Pour un baiser de la Terre [Evelyn Cassidy] [Clôturé]

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Aide-mémoire

Spoiler:

Samedi 9 mai 2009. 9h du matin.
Mai est assez chaud cette année: 22°. Le chimiste porte un pantalon baggy gris d'été et un t-shirt beige. Le beige contraste moins avec sa peau blanche et ses yeux sans iris.

Margareth: Mais pourquoi tes clients te demandent-ils toujours les trucs les plus dingues?
Louis: Parce qu'ils me paient bien.

Louis descend les dernières pierres du terril. Son sac à dos l'a un peu gêné dans la descente mais il tient à avoir son matériel et ses produits chimiques pour cette mission. Il s'avance vers les bâtiments principaux: ceux qui contenaient les bureaux des ingénieurs et le centre de communication.

Assez étrangement, alors que l'armée a placé des caméras à l'extérieur, l'intérieur en est dépourvu. Les bâtiments sont peu abîmés. Quelques vitres cassées. Du matériel minier et militaire traîne un peu partout. Des câbles strient le ciel. On dirait que les gens ont disparu en plein milieu de leurs activités. Quelques traces de sang écaillé traînent sur les bâtiments et les vitres. Une odeur de métal âcre l'air.

Louis s'apprête à entrer dans le bâtiment des communications. Un dernier tour d'horizon: les trois puits sont les bâtiments les plus hauts. Les autres sont tous plus longs que hauts, blancs. On n'entend rien à part le vent.

Un bruit dans le bâtiment des communications?

BAM! Un coup de feu retentit. Il résonna dans tout le bâtiment des communications. Tout de suite après, une cri de douleur et d'agonie inhumain se fit entendre puis, le silence s'installa. Quelques instants après, là où le coup de feu avait été tirer, une légère lumière apparue par la vitre cassée. Une silhouette féminine passa un instant devant la fenêtre puis disparue, entrainant avec elle la lumière.

..;Flash Back;..

Tatalalata...tatalalata...tatalalata...La sonnerie très énervante du portable s'arrêta un court instant. Tatalalata...tatalalata...tatala; Evelyn décrocha enfin. Il fallait dire qu'elle était assez occupée a caliner son copain Shawn sous les couvertures, enfin bref.

"Oui allo??" Répondit la jeune mutante avec pas mal d'impatience dans la voix.

Shawn sortit de sous les couvertures, demandant qui c'était. La jeune femme haussa les épaules, n'ayant pas regarder le numéro qui devait être afficher sur son portable. Le mutant haussa les épaules à son tour mais ne fit pas grand cas du coup de téléphone. Il entreprit de masser le dos de sa petite amie en attendant qu'elle raccroche.

"EVY! TU DOIS M'AIDER!!!" Cria-on à l'oreille de la mutante.

"Mais qui c'est???" Demanda avec impatience la jeune femme blonde.

"C'est Stephanie! Il est arriver quelque chose a Paul!!!"

"Steph? Quoi qu'est-ce qu'il a Paul et en quoi ça devrait m'inquieter? Ah oui juste là Shawn, appuie plus fort mon coeur, j'adore!"

"Ben il était aller travailler dans un genre de mine et il a disparu! Hé, tu m'écoute?"

"Si si je t'écoute, ah hum! Pas si fort dans ce coin là Shawn!...Oui donc tu dis qu'il a disparu...mais dans le genre disparu pendant une nuit ou disparu sans laisser de trace?"

"Sans laisser de trace Evy. SANS LAISSER DE TRACE!!!!"

"C'est bon cri pas! Mais pourquoi tu m'appelle pour ça?? Je suis pas une enquêtrice ou autre chose dans le genre moi..."

"Ben euh...vu que...tu lui a raconter ton histoire...je pensais que tu voudrais l'aider...Aller Evy! Il faut que tu m'aide!!"

"Mouais...bon d'accord je vais t'aider. Dis moi tout ce que je dois savoir..."

..;End of Flash Back;..

Evelyn avait, suite a la demande de son amie Stephanie, fait l'acquisition d'un Desert Eagle ainsi que bien évidement un permis de port d'arme. Elle alla s'exercer dans un stand de tir avant de partir a la recherche de Paul. La jeune femme s'habilla en noir moulant et emmena bien sur son Desert Eagle. Elle avait choisit de l'attacher a sa cuisse gauche pour plus de facilité. La jeune femme avec emmener de strict nécessaire pour cette mission. Elle avait fait tout son possible pour ne pas se faire voir en dehors des bâtiments et était assez fière de sa performance. La mutante avait entrer dans le bâtiment des communications mais, dans une salle sombre, un animal l'avait surpris et elle avait instinctivement tirer dessus. Ensuite, elle avait ouvert les lumières pour voir ce qu'était cet animal puis était repartit explorer le bâtiment. À présent, elle avait ranger son revolver et marchait prudemment dans les couloirs sinistre du bâtiment.

(Si tu veux que je rallonge, tu me le dit.)

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Louis se fige. La mission consiste à explorer un endroit où beaucoup de personnes ont disparu mais tout de même, un coup de feu aussi rapidement, c'est étonnant. En temps normal, il aurait fait demi-tour immédiatement. Mais aujourd'hui, il est payé pour rester et analyser.

Il tend l'oreille. Quelques bruits de pas légers indiquent la présence d'une seule personne de poids plume. La personne est seule et ce ne sera pas une armoire à glace de 2m10. C'est déjà ça.

Cependant, le site devrait être désert. Vu toutes les disparitions qui y ont eu lieu, cette présence est inattendue. Qui peut être assez fou pour se promener seul ici?
Louis (Med):Tant pis, on va au moins essayer de ne pas le prendre par surprise...
Margareth:Tu as tes produits chimiques prêts?
Louis (Med):Oui, évidemment.

Louis (Med):Hey! Y a quelqu'un?

Margareth:C'est bête comme question.
Margareth:Oui, bon, je veux juste éviter de surprendre cette personne.
Med essaie de prendre une voix naturelle et sympathique... Il entre dans le bâtiment. Il faut un certain temps avant que sa vue ne s'habitue à la pénombre.
Quand il arrive enfin à distinguer quelque chose, il perçoit une jeune femme de petite taille, blonde, svelte. Armée. Semi-automatique.

Louis (Med):Ah... sympa le pistolet. Moi c'est Med. J'espère qu'on ne sera pas ennemis.

Louis serre dans sa main une capsule de gaz anesthésiant, au cas où...
Du bruit à l'étage supérieur.

Louis (Med): Vous êtes accompagnée, apparemment. C'est normal pour une si jolie jeune femme, je suppose?

Evelyn avait explorer prudement le bâtiment, marchant très discrètement en regardant partout. Vraiment partout. Même si elle n'y voyait rien quelques fois. En fait, elle ne voyait pas grand chose vu que la plupart des néons étaient fracassés au sol. Scrik, scrik, scrik, scrik...à force cela devenait agaçant pour être discrète. Et vu qu'Evy marchait doucement, le son de ses bottes écrasant le verre s'allongeait désagréablement. Elle n'avait pas mit de talons hauts, simplement de grosses bottes noires qui agrippait les surfaces glissantes. La jeune femme marchait un peu plus décontracte quand elle entendit un "Hey! Ya quelqu'un?". Aussitôt, elle sortit son Desert Eagle de son étui mais garda le canon au sol. Se faisant le plus discrète possible, elle écouta la personne qui avait parlé entrer dans le bâtiment. Mais elle ne pensait pas que cette personne était hostile vu qu'elle avait demander si quelqu'un était là. Cette personne avait du être alerter par le coup de feu qu'avait tirer Evy. La mutante arriva dans une "intersection" de couloir et entendit:

"Ah... sympa le pistolet. Moi c'est Med. J'espère qu'on ne sera pas ennemis.Ils entendirent une chaise raclée le sol a l'étage supérieur. Vous êtes accompagnée, apparemment. C'est normal pour une si jolie jeune femme, je suppose?"

Evelyn fronça les sourcils. Elle? Venir accompagner? Pas vraiment non...La jeune femme hésita un instant puis rangea son pistolet.

"Euh non vous vous tromper, je ne suis pas accompagner. Je suis ici pour une amie. Je dois retrouver un mineur disparu...Si vous voulez me suivre, je m'en fiche, mais ne trainez pas dans mes pattes, merci d'avance..."

La petite blonde se dirigea vers le couloir où il y avait un escalier tout au fond.

(Je te laisse faire jouer mon perso pour la suite si tu veux ;-) )

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Jeune fille : Euh non vous vous trompez, je ne suis pas accompagnée. Je suis ici pour une amie. Je dois retrouver un mineur disparu...Si vous voulez me suivre, je m'en fiche, mais ne trainez pas dans mes pattes, merci d'avance...

La petite blonde se dirige vers l’escalier. Elle dépasse Louis et lui tourne le dos. Apparemment, elle ne se méfie pas.

Margareth :Elle va voir au premier ce qu’était le bruit ?
Louis (Med) : On dirait.

Louis (Med) à la jeune femme : Vous… êtes habituée à ce genre de recherches ?

Il prend une courte pause. Il regarde au plafond en lâchant un bref soupir : il vient peut-être de parler trop vite. Les jeunes personnes ont tendance à se vexer lorsqu’on questionne leurs compétences. Et il n’est probablement pas plus expérimenté qu’elle en matière de mines de fer.

Louis (Med) : Vous recherchez un mineur. Vous êtes donc au courant des disparitions. Vous avez tiré un premier coup. Sur quoi, d’ailleurs ? Pas un être humain sinon vous ne seriez pas aussi calme, je présume. Ensuite je vous appelle. C’est une zone fermée au public. Je n’ai a priori rien à faire ici mais vous me tournez le dos. Il n’y a pas de réaction du premier étage. Quelques secondes plus tard, on entend une chaise et vous me laissez ici.
Je propose qu’on attende 5s pour nous préparer au c…

Louis n’a pas le temps de finir sa phrase. Quelques bruits étouffés se rapprochent. Un chien musclé descend les escaliers. Il les regarde quelques instants avant de fuir à l’extérieur. Med le suit du regard. Le chien court vers le puit le plus proche.

Margareth :Ah, ce n’est qu’un chien.
Louis (Med) :Avec les yeux injectés de sang.
Margareth :Conjonctivite…

Louis (Med), tout en regardant vers l’extérieur : Vous je ne sais pas, mais moi je me demande pourquoi des centaines de personnes ont disparu et comment ce chien a-t-il pu, lui, survivre ?

Il se tourner vers la petite blonde : Dois-je vous appeler Mademoiselle ou ai-je le droit d’utiliser une dénomination moins impersonnelle et en savoir plus sur vous ?

Louis laisse tomber son sac à dos au sol. Il veut voir où ce chien a pu aller. Il extrait quelques bonbons, des petites boites et des capsules qu’il place rapidement dans ses poches et dans sa ceinture.

Un dernier coup d’œil à la jeune personne. Il regarde rapidement son semi-automatique. Med aurait aimé utiliser une arme à feu lui aussi, le problème est qu’après plusieurs essais infructueux, il est forcé de reconnaître qu’un enfant de six ans tire mieux. Arme en mains, il devient un danger public malgré lui.

Il se demande si elle va le suivre. De toute façon, il va juste repérer, il doit revenir dans les bâtiments principaux essayer de trouver des cartes.

(Je préfère ne pas jouer les persos des autres, c’est trop touchy ^^)

(HRP: Désolééééééé!!!! J'ai pas réussi a me motiver pour répondre plus tôt!!!)

Alors qu'Evelyn marchait d'un pas mesuré mais discret dans le couloir pour atteindre les escaliers, le jeune homme posa une question:

"Vous… êtes habituée à ce genre de recherches?"

La jeune femme expira abruptement pour signifier son inexpérience envers ce genre d'expédition.

"Pas du tout..."

Elle étira le "pas" puis laissant planer un silence gênant. Non pas pour elle mais pour le jeune homme vu qu'il était en présence d'une jeune femme qui n'avait jamais fait de mission de sauvetage ni de mission d'infiltration de sa vie, donc par conséquent elle pouvait lui tirer dessus si elle voulait. Lui tirer une balle entre les deux yeux, le dégommer sur place, sans autre artifices.

"Vous recherchez un mineur. Continua le jeune homme. Vous êtes donc au courant des disparitions. Vous avez tiré un premier coup. Sur quoi, d’ailleurs ? Pas un être humain sinon vous ne seriez pas aussi calme, je présume. Ensuite je vous appelle. C’est une zone fermée au public. Je n’ai a priori rien à faire ici mais vous me tournez le dos. Je propose qu’on attende 5s pour nous préparer au c…"

Evelyn ne l'écoutait plus qu'à moitié quand il s'interrompit brusquement dans sa phrase; elle avait déjà entendu le son caractéristique des griffes trop longue qu'un chien sur le sol. Son doigt sur la petite languette qui permettait de garder le fusil en place par un bouton pression, elle avait sortit une lampe de poche et pointait son faisceau vers les escaliers. Le son des griffes du chien raclant le sol se fit plus rapide et plus proche puis soudain le fameux animal apparu, trop musclé et trop vif a la fois. Il s'arrêta, ses yeux rouges comme la braise scrutant les deux intrus, puis détala comme une fusée vers l'un des puits. La mutante ferma sa lampe torche tout en écoutant Louis:

"Vous je ne sais pas, mais moi je me demande pourquoi des centaines de personnes ont disparu et comment ce chien a-t-il pu, lui, survivre? Dois-je vous appeler Mademoiselle ou ai-je le droit d’utiliser une dénomination moins impersonnelle et en savoir plus sur vous?"

Tous ces "vous" commençait à faire tiquer la jeune femme. Elle détestait vraiment se faire vouvoyez, même si c'était la mesure de politesse quand on parlait à un inconnu. Elle n'avait quand même que 22 ans après tout, et ce jeune homme devait avoir entre les 18-20 ans. Evelyn se sentait étrangement vieille quand on la vouvoyait. Et pourtant, ce n'était pas rare qu'on le faisait. Seulement...avec les mutants, cela semblait différent. Enfin bref, revenons à la mission de la mutante.

"Evy fera l'affaire. Dit-elle en agitant nonchalamment la main vers le jeune homme. Moi je ne te demanderai pas ton nom donc si tu veux que je t'appelle Pépé le Putois, ça me pause pas de problèmes."

Le jeune homme semblait vraiment vouloir suivre ce chien, il avait même poser son sac par terre pour en extirper quelques petites choses qu'Evelyn ne pu pas voir. Après cela, il se dirigea en direction du chien qui avait cesser de courir et observait les deux jeunes gens. Evelyn fronça les sourcils, ce chien de lui disait rien qui vaille...Elle garda sa main près de son Desert Eagle puis suivit l'homme tout en restant en retrait. Elle distingua un peu mieux le chien et ce qu'elle vit ne lui plus pas du tout. L'animal, ayant toujours les yeux injectés de sang, avait la gueule entre-ouverte et de l'écume verdâtre s'amassait sur le coin gauche de sa gueule. Sa queue était cassée et l'une de ses pattes arrières également. Mais ce qui était troublant, c'était les épines dorsales de son dos qui, vu le loin, ne se voyait même pas vu qu'elles étaient brunes. Le jeune homme ne les avait certainement pas aperçu pour avoir l'audace de s'approcher de l'animal. Sans pupille, sans yeux semblaient tout de même transpercer le jeune homme de part en part, sans que celui-ci s'en rende compte. La jeune femme présentit le danger; elle courut immédiatement vers le chien qui courait lui aussi mais en direction du jeune homme. La mutante étira sa main gauche tout en continuant de courir. Le canidé courut de plus belle, ses babines retroussées et l'écume verte laissant une trainée écœurante sur son poil. Il bondit mais ne pu mordre le jeune homme car Evelyn avait refermer la gueule du chien avec sa main et avait sécrété de la mélatonine, et ce directement dans la truffe de l'animal. La bête tomba comme une masse au pied du jeune homme, endormit pour un bon moment. La jeune femme dit au jeune homme:

"Si tu veux t'amuser avec lui, vas-y, mais il n'est pas mort donc attention quand même à ne pas le réveiller en le coupant ou quelque chose dans le genre..."

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Evy : Evy fera l'affaire. Moi je ne te demanderai pas ton nom donc si tu veux que je t'appelle Pépé le Putois, ça me pause pas de problèmes.
Margareth : Quelle pimbêche !
Louis (Med) : Elle a un semi-automatique, alors on va éviter de le lui dire.

Louis (Paxton) : Appelez-moi Paxton pour Pierce Paxton, au moins ça respecte les initiales de Pépé le Putois.

Margareth : Elle a un semi-automatique, hein.

Louis laisse tomber son sac à dos au sol. Il veut voir où ce chien a pu aller. Il extrait quelques bonbons, des petites boites et des capsules qu’il place rapidement dans ses poches et dans sa ceinture.

Un dernier coup d’œil à la jeune personne. Il regarde rapidement son semi-automatique. Med aurait aimé utiliser une arme à feu lui aussi, le problème est qu’après plusieurs essais infructueux, il est forcé de reconnaître qu’un enfant de six ans tire mieux. Arme en mains, il devient un danger public malgré lui.

Il se demande si elle va le suivre. De toute façon, il va juste repérer, il doit revenir dans les bâtiments principaux essayer de trouver des cartes.

Le nouvellement nommé Paxton emboîte le pas au chien ou du moins à ses pattes arrière.

Margareth : Evy te suit.
Louis (Paxton): Ce n’est pas plus mal. Boosters, hein.
Margareth : Oui, oui.

Louis sort du bâtiment, contourne une jeep abandonnée près de l’entrée, dépasse un second bâtiment blanc - peut-être les communs des mineurs. Le canidé l’attend quelques mètres plus loin : de l’écume verdâtre s’accumule sur le côté gauche de sa gueule. Une de ses pattes arrières étant cassée, tout le corps s’en retrouve déséquilibré et difforme. Il fixe le chimiste de ses yeux uniformément rouge. Il est prêt à attaquer.

Margareth : La bave verte, ça ne peut pas être de la conjonctivite.
Louis (Paxton): Il est agressif : s’il se lance, je l’endors. J’aurais préféré qu’il continue à fuir…

Med n’a pas le temps de continuer ses explications, le chien se lance. Paxton tient en main ses capsules de gaz anesthésiant mais alors que l’animal n’est plus qu’à 4 mètres, une silhouette le double et bondit sur l’animal. Sous boosters nerveux, Louis veut la rattraper : a-t-elle remarqué le liquide vert ? Il est à un centimètre de lui agripper le bras quand la petite blonde attrape la gueule de l’animal des deux mains. Le jeune homme s’arrête, il se demande ce qu’elle veut faire. Evy maintient la gueule fermée et le monstre s’endort dans les secondes ( ?). Med s’agenouille près d’elle mais un peu en retrait pour mieux voir la scène.

Evy : Si tu veux t'amuser avec lui, vas-y, mais il n'est pas mort donc attention quand même à ne pas le réveiller en le coupant ou quelque chose dans le genre...

Injection dans la nuque. L’endormissement par injection est très rapide. La femme commence à tomber, il la rattrape.

Louis (Paxton): Excusez-moi. La situation le requiert.

Paxton porte le corps d’Evy contre le bâtiment le plus proche. Il lui prend son arme puis revient vers la bête. Une balle dans la tête et dans le torse du chien sont tirées : il est toujours aussi mauvais au tir.

Louis (Paxton): Il va falloir faire plus qu’attention.
Margareth : Je surveille aussi.

Louis revient vers le corps inanimé de sa euh… sauveuse et le porte à bout de bras dans le bâtiment principal. C’est un poids plume vêtu de façon sexy. Bon, c’est toujours plus agréable à porter qu’une brute de base de 110kg.

Arrivé entre les quatre murs déjà explorés, Med reprend son sac à dos et monte à l’étage par l’escalier emprunté par le chien. Les bureaux des ingénieurs doivent se trouver quelque part ici… Bingo ! Le plus spacieux des locaux est ouvert. Des cartes poussiéreuses étalées sur les grands bureaux, des ordinateurs et des projecteurs indiquent que cet endroit servait probablement de centre d’analyse.

Un peu préoccupé, le chimiste dépose la petite blonde sur le sol et commence à se désinfecter les bras avec un produit extirpé de son sac. Ca ne servira peut-être pas à grand-chose, mais ça ne prend pas beaucoup d’effort non plus…

Une fois cette « peut-être inutile » précaution prise, il reprend le semi-automatique en mains. La dose d’anesthésiant injecté était minime, Evy commence à se réveiller. Le produit est fort mais en faible quantité il n’a quasiment aucun effet secondaire. Son humeur massacrante ne devrait pas en être perturbée. Par contre, l’action de Louis à son encontre risque d’aggraver son caractère de… chien.

Louis (Paxton) : Comment vous sentez-vous ?

(Evy a plaquer sa main sur la truffe du chien et d'une main a fermer sa gueule.)

Evelyn avait dévoiler son surnom au jeune homme et lui avait dit qu'elle ne souhaitait pas savoir son nom. Dit avec aucun sourire et d'un ton sec, cela semblait assez hautain et Evy venait de s'en rendre compte quand le jeune homme lui répondit nerveusement. Tournant la tête vers lui, elle approcha une main vers sa bouche et un rire cristallin sortit d'entre ses lèvres.

"OK, ça sera Paxton alors. J'ai dit que je ne te demanderait pas ton nom parce que peut-être n'aurais-tu pas voulu me le dit. On ne sait jamais"

S'en était suivit l'apparition du chien. Dès lors où le chien s'était rué vers le jeune homme, la mutante n'avait plus penser à la bave verte qui salissait le poil du canidé et n'avait pas non plus penser à sa gueule garnie de crocs qui aurait pu lui détruire la main. Elle n'avait penser qu'à aider le jeune homme. Mais dès qu'elle eut fini sa phrase, il la piqua dans le cou. Elle avait une peur bleue des piqures, surtout si elles étaient faites sur des parties sensibles. Elle ne s'évanouit donc pas parce que le jeune homme lui avait injecter une drogue qui endort, mais bien à cause de la piqure. Vu qu'elle était évanouie, elle ne su pas où l'homme l'emena. Elle reprit connaissance alors qu'elle était au sol. L'homme lui demanda comment elle allait. Evy se leva et lui arracha son Desert Eagle. Elle lui jeta un regard peu amène puis dit en rangeant son arme:

"Ça t'es pas venu à l'esprit de me DEMANDER de venir avec toi au lieu de M'ENDORMIR?? Mbon...tu voulais bien faire alors ne te cognerais pas pour ça. Et le chien? Elle regarda dans son chargeur. Tu l'as tuer alors. Et moi qui est failli me faire dévorer à ta place...Enfin bon, si tu veux m'accompagner dans ma mission, ça ne me dérenge pas du tout."

(Même pas besoin de faire jouer mon perso, juste a dire qu'elle suit Louis.)

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» Jeu avec des papillons sur les toits. [Pv. Evelyn Cassidy.]