Des retrouvailles bourgeoises ( pv Favole Delarquois )

Sophia Sarmanovitch était ravie de revoir son cher appartement adoré après son long voyage autour du monde. En effet, elle avait décidé de prendre pendant quelques temps du recul par rapport à la Confrérie, mais dès à présent, elle était bel et bien de retour ! Les minables élèves x men, les x mens et surtout ces souillures de pauvres, allaient souffrir ! Sophia était en pleine forme, et surtout hyper heureuse en pensant aux prochaines atrocités qu'elle allait commettre. Elle c'était absenté longtemps, et ce matin dès son réveil, elle avait jeté tout ses vieux vêtements directement dans la poubelle. Elle c'était ensuite tout de suite empressé d'aller acheter tout les nouveaux habits à la mode. Après avoir fait cela, elle avait fait la même chose avec la décoration de son appartement, car elle ne pouvait pas se permettre de garder des trucs " tout pourri " et obsolète dans son somptueux appartement. Elle avait fait tout ça le matin et en début d'après midi, il était actuellement 15h30 et la Bourgeoise Sanglante repensait à ce qu'elle avait fait et vu pendant son voyage. Elle avait commencé par rentrer dans sa Russie natale, pour revoir les quelques membres de sa famille qu'elle appréciait, notamment ses grands parents maternels et sa cousine Anna. Sophia avait appris que sa tante ; et donc la mère d'Anna ; était morte dans d'étranges circonstances. Cela ne l'attristait point du tout, car elle n'avait jamais put supporter cette bonne femme idiote. La grande blonde russe savait déjà qui était derrière la mort de sa tante : l'amante cachée de son oncle . Eh oui ! Dans la famille Sarmanovitch, il se passait toujours quelque chose, un peu comme dans un vieux feuilleton de style " Dallas " ou " Amour, Gloire et Beauté " . Les coups les plus bas et dans le dos étaient souvent de mise, dans cette famille de fous . Heureusement, il restait encore des gens sains d'esprit chez les Sarmanovitch. Pendant son périple autour du monde, elle était passée en France, et surtout à Paris. Lorsqu'elle était passée dans les quartiers chics et branchés de la capitale, un petit voleur de sac à mains avait tenté en vain de lui prendre son sac ! Grossière erreur de sa part ! Le voleur c'était retrouvé propulsé contre un mur, et il n'avait pas attendu une seule seconde pour s'enfuir à toute vitesse. Elle était outrée que le gouvernement français ne fasse rien contre ces saletés de pigeons immondes. A quoi servait cet animal ? A rien ! Donc qu'est ce que l'on attendait pour l'exterminer ? Sûrement que la capitale soit recouverte entièrement dans tous les recoins, de fientes de ces volatiles. Elle avait un tour du côté des pays du Nord de l'Europe, mais aussi dans les pays de l'hémisphère Sud en Inde et en Australie ainsi qu'au Brésil. L'Aristo Sanglante avait fait pas mal de rencontres diverses, et même des mutants très intéressants, et donc elle avait élargi légèrement ses connaissances a travers le monde. Ce qu'elle voulait à présent qu'elle était rentrée à New York, c'était de retrouver des vieilles connaissances pas vues depuis longtemps. Elle devrait faire des recherches, et elle s'y mettrait dès maintenant.

Depuis cette fameuse rencontre dans le bar avec cette fameuse Leia troy, la rose noire n’avait plus remis les pieds hors de la conferie. La sœur de Tristan avait elle effrayé Favole ? Vous rêvez ou quoi ? La seule chose qu’elle avait réussit de la soirée, c’était bien d’amuser la marquise sanglante. Cette dernière qui avait trouvé la soirée bien longue et ennuyeuse, s’était trouvé un magnifique passe temps. L’un de ses préférés lorsqu’elle y repensait, vu qu’elle s’était bien amusé a se venger contre cette fille. C’était une mutante dont l’esprit était préoccupé par une séparation avec un certain Tristan, qui s’était pas gêner a renvoyer la jeune Favole dans les roses. Enfin bref, tout cela pour vous dire, qu’elle était de loin la grande frayeurs de la rose noire. Les véritables raisons qui la poussaient a rester dans la conferie des mauvais mutants, étaient tous beaucoup plus simples. Il y en avait trois en tout, la première c’était qu’elle trouvait qu’elle n’avait rien a faire dans cette grande ville.

De plus que bon, se moquer ou tortures les esprits des humains étaient devenus un peu lassant pour elle. La deuxième raison c’était le soleil, oui la jeune femme n’aimait pas du tout sortir quand il avait un beau temps. Cependant, il ne fallait pas être devin pour deviner que c’était parce qu’elle ne supportait pas la chaleur et qu’elle ne voulait pas prendre des couleurs, et puis ça serait impassable de voir Favole sans sa peau blanche. Pour finir, la dernière raison était qu’elle avait repris l’écriture, dont elle avait entamé un livre. Néanmoins et pour ce vendredi après midi, la belle jeune femme devait se rendre en ville pour revoir une veille connaissance.

C’était une conferiste du nom de Sophia, venant de russie, elle était réputé pour être une grande joueur et provocatrice. sans doute pour ces raisons la que Favole l’apperciait, autrement elle s en foutait du reste. Et surtout dans la tenu qu’elle avait, trouvant cela un peu trop star poupée barbie, même si ses bijoux coûtaient très chers. Oui bon, on pouvait dire que le coup de la rencontre hors du manoir était un peu stupide, mais bon elle avait inviter la rose noire chez elle, sans doute pour lui montrer ses appartement de luxe. Malgré le fait qu’elle avait gentiment accepté son invitation par pur courtoisie, au fond d elle, elle savait partinament que ça l’emmerdait plutôt qu’autre chose. la jeune vampYr voyait très bien avec horreur dans quel style de maison, du genre les grands appartement qu’on pouvait voir dans les émissions de stars.. Sur quoi, ça ne la motivait pas tellement d’y aller, même si elle avait très envie de revoir son amie. Comparé a celle-ci, Favole était toute en noire, ne voulant pas se casser la tête a sortir les grands habits de sorties ou des soirées, elle avait juste une petite robe fine avec une simple croix celtique au tour du coup. Malheureusement pour elle, elle avait du se forcé a se mettre un petit gilet, pour protéger sa magnifique peau blanche. Pour une fois dans l’an, elle avait eut la chance d’échapper au embouteillage, et arriva sans problème a la porte de la bourgeoise. Favoles ne fit que sonner avant d attendre gentiment qu’elle lui ouvre.. Une fois fait, la jeune marquise, s’inclina poliment en prononcant ses mots.

« bonjours, j’espere que je vous ai pas trop fait attendre. »