Une si douce nuit ... [PV: Shadow]

Une douce lumière dans l'obscurité.
Un espoir pour des gens perdus.

Le soleil commençait doucement à s'éteindre, sous le regard indifférent des passants. Ils ne s'intéressaient pas au spectacle qui s'offrait à eux. Et pourtant, ce ballet de couleurs était sublime. Un mélange distinct de rouge, jaune, rose, orange mêlé au blanc et bleu du ciel. Les couleurs de l'arc-en-ciel presque au complet. Et portant, les gens ne le regardaient pas, ne le voyaient pas. Pour eux, cela ne voulait rien dire, un coucher de soleil était d'une banalité exacerbée à leurs yeux. Cela n'allait pas assez vite à leurs yeux peut-être ou alors c'était trop commun, trop présent dans leur vie et ne s'en rendaient plus compte. De l'avis de la jeune femme se trouvant dans un des multiples bus jaunes qui sillonnaient la Grande Pomme, c'était triste pour tout ces gens car ils ne savaient pas ce qu'ils perdaient. Oui, un coucher de soleil c'est courant mais c'est justement ce qui le rend universel. Vous pouvez allez n'importe où sur le globe et vous pourrez assister à ce genre de spectacle (sauf évidemment si vous vous trouvez sur un des deux pôles car leur année est constituée d'une journée de six mois et d'une nuit de la même durée). Au bout de quelques mètres, elle sortit à son arrêt et marcha durant durant quelques minutes au milieux d'une foule indifférente à ce qui l'entourait. Puis elle entra dans le Central Park, et d'un coup elle se retrouva seule. Il n'y avait nulle personne excepté elle dans cette petite forêt entouré d'immeubles.

La mutante, car elle en était une, posa son sac sur un des nombreux bancs en bois qui se trouvait dans cet espace de verdure et s'assit. Elle parcourut de son regard chocolat ce qui l'entourait durant quelques petites secondes avant de fouiller dans son immense sac et de sortir le livre qu'elle lisait en ce moment. Agatha Christie. Une pure merveille de la littérature dont elle ne se lassait jamais. Cela devait bien faire la cinquième fois que Sarai relisait cet opus des aventures du héros Hercule Poirot. Il est bien vrai que « Le crime de l'Orient-Express » était fascinant à bien des égards, que ce soit de l'intrigue que de la scène de crime. Quel autre lieu mythique aurait pus avoir le privilège d'être le fil conducteur d'une histoire tirée d'une romancière de l'envergure que celle qui fit naître le célèbre détective à moustache ?
Tout à son roman, la jeune femme ne faisait plus attention à ce qui l'entourait, tout entière à son loisir favoris : la lecture. A son humble avis, les gens ne passaient pas assez de temps à lire. Et pourtant il s'agit là d'un art unique en son genre. Il est le seul à pouvoir mettre des mots, m-o-t-s, sur les maux, m-a-u-x. Un célèbre écrivain a dit un jour : Ecrire, c'est hurler en silence. Un autre a formulé : Ecrire, c'est mettre en ordre ses obsessions. Et on pourrait encore citer tant d'autres d'expressions pour désigner le sens de ce verbe si simple et si complexe à la fois qu'est écrire. Mais ce n'est pas pour écrire une dissertation sur ce sujet que Sarai était venu au Parc mais pour terminer ce roman qui, une fois commencé, l'emmener dans le climat froid de l'intrigue.

Invité

Étant tout près du Central Park pour rendre visite à un vieil amis du nom de Erwan, Citeo marchait rapidement dans les rues lentement en regardant une maison après l'autre et trouva enfin la maison... Il prit un risque et s'avança dans l'entrer cognant trois coup sur la porte de chêne dur peinturer blanc. Évidemment la porte était vieille et délabrer, lentement il attendit qu'on viennent lui ouvrir mais personne n'était venus et dix minutes avait passer. Alors lentement il mit sa mains sur la poignée et tourna lentement pour voir si elle était déverrouillé, on ne sait jamais. À sa surprise la poignée tourna jusqu'au fond et il ouvrit lentement la porte, créant dans sa mains un petit couteau juste en cas que quelqu'un sois dans la maison autre que son propriétaire. Lentement il entra en visant à droite, puis à gauche et avança tout doucement. Il entendait une musique mais qui jouait sur répétitions. Une parfaite scène de film de suspense pour un film au cinéma était en trains de se réaliser devant lui. Finalement plus il avançait dans la maison, plus il sentait une odeur de pourriture. Lentement sous le plancher qui craquait sous ses pas il se rendit à la cuisine et vit un bol de nourriture sur la table. Il s'avança lentement et souleva la fourchette avant de voir des signes de moisis dans son assiettes.

Plus il était ici moins il se sentait bien. Il remit la fourchette à sa place et se promena dans la maison lorsque son attention se figea sur une masse dans le noir qui donnais l'impression d'un être humains. Il avança à pas doux, prenant soins de ne pas faire de bruit lorsqu'il arriva dans la salle de bains une odeur de moisi encore une fois mais qui puais encore plus que ce qu'il avait sentit jusqu'ici. Malheureusement c'était trop noir pour différencier quelque chose alors lentement il se retourna et ouvrit interrupteur ressentant quelque chose lui coller les doigt. Il baissa la tête ne regardant pas ce qui était devant lui et aperçut du sang ?! Lentement il leva les yeux horrifier de plus en plus! Il se retenu de ne pas vomir devant ce qui était devant lui. La dépouille de son amis, pendus et percé d'un poignard pendus avec écrit de son sang '' MORT AU MUTANTS''

Shadow resta la un long moment à regarder la dépouille de son amis et sentit les larmes lui monter au yeux, cet homme devant lui était l'un de ses anciens amis de l'institut mort, qui d'autre avait passer sa vie dans cette guerre contre les mutant! Lentement il s'avança et décrocha une des chaînes avec les croix qu'il portait au cou et vint la porter à son cou en disant des prières triste pour qu'il trouve bonheur au ciel. Puis il détacha la dépouille, la coucha dans le bains et mit une serviette sur le corps en refermant la porte de la salle de bains et quittant la maison dans un silence. Il se dirigea dans Central Park la rage en lui tellement grande qu'il voulait simplement tous les tuer en ce moment. Heureusement pour lui, Central Park était vide... Il s'avança encore de quelques pas marchant sans porter attention lorsqu'il vit une jeune femme assise au loin. Mais on aurait dit que plus il la regardait, plus il la reconnaissais. Il s'avança lentement vers elle, espérant qu'elle le reconnaitrait aussi.

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