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 When Rémy met Sini

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AuteurMessage
Rémy LeBeau
X-Men Alpha
Rémy LeBeau


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Autre(s) identité(s) : Gambit

Pouvoirs : Amplification de l'énergie cinétique, pouvoir de charme

Age du perso : 32 ans
Date d'inscription : 29/04/2009

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MessageSujet: When Rémy met Sini   When Rémy met Sini Icon_minitimeDim 10 Jan 2010 - 15:32

Quand Rémy rencontre Mister Sinister



Comment il avait pu en arriver là ? Dans un smoking noir, recouvert de poussière et déchiré aux niveaux des épaules, sur sa moto filant tout droit verre New-York sans vraiment savoir où aller une fois sur place, Rémy fait défiler les kilomètres sous la gomme des pneus de sa moto. Perdu dans ses pensées, il ne fait pas attention au paysage, la journée avait mal commencée de toutes façons.


    Il avait été réveillé par les cris des membres de sa famille les LeBeau, son père Jean-Luc ainsi que son frère Henri tout deux habillés dans des costume dans grand couturier, avaient débarqués en trombe au petit matin dans sa chambre, ouvrant tous les rideaux, Rémy se protégeas sous sa couette encore vaseux des excès d'hier soir, son père tira sa couette et se mit à lui crier dessus.

    « Aller Rémy debout ! S'il y a bien un jour où tu ne peux pas faire le faignant c'est bien aujourd'hui !! »

    Son frére lui sorti son smoking de son armoire et lui posa sur le présentoir à coter du lit de Rémy avant de se pencher verre lui

    « Aller gros feignant, toute la famille est t'attend en bah dépêche toi de nous rejoindre, c'est le grand jour tu ne vas quand même pas nous faire croire que tu flippes, ha-ha bon aller habille toi et rejoint nous, père est suffisamment tendu comme ça »

    Les deux hommes ressortir de sa chambre laissant Rémy seul. Rémy pivota sur la gauche et s'assit sur le bord de son lit, il se frotta les yeux et s'étira en baillant, attrapa un clope dans le paquet poser sur la table de nuit et se leva en l'allumant, debout il s'étira se gratta les cheveux et se dirigea verre sa salle de bain, il s'arrêta au-dessus du lavabo et passa la main sur sa barbe de quelques jours, il écrasa le mégot de sa clope dans le cendrier qui débordait, apparemment ce petit rituel matinal était une habitude récurrente, il rentra dans la douche et profita de la chaleur de l'eau pour finir de se réveiller, une fois propre il attrapa une serviette, se sécha et revint au niveau du lavabo, attrapant la mousse à raser qu'il étale sur son visage avant de bien soigneusement se raser, il attrape son après rasage puis son parfum et ressort de la salle de bain, il enlève sa serviette et attrape son smoking, un dernier check dans la glace de son armoire la cravate ajustée, il déscent les marches menant à la cuisine de la demeure des LeBeau.

    Au pied des marches toutes la famille est là, son père son frère, Mercy sa soeur et ses cousins Theoren et Etienne, tous sont tendus et affiche en même temps une certaine joie quand ils l'aperçoivent certains crient ha enfin Rémy d'autres courent verre lui pour le saluer le temps d'attraper un café tendu par un serviteur de la famille qu'il est entraîné dans la plus grande des limousine stationner devant la demeure des LeBeau, à ses côtés, son père, son frère et sa soeur lui parlent d'inviter de programme, il n'en a fichtrement rien à faire toujours par réveiller, il ouvre le toit de la limousine et se lève son moge dans la main et s'allume une autre cigarette, il regarde le paysage et profite de la claque du vent dans les rues de la Nouvelle-Orléans tout le monde regarde les trois limousines qui traverse la ville, il finit son café et se rassoie, son père lui fait une ultime mise en garde juste avant que la voiture ne s'immobilise et que le chauffeur vienne lui ouvrir la porte.


    Il sort une foule impressionnante est réuni ici, il y voit des amis de sa famille des amis plus proches avec qui il a travaillés, mais il voit aussi surtout nombres d'ennemies enfin ancien-ennemies, c'est le but d'aujourd'hui tout du moins parcourant le chemin menant à l'entrer de l'église, serrant plus de main qu'il n'en avait encore serré durant toute sa vie, arriver au sommet des marches du bâtiment il a une vue d'ensemble de la foule réunie ici, au moins 2000 personnes toutes ne rentrerons pas dans l'église, il fut interrompu par un coup de coude de son père le fusillant du regard, Rémy fit un pat en avant

    « Bonjour à tous et merci d'être venus aujourd'hui ! J'espère que ce jour de fête fondera de nouvelle base pour nos familles respectives et je vous souhaite a tous de bien profiter de cette journée qui restera à jamais dans nos mémoires ! »

    Il avait bien parlé son père semblait satisfais enfin il n'affichait pas un regard menaçant, c'était déjà ça, il pénétra en premier dans l'église, suivi des membres de sa famille il alla s'installer sur l'hôtel et tous les autres inviter vinrent peu à peu s'installer sur les bancs de l'église, au coter de son frère et témoin et du prêtre ils fixaient tout les trois la porte de l'église, il ne manquait plus que les inviter d'honneur les deux premiers rang du côté gauche étaient vide, une demie heure plus tard un bruit de moteur se fit entendre suivi des cris de joie des inviter étant restés dehors, quelques minutes plus tard au bras de son père Marius Bourdreaux elle entra dans l'église dans un splendide robe blanche devancée par deux jeunes fille lançant des pétales de rose sur le tapis elle arriva au niveau de l'hôtel Rémy lui tendit la main pour l'aider à monter les quelques marches pendants ce temps la Jean-Luc serrait la main de Marieus, c'était vraiment un jour de fête Jean-Luc souriait. Ils se tournèrent verre le prêtre qui commença son office.

    « Mes bien-aimés, vous voici réunis devant cette assemblée, afin d'unir cet homme et cette femme dans les liens bénis du mariage, Le Mariage a été institué pour l'affection, l'assistance et le réconfort mutuel des conjoints, dans la prospérité comme dans le malheur. C'est le sacrement par lequel les deux personnes ici présentes désirent être unies. Donc, si l'un d'entre vous connaît une raison valable qui s'oppose à leur union légitime, qu'il parle maintenant, ou qu'il se taise à jamais. »

    Pas un bruis ne se fit entendre dans la salle, le prêtre attendit quelques secondes il se tourna verre Rémy et repris.

    « Rémy LeBeau, veux tu prendre Bella Donna Boudreaux ici présente pour épouse légitime et vivre avec elle selon la loi de Dieu, dans le saint état du mariage? L'aimeras-tu, la consoleras-tu, l'honoreras-tu, dans la maladie, comme dans la santé et renonçant à toute autre union, lui resteras-tu fidèle jusqu'à la mort? »

    Rémy hésite les quelque centième de seconde que toute personne prend pour une telle décision ... et s'exprimant enfin.

    « Oui, je le veux. »

    Le prêtre se tourna alors verre Bella.

    « Bella Donna Boudreau, consens-tu à prendre cet homme pour époux légitime, à vivre avec lui selon la loi de Dieu, dans le saint état du mariage? L'aimeras-tu, le consoleras-tu, l'honoreras-tu, le garderas-tu, dans la maladie comme dans la santé et, renonçant à toute autre union, lui resteras-tu fidèle jusqu'à la mort? »

    la belle répondit.

    « Oui, je le veux. »

    Se tournant cette fois verre la salle, le prêtre continua son office énumérant tous les traditionnels discourt avant d'enfin finir par la partie la plus intéressante.

    « Vous pouvez embrasser la marier. »

    Rémy ne se fit pas prier plus que cela et sous les applaudissements de la salle soulevant le voile de la jeune femme, il lui donna un langoureux baiser, interrompu par le fracas des portes de l'église violemment ouverte par Julien, le frère de Bella.

    « Rééémmmyyy !! »

    Marius son père se leva instantanément et se dirigea verre son fils

    « Julien que veux dire cette esclandre ? Tu es en retard et tu te permet de te faire remarquer ? »

    Julien écarta son père et pointa du doigt Rémy.

    « je ne permettrai jamais que ce type épouse ma soeur. »

    Rémy descendit de l'hôtel et se dirigea verre Julien et Marius, Jean-Luc et Henri le suivant de près,tous les invités étaient très surpris que pouvait-il bien arriver au frère de la marier que voulais bien dire cette intrusion ? Rémy au niveau de Julien.

    « Désoler Julien, mais ta sœur est ma femme maintenant, le moment des réclamations c'était il y a 15 minutes, maintenant nous faisons parti de la même famille »

    Julien semblait bouillonner de rage, maintenant il faisait partie de la même famille et il ne pouvait plus l'attaquer mais quelle, honte pour les Assassins de compter un de leurs pire ennemie dans leurs rangs, un fichu Voleurs, heureusement il était maintenant soumis aux règles, des assassins.

    « Ha oui tu fais partie de la famille. Donc tu réponds aussi de nos règles, quand un différent existe entre deux membres de notre famille ils règlent leurs problèmes dans un duel à mort »

    des cris de surprise se firent entendre provenant des invités encore installer dans l'église, Rémy ne savait pas trop quoi faire, il se tourna verre son père qui semblait tout aussi perplexe, l'attachement aux règlements qui l'habiter, devait surement être tirailler. Voyant le désappointement de son père Rémy nu d'autre choix d'accepter le défi, lançant un dernier regard à Bella il suivi Julien jusqu'à un parc où se trouvaient deux épées, ils étaient venus seuls chacun prient une arme Rémy tenta une dernière fois de résonner Julien, mais ce dernier lui répondit en l'attaquant.

    Rémy dans un premier temps essaya de parer les coups de Julien, il était fort et la défense n'était pas la spécialité de Rémy l'acculant contre un arbre Rémy ne pouvait plus reculer, Julien lui donna un coup d'épée sur l'épaule, il l'esquiva, mais son Smoking en pris un coup, se retrouvant sur le sol Julien lui sauta dessus Rémy releva son épée et le pauvre bougre se retrouva empalé, Bella Donna arriva juste à ce moment la voyant son frère se faire tuer par Rémy, elle poussa un cri qui alertas les deux pères Marius voyant le corps de son fils attaqua immédiatement Rémy, Jean-Luc s'interposa et repoussa Marius.


    « C'est ton fils qui a provoqué ce duel il savait ce qui pouvait lui arriver. Pour ce qui est de Rémy nous allons nous occuper de lui. »

    Jean-Luc attrapa Rémy et le poussa jusqu'à leur limousines les deux hommes repartirent seuls au manoir des LeBeau, personne ne sait vraiment ce que les deux hommes se son dit durant le voyage, mais toujours est-il qu'une fois arrivé Rémy monta sur sa moto et est parti en direction de New-York sans prendre le temps de se changer ni même de prendre ses affaires, il n'était maintenant plus membres de la guildes des Voleurs. C'est tout ce qui fut dit aux membres de la guilde





Arrivant aux portes de la ville de New-York Rémy se dirigea verre les quartier les plus sombres de la ville c'est dans un bar qu'il finit sa course, il épuisa tous son argent dans du Bourbon avant de repartir titubant dans les rues morbides ou chaque minute on entant un cri déchirait la nuit, dans son errance il finit par atterrie dans une des nombreuses églises délabrer du coin enlevant quelque planche de bois qui condamnent la porte, il avance dans la salle vide ou chacun de ses pat résonnes à l'infini, arriver à la moitié des rangées de banc séparant la croix de la sortie, un bruis sourd le fais se retourner, là, il se retrouve face à un homme de deux mètres avec le visage violet et un prisme sur le front et bien c'est pas banal.


« T'es qui toi ? »

L'homme sourit il avait fais une grande découverte dans la nuit sombre de New-York, cela faisait combien d'année qu'il attendait de pouvoir revoir cet homme, il lui tendit une bouteille de Whisky de 26 ans d'âge

« Moi je ne suis qu'une personne donc le passé croisera ton futur, tu m'avais demandé de ramener une bonne bouteille »

Rémy ne comprenait rien du tout à ce que racontait ce mec, c'est quoi cette histoire de futur qui croise le passé, la physique ce n'est pas son truc en tout cas il semblait aux moins bien le connaître se scotch était une pure merveille. A dire vrai il tombait bien ce mec, il me fallait un truc pour me faire du friques,

« Ha je serais prévoyant à ce que je vois et tu me veux quoi ? »

L'homme s'adossa contre un des bancs.

Spoiler:

« Ho trois fois rien, un de mes amis m'a prévenu qu'un membre des Voleurs de Nouvelle-Orléans était passé dans son bar et j'aurais besoin de t'es contacts pour que tu me recrutes des hommes, j'ai une opération très délicates à mener et il me faud les meilleurs, tu seras bien-sûr très bien payé et j'ai déjà quelques bons éléments que j'ajouterais à l'équipe. Tu es d'accord ? »

Rémy ne comprenait pas tout, mais si c'était pour recruter des mecs ça ne devrait pas être trop difficile, en plus ça serait un bon moyen de se faire un peu d'argent,

« Pourquoi pas ... mais juste trois truc, c'est quoi ton nom ? J'ai combien de temps ? Et ... tu n'aurais pas de fringue à me prêter mon costard est mort ? »

L'homme jubila, il avait trouvé le parfait recruteur un homme aux multiples contacts répartie tout autour du globe, ses yeux rouges perçant la pénombre de l'église il rigola de son rire diabolique.

« On m'appelle Mister Sinister, je te donne trois mois pour me réunir une équipe et pour ce qui est des fringue, je dois pouvoir te trouver quelque truc, suit moi dans mon laboratoire Rémy ... »

Les deux hommes sortir de l'église et disparurent au détour d'une rue, suite à ça pendant les trois mois qui suivirent Rémy parcourue le globe entier à la recherche de mercenaire, de l'Alaska jusqu'au Japon en passant par la Corée sans oublier l'Amérique du sud avant de les réunirent tout dans le laboratoire de cet homme qui se faisait appeler Sinister, Rémy rentra dans le laboratoire personnel de Sinister.

« Tout est prêt on attend plus que vos ordres. »

Au milieu d'un grand nombre de machines qui paraissaient aux yeux de Rémy bien trop compliquait pour essayer de comprendre leurs fonctionnements, Sinister finissait les dernières retouchewsdu costume que lui avait demandé Rémy, il était enfin prêt, composé d'une armure ventrale et de protection pour les gambes, les couleurs du goût de Sinister était forcément tirés sur le violet.

« Tien, Rémy ton costume est fini, met le pendant que je briffe les autres dans le hall. »

Sinister sortie, Rémy attrapa ses vêtements composaient d'une combinaison intégrale noir moulant avec des bote en fer articuler pour permettre le mouvement d'une armure ventral et d'une ceinture jaune, ce Sinister avait vraiment des goûts discutables. Il se retourna et vit un long manteau marrons en cuire, il pourrait au moins camoufler cette horreur, Sinister lui avait aussi prit quelque ustensile, un paquet de cartes neuves qu'il rangea dans la poche intérieure gauche de son manteau et un bâton rétractable très pratique. Il se regarda une dernière fois dans la glace, se disant qu'il n'était finalement pas si mal que ça ce costume.

Il sortit du laboratoire Sinister avait fini son discourt, il suivi la troupe des Maraudeurs qui semblaient prendre la direction des égouts de New-York ...
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