De l'importance d'un souffre-douleur (PV Orion) [TERMINÉ]

Milieu d'après-midi, à la confrérie

Persönlicher Brief

Depuis près de deux heures je m'étais allongée sur mon lit, tentant de faire le vide dans ma tête, mais j'avais y mettre toute la meilleure volonté possible, je n'y parvenais pas le moins du monde. J'avais donc essayé de lire un peu dans ma propre langue, à savoir Der Untertan de Heinrich MANN, mais à peine avais-je lu cinq minutes que je balançai violemment le livre à l'autre bout de la pièce, criant que ça ne me servirait à rien, ce n'était même pas de la même époque et que l'histoire n'avait rien à voir avec moi ! Finalement je décidai de tenter de dormir un peu, bien que ce ne fut que le début d'après-midi, mais après m'être retournée au moins un million de fois, je finis par abandonner cette idée, et je ne trouvai rien d'autre pour me divertir et occuper mon esprit, même en arpentant les couloirs de la confrérie et je n'avais encore moins l'envie de faire un tour à l'extérieur, cela risquait de m'énerver de plus belle. La dernière fois que nous étions sorties à trois, cela n'avait au final fait que me lancer de plus belle, mais aussi me faire retomber aussi sec par la suite.
Mais à ce propos, quelle pouvait donc être la ou les sources de ma mauvaise humeur dévastatrice ? La frustration, la perte de confiance ne soi, l'impression de ne jamais avancer, la perte au fur et à mesure de ses idéaux, tous ces éléments parmi tant d'autres ne faisaient que de s'accroître, tous provoqués par un sentiment de solitude exacerbée que je ne faisais que nourrir en fin de compte, car cela faisait déjà un petit moment que j'étais dans cette ville, et malgré le nombre ahurissant de femmes, je restais en tout et pour tout toujours seule. Non pas que je demandais à avoir de petite amie ou de petit ami, ce détail à lui seul ne rentrait pas en ligne de compte, bien que peut-être il ait pu également apporter son grain de sel, mais c'était surtout le fait que je sois seule dans mes projets hautement personnels qui commençait sérieusement à me peser sur l'esprit. Je voulais dès à présent commencer à purifier ce monde, mais je n'avais encore personne pour m'aider dans cette tâche, et une personne seule ne peut pas parvenir à cette fin, car beaucoup trop d'éléments extérieurs allaient contre moi, même sans le savoir…

Finalement je sortis du lit, étant donné qu'il me pouvait même être assez confortable pour me permettre de m'y sentir bien, j'attrapai mes affaires et arpentai ensuite les couloirs de la confrérie à l'affût d'une distraction quelconque, pourvu qu'elle soit suffisamment distrayante, ce qui était son rôle certes, mais il y en avait tant que les gens partageaient et que je ne trouvais pas le moins du monde amusant, pas même deux secondes. Mais tous ces couloirs étaient bruyants et tapissés par des ramassis d'imbéciles toujours prêts à siffler dès lors qu'une femme passait devant eux, d'ailleurs ils ne me ratèrent pas. J'avançai alors vers ce groupe de deux, la connerie humaine commençait certes à un mais pour beaucoup il faut être au minimum deux pour feinter la puissance. Je les regardai fermement, sans cligner des yeux, ou peut-être deux fois seulement, et leur affirmai : « Vous avez soixante secondes pour me convaincre ou me persuader que vous serez à la hauteur. » À cela ils firent ce que bon nombre de déchets humains font, à savoir se moquer de mon accent allemand, mais lorsqu'ils commencèrent à vanter leurs mérites, ou leur tableau de chasse comme ils aimaient l'appeler, les effets du gaz commencèrent à apparaître, mais finalement, je les laissai en vie, ils avaient juste frôlé l'asphyxie. Je ne voulais pas risquer d'avoir des ennuis avec mes supérieurs.
Au terme de mes déambulations, je m'enfermais dans une salle vide, assez bien insonorisée, ce qui fait que je n'entendais presque plus les bruits alentours, mais pour être certaine de ne plus rien entendre, j'entrepris d'écouter de la musique, et c'est à grands coups d'Equilibrium que j'entrepris de passer le temps. Et force était de constater que cela fonctionnait, malgré les douleurs qui frappaient mes tympans continuellement. Mais comme pour tout le reste, je finis tout de même par en avoir plus qu'assez, et puis c'était loin d'être de la musique reposante, au contraire, cela me permettait d'entretenir ma mauvaise humeur, et paradoxalement c'était un état qui me convenait parfaitement. Comme quoi la psychologie humaine n'avait rien de bien simple à examiner. Ceci dit, ayant finalement repris un peu de confiance en moi, pour une raison qui m'échappe d'ailleurs, je rangeai toutes mes affaires dans mon sac et repartis, en ouvrant violemment la porte qui finit d'ailleurs par rentrer dans une personne, que je n'allais tout de même pas louper, surtout en considérant mon humeur et en réalisant le sexe de cette personne : « Oh je suis désolée, j'espère que la porte n'a pas été trop douce avec toi ! Je m'en voudrais tellement qu'elle ne t'ait pas fait mal ! La prochaine fois, je te promets de pas te rater. » Eh voilà, il fallait que je passe mes nerfs et il semblait bien que j'avais trouvé une cible, il ne restait plus qu'à savoir qui des deux allaient en avoir assez le premier.

Invité

Orion avais passé sa journée a la salle d'entrainement développant un peu sa masse musculaire et ses pouvoirs, suite a ce petit entrainement il était rentré dans sa chambre et avais prit une bonne douche. Puis fait une légere sieste. Il avais décider de finir de visiter la confrérie. Il passa dans un des grands couloirs des battiment des mutants. Et avais rencontré deux mutants en train de tousser, surement qu'un d'eux avait mal maitriser ces pouvoirs. Orion coupa sa respiration jusqu'a une certaine distance avant de la reprendre quelques metres plus loin. Il déhambulait dans les couloirs a une vitesse assez restrinte. Puis plongez dans ces reves, il n'appercut pas la porte s'ouvrir. Et ce la mangea en plein nez. Il sentit du sang couler sur ses levres. Il était tomber par terre sous le choc. Il observa la jeune fille qui semblait assez énervé, qui lui dit une phrase assez méchante. Orion ce releva assez péniblement et éssuya le sang qu'il avait sur la bouche. Avant de faire un grand sourire a la jeune fille.

"J'avoue que tu n'a pas fait énormément fort. Enfin assez pour me faire saignez, mais bon la douleurs est supportable tu sais... "

Orion sourit. Il ne craignait pas cette fille, malgrer les pouvoirs quel pouvais avoir. Il pourrait surement la vaincre! Tout de même le geste l'avais un peu agacer. Il tendit la mains vers la poignet et envoya une décharge éléctrique a travers celle ci . La jeune fille a la beauté extrahordinaire ce prit un léger courant éléctrique. Et Orion sourit de plus belle. Il s'approcha ensuite et concentra l'énergie dans sa mains, des petites étincelles bleuté, pure concentré d'énergie apparurent, sautant sur sa peau pale.

"Mais ... Moi je suis capable de te faire tres mal !" Un petit sourire sadique ce désinna sur le visage d'ange du jeune homme.

Quel spectacle pénible que de regarder cet homme s'effondrer au sol comme une loque à la suite du coup qu'il venait de prendre au visage. Autant j'aurais peut-être pu accepter qu'il se tienne le nez à cause du choc, mais de là à tomber par terre, c'était pire encore que pitoyable. Je me souviens avoir pris les boucliers infranchissables cette mutante de l'institut sur le pont qui m'avait totalement projetée sur plusieurs mètres et pourtant je n'avais pas gémi comme une attardée, bien que mon bras se soit brisé en même temps, et que la douleur fut intense et dut mettre beaucoup de temps avant de finir enfin par se solder par la convalescence intégrale. Et lui était au tapis après un choc frontal lui ayant apparemment brisé le nez en observant le liquide rouge qui descendait sur son visage.
Mais le plus insupportable était son insolence lorsqu'il se releva, l'attitude démontrant que ça le faisait saigner certes mais que après tout ce n'était rien, et bien plus exécrable encore était le sourire qu'il affichait au coin des lèvres, prenant mon geste pour une simple plaisanterie ou je ne savais pas trop quoi. Et pour agrémenter le tout, il avait fallu qu'il sorte une phrase où il affichait sa propre supériorité, que je tins pour personne et à l'encontre des femmes en général, car malgré la violence du coup que j'avais mis dans la porte, qu'il me dise que j'avais pas frappé fort, revenait à souligner mon impuissance féminine, et pour cette seule raison, il allait savoir ce qu'il en coûtait de se frotter ainsi à celles qui bien qu'elles n'aient pas une très grande force physique peuvent toujours parvenir à mettre à mal les éléments perturbateurs du mauvais sexe.

Quand la porte finit par me revenir, j'attrapai la poignée pour refermer la porte derrière moi, bien que je la tenais fermement car de sa remarque puérile et sexiste ne subsistait qu'une colère en moi, à la frontière même de la rage, mais je compris très vite mon erreur lorsque je le vis tendre le bras et la main vers ma main, ou tout juste à côté, et quelques instants après ma main fut parcourue par une force insupportable si bien que je lâchai la poignée de la porte pour serrer le point en secouant la main. L'électricité qui venait de passer l'avait engourdie, grand mal me fasse. Cela s'ajoutait d'autant plus à la liste de ce que je devais lui rendre, en plus de se foutre de moi et de mon statut de femme. Du pied alors, je poussai violemment la porte pour la refermer, en serrant et desserrant le poignet pour faire partir la douleur et assouplir mes doigts presque spasmodiques.
Et par-dessus le tout il s'était rapproché de moi pour me menacer autant physiquement que verbalement, comme un véritable macho sans aucun respect pour le beau sexe qu'il était. Quel idiot, je pouvais très bien rester en face de lui sans bouger tout en demeurant mortelle et en le tuant à petit feu. D'ailleurs, sous l'effet de la colère, je le fis quelque peu, et très vite il allait tousser un peu, mais je me ressaisis, il ne fallait pas qu'il sache tout de suite de quoi j'étais capable, cela il l'apprendrait à ses dépends. Pour l'heure, si je voulais éviter à tout prix de me montrer trop intempestive, même si de toute manière il le serait toujours plus que moi, cela se sentait rien qu'à la première impression, je devais jouer la carte de celle qui ne se laisse pas impressionner ou intimider par un agresseur qui faisait pourtant partie du même clan que soi, et je répondis sèchement : « Oh et tu comptes faire quoi, m'envoyer ta petite bouboule ? Et tu voudrais que je t'implore de me laisser en vie ? Tu me crois vraiment aussi insignifiante que ça ? » Et par pitié ou je ne sais quoi, je frappai de la paume de ma main contre sa mâchoire, et quant à savoir pourquoi je n'avais pas frapper sur le nez encore une fois, moi-même ne saurais affirmer pourquoi, c'était une pulsion momentanée, rien d'autre à expliquer.

Invité

Orion observais la jeune fille lorsque sa tête ce mit a tourner un petit peu et Orion ce sentit obligée de tousser. Il toussa quelques LOOOONNGUUUEE MINUTE (pour scott hein') histoire de faire sortir ce qui lui causait cette toux immonde et il sourit.

*Et bien sur sa n'arrive qu'a mois d'être malade quand je rencontre une jolie fille de caractère!*

Orion ce prit alors une violence claque et il sourit de plus belle. Il n'avais pas eut spécialement mal mais ce geste l'amusait.

"Tes dégâts décroit... Que va tu me faire maintenant?! Tu va me tirer la langue et partir en courant ?!"

Orion repensait a Letty, la mutante qu'il avais rencontré. C'était tout a fait l'opposer malgré qu'il se sois prit une claque par celle ci aussi. Mais cette fois ci c'était une claque mental, il était tomber fou d'amour pour cette magnifique fille au pouvoirs exceptionnelle. Malheureusement pour lui celle ci ce fichait de lui totalement, malgré leurs baisers électrique. Orion fit un pas vers la jeune fille.

"Bouboule?!"

Orion matérialisa un éclair qui malgré la présence du soleil, projeta une lumière bleuté dans la pièce. Orion n'avais jamais concentrer autant d'énergie dans un bâton de foudre. Son éclair avais la forme des éclairs de Zeus le roi du panthéon grecque. De légéres étincelles éléctrique dansais sur la surface solide de l'éclair. Orion sourit, malgrer les picotements qui engourdissait sa main a cause du voltage de l'éclair. Il ne craignait pourtant pas l'éléctricité. Mais cette éclair la, si quelqu'un avais le malheur de le toucher il tomberait en cendre du moins ce n'était qu'une suposition d'Orion. il ne voulait pas le lancer mais il voulait prouver a la jeune fille qu'il était le meilleurs des deux.

"Tu connais le coup de Foudre?!"

Son insolence commençait sérieusement à transcender les limites naturelles de la patience humaine, et la mienne pouvait être relativement grande mais dans une telle occasion la jauge montait tellement rapidement qu'on eût pu croire que j'étais toujours impatiente. Même ma tentative pour tenter de lui décaler la mâchoire avait été un échec qui m'avait valu un sourire à la limite du mépris ainsi qu'une remarque acerbe qui ne manqua pas de me faire céder. Gueule d'amour ou déchet de la nature, ce type n'aurai jamais plus aucune attention particulièrement plus élevée que celle que je porte aux rats ou aux porcs, sauf que les porcs avaient bon goût, lui j'étais sûre que non.
Toutefois, il n'avait pas eu l'air de comprendre exactement d'où lui était venu cette toux incontrôlable, ou bien s'il l'avait deviné il n'en montrai rien, mais je pensai plutôt qu'il n'avait pas l'intelligence assez développée pour réaliser que j'en étais l'auteure. Fort bien, lorsqu'il inhalerait de nouveau mon précieux monoxyde de carbone, il serait déjà en piteux état car il aurait bien du mal à se concentrer lorsque l'air viendra à lui manquer. Mais cela ne sera pas mon problème, je serais impliquée certes, mais cela restait là tout simplement, ce n'allait pas être moi qui allait souffrir, bien au contraire je n'allais faire que contempler la magnificence de mon pouvoir à réduire à néant une âme inutile.
Mais lorsqu'il fit remarquer que ma force physique occasionnait moins de dégâts, c'en était trop, et s'il voulait avoir mal, lors j'allais lui en donner de la souffrance. Puis une source luminescente et électrique sembla sortir de sa main, créant des arcs grésillant dont un contact physique risquerait de me faire passer pour de la nourriture passée au barbecue. Je tentai au mieux de faire semblant de me calmer, imitant la pauvre femme faible qui se soumet à la supériorité masculine, erk cela m'exècre rien que de l'écrire, et d'une main fort douce, j'écartai tranquillement la source du danger, tandis que l'autre je la posai sur son épaule, et dans la plus grande surprise causée par un sourire forcé, je lui envoyai mon genou directement dans la seule chose qui faisait de lui un homme, histoire de le calmer.

« Le coup de foudre ? Je préfère tester ça avec des lignes à haute tension, au moins ils ne me font pas pitié avec des tronches d'humanoïdes ratés. Bon pendant que tu es par terre et que tu vas pouvoir en profiter pour lécher le sol, et vu que tu y as mis tes sales pattes alors va falloir nettoyer ça, tu vas toujours m'envoyer cet éclair dans le ventre ? Tu raterais ta seule chance de me revoir. »

Foutaises ! Je n'avais aucunement l'intention de le revoir un jour dans ma vie, et s'il n'était pas de la confrérie, j'aurais déjà essayé de le tuer à maintes reprises, mais dans le cas présent je risquai d'avoir les supérieurs sur le dos, ce n'était pas mon intention, surtout vis-à-vis de mes projets, je ne voulais en aucun cas être persécutée ni que mes faits et gestes soient observés en continu. Tout devait demeurer dans l'ombre pour le bien futur du monde. Cependant, j'osais espérer qu'il se laisserait bêtement berner par mes tentatives, même si elles étaient limitées dans leur envergure, de charme, car si j'avais bien saisi, la raison pour laquelle il ne m'avait pas encore frappée était parce qu'il ne souhaitait pas abîmer mon corps, mais en profiter dans un futur relativement proche. Ou alors je pouvais également me tromper royalement et ce n'était donc que de réelles menaces, des sommations. Mais cela ne me plaisait guère et je souhaitais que cela ne soit pas le cas.

Invité

Orion sourit de plus belle au paroles de la jeune fille. Son éclair lui démangeait les mains, mais il s'abstint de le faire disparaitre, pourtant il ne servait a rien car il n'avais aucunement envies d'abimer la jeune fille. De 1 parce qu'elle faisait partit de la confrérie, et de deux parce que il supprimerait la vie d'une magnifique jeune femme. Orion fit alors disparaitre l'éclair, reprenant peu a peu conscience avec ces doigts.

"Je ne te tuerait pas tout de suite! Ce n'est ni le lieu ni le moment! Un jours peut être en mission tu pourra nous êtres utiles malgré que tu sois un femme assez chétive tout de même!"

Quelqu'un arrivait derrière l'épaule de la jeune fille, et vu sa tenu il devait être assez important. Et voir deux élèves ce battre entre eux risquait de les mettre en danger pour l'avenir de la confrérie. Orion tourna les talons dans un clin d'œil, et commença a partir dans le long couloir de la confrérie! Il ne voulais pas que la jeune fille le suivent, il rentrait dans sa chambre pour être tranquille et seul. Il voulais réfléchir ! Encore un membre de la confrérie a qui il promettait une mort certaine! Pourquoi n'arrivait t'il pas a s'intégré parmit les rangs de la confrérie?! Depuis pres d'un mois il était dans la confrérie, il ne s'était fait aucun amis! Seulement des rivaux ou des enemis! A croire que ce n'était pas sa place!

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