Un P'tit nouveau

- Non, je pense que ça ne marchera pas surtout si…
La jeune mutante brune s’interrompit au beau milieu de sa phrase et arrêta sa traversée du hall dans le même temps.
A moins que ces oreilles ne lui aient joué des tours, on venait de frapper. Dès qu’elle l’eut pensé, l’une des créatures qui se trouvait près d’elle lui fit savoir qu’elle avait entendu la même chose.

- Dans ce cas allons voir dit-elle alors autant pour elle-même que pour les créatures qui l’entouraient.
Sur ces mots, elle se dirigea vers la porte tout en maudissant ces « foutus liens » alors même que l’un d’entre eux venaient de prouver qu’il pouvait être utile. Ceci traduisait plutôt bien son état d’esprit du moment : elle était d’humeur maussade et broyait un peu du noir. En fait, elle se serait volontiers dit dans un « mauvais jour », sauf que peu de ses jours ne l’avaient pas été dernièrement, si bien que penser qu’elle se trouvait dans un mauvais mois était plus proche de la réalité.

Elle essaya tout de même de chasser ces pensées de son esprit pour faire « bonne figure » et sollicita le lien l’unissant à une autre de ses créatures qui elle se trouvait dehors. Celle-ci était malheureusement trop loin pour lui donner une image de la porte et de la personne qui y avait frappé et Maya du donc se contenter de la bonne vieille méthode pour le découvrir et ouvrit la porte en conséquence.

- C’est pour quoi ? demanda t-elle avec un léger soupire, une foi la porte entrouverte.

Une foi sa phrase lancée, Maya jeta un coup d’œil un peu plus observateur à son interlocuteur. Il était jeune et affichait un sourire que rien ne justifiait aux yeux de Maya. Ses vêtements en outre n’étaient pas particulièrement propres et cela faillit lui faire lever les yeux au ciel. Combien de temps la confrérie allait-elle continuer à accueillir les mutants à la dérive de New York ?

Autrefois, elle aurait pensée surement pensée à l’aider juste après s’être assuré qu’il avait bien quelque chose à faire là. Encore une pensée qu’elle chassa de son esprit. Elle se reprit ensuite un peu et tacha de maintenir sur son visage un air neutre.

Spoiler:

Maya l’écouta tranquillement, tout en enregistrant ce que le jeune mutant lui disait.

- Rien dans tout cela n’est vraiment faux dit-elle quand il eut fini.
*Qui est Lisa ?*

- Mais ce n’est pas exactement un refuge poursuivit-elle ensuite.
*Ou pas seulement* N’était-elle pas elle aussi venu là pour y trouver de l’aide ? Ne serait-ce qu’un peu ?

Bien que son côté prudent se demanda un instant s’il n’en avait pas fait un peu trop dans le côté seul au monde et abandonné de tous ou plus vraisemblablement s’il n’avait pas joué volontairement cette carte, cela avait eut son petite effet sur la personne de Maya.

*Chasser le naturel et il revient au gallot…* Et oui. Visiblement, il en fallait plus qu’un mois plus ou moins pourris pour changer la changer, mais est-ce qu’elle devait réellement se plaindre de ce constat ?

- Par contre si tu es réellement partant pour agir dans le sens d’une prise de pouvoir mutante ou même si tu souhaites pouvoir te défendre plus efficacement, alors tu es le bienvenu poursuivi t-elle. En finissant, elle eut un sourire un peu plus naturel que précédemment, quoi que ce dernier fût plus discret que ceux qu’elle dispensait habituellement.

- Je m’appelle Maya, dit-elle ensuite. Mais tu peux aussi m’appeler Echidna.

Sur ce, elle s’écarta légèrement ouvrant encore d’avantage pour le laisser entrer pour le laisser entrer. Pendant qu’elle parlait, Maya avait ouvert un portail vers l’une de ses poches dimensionnelles et deux de ses créatures s’y était déjà engouffrée. L’une d’entre elle était restée cependant. Il s’agissait d’un animal bipède un peu plus gros qu’un loup et recouvert d’une fourrure dont les tons oscillaient entre le gris et le violet en fonction de la lumière. Sa mâchoire était de forme carrée, mais elle attirait surtout l’attention à cause de la corne aiguisée dont elle était surmontée. Recourbée direction du crane de la créature, elle faisait face à une autre corne, moins haute et plus épaisse située au sommet de son crane.

Pour l’heure, la créature ne semblait faire attention ni à Maya ni au jeune homme, et se contentait de déambuler lentement non loin d’eux. Maya savait néanmoins par son lien, qu’elle était au contraire particulièrement vigilante à ce qu’il se passait.

Laissant de côté sa créature qui n’avait pas encore de nom et sa méfiance instinctive, elle reporta alors son attention sur le nouveau venu.
- Peut-être que tu as des questions ?

Anton entra donc à l'intérieur pour que Maya puisse refermer la porte. La journée était, d'après l'habillement des gens qu'il a croisé sur le chemin, plutôt fraîche. Étant encore mouillé, il ne dépassa pas le tapis de L,entrée, ne voulant pas répandre de l'eau un peu partout. Une fois à l'intérieur, il regarda la créature déambuler

Très étrange, comme créature, pas de doute la dessus. On aurait dit un mélange de plusieurs animaux, rien de terrestre. Il compris donc que le portail créer ne menait pas, du moins pas directement, quelque part sur la planète. À moins, bien sûr, qu'il y ait un endroit ou les animaux ont subit des mutations, tous comme les humains en ont subit.

Citation :

Mais tu peux aussi m’appeler Echidna.

Ce n'était pas le première fois qu'il entendait parler de mutants avec des surnoms un peu étrange. Évidemment, n'ayant pas croiser beaucoup de mutant dans sa vie, il n'en possédait pas un lui-même. Sa première question fut donc celle-ci.

-J'aimerais savior d'où vous sortez vos surnoms? J'ai vécu dans la rue depuis que j'ai découvert ma mutation, je n'ai donc pas fréquenter d'autres mutants. Votre surnom va avec ce que vous savez faire?

Décidemment, le jeune homme semblait en savoir très peu sur la matière des mutants. Il regarda rapidement autour de lui pour noter les détails de l'endroit, avant de reposer son regard sur Maya.

-Sinon, j'aimerais bien savoir comment ça fonctionne ici, en général. Il y a des genre de cours? Savoir si'il y a une certaine hiérarchie, aussi, si je dois appeler certaines personnes par Monsieur/Madame, Ces genres de trucs là!

Anton a écrit:

J'aimerais savior d'où vous sortez vos surnoms? J'ai vécu dans la rue depuis que j'ai découvert ma mutation, je n'ai donc pas fréquenter d'autres mutants. Votre surnom va avec ce que vous savez faire?

Le sourire de Maya s’élargie en entendant la première question d’Anton. Les mutants et leurs fameux surnoms… Ils l’avaient interloqués elle aussi à une époque.

- La plupart du temps oui, lui répondit-elle. Ca a un côté pratique, ils permettent par exemple de s’adresser à ou de parler d’un autre mutant sans révéler son identité. Pour d’autres c’est un moyen comme un autre de tirer un trait sur… disons leur passé avec les humains.

- Mais il n’y a rien d’obligatoire précisa t-elle ensuite.

Oui, c’était plus une sorte de coutume.

Maya se tue après cette phrase, et Anton reprit avec une série de questions. Ces dernières lui semblaient plutôt pertinentes et elle se mit en tête d’y répondre le mieux possible.

- Il y a une salle d’entraînement, commença t-elle ainsi, et elle est ouverte à tous, mais il n’y a pas vraiment de cours.
Pour ce qui est de la hiérarchie, Magneto est incontestablement notre leader avec tous ce que cela peut signifier. On fait aussi la différence entre les confréristes expérimentés et les autres –nous, ceux qui ont moins d’expérience-, par contre il n’y pas besoin de leur donner du Madame ou du Monsieur, tant que tu n’oublie pas à qui tu parles.

Elle s’interrompit ensuite un instant et réprima un sourire. *Messieurs Pyro et Dent-de-sabre.* Elle secoua légèrement la tête, pendant qu’elle se demandait d’une petite voix s’ils apprécieraient ou pas, avant de constater qu’elle ne pouvait absolument pas répondre à la question : elle les connaissait de réputation l’un comme l’autre, mais elle ne leur avait jamais réellement parlé.

- Pour plus d’efficacité, nous sommes aussi réparti en département se reprit-elle ensuite en essayant de retrouver sa concentration.

- Il y a des salles de bain par là ajouta t-elle ensuite en se rendant compte qu’il était mouillé. Si tu le souhaites, tu y trouveras surement de quoi te sécher un peu.

*Tu pourra lui faire un topo sur les départements en chemin* songea t-elle ensuite *Sauf si rester trempé et chopper la crève c’est son truc.* A moins qu’il ne soit jamais malade ? Dans le fond c’était possible. Tout ou presque lui semblait possible.

Maya écouta à nouveau la réponse d’Anton lui annonçant qu’il préférait se débrouiller seul.

« Comme tu veux » lui répondit-elle alors après un court instant.

Maintenant qu’elle s’était mise en quête de lui répondre, cinq minutes de plus avec le nouveau venu ne l’aurait pas déranger plus que ça. Il était vrai pourtant qu’elle avait des choses à faire. Elles n’étaient pas forcement urgentes, mais devaient être faites que cela lui plaise ou non.

La dernière phrase d’Anton qui avait continué à parler et surtout son « attention » la détourna ensuite de ses pensées, juste assez pour voir sa peau devenir rouge.
Inutile ensuite d’avoir l’intelligence d’Einstein pour comprendre que le jeune mutant n’était pas étranger à la montée de température de la pièce.
Elle resta cependant jusqu’à ce qu’il est fini et se demanda un instant si elle devait dire quelque chose ou non, son sifflotement lui donnant l’impression qu’il était déjà passer à autre chose.

- Je vais y aller aussi, dit-elle finalement, à moins que d’autres questions te viennent à l’esprit.



Hj : dsl pour l'attente.

Après deux minutes, la température redevint normale. La peau d'Anton reprit sa couleur naturelle au même moment. Voyant qu'il était encore humide, mais qu'au moins il ne dégouttait plus, il s'avança lentement sur le plancher. Au même moment, il jeta un long regard partout autour de lui, analysant un peu la structure du bâtiment.

Citation :

- Je vais y aller aussi, dit-elle finalement, à moins que d’autres questions te viennent à l’esprit.

Voyant que Maya n'avait pas quelque chose de très pressant à faire, vu cette question, son sourire énigmatique revint sur ses lèvres. En fait, il avait des tonnes de questions à poser. Ce monde lui était totalement inconnu et il voulait le connaître. Il tourna la tête vers la gauche et parla, comme s'il s'adressait à quelqu'un, qui n'était évidemment pas là.

-Alors, Lisa, je commence par quoi? ... Oui, c'est bon. *Il reporta son regard sur Maya, souriant toujours.* S'il y a une confrérie qui se bat contre les humains, est-ce qu'il y en a une qui les défend? Si c'est le cas, sommes-nous plus ou moins nombreux qu'eux?

À vrai dire, il ne s'attendait pas vraiment à une réponse pour la deuxième question. Étant elle aussi dans cet endroit, pourquoi conaîtrait-elle la nombre de l'autre endroit, s'il existait? Par contre, avec ses drôles de créature, elle peut savoir des chsoes que beaucoup ignore si elle les envoi en explorateur. L'une d'elle a peut-être la capacité de cacher sa présence. Une réponse était donc possible.

-On peut marcher vers la sale de bain en marchant? J'aimerais avoir une serviette pour me sécher un peu mieux.


HJ: Mais ya pas de problème! Même que je te remercis d'avoir bien voulut me répondre

Maya acquiesça à sa dernière demande et commença à se diriger vers le couloir qu’elle avait désigné un peu plus tôt, tout en regardant si Anton lui emboitait le pas.
Sa créature guettait aussi, plus visiblement depuis que la chaleur avait augmenté brusquement. Elle ne montrait cependant toujours aucun signe d’agressivité. Il était toujours attentif et vigilant (il faisait partie de ses créatures qui pensaient devoir « protéger » leur créatrice), mais la manière dont Maya avait parlé à Anton avait un peu tempéré la méfiance initiale dont il faisait preuve envers tous les « étrangers ».

« Il y a un autre groupe de mutant » dit-elle ensuite. « Un institut. Ils ne défendent pas exactement les humains, mais ils pensent qu’humains et mutants peuvent vivre en harmonie et essaye d’agir dans ce sens. »
A ce moment de sa réponse, elle eut un léger rictus amer et vaguement désabusé.

« C’est une Utopie. C’est du moins ce que beaucoup pense ici, moi inclue, certains trouvent même ce rêve totalement ridicule. »

Ce n’était pas le cas de Maya en revanche. Au contraire même, elle trouvait que c’était un très beau rêve. Il était irréaliste en revanche de croire qu’il se réaliserait un jour, or désirer se consacrer à la réalisation d’une chose impossible tendait effectivement au ridicule. Le rêve était beau en revanche, il fallait leur reconnaître ça, du moins à son avis.

Après une petite pause, elle se souvint plus précisément de ce qu’avait dit Anton et ajouta :
« Ils sont peut-être un peu plus nombreux que nous, mais le professeur Xavier a aussi pour but d’aider les jeunes mutants à contrôler leur pouvoir. Mais ça ne déséquilibre pas tant que ça les choses. »

« Qui est Lisa ? » demanda t-elle ensuite.
Elle ne voulait pas être indiscrète, mais ce nom était revenu plusieurs fois dans la bouche d’Anton et il y avait toujours la possibilité qu’il y ait une sorte de présence, une mutante invisible ou quelque chose qu’il aurait créée. S’il y avait une chose qu’elle avait apprise ici en effet, c’est qu’on pouvait s’attendre à tout en présence d’un mutant.

Anton écoutait Maya avec beaucoup d'attention. Tout ce qui touchait le monde mutant le fascinait, en fait. Il est l'un de ceux qui voyait ce povoir non comme une malédiction, mais comme un don de Dieu, s'il existe... Donc, il existait bien un groupe concurent, qui aidait les plus jeune a se développer, apparament.

Puis, Maya demandait qui était Lisa. Pour la première fois, le sourire s'effaça du visage d'Anton. Il détestait évoqué les événements passé au sijet de sa soeur aînée, Lisa. Cependant, Maya lui avait ouvert la porte, avait répondu à toute ses questions, très gentilment. Il ne pouvait pas l'envoyer dans les fleurs. C,est avec un air triste et un trémolo dans la voix qu'il se remis à parler.

-Lisa est... Enfin, était, ma soeur aînée. Elle a été tuer à cause de l'incompétence des humains, une prise d'ôtage qui a mal tourné... Mais je la sens, je L,entends avec moi, elle m,aide... Elle me guide, elle me conseille, comme elle l'a tojours fait. Je sais qu'elle veille sur moi... Un peu comme tes créatures, mais je sais qu'elle n,est pas avec moi, qu'elle n'est pas là de corps, mais son esprit est avec moi...Bizzare, hen?

Ensuite, le jeune homme analysa les autres informations reçues par 'Maya. Un mone où les humains vivaient de pair avec les mutants? Une Utopie, en effet... Il va sans dire que cela serait parfait, mais comme tout le monde le sait, la perfection n'existe pas. Son sourire réapparut sur son visage, alors qu'il glissait ses mains dans ses poches.

-Les humains noyus voit comme des plaies, des abhérations de la natures. Ils craignent ce qu,ils ne comprennent pas, et ils ne nous comprennent pas. Un peu comme, dans le temps, les gens de races noirs étaient vu comment des monstres... Ce monde utopique existera quand les humains réaliseront que nous sommes comme eux, à la différence près d'une alternation dans notre génétique. Mais aucune chose de cette envergure ne se fera que par papier. Il faut leur montrer que nous avons un coeur, comme eux, que nous avons peur, comme eux... À mon avis, la peur qu'ils ont envers nous est aussi grande que la peur que nous avons envers eux...

Excuse moi, je crois que je parle trop...

[color=lightblue]En fait, le fait de se retrouver face à une autre mutante, une personne qui le voyait comme un égal et le respectait pour la première fois depuis des années, le rendait très bavard. Anton désire tout conaître sur tout de cette charmante personne au pouvoir si particulier, si différent du sien, mais avec des idéaux si semblabes, pourtant...Il ralentit donc un peu le pas, de peur de la voir partir une fois à la salle de bain.[color]

Maya écouta posément la réponse qu’Anton lui fit à propos de Lisa, tout en souriant légèrement à l’évocation de ses créatures, puis à la conclusion que fit le jeune mutant. Une sœur décédée, mais toujours présente ? Bizarre était un qualificatif bien choisi, elle devait le reconnaître.
Elle trouva aussi étonnant qu’il lui ait dit une telle chose, surement parce que dans la petite ville où elle avait grandit la plupart des gens auraient soigneusement gardé ce genre de chose pour eux, rester dans la « norme » étant important à leur yeux, quand ce n’était pas capital.

« Bizarre en effet » admit-elle cependant avec calme après un petit moment.

Les propos d’Anton l’avait en effet amené à penser à la mort de l’un de ses proches et elle se demanda ensuite, si elle devait embrayer sur ce sujet, cela lui paraissait presque logique. Dans le même temps pourtant, elle avait toujours préféré se montrer discrète de ce côté-là. En parler ne la dérageait pas, mais elle ne le faisait que rarement de son propre chef.

Anton se remit néanmoins à parler et détourna ainsi son attention de ces pensées.
Leurs points de vu sur les humains et les mutants étaient en effet à peu près similaires, mais c’est sa dernière phrase qui la fit sourire et réagir d’avantage.

Il pensait qu’il parlait trop ?

"Pas du tout." dit-elle alors toujours en souriant. "Et puis mieux vaut ça que l’inverse, les gros blancs gênés dans une conversation sont rarement agréables".

« Tous les humains ne nous voit pas aussi négativement cependant » dit-elle, en espérant que ses propos ne sonneraient pas trop bizarrement pour qui se trouvait à la confrérie.
« Mes parents en tout cas ont plutôt bien prit la chose, même s’ils ne l’ont pas ébruité. Par contre il y aura toujours qui ne comprendront rien à rien, c’est certain et c’est aussi pour ça que je suis ici ».

(Hrp: Vraiment dsl du long retard, j'ai jamais vu que tu avais répondue....)

Anton entra finalement dans la salle de bain et commença à fouiller un peu partout, cherchant une serviette. Mais avant même de l'avoir trouver, il eut une autre petit idée. Faisant signe à Maya qu'il l'écoutait même s'il cherchait, il ouvrit le robinet et se lava les mains. Ensuite, il les essuya avec la petite serviette prévue à cet effet. Quand ses mains furent propres et sec, Anton la tendit à Maya.

-Voilà, comme ça, ça fait plus officiel. Merci de ton accueil. Pour ce qui est de mes parents à moi, quand ils ont vu mon pouvoir, après la mort de Lisa, ils m'ont abandonner sur le trottoir en disant que leur deux enfants étaient morts le même soir.

Le mutant avait dit ça avec un calme étonnant, toujours le même sourire au visage. Déjà là, il était facile de voir que c'est un masque qu'il s'était forgé... Tout prendre avec le sourire, ne se soucier de rien... Il ajouta, ensuite...

-Si tes parents ont bien prit la chose, quel événement t'as pousser à ne pas aimer les humains en général, alors? De ce que j'ai compris, ceux qui sont ici ont une dent... voir un dentier complet contre l'humanité! Moi, ils ont oser tuer ma Lisa... Je ne peux pas les pardonner.