contemple les étoiles (libre)

Nuity ne parvenais pas a dormir, elle a donc décider de s'entrainer, elle avait enmener avec elle des tas d'objets qui ferais affice de cible car elle a du mal a viser avec son pouvoirs alors la plupart du temps elle est obliger d'étaler son pouvoir pour ne pas rater sa cible, elle s'netraina assez longtemps, environ une heure, quand elle a user tous son stock de cibles elle alle jeter le tout a la poubelles, elle alla s'installer sur une chaise auprés de la piscine, elle contempla les étoiles.

La jeune femme pensa a ses parents, elle avait renoncer a les appeler, car ceux-çi ont fini par comprendre que c'était Nuity qui était a l'origine des apels ou personne ne leur repond, sa mére qui avait decroché lui avait dit d'un ton glacial que leur fille est morte et qu'il ne voulais plus qu'elle tente de les appeler, pourtant ici a l'institut beaucoup d'éléves avaient été comme elle abandonnée a cause de leur differences, mais Nuity avait l'impression d'avoir été abandonné une deuxieme fois, Nuity avait été abandoné une fois par ses parents biologique, et maintenant ses parents les seuls qu'elle a toujours connu l'ont abandonné.

La seule chose que Nuity savait de ses vrai parents c'étaient leur nom de famille, Turner, elle pensait que peut etre que ceux çi ne la repousserais pas malgrés sa differences, mais avant de leur annoncer qu'elle est une mutante, elle devra comprendre pourquoi ils l'ont abandonnè, peut etre qu'ils n'avaient pas le choix, peut etre qu'ils ne se sentait pas pret?, tant de question qui la tourmentais, elle étais décider elle va tenter de retrouver ses parents biologique, Nuity entendit des pas se rapprocher, elle se retourna
-bonjour

La jeune femme était surprise de voir quelqu'un debout a cette heure-çi, il étais tout de même deux heures du matin, elle est étais souvent debout a cette heure çi mais elle ne devaient pas être la seule a être la victime de l'insomnie.

Il se réveilla en nage, éttouffant un hurlement. Toutes griffes dehors, les battements de son coeur raisonnaient dans sa tête et la chaleur régnant dans sa chambre l'éttoufait : qui avait touché à la température de son radiateur ? Même la fenêtre ouverte et le chauffage éteint, il arrivait à se réveiller en nage le lendemain matin. Néanmoins, lorsqu'il arrivait à s'endormir, il était rare qu'il se réveille : s'il y avait eu un problème, ses sens l'auraient alertés... Non, il n'y avait aucun problème, juste des cauchemars qui revenaient à chaque fois qu'il s'endormait... Pourquoi ? Il n'en savait trop rien... Alors que les dernières images s'estompaient, la boule de poils bleue s'était complétement réveillé et il lui serait impossible de se rendormir avant vingt quatre bonnes heures... Mais il le savait : s'il quittait son lit, il n'y remmettrait pas les pieds pendant les trois prochains jours au moins car il trouvera toujours une occupation à faire. Il soupira : ici, personne ne viendra le regarder, personne ne viendra lui demander des explications ou des conseils. Ici, il n'a pas besoin de porter un masque, pousser toujours plus loin son cerveau pour trouver des solutions à tel ou tel problème. Ici, dans cette pièce, il n'y avait que lui et... lui même.

Ne tenant plus en place, il se leva et se mit à faire les cent pas dans la pièce. Alors que l'horloge sonnait minuit, il ouvrit doucement la porte de sa chambre et sortit : l'air frais qui circulait dans les couloirs vint le frapper de plein fouet. Son cerveaux avait de nouveau reprit sa discussion. Tout le temps en train de discuter avec lui même, il se taisait seulement lorsqu'Hank s'endormait. Bien sur, même éveillé, il aurait pu le faire taire mais cela n'aura pas servi à grand chose : le X Man se serait vite ennuyé. Ses pensées dérivèrent vers ses mauvais rêves : pourquoi est ce qu'ils l'assaillaient de toutes parts dés qu'il fermait les yeux ? Et pourquoi est ce que c'était toujours les mêmes personnages qui revenaient continuellement lorsque son esprit avait rejoint le pays des songes ? En parler avec quelqu'un ? Une bonne idée mais Le Fauve prenait toujours le temps d'écouter, jamais de se confier. Pourquoi ? Parce qu'il ne savait pas prendre le temps d'en parler...

La fraicheur du sol sur la plante des pieds de la boule de poils bleue apportait une étrange sensation de bien être. Un petit sourire vint se figer sur son visage : marchant en silence, il s'introduit dans la bibliothèque. L'odeur des livres parvint jusqu'à lui : les nouveaux comme les anciens étaient rangés sur d'immenses étagères. Il ne les avais pas tous lu, il y en avait beaucoup trop ! De toute façon, malgré les années passées à l'institut, elle n'aurait pas suffit pour lire tous ces romans, même en lisant jours et nuits. Il en attrapa un qui contait l'histoire d'un mutant ayant vécu au moyen âge et s'installa dans un coin de la pièce, à même le sol. Il ne leva les yeux que lorsque deux heures du matin sonnèrent à l'horloge... Il n'avait pas vu le temps passer... Dommage que l'histoire était si courte, il aurait bien voulu qu'elle tienne jusqu'aux premières lueurs de l'aube... Se levant, il remit le grimoire à sa place et se mit à déambuler dans l'institut pendant quelques minutes : ses pas le menèrent bientôt vers la terrasse ou une jeune fille s'y tenait déjà près de la piscine, installée tranquillement dans une chaise. D'ailleurs, cette dernière se retourna et l'étonnement se peignit sur son visage. Il répondit poliment à son salut après l'avoir identifié :

« Bonsoir, Nuity. Comment vas tu ? »

C'était une des filleules du professeur Xavier, le directeur de cet institut. La demoiselle faisait partie de la squad oméga. En parlant de cela, il allait falloir qu'il prenne le temps d'aller voir Xavier pour parler entrainement et savoir comment ils allaient s'organiser pour les missions du squad. Arrétons nous là, le squad n'est pas à l'ordre du jour. Il demanda :

« Puis je m'installer à tes côtés ? »

Ayant obtenu une réponse de la jeune fille, il vint s'assoir au bord de la piscine et malgré la fraicheur de cette nuit de février, l'eau n'avait pas gelé mais elle était assez froide pour attraper la crève dans les trois prochains jours... Sauf que la température ne génait pas plus que ça le X Man qui, protégé par sa fourrure, pouvait pénétrer dans des zones beaucoup plus basses sans attraper froid. Le silence s'installa entre les deux interlocuteurs, un silence léger que le professeur McCoy ne semblait pas vouloir briser le premier...

Nuity fut étonner de voit arrivé le professeur Mc Coy, ce mutant a une taille impresionnante, la bouboule bleue lui demanda si il pouvait s'assoir a ces cotes la jeune fille hocha la tet en gise d'un oui, il s'assia a même le sol, puis un silence leger s'installa, Nuity regarda le parrain de Bryan et Diana, malgre sa taille immense et sa carrure imposante il n'avait pas l'air méchant, autoritaire surement comme tout les proffeseurs, l'autoriter est une chose que Nuity accepte sans problémes, écouter ses proffeseurs? elle est la pour cela, même si elle ne l'a jamais dit elle aimerais devenir X-men ; mais pour cela il faudra qu'elle travail sur ses pouvoirs.

La jeune femme regardais toujours le fauve.
-Insomnie vous aussi?
Une question un peu denuer de sens mais il est vrai que pas mal de mutants se reveille la nuit, Nuity ne dormais pas beaucoup la nuit voir pas du tout, elle ne dort plus depuis qu'elle est mutante, au debut son corps ne suivait pas le rytme qu'elle lui imposait mais maintenant son corps ainsi que son espris sont habitués a ce manque de sommeil, la jeune femme vient ici toute les nuits, il n'y a que prés de cette piscine qu'elle trouve le calme dont elle a besoin, c'est devenu une habitude.

Elle avait toujours une petite couverture avec elle, elle n'avait pas de fourrure pous la protegée, dommage sa pourrais etre utile, mais sa ne doit pas être facile d'avoir une apparence qui montre a tout point de vu que vous êtes un mutant , ici ce n'est pas un problémes, on a tous nos complexes et nos secrets, mais au yeux des humains qui la plupart nous redoutent ou nous haïssent ce n'est pas facile de passer inaperçu.

Nuity continua a fixer son interlocuteur, le faite que lui ne dorme pas étais une bonne chose, elle pourras apprendre a le connaitre, il fais parti de la squad oméga lui aussi, elle aimerais apprendre a tous les connaitre mais elle ne sait pas comment aborder Clelia,puis Bryan qui l'a prend pour une folle depuis qu'elle a élétrocuter Cyke, elle ne l'avais pas fais exprés bien sur, elle ne connaisait que Diana avec qui le courant étais trés bien passer,c'est sa seule amie pour le moment. elle attendit que Hank lui réponde.

Décidément, personne ne dormait la nuit à l'institut : je ne suis pas sur que cela soit du goût du professeur Xavier que ses élèves se promènent dehors après le couvre feu. Mais aprés tout, qui ne l'a jamais fait. Alors qu'il était encore un jeune parcourant les bâtiments de l'institut, il avait passé maintes soirées avec ses amis, après le couvre feu, dans les couloirs de l'école. Bien qu'ils savaient tous que le directeur surveillait leurs faits et gestes, il leur avait laisser la liberté de choisir entre les heures de sommeil et les parties de cache cache dans l'institut : ils avaient tous bien vite compris qu'il ne fallait pas forcer la dose et que les bonnes choses sont bien mais pas à grande échelle. Remarque, depuis ces années là, il ne dormait plus beaucoup la nuit.

Revenant à la réalité, il gratifia le nouvel arrivant d'un grand sourire et répondit à son salut : « Bonsoir, Nicolas... » Puis, voyant que sa présence impressionnait le jeune garçon, il se leva en éclaboussant un peu tout autour de lui lorsqu'il sortit ses jambes de la piscine. « Si tu nous dérangeais, le silence ne serait pas aussi léger que cela et on aurait entendu depuis longtemps des raclements de gorges génés, tu ne crois pas... » Il répondit alors à la question de Nuity : « On peut dire ça comme ça, je ne dors jamais beaucoup ! Il m'arrive même parfois de ne pas dormir pendant trois jours lorsque des recherches ne me donnent pas le temps de me reposer... » Puis avec un grand sourire : « Mais ne parlons plus de cela, vu que nous sommes tous les trois évéillés, autant faire quelque chose d'utile, vous ne trouvez pas ? »

S'asseyant en tailleur face à Nuity, il invita Nicolas à rejoindre le cercle : « Et si nous parlions plutôt de choses que vous aimez, celles que vous détestez, comment vous vous sentez à l'institut... Bref, si on parlait un peu de vous pour qu'on se connaisse un peu plus, vous en dites quoi ? Qui sait, peut être que ce que nous apprendrons nous permettra de trouver de quoi nous occuper jusqu'à ce que le sommeil nous rattrape, qu'est ce que vous en pensez ? »

Le silence s'abbatit sur le petit groupe : ce silence, une nouvelle fois, il ne le briserait pas. Il attendrait tranquillement qu'on lui réponde, et si ça ne devait jamais se faire, et bien il trouverait le moyen de tourner les évènements autrement... Mais il était sur que ce silence ne durerait pas... Pourquoi ? Mais c'est éléméntaire, mon cher Watson, élémentaire !

(désolé pour cette courte réponse, je ferais mieux la prochaine fois ! ^^)

Avant que Hank puisse lui repondre, un éléve arriva, il avair l'air sympatique, en tout cas a premiére vue, il lui tendit la main pour lui dire bonjour, elle en fit autant.Puis Hank répondit a sa question et s'assia en tailleur en face de la jeune femme,le professeur Mc Coy voulais que l'on apprenne a ce connaitre, Nuity étais pour, elle ne connaissait pas beaucoup de monde a l'institut, il nous proposa de lui parlez de ce que nous aimons, ce que nous détestons et comment nous sentons nous a l'institut.

Nuity fixa Hank et puis regarda Nicolas, cette fois çi elle se demande si elle ne doit rien leur dire, d'habitude quand ça ne va pas la jeune femme garde tout pour elle, la jeune Bennet n'est pas du genre confidente, mais ce soir une note de nostalgie l'a fit hésiter puis elle déçida de ce lançer, aprés tout, chaqu'un a ses problémes.
-Ben... j'aime étre ici, a cette endroit, je m'y rend chaque nuit...,Nuity hésitais mais continua,j'aime la solitude, de toute façon ici a l'institut je ne connais pas grand monde, alors je suis seule trés souvent, cela ne me dérange pas mais malgré que j'aime la solitude j'aime aussi avoir des amis. Pour ce que je déteste , ce sont les araignées, les gens hypocrites et le chou!!!

Nuity souria elle avait prononcer sa derniére prhrase avec humour, elle ne voulais pas que Nicolas et le professeur pense qu'elle est incapable d'intégré l'institut,elle soupira, elle avait fini de repondre, c'étais a Nicolas de nous faire part de sa réponse et de ses impressions et de ses gouts.

(Nicolas ne répondant pas, je me suis permis de répondre comme s'il était là)

Les voix de la nuit résonnaient doucement aux oreilles du fauve qui se balançait au rythme cadencé de la nature : elles étaient toutes là. Le murmure du vent dans les arbres, le chuchotement des gouttes d'eau dans la piscine, le susurrement des rayons blancs de la lune baignant les visiteurs de la nuit d'une lumière dévastatrice, le gazouillement des premiers oiseaux qui revenaient des pays chaud, le gémissement des branches qui ployaient sous l'effort... Il n'en manquait pas une au tableau. Un cadre idéal pour certaines choses, alors que pour d'autres, elles ne seraient que complots et trahisons. Plongeant son regard dans les flots, il ne vit que son propre reflet : le reflet d'un homme félin qui, depuis sa transformation vivait avec un physique qui n'était pas des plus flatteurs. Lorsque la solitude et le désespoir s'emparaient de lui, il repensait à ses années où il était encore humain et où il pouvait se montrer au grand jour sans qu'on le montre du doigt. Mais le passé est loin derrière lui et il ne pouvait pas le refaire. En revanche, le futur ne suit jamais une voix tracée : Hank ne croyait ni au destin ni au hasard. Les voies menant à ta mort sont multiples et c'est à toi d'en inventer de nouvelles chaque jour, et personne ne viendra les tracer à ta place. Une feuille morte ayant résister à la décomposition vint doucement se poser sur l'eau.

Henry s'était levé, attendant la réponse de ses compagnons nocturnes. Il se tenait de nouveau devant la piscine. Inébranlable, il suivait la course de ce morceau de chevelure naturel qui tanguait au rythme du vent. Il n'oubliait pas ses frères mutants mais ces nuits le poussaient parfois loin dans les méandres de sa mémoire, et même s'il n'en laissait rien paraître, il se posait une multitude de questions sur le monde et sur lui même. Parlant peu mais réfléchissant beaucoup, il n'aimait pas mettre à jour ses sentiments, surtout devant des élèves : il avait ses souvenirs, et eux avaient les leurs. Néanmoins, cela ne l'empêchait pas d'être l'oncle fraternel que la quasi totalité des étudiants de cet institut connaissait. Se mettant à genoux, il tendit le bras pour récupérer la feuille : le temps de semblait pas avoir d'emprise sur elle. Bien que desséchée, elle n'était ni craquelé ni détruite partiellement. Elle se tenait là, entière et sure d'elle dans la main du professeur. Notre mère nature peut faire preuve d'une grande douceur comme d'une colère aggressive, mais comme tout ce qui vit sur cette dernière, toute vie est éphémère et ce qui importe, ce n'est pas sa durée, mais sa valeur.

Il sourit doucement. Qu'est ce que le monde pouvait bien pensé de lui ? Beaucoup de choses, très certainement. Mais tant qu'il suivra ses concepts de vie, à quoi bon s'attacher à des choses aussi futiles que le physique ? Aujourd'hui, il avait un travail, un laboratoire, des amis et il aimait ce qu'il faisait. Toutefois, il sentait comme une gène qui revenait souvent ces derniers temps, un petit quelque chose dont il n'arrivait pas encore à mettre le doigt dessus, mais le jour où il y parviendra, il sait que cela fera mal, très mal. Chassant ses pensées négatives, il revint à la réalité en entendant la voix de Nuity se battre contre le silence de la nuit. Les yeux d'un bleu azur plongèrent dans ceux couleur noisette de son interlocutrice. Tout en l'écoutant, il la dévisagea sans que cela se remarque pour autant. Ses longs cheveux noirs et ondulés tombaient en cascades dans son dos, sa peau légèrement bronzée lui donnait tout un charme qui n'était pas pour déplaire à la gente masculine de l'institut. Penchant la tête sur le côté, il lui sourit : un air triste tomba durant quelques secondes sur son visage, une allure qui s'embrassa presque instantanément pour laisser de nouveau place au visage serein que tout le monde connaissait.

« Et bien, nous avons un point en commun, jeune demoiselle. Nous aimons tout deux la solitude. » Il lui fit un clin d'oeil. Le vent vint doucement souffler de nouveau à leurs oreilles et, s'amusant avec la fourrure d'Hank, il semblait vouloir transmettre un message. Fermant les yeux, il sourit en prenant une grande inspiration : il aimait l'air frais de la nuit. « Tu sais, la solitude n'est ni mal ni bien : elle vient à toi lorsque tu en as besoin, et elle repart lorsque tu l'invites à sortir de ton monde. Nous n'avons pas à juger : nous passons tous inévitablement par là, mais tous les êtres vivants ne le savent pas. Ces temps face à ton propre toi sont juste plus ou moins prononcés chez certaines personnes. Ne sois pas trop dur avec toi, Nuity... » La voix du professeur se perdit dans la nuit. Un grondement se fit entendre dans le lointain : l'orage était encore loin, très loin mais il pouvait être imprévisible. Toutefois, Hank n'avait pas envie de bouger. Reprenant sur une note plus joyeuse, il brisa le silence : « Et le choux, c'est bon pour les intestins ! » Et il éclata de rire. Se tournant vers Nicolas, il l'invita d'un signe de tête à prendre la parole. Il l'écouta avec attention. Le ciel gronda une nouvelle fois. Pourquoi pas, après tout. Écoutant avec attention la réponse de son compagnon, il demanda : « Est ce que vous avez peur de la colère des cieux ? Et de ses larmes ? »

Hank lui répondit avec une sagesse qui lui étais digne
« Et bien, nous avons un point en commun, jeune demoiselle. Nous aimons tout deux la solitude. »

Elle n'aurais jamais imaginer que le professeur Mc Coy avais ce point commun avec elle, lui qui fais si joyeux

. « Tu sais, la solitude n'est ni mal ni bien : elle vient à toi lorsque tu en as besoin, et elle repart lorsque tu l'invites à sortir de ton monde. Nous n'avons pas à juger : nous passons tous inévitablement par là, mais tous les êtres vivants ne le savent pas. Ces temps face à ton propre toi sont juste plus ou moins prononcés chez certaines personnes. Ne sois pas trop dur avec toi, Nuity... »

Il avais raison, la solitude n'étais pas toujours un ennemis, il fallais qu'elle aprenne a doser ses moments de solitude

« Et le choux, c'est bon pour les intestins ! »

Elle ne pu s'empecher de rire a cette remarque

« Est ce que vous avez peur de la colère des cieux ? Et de ses larmes ? »
Une question que Nuity n'auras pas de mal a répondre


-Non cela ne me fais pas peur, je ne pense pas que leur colére sois dangeureuse et la pluie ne nous tue pas, au pire on attrape un bon rume!

[HRP Désolé du retard, j'ai eu quelques soucis de connexion. bonne initiative Hank]

Nicolas était un peu dnas les nuages, il mangeait tout en réfléchissant à ce qu'il pourrait bien répondre à la question du professeur. Contrairement à ce qu'il pensait, celui ci n'avait rien dit sur le fait qu'il soit dehors à cette heure ci. Nicolas observait la jeune femme répondre sincèrement aux questions posées par le Fauve tout en rougissant. Lui n'aimait pas parler de ce qui l'intimidait et le dérangeait. Mais cette nuit il ferait un effort pour ne pas vexer le professeur.

"moi j'aime cuisiner, j'aime faire du sport avec des amis, j'aime me faire de nouveaux amis. Mais je déteste être un mutant. Mes pouvoirs sont trop stupides pour que j'en soit fier. Et en plus ils ne servent à rien."

dit il sincérement, mais le temps qu'il réponde, les deux autres étaient déjà passés à un autre sujet.

"Je ne suis pas d'accord avec vous proffesseur, la solitude c'est une solution de facilité qui consiste à se replier sur soit même. Il vaut mieux être accompagné pour mieux se définir."

Il ne savait pas si il avait bien retenu toute la leçon de philosophie traitant du sujet, mais il était à peu prés sur de ces convictions. Puis voyant que le professeur s'amusait de la blague de Nuity, il dit d'un ton sérieux.

"Le chou rouge est admirable en salade.

Et comme pour démontrer ses dires il entama un sandwich

Lorsque Nicolas répondit à sa question, il resta impassible, gardant la même humeur que lorsque la conversation avait commencé : une humeur joyeuse et légère. Intérieurement, ce n'était pas le cas : en effet, il était attristé que de nombreux mutants n'acceptent pas leurs conditions mutantes. Il fut encore plus désolé quand le jeune homme qui lui faisait face affirma que son pouvoir était inutile. Du point de vue du biochimiste, tous les pouvoirs étaient utiles. Toutefois, leur utilité était plus ou moins difficile à trouver. Néanmoins, à bien y réfléchir, l'estomac de la taille d'une armoire de son élève était pratique, même très pratique pour faire circuler un bon nombre de choses. Si on approfondissait encore plus, il serait même possible que Nicolas serait capable de régurgiter en un seul morceau ce qu'il a avalé et peut être contrôler sa digestion. Le deuxième point étant moins sur que le premier. Toutefois, il fallait se rendre à l'évidence : pour mettre en place l'idée du professeur McCoy, il aurait fallu que le pouvoir de Nicolas évolue et Hank n'avait aucune idée de comment le faire évoluer, ni si son évolution sera celle souhaitée. Il garda ses réflexions pour lui : il en parlera au moment voulu au jeune homme. Il lui répondit simplement d'un ton neutre :

« Tout pouvoir est unique et chacun à son utilité. Ne me réponds pas : « Non, le mien est inutile. » Ne trouve pas des arguments du style : « Vous croyez qu'un estomac de la taille d'une armoire qui peut digérer la matière est utile. C'est un pouvoir bidon qui ne sert strictement à rien. » Ne dis rien, ne fait aucun commentaire : si je devais t'apporter les réponses à toutes tes questions sur un plateau, même le plus basique des plateaux, cela n'aurait aucun intérêt pour toi... ni pour moi et tes compagnons. Si tu désires approfondir tes recherches, ou si tu as besoin de pistes pour chercher à comprendre le comment du pourquoi de ton pouvoir, tu sais ou me trouver. Mais ne vient pas me faire perdre mon temps si tu ne veux pas trouver les raisons de ton pouvoir et continuer à vivre ainsi à te morfondre et à te répéter que tu est inutile. C'est un choix personnel, Nicolas, et personne ne viendra les poser à ta place. »

Ce garçon était assez vif d'esprit. Il n'avait pas tort en affirmant ce qu'il venait de dire, mais il n'avait pas totalement raison non plus. Hank admettait que son interlocuteur avait de bonnes bases et il respectait ces convictions. Tout comme lui, il admettait haut et fort ce en quoi il croyait. Il réfléchit quelques instants aux paroles et reprit toujours d'un ton neutre :

« Dis moi, Nicolas, si la solitude est une solution de facilité pour se replier sur soi même, il ne faudrait jamais être seul dans ce cas. Si la solitude nous permet de nous recentrer sur soi même, c'est pour une raison bien précise. Imagine si tu vivais tout le temps avec des personnes, si tu n'avais aucun moment de solitude, serais tu capable de faire le point sur ta vie, sur ce que les autres t'ont apporté, sur les choix que tu devrais poser ? Le monde a toujours été pour t'aiguiller et te prodiguer des conseils, pas pour réfléchir à ta place. Dans ton raisonnement, j'ai l'impression que si tu aimes la solitude, tu es forcément un exclu de la société. Être accompagné pour se définir, c'est bien, même très bien, mais être tout le temps accompagné fait de toi un être vivant qui ne réfléchit que par les autres. Qu'en penses tu ? »

La dernière remarque de Nicolas le fit sourire : il garda le silence, écoutant alors la réponse de Nuity. Une fois de plus, il n'était pas tout à fait d'accord avec son élève. Tout comme la demoiselle, il aimait les temps orageux : la pluie, les éclairs et les grondements l'apaisaient et souvent, lorsque ces derniers se déclaraient en plein milieu de la nuit, il se levait pour aller s'assoir sur l'un des rondins de bois qui se trouvait devant la baie vitrée de la salle de détente. Ses pensées voguaient alors vers d'autres rivages dont vous ne connaîtrez jamais les paysages. Quand sa voie perça le silence qui s'était de nouveau installé, se fut pour raconter une histoire :

« Il y a fort longtemps, bien avant que l'institut Xavier soit construit en ces lieux, bien avant que la technologie émerge dans notre monde, vivait en ces lieux une communauté de mutants. Ils avaient élu domicile au bord du lac qui n'était alors qu'une grande étendue de verdure. Cette communauté vivait paisiblement retirée du monde, vivant de ce qu'elle cultivait, chassait et pêchait. Dans ce village, chacun avait une tâche bien précise à accomplir chaque jour : préparer le repas, chasser, faire la vaisselle, s'occuper des enfants en bas âge, transmettre les connaissances, bref... Chaque jour, le grand chef répartissait les tâches à l'aube et recevait chaque habitant une fois qu'il avait effectué ce qu'il avait à faire pour discuter de la journée et de ses besoins. Le grand chef était un homme bon et il était respecté par ses semblables. Le grand chef avait une fille qui aimait le fils du boulanger : un jeune homme robuste et charmant, apprécié pour sa gentillesse et sa serviabilité. La demoiselle, quand à elle, était une beauté dont la lune elle même aurait du être jalouse, appréciée aussi pour sa gentillesse et sa serviabilité.

Ce village n'avait jamais eu de contact avec les hommes des villes. Lorsque les mutants des villes débarquèrent sur les terres pour enrôler de forces les plus robustes d'entre eux dans une guerre qui n'était pas la leur, le grand chef mourut pour avoir voulu protéger son prochain. Lia, sa fille, prit la relève et dirigea le village. Tao, le fils du boulanger fut emmener mais, avant de quitter sa douce promise, il lui murmura :

« Attends moi. Chaque matin où tu te lèveras, dirige toi vers le sentier. Lorsque le soleil, maître de la lumière sera une boule de feu dans le ciel et que le sentier restera vide, tu iras chercher une poignée de la douce terre de la prairie et vient la déposer sur le sentier. Le jour où je reviendrais, nous pourrons contempler l'oeuvre qui a lié deux amants qui ont attendu toute une vie pour se retrouver. Que le ciel m'en soit témoin, chaque matin jusqu'à mon retour, le soleil se lèvera et lorsque la pluie tombera sur ces terres c'est que j'aurais failli. »

Lia, chaque matin se levait dans l'espérance de voir revenir son bien aimé. Les jours, les semaines, les mois et les années passèrent mais Tao n'apparaissait jamais sur le sentier. Comme l'avait prophétisé le fils du boulanger, le soleil se leva chaque matin. La prairie devint rapidement tel le cratère d'un volcan. Les femmes qui attendaient le retour de leurs maris et qui avaient eu vent de l'action symbolique de Lia, se joignirent à elle au levée de l'astre jaune. Hors, un jour, lorsque Lia se leva pour aller chercher sa poignée de terre, un grondement se fit entendre dans le lointain : les cieux étaient en colère. Le moment était venu pour elle de rejoindre son bien aimé : elle se dirigea vers le trou qui avait la taille du lac que nous connaissons actuellement et pris dans ses mains la terre que ses ancêtres foulaient et que ses descendants fouleront. Elle s'assit, les mains en coupe, accueillant la terre et des larmes de joie se mirent doucement à couler sur ses joues. La pluie se mit alors à tomber. Ce jour là, on raconte que les villageois qui s'étaient levés virent une grande lumière enveloppé le corps de Lia avant que les eaux du ciel recouvrent son corps et viennent habiter les terres que nous connaissons actuellement.

La légende veut que les nuits de pluie, lorsqu'une famille séparée désespère, un doux chant s'élève du lac et vient bercer les membres attristés. On raconte aussi que les voix qui chantent sont celles de nos ancêtres et plus particulièrement celles des amants et de leurs familles. Tu vois, Nuity, la pluie peut tuer. Même si dans ce conte, la pluie tombe pour lier à tout jamais une famille, et surtout deux amants, la pluie est capable de tuer. Prends par exemple les violentes tempêtes qui font rage dans certaines provinces : la pluie détruit tout sur son passage, causant parfois la mort d'être vivant. Même si elle est souvent apaisante et que la plupart des personnages adorent écouter son chant, elle peut aussi être une meurtrière. »

La gorge un peu sèche, il se leva et partit pour revenir quelques instants avec un plateau chargé de trois verres à cocktails et différents jus de fruits. Il sourit et leur proposa de leur faire gouter différents cocktails (non alcoolisés bien sur !) jusqu'à ce que la pluie les pousse à rentrer à l'intérieur.

Hank n’étais pas d’accord avec Nicolas, pour lui tout les dons que l’ont peut posséder est utile même si il parait stupide, Nuity étais d’accord avec le professeur, elle ne pouvait pas dire que les siens n’étais pas utiles, car il l’était mais pour elle un pouvoir est utile si on sait s’en servir. Hank répondit également a la réponse de l’élève concernant la solitude, en écouta Hank elle s’aperçut que tout le monde avais besoin de solitude, et que celle-ci n’étais pas inutile, elle pouvait nous aider à nous recentrer, la jeune femme ne voyais plus du tout la solitude comme un fardeau, plutôt comme une amie et de toute façon c’étais la seule qu’elle avait. Nuity écouta attentivement le l’histoire que Hank leur racontais, c’étais émouvant, une histoire triste et romantique à la fois, la jeune femme se demandais ou le professeur avais bien pu entendre une légende aussi belle. La jeune femme essayais de visualiser la scène des années auparavant, elle n’y parvenait pas car les mots sont surement plus beau que les images que l’ont pourrais s’imaginer.

Bien sur la jeune femme savais que la pluie pouvais tuer a forte dose, mais pas une pluie habituelle, elle acquiesça de la tête en guise de réponse ne savant pas trop ce qu’elle pouvait répondre a cela, Hank se leva, la jeune femme pensa que le sommeil venais de le gagner, mais il revint avec des cocktails, Nuity en pris un en commença à le siroter.

-D’où te viens cette histoire Hank ? Sa veut dire que les mutants ont existé depuis toujours ?

La jeune femme se posait des questions sur le pourquoi du comment du premier mutant sur terre.

[désolée pour le court post]

Regardant la pluie s'abattre sur les carreaux de la baie vitrée de la salle de détente, Hank s'était allongé sur un des canapés renforcés de barres d'adamentium. Et oui, ils étaient plusieurs à l'institut Xavier a ne pas pouvoir utiliser les objets dits « normaux » car trop fragiles pour leur force, leur poids et leur taille. De là où il se tenait, il apercevait la surface de la piscine qui tanguait au rythme du vent et des larmes du ciel. Un petit sourire apparut sur son visage : pour une fois qu'il était détendu, il n'allait pas blâmer le ciel de déverser sa colère sur la terre, bien au contraire !

La voix de Nuity transperça le silence de la nuit pour poser deux questions, deux toutes petites questions qui réveillèrent toutefois les connaissances du professeur McCoy ! Pour une fois qu'elles se tenaient tranquilles et qu'il avait pu penser à autre chose que ses cours ou son savoir ! Il retint un soupir et ferma les yeux dans l'obscurité de la pièce : il n'avait pas trouvé utile d'allumer la lumière ! La pénombre lui convenait très bien et il espérait que cela serait de même pour ses compagnons.

Avant qu'il ne puisse répondre, se fut Nicolas qui prit la parole. Décidément, ils en avaient des questions et des commentaires à faire à cette heure de la nuit. Après tout, dans sa jeunesse, il n'avait pas été très différent d'eux : il se rappelait que le professeur Xavier avait du même élever la voix à plusieurs reprises pour le forcer à dormir quelques heures. Déjà à cette époque, il avait pris la mauvaise idée de passer des nuits blanches à chercher le comment du pourquoi. Remarque, aujourd'hui, il n'était pas très différent : il avait juste choisi de passer plus de temps à lire et écrire plutôt qu'à étudier durant ses déambulations nocturnes.

« Les légendes, les contes ou les histoires, peu importe d'où ils viennent, Nuity ! Ce qui compte, ce n'est pas leur provenance mais leur impact sur le monde. Les plus connues sont souvent celles qui font le plus réfléchir mais la plupart des personnages les lisant ont oublié comment trouver les messages cachés dans les textes. Le mythe que je viens de raconter ne s'est jamais produit. Et pourquoi vous la racontez ? Vous apportez la réponse sur un plateau d'argent ne serait pas la meilleur solution : je vous retourne donc la question à tous les deux ! »

Réfléchir. C'est une des notions principales qu'Hank aimait développer dans ces cours ou même dans ses entrainements. Faire prendre conscience aux jeunes qu'ils ont un cerveau et que tout ne peut pas être mathématiquement calculable. Les règles du jeu sont les mêmes pour tout le monde, mais les moyens pour atteindre le même but sont différents pour tout le monde. Il n'y a pas de bons ou de mauvais moyens pour parvenir à ses fins : il n'a pas à juger leur qualité, si l'être est en parfait accord avec sa conscience, il ne voit pas ou est le problème d'utiliser les moyens voulus.

Néanmoins, là encore, c'était une question, plutôt un débat très pointu. Encore une fois, l'esprit du fauve se mit à dériver : il aurait pu rester des heures comme cela, à philosopher sur les règles du jeu, les moyens et le but. Mais ce n'était pas d'actualité pour le moment.

Les mutants et leur passé. Il réfléchit quelques secondes et, avec des mots choisis, il répondit d'un ton calme et posé :

« Qu'entends tu par « toujours » ? Pour t'expliquer simplement, la première et la plus ancienne mutante que nous connaissons actuellement est Séléné. Elle serait née à l'époque des hommes des cavernes. Nous ne connaissons pas son âge exacte mais son immortalité lui a permis de traverser les époques et d'être aussi jeune et belle qu'au départ. Aujourd'hui, nous pouvons affirmer que son immortalité est due à l'énergie vitale qu'elle absorbe chez ses victimes.

Pyrokinésiste, télékinésiste, dotés de réflexes et d'une prouesse physique remarquable, elle est l'une des plus puissantes mutantes connues. Récemment, elle a acquis un nouveau pouvoir dont je ne pourrais pas vous parler cette nuit... Je n'ai pas assez d'informations pour affirmer avec certitude les informations concernant sa dernière acquisition. »

Son regard se posa alors sur Nicolas : son corps se découpait dans l'ombre. Il lui fit cette étrange réponse :

« Nicolas, tous les pouvoirs sont utiles, toi seul pourra mettre ton pouvoir au service des autres. Tu connais ma position sur la question. Si tu choisis que ton pouvoir sera utile, qu'est ce que tu attends pour prouver au monde l'efficacité et l'utilité de ton pouvoir ? Si tu penses le contraire, reste donc à ce stade, personne ne viendra te pousser à aller toujours plus loin si tu n'en as aucune envie. Ne te base pas sur ce que tu voies ou sur ce que tu entends, prends juste confiance en toi et avance. Ne te laisse pas décourager car tu es capable de beaucoup.

Tout le monde n'ait pas fait pour vivre avec la solitude. Il faut pourtant avouer que même un groupe, tu peux être seul. La morosité ? Tout dépend ce que tu mets derrière ce mot et de ce que tu veux mettre derrière ce mot ! C'est à toi de choisir. Tu vois, Nicolas, il y a une multitude de chemins qui mènent à plusieurs possibilités, il n'y a que toi qui peut répondre à tes attentes et à tes envies ! »

Haussant un sourcil, sa vision nocturne lui indiqua que quelque chose tracassait le jeune homme. Sa réponse était elle à l'origine de ce tracassement ou bien avait il une question qui le turlupinait ? Il opta pour la deuxième option après avoir mis en relation ce que ses yeux avaient enregistré.

« Pose la question que tu as sur le coeur, Nicolas sinon, tu pourras jamais connaître la réponse ! »