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| | Oliana Walker, \ |  |
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| Sujet: Oliana Walker,  Dim 31 Jan 2010 - 13:06 | |
| Nom : Walker. Prénoms : Oliana Sarah Gabrielle. Alias et Surnoms : Madra pour alias. Le reste, c'est à votre goût. Age + Date de Naissance (JJ/MM/AAAA) : 21 juillet 1986 – 25 ans. Genre : Féminin. Clan : Neutre. Pouvoirs (identifiez : passif/défensif/offensif) : Compréhension animale; passif. Oliana a la capacité de comprendre les animaux. Ainsi, elle peut lire et interpréter leurs pensées. En général, elle les garde pour elle, adorant ce contact privilégié qu'elle a avec eux. Mais elles peuvent lui être très utiles pour récolter des informations. Ce pouvoir fonctionne à plusieurs niveaux : le plus faible consiste à simplement capter des bribes, sans savoir parfois d'où viennent ces petites voix qui résonnent dans sa tête. L'étape au dessus, elle les comprend et capte des pensées bien plus longues. La dernière étape, en plus de les comprendre, elle peut également leur faire part de ses propres pensées. Ainsi, il lui est possible d'avoir de réelles communications avec eux, le tout en silence et en toute discrétion. Ce pouvoir là n'est absolument pas fatigant, c'est quelque chose qu'elle a en elle, qui fait partie d'elle, c'est une seconde nature. Contrôle animal; offensif. La jeune femme prend le contrôle sur l'esprit de l'animal. Ainsi, elle peut décider des geste de ce dernier. Cela s'applique aussi bien à des animaux domestiques qu'à des animaux sauvages et peu importe le type de l'animal : canin, félin, même insecte, tant qu'il y a un cerveau dont elle peut prendre « possession ». Le pouvoir se décline en trois étapes : tout d'abord, le contrôle n'agit que sur un seul animal, ne dure que quelques minutes et il ne se fait que sur de courtes distances. Il faut que l'animal soit près de la jeune femme, deux ou trois mètres devant elle. La fatigante est imminente, présente dès l'arrêt du contrôle. Elle doit lâcher l'animal au bout d'une dizaine de minutes. Si elle dépasse ce temps, il n'est pas garantit qu'elle tienne le choc physiquement. Si elle le respecte, elle est quitte pour de sacré maux de tête. La seconde étape lui permet de rallonger la durée du contrôle, pouvant aller jusqu'à une demi-heure complète pour un seul animal, mais surtout elle lui permet d'en contrôler trois animaux au maximum. Plus elle en contrôle, moins son pouvoir dure. Elle peut contrôler l'animal sur une distance d'une dizaine de mètres. La fatigue se fait moins présente mais elle a toujours des maux de crânes très douloureux si elle utilise trop de temps son pouvoir. La dernière étape consiste à pouvoir appeler les animaux dont elle a besoin dans un rayon de cinq kilomètres. Un peu comme si elle agissait comme un aimant sur eux. Elle peut contrôler six animaux au grand maximum, avec une demi-heure pour chacun d'entre eux. A ce stade, après un bon entraînement, la fatigue n'est plus présente ou très peu. Quelle que soit l'étape, tant qu'elle voit ne serait-ce qu'un mouvement de l'animal, elle peut garder le contrôle. Dès qu'il disparaît, le pouvoir s'arrête. Elle peut le rappeler si elle est à la dernière étape, mais plus le contrôler. Niveau de maitrise du pouvoir : Le seul pouvoir qu'elle maîtrise, c'est la communication animale. Elle les comprend parfaitement et « dialogue » sans problèmes avec eux. Par contre elle n'en n'est qu'à la première étape de son don de contrôle. Elle ne peut contrôler qu'un seul animal à la fois. Elle ne sait d'ailleurs pas qu'elle pourrait en contrôler plusieurs, aussi elle ne s'y est pas plus penchée que ça. Le contrôle ne dure que peu de temps. Au delà d'une dizaine de minutes, il lui faut absolument se reposer car ça lui pompe beaucoup d'énergie. Consciente de ce problème, elle ne se sert en général de ce pouvoir que pour déstabiliser l'adversaire pour pouvoir prendre la fuite. Lien entre les 2 pouvoirs : Tout tourne autour des animaux et de leur psychique. En comprenant leurs pensées, elle peut savoir exactement comment les contrôler. Ainsi un animal ayant des pensées agressives envers quelqu'un pourra être envoyé bien plus facilement à l'attaque qu'un animal pensant qu'il a peur de son adversaire. Description physique : C'est une jeune femme aux allures un peu sauvageonnes. Avoisinant les un mètre soixante, elle aime sa petite taille qui lui permet de se faufiler un peu partout. Elle porte les cheveux mi-longs, raides la plupart du temps. Ils sont blonds mais pas naturellement : elle les décolore depuis de nombreuses années. Au naturel, elle est châtain tirant sur le clair. Ses yeux sont d'un bleu foncé et son visage est fin en général : sourcils, lèvres, nez, tout est marqué discrètement chez elle. Elle a de longs doigts fins, ce qu'on appelle couramment des doigts de pianiste. Elle a une allure plutôt canine : elle a tendance à laisser courir son regard partout, à être un peu baissée, toujours en position de défense. Comme un chien qui se méfie de l'endroit où il se trouve. Elle sourit également très peu. Certains ne l'ont même jamais vue sourire. Niveau vêtements, elle s'habille en général dans les tons noirs et blancs, à la fois classe, sobre et féminine. Il n'est pas rare de la voir en tailleur avec une veste noire type DC shoes, le tout avec des talons aiguilles qui eux contrastent avec le reste, souvent rouges ou d'autres déclinaisons de cette couleur. Signe(s) particulier(s) : Il est rare de la voir dans des vêtements courts au niveau du haut et pour cause : elle cache une longue cicatrice bien visible sur son bras droit, qui court de la paume de la main jusqu'au creux du coude. Caractère, tempérament : Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'Oliana est une jeune femme au calme olympien. Renfermée sur elle-même, elle ne parle que très peu et ne s'intéresse pas vraiment aux autres. Elle passe facilement pour quelqu'un de hautain, qui ne se préoccupe que de sa propre personne. C'est pourtant loin d'être le cas : si elle est sans arrêts dans cet état un peu second, à l'écart, c'est parce qu'elle est accroc à ses anti-dépresseurs. Dès qu'elle est en manque, il n'est pas rare qu'elle soit agressive, voire violente, refusant que les autres la touchent. Evidemment, ça cache un problème psychologique dont elle n'a jamais parlé à personne et qui est dû à son passé. Elle ne sourit que très peu, sa famille dit même ne plus l'avoir vu sourire depuis une dizaine d'années. Tant qu'elle a ses cachets, il est terriblement difficile de la mettre en colère. Sans eux, mais c'est une réaction totalement dû au manque, il vaut mieux rester à l'écart. L'image qu'elle donne d'elle est celle d'une blondinette à côté de la plaque qui refuse le contact humain. Pourtant, elle a toujours été une fille bourrée de gentillesse, douce, discrète, à l'écoute de ceux qu'elle aime. Méfiante à l'extrême, il est très difficile d'obtenir sa confiance mais une fois qu'elle la donne, elle se montre protectrice et tendre, parfois même un peu possessive. Elle a du mal à laisser partir les gens qui comptent pour elle et se montre plutôt jalouse, même si elle ne le dit pas toujours. Depuis qu'elle est enfant, Oliana a peur de tout ce qu'elle ne connaît pas. L'inconnu la terrifie et elle est ancrée dans ses petites habitudes qui la rassurent et la protègent. Ainsi elle ne va jamais vers les gens, s'isolant systématiquement dès qu'elle le peut. Ses seuls moments de courage sont lorsqu'une personne qu'elle aime est en danger. Le reste du temps, les aventures, très peu pour elle, elle préfère aller se planquer dans un coin sombre et attendre que le danger passe. Talents et Compétences particulières : Sans que ce soit dû à son pouvoir, Oliana a une faculté d'apprivoiser les animaux plus développée que la plupart des gens. Elle trouvait refuge à leur côté avant même de se savoir mutante. Sans avoir besoin de lire leurs pensées, elle connaît leur comportement, sait leurs craintes juste en les regardant. C'est également une excellente violoniste et pianiste. Histoire du personnage : Extrait du journal de la jeune femme. Je m'appelle Oliana Walker. J'ai 25 ans. Je ne sais pas vraiment pourquoi je commence ce journal, mais voilà, le fait est, je commence à écrire. Je suis née dans une famille Irlandaise très chrétienne. Je porte le même prénom que ma mère, mais tout le monde m'appelait Oli, Lia, Liana... Bref, on ne m'a jamais vraiment appelé par mon prénom. Mon père s'appelle Enrick et j'ai un grand frère, Samuel. En bons chrétiens, mes parents m'ont enseigné tout ce qu'ils savaient de Dieu et de la Bible. Je n'y ai jamais cru. Ils ne l'ont jamais su. J'ai toujours eu très peur de les décevoir. Et je sais que la façon dont j'ai agi les a cruellement déçus. Je donnerais n'importe quoi pour pouvoir revenir en arrière, mais c'est trop tard... Et contrairement à ce qu'ils ont tous pu penser, je n'ai jamais rien voulu de tout ça. J'ai passé une enfance de petite fille modèle : je portais toujours des robes uniformes impeccables, les cheveux lisses et attachés par un bandeau systématiquement de couleur rose. Le rose, la couleur des petites filles... J'allais au catéchisme et je faisais ma prière avant chaque repas. Mes camarades de classe se moquaient toujours de moi. Je n'ai jamais eu d'amis, à bien y réfléchir. Mes copains et copines ne supportaient pas toutes les manières que je faisais. Je n'avais pas le droit de me salir. Je ne pouvais pas rester chez mes camarades. Je n'assistais pas aux goûters d'anniversaire. J'obéissais à mes parents comme un petit chien, tout comme mon frère, même s'il avait dix ans de plus que moi. Quand je suis rentrée au collège, c'était dans un collège privé, bien séparée des garçons. Uniquement avec des filles et en internat. C'était plus prudent selon mes parents. Ainsi j'étais chez les soeurs, sous leur gouverne. J'étais une sage petite fille. J'obéissais strictement aux règlements comme il m'avait été enseigné de le faire. Je lisais un chapitre de la Bible tous les soirs. J'étais la fierté de ces dames. J'apprenais le piano, le violon, je m'avérais douée en musique, j'avais un don, disaient-elles. C'était surtout une manière pour moi de m'échapper de là. Je pouvais passer tout mon week-end à jouer. Et puis un jour, mon coeur et mon corps ont dit stop. Un jour, j'ai refusé de manger. Et les autres jours aussi. Pendant une semaine, je n'ai rien avalé. Les soeurs prenaient ça pour un caprice d'adolescente. Mes parents étaient persuadés que c'était parce que j'avais pêché d'une façon quelconque et que je me punissais. Ils ont laissé faire. Mon état a empiré. J'avais quatorze ans à l'époque et cet enfer n'a fait qu'empirer un peu plus tous les jours. Personne ne s'en souciait vraiment. Seul mon frère tentait de discuter avec moi mais il avait du mal à comprendre que je ne puisse plus supporter le comportement trop puritains de mes parents. Nous n'avions pas de vie mais ça lui convenait. J'ai fini par être envoyée à l'hôpital, manquant trop de nourriture, je faisais régulièrement des malaises. Ils ont détecté un début d'anorexie. Dont ils pourraient probablement me sortir, ont-ils dit. Ca a prit dix-huit jours. Dix-huit jours avant que j'avale quelque chose pour qu'on m'enlève ma perfusion. J'ai agi comme je savais le faire, en bonne petite fille bien élevée. J'ai eu le droit de rentrer à la maison. Maison que je n'ai plus pu quitter. Mes parents m'ont fait la morale, m'ont menacé d'aller en Enfer si je continuais mes stupidités. Comme si me dire ça allait pouvoir y changer quelque chose. Je mangeais devant eux, lorsque j'étais isolée, je me faisais vomir. J'ai perdu énormément de poids en peu de temps. Et j'ai fini par retourner à l'hôpital. Mon anorexie s'est révélée plus sérieuse que ce qu'ils avaient pensé. J'ai passé des mois là-bas. J'ai reprit à nouveau un cours de vie normal. Et je suis replongée. Et ça jusqu'à mes dix huit ans. Presque quatre ans d'enfer au sens propre. Mes parents ne me supportaient plus. Ils m'ont laissé en clinique pour ne plus avoir à supporter la pècheresse. Mon frère ne savait plus quoi faire. Il passait parfois des journées entières à mon chevet, même si je ne lui adressais pas la parole. D'ailleurs, je ne parlais plus du tout ou uniquement pour refuser qu'on m'enfonce encore et encore tous ces tubes pour me nourrir par perfusion. Je n'avais pas envie de m'en sortir. J'ai fait plusieurs tentatives de suicide. J'ai volé des médicaments, avalant parfois des boîtes entières, je me suis taillée les veines, j'ai même tenté de sauter par une fenêtre. Allez savoir comment, mais je suis restée en vie malgré tout ça. Les infirmiers s'entêtaient à me garder en vie. J'ai vu des psychiatres défiler à longueur d'années. Je n'ai jamais parlé à aucun d'entre eux. Même eux laissaient tomber.
A ma majorité, j'ai eu le droit de décider de ce que je voulais faire de mon corps, à la seule condition de reprendre à nouveau une vie normale. Je n'en n'avais pas vraiment envie. Je ne savais même pas pourquoi je m'accrochais, d'ailleurs. Peut-être pour mon frère, lui comptait sur moi même s'il ne comprenait pas mon comportement... Et puis un jour, quelque chose s'est déclenché en moi. Alors que j'étais appuyée contre la fenêtre, j'ai entendu parler. Je me suis retournée pour savoir qui m'adressait la parole mais je n'ai vu personne. Personne excepté un chien errant, assis en bas de la fenêtre et qui me fixait du regard. Et j'entendais qu'il avait faim et que ça sentait bon, ici. Il est resté là toute la matinée. J'ai entendu toute la matinée cette phrase. Je savais que cette phrase venait de lui. Je ne savais pas comment je la comprenais, mais je la comprenais de toute évidence. Je lui ai jeté le pain qu'on me donnait à manger, il l'a dévoré. Il est revenu tous les repas après ça, il m'attendait. Je m'appuyais sur le rebord de la fenêtre et il me disait qu'il m'aimait bien, qu'il aurait bien aimé que je descende pour pouvoir jouer avec moi. Que j'étais la première qu'il rencontrait qui le comprenait. Ca a été un déclencheur. Si je pouvais le comprendre lui, je pouvais forcément en comprendre d'autres. Et pour en comprendre d'autres, il fallait que je sorte de ce maudit hôpital. Alors, tout doucement, j'ai recommencé à manger, partageant mon repas avec ce chien, en bas, tous les jours, pendant des mois. J'ai été surveillée de près, j'ai eu finalement le droit de sortir et de reprendre une vie normale. Mon frère était ravi, même s'il ne comprenait pas ce qui s'était déclenché chez moi. Je ne lui en parlais pas. Je suis rentrée chez moi. J'ai repris une vie à peu près normale. J'ai repris la musique.
Je passais beaucoup de temps dehors avec ce chien, qui me suivait un peu partout et dormait devant le portail de notre maison. Je lui donnais à manger. Je le comprenais plutôt bien. Avec lui, j'ai connu d'autres chiens, des amis à lui, que je comprenais également. Pendant quatre ans, ce chien a partagé ma vie. Deux ans durant lesquels j'ai appris à connaître les attitudes des canins. Mon frère me surnommait « madra », ce qui veut dire chienne en gaélique Irlandais. Tandis que mes connaissances sur le monde canin se développaient, mon don se développait lui aussi. De bribes de pensées, je lisais les pensées des chiens, et des autres animaux qui croisaient mon passage, comme je lisais un livre. Ils ont ensuite pu partager les miennes. Mon ami canin et moi passions des heures à discuter. Nous étions souvent assis quelque part, en silence pour les autres, en grande conversation pour nous. Et il m'a été arraché par un chauffard un jour que nous promenions. Il a traversé la route sans faire attention et le temps que je le prévienne, il était trop tard. Il est mort sur le coup. J'ai été anéantie. J'ai fait une lourde dépression. Pendant les trois années qui ont suivi, je n'ai de nouveau plus prononcé un mot. J'ai été mise sous anti dépresseurs pour ne pas sombrer de nouveau dans l'anorexie. Le résultat des choses, c'est que je n'ai plus jamais pu m'en passer. Je n'ai plus fait un sourire depuis. Grâce aux médicaments, je continuais à vivre malgré tout, comme un fantôme qu'on oblige à rester errer sur terre. Mon frère était toujours à mes côtés, me soutenant comme il le pouvait. Nous passions parfois des heures entières au zoo. C'était la seule chose qui me faisait du bien : voir des animaux, parler avec eux. Mais même eux ne pouvaient plus m'arracher un sourire. Et puis un nouveau don s'est déclenché chez moi. Alors que je me promenais, seule, j'ai vu des adolescents s'amuser à lancer des cailloux sur un vieux colley qui ne bougeait pas. Ca m'a mis hors de moi. J'ai souhaité qu'il se défende, juste pour leur donner la peur de leur vie. J'ai croisé le regard du chien et il a exécuté la moindre de mes pensées. Puis j'ai sombré dans l'inconscience. Je me suis réveillée en pleine nuit dans cette petite ruelle. Alors que j'en sortais, deux hommes m'ont bloqué le passage. L'un deux avait un berger allemand qu'il m'a envoyé. J'ai fixé l'animal dans les yeux et lui ait ordonné de faire demi tour et de s'attaquer à son maître plutôt qu'à moi. Là encore, le chien s'est exécuté et j'ai pu m'enfuir. J'ai tout quitté du jour au lendemain sur un coup de tête. J'ai quitté l'Irlande sans raison apparente. Sans doutes pour laisser derrière moi tous ces mauvais souvenirs. Et me voilà, aujourd'hui, à écrire tout ça. Ca fait deux ans que je suis là et je me débrouille comme je peux pour payer le loyer d'un petit studio minable mais qui me sert de toit. Je joue du piano dans les bars, fais la manche avec mon violon. Je suis toujours sous anti dépresseurs. Sans eux, je perds totalement pieds. Je ne me sers quasiment plus de mes dons, à part quand il m'arrive de croiser un animal. La seule chose qui me relie encore vraiment à mes pouvoirs, c'est ce surnom que je me donne. Un peu comme un nom de scène. Tout ceux que je croise me connaissent sous le nom de "madra". Une sorte de remerciement à mon frère, qui est le seul de ma famille à se soucier encore un peu de moi. Je sais qu'il y a d'autres gens comme moi mais je n'ai pas envie de les rejoindre. Magnéto m'effraie. Je n'ai rien contre les êtres humains. Je peux même comprendre pourquoi on leur fait peur. De ce que je sais des x-men, je les trouve plus raisonnables. Je n'hésiterais pas à utiliser mes pouvoirs si ça peut défendre quelqu'un, humain ou mutant... Je ne me soucie pas vraiment de toutes ces idées en fait. Je voudrais juste qu'on me fiche la paix. Je suis fatiguée. Je me contente de survivre. JoueurPersonne sur l'avatar : Laure Marsac. Age dans la vraie vie : 20 ans. Expérience en RP : Environ cinq ans. Où avez-vous entendu parler de notre forum : Sur un autre forum marvel où vous êtes en partenariat. Double comptes : Non, du moins pas pour l'instant. Votre personnage provient-il des Comics ou des Films X-Men : Absolument pas ! Je certifie avoir lu le règlement et m’engage à en respecter les clauses. Je m'engage à toujours écrire au moins 5 lignes pleines dans chacun de mes messages en Role-Play. Cassie. (  vu par Kurkaru) HJ : j'ai vu qu'un personnage avait le même nom de famille que le mien, j'ai pas fait attention avant tout à l'heure en fait. Je dois changer de nom ou ça fait rien ?
Dernière édition par Madra le Dim 31 Jan 2010 - 14:20, édité 1 fois |
| | | | Kurkaru
Elève X-Men Expérimenté(e) Gamma
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Age : 35
Autre(s) identité(s) : John Heston, le gnome, le farfadet, le nain vert, ce Truc, cette Plaie...
Pouvoirs : Zone N, capable de grimper au paroi présentant des aspérités, Frangin symbiotique, Pictsies.
Age du perso : 18
Date d'inscription : 22/11/2007
| | Sujet: Re: Oliana Walker, \ Dim 31 Jan 2010 - 13:29 | |
| Popom ! Bienvenu parmi nous ! Je suis Kurkaru, l'un des administrateur de ce forum, avec la charmante lisbeth, déesse incarnée (attention, ça ne veut pas ire qu'elle a les ongles incarnés, ein Oo).
*Kurkaru prends la fuite avant que le courroux divin de la déesse de anonymat ne lui tombe dessus...*
Sur ce, je suis vilain, alors je vais torturer ta fiche jusqu'a ce que j'ai plus de question qui me passe par la tête ! En avant OO
Nom : ok
Prénoms : ok
Alias et Surnoms : Madra, c'est en l'honneur de quoi ?
Age + Date de Naissance (JJ/MM/AAAA) : y a un problème d'une année.
Genre : la c'est masculin/féminin qu'on demande ^^
Clan : ok
Pouvoirs (identifiez : passif/défensif/offensif) :
Nom : Walker.
Prénoms : Oliana Sarah Gabrielle.
Alias et Surnoms : Madra pour alias. Le reste, c'est à votre goût.
Age + Date de Naissance (JJ/MM/AAAA) : 21 juillet 1985 – 25 ans.
Genre : Mutante.
Clan : Neutre.
Pouvoirs (identifiez : passif/défensif/offensif) : ça marche jusqu'a quel distance ? Avec absolument tous les animaux (même les insectes et autre arachnides ? )
Niveau de maitrise du pouvoir : ok
Lien entre les 2 pouvoirs : ok
Description physique : ok
Signe(s) particulier(s) : ok
Caractère, tempérament : qu'es ce qu'elle pense de l'idéologie Xavier ? De l'idéologie Magnéto ?
Talents et Compétences particulières : ok
Histoire du personnage : Juste un truc, sa famille est d'origine Irlandaise, ou bien ton perso est il toujours en Irlande ?
Corrige moi ça et ce sera parfait pour moi ^^ Très bonne fiche ^^
Il te faudra juste un second avis et tu sera validée ^^ | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Oliana Walker, \ Dim 31 Jan 2010 - 14:19 | |
| - Citation :
- Alias et Surnoms : Madra, c'est en l'honneur de quoi ?
C'est dit dans l'histoire  Ca veut dire "chien" en gaélique Irlandais, son frère la surnommait comme ça parce qu'elle passait son temps avec eux. Du coup, pour garder quelque chose de lui, elle a gardé ce surnom là.
- Citation :
- Age + Date de Naissance (JJ/MM/AAAA) : y a un problème d'une année.
Oye, vive les maths ^^"
- Citation :
- Genre : la c'est masculin/féminin qu'on demande ^^
Ahah l'habitude des autres forums !
- Citation :
- Pouvoirs (identifiez : passif/défensif/offensif) : ça marche jusqu'a quel distance ? Avec absolument tous les animaux (même les insectes et autre arachnides ? )
Je vais modifier certains trucs car visiblement c'est pas tout passé.
"peu importe le type de l'animal : canin, félin, même insecte, tant qu'il y a un cerveau dont elle peut prendre « possession »."
1/ Il faut que l'animal soit près de la jeune femme. A côté d'elle, devant elle... Ca dépasse pas les trois mètres quoi, il faut vraiment que l'animal soit proche.
2/ Elle peut contrôler l'animal sur une distance de plusieurs mètres, tant qu'elle l'a dans son champs de vision. Disons le triple de ce qu'elle peut faire à la première étape, une dizaine de mètres.
3/pouvoir appeler les animaux dont elle a besoin dans un rayon de cinq kilomètres. Ah là j'ai oublié par contre oui. Tant qu'elle voit ne serait-ce qu'un mouvement de l'animal, elle peut garder le contrôle. Dès qu'il disparaît, le pouvoir s'arrête. Elle peut le rappeler, mais plus le contrôler.
- Citation :
- Caractère, tempérament : qu'est ce qu'elle pense de l'idéologie Xavier ? De l'idéologie Magnéto ?
J'ai rajouté : Je sais qu'il y a d'autres gens comme moi mais je n'ai pas envie de les rejoindre. Magnéto m'effraie. Je n'ai rien contre les êtres humains. Je peux même comprendre pourquoi on leur fait peur. De ce que je sais des x-men, je les trouve plus raisonnables. Je n'hésiterais pas à utiliser mes pouvoirs si ça peut défendre quelqu'un, humain ou mutant... Je ne me soucie pas vraiment de toutes ces idées en fait.
- Citation :
- Histoire du personnage : Juste un truc, sa famille est d'origine Irlandaise, ou bien ton perso est il toujours en Irlande ?
Elle est "juste" d'origine, elle a tout quitté pour aller habiter ailleurs. Je l'ai noté ça aussi (J'ai tout quitté du jour au lendemain sur un coup de tête. Et me voilà, aujourd'hui, à écrire tout ça. Ca fait deux ans que je suis là), j'ai rajouté : J'ai quitté l'Irlande sans raison apparente. Sans doutes pour laisser derrière moi tous ces mauvais souvenirs. |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Oliana Walker, \ Mar 2 Fév 2010 - 11:27 | |
| Pour moi pas de soucis, ta fiche est correcte, bon jeu parmi nous Miss !!!! |
| | | | Kurkaru
Elève X-Men Expérimenté(e) Gamma
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| | Sujet: Re: Oliana Walker, \ Mar 2 Fév 2010 - 11:37 | |
| Fiche validée, Neutre beta ! Bon rp parmi nous ! ^^ N'oublie pas d'aller te recenser sur la liste des avatars , si la liste des pseudo et sur la liste des pouvoirs. S'il s'agit d'un double compte, pense aussi à poster sur la liste des multi comptes. S'il s'agit d'un personnage marvel, n'oublie pas te signaler sur cette liste.Si tu veux qu'un joueur joue quelqu'un que tu as évoqué dans ta fiche, merci de remplir le formulaire que l'on trouve ici. D'avance merci. | |
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| | Sujet: Re: Oliana Walker, \ | |
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| | | | | | Oliana Walker, \ | |
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