Les germes du désastre

Lundi 18 Octobre 1880 Angleterre[/b][/u][/color]

Dans la pénombre d'un Amphithéâtre un homme assis au troisième rang écoute avec grande attention les paroles du vieillard sur la scène, cet homme rabougri Grisonnant d'environ 70 ans portant une longue barbe blanche, expose ses théorie sur l'évolution des espèces aux grands publics, la salle crie au scandale, lui ne peut décrocher ses yeux des tableaux de formule recalculant vérifiant les erreurs toutes possibilités, un homme à quelques sièges devant lui se lève soudainement le poing pointer verre le vieil homme, tout en se mettant à crier.

« Vous dites que l'on serait tout descendent d'un animal et non créés à l'image de Dieu ? Vous blasphémez vieux fou !»

le vieil homme semble-t-il, fatigué de s'être battue toutes sa vie pour défendre ses découvertes, ne trouve pas le courage de rentrer dans un ultime rixe sur la position de la foi au sein de la science, il se redresse et toussote le pauvre bougre épuiser par tant de bataille pour imposer ses découverte dans un monde déchiré par un obscurantisme religieux étouffant.

« Bien sûr je n'ai pour le moment appliqués mes théorie que pour l'ordre animal et je parle de changement se développant au cours de millier d'année, des changements très infime à l'échelle d'une vie. »

le vieil homme s'approcha d'un tableau noir rempli d'équation diverse, il saisit une canne en boit, attrapa le crochet et fit pivoter le tableau, sur l'autre fasse se trouver des observations sur les parades nuptial des oiseaux entremêlés d'observation sur leurs plumages,

« Nous observons que l'attirance, les points communs, la notion de beauté, tous ces éléments que certain juge être un hasard de la nature, serait en fait le moteur du changement de l'évolution apportant toujours plus de perfection à l'espèce, en observant les plumages des oiseaux nous avons constaté une similitude entre les parents et leurs descendances, reprenant des caractéristiques propres aux deux, quand il se reproduit à son tour, il transmet les caractéristiques de ses parents ajouter à celle de ceux de sa compagne ce qui fait que quatre racine de caractéristiques propres son mélanger, la génération suivante huit et ainsi de suite et cela fait évoluer les espèces du fait de la sélection naturelle. »

Le vieil homme bien que fatiguer était cela dit toujours d'une vivacité d'esprit remarquable, utilisant l'amour, cadeau de dieu comme justification de l'évolution, il permettait aux théologiens de trouver une corrélation divine à ce phénomène ce qui calmait les plus hostiles, en 1880 il n'était pas bon remettre en cause l'autorité divine. Le vieil homme fatiguer termine son exposer et sort de la salle, un homme dans un long mentaux bien habiller appartenant à la bourgeoisie local le rattrape.

« Monsieur Darwin ! Monsieur Darwin ! »

Il s'immobilise dans une allée ou de nombreux étudiants circule bruyamment les deux hommes ce rabattes dans une alcôve, sont poursuivant était un homme plutôt grand au cheveux noir portant un bouc au très fin dégagent une certaine prestance.

« Bonjour, je suis Nathaniel Essex et j'étais à votre exposer, j'ai bien écouté vos théories et je souhaiterais vous entretenir sur mes propre recherche, je m'intéresse aux changements que nous pouvons observer sur une génération. »

Le vieil homme saisit par le bras le jeune scientifique, ce Essex était trop téméraire venir crier ça n'importe où pourrait lui valoir de gros ennui.

« Monsieur Essex, je serais ravis de venir écouter vos théories, mais il y a des lieux où il ne vaut mieux pas crier tout haut ce que l'on pense. »

en ce temps-là, il était courant que des scientifique ce retrouve dans leurs laboratoire pour exprimer leurs derniers découvertes a leurs pères, la discipline encore considérait par beaucoup comme de la sorcellerie, les chercheurs travaillent dans la discrétion de leurs domicile Essex invita donc naturellement monsieur Darwin à venir samedi prochain accompagner de deux de ses collègues pour assister à sa présentation, le vieil homme fatigué par son voyage et son discourt fort mouvementé reparti en direction de son hôtel pour aller se reposer, Nathaniel pris sa calèche et se dirigea verre le sommet de la ville ou était construit le château des Essex, immense battisse de pierres brutes construise il y a 200 ans par ses ancêtres, il passa la porte une servante arrive en courant, pour prendre son mentaux et ses affaires personnelles.

« Madame vous demande, monsieur. »

Sans un mot pour la servante il grimpe les escaliers et rentre dans la chambre, un quart d'heure plus tard il ressort rangent une fiole de sang dans sa poche, il redescend et va directement dans son laboratoire, là il s'y enferme toute la journée et sort la nuit revenant avant que tout le monde se réveille, ou plutôt réveillant tout le monde à son retour, mais personne n'ose aller voir ce qu'il se passe la bah, les serviteurs on peurs de monsieur Essex, la nuit il entende des cris dans les canalisations provenant du laboratoire. Personne, excepter madame, n'a vu monsieur durant la semaine ce n'est qu'au bruit des coups sur la porte le samedi matin, qu'il réapparue.

Samedi 23 Octobre 1880 Château des Essex:

Portant un cape rouge il se dirigea la porte et ouvrit aux trois hommes venus écouter ses découvertes, Darwin l'homme qui avait inspiré Nathaniel était venu l'écouter, cela représentait un grand honneur, avec lui deux connaissances un certain Docteur Xavier médecin et ami de longue date et un collègue physicien, Darwin avait retrouvé la forme l'air frais de l'Angleterre avait semble-t-il apaiser ses rhumatisme. Nathaniel les conduit dans la salle de présentation de ses travaux juste-à coter de son laboratoire, là sur l'estrade deux hommes sont assis sur des chaises devant eux un tesla-mètre, appareille servant à mesurer les champs magnétiques, à coter un bocal remplit d'eau, Essex fit s'asseoir ses invités, le premier des deux hommes s'avança au nivaux du tesla-mètre.

« Messieurs, merci d'être venus ici aujourd'hui, contrairement à vous monsieur d'Arwin je me suis concentré dans mes recherches sur les changements s'opérant au cours d'une génération ces difformités mise à l'écart par la société ce que l'on juge trop difforme et qui sont rejetés dans votre théorie de l'évolution cette part présentant des anomalies et exclus de la chaine par ses semblables, regarder cet homme ! »

Essex pointa sa main en direction du jeune homme, qui posa ses mains sur le tesla-mètre, il se concentra des perles de sueurs se mirent à couler sur son front, les trois hommes les yeux rivés sur les membrane magnétique du tesla-mètre recherchait le moindre petit signe de champs magnétique, le jeune homme semblant contracter tous ses muscles à en devenir rouge.

« Regarder bien messieurs »

les petites membrane se mirent à bouger légèrement décrivant des petits mouvements, indiquant un très très faible champ magnétique, Essex avait-il décider de se reconvertir dans la magie ? Ils pensaient tout trois être venus assister à une démonstration scientifique pas à un tour de charlatan restant tout de même étonner, mais ne voyant nullement là un exploits scientifique, voyant bien le scepticisme de ses invités Essex fit signe au deuxième de s'avancer, ce dernier saisit le bocal remplit d'eau, il posa ses deux mains sur les bords en quelques minutes l'eau devint bouillante. Darwin se leva brusquement criant au scandale Essex se moquait de la science, ce n'était nullement un raisonnement scientifique qu'il avançait, les trois hommes partirent en criant qu'il n'était qu'un détraquer et qu'il ne méritait pas de porter le titre de scientifique, Essex tenta de les poursuivre pour prouver la véracité de ses découvertes, mais se sentant profondément insulter par cette démonstration, ils ne prirent même pas le temps d'écouter son explication, ils remontèrent dans leur carriole et repartirent pour la ville.

On ne vit plus jamais personne venir au château Essex, Nathaniel fut radier de l'ordre des scientifiques, plus personne ne consultait ses publications dans un isolement presque total, il passa tout son temps dans son laboratoire, en ville on raconte des histoires sur le château, on disait que ce qui y rentraient ne ressortaient jamais et que tard le soir si on traine par la bah on peut entendre les cris des malheureux qui ont eu l'idée de monter dans les hauteurs de la ville...