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| Passer à des plus grosses proies ? (PV : Camélia) | |
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Lorelei Schönherz Nouvel(le) Apprenti(e) de la Confrérie Beta
Nombre de messages : 130 Age : 34 Autre(s) identité(s) : Herzeleid
Pouvoirs : Production et rejet de monoxyde de carbone
Age du perso : 22 ans Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Passer à des plus grosses proies ? (PV : Camélia) Dim 16 Aoû 2009 - 13:32 | |
| New-York, 16 août 2009 Brief für mich, La nuit était tout à fait propice. Un ciel légèrement voilé de nuages faisait danser les rayons du croissant de lune fort lumineux sur la surface terrestre. Je n'étais ce soir-là pas habillée comme j'en avais l'habitude en plein jour, or la nuit, aussi fascinante soit-elle, me laissait toujours quelque crainte causée par l'obscurité, même si ma crainte s'était apaisée depuis un certain temps déjà. Il faisait plutôt bon, j'aurais évalué la température ambiante aux alentours d'une vingtaine de degrés, si bien que je pouvais me balader dans la ville vêtue simplement d'un T-Shirt noir et de ma veste en cuir usuelle. Enfin… me balader n'était sans doute pas le terme exact qu'il eût fallu que j'emploie. Certes mes pas étaient lents, sans pour autant traîner dans le temps, car je prêtais attention au moindre détail, le moindre mouvement dans l'ombre formée par la lune, mais je faisais attention à tout sans réellement en avoir l'air. Car ma tête demeurait bien fixe sur mes épaules, et seuls mes yeux traduisaient des changements de direction soudains, et je dois bien avouer qu'aucun détail ne m'échappait, fut-il insignifiant ou non. Je déambulai ainsi dans les rues de New-York, peu après mon arrivée je dois bien l'admettre, la musique hurlant dans les oreilles. Certes je ne comptais plus sur l'ouïe pour aiguiller mes ambitions, mais sur mes yeux pour assurer mes succès, et sur la chanson Elle s'endort de Eths pour rasséréner mon humeur massacrante, presque au sens littéral du terme. De fait, la colère ne m'habitait pas réellement, juste un sentiment de froideur suscitée et de mépris bien calé au fond de mon âme. Pour sûr, la musique se suffisait à elle seule, mais je contraignais également mon esprit à sombrer dans le pessimisme, afin de mener mes buts à la victoire.
Mes pas me hasardaient au fur et à mesure des carrefours, jonglant entre grandes rues et ruelles, et je notai aisément tous les regards qui se posaient sur moi et ma frêle corpulence, et je tentai au mieux de comprendre chacun d'eux. Des regards vides, obstrués par l'alcool ou la drogue, inintéressés, suspicieux, mesquins ou vicieux. Il y avait une grande multiplicité et diversité d'interprétations dans cette ville, cela me changeait de Paderborn je dois bien l'admettre, mais aussi curieux que cela puisse paraître, je ne me sentais pas pour autant oppressée et encore moins terrorisée. Je demeurais confiante et sûre de moi, enfin plutôt de mes qualités défensives que je réprimais en ce moment-même, pour ne pas alerter les personnes qui passaient à quelques centimètres de moi. Finalement ma quête avait abouti à ce pourquoi je me pavanais de la sorte, guettant chaque chose en chaque temps. Au départ, je le voyais pas très bien qui ils étaient, mais en me rapprochant tout en conservant un air naturel, je remarquai les sachets contenant une fine poudre blanche s'échanger. J'avais désormais ma, ou mes cibles. Je ne voyais pas encore suffisamment clair pour savoir s'ils n'étaient que deux ou plusieurs. Mais ce qui était certain, c'est qu'il y avait au minimum un homme et une femme, très jeune d'ailleurs cette dernière, habillée de manière indécente et presque décadente. En effet elle portait une jupe bleu ciel particulièrement courte, à la moitié des cuisses seulement, et son haut égalait ceux qui empêchait la chaleur d'accabler la peau, or là il ne faisait pas trop chaud pour porter ceci, même si une misérable veste tentait de cacher sa peau striée. Je le vis au dernier moment lever la main pour lui mettre une claque, mais cet homme me vit et arrêta immédiatement son geste, ce qui n'avait pas empêché la jeune femme, ou jeune fille je ne savais pas puisqu'elle me tournait le dos, d'émettre un léger cri sous l'influence de la peur. Je pouvais lire dans le regard de cet homme la colère à l'égard de cette femme qu'il ne considérait que comme un moyen de transport de marchandises et une vendeuse de plaisirs, ainsi que la haine qui commençait à germer à mon égard. J'enlevai une des mes oreillettes, et marchai d'un pas assuré vers lui, et il congédia cette femme, qui ne fit pourtant que quelques pas avant de se retourner pour observer la scène. Mais il le remarqua et la menaça de ne plus la payer : J'avais vu juste, cet homme était un proxénète à l'image même de ceux que j'avais découvert dans un livre.
Je notai désormais, me situant à une distance d'un mètre mais toujours en me rapprochant jusqu'à un demi -mètre, les différentes impressions que ses yeux me laissaient. S'il m'avait regardé avec haine avant, désormais il était intéressé, soit par ce en quoi j'aurais pu lui servir, fut-ce en matière de drogues ou bien en plaisirs charnels tout simplement. M'arrêtant à cinquante centimètres comme convenu, il me lança : « Tu veux quoi ? » mais je répondis que par un silence prolongé et un regard de colère, ce qui ne manqua pas d'entraîner la réaction que je souhaitais. Il eut un rictus malsain et je compris ce qu'il avait l'intention de faire, il voulait m'employer de force, mais pour ce, il devait d'abord me faire comprendre qui donnait les ordres et quelle hiérarchie s'imposait à moi contre mon gré. Finalement il me gifla fortement, et la violence de la gifle m'arracha quelques larmes, mais me décrocha pourtant un sourire de contentement. Cet homme allait comprendre la portée de son acte. Conditionnée par la musique jusque là et extériorisée par les gestes de ce proxénète, ma réaction s'ensuivit immédiatement. Je déclenchais mon pouvoir sur une distance de trois mètres, mais je pouvais aisément atteindre quatre mètres voire même le maximum à souhait face à une telle situation. Je voyais sa respiration augmenter et il commençai à tousser. Tout était parfait, à une nuance près. Je n'avais nullement conscience de la présence qui nous épiait depuis quelques moments déjà, qui observait toute la scène avec sans doute un intérêt particulier et différent de cet homme mais bien plus grand et ambitieux. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Passer à des plus grosses proies ? (PV : Camélia) Dim 16 Aoû 2009 - 15:06 | |
| La journée avait été harassante pour Camélia, faire de la route toute la journée n'était vraiment pas sa passion. Il faut dire que la planque de la confrérie était certes discrète mais trop éloigné de la ville. Le matin même elle avait décidé d'emprunter la moto d'un de ses confrères, prendre son argent et retourner en ville voir comment les humains se comportaient, avaient ils changés, elle avait la certitude que non. Ces vermines là ne changent jamais, ils sont tout juste bon a contester et à procréer.
*Ils ne sont que des pions heureux d'être à genoux devant un gouvernement corrompus, des sois disant têtes pensantes, pauvres minables.*
La route fut éprouvante, les voitures s'entrechoquaient et passer entre elles devenaient du suicide,au bout de quelques heures de patience elle arriva enfin à New-York c'était la première fois qu'elle venait sur cette île, elle pensait trouver quelque chose de beau mais en faite tout ici sentait l'humain, trop de construction, trop de pollution, la décadence dans toute sa splendeur. Elle s'arrêta à dans une ruelle déserte à cette heure tardive, rangea sa moto du mieux qu'elle pu, sortie des deux pochettes accrochés derrière le siège ses poignards au nombre de deux et s'engouffra au hasard dans le dédale des ruelles. Elle avait bien l'intention de mieux maîtriser son pouvoir, les objets n'étaient plus un problème mais les ombres humaines étaient bien plus complexes, plus difficile à séparer du corps et à maintenir sous contrôle. Elle rangea ses poignards l'un a sa ceinture et l'autre dans ses rangers élargis pour l'occasion; La nuit n'était pas encore tomber, elle décida donc de trouver un café et un marchand de tabac, elle avait besoin de sa petite dose de mort pour se sentir à l'aise dans cette ville ou pour rester calme au contact de ces misérables cloportes. Elle trouva sans mal un petit bar-tabac sans prétention, dont les carreaux n'avaient pas été lavés depuis des années, l'enseigne se balançaient au gré du vent avec un petit couinement désagréable. Elle s'assit au comptoir et commanda un paquet de Malboro ainsi qu'un grand chocolat chaud. Elle était assez fébrile comme ça pas besoin de rajouter de la caféine par dessus. Les regards étaient tournés vers elle, vers la petite poupée de porcelaine avec son teint de cadavre, son maquillage sobre et ses vêtements excentriques: un pantalon noir avec de nombreuses poches, un haut décolleté noir soutenu par un serre taille mettant en valeur ses attributs, a ceci s'ajoutait un ravissant collier en argent représentant un ange crucifié.
Les hommes la contemplaient comme un morceau de viande, s'ils savaient seulement ce qu'elle pensait d'eux et de leur pitoyable sort. Elle soupira lorsqu'un homme plutôt séduisant sentant l'eau de Cologne s'approcha d'elle et lui demanda avec toute la courtoisie du monde s'il pouvait s'asseoir à côté d'elle, pour discuter. Elle le laissa faire mais le laissa parler seul, il ne cessait de regarder le décolleté et elle le savait mais cela n'avait que peu d'importance pour elle, elle ne l'écoutait pas. Elle était plongé dans l'admiration des ombres qui se dessinaient sur le mur derrière le comptoir, l'ombre de cet homme si ennuyeux y figurait aussi, c'est celle ci qu'elle décida de prendre sous son contrôle, elle y arriva mais sa concentration fut réduite à néant par le barman qui lui tendit l'addition. Elle paya et sortit sans dire un mot accompagnée de l'homme qui maintenant lui proposait d'aller chez lui, elle refusa bien évidemment, elle avait d'autre chat à fouetter.
La nuit tombait lentement sur la ville qui maintenant se paraît de tous ses atouts, la lumière éclairant les grands boulevards, l'agitation des corps en ébullition, les boites de nuit ouvraient enfin. Tout cette peuplade eut vite raison de la volonté de Camélia de rester sur les grands boulevards, elle s'éloigna et entra dans les quartiers mal fréquenté, là où le trafic de drogue est courant et où les femmes donnent leurs corps contre un peu d'argent. Quel lieux répugnant, elle regardait toutes les personnes présentes sans vraiment y prêté attention, elle n'avait pas peur, elle saurait bien se défendre si l'un d'entre eux venait pour l'agresser. Elle grimpa sur un toit par la gouttière, grâce a ces longues années d'entraînement ce ne fut qu'une promenade de santé. Elle s'installa et pu ainsi contempler les environs sur deux pattés de maison , elle sortit le paquet de cigarette sortit un des précieux bâtonets et le porta à sa bouche avant de l'allumer avec délicatesse, elle resta là, s'allongea tout en regardant les nuages défiles sur la voute céleste. Elle commençait à vraiment regretter d'être venu ici, il n'y avait rien à tirer de cette populace même pas un peu d'amusement, les mutants semblaient avoir déserté cette ville et ça pouvait se comprendre, pourtant c'était aussi le meilleur endroit pour se cacher dans cette infinie masse d'anonyme. Elle allait s'en aller quand un bruit attira son attention. Une femme venait de se prendre une claque, rien de bien inhabituel à première vue si ce n'est cette autre femme qui s'approchait sans rechigner du proxénète , une dingue peut être qui avait envie d'en finir sûrement pourtant son comportement ne le laissait pas le croire. Le bord du toit faisait office d'excellent point de vue il ne manquait plus que les pop-corns et tout serait parfait, une petite bagarre arriverait peut être à rattraper sa journée. Un mouvement et un à zéro pour l'homme, elle allait souffrir la pauvre, pourtant elle avait un large sourire que mijotait elle? Soudain elle riposta en expulsant une sorte de gaz dans la figure de l'homme qui s'effondra à son tour et se tortilla au sol. Ce fut à la poupée d'avoir un sourire sadique, qu'allait elle faire? Le tuer? Mais elle n'eut pas la patience d'attendre. Elle trouva un escalier de secours et descendit rejoindre la mutante. Un applaudissement recouvrit les gémissements de l'homme, Camélia sortit de l'ombre pour féliciter la jeune femme et pour peut être l'enrôler qui sait?
« Bravo, bravo, belle prestation. Je me prénomme Camélia et à quelle merveilleuse mutante ai je à faire? » |
| | | Lorelei Schönherz Nouvel(le) Apprenti(e) de la Confrérie Beta
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| Sujet: Re: Passer à des plus grosses proies ? (PV : Camélia) Mer 19 Aoû 2009 - 15:23 | |
| Soudainement je perdis confiance en moi, non pas de mon pouvoir, mais de moi-même quand la tierce personne quitta l'ombre pour se révéler à moi, ainsi qu'à l'homme dont les dernières secondes de vie passaient à une vitesse extrêmement ralentie du fait qu'il ne pouvait plus que respirer les particules de monoxyde de gaz qui sortaient en grande quantité de mon corps. J'observai ce nouvel individu avec une curiosité marquée sur les traits de mon visage, la blancheur de sa peau faisait peur à voir, je me demandais même si ce n'était pas d'ores et déjà un cadavre qu'on aurait remis sur pieds tant son teint cadavérique était prononcé. Je le lui aurais volontiers demandé, mais cela ne paraitrait-il pas quelque peu déplacé ? Quoi qu'il en soit, aucune peur ne pouvait se lire dans ses yeux, bien au contraire. Elle affichait un sourire sadique, presque empreint d'une grande cruauté sans égal. Que pouvait-elle bien vouloir ? M'empêcher d'accomplir mon œuvre ? Elle n'en avait pas trop l'air, pourtant je n'écartai pas cette idée. Je me préparai, en quelque sorte, à devoir l'affronter elle aussi, et je dois bien admettre que je n'avais que mon pouvoir comme ultime moyen de défense, et s'il s'agissait réellement d'un cadavre ambulant, donc aux fonctions vitales éteintes, j'aurais dû prendre mes jambes à mon cou. Toutefois, mes soupçons s'évanouirent dans la nuit lorsqu'elle commença à taper dans ses mains et à m'applaudir. Mais pour quelle raison m'applaudissait-elle ? Je n'avais rien fait d'exceptionnel pourtant, j'infligeais juste à un homme la sévère et mortelle punition, sans être expéditive évidemment, qu'il méritait de recevoir pour l'affront fait au genre féminin, et parallèlement, c'était ma vengeance personnelle quant à la claque quelque peu douloureuse et qui avait marqué ma joue qu'il m'avait donnée, ce qui n'avait pas manqué d'attiser une colère maîtrisée mais profondément présente.
De plus, cette jeune femme ou fille, je ne pouvais trop le dire, se présenta à moi, elle ne m'était par conséquent pas hostile. Cependant je restai sur le qui-vive, prête à élargir encore mon cercle de défense gazeux au moindre signe de menace ou à la moindre sensation de danger. Qu'elle nomme mon œuvre une prestation me choque quelque peu, je ne me donnais pas en public, mais agissais dans l'ombre, en quoi quelqu'un devrait-il voir ce « spectacle », comme elle l'aurait décrit je suis sûre, si ce n'est pour ensuite informer la police ? Je ne comptais pas passer pour une héroïne ou une féministe engagée. Qui plus est, sa façon de s'adresser à moi ne manqua pas de m'étonner de plus belle. Certes elle me donna son prénom, ce qui intrinsèquement ne posait pas le moindre problème, mais c'est plutôt la fin de sa phrase qui me choqua, car elle utilisa les mots « merveilleuse mutante ». Somme toute, le terme de mutante n'était pas celui qui me choquait, c'était ce que j'étais et même si je me demandais comment elle avait pu deviner que j'en étais la source, étant donné que mon pouvoir est incolore, c'était plutôt le terme de merveilleuse qui souleva une multitude de questions quant à l'usage de ce mot. Naturellement on eût pu deviner que c'était courant dans l'art de la drague que de sans cesse couvrir l'autre d'éloges, mais j'avais tout de même un sérieux doute quant à tout cela. Je n'étais absolument pas persuadée que ce fut à cette fin. Et malgré toutes les études du système allemand à l'école que j'ai pu faire au temps d'Hitler, cela ne me sautait pas aux yeux. Mais amadouer la population était courant, et cela se révéla bien plus tard être le cas.
Cependant au fur et à mesure que les secondes s'écoulaient, le machiste à côté revoyait toute sa vie défiler devant lui, mais mon attention ayant été détournée, je ne me souvenais même plus qu'il était là. Cependant il émit un profond cri à faible portée mais de grande intensité du plus profond de sa gorge, aussi détournai-je la tête de Camélia pour regarder à nouveau ce proxénète et sentir mes yeux s'écarquiller en voyant qu'il allait mourir si je ne faisais rien. Mais j'étais restée beaucoup trop longtemps à une portée suffisante, et cette crainte de tuer n'avait fait qu'amplifier encore plus mon pouvoir, si bien que les fatales secondes arrivèrent, et il s'écroula au sol, inerte et sans vie. Je fus à nouveau terrorisée comme lorsque j'avais pris la vie de mon premier petit ami, mais elle ne fut pas aussi violente, de fait je ne pris pas mes jambes à mon cou comme cette première fois. Je restai plantée là, je pense qu'inconsciemment je voulais connaître les réactions de cette fille pour savoir si je devais m'en débarrasser ou non, l'instinct de survie dominant temporairement la raison. Mais quand bien même j'avais fui ainsi, je n'aurais pas été exempte de problème, car bien que je ne le vis pas puisqu'elle se trouvait dans mon dos, malgré une distance conséquente, la jeune femme à qui j'avais fat échappé une claque était finalement revenue sur ses pas, car cet homme nonobstant les sévices qu'il a pu lui causer et les maltraitances des clients qui ont pu poser les mains sur elle, il était son gagne-pain, et elle voulait sérieusement être payée même si elle devait risquer sa vie et son corps au profit d'immorales actions…
Mais tout aussi de manière inconsciente, mon pouvoir s'était accru comme je l'ai écrit plus haut, mais avait alors atteint les limites de Camélia, si bien que si elle s'avançait encore, elle respirerait, si toutefois elle était vivante encore, les molécules de monoxyde de carbone flottant dans l'air… Ce qui l'aurait alertée et moi de même car elle ne se trouvait pas à moins de trois mètres, la distance moyenne de l'application du gaz et qui disparaissait au-delà. Cependant, je devais tout de même finir par lui répondre, et avec une voix empreinte d'une légère panique, je bafouillai et hésitai, cherchant avant tout à me protéger et à ne pas paraître trop anéantie par mon acte immédiat, et ce en donnant un faux nom, mais trop semblable au vrai :
« Je… je m'appelle Loreline. Je mis du temps avant de trouver autre chose à dire. Je suis en effet une mutante comme vous l'avez dit, et vous, vous en êtes une aussi ? Sinon… vous avez intérêt à le montrer »
Je n'arrivai même pas à vociférer des menaces convaincantes et surtout l'ultime menace de mort, tant cela m'était étranger. Pour sûr, si elle était réellement une mutante aux pouvoirs extravagants comme ceux que l'on pouvait voir aux informations, elle me réduirait à néant en un instant, était-ce le cas ici ? | |
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