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| Féminisme et supériorité vont de paire [PV Lorelei - Libre] | |
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| Sujet: Féminisme et supériorité vont de paire [PV Lorelei - Libre] Ven 5 Mar 2010 - 15:34 | |
| Encore une journée s'était écoulé dans la vie d'Ashley. Elle avait encore réussi à échapper aux force de police en ce jour ensoillé. Elle commençait vraiment à se fondre dans la masse et savait se faire oublier. Ce jour la elle portait un top rose suivi d'une min jupe en jean de taille plus que minimale. Sa silhouette élancée était rehaussée par de délicat escarpins blanc à talons haut. Son sac à main se balançait sur ses épaules a chaque mouvement. Elle trainait derrière elle a lourde valise qui ne comportait qu'une infime partie de sa garde robe monumentale. Plongée dans ses pensées elle fit une une rétrospective rapide du mois écoulé et elle constat avec étonnement qu'elle n'avait tué que 4 personnes.... La fatigue sans doute... Alors qu'elle s'apprêtait a prendre un taxi, un homme eut la finesse d'esprit (Quoi qu'on ne peut pas dire que les hommes ont de l'esprit) de siffler sur son passage. Cela conduisit immédiatement Ashley a provoquer son arrêt de mort. La jeune femme fit un sourire des plus charmeurs et s'élança en direction du goujat qui avait osé l'appeler et lui faire remarquer son enthousiasme de manière un peu trop barbare. En même temps elle savait que c'était une des première caractéristiques de ces hommes qu'elle aurait tout donné pour ne plus en avoir un seul sur la surface de la terre. Elle roula des hanches en même temps qu'elle avançait, ce qui eut pour effet de provoquer chez l'homme un second sifflet appréciateur et provoquait chez lui une réaction physique typiquement masculine et abject. Double peine de mort. D'une démarche assuré de femme fatale elle le tira par le bras et s'enfonça avec lui dans une rue sombre et déserte. L'inconnu la saisit par les épaules et l'adossa contre le mur. La jeune femme réagit vivement, repoussa l'homme et le plaqua contre le mur un petit sourire aux lèvres.
C'est moi qui donne les ordres c'est clair chéri ?
L'inconnu se colla ensuite à elle de manière un peu trop rapproché et elle sentit le désir de l'homme monter en lui en même temps que son envie de lui exploser la face contre le pavé. Discrètement, elle tâtonna sa cuisse à la recherche de son fourreau qui contenait son poignards et le prit en main. Elle effectua ensuite un coup de genou dans la virilité de sa victime et alors qu'il se penchait en avant à cause de la douleur elle lui remit en coup de genou en pleine tête. Pour l'achever elle raffermi sa prise sur le couteau et d'un coup sec l'enfonça profondément dans le bas ventre de l'homme. Elle se délectait de le voir souffrir et gémirent sous le coup de la douleur. Elle retira la lames et se plaqua derrière le corps de l'homme agonisant. Elle lui chuchota alors ces mots terrible :
Dans ton malheur tu a de la chance. J'aurai pu te tuer avec d'infiniment plus de perversité et d'imagination. Au lieu de ça le sort qui t'attends te semblera le plus doux possible.
Elle positionna sa lame au niveau du cou de sa victime et l'égorgea sans plus d'attente. L'homme émit un gargouillis pitoyable et Ashley le laissa retomber sur le sol, inerte. Par chance, ou par habitude, la jeune femme n'avait pas une onde de sang sur elle. Cela la réconfortait. Elle ne voulait pas être souillé par cette vermines qu'était l'homme et qui se croyaient, selon leur, dire, supérieur au femme. Elle porta son regarde et cracha sur le cadavre de sa proie.
Supérieur ? Tu parles ! Lequel de nous deux est mort hein ?
Satisfaite de ce début de journée elle eut le sentiment qu'aujourd'hui tout irait bien. De plus c'était aujourd'hui qu'elle intégrait la confrérie, ce groupe de mutant tant craint et redouté par la population humaine.. Cependant elle devait se dépêcher car la dépouille de l'inconnu allait bientôt attirer les policiers, qui ne tarderaient pas de faire un lien avec elle. D'un pas rapide elle héla un taxi et s'endormit sur le trajet la conduisant aux abords de la confrérie. Sans un regard au chauffeur, elle lui tendit de l'argent et sans aucun remerciement ni aucune forme de politesse elle claqua la portière et s'avança d'un pas conquérant en direction de l'entrée. Elle frappa fortement la porte mais personnes ne semblaient être apte à lui répondre. pleine de hardiesse, elle tourna la poignée de la porte qui, à son grand étonnement, était ouverte. La confrérie ne devait être décidément pas très maligne pour laisser ainsi l'accès à des inconnus. Elle pénétra dans le hall d'entrée et à son grand déplaisir s'aperçut que quelques hommes s'y trouvaient. Elle fut prise alors d'une fureur qu'elle devait à tout prix laisser sortir. Sans se soucier de savoir a qui elle parlait elle déchaina sa colère sur un pauvre étudiant.
Espèce de minable petit écervelé misogyne et pervers ! Quand tu entends quelqu'un frapper tu lui ouvres pas toi ? Tu pense vraiment que je doit me débrouiller toute seule alors qu'un je ne connait rien ici ? Tu pense peut être que je suis indigne d'être la ? Et bien je vais te dire une chose moi ! Tu aurais du rester dans ton lit aujourd'hui !
Elle agrippa le garçon et le plaqua brutalement contre un mur. Elle ne savait pas pourquoi mais le manque d'accueil qui se faisait ressentir alors qu'une fille comme elle arrivait la laissait pantois. Non seulement elle aurait du être traité avec les honneurs mais elle aurait aussi du être présenté au grand chef, non mais sans blague ! Elle n'était pas n'importe qui tout de même, c'était Ashley Cooper ! Elle empoigna l'un de ses couteaux et le porta sur la gorge du jeune homme. Dans le hall plus personne ne bougeait et tout le monde observait la scène avec intérêt. Parfait au moins elle avait carte blanche. Mais d'un seul coup elle remit son couteau a sa place et s'éloigna de l'apprenti confrériste. En effet, elle avait une soudaine envie de se maquiller et s'empara de son sac afin de sortir sa palette de maquillage et s'en remettre une couche. Elle s'observa une ultime fois dans le miroir pour contempler son magnifique visage. Une fois son action terminée elle porta son regard à la cantonade et déclara d'une voix parfaitement égale à elle même :
C'est pas que je m'ennuie mais est-ce que quelqu'un d'assez d'intelligent, et de préférence subtil, de ce fait une femme, pourrait-elle m'indiquer ou se trouve ma chambre pour que je puisse y loger mes effets personnels ? |
| | | Lorelei Schönherz Nouvel(le) Apprenti(e) de la Confrérie Beta
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| Sujet: Re: Féminisme et supériorité vont de paire [PV Lorelei - Libre] Sam 6 Mar 2010 - 3:40 | |
| Hall der Bruderschaft, 15h15 umgefähr Persönlicher Brief Je refermai violemment le livre que j'étais en train de lire. Enfin, plutôt que violemment, disons d'un coup sec comme si cela pouvait me procurer quelque soulagement, surtout pour mon cerveau qui était presque en surchauffe depuis près de deux heures non-stop. Qu'avais-je donc fait pour me mettre dans un tel état si lamentable, peut-être même pitoyable d'ailleurs, au point que j'avais l'impression que ma tête allait exploser ? Eh bien, plongée dans mes cours, je m'étais pris la tête dans un texte en français, donc ce qui me demandait un effort d'emblée plus important que si cela avait tout simplement de l'allemand, et qui plus est de la philo, qui exigeait par conséquent une concentration inébranlable, mais le plus cruel était que c'était un cours portant sur un extrait tiré du Discours de la méthode, de René Descartes, et si je me souvenais d'un échange avec ma petite plume du destin, lui-même n'avait pas apprécié des masses cet auteur à cause de certains écrits plus que difficiles à comprendre. Et pas de chance, j'étais tombée sur un texte du même genre, et j'avais bien de la peine à distinguer quel morceau de phrase allait avec tel autre, où était le sujet, et puis le sens des mots aussi ! Quel casse-tête épouvantable. En quoi consistait précisément mon travail ? Un « simple » commentaire de texte comme j'en avais eu de nombreux autres à faire auparavant, enfin pour le coup c'était mon véritable premier en français, le professeur avait opté pour des dissertations avant cela, ce qui pour moi me paraissait bien plus abordable puisqu'il faisait appel à son propre sens de la logique, et non à essayer d'expliquer en de nombreuses pages ce qu'un auteur racontait en une vingtaine de lignes, rarement plus, et parfois même moins. Autant j'avais préféré disserté sur l'épicurisme en établissant une critique, surtout négative, de la notion de bonheur dans la situation actuelle, et bien que le professeur n'ait pas particulièrement mes explications quant aux fléaux de ce monde, particulièrement vis-à-vis de tout ce qui touchait les maux nécessaires, et des moyens nécessaires pour permettre au monde d'établir son propre bonheur. Un sujet des plus passionnants, car cela touchait autant celui de la politique, du bonheur, de l'histoire quelque peu, cela permettait un mélange raffiné, mais comme écrit tout juste, ma vision des choses n'avait pas plu, et c'était même avec médisance qu'il m'avait rendu ma copie, avec une note incroyablement basse malgré le travail fourni. Foutu homme, incapable d'admettre la vérité…
Mais… malgré les enseignements que prodigue la philosophie, et l'ouverture d'esprit qui y était d'ordinaire associée, il allait falloir que cet homme comprenne dans quelle mesure ce qui figurait sur ma copie épousait de près l'état d'esprit dans lequel je suis tous les jours, sauf cas rare. À la sortie de ce même cours, je me souviens très bien puisqu'il avait eu lieu dans la matinée, cela est donc encore chaud alors que j'écris ces mots, j'avais attendu patiemment en rangeant lentement mes affaires que chacun des élèves de ma promotion soient sortis, et en faisant mine de sortir, je refermai en fait la porte pour m'enfermer avec le professeur. Il allait être temps d'avoir une petite discussion sérieuse. De mon sac je sortis un bâton électrique, petit souvenir d'un après-midi de « détente » en compagnie de deux collègues fort sympathiques et fort charmantes, et m'avançai vers le professeur qui le lança une regard dédaigneux et à limite de l'indignation que je puisse vivre. Je ne lui avais personnellement rien fait, mais il semblerait que mon point de vue sur les moyens à employer pour instaurer le bonheur ainsi que mes origines allemandes n'aient pas éveillé que du bon sentiment à mon égard. Fort bien, il allait apprendre. Toutefois en voyant le souvenir que j'avais pris soin de prendre il y a un long moment déjà, il comprit très vite que je n'allais pas plaisanter, et qu'au moindre signe de provocation, il allait prendre cher. Il se leva de sa chaise, et recula contre le mur, la détermination pouvait se lire dans mes yeux, dans un regard empreint de haine farouche et de désir de vengeance. Il était tétanisé, et je n'allais en rien arranger son mental car je brandis le bâton électrifié devant lui, mais sans appuyer sur le bouton pour le mettre sous tension. Et j'appuyais contre son cou, apercevant qu'il éprouvait déjà quelques difficultés à respirer à cause de la pression sur sa pomme d'Adam. Je souris d'un air sadique, la situation était tellement comique, un homme se croyant supérieur à une femme, un prof à une élève, un américain à une allemande. Mon regard s'embrasa et ma peau aurait bien suivi le mouvement si j'avais été pyrokinésiste, mais ce n'était pas le cas, or ce n'était pas grave, j'avais de quoi le faire souffrir atrocement.
« Alors, ainsi ma conception idéaliste du bonheur vous exècre tant que cela ? Vous évaluez mes pensées comme fausses, et refusez d'admettre que le mal qui sévit partout dans le monde provient bel et bien des hommes, pourritures ambulantes. Qui sont les chefs d'état dans le monde : des hommes ou des femmes ? Et par la faute de qui les gouvernements se dont déclarés la guerre ? Bush est-il un homme ? Staline était-il un homme ? Non, ils n'obéissaient qu'à eux-même. Cependant, leurs moyens n'étaient pas tant si mauvais que ça, et le plus admirable de tous était celui auquel vous me comparez, je le sens dans votre répugnance à mon égard. Certes ses idées étaient parfaitement infondées, mais son principe de solution était des plus ingénieux, il faut contrer le mal par le mal dit-on, et couper le mal à la racine, c'est simplement ce que je propose. Non tu ne diras mot, sinon je n'ai qu'à activer le bâton, et tu grilles sur place. Donc écoute-moi bien, je te laisse la vie sauve dans l'instant parce que fondamentalement tu n'as osé levé la main sur une femme, pas en ma présence en tous cas, mais à l'avenir tâche de fermer les yeux sur mes idées, sinon ta mort sera inévitable. Et inutile d'en parler, personne ne me résiste car l'air vient à manquer à ceux qui souffle sur le feu. »
Sur ces menaces bien posées, je relâchai l'emprise que j'avais sur sa gorge, et avant de partir je lui envoyai une décharge électrique dans le sternum, et il s'effondra misérablement au sol. Je ne savais pas quand il se réveillerait, je m'en fichais royalement, mais en fermant la porte derrière moi, masquée de part en part pour passer anonyme, j'indiquai au groupe suivant que le prof était dans l'incapacité d'assurer son cours pour le moment, et qu'il risquait d'avoir quelques problèmes de santé assez fréquents par la suite. Voilà une bonne chose de faite, un pitoyable mâle remis à sa place par les bons soins d'une féministe enragée, ses idées devraient très bientôt s'éclipser me concernant, me laissant libre-cours à mes pensées, même s'il ne connaissait pas encore mes actes, ni la société à laquelle j'appartenais, qui saurait certainement lui faire payer de faire disparaître, que ce soit démocratiquement ou crapuleusement, une de leurs alliées. Enfin, de retour à la confrérie, je refermai la porte derrière moi, non pas verrouillée, et je cherchai quelques instants quoi faire, savoir si je passais par le foyer de vie ou non un instant, ou si j'allais directement dans mon dortoir pour y travailler. La dernière option s'était imposée naturellement à moi, et je n'avais pas tardé à me lancer dedans comme décrit au début de cette lettre. Toutefois lorsque j'eus terminé, je voulus faire un tour à l'extérieur, pour me détendre et faire baisser la pression que m'avait causé cette matinée plus le travail presque infructueux. Mais lorsque des cris d'une voix perçante retentirent depuis le hall d'entrée, je me hâtai d'aller observer ce qu'il s'y passait, et à l'ouïe des mots employés à l'égard de la victime de ces protestations, ce dernier devait avoir commis une faute excessivement grave pour susciter de la sorte la haine ravageuse d'une femme. Instinctivement, et logiquement de surcroît, ma position tendit vers la femme qui semblait être la victime dans cette affaire. Et si je n'accourus pas pour me vouer à sa défense, c'était uniquement parce que le ton de la voix me rassurait avant tout sur le fait qu'elle saurait très bien se débrouiller sans moi. Mais très vite je déchantai, les raisons qu'elle évoqua et qui l'avaient poussé à faire preuve de répartie complètement débile étaient bien plus que bancales, et elle se contredisait elle-même. Elle voulait souligner sa grandeur et refusais en même temps qu'on lui prête assistance, il fallait savoir, où elle savait se débrouiller seule ou elle acceptait de l'aide, mais les deux n'étaient pas conciliables. Elle partait d'un très mauvais point vis-à-vis de moi car si elle ne savait pas ce qu'elle voulait, il ne tarderait pas avant que je lui fasse comprendre qu'elle était loin d'être celle qui renverserait la hiérarchie de la confrérie. Elle souleva toutefois un point très important bien qu'il fut des plus mal utilisé, à savoir la question de dignité quant à son statut de femme. Certes la nature féminine était supérieure à celle de l'homme en autant qu'elle était prônée raisonnablement, mais là ça devenait du vrai n'importe quoi. Comme voulait-elle qu'on parle de dignité féminine alors qu'elle faisait tout le contraire, qu'elle criait sans raison pour des raisons qui ne valaient même pas la peine d'être pensées ? Et comme si sa stupidité ne suffisait pas encore, elle fit acte de violence contre la personne qui en subissait les conséquences, dont je vis tout de suite dès que je dépassai l'encadrement de la porte qu'il ne réagissait même pas, il était pétrifié par la violence de cette demeurée. Lorsqu'elle eut achevé de s'acharner contre ce type, je me décidai enfin à aller à sa rencontre, car elle commençait sérieusement à me taper sur le système avec ses cris de gamine ressemblant fort aux groupies de Tokio Hotel qui hurlent quand on critique leur groupe pseudo-légendaire. Quelle honte. Une telle beauté ravagée par la débilité profonde. Puis elle cria encore qu'elle voulait qu'une femme vienne l'accueillir, vu sa tenue complètement indécente, je me demandais ce qu'elle venait bien faire ici, autant rester à la rue, elle aurait moins de chance de se faire égorger aussi sec, c'était même pas une poule, c'était une bête hideuse.
« Bon l'écervelée qui passe son temps à gueuler, tu la fermes un peu ou faut qu'on vienne te briser la mâchoire pour avoir le silence ? Tu t'imagines quoi en venant ici, qu'on va te dérouler le tapis rouge rien que parce que tu passes pour une p*** ? Ça marche pas comme ça ici, tu ne vaux pas plus qu'une autre, et à en croire par tes hurlements d'hystérique, tu ne vaux même pas mieux que celui contre qui tu t'acharnes. Pour une personne qui veut se faire passer pour féministe, enfin de ce que je peux en juger, je te conseille de revoir tes méthodes, parce que là la violence gratuite te rabaisse au même niveau qu'eux. J'ose encore espérer que tu auras au moins l'intelligence de comprendre ce que je veux dire, sinon quoi tu seras considérée comme un cas désespéré, et je ne voudrais même pas de toi pour accomplir le travail à ma place, qui doit consister sensiblement dans le même que toi. Et sache que si tu persistes à t'en prendre au premier qui passe pour une raison aussi débile que celle-là, je ne te considèrerai même pas comme une femme à part entière, juste un corps de femme avec la mentalité d'un homme. Cela serait fort dommage de devoir t'ôter toute la dignité que tu prônes tant, n'est-il pas ? »
J'admets, la dernière phrase était faite dans l'unique but d'adoucir tout le reste, de faire passer la pilule comme on dit sinon. Cependant, je ne pouvais en aucun cas affirmer la tournure que les évènements allaient prendre, car en considérant le caractère que je percevais issu de la première impression, j'avais tout de même un doute qu'elle ait suffisamment d'humilité pour admettre qu'elle avait tort d'agir de la sorte, et accepter que ma propre vision de la chose soit la plus raisonnable. Enfin, je pouvais toujours espérer… | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Féminisme et supériorité vont de paire [PV Lorelei - Libre] Sam 6 Mar 2010 - 18:41 | |
| Ashley se demandait vraiment ce qu'elle faisait dans cette école pour débile profond. Aucun d'eux n'était capable de l'affronter en face, de s'opposer à elle ? Tout ce qu'elle recherchait au fond c'était quelqu'un de fort et de compréhensif qui pourrait partager ses envies et ses idées avec elle. Mais il semblait que la confrérie n'était rempli que de lavettes stupides et faibles, d'homme réduit au rang de mollusques. Et aucune femme dans tout cela. Elle avait désespérément cherché au cours de sa vie une femme, qui aurait la patience et l'ambition dont elle faisait elle aussi preuve, et qui aurait partagé ses rêves de domination absolu sur cette sous espèce que représentait la gente masculine. Qu'elle pouvait les haïr ceux la... Très vite une image s'insinua dans son esprit. Le souvenir du jour ou l'officier avait oser porter la main la sur elle pervertie sa chair et elle se sentit souillée. Le seul moyen correct et civilisé de s'en débarrasser était de tuer tout ceux qui comme lui aurait un jour un instant de folie et viendrait souiller le corps pur et charnel d'une autre femme. Mais Ashley ne voulait surtout pas que cela arrive... C'est pourquoi une détermination des plus farouche illumina son regard et elle se décida, la tout de suite, à massacrer tout les occupants de la pièce. Si elle se débrouillait correctement, elle aurait une chance d'éliminer ces lourdeaux avant que l'un deux ne puissent poser ses mains impur sur elle. Elle était plongée dans une telle transe que ses mains tremblèrent lorsqu'elle commença à descendre ces dernières le long de ses cuisses afin de s'emparer de ses deux seules amies de toujours, ses lames. Pour elle plus rien n'avait d'importance, seul le désir de venger ce qu'elle avait perdu, son innocence, comptait à présent. Dans son esprit la scène de massacre se déroula dans sa tête, Elle anticipait chaque réactions, chaque tentatives de défense de ses adversaire et sourit. Ils n'avaient aucunes chances de survivre. Oh bien sur elle serait sans doute un peu amoché lorsqu'elle aura fini mais pas dans le sens que la plupart des mortels connaissent. Non, Ashley ne recevrait théoriquement aucunes blessures. Par contre sa magnifique chevelure peroxydée se trouverait en désordre et ses vêtement ne pourrait pas éviter le flot de sang qu'elle allait versée. Ashley se demandait à présent si elle devait vraiment tuer ses hommes et perdre sa beauté légendaire. Elle pesa le pour et le contre et se dit que de toute façon elle n'aimait pas vraiment sa tenue et que sa coiffure méritait d'être arrangée un tant soir peu. Un sourire carnassier sur le visage, elle établit rapidement et méticuleusement son plan d'action. Pour commencer elle provoquerait un effet de surprise en lançant un couteau en arme de jet sur l'un des hommes présent sur la pièce. Le temps que les autres comprennent son geste, elle aura déjà sauté dans le dos d'un autre pour lui planter une de ses lames au cœur. Elle se protègerait ensuite avec le cadavre de sa proie afin d'éviter une quelconque forme de pouvoir pervers et sournois. Ces hommes devaient posséder des pouvoirs de lâche et de débutant, elles n'auraient aucun problèmes pour les tuer. Elle endormirais rapidement les deux garçons qui se trouvaient dans un coin de la pièce et déchainerai sa rage sur le malheureux inconnu qu'elle avait martyrisé la première fois. Elle lui crèverais les yeux sournoisement avec des aiguilles pour ensuite lui enfoncer un couteau dans la tempe. Il ne mourait même pas sur le coup et souffrira atrocement pendant de longues minutes... Le temps pour elle de s'enfuir. Non pas qu'elle était lâche et qu'elle avait peur d'affronter d'autres hommes, non... Simplement parce qu'elle devait nettoyer le sang qui tachait ses bras et ses mains, se nettoyer de cette souillure indigne d'elle. En plus sa coiffure serait réellement dans un état épouvantable. Et il ne fallait pas qu'elle reste trop longtemps dans un état aussi désordonné. C'était une déesse pas une simple mortelle gloussant comme un dinde, même si elle paraissait physiquement faire partie de la famille de ces gallinacés stupides. Elle devait cacher sa vrai nature afin de ne pas éveiller les soupçons de ses ennemis pour qu'ils croient qu'elle était faible. Ses pensées furent chamboulées d'un coup lorsqu'elle entendit une voix féminine (!!!) mais peu aimable retentir derrière elle. Elle se retourna et aperçu une jolie jeune femme, très jolie même, qui portait en elle une fougue qu'Ashley discernait mais ne comprenait pas de quoi il en retournait. Son être vibrait de puissance et Ashley sentit son cœur battre du même rythme effrénée que l'inconnue. Enfin un femme avec qui elle deviendrait proche et peut être même avec qui elle pourrait renverser le monde actuel. Cependant la tirade que lui adressa la femme la laissa sans voix.
Bon l'écervelée qui passe son temps à gueuler, tu la fermes un peu ou faut qu'on vienne te briser la mâchoire pour avoir le silence ? Tu t'imagines quoi en venant ici, qu'on va te dérouler le tapis rouge rien que parce que tu passes pour une p*** ? Ça marche pas comme ça ici, tu ne vaux pas plus qu'une autre, et à en croire par tes hurlements d'hystérique, tu ne vaux même pas mieux que celui contre qui tu t'acharnes. Pour une personne qui veut se faire passer pour féministe, enfin de ce que je peux en juger, je te conseille de revoir tes méthodes, parce que là la violence gratuite te rabaisse au même niveau qu'eux. J'ose encore espérer que tu auras au moins l'intelligence de comprendre ce que je veux dire, sinon quoi tu seras considérée comme un cas désespéré, et je ne voudrais même pas de toi pour accomplir le travail à ma place, qui doit consister sensiblement dans le même que toi. Et sache que si tu persistes à t'en prendre au premier qui passe pour une raison aussi débile que celle-là, je ne te considèrerai même pas comme une femme à part entière, juste un corps de femme avec la mentalité d'un homme. Cela serait fort dommage de devoir t'ôter toute la dignité que tu prônes tant, n'est-il pas ?
Le sang d'Ashley bouillonnait dans ses veines. Comment cette femme aussi respectable soit elle osait lui parler sur un ton supérieur ? Elle était son égal pas un vulgaire ramassis de virilité testostéroné et ignare. Que croyait t'elle ? Elle ne connaissait rien de l'affaire et elle arrivait sur ses grands cheveux comme une prêtresse fait l'office à une foule de pèlerin scandaleusement ignorant. En plus fait inacceptable, elle avait coiffé ses cheveu d'une façon completement hideuse et révoltante. Elle connaissait pas le coiffeur cette harpie ou quoi ? Ashley parlait toujours avec beaucoup de dévotion face aux femmes mais celle ci semblait la considérer avec mépris et hargne, bien que la jeune femme ne lui ai rien fait ni atteint préjudice à sa supériorité. Si en plus l'inconnue croyait pouvoir lui faire assez de mal pour lui briser la mâchoire cela était risible. Elle aurait danser 'Sur un air latino' qu'Ashley n'en aurait pas moins rit. Le tapis rouge ? C'est vrai qu'en regardant autour d'elle Ashley observa qu'aucun tapis rouge n'avait été déployé pour l'accueillir. Sa rage s'en augmenta d'autant plus. L'autre lui parlait d'intelligence et de compréhension. C'était le monde a l'envers... Comment cette pouffiasse osait ne pas comprendre qu'Ashley était l'avenir de l'humanité, la dirigeante d'un nouveau monde qui ne serait pas enveloppé sous la coupe des hommes ? Son visage s'empourpra et ses tremblements augmentèrent dangereusement. Elle savait qu'elle devait se calmer mais supportait difficilement qu'on lui parla sur ce ton. Ce fut l'apothéose quand elle la compara à un homme dans le corps d'une femme. Elle hurla de rage et vrilla son regard dans celui de cette répugnante poule qui ressemblait, soit dit en passant, à un Chocobo tout droit évadé de Final Fantasy. Sauf qu'elle était encore plus hideuse...
Tu ose me parler sur ce ton sale petite morue dégénéré décérébré du cerveau ? Moi au moins je ressemble a une femme pas à un substitue d'homme avec un taux d'œstrogène élevé qui lui donne l'air d'avoir une excroissance au niveau de la poitrine ! En plus regarde toi tu es désespérément plate, tu réussirai même a t'infiltrer a travers une porte fermé si tu le voulait ! Tu croyait quoi, être la reine ici ? Sache que tu t'apprête a te faire détrôner ma pauvre fille ! Tu es dépassé, la nouvelle génération de fille ne cache plus ses formes et ses courbes sous des tenu de ski tu sait ? Regarde toi tu ressemble a rien moi au moins on me regarde et on m'admire. Tu peux en dire pareil ? Je serai toi j'oserai même plus sortir de ma chambre tellement j'aurais honte de croiser quelqu'un ! Tu serai intelligente encore... Mais ton cerveau est aussi atrophié que ton corps, c'est dire ! On pourrait même pas t'agrandir les seins avec 3 cerveau comme le tien ! Tu me dit de réfléchir, moi je me demande comment ton neurone s'occupe de sa journée ! Il joue au solitaire ? Et puis d'où tu sort ta définition de la femme ? La nouvelle génération de femme c'est moi prends en de la graine ! Tu était dans un couvent avant de t'installer ici ? Remarque tu as du garder l'uniforme de la bas vu la tête de tes vêtements ! Vœux de chasteté aussi ? T'en fait pas pour ça qui voudrait te passer dessus ?
Ashley avait été très véhémente sur ce coup la. Mais ce n'était pas par méchanceté non, elle voulait juste montrer a son interlocutrice qu'elles étaient au même niveau, et voulait pousser cette dernière plus loin encore dans ses retranchements. Si l'autre croyait qu'elle se serait laissé faire et aurait lâcher l'affaire si facilement, elle se trompait... Ashley était une femme de caractère, pas une soumise qui passait son temps à faire le ménage et provoquer le plaisir de leur immonde mari lorsque ces derniers le désirait. Son plaisir a elle c'était de les faire souffrir, et bientôt tous les faire mourir. Elle ne savait pas comment ni quand mais un jour ils succomberaient tout sous son joug. Ces petites larves se traineront au sol la ou leur place a toujours été. En attendant une autre menace s'annonçait devant elle. Cette fille serait tout a fait capable d'organiser un génocide avant Ashley, et il fallait a tout prix éviter cela... Elle banda ses muscles et se jeta sur cette petite princesse qui se prenait pour la reine du monde. Ses doigts agrippèrent ses cheveux (Gras ?) et elle tira dessus afin de provoquer une souffrance capillaire chez l'inconnue. Elle ne voulait en aucun lui faire de mal, c'était d'utilité publique que de la recoiffer et lui rendre un aspect plus présentable... Ashley approcha sa bouche de l'oreille de sa proie et lui chuchota quelques mots à l'oreille.
Le changement est en marche ma jolie, soit tu t'y plie, soit tu me le dit tout de suite et ta tête heurte le sol de manière répété et la musique de tes os se broyant se répandras à travers toute la confrérie pour annoncer la venue d'une nouvelle reine de promotion.
Satisfaite de sa domination, Ashley soupira d'aise. Encore une fois, cela ne faisait aucun doute, sa supériorité se laissait éclater au grand jour... Bientôt, il n'y aurait pas juste cette gourgandine qui s'inclinerait, mais des millions, non, des milliards de têtes prosterner au sol devant elle... Il ne lui restait alors plus qu'a trouver le moyen de tuer des millions d'être humain au même moment. Mais ça, c'était une tache relativement simple pour la future dirigeante du monde... |
| | | Maiwenn Short Apprenti(e) de la Confrérie Expérimenté(e) Alpha
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| Sujet: Re: Féminisme et supériorité vont de paire [PV Lorelei - Libre] Sam 6 Mar 2010 - 21:52 | |
| Maiwenn était en train de s'échiner sur des rapports divers et variés que le Département Renseignement lui fournissait courtoisement toutes les semaines sur les produits/armes/objets-en-général susceptibles d'intéresser la Confrérie. Elle avait aussi sur son bureau une pile de factures plutôt excessivement chères (elle allait encore devoir faire un peu de ménage hypnotique dans la cervelle de ceux qui fournissait la Confrérie en vivre, eau chaude et électricité.) Autant dire que sa matinée se présentait sous des hospices travailleurs et calmes. C'est alors que l'ouïe très sensible de la Syrène devint un grand inconvénient. Apparemment, les Apprentis avaient donné une véritable orgie dans le Hall d'Entrée. Maiwenn tenta d'ignorer les cris, mais très vite elle en vint un écrire ce que ce disaient les gens là bas plutôt que ce qu'elle devait noté sur son agenda ! Furax, la Syrène se leva donc de sa chaise et s'apprêta à sortir de sa chambre. L'une de ses colocataires, affalée sur le lit, la regarda d'un air blasé. Il n'était pas rare que des tapageurs face les frais de la mauvaise humeur perpétuelle de la directrice du Département Recherche qui était sans doute la seule de toute l'aile des dortoirs à entendre aussi précisément ce qui se passait dans toute la Confrérie. Maiwenn sorti donc, sans même regarder son reflet dans l'unique et gigantesque miroir de la chambre, appartenant à l'une de ses fameuses colocataires. Si elle l'avait regardé elle se serait vu (surprise hein ?), débouler à toute vitesse vers la porte, vêtue de vêtements sombres qui la mettait en valeur (non pas qu'elle ai passé une heure à s'habiller se matin, juste que tout ce qu'elle avait lui allait, logique me direz vous ^^), ses longs cheveux blonds épars sur ses épaules à la Brigitte Bardot, son air franchement agacé mais avec une lueur amusée dans els yeux néanmoins (rouillé sur un bureau n'était pas franchement distrayant, vriller les tympans quelques idiots l'était plus). Elle franchit la porte de remonta le couloir en un rien de temps. Les gens se poussaient prudemment sur son passage, se taisant, craignant peut être d'être la cause de l'éveil de la Syrène. Cette dernière n'y prenait pas garde et fonçait droit vers le Hall tout en écoutant attentivement cette fois. Elle analysa la situation sans le moindre mal et arriva en vu de la porte du Hall. Elle l'ouvrit à la volée. Aussi tôt, elle ordonna d’une voix sure : - Dis donc la soi disante reine de promotion, si tu lâchais ses couteaux ça irait peut être mieux pour le dialogue. Tant qu'à faire bouge toi de ton aînée, ça m'embêterais qu'elle ne cède bêtement à ses pulsions et qu'elle t'enfonce le crâne dans le mur avant qu'on sache ce que tu nous veux.Elle avait évidement moduler les ondes de sa voix en fréquence hypnotique. La mutante n'avait aucune chance et ses mouvements se verraient échapper à son contrôle. - Bon, navrée pour vous les gars, mais vous allez devoir quitter le Hall pour retourner au foyer de vie. Une discussion s'impose entre moi et la nouvelle reine de la promo.Elle avait dit ses derniers mots sur un ton dédaigneux. Comme si la Confrérie n'était qu'un vulgaire campus ! La fille avait beau être plus belle et plus âgée que Maiwenn, celle ci n'avait aucun doute quand à l'identité de la gagnant si affrontement il y avait. De plus, malgré son jeune âge, la Syrène dégageait une aura de puissante plutôt grisante, qui compensait par la même occasion la beauté qui la séparait de cette nouvelle. Maiwenn n'était pas laide, c'était plutôt le contraire. Mais cette fille avait de la classe. Enfin, classe où pas, la Syrène n'éprouvait aucune infériorité face à elle. Elle tendit sa main à Lorelei pour l'aider à se relever et se tourna, douceâtre vers la nouvelle. Elle espérait que l'allemande ne lui en voudrait pas de lui avoir volé une occasion de remettre soi même les pendules à l'heure. Mais sur le coup elle avait été et restait persuadée que sa puissance hypnotique ne serait pas de refus pour calmer cette mégère. Elle n'avait pas demandé à Lorelei de sortir parce que pour commencer, elle ne voualit aps non plus être un tyran, elle laissait ainsi les gars échapper aux cris de la furie et Lorelei avait ainsi plus de chance de prendre sa revanche. - Le nom de celui qui t'a donné la localisation du repère, le tiens, la raison pour laquelle tu t'es permis de blesser un Apprenti et de te jeter comme une furie sur ma collègue. Avant de répondre sur un ton qui sera sans doute déplaisant, je souhaite juste t'informer que si tes réponses ne me plaisent pas, on mettra des mois avant d'enlever ton sang de la décoration du Hall. Je hais être dérangée quand je prépare une mission pour mon équipe.La dernière phrase avait plus été dite pour informer Lorelei de la raison de la présence inattendu de la Syrène en ces lieux que pour faire peur à l'autre gourdasse. Mais elle ne faisait pas tache non plus. Maiwenn se tenait droite, l'air de s'ennuyer, attendant les réponses de la jeune fille qui n'avait de toute façon pas le choix. HRP : Infos dans le vent : Ashley, tu as parfaitmeent conscience que ton corps ne réponds plus à tes rodres mais à ceux de ton subconscient, que je contrôle. Tu peux tenter de me charger () mais je risque de t'intercepter de façon peu agréable ^^. Le plus simple serait encore que tu répondes aux questions xD Si ça ne vous plaît pas les filles, dites le moi et je change | |
| | | Lorelei Schönherz Nouvel(le) Apprenti(e) de la Confrérie Beta
Nombre de messages : 130 Age : 34 Autre(s) identité(s) : Herzeleid
Pouvoirs : Production et rejet de monoxyde de carbone
Age du perso : 22 ans Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: Féminisme et supériorité vont de paire [PV Lorelei - Libre] Lun 8 Mar 2010 - 13:38 | |
| J'aurais dû me douter plus intensément qu'elle imiterait ces pourritures des bas-quartiers qui ont l'audace de prétendre avoir droit au respect, terme qu'ils ont abusé, violé et dénaturé, ceux-là même qui font passer la moitié des femmes pour des corps dont les uniques buts sont de profiter du bien qu'elles sont capable de prodiguer, ou de les employer pour aller vendre à la fois leur corps ainsi que les sachets de drogue qui vont avec. Et cette grognasse qui s'affirmait la reine de la promotion, c'était promotion de quoi, une école pour débiles mentaux ? Je suis certaine qu'elle aurait toutes les qualifications requises, et quand bien même son dossier serait soumis à des interrogations, j'étais certaine qu'elle irait trouver les examinateurs pour des entretiens particuliers avec rémunération en nature… Vu son look, c'était vite fait, c'était même assuré qu'on n'avait pas besoin d'ôter le moindre vêtement, tout pouvait être légèrement déplacé de manière à dévoiler ce qui devrait demeurer confiné pour la personne qui mériterait qu'on les lui dévoile. Mais cette gonzesse de seconde zone venait contrecarrer mes objectifs futurs, à savoir rétablir les vraies bonnes valeurs de ce monde corrompu, et elle allait très vite inhaler le doux parfum, bien qu'il ne se sente pas, du monoxyde de carbone si elle ne se montrait pas raisonnable. De fait, s'il n'y avait vraiment qu'une seule chose d'appréciable dans tous son baratin insensé et complètement inutile car pour la plupart, j'en avais vraiment à faire. À quoi cela me servait de montrer mes formes au public ? Les seuls qui avaient pu en apercevoir une partie étaient en soins intensifs à l'hôpital, ou attendaient patiemment qu'on les enterre ou les incinère. Et cette seule qualité qu'on pouvait lui accorder était le sens de la répartie, malheureusement cela s'arrêtait là car après quoi cela devenait débile, quelle paumée, comme si elle croyait m'atteindre avec des insultes sur le physique, elle ne comprenait vraiment rien à rien, j'espérais que je n'allais pas avoir à la revoir souvent, sinon elle succomberait très vite, enfin, vu l'attitude qu'elle adoptait, j'imagine bien que personne ne viendrait pleurer son décès, ce n'était pas comme si on en avait pléthore… Déjà que j'en avais eu ma claque de ce gamin qui s'était payé ma tête à cause de ma force physique peu développée, si celle-ci agissait dans le même genre, elle comprendrait très vite que je n'aurais absolument aucune pitié à la mettre hors-service, même les chiens ne voudraient plus de son corps, elle qui le met en avant au détriment de la seule chose essentielle à l'Homme, la raison. Une idée me traversa très rapidement, que je ne mettrai sans doute pas en pratique, à moins d'être désespérée encore plus que je ne l'étais déjà en la considérant, c'était de voir comment elle réagirait lorsque son corps tout entier serait sillonné de cicatrices en tous genres, des stigmates horribles et absolument pas esthétiques. Viendrait-elle encore pleurer qu'il faille être superficielle une fois qu'elle ne ressemblerait plus à rien ?
Mais je n'eus même pas le temps de lui répondre quoi que ce soit, le temps de mettre mes idées en place car je ne voulais pas être assimilée à cette cruche, parler pour ne rien dire, ce n'était pas une de mes grandes passions. Ceci dit, elle me sauta dessus avec autant de douceur qu'un animal mâle en rûte, et ma chut vint se terminer au sol, tandis que cette attardée semblait prendre son pied à me tirer les cheveux. Par pur réflexe face à une agression, le gaz sortir de mon corps, j'en étais consciente bien évidemment, mais très souvent il n'appartenait qu'à moi de le laisser ou non, à l'insu de mes attaquants. En plus elle avait plutôt l'air de ne rien avoir dans le crâne à part sans doute un implant mammaire de secours, car tout juste après avoir dit que je ne ressemblais à rien, que j'étais aussi plate qu'une planche à pain ou quoi que soit d'autre, elle venait de m'appeler « ma jolie », et même si c'était purement ironique, cela démontrait la hauteur de son intelligence… Cependant j'arrêtais toute diffusion du gaz lorsqu'une voix familière tonna dans le hall, une voix qui n'était pas des moins charmante. L'orage lui-même malgré sa musique envoûtante n'aurait jamais su égaler cette voix sublime qui au travers de la colère ne n'étais que plus mélodieuse. Pour sûr, Maiwenn se distinguait très clairement des autres femmes car c'était une femme admirable dans son travail et qui malgré tout prenait soin de son apparence. Même si je dois bien l'avouer, j'aimais surtout en elle son sens de la pitié au moins aussi fort que le mien contre ceux qui se mettent en travers de notre chemin. Notre petite escapade dans les sous-sols du centre commercial avait été particulièrement jouissive, son pouvoir s'était révélé terrifiant et enviable en même temps. Par ailleurs, j'eus là un autre très bel exemple de l'intensité de celui-ci, ordonnant minutieusement à cette déjantée de me lâcher très vite si elle ne voulait pas que je m'énerve. Certes elle avait peut-être exagéré l'étendue de ma puissance physique, mais le résultat aurait été le même de toute manière, si elle n'aurait pas souffert physiquement d'un point de vue extérieur, l'autopsie aurait révélé une carence en oxygène ayant causé la mort, elle aurait donc souffert intérieurement, ce qui était bien pire car les baumes sont inefficaces dans ce genre de blessures. Cependant, celle qui avait osé me faire subir une légère violence physique réagit de la même manière que celle dont Maiwenn exigeait qu'elle suive. Prodigieux. Puis elle renvoya tout le monde présent dans le hall, tous ces touristes qu'on ne voyait jamais ailleurs, que ce soit en mission, dans les salles de conférences, je me demande bien ce qu'ils font tous ces gens-là. Puis elle m'aida à me relever, je saisis sa main fermement en remarquant la grande douceur de sa peau, enfin celle de l'autre écervelée devait être fort douce aussi mais le contact forcé n'avait pas été propice à cette analyse. Je fis un petit sourire à l'attention de Maiwenn, malgré les traits durs qui restaient sur son visage vis-à-vis de la situation actuelle, enfin je n'allais pas lui en vouloir pour cela. Puis très rapidement enchaîné elle ordonna à cette fille de lui donner les renseignements qu'elle voulait sur-le-champ, prodiguant pas la même occasion quelques menaces bien placées, dont j'étais assurée qu'elles seraient mises à exécution, Maiwenn avait beau être toute belle, elle n'en demeurait pas moins une menace quant à l'intégrité physique d'autrui, et peut-être bien même à l'intégrité mentale. Puis elle me donna subrepticement la raison pour laquelle elle était ici, mais cela m'était parfaitement égal, elle était ici depuis bien plus longtemps que moi, et si elle n'avait pas encore le statut de supérieure, c'était tout comme, elle inspirait la crainte. Je ramassai un des couteaux qui était tombé au sol, le retournai dans ma paume pour que la lame aille vers moi, posai mes deux mains sur les épaules de cette prétentieuse et la plaquai violemment contre le mur.
« Alors écoute-moi bien espèce de pseudo reine de la promotion qui s'imagine mériter tous les honneurs simplement parce que c'est une blonde, puisque tu te crois si belle et que tu crois avoir des formes qui t'autorisent à tout faire, même à insulter d'autres femmes, t'as qu'à aller donner ton corps, j'suis sûre que t'es tellement discrète qu'ils sont cinquante là juste derrière la porte à attendre que t'ailles écarter les jambes. Si tu te crois tellement supérieure t'as qu'à aller faire ta dominatrice avec eux, on a pas besoin de toi ici. On a pas besoin de nanas qui donnent leur *** à tous les premiers qui vont passer, dans le seul objectif est de simplement soulever sa jupe pour en dévoiler la fleur qui se cache en dessous. » Je retirai une main d'une de ses épaules, celle qui avait le couteau, et le fis tourner pour que la lame soit vers l'extérieur, et caressai du haut des épaules jusqu'au nombril la peau fort douce de cette femme, en n'oubliant pas de passer sur les bretelles de son haut et de son soutien gorge à peine dissimulé, tout en poursuivant d'une voix presque tentatrice : « Tu sais, toi qui te complais d'avoir un corps aussi magnifique, ce qui n'est d'ailleurs pas vraiment faux, tu vas nous faire quoi si on te lacère tout le corps avec ce couteau et que tu en gardes des cicatrices disgracieuses, nous donner une fessée ? Imagine un peu que tu sois recouvertes de la tête au pied, toute partie de l'anatomie comprise, si j'en étais l'auteure je ne te raterais pas, tu crois encore que les chiens qui t'attendent à l'entrée auraient encore envie de « te passer dessus » comme tu dis si bien ? Je pense plutôt qu'il faudra que tu les payes pour que toi-même tu t'attribues leurs services. » J'attendis quelques secondes le temps de reprendre mon souffle, et de mettre en place dans ma tête la prochaine tirade. « Maintenant je vais t'expliquer ce qu'est la beauté pour moi. Le corps n'est qu'une enveloppe peu importante, il n'est que l'image que l'on veut donner. Si tu crois vraiment en la suprématie de la femme sur l'homme, alors il va être temps d'apprendre à être intelligente, ou dans le pire des cas, d'obtenir l'intelligence de se dire qu'il faut être intelligente. Car ce que tu appelles toi-même la beauté n'est que la beauté que les hommes nous ont forcé à adopter, et tu ne fais que leur faire plaisir en t'exhibant à la Madonna. Crois-tu sincèrement que la beauté d'une femme se mesure à la taille de sa poitrine tout comme la virilité d'un homme se mesure à la longueur de ce qu'il a entre les jambes ? Eh bien si tu penses de cette manière, tu ne vaux guère mieux qu'eux. Alors peut-être que j'ai en partie le même état d'esprit que les nones dans les couvent, mais moi au moins je sais ce que veulent ces bêtes et c'est la raison pour laquelle je ne leur cède pas. Mais si jamais tu ne comprends pas ça, alors il est inutile que j'aille plus loin, de toute façon, je te donne soixante secondes pour saisir ce concept, sinon quoi tu n'auras plus à te soucier de la beauté de ton corps. Que tu l'adoptes ou pas j'en ai strictement rien à faire, dans un cas mon estime pour toi s'améliorera, dans l'autre tu seras une ennemie, mais si jamais tu refuses de le comprendre, alors tu trépasseras. »
Je n'avais pas cédé à la violence, alors que j'aurais très bien pu m'abaisser au même niveau qu'elle, mais si je prônais la victoire de la raison sur l'impulsion, quel mérite aurais-je à y gagner ? De toute manière, même si Maiwenn me laissait un peu de temps pour m'offrir la vengeance qu'elle m'avait confisqué il y a quelques instants, elle allait très certainement user de son pouvoir sur moi si jamais je commençais à perdre le contrôle de moi-même, et me réduire au même état que cette timbrée aux idées arrêtées. Tout d'un coup je me demandais si j'avais été comme ça lorsque j'avais manqué de me faire violer par cet immondice, et j'avais très certainement agi de la sorte, bien que je ne provoquais pas moi-même ma chute en hurlant à tout va, et encore je n'avais tué personne. Mais c'était clair que si elle continuait à hurler comme ça après les hommes, aussi stupides soient-ils pour la plupart, lorsqu'elle se retrouverait avec une brigade d'intervention sur le dos elle ne rigolerait pas longtemps. Quoi qu'il en soit, pour le moment, elle était en nos pouvoirs, et bien que Maiwenn en ait un bien plus destructeur que moi, elle allait goûter aux douces saveurs du monoxyde de carbone, et bien que je n'ai pas réellement eu l'intention de la tuer, au pire j'aurais attendu qu'elle s'effondre avant de l'envoyer faire un tour à l'infirmerie, elle allait être au parfum très vite. Mais qui pourrait bien me reprocher cela dans une telle situation ? J'avais le témoignage de la collègue que j'appréciais fort et admirais tout autant, alors je ne craignais rien si ce n'était peut-être juste une riposte physique de cette allumeuse allumée, mais la douleur finirait bien par s'estomper de toute manière. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Féminisme et supériorité vont de paire [PV Lorelei - Libre] Mar 23 Mar 2010 - 2:29 | |
| Ashley attendait patiemment la réponse un tant soit peu arrangeante ou mortelle de la jeune péronnelle qu'elle tenait à sa merci. C'est alors qu'une personne extérieure qu'elle n'avait pas vu avant débarqua dans la pièce et toisa la scène avec une grande froideur. La femme se moqua brièvement de son statut de reine et lui parla d'une voix mélodieuse et irrésistible. Involontairement elle libéra son étreinte et sa main s'écarta des cheveux parfumés de sa cible. Son bras retomba le long de son corps, corps qu'elle ne contrôlait plus apparemment... La harpie qui lui faisait face semblait avoir un don hypnotique qui conduisait les gens à faire ce qu'elle décidait pour eux. Ashley poussa un gémissement de rage et tenta de lutter contre cette attaque sournoise et invisible. Rien n'y fit, elle du se contraindre à rester immobile. La nouvelle venue renvoya tout les spectateurs hors du hall et elles ne furent bientôt que toutes les trois, l'insolente qui l'avait traité de p***, la sirène, ou plutôt harpie qui la bloquait et elle-même. Trois filles prêt au combat, comme si elles allaient s'affronter dans une bataille meurtrière et sanglante comme le fit si bien remarqué sa tortionnaire. Celle-ci lui posa rapidement quelques questions assassines et sifflantes, afin d'avoir des renseignements sur Ashley. La jeune fille poussa un soupir dédaigneux. Personne n'était au courant de son arrivée... Avant qu'elle ne puisse répandre son venin dans une phrase verbale bien piquante, et ce malgré les menaces de la femme, elle fut plaqué au mur par la gourgandine à la tenue de bonne sœur. Celle-ci sortit alors un petit couteau et caressa le corps absolument parfait et sans défaut d'Ashley. Cette dernière tremblait comme une feuille, même le pouvoir de la femme ne l'empêchait pas d'avoir peur. Elle n'avait pas peur de mourir non, elle avait simplement peur que l'enragée déforme à jamais son corps si gracieux et irrésistible.. Ses yeux louchèrent sur le couteau qui décrivait de petit dessin sur sa peau de pèche tendre et bronzée.
Oula, hey on va se calmer ma jolie ok ? Je veux bien admettre être aller un peu trop loin mais la tu perds tout contrôle... C'est comme si je te menaçait de te couper les cheveux avec un râteau ébréché, tu serais heureuse ? Pour moi c'est la même chose ! J'ai mis du temps avant d'obtenir un corps de déesse alors ne gâche pas tout. Je serais prêt à tout pour que tu range ce couteau, même dormir dans ton lit si j'avais pas le choix !
Un petit frisson de dégout s'insinua dans le corps d'Ashley. Qui sait ce que pourrais lui réserver comme horreur la mégère qui lui faisait face. Si ça se trouve elle était lesbienne en plus ! Ashley s'imaginait dans son lit et voyait déjà la tête de serpent de la femme se faufiler sous sa couette et remonter contre ses jambes en dardant sa langue de vipère... Cette image eut le don de l'horrifier encore plus... Non ce n'était pas possible, elle était tellement canon que l'inconnue l'aurait déjà embrassé depuis bien longtemps et ne la menacerait pas avec son jouet ridicule ! En attendant elle était toujours bloquée et le moindre effort pour tenter de se dégager était superflus. Elle révisa dans sa tête chaque moyen de se sortir de cette situation et n'en trouva aucun. Elle avait soudain penser à un mot, bien qu'elle ne l'ai entendu que très rarement et qu'elle ne savait pas trop à quoi il servait : excuse. Un mot pour les faibles peut-être ? Ou bien cela servait à se rabaisser ? Certainement pas ! Ashley ne s'excuserait jamais ! Non mais et puis quoi encore ! Elles se prenaient pour qui ces deux grosses dindes ? Paris Hilton et Nicole Richie ? Elle vrilla ses yeux dans ceux de celle qui faisait joujou avec son couteau et eut une soudaine illumination. Elle ressemblait à.... à.... Tinkerbell ! En la regardant bien Ashley trouva plusieurs similitudes entre le chien de cette gourde de Paris et elle. Leurs yeux de chien battu, le poil hérissé... Des vêtements affreux... Ashley était très fière de sa comparaison. Elle s'appétait à faire part de cette remarque à la fille mais s'arrêta net. Peut-être que cela aggraverait son cas, surement même... Une autre fois peut-être....
Bon Bécassine tu es mignonne mais tu va ranger ton bidule dans ton tablier et tu retourne nourrir les oies ok ? Ta charmante collègue m'a posée des questions et j'aimerais l'éclairer si ça te gène pas ! Et pour ta gouverne je m'excuse si j'ai pu te blesser verbalement à défaut d'avoir pu le faire physiquement...
Ashley se délectait de cette petite animosité entre elle et la femme. C'était toujours agréable d'avoir un petit compagnon de jeu pour passer le temps et cette fille ferait un excellent toutou... Ashley ne savait quel surnom lui donner... Tinkerbell c'était marrant mais il y avait tant d'autre choix... Lassie, Pluto, Cubitus, Idéfix, Milou, Rantanplan, Snoopy... Cela pouvait sembler étrange mais Ashley s'intéressait parfois à de futiles recherches cérébrale alors qu'elle était en situation délicate... Sur le coup la jeune fille trouvait plus important et intéressant de dédramatiser la situation en se foutant allègrement de la tête de cette charnelle vérolée qui lui faisait face. De toute façon Ashley était coincée, on aurait dit une huitre tétraplégique tellement sa capacité de mouvement était entravé... Elle reporta son attention sur cette fille qui ferait exploser un cruchomère en battant le record du monde et s'attarda sur sa bouche. Une belle bouche si ce n'était le semblant de bave qui occupait la commissure de ses lèvres tant elle semblait avide de violence... Dégouté, Ashley failli lâcher une de ses insultes favorites et traiter l'horripilante créature d'amas de glaire ou de mollusque mono-neuronale. Malheureusement la jeune femme était encore consciente du danger qu'elle représentait et serra les dents... La femme n'avait pas desserrer son étreinte malgré sa demande...
Écoute moi maintenant celle-qui-pense-qu'elle-peut-faire-ce-qu'elle-veut-de-mon-magnifique-corps-et-mettre-ses-sales-pattes-dessus-juste-parceque-ça-l'excite ! Lâche moi, on connaitra plein d'autres moments d'intimité et on ira à la pêche aux moules ensemble si tu veux ! Mais la je suis pas d'humeur c'est marée basse et j'ai les algues en compote. En plus ta collègue attends toujours ma réponse !
Ashley sourit de toutes ses dents et porta son attention sur la fille qui osait l'empêcher de commettre le moindre mouvement. Elle croyait quoi la jouvencelle, la maitriser juste avec son pouvoir musical ? Remarque il était efficace ce satané pouvoir...
Attends je m'éclaircis la voix la sirène ! Hum hum ! C'est sûr on a pas tous une aussi belle voix que toi ! Je m'appelle Ashley et je suis venu ici d'après les recommandations d'un ami même si tout cela ne te concerne absolument pas ! Ensuite j'ai provoqué cette esclandre simplement parce que je trouve l'accueil digne d'un hôtel formule 1... Maintenant tu peux casser la voix (Patrick Bruel Powa !!!), ou ce que tu veux mais épargne moi et ne redécore pas les murs de mon sang bien qu'ils mériteraient d'être refait.... Je m'excuse du désordre occasionné je ne connais pas les règles et je ne demande qu'à apprendre... (je vais aussi t'apprendre à te ravaler la façade si tu continue à me faire *****)
Ashley était fière de ses excuses. C'était la première fois qu'elle en faisait et elle fut extrêmement contente du résultat. Le ton était juste et elle pensait avoir mit son ironie de côté... Quoiqu'il en soit elle devenait de plus en plus oppressée sous l'action du pouvoir de la femme et de l'autre idiote. Elle qui pensait venir dans une confrérie de mutant, elle se retrouvait avec une morue et un thon... Ashley stressa un cours instant. Elle allait peut-être devoir se maquiller comme une dorade maintenant pour intégrer le groupe ? Ashley soupira et adressa un regard implorant aux deux femmes... Elle implorait un miracle qui les transformeraient en de gentilles copines qui feraient tout ce qu'elle voudrait... Porter ses sacs de fringues par exemple... Oui elle rêvait, mais comme le disait le dicton, l'espoir faisait vivre... |
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