et surtout il voulait voir si Super-Flic avait compris à quel point il était dangereux pour sa santé et celle des autres personnes présentes dans le bar...

Jack fixait toujours cet homme, il avait quelque chose de malsain en lui, et en même temps tellement famillié. De plus il sentait que s'il baissé le regard se serait la fin, pour l'un ou pour l'autre. Jack restait concentré, mais un élément perturbateur fit son entrée, un filc qui visiblement se prenait trés au sérieux et s'attaquer a un dangereux gang de gamins avec des fausse cartes d'identité.

Le mutant resta de marbre fixant toujours son vis à vis, pas un rictus ne trahissait une joie ou de l'énervement. Le poulet sembla renifler quelque chose puisqu'il demanda les permis de conduires de Jack et de son ennemis de regards. Une minute se type pourrait trés bien être avec EUX et faire cela pour l'éliminer. Il allait devoir éliminer ce type, il sembla deviner la même pensée de la par du clown en face de lui.

Jack sans le quitter des yeux attrapa son permis de conduire, aprés tout il ne risquait rien, la police ne savait rien de lui, ni son nom, ni son visage, juste ses activité. Mais d'un côté il espérait que cela dégénére, il sentait presque la chair des deux se détachait entre ses doigts, il entendait pratiquement les cris et les suplication. Cela fait naitre un sourrir son visage, comme un acquiesement au pensée de l'autre guignol qui semblait dire.

*Ou tu veux, quand tu veux*

Jack était vraiment devenut un homme qui tuait pour le plaisir, en fait ce n'est pas vraiment tuer qu'il aimait, c'était la souffrance, la douleur et le regard de ses victimes, se regard désespéré qui apparaissait quand il comprennait que se serait long, douloureux et qu'il n'en réchapperais pas.

Le mutant espérait que le flicaillon fasse un impaire, juste mettre la main a sa ceinture ou n'importe quoi et la se serait...sublime, quand a l'autre s'il était toujours en vie, il ferait en sorte que son sourrir disparaisse a jamais. La journée provoyait d'être bonne.

Invité

Effectivement, le joker était sensiblement un malade. Pour ce qui était de l'autre, en regardant sa carte, il se dit bien qu'il devait l'avoir vu aux infos. Il regarda attentivement les papiers d'identité.

Jack Nickelson et Jack Storm. Le premier était un soi-disant médecin... bon sang, c'était quoi cette carte? Lucas n'était pas de ce monde depuis longtemps, mais il croyait vraiment que le maquillé se moquait royalement de lui.

Mais comment lui avait-on fichu un nom parreil, surtout?...

- Hmm... j'ai bien aimé votre dernier film...

Certes, Lucas avait eu le temps de regarder la télévision entre ses quarts de travail... Il lui dit cela d'un ton sarcastique et sérieux à la fois.

- C'est pour rester dans votre personnage, ce maquillage, entre deux scènes?

Il redonna son permis à Jack Storm mais confisqua celles du Joker.

- Les deux, voudriez-vous bien me suivre à l'extérieur, je vous prie? J'aurais quelques questions à vous poser.

Il les regarda avec vigilance. Il n'avait sûrement pas affaire à deux tendres; il devrait peut-être appeler des renforts, mais bon, il prendra au moins soin de signaler l'événement afin qu'il soit répertorier dans le système.

Dans son W.T.:

- 37-1, pourriez-vous m'inscrire pour un 445 à la brasserie au coin de la 39e et St-Andrews, svp.

Puis invita les deux Jack à le suivre à l'extérieur de la brasserie, vers sa voiture. Il resta vigilant, le sourrire sadique du clown n'était pas bien rassurant...

Invité

Le Joker, pris dans son jeu, n'eut pas l'occasion de remarquer la tête que tira Super-Flic lorsqu'il vit ses fausses cartes, mais il remarqua néanmoins qu'il rendit sa carte à son partenaire de jeu tandis que les siennes disparurent dans une quelconque poche, ce qui fit sourire le Joker. En revanche, ce qui le fit moins sourire, ce fût les remarques sarcastiques du policier, qui se voulait probablement drôle pour masquer la peur qui commençait à naître en lui. Cette peur irrésistible de la mort, qui commençait à courir dans ses veines, allait indubitablement l'amener à commettre une erreur, et à ce moment là, le Joker et son partenaire de jeu seraient là pour lui faire regretter d'être venu au monde.

Le Joker se sentit frissonner de plaisir à l'idée de découper de la chair fraiche, tiède et encore tâchée de sang. Le Joker continua de fixer son partenaire de jeu et lui fit un léger et presque imperceptible signe de tête.

*Nous allons devoir mettre un terme à notre jeu, fort palpitant s'il en est, j'en ai peur. La partie sera reprise plus tard, quand je me serais débarrassé de cet... Énergumène. Tu vas comprendre petit prince, que la réalité est beaucoup plus dure et douloureuse que celle que l'on décrit dans les films...*

Le policier leur demanda de bien vouloir le suivre. Il devait sûrement être habitué à ce que les gens le suivent dès qu'il en formulait le désir. Le prestige de l'uniforme sans doute, les prérogatives du cow-boy des rues qui peut malmener et importuner qui bon lui semble sous couvert de la sécurité d'autrui. Malheureusement pour lui, le Joker n'avait guère envie de le suivre à l'extérieur, il était confortablement assis et son café-crème était encore fumant.

Il allait donc s'amuser un peu avec lui, histoire de le tester, et pourquoi pas, l'amener à commettre un impair. Il tourna lentement la tête vers son interlocuteur. Super-Flic aime l'humour, et bien le Joker allait lui en donner. Du noir, du cru, après tout, on ne le prénommait pas "The Joker" pour rien.

"Huuuum et bien voyez-vous cher monsieur, je n'accorde pas d'interviews en dehors du plateau de tournage, voyez-donc avec mon agent. Vous attendrez donc votre tour, comme tout le monde. Si vous êtes gentil, je peux tout au plus vous donnez un autographe."

*Ou une mort lente et douloureuse.* s'empressa t-il de penser.

Le Joker conclut sa phrase par un sourire, qui en disait long sur le fond de sa phrase. Si monsieur le policier était joueur, il allait le faire jouer à un drôle de jeu, et il ne doutait pas une seule seconde que son partenaire prendrait un certain plaisir à jouer avec eux. Le Joker contracta doucement ses muscles, puis se détendit. Il garda son sourire et plongea son regard dans celui de Super-Flic, pour que celui-ci comprenne bien qu'il ne valait mieux pas trop insister.

Entre-temps, Super-Flic donna un ordre à son QG auquel le Joker ne prêta pas plus d'attention, qu'il appelle donc tout les renforts disponibles, cela ne faisait aucune différence pour lui, il trouverait forcément un moyen de s'en sortir en découpant un maximum de monde.

Sentant la pression monter dans l'air, un couple sortit aussi discrètement que possible, mais les autres personnes du bar, trop ivres ou trop absorbés par leurs conversations, ne se rendirent pas compte du danger qui se profilait lentement à l'horizon.

Le Joker se posa alors la question de se qu'allait faire son partenaire de jeu, qui semblait bien avoir les mêmes penchants que lui en matière de volonté de nuire à autrui, puis il sourit intérieurement, imaginant la scène signant la mise à mort de l'empêcheur de découper en rond.

Jack fixait son opposant dans son petit jeu de regard. Mais le flic gaché vraiment tout. Il demanda les papier des deux hommes, un rictus se dessina sur son visage. Ses papiers, comme s'il se baladait avec des papiers sur lui quand il était en chasse.

Visiblement ce n'était pas le cas du personnage peinturlurer qui sortit une carte barbouiller pour lui ressembler. Cela mit fin au jeux du moins jusqu'a ce que le flic ne deviennne qu'une masse sanguinolente et geignante attendant la mort de tout ses voeux.

Désolé j'ai oublié mes papier dans mon autre pantalon.

Il sortit un stylo et attrapa un serviette en papier et dessina un petit bonhomme dessus et la tandis au flic.

Mais cela devrait occuper votre neuronnes pendant un moment.

Faire monter la tension qui était déjà bien haute, il fallait le faire craquer de façon a ce qu'il fasse le premier geste. Brutalité policiére il était en droit de répliquer. De tout façon cette homme allait mourrir puit se serait le tout de l'autre.

Il n'en avait pas eu assez se matin, il voulait plus de sang, sentir la chair se découper entre ses doigts, sentir la chaleur du sang et des organes internes de sa victime entre ses mains.

De toute façon cela devait être encore un de LEUR coups pour l'éliminer. Alors il pouvait y aller franco. Quelque personnes quittiérent l'établissement sentant bien que l'ambiance devenait de plus en plus oppressante. Comment le flic allait réagir, comment l'autre allait réagir. Déjà on entendait les sirénes des renfort demandait hurler au loin. C'était de mieux en mieux qu'ils viennent, se sera un vrai massacre. Il regarda le policier avec un regard narquois qui cachait la lumiére de folie au fond de son iris.

Alors officier êtes vous satisfait ?

Invité

Ooohh... Lucas n'aimait pas vraiment, mais alors pas du tout, ce genre de petits bozos. Il était clair que ses pouvoirs de policiers étaient moindres ici que ce qu'il étaient à son époque en tant qu'agent du XSE... il devait donc rester courtois et respectueux en tant qu'officier de la Loi au NYPD.

Mais semblerait-il que le dénommé Jack Storm souffrait de perte de mémoire chronique et de dédoublement de personnalité, lorsqu'il finit par lui présenter le mouchoir crayonné, Lucas lui dit simplement:

- Euh... monsieur Jack Storm, vous venez tout juste de me donner votre carte, je viens de vous la rendre et vous demande simplement de me suivre...

Puis se tourna vers les deux, les fixant dans les yeux:

- Je ne crois pas avoir été clair. Monsieur Nickelson, je serais en droit de vous émettre un billet pour avoir compliqué la tâche d'un officier de la loi avec des faux-papiers; monsieur Storm, je serais en droit de vous émettre un billet pour avoir manqué de respect à un officier de la Loi. Alors nous allons faire une entente. Aucune question de votre part, vous allez vous rendre à la sortie du bar dans la ruelle à l'arrière, coller vos mains sur le mur et répondre brièvement et clairement à toutes les questions que je vais vous poser, suis-je clair? Dans le cas contraire, si vous refusez de collaborer, j'émettrai les constats d'infraction qui pourraient s'avérer plutôt salés. Dans les deux cas, monsieur Nickelson sera forcé de me donner sa réelle indentification. À présent, en route, je vous prie.

Lucas avait la main sur le dessus de sa crosse de son berretta 9 mm, sans le tenir de manière menaçante, le côté avec le revolver derrière, se positionnant ainsi de côté avec les deux suspects. Il les fixait droit dans les yeux, le regard autoritaire et dominant, presque comme s'il voulait que les deux suspects le pousse à employer la force, mais avec une attitude les incitant à la collaboration dans le calme, sans apparence de défi.

Il voulait que le calme et l'ordre soient maintenus devant les citoyens... qui commençaient à quitter le bar petit à petit...