- Spoiler:
Je n'ai pas encore pris le temps de me relire... Toutes mes excuses en attendant.
Personnage
Nom : Donovan
Prénoms : Emilie Angelina
Alias et Surnoms : Emi'
Age + Date de Naissance (JJ/MM/AAAA) : 19 ans, née le dimanche 18 Mars 1990
Genre : Féminin
Clan: Neutre
Pouvoirs (identifiez : passif/défensif/offensif) :
- Zone φ (passif) : Emi déploie, de façon constante, inconsciente, une zone s'élargissant sur une dizaine de mètres. A travers elle, un rayonnement inconnu, baptisé rayonnement φ, dénature l'acide désoxyribonucléique de ceux qui s'y trouvent. De puissance décroissante suivant la distance, ce dernier connait la capacité de corriger la défaillance du gène, le remplaçant temporairement par un gène sein : Il s'agit d'une mutation directe vers l'homo Superior, supprimant la dénaturation du gène X. Les corps exposés dans cet espace sont instantanément touchés par une dépendance physiologique et psychique qui suit : Le système nerveux, conscient d'être passé sur un stade plus avancé, recherche à obtenir cette évolution, de façon consciente ou non. Il s'agit d'onde de type φ, émise dans une voie inconsciente.
- Lumière de φ : Outre le fait que l'onde φ puisse être émise de façon chaotique, dans l'unique but de réaliser une ascension des êtres (au prix qu'il en convient pour une dépendance), Emilie de générer une évolution partiellement contrôlée de la lumière de φ. Il s'agit en fait d'une représentation mentale qu'elle réalise quand aux fragments de l'ADN les plus distincts de chaque individu pour le modifier grâce à la dite lumière. Les modifications entrainées nécessitent un effort correspondant aux modifications à apporter de façon temporaire.
Niveau de maitrise du pouvoir :
- Zone φ : Le rayonnement ayant vocation de corriger l'ADN pour le dégrader dans un sens positif, ne serait-ce que par la quantité la plus infime qui existe, agit dès la premier contact, comme un virus qui se répand dans un corps à une vitesse de cent fois la lumière. Il suffit qu'une seule cellule soit exposée pour que la totalité du corps d'un individu soit affecté.
Aujourd'hui, la dépendance n'apparait qu'en se tenant pendant plusieurs heures avec elle. Et encore, cette dernière n'équivaut qu'à celle de la cigarette (bien que ce soit déjà une tare). En passant une journée avec elle, complète, la dépendance s'accroit. Il faut compter environ 48 heures pour que l'on atteigne son paroxysme : Une dépendance équivalent au crac. Celle-ci ne prend effet qu'à la sortie de la zone.
A venir : Une zone plus grande d'effet... Avec en parallèle une dépendance plus importante.
- Lumière de φ : Suivant la puissance de l'individu (δ à ε et ω), et la volonté de modification, la nécessité de concentration varie. Pour "doper" un delta, il faut compter en moyenne une à deux secondes. Dans le cas d'un individu ayant un potentiel casi infini, ou une très large déformation, l'effort nécessite une à plusieurs minutes, dans lequel elle ne doit pas être déconcentrée... Sinon quoi l'effet est atténué (d'un bonus de 1 à 10%). Au travers de cette réécriture, Emilie dispose, comme décrit, d'une faculté de modification du gène d'un individu (et donc lui octroyer un autre don si l'individu n'en possède qu'un seul, pour peu qu'elle le connaisse, sans pour autant en apporter un bon contrôle) mais aussi à éditer l'apparence. Elle peut alors corriger la nature d'un mutant epsilon, lui offrant une apparence convenable pour quelques heures, pour le coup d'un moment de concentration extrême pouvant quant à lui générer une fatigue extrême (l'équivalent d'un marathon). C'est d'ailleurs ce qu'elle fait continuellement avec son propre gène.
L'évolution contrôlée se fait par contact, ou alors avec un placement de main à quelques centimètres de la peau.
A venir : Appréhension de nouveaux modèle pour plus d'un millier de vue de ce dernier.
Lien entre les 2 pouvoirs : Relatif au rayonnement de catégorie φ.
Description physique : Emilie est une sirène. Son corps est véritablement l'union entre la femme et le poisson. Une longue queue, bleutée, recouverte de milles écailles luisantes, brillantes avec, au dessus, le corps d'une femme, sans couleur, blanc, au regard en tout point affreux. De ses yeux ressortent une aura malsaine, putride n'évoquant que mort, sans joie, sans beauté, de grandes pupilles noires et dilatées recouvrant la totalité de son œil. Ses dents reposent bien plus sur une apparence d'effroi, de ténèbres, tant leur blancheur, aiguisée, froide, ne cessent de rappeler à tout un chacun, ce pourquoi elle n'est pas humaine. Des cheveux sombres aussi, sur une peau maigre, à la limite de l'anorexie. De ses doigts s'évadent des ongles, blancs,longs, tout aussi pointus que tranchants. Elle est ignoble, le mot se suffit à lui même... Cependant, il lui est monnaie courante de dégrader son propre ADN pour obtenir une apparence dite "passable". Ses trais sont alors plus fins, sa peau douce, tendre, appétissante. Les cheveux qui brillent d'un noir malsain se transforme en une chevelure soyeuse, blonde, agréable à la vue comme au toucher. Dans ses yeux, les pupilles se réduisent pour être recouverte d'une iris bleutée, pâle. Ses lèvres, quoi que déjà fine par leur apparence tristement normale le deviennent au mieux. Une dentition trop parfaite pour être humaine s'en suit derrière. Ses courbes apparaissent alors parfaite, un détail qui ne trompe pas quand à son besoin de rejeter ce qu'elle est.
Signe(s) particulier(s) : [Mode Sirène] Queue à la place des jambes; ongles de gros ours en peluche, version grizzly avec des griffes de 20 cm qui se cassent comme de la craie.
Caractère, tempérament : Impulsive, mais de loin réfléchie, Emilie est l'archétype d'une fille au caractère bien trempé. Elle ne supporte pas la domination, elle ne supporte pas non plus le manque de liberté. Fréquemment, elle ressent le besoin de parler, s'exprimer violemment pour rabaisser quiconque tente de l'approcher. Cependant, dans ce dessin insensé se cache peut-être une fragilité ? Comme la dernière rose, couverte d'épine, sommeillant sur un champs de bataille, en perdition. Qu'en est-il véritablement ? Elle cache en elle cette frayeur innée, cette peur des autres, de l'ombre, de ce qu'elle ne connait pas alors, comment peut-on qualifiée ce moment lorsque, subitement, elle apprit être mutante ? Rien n'est moins sûr qu'elle n'apprécie d'apporter sérénité pour ceux qui l'approchent... Mais rien n'est aussi moins sûr qu'elle les déteste tous. Une personnalité paradoxale vêtue de facette cachées, incompréhensibles pour la plupart. Elle parait être ce doux chien qui vient câliner son maitre pour lui dire qu'elle l'aime mais aussi ce monstre enragé qui le tue dans son sommeil. Dans le fond, elle se montre assez neutre aux idéologies de Xavier comme de Magnéto.
Talents et Compétences particulières : Contrairement à ce que l'on pourrait croire, Emilie s'avère très peu performante dans le chant. Elle n'excelle d'ailleurs dans les domaines scientifiques, à savoir, en particulier, la biochimie. Elle dispose aussi d'une connaissance des langues françaises et anglaise (voir histoire). Son apparence de sirène ne lui offre aucune performance particulière. Aucune apnée, un moyen de nager qui s'avère trop peu performant.
Histoire du Personnage
Premières Années
Dans une famille aisée de France résidait un couple, cocktail fabuleux qu'était cette américain et cette française de pures souches. Ces deux âmes se rencontrèrent à un grand salon où la plupart des chercheurs de notre monde se retrouvait dans l'unique but d'espérer se voir attribuer un prix si connu du grand public : Le prix Nobel. Cette année, ce fût chacun leur tour qu'ils acquirent ce titre aussi prestigieux, l'une dans le domaine de la physique, l'autre dans le domaine de la chimie. Dieu, que la révélation du gène X au pays allait bouleverser le monde ! Ils se fréquentèrent ici, puis se marièrent avant que, bon nombre d'années plus tard, ne naisse un enfant, une fille, mignonne au possible. On la voyait déjà comme une future prix nobel, elle aussi mais, de tout ce que l'on en déduit, Emilie n'avait reçu que le gène paternel pour le domaine du génie. Elle passa un long temps de bonheur, avec ses parents, jusqu'aux débuts de l'adolescence.
Foudroyée par la foudre : L'épilepsie
A peine eut-elle acquit sa douzième année que les prémisses d'une adolescence douloureuse se firent connaitre. La nuit était tombée et elle avançait, dans ce couloir mal éclairé, baignant entre pénombre et obscurité. On trouvait trois portes dans ce bout de maison, l'une menant sur sa chambre où se trouvait une de ses amies, très vieille amie, la poignée tomba vers le sol, son corps suivit : Un tourbillon magique où tous les problèmes s'évanouissent, comme si jamais ils n'avaient exister s'installa alors, il l'enveloppa dans cette brise fraiche, avant que le blizzard glaciale d'une autre terre ne s'abatte sur elle. Sa vision se troubla alors, moins claire encore que lorsqu'on ouvre ses yeux sous l'eau. Rien n'était visible ou perceptible, à l'exception seule de cette vague qui parcouru le sol et que, de tout son long, ne la traverse, animant mains, cuisse, bras, cou, de cette frénésie sans nom, laquelle avait offerte à son esprit.
Très vite, ses parents accoururent et, malgré tout le bruit de ce tsunami qui déferlait sur elle, elle les entendus, accourant à son corps qui tremblait dans des spasmes affreux, horribles, avertis par le bruit comme par les cris de cette amie. L'eau ayant quittée son corps, elle prit dans un réflexe une unique inspiration, comme le râle du mourant, comme si elle s'apprêtait à partir, noyée par les eaux jaunes. Des courbatures abominables l'envahir mais au moins, c'était fini.
On la transporta vite en hôpital et puis, la batterie d'examens s'organisa, examina son cas pour diagnostiquer, au derrière de cette crise de convulsion, une Épilepsie tonico-clonique, aussi appelée Épilepsie du Grand Mal. Le résultat de l'électro-encéphalographie était là, on y voyait un tracé de plein de petits vagues, violentes, s'être dessinées à même la feuille. La dureté de celui-ci témoignait de son épilepsie. On la remise alors, à ses parents, pour que s'en suive le reste de sa mince existence.
A la suite de cet incident et ce, le plus étrangement du monde, Émilie eut souffert de synesthésie sous sa forme la plus courante qu'était celle de graphème couleur. Ainsi, les lettres avaient à présent des couleurs, le A était d'un blanc scintillant, presqu'aveuglant, le I rougeoyant, le E se remarquait par une décharge bleutée, électrique, le U quant à lui évoquait l'herbe et la verdure, le O était un simple trou dans lequel on s'en fonçait, et il en allait de même pour toutes les autres lettres.
On comptait en tous deux individus, dotés pour chacun d'un gène défaillant, ce gène que l'on appelle communément le gène X. Deux individus, en tout, dans une école, la même école, le même collège, français. Chacun d'entre eux avait eut le prémisse de leur don et, dans un secret digne des morts, aucun n'avait révélé ce qu'il était, ce qu'il doutait d'avoir.
Revenant en cours, par un soleil radieux en ce début de l'hiver, Emilie vint à retrouver un autre mutant, un garçon, nommé Maxime. La court avait ce bruit assourdissant, comme d'habitude, une cacophonie générale ou par un miracle de la nature, en se concentrant sur les lèvres de son interlocuteur, on parvenait à suivre un semblant de discussion. Emilie y pénétra et se rapprocha de cet individu, sans prendre véritablement conscience de ce qui l'amenait vers lui : Un lien inconnu ? Elle se rapprocha de lui, le dévisagea : Un regard doux, adorable, aimable, qui à lui seul suffisait à qualifier son être. Elle se rapprocha de lui pour que, à bonne distance, un ensemble de regroupements, de petites particules, de couleurs diverses et variées, ne finissent par se rassembler, de nouveau, en double hélice. La réponse à cette vision dégénéra sous forme de violents spasmes musculaires, une chute et puis, de nouveaux, l'eau d'un sol humide qui vint s'imprégner sur son visage. La douleur, l'effroi, l'ombre simplement. Une nouvelle crise qui s'amena puis passa, plus vite que la première.
Dans les jours qui suivit, et à chaque fois qu'elle se rapprocha de lui, des sensations toujours aussi troubles qui s'accompagnait d'une épilepsie de moins en moins violente. Enfin, après une semaine, elle se résigna à ne plus le voir, ne comprenant plus ce pourquoi elle ne pouvait pas. La vie lui retirait ainsi une nouvelle chance... Qu'elle lui offrirait de nouveau plus tard. Dans le fond, n'était-ce pas plutôt un signe qu'elle lui offrait ? Un signe des éléments à venir, un signe de ce qu'elle était, et de ce qu'elle apprendrait être.
Enfin, au bout d'une semaine, elle pu l'approcher, les crises étaient finies : Elle avait combattu la maladie. Plus jamais elle ne serait condamnée à souffrir... Plus jamais. Mais qu'était-ce donc au fond ?
Une radiation presque bénéfique
Gardant secrètes les hallucinations dont elle faisait preuve, Emilie poursuit sa formation sans jamais imaginer qu'il adviendrait un jour où elle serait ce monstre. Un matin, alors qu'elle se leva, elle constata que ses dents avaient poussées mais, peut-être un peu trop atteinte par les douleurs de la boisson, elle n'en fit rien. Le lendemain, elle constata que ses pupilles s'étaient élargies et, avant compris qu'elle n'allait pas bien, elle fut arrêter pendant plusieurs jours, à attendre de comprendre. Dès le troisième jour, il y eut ce changement qui marqua tout : Une peau qui unit ses deux jambes. Elle cria, cria de toute ses forces et ses parents arrivèrent. Dans leur tête déjà, l'idée qu'elle soit atteinte du gène X leur avait effleuré l'esprit et, prétextant à leur tour que leur fille était contagieuse, elle ne retourna plus à l'école. Vint finalement toute la longue transformation qui la fit devenir monstre, sirène parmi les hommes, sous la forme la plus hideuse qui puisse être et, malgré le sourire de la mère à son chevet, on entendait les sanglots en derrière de la porte. Etait-il donc correcte d'annoncer ce qui allait arriver ?
Alertés par l'incohérence de ce qui advenait, à savoir une absence plus que douteuse d'une enfant, le collège se mit en son devoir de signaler aux services sociaux l'ombre qui planait autour de l'affaire. Ils débarquèrent ainsi en maison et, la voyant, la retirèrent de la garde parentale. Dans la nuit qui suivit, on la transféra dans l'hôpital le plus proche. Un cortège de médecins se trouvaient ici, alignés à son chevet dans une salle où elle était seule, adossée à son lit. Il est vrai que rencontrer des mutants se faisaient de plus en plus fréquemment mais, leur étude quant à elle avait cet on ne sait quoi d'intrigant, laissant des nouvelles perspectives pour la compréhension génétique quand soudain, le bruit d'un chariot dans le couloir et, avec lui, une appréhension, intense de tout ce qui allait advenir. Emilie avait déjà entendue parler d'autres mutants qui avaient servis pour une ou plusieurs expériences, lesquels faisaient avancer la recherche médicale, à leur détriment. En cet instant, comme la foudre d'un orage qui frappait sans crier garde, le constat d'être mutante, d'avoir un don, sous une forme particulière. Pour autant, elle ne divulgua rien et, dans les jours qui suivirent, on lui fit passer une quantité insoutenable de biopsies : cérébrales, cutanées, toutes pour comprendre le gène X et les conséquences qu'il apportait. Avec ce temps qui s'écoulait, Emi' détecta de nombreux nouveaux cas de mutants, se regroupant dans une même zone. Ce fait attira sa curiosité sur une question non dénuée de sens : " Pourquoi un simple hôpital accueil-t-il autant de mutants ? Pourquoi leur faire passer tous ces tests ?" La révélation d'un empire pharmaceutique qui eut la fantastique idée de se servir d'eux pour mieux comprendre l'ADN et donc, de peaufiner une technique expérimentale appelée génothérapie. Cette dernière reposait en fait sur une modification du code génétique, ceci étant fait pour corriger certaines maladies. Tout le monde l'aura compris, à leurs yeux, les mutations étaient les symptômes d'une maladie dont on voulait se servir pour faire progresser ladite recherche. Vint finalement ce jour où, pris de stupeur, un membre du corps médical s'exclama dans tous le couloir que le patient qui se trouvait juste dans la salle de derrière venait de guérir du VIH. On entendit alors tout un vacarme sourd, de bruits de pas dans la foule qui accourait pour connaitre, apprendre, comprendre. Le télépathe fut ainsi transféré dans une autre zone du secteur et, par la même occasion, un autre individu au fragment d'ADN véritablement en proie à de lourds tares pénétra. On entendu des "Oh !" et des "Ah !" pour s'apercevoir qu'il était redevenu "normal". Normal en un sens où son apparence avait été corrigée, à peine la pièce pénétrée. Ces évènements s'enchainant, on ne tarda pas à deviner qu'un autre mutant, non loin, était à l'origine de ces deux miracles : Elle. Cependant, s'il s'était avéré étonnant qu'elle puisse modifier, lorsqu'elle se trouvait dans la pièce d'à côté, un code génétique, il apparu un autre facteur selon lequel, pour peu qu'on l'éloigne, la nature reprenne ses droits.
Sans que l'on comprenne d'où cela vienne, tout une armée de médias débarqua au porte du service, alerté par un informateur anonyme. Ce fut sans nul doute qu'on vint à faire éclater devant les yeux de la France entière, ce que certains laboratoires s'étaient autorisés à réaliser. Par la même occasion, l'Organisation Mondiale de la Santé fut dépêchée, au travers de deux agents, pour comprendre un phénomène plus intéressant qu'avait pu découvrir les
médecins du centre. Ils débarquèrent ainsi, dans sa chambre, alors qu'on lui administrait une nouvelle dose de cet on ne sait quoi. L'un deux les présenta :
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OMS... Les emmerdeurs assermentés. Veuillez nous suivre.Un individu, en blouse blanche qui avait finit d'injecter la dose s'exécuta, regardant un mouton à six pattes avant de se retrouver au dehors. Il expliqua alors la totalité de ses recherches sur le développement immunitaire des individus.
Il fut vite coupé dans son élan.
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Je ne me permettrais pas de critiquer ce qui se passe ici mais, le virus de l'ébola tue celui de la grippe... Comme moi vous savez qu'on n'y gagne pas au change.La suite de cette discussion en devint totalement inaudible et, plusieurs jours après, la notion de dépendance apparue chez les différents individus l'ayant approchés sur de longues périodes.
la lumière de φ, ou comment modifier le gène X en 10 leçons
Après un transfert sous haute sécurité dans un autre laboratoire, Emilie repris connaissance dans une salle où un autre individu, mutant lui aussi s'empressa d'ouvrir une conversation. Elle apprit ainsi qu'il s'agissait d'un professeur, enquêtant sur le gène X aussi. Cependant, celui-ci dépendait de l'OMS, comprit-elle par ses mots qu'elle se retrouvait en Amérique. Peut-être ayant acquis la lucidité, désormais sortie de toutes les drogues qu'on lui avait administré, cet entretient passa rapidement dans une discussion mouvementée où, par inadvertance, Emilie en vint, de façon instinctive, à modifier son propre gène X. Ainsi, lorsqu'un phrase sur son apparence qu'elle rejetait s'extirpa de ses lèvres, toust l'enchainement nucléotidique s'opéra dans une frénésie folle. Elle prit soudainement la forme d'une jeune femme, à la beauté correcte bien que sans véritable charme, si ce n'était celui d'être naturel.
Par la même occasion, elle venait d'offrir une soudaine idée au scientifique, celle de pouvoir comprendre au mieux tout le développement génétique des individus, pouvoir ainsi, par de simples tests en sa présence, comprendre au mieux comment fonctionnait le génome humain. Une relation d'amitié débuta donc, l'un comme l'autre aidant à cette compréhension. Cet ici qu'Emi pu comprendre comment certains gènes avaient pu se créer.Cette amitié se finit enfin par une évasion, avec son aide, de l'établissement. Décédé dans un accident de la circulation, elle erra seule dans les rues de New York, attendant l'illumination qui la ferait pencher dans un des deux camps.
Joueur
Personne sur l'avatar : Dido
Age dans la vraie vie : j'ai droit à un joker ?
Expérience en RP : Un petit moment déjà
Où avez-vous entendu parler de notre forum : Topsite, il y a fort fort longtemps
Double comptes : Lio Han
Votre personnage provient-il des Comics ou des Films X-Men : non
Code : ORIGINS
Je certifie avoir lu le règlement et m’engage à en respecter les clauses. Je m'engage à toujours écrire au moins 5 lignes pleines dans chacun de mes messages en Role-Play. David