Bar de l'hotel de ville [PV].

Le soleil était à peine levée que Kate elle, était déjà en mouvement dans sa chambre à se préparer en vitesse. Aujourd'hui, c'était un grand jour. On lui avait confié une tâche bien particulière qu'elle allait réaliser au côté de Logan, probablement le mutant qui l'impressionnait le plus sur toute la terre. Avoir le privilège de se faire approché par lui, celui qui l'avait vu à ses premiers jours à l'institution, pour l'aider dans une mission était tout simplement merveilleux. Il n'était pas question que Kate échoue aujourd'hui! Elle allait faire de son mieux pour aider son coéquipier et faire de cette journée, une bonne journée...

À peine habillée et prête à partir, son cellulaire vibra, signe qu'elle venait de recevoir un texto. Elle prit donc aussitôt le gadget et un sourire se dessina sur ses lèvres lorsqu'elle lu le texto de Logan. Ça y est, c'était commencé. Elle devait donc se rendre au bar de l'hôtel de ville de ce pas, car il l'attendait.

En quelques secondes elle dévala l'institution pour se rendre au garage, d'où elle prit sa voiture pour se rendre au point de rendez-vous. Le trajet ne prit pas de temps, étant très tôt la circulation était presque inexistante. Elle arriva devant ledit hôtel de ville, se gara, et alla en direction du bar. Wolverine était assit au bar et guettait l'entrée. Kate lui fit un sourire suivit d'un signe de tête et alla s'asseoir à ses côtés. Elle était tellement excitée de pouvoir enfin faire quelque chose d'important avec lui, et à entendre les oui-dires de ses collègues X-Men, cette tâche n'était pas du gâteau. Jack était un criminel coriace, il allait être important d'être sur leurs gardes. Peut-être était-ce pour cette raison que le Prof X les avait choisis... leur instinct animal allait leur être très utile. Kate regarda Logan puis lui dit:

«Quels sont les plans?»

On ne lui en avait pas plus dis sur les comment, pourquoi, quand et où. Tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle travaillerait avec Logan pour la capture de Jack, l'homme rasoir... elle l'avait déjà confronté et elle savait de quoi il était capable. Elle resta là, face à son collègue, en attendant les ordres.

[désolé pour le rouillage... je me réhabitue!]

Sa voiture roulait silencieusement dans la nuit. Le fait de faire partie d'une grosse société offrait quelque avantages matériel non négligable, appartement de fonction plus que correcte, une voiture des plus préstigieuse marques et assez d'argent pour s'acheter des costumes de grand couturier. Et bien tout cela Jack n'en avait cure, le luxe ne l'interessait pas, sa aurait été lui il aurait continué a vivre dans son hangar abandonné sur le port, et il aurait continué a piqué une voiture a un quidam qands le besoin s'en faisait sentir, et toujours en portant ses veilles frusques dans lesquels il se sentait bien.

Mais le patron avait exigé, et quand le patron exige on exécute. Petit a petit grace a une fine psychologie, et a une montagne de cachet, le patron de Jack avait reussi a juguler la paranoïa du mutant sans la détruire. Non cela lui était trop précieux, il lui suffisait de faire croire a Jack que tel personne ou tel organisme voulait sa mort et celle par extension de l'entreprise, pour que le mutant se jette dans un traque impitoyable des responsables, qui ne laissait derriére lui que du sang, des larmes et des cadavres de familles entiére horriblement mutilés.

Cette foix la cible était un certain Anthony Jarvis, sénateur du grand état de New-York, mais qui avait eu l'idée saugrenue de vouloir imposé des moratoire et des contrôles plus stricte en matiére d'exportation de marchandise et de fiscalité d'entreprise. Cela ne plaisait evidemment pas au patron de Jack, qui c'était ensuite debrouillé pour que le mutant trancheur pensent que Jarvis était le responsable de tout les problémes de Jack, c'était lui qui le surveillait, c'était lui qui voulait qu'il disparaisse, c'était lui le cerveau de toute la machination que Storm avait imaginé dans son cerveau malade.

La puissante berline arriva en vue de la maison du sénateur, sur les hauteurs de la ville. Cette derniére devait être particuliérement bien protégé, par les service secret, la police et truffés d'équipement de sécurité high-tech. Mais tout cela le mutant n'en avait cure, il creuserait son sillion sanglant jusqu'a sa cible quoi qu'il puisse se passer.

Jack garas sa voiture un kilométre avant la maison. Il ferait le reste a pieds quand il arrivera a la porte il aviserait, il avait toujours procédé de cette maniére de façon a ce que l'ennemis ne decouvre pas sa stratégie. En passant devant un maison il trancha net le poteau qui soutenait la boite aux lettres, il regarda le bout de bois decapité avec un grands sourir, imaginent déjà les milles façon dont il fera souffrir le sénateur avant de le tuer a petit feu.