premiers pas......[Privé Haller et Cookie]

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Cela faisait maintenant une semaine que Saki avait été affectée à New-York. Cette ville était totalement différente de Washington. La capitale politique des États-Unis était une ville calme, paisible, loin de la fureur de la Grosse Pomme. Maintenant que la jeune femme avait finit de s'installer, elle avait décidé de visiter New-York de ressentir cette énergie, cette vie, qui palpitait dans les artères de ce monstre urbain. La jeune femme avait opté pour un style plus décontracté que celui qu'elle arborait lorsqu'elle devait se rendre à son bureau. Pour cette visite, Saki opta pour un pantalon en toile dont une jambe arborait une calligraphie. En fait ce pantalon était la seule digression à son look habituelle. Saki avait opté pour une chemise blanche et une veste noire complètent l'ensemble qu'elle faisait avec le pantalon. La jeune femme opta pour des chaussures plates afin de ne pas souffrir lorsqu'elle sillonnera les rues de New-York.
Saki décida de prendre un taxi, elle avait bien compris que c'était le seul moyen avec le métro pour circuler dans les rues bondées de New-York. Le chauffeur était originaire du Pakistan et sa voiture était un petit bout de ce pays. Saki eut un sourire amère, New-York était un amalgamée de culture, d'ethnie et pourtant les mutants n'y étaient pas plus acceptés qu'ailleurs. La jeune femme décida de se promener dans Central-Park, l'une des icônes de la ville, et indiqua donc au chauffeur sa destination. Ce dernier démarra presque aussi tôt, s'engageant dans le flots de voiture au mépris du code de la route. Par moment cet homme, souriant, lâchait des insultes ou faisait jouer son klaxon afin de signaler son arrivée aux pauvres piétons ou autres automobilistes. Par un miracle, le Taxi s'arrêta devant l'une des entrées du Park, sans avoir causé le moindre accident. Saki paya sa course et pénétra dans cet îlots de verdure au milieu des bâtiments de la ville. Les parcs de Washington étaient une des choses qui allaient manquer à la jeune femme, mais celui-ci avait de quoi satisfaire son besoin de calme.
Saki flâna observant les personnes qui comme elle se promenait profitant des plaisirs que ce Park pouvait leur offrir. Elle regarda les couples se promener mains dans la mains, sa vie sentimentale était des plus déserte depuis quelques temps. Elle avait faillit avoir une aventure de travail, mais cela n'aurait pas été une bonne idée. La jeune femme n'avait pas de regrets, elle avait choisit une vie qui ne facilitait pas la vie de couple. De plus, le fait d'être une mutante n'aidait pas pour créer un couple, à moins trouver un mutant. Mais Saki ne voulait tomber dans la parodie. Alors qu'elle flânait, la jeune femme faillit causer une drame, qui ne fut éviter que grâce à des réflexes obtenus suite à des années de pratique d'un art martial. Une jeune fille, elle ne devait pas avoir plus de 6ans, ne regardant pas où elle courait, avait surgit de nulle part une glace à la main. La gamine ne s'arrêta même pas, rejoignant ses parents sans même un regard pour la jeune femme contre laquelle elle avait faillit s'écraser. Alors qu'elle marchait sans savoir où elle allait, la jeune femme ne put s'empêcher de se demander si parmi cette foule se cachait des mutants. Certains tout comme elle avait la chance d'avoir une apparence humaine et de pouvoir passer inaperçue .
Après près d'une heure de errance, Saki alla s'assoir sur un banc faisant face au Lac sur lequel quelques canards barbotaient tranquillement, insouciant du conflit qui opposait une partie de l'humanité à l'autre. Cette pensée enleva toute légèreté au regard de Saki, malgré la tranquillité du spectacle qu'ils lui offraient.

Il n’était pas chose aisée de se livrer à l’analyse d’un texte de la Torah ! Voilà bien la seule constatation partagée communément par tous les rabbins se livrant à cet exercice laborieux ! En effet, toutes les paraboles du livre sacré étaient composées de mots ou d’expression pouvait être compris de 50 façons différentes et chaque rabbin possédait sa propre vision du sens qu’il devait lui attribuer. Autant dire que l’étude d’un seul paragraphe se transformait rapidement en véritable casse-tête chinois pour les jeunes séminaristes qui s’apprêtaient à passer leurs examens finaux dans un peu moins d’un mois. Une certaine nervosité se faisait déjà sentir chez les élèves qui jour après jour, comprenait un peu plus les paroles de leur directeur. Le cheminement d’un serviteur de Dieu était un sentier long et difficile, pavé de bien des obstacles ! L’un d’eux, sans doute le plus sournois de tous, était ce beau soleil qui resplendissait à l’extérieur du séminaire, flattant leurs visages de ses rayons afin de les convaincre de le rejoindre. Fort heureusement pour lui, le combat que David Haller avait mené tout l’après-midi pour résister à cette douloureuse tentation allait enfin pouvoir être récompensé.

Le temps que leur maître leur avait attribués pour cette étude était arrivé à terme et chacun des élèves rendaient leurs copies, un léger sourire crispé aux lèvres. David, quant à lui, affichait une mine réjouie et satisfaite. Ce n’était pas la sensation d’avoir mieux réussis que ces condisciples, bien au contraire. Le jeune homme n’était guère prétentieux et n’entendait rien à la vantardise de certains de ces camarades. Non, s’il était aussi heureux c’est parce qu’il avait rendez-vous avec une charmante demoiselle qu’il appréciait énormément. Elle n’était pas adulte, leur différence d’âge ne laissait certes pas présager une histoire des plus croustillantes, mais David adorait cette petite nouvelle de l’école de son père : « L’institut Xavier pour jeunes surdoués ».

Les grands yeux marron de la petite Tiphany avait su charmer David dès leur première rencontre. Conscient des traumatismes qu’avait occasionnés le triste décès de toute sa famille, le jeune rabbin espérait pouvoir rendre le sourire à cette figure si angélique, privée trop tôt de son cocon familial. Il l’avait entouré de toutes les attentions, passant beaucoup de temps avec elle et tentait toujours de trouver une activité insolite qui plairait à la petite. Aujourd’hui, il avait prévu une petite ballade en moto jusqu’à Central Park où ils mangeraient de délicieuses glaces, au chocolat cela va de soit.

A peine David avait-il posé sa copie qu’il se précipita au vestiaire pour se changer. C’est que ses habits lui étaient infiniment précieux. Donc hors de question de les salir avec une vilaine tâche de graisse ou de chocolat. Une fois sa tâche accomplie, il rangea ses affaires dans un sac qu’il plaça sur son dos et se dirigea vers sa moto qu’il fit partir dans un bruissement de moteur. Il avait donné rendez-vous à sa petite Cookie devant les grilles de l’Institut et fut ravi de voir que la petite ne manquait pas à l’appel. Lui lançant un bref signe de la main, il parqua à ses côtés et la salua tout en sortant de son sac une petite veste et un casque d’enfant afin de ne pas prendre de risques inutiles. Il lui adressa ensuite un sourire des plus charmeurs et déclara.

- Bonjour ma petite Cookie ! Comment vas-tu ? Tu es prêtes pour ta première randonnée en moto ?

Cette fois curieusement, aucune remarque déplaisante ne sortit de la bouche de Fanya. Il ne fallait pas oublier que la métisse avait du s'occuper seule de ses 5 frères et soeurs et était donc touché à la vision de ce petit trésor avec qui elle partageait ses origines. Elle se contenta donc, par l'intermédiaire de son hôte, de lui adresser un clin d'oeil et un sourire des plus charmeur.

- Allez grimpe! Ca va être marrant je te promets.

Spoiler:

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(HRP:dsl pour le temps de réponse! J'ai eu un peu de mal à m'inspirer^^)

David! La jeune fille, trépignant depuis une demi-heure déjà d'impatience devant la grille de l'Institut, avait tressailli en voyant arriver le jeune rabbin qui lui avait la promesse de l'emmener à Central Park pour une petite promenade en plein air. David, ce jeune homme qui dès son arrivée, n'avait eu de cesse de s'occuper de la petite infante, avait déjà réussi plus que bien d'autres de ses nouveaux camarades dans l'école à obtenir une place dans son cœur. Il fallait dire que l'arrivée de Tiphany au sein de l'établissement, bien qu'elle ait éveillé la curiosité de ses nombreux futurs camarades, ne se fit pas sans quelque difficultés. Ce n'était vraiment comme si la petite ne savait pas se faire des amis, au contraire, car elle en eut bien vite une sacrée paire, mais ceux-ci furent souvent perplexe devant le comportement parfois complètement distrait de la jeune fille qui sans crier gare parfois se lançait dans de petites périodes de mutisme, ce qui inquiétait un peu ses compagnons de jeu. Mais Charles Xavier avait vite parlé à son fils de la nouvelle arrivée dans l'école, lui faisant ainsi comprendre le caractère plausiblement instable de la fillette. David avait de suite été s'occuper de la jeune fille, qui, malgré sa crainte des grand hommes adultes, avait fini, petit à petit, par presque avoir confiance en ce jeune rabbin qui, tout comme son père,inspirait d'étranges sensations à la jeune fille. Ces adultes ne lui rappelaient aucunement son père, ce pourquoi les attentions, puis les invitations puis les jeux que lui offrait David l'avait vite charmée. Il était gentil, présent, il semblait que lorsqu'il s'occupait d'elle, plus rien d'autre n'existait qu'eux deux, et parfois même quand il venait jouer avec elle lorsque des amies étaient déjà présentes, elle détachait très vite son attention du groupe pour la focaliser sur l'adulte au regard diaphane. Elle devait certainement en être un peu amoureuse. Après tout, il était grand et beau. Et c'était l'adulte qui venait le plus lui rendre visite, du coup il était venu très vite très proche. Et à présent, il allait l'emmener en moto à New York! Cette ville si dangereuse et si légendaire à la fois pour la jeune fille, qui avait voyagé dans plusieurs pays, mais jamais en Amérique. Il paraîtrait que l'on pouvait passer des jours là-bas rien qu'à visiter Central Park, lui avait dit un jour sa mère. Mais même les parcs à New York, avait-elle ajouté, sont très risqués, et le port d'arme autorisé rendait la situation beaucoup plus stressante.

Mais aujourd'hui elle ne craignait rien ,et elle souriait, elle sautillait et souriait à ce grand jeune homme qui serait son prince charmant aujourd'hui. Il la protégerait de tous les vilains gangsters et pickpocket, parce qu'il était beau, qu'il était fort et qu'il était cool!

- Bonjour Daviiid! Ca va bien, et toi? Alors on y va , on y va maintenant tout de suite? Tu m'emmènes à Central Park? Cool!!"

Elle ne pensait à rien d'autre qu'à cette merveilleuse balade en perspective avec son immense chevalier servant. C'était la première fois qu'elle sortait de l'Institut pour se rendre à la ville, et bien que l'école lui plaisait déjà, possédant de grands jardins très soignés, sa nature de Sudafricaine commençait à manquer de grands espaces à parcourir et à admirer, et la proposition galante qui lui avait fait le rabbin quelques jours plus tôt avait fait bondir le petit cœur de Cookie dans sa poitrine. Depuis, elle avait attendu ce moment, rêvant des mille jardins fleuris qu'elle parcourrait avec son David, des allées baignées de soleil, des glaces au chocolaaaaaat qu'il lui avait promise! Mon Dieu, ce qu'il savait parler aux femmes ce David, pensait-elle en s'imaginant vêtue comme Cendrillon ce jour-là, et lui habillé en prince, lui tenant le bras en marchant à travers Central Park. Mais alors qu'ils se dirigeaient vers la moto du jeune homme, c'était déjà comme s'ils avait revêtu les vêtements royaux. Elle ne pensait plus qu'à ça, et en devenait si enthousiaste qu'elle sautillait à côté de lui pendant qu'il marchait, puis se collait à lui en prenant son bras et le balançait en lui racontant les évènements de sa journée, discutant, riant aux commentaires gentiment ironiques de son beau garde du corps, lui arrachant quelques sourires pour son plus grand bonheur avant d'enfin monter sur l'engin.

-Elle est énooooorme! Ouah! Les copines vont être tel-le-ment jalouses de moi, hihihi! Dis, tu me laisseras la conduire un jour hein? Un jour je pourrai la conduire et tu seras derrière moi? Je serai tel-le-ment con-tente!!"

Grimpant derrière David, l'entourant de ses bras, le serrant peut-être une peu plus que nécessaire, elle posa sa tête de profil sur son dos, lui faisant un câlin alors qu'il démarrait la moto. Il donna le signal de départ, puis ils filèrent comme l'éclair vers New York, les cheveux virevoltant dans le vent, le visage rafraîchit par cette caresse vivifiante et assez nouvelle pour la jeune fille, qui pour la première fois, la toute première! Se retrouvait à filer sous la brise sur une moto:

"Yahouuu! C'est trop cooooool!"

En voyant la petite fille aussi excitée à l’idée de leur promenade, David ne put s’empêcher de réprimer un sourire. Voilà déjà quelques mois que Tiphany était arrivée à l’Institut et le jeune homme n’en revenait pas des progrès de sa petite protégée. Cette jolie petite fleur qui, il y a peu, se tenait encore enfermées dans ses douloureux souvenirs et dans un monde qui ne lui appartenait qu’à elle s’était peu à peu épanouie et laissait apercevoir les merveilles qui se dissimulait sous ses pétales malades. David ne pouvait s’empêcher de se sentir fier de sa petite « Cookie » qui reprenait peu à peu goût à la vie. Peut être avait-il joué un rôle dans cette surprenants métamorphose et que sa présence à ses côtés lui avaient été des plus bénéfique. C’est tout moins l’idée que s’en faisait le jeune homme et le comportement de Tiphany semblait approuver sa théorie.

Il ne se passait pas un jour sans que ses deux surprenants compères ne passent au moins une heure ensemble. Les jeux, les sorties et les diners se succédaient à un rythme affolant et lorsqu’ils étaient ensemble, rien ne semblait plus pouvoir les séparer ! Jamais David n’aurait pu imaginer que la présence de Cookie lui serait un jour aussi indispensable. Il pouvait encore se remémorer la discussion avec son père qui avait précédé sa première rencontre avec la fillette. Charles la lui avait présentée, persuadant David que Tiphany ne pourrait s’épanouir qu’à ses côtés. Peut être voyait-il en la situation de la fillette celle que David avait traversée à la mort de Daniel. Bien sûr, les évènements qui les avaient amenés à perdre les membres de leur famille avaient été bien différents mais la violence de cette séparation était la même. David, un peu perplexe au début, s’était peu à peu pris au jeu et s’était vite fait à ce nouveau rôle de «Tonton David ».

Le jeune homme n’avait jamais eu à faire l’expérience de cette douloureuse solitude. Certes, il avait perdu Daniel mais Gabrielle Charles et Erik étaient toujours là eux. Tiphany elle, s’était retrouvée toute seule, écartées de toutes les personnes qui lui étaient chères. Elle avait donc besoin d’un amour profond qui l’aiderait à avancer dans sa vie et cet amour justement, David s’était juré de le lui réservé qu’à elle seule. Cela n’était pas une entreprise bien compliquée. Après tout, David n’avait encore jamais eu le loisir de parrainer l’un des protégées de son père et les quelques amis qu’ils avaient ne verraient certes pas d’un mauvais œil leur relation ; malgré les nombreuses années qui les séparaient l’un de l’autre.

Marchant aux côtés de la fillette, David avait été charmé par les quelques remarques de Tiphany. L’idée d’une balade à Central Park n’avait pas été le fruit de l’imagination de David, Il l’avait empruntée à la fillette lorsqu’elle lui avait expliqué les racontars de sa mère. Apparemment ceux-ci lui avaient été du meilleur effet et elle se réjouissait de découvrir cette grande jungle urbaine, protégée par son beau chevalier servant. David la regarda alors en souriant et lui répondit.

- Il me semblait avoir entendu une petite fille qui rêvait de faire cette excursion non ? Tu verras, je suis certains qu’elle va beaucoup t’amuser. Chaque coin recèle de fleurs et d’arbres merveilleux… Et, au comble du bonheur, un glacier a installé son magasin non loin de là. Nous pourrons donc nous balader au bord du lac tout en mangeant de bonnes glaces au chocolat. Qu’en dis-tu ?

Mais à peine avait-il eu le temps de lui poser la question, que Tiphany s’était déjà précipitée admirative vers la moto du jeune homme. Apparemment le moyen de transport qu’il lui avait choisit, lui convenait à merveilles et c’était tant mieux. Le jeune homme craignait au départ que ce véhicule l’effraierait mais il fut ravi de constater que ce n’était pas le cas. Il saisit alors une petite veste de motard et un casque dont il coiffa et vêtit la fillette. C’est qu’une moto était un moyen de transport des plus risqué et ne pas prendre de risques inutiles était une preuve du sens de responsabilités du jeune rabbin. Il prit ensuite le temps de répondre à la fillette dans un sourire.

- Je suis ravie qu’elle vous plaise princesse, une balade comme celle-ci méritait que je choisisse pour vous la meilleures des montures… Je t’apprendrais un jour à la conduire si tu le désires, mais pas pour tout de suite. Il faudra que tu patiente encore quelques années avant ça. Mais promis juré, un jour je le ferais. A présent votre Altesse, si vous êtes prête il est l’heure de partir.

Il souleva alors la fillette et la déposa sur la moto avant de se placer devant elle. Après lui avoir fait par de quelques recommandations de dernière minutes, il enclencha le moteur et partir avec elle en direction de la ville. Le paysage aux alentours était splendide et il entendit à chaque nouveau tronçon les exclamations admiratives de la jeune fille. Il ne leur fallut guère plus d’une dizaine de minutes avant d’atteindre le parc et une fois cela fait, il s’arrêta et hotta son casque avant d’adresser un sourire à la petite Tiphany.

- Alors Cookie dis-moi. Est-ce que cette petite balade t’a plu ?

L’agitation que régnait à l’intérieur de l’esprit de David ne le désarçonna guère. Il entendait pourtant les soupirs et les remarques pleines d’émerveillement de la part des deux femmes qui hantaient son esprit. Cindy était en pleine effervescence et déclara

*Quelle charmante petite fille et quel merveilleuses petite frimousse. Tu peux me croire David, si il lui arrive quoique se soit, je t’en tiendrais pour seul responsable*

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[hrp: je laisse cookie répondre ou je re ?]

[hrp: Cookie m'a envoyé un message hier soir pour dire qu'elle nous répondrait durant le week-end. Désolé pour le retard]

» Tiphany Engalbriecht, Cookie pauvre petite enfant...