petite explication (Pr McCoy)

Diana, était encore énervée des paroles du professeur McCoy, comment pouvait il la juger de la sorte, il ne le savait pas,mais du fait de son héritage, elle était plus à même que lui d'enseigner.

Elle avait trouvé toutes les enveloppes et le livre. il lui restait encore une bonne heure avant l'heure du diner, elle aurait eu finit aussitôt, si elle aurait dit tout de suite, l'histoire du génome. Mais ou en serait l'intérêt

*Bon j'ai ses enveloppe et son fichu bouquin, j'ai trop envie de lui faire manger, franchement me parler comme ça. Certes j'ai pas à me vanter, mais quand même je suis pas une bimbo écervelée *

A force de penser à ça elle ce mise à pleurer. Le stress, la trahison de son père et pour ne rien arranger, la façon dont McCOy la traitait.

*Je comprend pas ce que je lui ai fait, j'ai était polie et respectueuse, pourquoi il me traite comme ça.*

Elle pleurait encore, quand la poignée de la porte, s'abaissa, du revers de la main elle sécha ses larmes, mais ses yeux étaient rouges.

C'était le professeur McCoy, comment savait il qu'elle était là, comment allait il lui parler.

Elle ce leva en signe de respect .

Voila professeur McCoy, j'ai les enveloppes et le livre, je ne les ai pas ouvert, maintenant que dois je faire, vous voulez que je vous parle du gene X.
Mais avant ça je dois vous dire quelque chose.

La respiration de Diana s'accélera.

Tout à l'heure vous aviez dit que je ne pourrais pas retenir le tiers des informations, mais sachez que ma questions n'était pas une questions sans but, j'ai accès au savoir dont je parlais, d'ailleurs, si ça vous intéresse, je peux vous faire lire les manuscrit de davinci sur le corps humain, ou les manuscrits de la mer morte ou encore la bibliothèque de l'atlantide .

Elle n'en pouvait plus et avait préféré le lui dire, pour bien lui prouver qu'elle n'était pas une élève qui n'était là sans aucun but

[Hrp: Dsl c'est court]

Hank était resté dans la salle pendant une bonne heure à corriger des copies. Ses lunettes posées sur le bout de son nez, il plissa les yeux lorsque l'horloge sonna onze heures. Les retirant, il se frotta les yeux et rangea le tout dans un sac qu'il était parti chercher lorsque Diana était partie en trombe de la salle : elle n'avait pas du tout apprécié le ton qu'il avait pris mais il fallait qu'elle s'y habitue. S'il s'évérait qu'il se recroise à nouveau dans des séances d'entrainements, il parlerait sur ce ton là : non pas qu'il lui en voulait personnellement, mais tous ses élèves savaient que pour les mener droit au but, il faisait souvent appel à leur cerveau mais aussi à leurs aptitudes physiques. La plupart prenait toujours très au sérieux ce qu'ils faisaient en petit groupe hors des cours à la demande de certains élèves : il vallait mieux pour eux prendre en compte tout ce qu'il disait. Et qu'il le dise d'une manière plus sévère qu'à l'accoutumer ne changeait rien du tout à leurs relations : ils savaient tous que le biochimiste était intraitable sur leurs entrainements et qu'il les menait tous, ou quasiment tous à la réussite... Mais bon, assez parler de ça... Nous en reparlerons en temps et en heures...

Quittant le fauteuil dans lequel il s'était installé, il se dirigea vers la bibliothèque. Alors qu'il s'approchait, le son de larmes parvint jusqu'à ses oreilles. Que se passait il donc ? Il se trouvait juste en face de la porte de la bibliothèque : cela venait de l'intérieur. Mettant la main sur la poignée, il hésita un instant et abaissa la poignée pour pénétrer dans la pièce. Il y trouva une Diana en pleurs. Restant impassible à la surface, son coeur fit un bon dans son corps. Avait il était aussi dur que ça avec elle ? Non... Pas plus qu'avec les autres et il ne devait pas céder aux impulsions de ses sentiments... Non pas qu'il soit amoureux de la demoiselle mais dés que son regard s'était posé sur elle, une sorte de connexion s'était établie avec elle... Il ne savait si elle avait ressenti la même chose que lui... Mais bon, il n'allait pas s'étendre sur le sujet : peu de personnes prenaient connaisssance de ses états d'âmes.

La demoiselle se leva et débita un grand discours : il l'écouta en silence. Toujours impassible, il posa son sac sur le sol et s'assit sur un rondin de bois qui se trouvait dans le coin : la plupart des endroits de recherches de l'institut avaient des rondins de bois. Il plongea son regard dans celui de son interlocutrice et récupéra les enveloppes. Il ne dit rien pendant un moment et commença : « Diana, que cela clair entre toi et moi : tu ne m'as rien fait mais sache que je parles à tout le monde sur ce ton là lorsque nous sommes en entrainement. Réponds franchement à ma question : pourquoi pleures tu ? » Ses yeux épiaient les moindres mouvements de la jeune fille tout en gardant un point fixe : les yeux de Diana. Son champ de vision lui permettait d'analyser les gestes de sa compagne. Il reprit : « Dis moi, Diana, est ce que c'est trop dur pour toi d'être au dessus du ton de ma voix et des ordres que je profères ? » Non, il ne céderait. Il ne se laisserais pas avoir... Pourtant, il avait l'impression de trahir sa propre chair en étant si dure avec Diana. Pourquoi cet étrange sentiment ?

Chassant ces idées de sa tête, il revint à la réalité et continua : « Dommage que tu n'ais pas su voir plus loin que le bout de ton nez et que tu es sortie avant d'avoir eu la fin de mes explications... Dis-moi, Diana, es tu vraiment prête à finir ta formation à l'institut ou dois je écrire une lettre en plaidant le fait que tu prends tout ce qu'on te propose et les autres de haut comme si tu étais la seule à tout savoir... » Maintenant un doigt devant ses lèvres, il ne la laissa pas le temps de parler : « Non, ne dis rien ! Et écoute plutôt... Je sais que tu as une très grande connaissance, beaucoup plus grande que la mienne ou que n'importe qui ici. Je ne sais pas d'où tu l'as tien mais je ne veux pas le savoir pour le moment. Tout à l'heure, tu as mal interprété mes propos. Tu as beau savoir beaucoup de choses, tu n'as jamais appris en cherchant les réponses par toi même : les informations te sont toujours venues toutes prêtes. Et j'ai eu raison... Tu n'as pas retenu un tiers de ce que je t'expliquais tout à l'heure dans la salle... La réponse et le problème... » Il prit les enveloppes et le livre... « Peu importe de quoi parle le livre, peu importe ce qu'il y a dans ces enveloppes... Dis moi plutôt ce que contenait les autres ? Raconte moi ce que tu as vu... Serais tu capable de me décrire toutes les pièces dans lesquelles tu es passée ? Serais tu me raconter dans les moindres détails... Serais tu capable de me décrire les visages des personnages que tu as croisé ? Dis moi, la colère n'aurait elle pas guider tes pas ? »

La dévisageant, son regard sévère de le quitta pas même si un autre combat se déroulait intérieurement. Reprenant la parole, il lui demanda : « Dis moi, Diana, es tu sur de savoir ou tu vas ? Si ta coupe est déjà pleine de connaissances, que fais tu dans ces lieux ? Nous n'avons plus rien à t'apprendre si tu sais déjà tout... » Pendant un instant, son masque tomba et dans un murmure, il lui dit : « Diana, essaye de comprendre... » Cela dura une fraction de secondes et on aurait pu se demander si cet événement c'était vraiment produit... « Diana, réponds moi ! Que cherches tu si tu sais déjà tout ? » Croisant les bras sur sa poitrine, il attendit une réponse...

(désolé pour cette courte réponse)

Malheureusement pour Didi c'était le professeur, elle ne voulait pas pleurer devant lui, elle tenait à lui même si elle lui avait parlé de façon déplacée.

Pourquoi je pleure,Tu oses me demander ça. Mais c'est à cause de toi.

Diana ne s'adressait pas a Hank, elle prenait Hank pour quelqu'un d'autre.

En réalité, elle prenait hank, pour son propre père, père qui l'as toujours manipulé, la forçant à apprendre jours et nuits, a engloutir, des tas et des tas de secrets, sans lui laisser la joue de vivre une vie normale.
Alors les paroles du Professeur McCoy, l'avaient blessé, elle qui voyait en Hank un modèle de figure paternel et ceci juste pour lui avoir offert sa veste.

Tu dis que je suis une je sais tout , mais c'est à cause de toi, tu ma volait ma vie, je ne faisait que ça d'apprendre, pour toi je n'était rien d'autre qu'un réceptacle, alors ne me dit plus jamais que je suis une je sais tout, moi j'ai jamais décidé de devenir la Gardienne du Savoir la seule chose que je voulais c'était que tu me prennes dans tes bras.

Elle ce jeta sur lui et commença à le frapper aussi fort que c'est poings le lui permettaient.

Pourquoi tu m'as trahis ? Pourquoi tu ne m'aimes pas ? Te as gâché ma vie, je te hais je te hais papa.

Elle s'écroula dans les bras du Professeur Mccoy, elle était en larmes.

Pardon professeur MCcoy pardon, j'ai besoin d'aide, je vous en supplie aidé moi.

C'est alors que le ton de son interlocutrice changea une nouvelle fois et se mit à parler à Hank comme s'il était la cause de tous ses soucis. Ne connaissant pas tout du passé de la jeune fille, il ne dit rien : il l'écoutait en silence et lorsque les mots percutèrent son cerveau, il réalisa à quel point la demoiselle qui était en face de lui avait une place importante à tenir dans le futur. Son avenir était déjà tout tracé, un avenir qu'elle ne semblait pas vouloir accepter. Elle en voulait à quelqu'un qui l'avait obligé à apprendre, à devenir le receptacle de ces connaissances dont elle n'avait jamais voulu. La dernière phrase lui fit comprendre qu'elle n'avait jamais reçu une seule touche d'affection de la part de ses parents durant son apprentissage. Lorsqu'elle se jeta sur lui et commença à le frapper, il ne bougea pas, encaissant les coups sans broncher...

Son père, elle le prenait pour son père : pourtant, niveau physique, il était sur qu'il ne ressemblait pas au paternel de la demoiselle qui lui faisait face. Pourquoi il en était aussi sur ? D'aprés plusieurs calculs et déductions connus de lui seul, il en était arrivé à ce résultat là. Il rattrapa Diana qui s'écroula dans ses bras en larmes. Un peu géné, il ne savait pas trop comment réagir : aucun de ses élèves n'était jamais tombé en larmes dans ses bras. La dernière phrase eut pour effet de le mettre encore plus mal à l'aise et pourtant, il avait connu situation beaucoup plus génante. Son cerveau réfléchissait à toute allure : son instinct pris le dessus et il décida de se laisser guider par ce dernier. Il souleva Diana telle une plume que le vent fait voleter et vint doucement l'allonger sur le canapé : il enleva la veste qu'il portait ce jour là et la déposa sur le corps de la demoiselle. S'asseyant à même le sol, devant Diana mais dos au canapé pour pouvoir s'en servir comme dossier de chaise, il murmura :

« Ne t'excuse pas, Diana ! » Il allait rajouter quelque chose mais il crut bon de s'abstenir : la jeune fille n'avait pas besoin d'un commentaire comme il allait le faire. Le meilleur moment pour lui dire arrivera plus vite qu'il ne le croit. Sa voix résonna de nouveau dans la pièce : « Et si tu me parlais de toi, Diana ? » Posant sa nuque contre le canapé, il sentit la chaleur provenant de la source qu'était son corps se répandre sur le sommet de son crâne. Il fallait qu'il arrive à ce que Diana se confie, si ce n'est pas à lui, à quelqu'un d'autre. Mais il ne pourrait pas l'aider s'il n'avait pas un minimum d'informations entre les mains. Après tout, elle lui avait demandé de l'aide. Mais pourquoi à lui ? Pourquoi l'avoir pris pour son père ? Tant de questions sans aucune réponses pour le moment... Et pourquoi cette sensation étrange qu'il n'arrivait pas à analyser ?

(désolé pour cette courte réponse, je me rattraperais la prochaine fois)