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| Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] | |
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Invité Invité
| Sujet: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Sam 29 Aoû 2009 - 20:22 | |
| De l'action ! Voila ce qu'il lui fallait ! C'était un excellent remède à tous ce qui le minait. Enfin, le miner était peut être un bien grand mot, mais ça lui ferrait quand même du bien de montrer de nouveau au monde pourquoi il fallait craindre la fureur de l'avatar de Cyttorak. Les gens avaient tendance à oublier trop vite. Magnéto cessait de leur montrer la puissance des mutants pendant quelque temps ? Ce n'était pas parce qu'il espérait un soudain regain d'intelligence par les élites mondiale, mais parce qu'il avait peur. De quoi un homme de ce genre pouvait il bien avoir peur ? Il pouvait contrôler autant de puissance que lui... Alors qu'il n'était qu'un mutant. Si les mutants évoluaient ensuite, surpassant la première génération, il n'y avait pas de doute que l'espèce humaine n'avait pas l'ombre d'une chance. La question était de savoir ce qui pouvait bien pousser cet espèce à continuer une telle lutte. C'était complètement idiot. Il avait beau être un simple humain ayant reçu ses pouvoirs et ne les ayant pas à la base dans son patrimoine génétique, avait du mal à comprendre la façon d'agir de sa propre espèce. Comme quoi.
Bien sur, les humains pouvaient toujours se croire capable de lutter en inventant, comme il l'avait fait depuis la nuit des temps, tuant mammouths et autre dinosaures (oui, la culture c'est pas le point fort du fléau ><) a l'aide de piège et d'arme de plus en plus sophistiqué. Sauf que la des mutants pouvaient prendre le contrôle de machine, inventer plus vite et mieux, attaquer par des biais que les hommes étaient incapable d'imaginer, comme la télépathie ou le contrôle de la réalité. Vraiment, les mutants étaient supérieur. Cet opération allait en être la preuve éclatante...
Le Fléau en était la dans ses réflexions, quand il parvint dans une des rues adjacente à la rue principale. Celle ci était bloqué en prévision du passage du maire, et les policiers était nombreux. Les membres de son équipe devaient se trouver à proximité, dans une voiture. Ils devaient faire semblant de s'être tromper de route, du moins... jusqu'à ce qu'il se mette en branle. Il devait essayer quand à lui de se rapprocher au maximum de la barrière. Il y avait foule, nombre de personne étant descendu dans les rues pour voir défiler le maire. Il n'avait jamais pris conscience que les citoyens de la ville de NY étaient aussi intéressé par ce genre de chose. Comme quoi, la vie était pleine de surprise.
En parlant de surprise, il ne comprenait pas pourquoi les gens ne s'écartaient pas devant lui comme à l'accoutumée. Peut être que la présence des policiers leurs donnait confiance. Il les aurait bien remit à leur place , mais il ne pouvait se permettre d'attirer trop tôt l'attention sur sa petite personne. Aussi devait il faire en sorte de louvoyer entre les personnes qui se pressait en une foule de plus en plus compact, tout en faisant attention de ne pas faire usage de sa force par mégarde. Cela donnait l'étrange spectacle d'un colosse de plus de deux mètres dix qui essayait de ne pas bousculer qui que ce soit, tout en essayant de rester discret. Ses collègues dans la voitures devait bien rigoler. Il parvint cependant aux rambardes métalliques qui était disposé la pour dissuader qui que ce soit d'aller sur la route. Derrière, en travers pour bloquer la rue se trouvait deux véhicules de police, et une demi douzaine de policier. Les pauvres.
Le Fléau prit délicatement la rambarde entre deux doigts, la souleva et se ménagea un passage. Bien entendu, et des policiers ne manquèrent pas de venir le lui faire remarquer :
"Monsieur, il est interdit de traverser la route. Veuillez regagner la zone .
Tais toi, et dégage d'ici, si tu tiens à la vie !
Monsieur...
Les humains sont vraiment trop bête...."
Sur ses mot empreint de sagesse le Fléau attrapa le jeune policier qui était venu s'interposer entre lui et la rue, puis le projeta sur la foule. Ensuite, il transmuta ses vêtements par magie. A la place ou se trouvait une fraction de seconde plus tôt un géant roux en blouson de cuir et geant XXL se trouvait maintenant un titan tout de rouge vêtu, avec casque et des protections métalliques, le tout dans une lueur rougeâtre qui se dissipa assez rapidement. C'était le signal pour ses équipiers. La foule qui se trouvait à proximité se mit immédiatement à décamper, affolée, pendant que du revers des deux mains il envoya les voitures qui bloquait la rue s'encastrer dans les murs des immeubles.
Il se mit ensuite en branle, véritable char d'assaut humain, impossible à stopper. Le fléau n'était pas le plus rapide à la course, mais il tenait quand même une bonne moyenne quand il était lancé, chacun de ses pas faisant trembler le sol. Il pouvait voir de l'autre côté du pont que le convoi venait juste de s'engager. Parfait pour lui, il aurait le temps de bien détruire le pont... Et sur ce genre de pont, il était difficile pour un convoi de ce genre de faire demi tour....
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| | | Lorelei Schönherz Nouvel(le) Apprenti(e) de la Confrérie Beta
Nombre de messages : 130 Age : 34 Autre(s) identité(s) : Herzeleid
Pouvoirs : Production et rejet de monoxyde de carbone
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| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Lun 31 Aoû 2009 - 22:32 | |
| L'entretien avec Mystique avait certes permis de me renforcer dans mes projets, mais il n'empêchait pas que je n'était foncièrement d'accord avec la méthode que l'on devait employer. Bien évidemment on ne nous demandait pas de tuer chaque être humain que l'on verrait pendant notre tentative de prise d'otage, mais il était implicitement dit que l'on en avait le droit, et j'irais même jusqu'à dire que l'on devait éliminer tous les éventuels facteurs gênants, qu'ils soient du camp opposé ou simplement sur notre chemin. Cette pseudo-injonction ne me me laissait toujours pas insensible, et pourtant Mystique avait su avoir une emprise tellement forte sur mon esprit. Ce qu'elle avait réussi à faire, c'était de me convaincre, ou plutôt me persuader, que les opposants à un but devaient être au moins écartés des buts qu'on avait… Mais les buts de cette mission, ils n'étaient pas les miens, c'était ceux de la confrérie. J'avais mes propres buts, dont la démarche active avait été sonné par les propos de la belle bleue qui m'avait volontairement transmis un peu de sa détermination et de sa froideur d'esprit. C'était précisément ce dont j'avais besoin pour réunir en moi les forces nécessaires pour faire que mon œuvre aboutisse, même si le temps nécessaire dépasse très certainement ma propre espérance de vie déjà altérée par les mêmes armes qui me serviront à faire progresser mon œuvre.
Toutefois, l'exécution de ce plan se doit d'être retardée, mes fonctions à la confrérie passent en priorité, non pas de mon plein gré mais de force, car la confrérie ne sera qu'un tremplin pour faire se dérouler les étapes de mes projets. La mission que j'avais acceptée à mon insu se devait d'être suivie, je n'avais pas le choix si je ne voulais pas subir les railleries des autres vantards des couloirs, ni les terribles sanctions de mes supérieurs. Si bien que je me retrouvai au volant de la voiture, puisque ma concentration sur la route et sur la mission permettait une concentration accentuée sur mon propre pouvoir et éviter de faire mourir tout le monde d'asphyxie. Je lésinai aussi sur la vitesse, nous étions précisément au seuil de l'acceptable avant que des chocs trop forts ne fassent exploser le véhicule,de plus la montagne de muscles dont j'ai appris qu'il se faisait appeler le Fléau étaient déjà sur place ou proche de l'être, nous devions être prêts à agir dès qu'il en donnerait le premier signe, et ne pas être des corps calcinés. Une fois bien en place, il n'avait pas été difficile de le repérer, même sous une tenue civile, car sa taille le rendait repérable de loin. Ce qui jurait avec son caractère, c'est qu'il s'efforçait de ne pas brusquer qui que ce soit, de ne faire de mal à personne et à demeurer fondu dans la foule, en autant qu'il pouvait l'être. Toutefois les évènements se brusquèrent subitement lorsque le policier fut projeté à plusieurs mètres de son point d'origine avec une telle violence qu'il renversa bon nombre de piétons venus voir le cortège du maire. Je fus surprise sans l'être réellement, certes je m'attendais à une grande force, mais une aussi grande, je me dis que je ne devais en aucun cas chercher m'attirer des ennuis avec lui, car confrériste ou non, je pouvais toujours disparaître subitement. Puis il avait dégagé tous les obstacles, voitures ou humains, se situant entre nous et le pont où devait passer tout l'attroupement du maire, si bien que je ne perdis pas de temps et démarrai sur les chapeaux de roue pour atteindre le premier pilier du pont, le dépassai de quelques mètres et arrêtait la voiture. Nous allions alors entrer en jeu, même si véritablement j'allais être moins utile que les autres qui avaient très certainement des pouvoirs nettement plus efficaces dans un tel terrain, à savoir à découvert et en plein extérieur. Quant aux armes à notre disposition… je n'étais pas très talentueuse pour ne m'être jamais servie d'armes à feu, et même si la précision était un point fort, elle était valable uniquement avec des arcs, ce qui ne servait pas à grand chose ici.
Entièrement masquée derrière des vêtements sombres et couvrant la plus grande partie possible de mon corps, visage inclus, je sortis en trombe une arme de poing ainsi que des charges plastique, bien que je ne savais absolument pas comment cela s'utilisait, comment on les activait, où il fallait les placer, etc. Ce genre de mission ne m'était vraiment pas des plus favorables, j'aurais préféré en zone fermée où tout peut arriver, même le déplacement du monoxyde de carbone dans l'air afin de réduire toute résistance… ennemie ou alliée d'ailleurs, c'était à double tranchant. Je répugnais ce que j'allais faire, mais je n'avais pas le choix, c'était ça ou mourir et abandonner mes objectifs, et puis, parmi les victimes il s'en trouverait bien des gens qui auraient été servis sur un plat d'argent pour ce que je comptais faire d'eux. Mais ce n'était pas une volonté suffisante, et même si je me préparai à répondre aux coups de feu certains, j'allais avoir énormément de mal à tirer sur des innocents, à moins bien sûr que de leur méga-phone survint un message qui entraînerait une haine encore plus forte à l'égard de ce que je méprisais le plus sur cette planète, avec qui j'ai souvent eu à faire et avec qui j'aurai encore de longues histoires avant de finalement parvenir à mes fins. | |
| | | Alexandre Wade Nouvel(le) Elève X-Men Delta
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| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Mar 1 Sep 2009 - 9:57 | |
| La mission était lancée et Alexandre se trouvait désormais dans un véhicule en compagnie de Mewen assise à l'avant et Lorelei occupant le siège du conducteur. Le gamin quand à lui se trouvait à l'arrière, sur le siège du milieu. Il contemplait à travers les vitres se qui était en train de se dérouler à l'exterrieur. Là bas, un peu plus loin, la masse volumineuse qu'était le Fléau avançait droit devant lui, vers la foule d'individus. Ils s'étaient tous regroupés près des barrières de sécurités utilisées pour bloquer l'accès à la route où le Maire devait passer, enfin plutôt la route où le Maire aurait dut passer et où il ne passerait normalement jamais. En effet, il se pouvait que cette mission rate par on ne sait quel évênement, comme par exemple l'arrivée de renforts surprises, comme les 'toutous' de Charles Xavier; les X-mens. Si tout se déroulait correctement et comme prévu, le Maire et son convoit devaientt être arrêtés et bloqués sur le pont, sans pouvoir ni avancer ni reculer. En conclusion il devait donc se retrouver bloquer afin que le Maire puisse être capturer et être pris en otage. Mais le gamin savait que pour que cela arrive, il devait avec l'aide du Fléau et sans doute des deux autres, détruire la portion de pont qui rejoignait la terre une fois que la petite équipe aurait passé le premier pillier...
Ils attendaient le signal qui leur indiquerait que ce serait à leur tour de jouer. Mais dans l'immédiat il fallait attendre, en prétendant s'être tromper de route si un policer venait les interpeller. Attendre que le Fléau libert le passage pour que le véhicule puisse directement rejoindre le pont. Ce ne serait qu'à ce moment là qu'ils devraient le rejoindre, et pas avant. Ensuite, ce qui resterait à faire serait le plus marrant: casser, casser et encore casser. Bref, Mystique avait dit 'votre but, c'est de tout casser', c'est donc ce que compter faire Alexandre. Il s'y donnerait à font, même s'il devait épuiser toutes ses forces. Ce n'était pas tout les jours que de pareilles occasions se présentaient, et il n'avait jamais essayé de casser des pont jusqu'à présent. C'était donc une sorte de nouvelle aventure, à laquelle il avait hâte de goûter...
Le Fléau passa sans aucun mal la barrière qui le séparait encore de la route où le Maire devait passer. Le seul obstacle qui lui restait avant d'atteindre le pont. Il sembla à Alexandre qu'il avait eu plus de mal à éviter de bousculer les personnes qui s'étaient regroupées que d'envoyer dans les airs le jeune policer comme s'il venait d'envoyer un vulgaire petit cailloux. L'homme fit un magnifique vol-plané avant d'attérir dans la foule, ne manquant pas au passage de renverser plusieurs personnes. Un large sourire se dessina sur la bouche du gamin, tendit que le Fléau balayait la route des voitures et autres policers qui pouvaient s'y trouver, comme un chasse-neige dégageant une allée pleine de neige...
La voiture ne tarda pas de rejoindre le pont à toute vitesse, toujours conduite par Lorelei. Elle ne stoppa le véhicule qu'une fois qu'elle avait dépassée de plusieurs mètres le premier pillier. Voilà, c'était enfin à eu d'entrer en jeux, pour le plus grand plaisir d'Alexandre. Lorelei sortit rapidement de la voiture, une arme à feu sur elle, sans doute prète à tirer, du moins d'après le gamin. D'ailleurs, lui, il s'empressa de sortir à son tour. Il n'avait pas d'arme certes, mais il n'avait pas peur pour autant. Il espérait juste qu'on ne lui tirerait pas dessus, car il n'aurait pas grand chose pour se protéger. Il réajusta sur sa tête la capuche du sweet noir qu'il était passé prendre dans sa chambre avant de partir. Il ne prit pas la peine de refermer sa portière, au cas où il devrait il ne savait pour quelle raison remonter dans la voiture. Sans perdre un instant de plus il tendit ses bras vers le sol, un peu plus loin devant lui, avant de se concentrer. Il savait que c'était toujours le début le plus dure, qu'après ce serait beaucoup plus facile. Et puis il y avait les autres aussi. Après tout c'était la mission de l'équipe de détruire le pont, et il était décidé d'en détruire le plus possible. D'ailleurs, une espèce de bruit de craquement retentit, tendit qu'une fissure devenait de plus en plus visible sur la route, juste avant le premier pillier... | |
| | | Mewen Hatan Apprenti(e) de la Confrérie Delta
Nombre de messages : 671 Age : 46 Autre(s) identité(s) : Tazer
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Age du perso : 20 Date d'inscription : 18/12/2008
| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Mar 1 Sep 2009 - 11:18 | |
| Jusqu'à ce que le Fléau se mette en marche, Mewen essayait de capter les ondes radios par la pensée, mais ce n'était pas son domaine de prédilection. Elle s'était plutôt formée sur les appareils électroniques comme les ordinateurs, elle avait d'ailleur amené un ordinateur portable avec elle, connecté à une clef 3G afin de pouvoir accéder au réseau internet. Lorsque le Fléau se mis enfin en marche, la voiture se mis en branle conduite par Lorelei, Mewen pianota sur son clavier pour faire apparaitre le plan de New York ainsi que leur position. Elle repéra ensuite les voitures de police et tenta par l'intermédaire de la radio de bord de capter le signal de ces derniers, car son pouvoir semblait ne pas vouloir fonctionner. Elle se jurait qu'elle n'utiliserait pas le Marteau lors de cette mission ni au cours d'aucune autre, mais c'était apparemment le dernier recours qu'il lui restait. Le stress de s'injecter cette substance dans les veines, fit plus d'effet qu'attendu, car l'esprit de Mewen quitta son corps pour rejoindre le cyberespace. Elle reconnu aussiôt cette nuance de gris dans le ciel qui lui indiquait qu'elle n'était plus dans la réalité. Pendant ce temps là, mais Mewen l'ignorait Alexandre et Lorelei sortirent du véhicule. Il fallait à tout pris que Mewen s'entraîne pour ne pas avoir à perdre connaissance à chaque fois qu'elle utilisait son pouvoir. Dans le cyberespace tout était confus, comme autour d'elle, les policiers ne savaient pas encore trop comment réagir et leur réseau de surveillance était en train de se mettre en branle tout doucement. Mewen se servit de son ordinateur pour afficher les conversations qu'elle entendait, espérant que quelqu'un les lisait. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Mar 1 Sep 2009 - 12:34 | |
| La journée avait très bien commencé. Une excellente note en physique quantique remise en main propre par le Professeur, la journée de Carmine ne pouvait être que sublime. Lorsqu'elle sortit de la salle, son supérieur et mentor lui demanda de rester avec lui pour quelques minutes. Il la félicita de son travail en personne et l'encouragea à poursuivre ses entraînements, notant les nets progrès que la jeune mutante avait faits. Ce moment là fut intense pour Anders qui comme une gamine de huit à qui son père lui donne un bonbon, elle ressentait la même chose. Se sentir existée et aimée par une personne que l'on aime en retour et estime au plus haut point. Heureuse et comblée, elle quitta le Professeur les joues rouges de joie. Ce jour marqua pour elle le retour en force de Gleam. S'acceptant telle qu'elle était, sûre d'elle, écrasant le premier qui lui mettrait des bâtons dans les roues. Elle voulut en parler avec Havok mais elle se désista au moment de composer son numéro de portable. Préférant attendre et surtout ne voulant pas passer pour une groupie hystérique. A la place, ce fut son père, Chris Anders qui l'appela. Félicitant à nouveau sa fille, il finit d'éblouir le quotidien de son enfant. Lorsque Carmine eut sa mère au téléphone, elle faillit perdre deux larmes de joie mais il n'en fut rien. Elle s'isola des divers groupes errant dans les couloirs pour finir sa discussion privée. Après avoir raccrochée, les piles de la métisse était remontée à bloc. Prête à tout pour satisfaire parents et mentors, elle était loin de la déprimée adolescente qu'elle était il y a quelques mois.
Lors du repas, elle entendit parler du parcours du maire et à entendre certains élèves ainsi que les commentaires audio de la télévision laissée en fond, cela semblait être la chose à ne pas rater du mois. Abordée par un groupe de filles, elle cessa de manger pour les fixer et écouter ce qu'elles avaient à lui dire. Après un bref discours l'invitant à venir avec elles voir le Maire en vrai sur le pont, Anders qui était d'humeur positive accepta. Après son repas fini en compagnie de ses nouvelles copines, elle monta dans sa chambre en leur compagnie pour choisir leurs habits. Après plus d'une heure de franche rigolade, d'essayages et de multiples maquillages, elles étaient prêtes. Habillée très mode pour faire plaisir à ses nouvelles connaissances, elle descendit dans le Hall vêtue d'une tunique chocolat avec de longs collier en argent et noir. Une épaisse ceinture serrée la fine taille de Carmine. Sous sa tunique un mini short noir qui se voyait à peine surplombé une paire de Jimmy Choo noire elle aussi. Suivie des filles, elle prie le bus pour aller à New York mais avec les bouchons, les filles décidèrent de descendre du bus pour finir à pied. Ce qui ne causa pas de problème à Carmine qui savait marcher avec ses chaussures et donc escorta le groupe sans souci.
Lorsque de loin, elles virent la foule agglutinée, elles comprirent qu'elles étaient arrivées. Ne voyant rien derrière tout ce monde, l'une d'entre elle tapa deux fois du pied pour créer un léger tremblement de terre qui fit s'écarter de quelques mètres la population. Suivant la dynamique de groupe, Anders passa en mode super vitesse en tenant ses deux acolytes pour aller de l'autre côté et ainsi passer inconnues. Une fois la foule rassurée, tout rentra dans l'ordre et les filles se retrouvèrent devant. Se faufilant le long des barrières pour se rapprocher du pont, elles eurent après quelques efforts, la joie de trouver une place de choix. Il ne leur restait plus qu'à attendre la venue du Maire.
Après une bonne demi-heure passée à bavarder de tout et de rien mais surtout de mode, les filles coupèrent leur discussion lorsque la foule commença à applaudir. Le convoi du Maire venait de s'engager dans la voie. Mais un autre bruit focalisa plus l'attention de Carmine que le chef de la ville. Quand ses yeux virent au loin le Fléau courir en direction du convoi, son sang se glaça. Une si belle journée gâchée par la Confrérie. Déçue et en colère, Anders comprit très vite que quelque chose ne collait pas. Tournant la tête vers le convoi, elle fut alors certaine que la cible de la Confrérie n'était autre que la plus éminente personne de New York. Décidée à faire quelque chose, elle se tourna vers les deux filles qui avaient à leur tour remarqué la débâcle causée par le Fléau. Que faire?
"Il faut absolument faire quelque chose!!"
"Mais t'es malade Carmine, tu veux mourir! La Confrérie, Le Fléau, même le Professeur a du mal à lutter contre lui!"
"Je salue ton courage Wilhelmina mais il faudra agir pour au moins permettre au Maire de se sauver…"
"Carmine! Whilhie a raison… La meilleure chose à faire c'est avertir les X-Men!"
"Ça ne suffira pas!"
Saisissant son portable, elle s'empressa d'user de sa célérité pour envoyer un SMS à Havok "Maire en danger, j'ai besoin de toi, Conférie attaque…" puis après avoir indiqué le lieu où se trouvait le maire, elle envoya le SMS. Sortant de sa synchronisation, elle pivota vers les filles et leur dit :
"Si vous voulez rester ici, c'est votre problème!"
"Tu es folle, n'y vas pas!"
"Tu veux prouver quoi!
"Que je suis digne de devenir une X-Men!"
Concluant la discussion, elle se resynchronisa et fila droit au milieu de l'avenue n'écoutant plus les cris de ses ex-copines. Une fois entre Le Fléau et le convoi, toujours à bonne distance, elle cessa d'user de son pouvoir. Ses cheveux volant au vent retombèrent délicatement sur ses épaules encadrant le visage déterminé de Carmine à faire de son possible pour venir au secours du Maire. Son sang glacé avait du mal à circuler, son cœur battait rapidement, se concentrant pour ne pas succomber à sa peur, Anders hurla au mutant en pleine course :
"Stoppe ta course Fléau!"
Portant sa main droite devant son visage, elle n'attendit pas de prononcer une autre sommation pour utiliser son pouvoir. Elle claqua ses doigts pour générer une explosion photonique quelques mètres devant le mutant ennemi. Ses yeux fixaient directement sa cible, son esprit vide de toute émotion ne pensait qu'à réussir cet exploit. Elle s'en sentait capable. Avec tous les gens qui l'avaient encouragé, elle ne pouvait pas les décevoir. Plus à présent. Elle se devait de réussir! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Mar 1 Sep 2009 - 20:07 | |
| AAAAAAAAA ! Il n'y avait que ça de vrai ! Que ça qui pouvait pousser un homme à agir ! L'ivresse du combat, le fait de sentir couler le pouvoir et la force dans ses veines ! Les misérables humains connaissaient maintenant leur juste châtiment ! Il allait pouvoir leur rendre les humiliations qu'il avait subit durant sa jeunesse. Ce n'était qu'un juste retour des choses ! Mais tout ne serais vraiment terminé que lorsqu'il aurait fait payé Xavier, qui avait osé lui porté l'humiliation suprême en fouillant dans son cerveaux ! Et aussi à ces maudits x men qui avaient oser le vaincre lâchement à tant de reprises ! Mais tout ce paye toujours ! Ils allaient enfin en prendre conscience, c'était la seule différence. Et dans le futur ordre mondial il aurait enfin une place qui correspondait à son vrai potentiel, il ne serrait plus un simple gros bras ! Il deviendrait quelqu'un de respecter, d'aimer, voir même d'adoré ! Quoi de plus normal pour l'avatar d'un dieu que d'être adoré ! N'était il pas la représentation dans ce monde d'une puissance incommensurable ? Le respect et l'adoration devait donc être son lot quotidien ! Et pas la haine et la peur comme c'était trop souvent le cas !
Par conséquent Cain chargeait et frappait tout ce qui bougeait sans le moindre discernement. Rien ne l'arrêterait car tel était son pouvoir, légué par Cytorrak ! Il était l'homme le plus fort du monde et il allait le prouver une fois de plus. La voiture de tête du convoit, qui devait franchir le pont avec de l'avance sur le convoi pour vérrifier que tout était ok après le pont avait été retardé. Par conséquent le reste du convoi été déjà engagé quand celle ci parvint à auteur du Fléau, soit un peu avant la hauteur du premier pilier. Manifestement le pilote n'avait pas compris à qui il avait affaire. Il avait tout simplement l'intention de le faire valser en lui fonçant dessus. La question de savoir s'il pensait qu'il était capable d'encaisser le choc ou s'il voulait juste se débarrasser d'un muto était des plus spécieuse en l'occurrence. Celle de savoir si les personnes qui se trouvaient dans le véhicule après qu'il l'ai arrêté sans difficulté l'était aussi... Mais savoir s'ils avaient survécut à la projection par dessus les rambardes du pont, ça c'était l'extrême.
La voiture de ses alliers avait profité de ce moment ou il avait ralentit pour le dépasser et s'arrêter après le premier pilier. La nouvelle qui aimait la bière et le mioche étaient sortit immédiatement du véhicule. Le gamin avait déjà commencé à faire sauter le bitume selon un ligne. C'était aussi bien, il n'aurait plus qu'a donner un bon coup pour finir le tout. Mais que foutait Maiween ? a moins que ce soit Mewen ? il confondait tout le temps ces deux la. Non pas qu'elle se ressemble, mais leur prénom était trop proche et elles étaient toujours ensemble. Sauf, bien entendu quand ça avait de l'importance. Un jour il prendrait le temps de retenir leur nom, mais ce ne serait pas aujourd'hui.
Il n'était plus très loin des gamins quand quelqu'un apparu juste sous son nez. Une fille, plutôt canon, bronzé genre comme un caramel, l'air déterminé se trouvait maintenant en plein milieu de son chemin. Surement un recrue de son cher demi frère, puisqu'elle lui demanda de s'arrêter. Comme s'il allait obéir à un minable téléporteur, ou même, à un minable mutant. Le Juggernaut humain n'allait pas s'arrêter, même pour une téléporteuse canon. Il en était la dans ses pensées quand il fut frappé par une sorte de déflagration de lumière. Apparemment elle n'avait pas envie d'attendre pour voir s'il allait s'arrêter. La lumière n'était en fait rien. Il s'agissait d'une explosion. Vraiment puissante. Mais pas assez pour surcharger son bouclier. Il s'en était fallut de peu, mais ce n'était pas suffisant. Lancé comme il l'était aucune force au monde ne pouvait l'arrêter. Même si cette explosion avait réduit cette progression à une avance digne d'un escargot pendant quelque instant, rien de ne pouvait le stopper complètement.
Il parcourut en un instant l'espace le séparant de la jeune femme et lui retourna une baffe. Cain avait fait en sorte de limiter la force qu'il avait mise dans celle ci : il ne voulait pas avoir une mort de mutant sur la conscience. En fait, sur la conscience ça ne le dérangeait pas plus que ça, mais Magnéto risquait de ne pas apprécier. Il valait mieux laisser à un ennemi la possibilité de se réveiller que d'encourir la colère du vieux. Bien sur il n'aurait avoué ça à personne, mais bon...
"La nouvelle ! Va voir ce que trafique Maiween dans la voiture ! Gamin, affaiblit les bords et fais exploser les cordages, je ferrais exploser le reste en un gros coup ! Magnez vous le train !"
Le Fléau n'était peut être pas doué pour planifier une opération, mais il était un bon sous off de terrain. Ce qui voulait dire en clair qu'il était doué pour donner des ordres en hurlant à tout ses subordonnés et à voir ce qui n'allait pas. Ca n'en faisait pour autant quelqu'un de sympathique, ni même quelqu'un d'efficace sur n'importe quel autre plan. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Mar 1 Sep 2009 - 22:17 | |
| La journée avait bien commencé pour Alexander, qui avait décidé de passer un bon moment à mettre à jour certaines données ou certains équipements du Blackbird. Il s’était isolé complètement de l’institut en descendant au Hangar, et en prenant le temps de vérifier tout l’attirail qui composait la merveille dormant dans l’obscurité. Même s’il n’était pas loin des autres, il se sentait complètement déconnecté du monde, perdu entre les fils, et les interrupteurs, en testant tout ce qui pouvait se tester dans ce genre de machine. Il pouvait apercevoir quelques X-mens passer par le Hangar, lui faisant un signe de la tête, mais souvent, il ignorait ces gestes, tout simplement parce qu’il avait besoin de se concentrer sur quelque chose de différent. Depuis qu’il était devenu Professeur attitré de Pilotage, il n’avait jamais vérifié si tout fonctionnait bien, et c’était donc la première fois pour lui qu’il plongeait son esprit dans la mécanique du Blackbird.
Il avait passé en revue tout ce qui se rapprochait de loin ou de près à la mécanique. Il décida ensuite de s’attaquer au panneau de contrôle, histoire de vérifier que les interrupteurs n’actionnaient pas n’importe quel élément. Tout semblait fonctionner, c’est ainsi qu’il pouvait prétendre à un sortie « test », histoire de reprendre la main. Coupé dans son élan de solitude, il avait quand même pensé à inviter quelqu’un à bord du Jet. Il s’était même levé, et promené dans les couloirs su sous-sol à la recherche d’un élève ou d’un autre X-men qui pourrait l’accompagner, mais il était seul, depuis une bonne demi-journée. Tout le monde semblait occupé, et il n’avait pas envie d’exciter la foule, en proposant arbitrairement aux autres de venir faire un tour. Il entra seul dans le Blackbird, attacha sa ceinture, et prit les commandes de la bête. Les portes coulissèrent, et le Jet pu prendre de l’altitude. C’était une sensation étrange, presque vieille comme le monde, mais il avait l’impression de l’avoir oubliée. Son cœur battait la folie, entre l’excitation de piloter ce bijoux, et l’angoisse de faire une erreur.
Quelques instants plus tard, et après quelques bêtises, Alexander avait réussit à stabiliser le Jet, prenant donc du plaisir à voler entre les nuages. Il était serein, baignant dans le calme qui régnait dans le cockpit. Il fut soudainement surpris par un bruit étrange qui ne ressemblait pas aux musiques et sons qui sortaient du panneau de contrôle. Il se posa quelques questions avant de comprendre qu’il s’agissait de son téléphone portable, et il perdit encore plus de temps à le chercher dans sa poche, coincé en position assise. Il jeta un œil rapide et ne put lire que quelques mots enchainés les uns aux autres. Ce Sms avait l’ait important car les mots n’étaient que des mots clés :
"Maire en danger, j'ai besoin de toi, Confrérie attaque…"
A moitié en train de piloter, il essayait tant bien que mal de comprendre, mais c’est en voyant le nom de l’expéditeur qu’il comprit l’ampleur et l’importance de ce message. La transpiration qu’il essayait d’oublier laissa place à des vagues de sueurs froides, et sans chercher à comprendre il appuya avec son doigts sur l’écran afin d’afficher une carte, qu’il consulta en diagonale pour trouver le lieu de l’attaque. Comme ce message venait de carmine il ne pouvait pas douter de son aspect véridique, mais il était tout de même inquiet : Il était seul. Une fois la destination validée sur la sorte de GPS du Jet, il prit le micro et appuya sur le bouton latéral avant de lancer sous forme de codes :
« Ici Havok dans le Blackbird en plein vol. Est-ce que quelqu’un m’entend ? Je viens de recevoir un appel au secours sur le pont de New York. Je me rends sur place, si quelqu’un entend ce message, envoyez des renforts ! »
Il répéta à nouveau deux fois le message, puis il se résigna à piquer vers le sol afin d’arriver le plus vite possible sur place. Sur le pont de New York… mais que se passait-il ?
Il arriva quelques instants plus tard, à hauteur du pont, puis il se posa délicatement non sans angoisse. Quelques gouttes de sueur brillaient sur son front, et l’angoisse se faisait ressentir dans sa voix, chaque fois qu’il répétait le message au micro, en espérant que quelqu’un entende le message dans le Hangar. Pressé de régler cette affaire, et surtout angoissé à l’idée que Carmine soit déjà dans une mauvaise posture, il sortir du Blackbird, laissant ainsi le Jet à quelques centaines de mètre du pont. Il courut aussi vite que possible, bousculant par ci et par là les gens qui regardaient le spectacle, puis c’est quelques minutes plus tard qu’il aperçut Carmine sur le pont, en plein milieu, se faire gifler violemment par le Fléau. Sans comprendre ce qui lui arrivait, il se mit à accélérer en direction du groupe de mutants. |
| | | Mewen Hatan Apprenti(e) de la Confrérie Delta
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| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Jeu 3 Sep 2009 - 16:09 | |
| Le cyberespace prenait enfin forme, celle d'une pieuvre qui étendaient ses tentacules partout dans la ville. Mewen souriait, la plupart des communications étaient des appels à l'aide de policiers qui ne savaient pas comment gérer le problème mutant. Soudain une conversation attira l'attention de Mewen.
- Ici équipe Bravo, on a essuyé une attaque de terroristes mutants. La situation est sous contrôle ici. A vous. - Une attaque terroriste ? Doit on annuler le décollage du maire ? - Négatif, négatif. Les individus ont été neutralisés, tout devrait avoir été nettoyé d'ici l'arrivée du maire. - Quels sont les dégats matériels ? - Plusieurs hélicos sont HS, mais réparables, des vitres ont été brisées aussi, mais rien de bien méchant. - Bien. Ammenez les individus au bloc et nettoyez la place. Lieutnant Willson, terminé. - Bien reçu.
Ainsi la seconde équipe avait été capturée et avait échoué. Il fallait que Mewen prévienne son supérieur : le Fléau. Elle se doutait qu'il ne serait pas content. Elle rappela son esprit dans son corps et revient à elle subitement. Après un instant de désorientation, elle sortit de la voiture en courant, se dirigeant vers le Fléau.
"L'EQUIPE B S'EST FAITE CAPTURER. DOIT ON CONTINUER ?"
Cria t'elle ignorant qu'en fait c'était Mystique qui avait émis le message. | |
| | | Alexandre Wade Nouvel(le) Elève X-Men Delta
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| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Jeu 3 Sep 2009 - 19:14 | |
| L'explosion d'un morceau de pont s'avérait plus fatiguant que ce qu'avait pensé Alexandre. Mais il tenait bon, et d'ailleurs, il allait tenir jusqu'à qu'il ne soit à bout de force, ou qu'il soit mis hors jeux. D'ailleurs, on peut l'avouer, il préférait largement la deuxième option à la première. En effet, s'il devait cesser l'utilisation de son pouvoir parce qu'il n'était plus en état de le faire passait mieux à ses yeux que de devoir l'arrêter parce qu'il était tout simplement fatiguer. Du moins, ce n'était autre qu'un avis purement personnel. Pour l'instant il se contentait de faire ce qu'il avait à faire, sans se poser de question. Sa concentration était au maximum, tendit que la partie de pont qu'il montrait affichait désormait de large et longues fissures. Il était heureux de son travail, heureux de pouvoir servir à quelque chose, heureux de ne pas avoir un pouvoir passif et surtout heureux d'être avec les plus forts. Biensûre, lui, il ne se qualifiait pas dans les plus forts, mais il était vrai qu'il se trouvait bien entourré, avec le Fléau qui était déjà sur les lieux, ainsi que Mystique et Maiwenn qui n'allaient pas tarder à arriver. Voilà pour lui les meilleurs sur les lieux, car pour l'instant il ne connaissait rien des capacités des autres personnes présentes, enfin à par quelques petites exeptions...
Evidement, comme à chaques fois d'ailleurs, il fallut qu'une personne se croyant plus forte que tous les autres, une femme qui devait se penser invincible ou quelque chose dans ce genre qui vienne tout gâcher. Pour Alexandre, le geste qu'avait entreprit la demoiselle était une preuve de courrage. Enfin, cela aurait été une preuve de courrage si elle n'avait pas attaqué le Fléau, car là c'était plus du succide qu'autre chose. Même si elle comme avait put le juger Alexandre par son petit 'tour de magie', il doutait que cela suffise à stopper le Fléau. Cependant, il ne regarda pas la suite des évênements et il se réinterressa à sa tache, se promettant de ne plus se laisser distraire, bien que ses pensées n'arrivaient pas à se défaire de la jeune femme qui devait sans doute être un peu folle, voir carrément dingue...
Alexandre continuait de faire craquer le sol, plongé à moitier dans ses pensées, lorsque la grosse voix du Fléau tonna. De sa bouche ne sortit rien d'autre que des ordres, dont un était adressé au gamin. Ainsi il devait stopper ce qu'il était en train de faire. Il lui disait d'affaiblir les bords du pont et de faire exploser les cordages. Il clôtura son petit discourt d'un 'magnez vous le train'. Cela aurait été trop demander un petit encourragement. Mais bon, c'était le Fléau, il ne fallait pas trop espérer de gentillesse de sa part. Cependant, l'adolescent était ravit d'être utile dans cette mission qu'il s'éxécuta en affichant un simple sourire aux coins de ses lèvres. Il n'allait pas décevoir son 'professeur' maintenant, si? Le gamin s'empressa de relever ses mains avant de courir sur le côté du pont. Il dirigea ensuite ses mains vers tout ce qu'il pouvait voir, que ce soit des cordages ou encore des barrières de sécurités. Une fois ceci accomplit, il fit chemin averse pour répéter le même geste de l'autre côté. Ce ne fut qu'à ce moment là qu'il commença enfin à affaiblir les bords.
Soudainement, alors qu'il l'avait totalement oublié, Mewen surgit de la voiture, avant de crier à l'attention du Fléau comme quoi l'autre équipe s'était faite capturer. Durant un court instant, Alexandre écarcquilla ses yeux. Comment était-ce possible? Cela ne se pouvait pas. Il y avait Mystique, Maiwenn et Ampère dans l'autre équipe, comme aurait-on put les capturer? Il n'y avait que le crapaud qui faisait défaut au groupe, mais même avec lui, ils étaient si puissant... Le gamin n'y croyait pas. Mais après tout, comme rien n'était impossible... Cependant il continua à affaiblir ce que le Fléau lui avait demandé d'affaiblir, prenant toujours soin de ne pas dépasser le premier pillier. Il y mettait tellement de bonne volontée qu'il s'appliquait pour rendre la tâche au Fléau le plus facile possible. Une fois qu'il avait, selon lui, terminé son 'travail', il se rendit de nouveau à l'endroit qu'il occupait avant que le Fléau ne lui donne d'ordre. Il recommença ainsi à tenter de détruire le sol du pont. Il était déterminé à y réussir, il ne fallait pas qu'il échoue. Même si le gamin savait que le Fléau n'aurait aucun mal à tout casser, il voulait en détruire le plus possible. Au bout de quelques instants, ce qu'il voulait se réalisa enfin. Après une sorte de vombrissement assez sonore, un large morceau de béton se détacha du reste avant de tomber à pic vers l'eau qui se trouvait en dessous. Un large sourire de satisfaction s'afficha rapidement sur le visage du gamin. Il était heureux, il avait réussit.
Cela serait beaucoup plus facile maintenant, car Alexandre n'avait qu'à viser les bords du trou qu'il avait formé pour l'agrandir. Malheureusement il ressentait en lui une assez grande fatigue. D'ailleurs, du sang avait déjà commencer à couler de son nez. Mais il ne semblait pas y faire attention. Alexandre était bien décidé à user ses dernières forces pour agrandir son trou... | |
| | | Lorelei Schönherz Nouvel(le) Apprenti(e) de la Confrérie Beta
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| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Ven 4 Sep 2009 - 19:00 | |
| La suite s'était enchainée à une telle vitesse que je fus rapidement submergée, inaccoutumée que j'étais à ce genre d'évènements. D'abord la manifestation fort pratique des pouvoirs du jeune garçon qui faisait se fissurer le sol pour qu'un impact assez fort termine de tout faire voler en éclats, puis les injonctions aussi discrètes qu'un éléphant apportées par le meneur de notre équipe, tel était ce que Mystique nous avait dit lors de la conférence. Cependant les ordres que je venais de recevoir du Fléau n'étaient pas totalement contradictoires à mes volontés, car je devais retourner immédiatement dans la voiture pour voir ce que Mewen était en train de faire, pourquoi elle ne sortait pas. Malheureusement, lorsque je repris place sur le siège, j'eus à peine le temps de voir ce qu'il y avait d'affiché que tout disparut subitement pour redonner lieu et place à la collègue chargée de transmettre les conversations provenant des radios. Mais illico elle sortit de la voiture pour aller hurler au Fléau que la première équipe venait d'échouer… Était-ce réellement possible que les plans de Mystique ait pu être contrés de la sorte ? Si c'était le cas, elle n'avait pas beaucoup de talent au niveau stratégique, je me permettais cette hypothèse même si pour ma part les tactiques de combat étaient loin d'être celles avec lesquelles j'ai plus de chances de réussir. Entre temps une autre jeune femme avait débarqué à une vitesse hallucinante, se mettant clairement et assurément entre le Fléau et le convoi du maire. Par malchance pour elle le Fléau la fit dégager à l'aide d'une seule baffe, il était clair que je n'aurais pas aimé me retrouver à sa place. Cependant je n'étais pas là pour plaindre le sort d'une personne de l'institut Xavier, la mission primait sur mes préoccupations habituelles, même si j'essayais à la fois de tout concilier, difficilement certes, mais je le tentais. Or quand bien même il me serait impossible de mettre à exécution mes projets sur-le-champ, ce n'était que partie remise, je devais surtout et avant tout veiller à ma propre survie dans un tel moment.
Lorsque je voulus ressortir un bruit assourdissant résonna au-dessus de ma tête, et en tentant au mieux de voir ce que c'était, une forme longiligne glissa dans les airs pour se poser un peu plus loin. Je sortis finalement, puisque je n'avais pas vraiment autre chose à faire. Et demeurer dans la voiture n'était pas spécialement la meilleure idée que j'aurais pu avoir, tant par les dangers que cela impliquait, furent-ils immédiats ou postérieures à la prise d'otage. Et je ne pouvais décemment pas juger où se situaient les plus gros dangers entre l'action extérieure et les sévères répressions qui allaient m'attendre si je demeurais cloîtrée à l'intérieur du véhicule. Lorsque je sortis, un homme visiblement accourait vers nous, un air déterminé fixement attaché au visage, et je pouvais aisément deviner, en regardant le profondeur de son regard, qu'il n'était pas spécialement de notre côté. Qui plus est il accourait vers celle qui s'était prise la baffe du Fléau, il avait donc fermement l'intention de lui venir en aide, et si je ne souhaitais pas avoir un problème quel qu'il soit, c'était maintenant ou jamais que je devais montrer aux autres à quoi je pouvais bien servir. Qui plus est, il semblait tellement déterminé à rejoindre cette jeune femme que j'espérais de sa part un peu de manque d'attention à mon égard pendant que je ne montrais aucun signe d'activité. Je me préparai donc à rejeter donc le pistolet que j'avais dans les mains, mais malgré ma confiance presque aveugle dans mon pouvoir, je finis par le glisser dans l'arrière de mon pantalon, prête plus ou moins à en faire usage si le besoin s'en faisait ressentir. Je pris un des airs que j'affectionnais le plus, à savoir un air froid et adoptais un regard noir, même si mes lunettes de soleil afin de cacher au mieux mon identité empêchaient de le voir. Je fis face ouvertement à l'homme qui ne s'arrêtait pas, par chance c'était un homme, je pouvais aisément réunir la colère nécessaire en m'imaginant des tas de choses afin de faire un plein usage de mon pouvoir. Mais le problème était que je ne savais absolument ce dont il était capable, si c'était un mutant ou non. Et s'il l'était, que pouvait-il faire donc ? Et je sentais déjà les pulsions meurtrières revenir, plus par un propre instinct de survie que par une réelle haine, mais le résultat était le même, à chaque seconde j'obtenais les conditions nécessaires pour une parfaite utilisation de mon pouvoir. Mais je résistai à l'envie de libérer maintenant le gaz, tout problème respiratoire qu'il pourrait avoir lui mettrait la puce à l'oreille, et si je souhaitais le maîtriser sur ce point je devais garder l'effet de surprise. Je laissai tout un tas de pensées négatives s'immiscer dans mon esprit, jusqu'à frôler la vengeance envers quelqu'un que je ne connaissais pas pour la simple raison que c'était un homme. Finalement, je me mis à courir vers lui en cachant bien de vouloir frapper dans la pomme d'Adam pour lui faire mal, autrement j'allais avoir des soucis pour lui faire mal physiquement… | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Sam 5 Sep 2009 - 13:16 | |
| AAAAAA ! Mais qu'es ce que ces minables avaient donc à toujours vouloir se mettre dans ses jambes ? Il était évident qu'il était le meilleur, que personne ne pouvait se mesurer à lui, qu'il était invincible contre toute attaque ! Mais non. Il fallait toujours qu'il y ait un type qui pense que c'était une bonne idée de l'attaquer de front, comme s'il était un simple quidam dans la rue. C'était limite insultant pour sa puissance ! Et pour son orgueil ! Car la seule raison logique qui pouvait pousser quelqu'un à agir de cette façon, s'était qu'il ne le connaissait pas ! Hors, de tout évidence, cette fille qui avait essayé avec son attaque misérable de l'agresser n'avait même pas connaissance de sa puissance. Véritablement, c'était à désespérer. Il avait pourtant suffisamment défrayé la chronique ! Le nombre d'attaques de banque, d'attentats et autres actions qu'il avait mené pour la confrérie sans même parler de l'attaque de l'institut ! Mais voila, il restait encore en ville au moins une gamine qui était incapable de savoir qu'une silhouette comme la sienne avec un gros casque et vêtu intégralement de rouge ça voulait dire barre toi de la, même si tu es un mutant costaud.
Enfin, ceci dit, il pouvait être quasi certain qu'a partir de maintenant plus personne ne ce comporterait comme ça avec lui. Il ne doutait pas une seconde que les hélicos des chaines de télé allaient bientôt intervenir et immortaliser leur action, tout en la propageant à travers le monde entier ! Tous saurait que le règne des humains touchait à sa fin, et que le monde de l'homo supérior avait enfin commencer ! La puissance et la justice des mutants balaierait la civilisation décadente ! Et lui aurait enfin l'occasion qu'il attendait depuis si longtemps de laisser Charles Xavier endormis dans un caveau pour l'éternité ! Le monde ce porterait bien mieux sans ce vil manipulateur de cerveaux.
Pour en revenir à ce qui se passait autour de lui, ça bardait de tous les côtés. La fille qu'il avait frappé avait fait un beau vol plané, jusqu'a l'autre côté du pont. Il y avait peut être mis un peu trop de force... Dans le même temps la gamine Maiween lui cria un truc du genre "l'équipe B s'est faites un bébé "... Manifestement, c'était un code, surement pour lui dire un truc important. Il ne se souvenait pas d'avoir mis au point un code de ce genre, surtout aussi ridicule. Il verrait ça plus tard avec la gamine, une petite explication entre quatre yeux pour lui apprendre à ne pas inventer de codes pendant la bataille. Le gamin avait bien avancé son oeuvre, détruisant ce qu'il lui avait demandé avec la plus grande application, puis reprenant ce qu'il avait commencé. Il ne lui faudrait pas longtemps pour achever la destruction de cette partie du pont.
Un bruit sourd se fit entendre dans le ciel : l'hélico arrivait comme convenu, mais aussi l'avion privé du cher professeur. Il allait avoir du mal à garer l'appareil, même si celui ci était équipé d'un système ADAV... SI son cher frère venait se joindre à la partie, les choses allaient devenir des plus intéressante ! Peut être pourrait il faire d'une pierre deux coup ! Quelque instant après la petite nouvelle passait dans l'autre sens et allait se porter à la rencontre de.. d'un seul X men ? C'était tout ? Charles ne lui accordait donc que ce crédit ? Lui envoyer un X men anonyme, seul, pour faire face à sa puissance infinie ? Bon, puisque la gamine s'en occupait, autant achever de faire s'écrouler le pont avant que d'autre enquiquineurs ne rappliquent.
Cain prit donc le temps de se place à un des deux endroits stratégique qu'il avait repéré sur le plan du pont, et frappa de toutes ses forces, des deux poings , en un point unique. La force de la secousse fit trembler tout l'ouvrage, et ouvrit une énorme fissure sur une bonne moitié de la structure. Celle ci ne faisait pas plus d'une mètre de large, mais le poids du pont, maintenant mal répartit commençait à faire pencher celui ci. Cependant, cet unique coup n'était pas suffisant pour faire complètement effondrer la partie intermédiaire du pont. Il fallait encore qu'il apporte un second coup à un autre point.
"Gamine, ramène tes fesses par ici !"
Il se devait de donner cet ordre à la petite nouvelle, avant d'achever ce qu'il avait à faire. Magnéto n'aimait pas vraiment qu'on gaspille les jeunes recrues simplement en ne les informant pas. Le fait qu'il ait donner une sorte de signal en faisant un tremblement de terre ne serrait surement pas une excuse de prise en compte par le vieux. En quelques enjambé il atteignit le second point et frappa à nouveaux, provoquant des effets identique. Cependant le pont ne s'effondra pas d'un seul tenant, mais se mit doucement à piquer du nez. A savoir que la partie ou il se trouvait restait immobile, mais qu'un ou deux mètres plus en avant le pont se mit à piquer du nez. Ceux qui se trouvaient sur cette portion avaient intérêt à vite la quitter, s'il ne voulait pas faire une chute de plusieurs mètres de haut dans l'eau...
Bien sur, il aurait put attendre d'être sur que la gamine ai regagné la sécurité du bon côté du pont. Mais ça aurait été un facteur de risque. Et après tout, si le vieux n'aimait pas les sacrifices inutiles, il n'aimait pas non plus les recrues désobéissantes.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Sam 5 Sep 2009 - 13:37 | |
| - La tête entre ses mains, Susan désespérait complètement. Appuyée sur une table d’un café du coin, lunettes sur le nez, elle se forçait à déchiffrer la maigre phrase de finnois qui lui posait problèmes et qu’elle ne parvenait pas à comprendre. Un dico, l’ordinateur allumé, et quelques dizaines de feuilles jonchaient la table. Impossible, cette fichue traduction de Finnois. C’était décidément la langue la plus compliquée du monde. D’un geste las, elle jeta ses lunettes sur la table et se laissa aller dans le fauteuil. Une main passa dans ses cheveux blonds et elle reporta son attention sur l’ordinateur, décidée à trouver ce que voulait dire tout ça. Son portable, posé en évidence sur le bureau, se mit à vibrer. Susan s’empressa de le saisir et d’écouter le message vocal laissé par Havok de la cabine de pilotage du Blackbird. Le message était diffusé deux fois, la voix du jeune homme semblait pressée et inquiète.
- Citation :
- « Ici Havok dans le Blackbird en plein vol. Est-ce que quelqu’un m’entend ? Je viens de recevoir un appel au secours sur le pont de New York. Je me rends sur place, si quelqu’un entend ce message, envoyez des renforts ! »
Susan écartilla les yeux, devant elle, l’écran de télé du café diffusait les images de l’arrivée du maire de New York et celle de l’attaque du Fléau, dépassant de la foule et jetant un policier sur la caméra. Elle jeta une poignée de billets à la serveuse en lui indiquant de garder de côté l’ordinateur et ses affaires et qu’elle allait revenir très vite. Vêtue d’une paire d’escarpins, d’une jupe et d’un chemisier, Susan était encore tout à fait prête pour se mouvoir rapidement, comme d’habitude. Elle trottina le plus vite qu’elle pu pour sortir du restaurant, juchée sur 8 centimètres de talons peu pratiques. Elle gagna l’angle de la rue et tourna. A l’abri des regards elle forma à l’aide d’un champ de force une plaque et grimpa dessus. Une concentration suffit à la soulever et elle survola rapidement les quelques bâtiments qui la séparait du pont, où une foule de gens s’était regroupée pour l’arrivée du maire. Le pont, qui s’étendait au dessus du fleuve semblait être la cible. Arrivée par la rive gauche Susan distingua le Fléau, trônant au milieu des voitures cassées après le premier pilier du pont. Une camionnette, et deux autres individus masqués étaient sortis du fourgon. L’un d’eux, visiblement jeune, semblait faire exploser le pont à l’aide d’un pouvoir relativement puissant. Le Blackbird venait de se poser et déjà Susan distingua Havok se précipiter vers le Fléau. Un des individus encagoulés lui barra la route, visiblement, prêt à l’attaquer. Là, le Fléau frappa le pont à deux reprises, le faisant vibrer comme un vulgaire jouet. La partie du pont se mit alors à piquer du nez, directement vers l’eau, une cinquantaine de mètres plus bas. A côté, le Fléau hurlait des ordres que Susan n’écoutait pas.
Susan fila aussi vite qu’elle pu, juchée sur son petit champ de force psionique. Lorsqu’elle fut à la hauteur du pont, sans pour autant sans approcher trop, elle transforma la plaque sur laquelle elle était en une sphère large et solide, aux reflets déformés, résistante aux coups de feu mais lui permettant de pouvoir léviter. Elle vit Havok glisser avec le pont. Le bras tendu dans sa direction, elle dessina une autre sphère autour de lui et il chuta dedans plutôt que dans l’eau. Il n’était pas très lourd et les deux sphères étaient facilement contrôlables. Ceci dit, Susan distingua l’individu en noir chuter et Susan forma alors un champ de force plat, sur lequel Lorelei s’écrasa, plutôt que dans l’eau. Susan divisée par le contrôle des sphères et de la plaque rejeta violement Lorelei sur le pont et reposa Havok à terre avant de le rejoindre. Les champs de force disparurent et Susan parcourut ceux qui leur faisait face d'un regard froid.
- Tout va bien ?S’enquit Susan à l’adresse de son coéquipier.
Tous les deux, ils faisaient face à la Confrérie…
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| | | Laetitia O'Brian Neutre Beta
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| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Mar 8 Sep 2009 - 19:36 | |
| Assister à la parade du maire ? C’est une bonne idée et cela me permettra de me changer les idées. Je n’ai pas utiliser mes pouvoirs depuis que je me suis échappée du centre ou j’étais retenue prisonnière même si prisonnière est un peu exagérée. C’est donc en utilisant les transports en communs que je me dirige vers la parade mais très vite, un embouteillage voit le jour suite à des problèmes de circulation et je décide de poursuivre la route à pieds. Toujours en restant complètement cachée sous ma cape, je traverse assez rapidement les rues afin d’apercevoir au niveau du pont, une explosion.
« Cela ne me dit rien de bon. » Dis-je à voix basse.
Accélérant un peu la course, je continue d’avancer tout en prenant soin de ne pas bousculer les personnes présentes car je ne veux pas du tout me faire remarquer. Malheureusement, le chemin devient de plus en plus difficile pour se rapprocher suite à la foule présente pour observer ce qui se passe de loin et je décide d’escalader certains véhicules afin de poursuivre mon chemin. Bien entendu, les conducteurs des véhicules ne sont pas contents et me le font savoir en criant tout en prononçant des petites injures pas trop méchantes.
Je peux remarquer sur ma droite, un bâtiment ayant quelques mètres en hauteur qui pourra me permettre de mieux voir ce qu’il se passe. C’est alors que je décide d’emprunter la petite ruelle sur le côté du droit du bâtiment afin d’utiliser l’échelle de secours pour monter sur le toit. Une fois au dessus, je me dirige vers le bon côté afin de voir en détail ce qui se passe et là, je peux voir plusieurs combats se dérouler. J’aurai pensé à des malfrats et des policiers mais ce n’est pas le cas. Mon étonnement est grande lorsque je vois des personnes qui ne sont pas totalement ordinaires, ce sont des mutants.
« Que dois-je faire ? »
Je ne sais pas du tout comment réagir dans une telle situation surtout qu’on ne m’a pas donné d’ordres donc il vaut mieux pour moi de rester ici et d’observer. Certains mutants semblent être en mauvaise posture et cela peut se comprendre quand on voit la grande masse qui se déplace là-bas. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Mer 9 Sep 2009 - 15:55 | |
| Alexander se demandait encore comment il avait pu se précipiter seul sur ce pont, mais il repensait en même temps au message qu’il avait envoyé à l’institut à partir du black bird. La Belle journée qui avait commencé s’était transformée en horrible cauchemard, car pour être franc, il fallait être fou pour foncer dans le tas de la sorte. Plus rien autour de lui n’avait d’importance à ces yeux, il n’avait qu’un objectif, celui de ramener Carmine saine et sauve. Malheureusement pour lui, plus il avançait sur le pont, plus son visage grimaçait car il se rendait compte de l’ampleur des dégâts. Carmine qu’il espérait atteindre avant qu’il ne lui arrive quoi que ce soit s’était retrouvée éjectée à l’autre bout du pont comme une vulgaire carcasse d’animal, et cela avait eu le don d’amplifier ses capacités. Il ne savait pas comment, mais il avait accéléré, surement à la vue de cette scène qui l’avait semble-t-il rendu fou. Il voyait de plus en plus clair, et il reconnaissait le Fléau avec d’autres mutants près de lui : Il y avait fortement pensé, mais il refusait d’y croire. Maintenant qu’il en était certain, son esprit avait changé du tout au tout, serrant les dents pendant sa course effrénée et réfléchissant aux milles moyens de mettre fin à ce conflit.
Soudainement Alexander sentit sous ses pieds une fragilité à laquelle il n’avait jamais eu à faire. Jetant à peine un coup d’œil au sol, il pu remarquer que le pont était sur le point de piquer du nez. A force de trop réfléchir, il avait oublié de surveiller sa cible qui en avait profité pour faire écrouler cette parcelle du pont. Dans son instinct de survie, il leva les yeux comme pour se raccrocher à quelque chose qui l’empêcherait de couler au fond du fleuve mais il n’y avait rien pour s’accrocher. Il glissa en arrière entre les morceaux de bitume qui roulaient et plongeaient ensuite dans l’eau. C’est au moment où il se sentit tomber dans le vide que les choses devenaient étranges : Il ne s’écroula pas dans l’eau comme son esprit pouvait le croire en cet instant, mais il s’étala de tout son long à l’intérieur d’une sphère, comme un champ de force qui l’entourait. C’est en se redressant sur ses avant bras qu’il comprit qu’il n’était pas seul : il fixait du regard l’eau qui dansait entre les morceaux du pont qui chutaient comme des météorites, et il pu apercevoir une jeune fille se laisser tomber plus bas, et c’est quelques mètres avant de toucher la surface de l’eau qu’elle s’écrasa sur un champ de force presque identique au sien. Il leva alors la tête et vit une jeune mutante atterrir sur le pont pendant qu’elle ramenait grâce à ses pouvoirs les deux champs de forces sur le pont.
La jeune fille qui avait manqué de se noyer atterrit durement au sol, tandis que Alexander avait été déposé délicatement. Il jeta un œil autour de lui en se relevant difficilement, tout en pensant qu’il avait oublié combien un trop plein d’adrénaline pouvait fatiguer un être humain. Il n’était plus seul désormais, car la jeune Mutante était à ses cotés, ils allaient pouvoir rivaliser avec plus d’équité. Alexander entendit ensuite :
- Tout va bien ?-
Il ne savait pas trop quoi répondre à ce genre de question, tout simplement parce que s’il allait bien, cela n’allait pas durer, à en juger de la situation. Il répondit, haletant :
- Ca va… pour l’instant –
C’est par cette phrase qu’il espérait mettre au courant la jeune fille du danger auquel ils avaient à faire. Il serra les points et les dents, mis en rogne par tout ce qu’il venait de vivre. Ses rafales de plasma commençaient à être visibles, mais il se retenait. Il se préparait simplement à rappliquer au cas où les ennemis décidaient de riposter. Il imaginait déjà le fait de devoir s’envoler avec ses rafales pour éviter d’autres éboulements de ce genre… mais que faire dans ce genre de situation, sachant qu’ils n’étaient que deux face à presque une armée de mutants, tous plus puissants les uns que les autres. |
| | | Lorelei Schönherz Nouvel(le) Apprenti(e) de la Confrérie Beta
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Age du perso : 22 ans Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Lun 14 Sep 2009 - 23:07 | |
| Si je me rappelais encore très clairement la vitesse avec laquelle toute la scène s'était déroulée ma sortie du véhicule pour y être retournée afin de lire ce que Mewen avait pu écrire mais en vain, et enfin ressortir de la voiture pour me précipiter vers cet homme qui voulait à tout prix défendre la seule qui était alors sur le pont, à l'inverse ce qui s'était passé tout juste après avait été d'une extrême rapidité que je dois lutter entre ce que j'ai vécu et ce que je m'imagine être vrai si je tiens à garder une réalité inébranlable. En fait, je ne suis même pas sûre que tout ce que je peux écrire dans ces lignes-là est véridique ou non, bien souvent je me suis moi-même surprise entre les images que me projetait mon esprit et celles qui étaient vraies. Toutefois pour ce coup-ci, après une réflexion postérieure, tout cela me semblait véritable. Je me souviens parfaitement par contre que celui qu'on nommait le Fléau m'avait envoyé une injonction depuis loin, mais avec sa voix particulièrement portante au point de pouvoir déchirer des tympans en se trouvant à proximité, je les entendais comme s'ils étaient directement soufflés dans mon oreille, malgré la différence monstrueuse de timbre et le terrible raffut de métal qui se brisait, se tordait et les énormes plaques de béton qui heurtait l'eau du fleuve. Toutefois si son ordre était assurément intelligible, il n'en demeurait pas moins illogique. Pourquoi devais-je accourir auprès de lui alors que j'allais enfin connaître un peu d'action ? Je ne voulais pas aller me poster à côté de lui, même si c'était un ordre dirigé par un supérieur, je voulais me battre et affronter cet homme qui d'apparence n'allait pas laisser qui que ce soit lui barrer la route, fut-ce un homme ou une femme. Et ce dernier point me plaisait particulièrement, je dois bien l'admettre, l'idée de mettre un mâle en déroute était plus qu'alléchante. Toutefois je ne pouvais pas savoir si cet ordre était un réel ordre ou une simple phrase inutile mais dans l'optique de pouvoir s'assurer l'avoir dit, mais quelques secondes immédiatement après, une violente secousse me fit trembler de la tête aux pieds et manqua de me faire chuter. Je fis volte-face et vit les mains du Fléau fermement enfoncées dans le solide béton qui pouvait soutenir tellement de véhicules en même temps… Je n'eus pas le temps de lui demander de ne pas les retirer tout de suite que c'était ce qu'il fît, et au même moment je sentis les secousses s'arrêter soudainement et le sol se dérober sous mes pieds. Une grande partie su pont venait se se détacher, bien plus encore que les explosions que le jeune garçon provoquait, et cette fois je crus que j'allais terminer ma course dans le fleuve, dans les méandres des flots avec pour unique musique résonnante que celle des vagues provoquées soit par la nature soit par les multiples morceaux de pont qui finissaient à l'eau.
Cependant, ce n'était pas ce qui se produisit. Plutôt que de chuter interminablement durant les nombreux mètres qui me séparaient de la surface aqueuse je heurtais violemment quelque chose, or sous l'effet du choc j'avais fermé les yeux si bien que je n'avais pas vu ce que cela pouvait être. Le choc fut brutal, tellement d'ailleurs que je ressentis une douleur traverser ma tête et venir me narguer comme pour m'annoncer qu'elle n'allait pas partir de si tôt. J'avais également laissé entendre, bien que ce fut un son assourdi, un souffle sèchement coupé, tant la surprise avait été saisissante. J'aurais très bien pu demeurer ainsi quelques secondes le temps de remettre mes idées et mon esprit en place, mais je ne le pus. Car à peine l'idée de me relever et de voir où je me trouvais par rapport au pont et au reste du groupe que mes jambes devinrent subitement lourdes, comme si le sol me repoussait vers le ciel. C'était une idée absolument déraisonnable, mais pourtant c'était vraiment ce qu'il se passait. Car cette espèce de plaque partiellement visible sur laquelle j'étais tombée me balançait à nouveau sur le pont, et je ne me leurrais pas, ce n'était pas une manifestation divine qui tentait de me faire croire que mon heure n'était pas encore arrivée et que je devais par conséquent encore prêter main forte à mes collègues. Mais ce qui m'en assurait le plus, c'était la force avec laquelle j'avais été contrainte d'atterrir à nouveau sur le sol bétonné du pont. Car mon retour avait été très rapide, beaucoup trop même… Lorsque mon élan me fit plonger directement sur le sol, j'entendis un léger bruit de craquement, à peine audible en fait, mais je n'y fis pas trop attention. Maintenant que j'étais sur le pont, je pouvais me relever et retourner affronter cet homme, et essayer de comprendre qui était la personne qui avait sans doute été à l'origine de mon retour. Face contre terre, le nez ensanglanté par la collision avec le sol, je posai mes mains au niveau de mes épaules et me poussai lorsqu'une horrible souffrance gagna tout mon bras droit, et je m'effondrai alors sur le sol encore une fois. C'était bien la première fois que je souffrais aussi intensément, en tous cas d'un point de vue physique et non mental, et je concluais donc très vite à un bras cassé, et étant donné la source de la douleur, il devait être cassé en plusieurs endroits car elle allait du bout de la main jusqu'au haut de l'épaule, bien que cette dernière n'avait trois fois rien.
En effet j'étais retombée sur le flanc, le bras droit ayant absorbé tous les dégâts pour lui seul. Chose stupide puisque désormais il était devenu inutilisable, sauf si c'était pour invoquer volontairement une souffrance inutile. Je me relevai péniblement en essayant au mieux de ne pas trop faire bouger mon bras, et me retrouvant dans l'incapacité totale de combat au corps à corps, je voulus me saisir du pistolet que j'avais pris soin de ranger à l'arrière de mon pantalon, mais je ne le trouvai pas. Il avait dû glisser lors des impacts sur cette surface quasi-invisible, et être projeté dans l'eau par la suite. Soit c'était peine perdue que je me lance contre eux, mais je n'avais plus qu'en extrême recours que mon pouvoir. J'enlevai ma veste en m'arrachant mille maux, et l'attachait autant que possible pour créer un appui ou reposer mon bras. Ma combattivité s'était envolée en même temps que le cartilage de mes os. Mais je souhaitais toujours m'opposer à ces X-Men, il fallait à tout prix que la mission soit un succès, ne serait-ce que pour provoquer la réalisation de mes ambitions. Malheureusement, l'homme que je voulais combattre était en parfaite santé ainsi que sa camarade, et j'étais fermement décidée à les retenir. Je maudissais alors mon refus de n'avoir pas voulu utiliser ce qu'ils appelaient le marteau, mais après réflexion, quand bien même je l'avais dans les mains, je ne pouvais plus en faire un bon usage. Je tentais toutefois de la jouer fine, et pour ce, même si c'était un acte complètement fou, je m'avançai vers ces deux mutants, très lentement et en imitant une foulure à la cheville. Mon pouvoir était pleinement activé, je l'avais déclenché après m'être assurée qu'aucun autre confrériste n'était à moins de cinq mètres, et lorsqu'il ne me resterait que cinq mètres d'écart avec eux, j'allais augmenter mon rythme de marche pour les « emprisonner » à l'intérieur du cercle gazeux, si toutefois rien ne m'en empêchait. | |
| | | Mewen Hatan Apprenti(e) de la Confrérie Delta
Nombre de messages : 671 Age : 46 Autre(s) identité(s) : Tazer
Pouvoirs : Eletrokinesie, Voyage Matriciel
Age du perso : 20 Date d'inscription : 18/12/2008
| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Ven 18 Sep 2009 - 16:27 | |
| Apparemment le Fléau n'avait pas compris le message de Mewen, vu qu'il venait d'envoyer par le fond la seule issue de secours qu'il leur restait. Mewen regardait la voiture dans laquelle elle avait laissé son ordinateur portable sombrer dans le fleuve en dessous, avec un certain dédain. Aprés tout ses parents lui en paierai un autre pour s'excuser de ne pas être présent à son prochain anniversaire ou gala. Mais il y avait plus urgent, Lorelei était elle aussi en train de chuter vers le fleuve. Mewen la regarda, une certaine tristesse dans le regard, elle ne pouvait rien faire pour l'aider, c'est alors que Lorelei atterri sur un disque translucide, qui la remonta lentement mais surement vers le pont. Mewen chercha du regard le mutant qui en était à l'origine, et vit une jeune blonde entourée d'une sphére elle aussi translucide et un homme à peine plus agé lui aussi entouré d'une sphére. Cela ne pouvait être qu'un des deux individus. Pendant leur lente remontée vers le pont le mobile de Mewen vibra, elle le pris en main et vit que le nouveau message était envoyé par Mystique. Elle n'y comprennait plus rien, était ce un piège pour tous les capturer ? Elle ne le savait pas, mais elle décida d'en faire part au Fléau qui lui déciderait. Elle s'approcha plus de lui et lui dit d'un ton neutre
"Le maire a été capturé, il nous faut nous rejoindre au milieu du pont" | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Mer 23 Sep 2009 - 16:17 | |
| Bon, la partie prévue du plan avait été complété avec un brio incroyable. Quoi de plus normale de sa part ? N'était il pas le plus puissant combattant de la terre ? Aujourd'hui il prouvait une fois de plus qu'il était le membre le plus efficace de la confrérie, le plus à même de mener n'importe quel mission ! Il était l'invincible Fléau. Un simple pont construit par de simple homme ne pouvait faire face à sa rage et à sa fureur. D'autant plus que celui ci avait été grandement affaiblit par le jeune membre de la confrérie. Celui ci était vraiment une bonne recrue. Il l'avait bien formé, et il était efficace. Il agissait selon les ordres, et n'hésitait pas à prendre des initiatives quand celle ci s'imposait, que demander de mieux ? Bien sur, ça aurait été bien qu'il soit majeur histoire qu'ils puisse aller s'en jeter deux ou trois derrière la cravate de temps à autre. Mais bon, il avait le temps d'attendre, après tout, il devait bien aller sur ses 85 balais, et il avait l'air d'en faire à peine 25, alors il pouvait bien attendre une dizaine d'année de mieux. Il était invincible, même face au temps qui passe.
Le seul point noir c'était que la jeune femme ne l'avait absolument pas écouté, et avait donc suivit le pont. Avec un peu de chance elle n'était pas morte, et avait juste atterrit dans la rivière, avec le gros futé qu'elle était partit affronté. Bein, c'était un bon score, un partout, la balle au centre. Ils avaient largement le temps de marquer quelques points par la suite. Il avait à peine eu le temps de se faire cette réflexion que la gamine fut à nouveau catapultée sur le pont, avec le guignol et une blondasse. Franchement le niveau des héros baissait, maintenant il fallait passer un casting et avoir un tour de poitrine mannequin pour faire partit des héros. Il n'avait jamais vu la fille avant, ça devait être une héroine de seconde zone. En y regardant de plus prêt, le gamin lui rappelait quelqu'un. Il avait le même menton que lunette rouge, le plus côté des larbins de Charles. Ça devait surement être Havok. Rien qu'il ne puisse gérer sans difficultés. Il entendit ce coup ci la jeune femme dans son oreillette, qu'il venait de replacer correctement. Bien, il suffisait largement à la tache, il allait s'occuper de ça tout seul ! Il n'avait nul besoin de renfort pour s'occuper de deux zigottos de seconde classe. "Allez les enfants, on rentre ! Je vais m'occuper de ces clowns tout seul, vous, rejoignez mystique. Mewen, va voir sur notre ami qui vient d'avoir son baptême de l'air à besoin d'aide pour marcher, et au besoin, aide la ! On se bouge !" Sans plus attendre il se porta à la rencontre de ses deux nouveaux opposants. Il allait enfin avoir un peu plus d'opposition que celle d'un simple pont qui ne demandait qu'a s'écrouler avec un peu d'aide. Même si l'aide en question était constituée de quelques coup assené par l'homme le plus fort du monde. Bon, il y avait peu de chance que l'opposition des deux rigolos en face soit plus importante, mais ça ferais l'affaire. Il 'était mis en branle, et tout en se faisant, craqua ses doigts un à un. Personne ne pouvait arrêter le Fléau, et personne ne devrait même avoir simplement envie d'essayer. Pourquoi cependant trouvait il toujours des gens sur son passage ?
C'était la faute à son demi frère, il n'y avait pas d'autre explication. Il avait du passer toute sa vie à le présenter comme le cas extrême, le monstre qu'il fallait à tout prix arrêter. Alors qu'il n'en était rien en réalité. Il était la victime dans l'histoire, comme la grande majorité des gens qui s'approchaient de Xavier. Celui ci fouillait dans leur cerveau et les manipulait, les rendant obéissant ! Encore pire, il leur disait exactement ce qu'ils voulaient entendre ! Il les transformait en toutou. Mais lui, il avait su résister ! Cyttorak lui avait donné le pouvoir de rééquilibrer les choses, de devenir celui qui sauverait les gens de son influence. "Alors c'est vous qui venez empêcher nos petites affaires ? Zet des rigolos quand même. Nous envoyer une pamela anderson du pauvre et Cyclope bas de gamme... Le frangin doit vraiment être désespéré. La prochaine fois il nous envoie une équipe en barboteuse ? " Il avait décidé. La fille semblait avoir des pouvoirs télékinétique, et Havok, c'était bien connu lançait des rayons aux noms bizarres. Il allait s'occuper du mec en priorité, par conséquent. de toutes façon, les blondes étaient bien incapable de faire quoi que ce soit par elle même. Déjà que les femmes en règles générale... Bon, il y avait bien quelques exceptions mais elles étaient toutes à la confrérie, ce qui n'était pas le cas de celle la.
Encore quelque instants et Mystique pourrait lancer les négociations; Tout ce qu'il avait à faire en attendant, c'était de ce débarrasser des ennemis éventuels qui viendrait après ceux la de ce côté. Pas bien difficile, sauf cas très particulier, bien entendu. Il prit donc son élan, et se rua sur Havok. Il était lancé, maintenant. Et aucune force sur terre ne serait en mesure de le stopper. Ce combat allait être expédié en moins de deux minutes ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Dim 11 Oct 2009 - 19:04 | |
| Havok avait à peine eu le temps de se redresser et de se remettre en état qu’il entendit le cri puissant du Fléau… plus qu’un cri, il voyait ça comme un hurlement, qui donnait des ordres aux autres membres de son équipe. Quelle idée d’être venu seul voir ce qui était sur le point de se passer. Il se sentait bête, et pensait avoir totalement manqué a ses obligations de X-men, en ne sachant plus où se trouvait Carmine. Il l’avait perdue de vue et n’avait plus aucun moyen de contact avec elle. Tout ce qu’il pouvait faire à présent, c’était d’affronter avec courage l’énorme bestiole qui se tenait… ou plutôt que le pont supportait avec difficulté. Près de lui il y avait Susan, qui venait de le sauver, et qu’il avait remerciée, mais le moment n’était pas propice aux excuses et remerciements, il y avait une affaire à régler sans plus attendre.
"Alors c'est vous qui venez empêcher nos petites affaires ? Zet des rigolos quand même. Nous envoyer une Pamela Anderson du pauvre et Cyclope bas de gamme... Le frangin doit vraiment être désespéré. La prochaine fois il nous envoie une équipe en barboteuse ? "
Cette phrase retentissait en écho dans sa tête, pendant qu’il fixait le Fléau du regard. Il ne comptait pas lui faire peur de cette manière, loin de là, il savait qu’il en était incapable, mais c’est comme ça qu’il réfléchissait… il gardait un œil sur la situation tout en se déconnectant un instant pour calculer ou « ficher » toutes les possibilités qui s’offraient à lui. Connaissant le Fléau de réputation, il savait à quoi s’attendre, mais il n’avait jamais réellement vu l’ampleur de son pouvoir, et ne pouvait donc pas prévoir les détails qui feraient toute la différence. Il sortit de sa bulle en sentant le premier pas du Fléau. Tellement puissant, tellement lourd que Havok avait réussit à le ressentir jusqu’au plus profond de lui-même. Les vibrations sur le pont se faisaient de plus en plus importantes, donnant l’alerte de l’approche de son ennemi. Il était encore en train de réfléchir, sentant que le moment de l’impact allait arriver. Il ne pouvait certainement pas se mettre à courir, car il perdrait du temps et de l’énergie. Il réfléchissait encore et encore… en se disant que dans l’urgence il allait bien finir par trouver l’idée qu’il lui fallait. Il pouvait ressentir l’angoisse éprouvée par Susan non loin de lui, mais il essayait de ne pas se déconcentrer. Se concentrant maintenant sur l’arrivée imminente du Fléau il fit une grimace en le voyant se rapprocher dangereusement. C’est là que Havok pu sentir le déclic opérer en lui. Avant même qu’il se fasse projeter, il délivra d’importantes rafales de plasma autour de lui, attendant le moment idéal pour agir. Il avait déjà les mains tendues vers le sol, car il avait réussit à planifier son action, et c’est quelques secondes après qu’il poussa un cri, témoin de la puissance qu’il venait de mettre dans son tir.
Havok se sentit alors voler, soutenu par une pression qu’il n’avait jamais sentit aussi importante. Il frôla le corps du fléau de justesse, lui laissant libre passage vers le creux qu’il venait de faire avec l’aide de ses rafales. Havok espérait vivement en la chute du Fléau dans le creux qu’il venait de faire… un creux profond d’au moins 2m qui ne l’arrêterait surement pas… mais qui pourrait le gêner dans sa course.
A vrai dire Havok ne connaissait pas ce monstre dans les moindres détails, il ne connaissait pas encore ses capacités, et ses limites. Cette esquive de justesse lui permettait de gagner du temps… et d’éviter de se faire mettre hors jeu si tôt dans l’aventure. Il vit donc passer son ennemi en dessous de lui, puis il se laissa atterrir plus loin, de l’autre coté du Fléau. Il était maintenant face à la partie du pont qui était détruite. Il chercha du regard la jeune Susan qui lui était venue en aide, mais il ne la trouvait pas. Il resta sur ses gardes tout en se posant la question de savoir où elle pouvait être, lorsqu’il vit le corps de la jeune femme étalé au sol, inconsciente, surement victime du passage du fléau. Profitant d’être placé derrière son ennemi, Havok tendit ses bras vers lui tout en laissant échapper des rafales… quel effet pouvaient-elles avoir sur lui ? Un Homme pareil ne pouvait pas régir comme les autres. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le pont, rive droite [Se renseigner avant de poster] Mer 14 Oct 2009 - 15:25 | |
| Ein, ein ein, pas mal. Il avait fait voler la Pamela d'entrée de jeu, se débarrassant d'un de ses deux adversaires sans trainer. Avec un peu de chance la défaite serais psychologique aussi, du coup il pourrait rapidement rejoindre le centre du pont avec les autres et commencer la véritable mission. Mais voila, ce type ne l'entendait pas de cette oreille : il avait creusé un trou dans le sol tout en se servant de ses propres pouvoirs pour se propulser dans les airs. Encore un type qui savait voler. Le fait de voler, c'était comme se téléporter ou allez vite, c'était de la triche. Il n'eut pas le temps de stopper sa course, et se retrouva donc étalé de tout son long dans le trou. Sa chute avait été relativement brève, vu que son brillant adversaire n'avait même pas réussit à faire un trou jusqu'au dessous du pont. Sinon il aurait été ralentit au moins le temps de reprendre pied et de sortir de la rivière. Mais non. Franchement on lui avait coller un adversaire de pacotille. Tous les x men savaient qu'il n'y avait que deux façons de gérer sa puissances, toutes deux extrêmement lâche. La première consistait à l'exposer aux pouvoir d'un télépathe après lui avoir arraché son casque. La seconde était de faire en sorte de l'expulser loin du combat, si la configuration du lieu s'y prêtait. Ce qui était bien entendu le cas ici. Le Fléau se releva donc en vitesse, projetant des éclats de bitumes de taille diverse allant de la taille du poings jusqu'a la taille d'une tête humaine dans la direction approximative de Havok. Il avait à peine eu le temps de se remettre sur ses pieds et avant qu'il n'ait pus commencer à sortir de son trou, il reçut de plein fouet une rafale d'énergie. Pas de doute, c'était un cyclope a trois franc. S'il avait tiré un tout petit peux plus tôt, il l'aurait catapulter dans l'eau du fleuve...
Mais la, il était en mouvement. Et rien ne pouvait l'arrêter. Bien sur, une quantité suffisante de matière ou d'énergie pouvait le ralentir, mais pas le stopper. Il avait été enterré vivant et avait mis plus de d'un an à sortir lorsqu'il avait reçut ses pouvoirs. Il avait été enterré une ou deux fois après ça. Mais même ça n'était pas venu à bout de sa puissance. Il n'avait pas besoin de se nourrir, ni de boire, ni même de respirer, la puissance que Cyttorak subvenait à tous ses besoins. Alors une simple attaque comme celle qu'il recevait en ce moment ne risquait pas de lui faire grand chose. Son bouclier était capable d'arrêter infiniment pire... Mais il venait de voir autre chose. Pas de doutes, quelqu'un venait d'arriver en volant. Pas le temps de dire qui, la rafale de havok l'empêchait de lever la tête vers le ciel. Il tendit donc sa main vers l'avant, et se mit en devoir de progresser aussi vite que possible. Il savait que son adversaire, une fois qu'il avait commencer ce genre de duel de puissance ne pouvait plus faire marche arrière. En effet, s'il arrêtait de tirer, le Fléau pourrait reprendre sa course à plein régime, et il y avait trop de chance qu'il finisse écraser. Il ne pouvait pas non plus reculer, vu qu'il avait besoin de ses appuis pour ouvrir le feu sans perdre l'équilibre. Donc, toute personne qui lançait ce genre de duel en un contre un face à lui partait immédiatement perdante.
Il n'était plus très loin de son adversaire. Encore trois pas. Il lui suffisait de trois petits pas pour écrabouiller se sale lèche bote, le suppôt de son frère dévoyé. Il pourrait alors lui faire comprendre sa douleur. S'il n'en voulait pas personnellement à tout ceux qui suivait Xavier, ils avaient probablement été lobotomisés, Mais ceux qui s'opposaient était aussi suffisamment bête pour avoir été privé de tout instinct de survit. Pour quel autre raison que du fanatisme pur quelqu'un oserait il lui faire face et surtout l'attaquer ? Franchement, si la situation avait été inversé, il ne se serait pas embêté à affronter un colosse invincible pour le simple plaisir de l'art. Deux pas. Il aurait tout bêtement pris la fuite, ou alors il aurait organisé une méthode efficace pour lutter. Un pas. En tout cas il n'aurait pas bêtement lancé des rayons dans sa direction. Enfin, dans la direction de lui qui n'était pas lui. Enfin, voila.
Il saisit la tête de Havok de la main gauche, la droit encaissant toujours les raffales de celui ci. L'avantage d'avoir une grande allonge. Puis, dans un mouvement ascendant il souleva l'homme du sol comme si il n'avait pas pesé plus lourd qu'une plume. Il abaissa ensuite violemment le bras, faisant entrer en contact son poids fermé sur la tête de son adversaire. De se fait le poings encaissa le plus gros du choc, ce qui évita à la cervelle du gamin de se retrouver étalée sur le pavé, mais ce fut tout de même suffisant pour l'envoyer faire une petite sieste.
Le fléau conserva la tête de Havok dans son poids fermé, puis saisit la blondasse qu'il avait assommé, de la même manière. Dans le dernier cas il observa ce qui se passait un peu plus loin. Des X men. Bien sur, il aurait du se douter que celui qu'il affrontait était une distraction que les autres avaient envoyer. Logique, de lui faire perdre le maximum de temps, vu qu'ils ne pouvaient pas le battre. Donc s'ils éliminaient ses équipiers avant qu'il ne revienne, ils pouvaient espérer gagner. Alors, qui on lui avait envoyé ? Malicia... un type qui allait très vite... euh, Véga, ouais. Et le dernier, ça devait être blondinet. Incroyable que celui ci ose encore faire face aux autres x men après autant de défaite contre lui. Il prit son élan et sauta, se retrouvant en plein milieu des hostilités, et faisant trembler le pont :
"Le premier qui bouge un sourcil pourra se sentir responsable de la mort de ces deux zigs ? Alors, ça vous dirais pas de vous rendre bien gentiment ?"
Le Fléau avait la situation bien en main. Les x men étaient de grandes gueules, mais ils n'oseraient jamais essayer de faire quoi que ce soit quand la vie de leurs équipiers étaient en jeu. Ils avaient beau prétendre avoir des convictions, il n'en était rien. Pas capable de prendre des risque pour ce à quoi il croyait, encore une preuve que Xavier leur avait embrouillé le cerveau. Mais lui il n'hésiterais pas une seule seconde à écraser leurs petites tête si jamais l'un d'entre eu remuait d'une oreille ou tentait le moindre truc stupide.
Ce post à été envoyer à deux endroits pour des raisons logiques de déplacement OO |
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