Kennedy Sullivan [Fini]

NOM : Sullivan PRENOM : Kennedy Lee Susan Elizabeth ALIAS ET SURNOM : Ken pour la plupart, Didi pour ceux qui sont vraiment amis avec elle et qu’ils veulent l’embêter (elle a horreur de cette appellation), Virtuality étant son code mutant AGE : 23 ans, allant sur ses 24 ans. DATE DE NAISSANCE : 07 novembre 1986 M ETIER: Officiellement, responsable réseaux et IT... officieusement, hackeuse de l’Ordre de Malte NATIONALITE : Britannique (Écosse) GENRE : Féminin CLAN : neutre

Pouvoirs :

• Description :
  note préalable : n’étant ni informaticienne ni ingénieure, je me doute que cette partie de la fiche présente des erreurs et autres incohérences. Je présente mes excuses pour le manque de réalisme ou profondeur. Je suis preneuse de tout conseil ou appel à modification.
  
  Kennedy a un pouvoir assez difficile à décrire. Les mots de digitalisation et technopathie sont peut-être ce qui s’en rapproche le plus, bien qu’ils restent pathétiquement limitatif.s A l’heure actuelle, il est impossible de savoir jusqu’où va évoluer le pouvoir de la jeune femme, et c’est peut-être ça le plus effrayant. Enfant de la civilisation moderne, Kennedy ne vous sera d’aucune utilité en plein milieu du Sahara ou en rase campagne du Dakota du Sud. Ce n’est pas qu’elle n’aime pas la nature ou l’aventure. Mais sans électricité et surtout sans connexion à un réseau, elle ne se différencie pas d’un humain lambda.
  
  Nul mieux qu’un spécialiste pour parler de ce pouvoir. Laissons donc la place au docteur Kamel Abouzidan, diplômé du MIT et spécialisé dans le domaine de l’intelligence artificielle. Dr Abouzidan travaille actuellement pour l’Ordre de Malte et a suivi le cas de Kennedy lorsqu’elle est arrivée sous le nom de code M009. Il a longtemps étudié son pouvoir et l’a aidée à le maitriser.
  
  A la base, le pouvoir du sujet M009 se manifeste comme une sorte de projection astrale, mais informatisée. Mlle Sullivan est un virtual ghost, capable de lancer sa conscience dans les ordinateurs et les réseaux informatiques et d’y agir comme s’il s’agissait d’un monde réel. Elle « digitalise » son esprit, alors que son corps reste présent dans la pièce où elle se trouvait. Ceci n’est pas sans danger, car elle se trouve non seulement à la merci d’une attaque physique, mais aussi d’une rupture du lien corps-esprit… Ce cas n’a jamais été frôlé d’assez près pour qu’on sache si cela résultait en la mort totale ou juste la mise en coma… Il a pourtant été prouvé qu’un choc électrique (voir dossier incident du 23 mars 2008) via un défibrillateur avait eu pour conséquence le « réveil » brutal de la jeune femme, qui avait alors souffert d’une sorte de crise de convulsions par la suite.
  
  Lorsqu’elle devient Virtuality, Mlle Sullivan n’a aucune conscience de ce qui se passe autour de son corps et est entièrement plongée dans le système d’accueil. Son corps devient donc mou et inerte, les fonctions vitales réduites au minimum. Pour le moment, il n’a jamais été noté de déficiences physiques quelque soit la durée du « saut » qui n’a jamais excédé pour le moment les trois heures. Peut-être qu’il existe un système de back-up automatique de l’esprit dans le corps lorsque le saut s’approche de cette limite. L’expérience au long-terme montre une très grande fatigue assortie d’une détresse respiratoire lors des « sauts » de longue durée. Nous avons donc établi un protocole de saut entre quarante-cinq minutes et quatre-vingt-dix minutes, pour une contrainte physique acceptable, dans la limite de trois sauts maximum par jour totalisant un maximum de trois heures de voyage avec un intervalle de repos d’au moins cinq heures.
  
  Il est intéressant de souligner que Mlle Sullivan n’a aucune connaissance théorique avancée de l’informatique ou de l’ingénierie technologique, bien qu’un enseignement intensif soit en train de pallier ce manque. Ainsi, elle agit de façon intuitive lorsqu’elle « navigue » dans le « système d’accueil ». Elle est par ailleurs incapable, une fois « revenue » d’expliquer ce qu’elle a vu ou fait. Elle a totale connaissance des informations qu’elle a trouvées, est capable de savoir si elle a réussi sa mission ou non mais ne peut décrire comment elle a procédé. Elle a pourtant été capable de mettre en place un pare-feu selon une série de codes qui intrigue encore les experts par leur complexité. Elle est donc à ce jour une des meilleure hackeuse et anti-hackeuse connue.
  
  Lorsque le sujet M009 a commencé ses tests, elle ne pouvait communiquer avec nous lors de son « voyage ». Depuis, sa conscience s’est agrandie au point de pouvoir capter certains de nos signaux extérieurs, comme un ordre vocal. Le taux de réussite de transmission ne dépasse pas le 7%, ce qui veut dire que Mlle Sullivan n’a pas encore maitrisé cette partie de son pouvoir, ou que nous n’avons pas identifié correctement les conditions propices à la communication.
  De même, Mlle Sullivan est incapable de communiquer vers nous, depuis « le système d’accueil ». Plusieurs solutions sont en cours d’analyse, pour remédier à cette situation où le sujet se retrouve à agir en solitaire sans dynamique extérieure.
  
  Pour effectuer le « transfert » entre son corps et le « système d’accueil », le sujet M009 commence à s’affranchir du besoin de proximité physique. Au début des tests, elle devait toucher un câble ou une prise. Maintenant, elle peut « sauter » sur une distance de près de 100 mètres, selon la stabilité du point d’accueil. Par exemple, un téléphone portable avec connexion wifi est plus « stable » si n’est pas en usage (téléphonique ou internet) ou en mouvement.
  Une fois à l’intérieur du système d’accueil, Mlle Sullivan se déplace comme toute donné digitale, à travers le « web ». Nous pouvons supposer qu’elle peut transiter à travers toutes sortes de systèmes, tant qu’il existe des passerelles. Cela pourrait aller jusqu’aux satellites, et ainsi pouvoir « voyager » sur des systèmes éloignés géographiquement, à partir du moment où elle connait le « chemin ». Le danger premier est que les passerelles entre les systèmes disparaissent et que Mlle Sullivan soit bloquée sans trouver d’autre « chemin » pour « ressortir ».
  
  En tant que donnée digitale, le sujet M009 se retrouve confronté aux problématiques de virus et anti-virus, qui constitue des dangers réels, comme le prouve l’expérience du 23 mars 2008. Ayant été détectée comme virus par les défenses du système qu’elle espionnait, Mlle Sullivan a souffert de ce qu’elle a décrit comme [i] « une douleur totale et irradiante » ce qui est intéressant vu l’absence de corps physique à ce moment. Son corps a d’ailleurs immédiatement subi un contrecoup (arrêt cardiaque, saignement externe, hypothermie, en plus des convulsions post-retour), prouvant définitivement que le corps et l’esprit son liés. Mlle Sullivan a pu regagner son corps car au choc sur le corps, et nous sommes certains que cette « rentrée » précipitée lui a sauvé la vie. Ainsi, les « sauts » ne sont pas sans danger par eux-mêmes.
  
  M009 peut se projeter dans n'importe quel système électronique et en exploiter les capacités. Aussi ne trouvera-t-elle pas grand chose à faire si elle dialogue avec une cafetière électronique, si ce n'est la faire démarrer à distance. Idem avec une imprimante... Elle pourrait s'amuser à faire 10 000 photocopies de la carte des USA, mais pas plus...
  
  Si le système dans lequel Kennedy se trouve est désactivée, elle se retrouve donc prisonnière de cette machine, tant qu'une "passerelle" vers un autre système ne se rouvre pas. Bien que cela ne se soit jamais produit, il est fort probable que cela se traduirait au niveau physique par un long déclin des fonctions vitales, jusqu'au coma profond, voire la mort. De même, si son corps se retrouve éloigner de son "point de saut", Mlle Sullivan ne pourra pas sortir, sauf si elle tombe par hasard "dessus", puisque son esprit est comme aimanté par son corps lorsque le saut approche des 3 heures.
  
  En tant que donnée I.A., Kennedy peut se retrouver confrontée à des systèmes de défenses, tel les anti-virus. A elle de les contourner ou de les hacker, ou s'auto-programmer de façon à ne pas se faire repérer. Les défenses "grande consommation" sont un jeu d'enfant pour elle, alors que les défenses nationales sont encore des défis pour elle. Lorsqu'elle a une cible, tel le réseau d'un grand groupe industriel, elle doit procéder par plusieurs étapes et avec soin.
  Et en cas de rencontre avec un esprit comme elle en ballade sur le système, tout dépend d'abord de qui repère qui. M009 ayant l'ordre de rester discrète si ce n'est indétectable, elle n'ira pas au contact et fera tout son possible pour ne pas se faire repérer. Après, c'est une question de talent... et de chance...
  
  Puisque toute menace sur le corps induit un phénomène de back-up de l'esprit dans le corps, on peut supposer qu'une attaque mentale aura le même effet. Pour le moment, les études externes sur les pouvoirs mutants montrent un lien certain entre l'âme et le corps, ainsi nous sommes à même de penser que le corps rejettera une tentative d'un technopate-digitalisateur pour "entrer". La question est plus délicate dans le cas d'un mutant télépathe, son pouvoir étant spécifiquement l'intrusion mentale. Qui, entre ce télépathe et le lien âme-corps gagnera le conflit? Encore une fois, c'est une question de volonté, aussi il n'est pas à exclure qu'un esprit étranger puisse prendre possession de M009. Dans ce cas, l'esprit véritable reste prisonnière du système d'accueil, ou doit à son tour parasiter un autre corps... avec les dangers que cela comporte...
  
  
  
• Niveaux de maitrise:
  Concernant le premier niveau de maitrise, je dirai que mon personnage est dans le moyen + voire le bon. Elle ne peut pas encore communiquer avec « l’extérieur » quel que soit le sens de communication, sauf coup de chance. Par contre, elle maitrise parfaitement sa digitalisation. Les effets sur son corps et son esprit sont encore à explorer, notamment sur la formalisation consciente de ses actions. Pour le moment, elle agit à « l’instinct » et est donc incapable de répéter les choses. A chaque nouvelle situation, elle doit tout refaire depuis le début.
  
  Son second niveau de maitrise va être introduit en RP et consiste en la dématérialisation totale (à terme) de son corps. Ainsi elle peut se « téléporter » à travers les systèmes. Son corps « disparait » quand elle devient donnée et « réapparait » quand elle redevient corporelle. Bien sûr, cela n’aura jamais rien d’instantanée, mais restera rapide, selon la vitesse du débit. Les risques sont les mêmes, voire même accrus.
  
  Se posera alors encore plus la question de savoir si Kennedy est encore réelle, ou si elle doit être considérer comme une I.A. Cela aura une grande influence sur son développement psychologique.
  
  
• Lien entre les Pouvoirs:
  Pas de second pouvoir pour le moment
  

Description Physique :

• Apparence :
  Eleanor Fyfe, née Sullivan, a transmis à sa fille un héritage hispanique dont elle n’a pourtant pas elle-même les traits. Ainsi, et bien que Kennedy soit le produit d’au moins cinq générations d’écossais, elle présente des particularités physiques assez détonantes dans ce peuple nordique-viking. Son teint naturellement mat et hâlé, bien qu’il ne soit pas marqué comme il pourrait l’être si son sang n’avait pas été mêlé à la pâleur écossaise.
  Ses paupières ont aussi un ovale bien particulier, rappelant les regards de braises de gitanes andalouses. Des longs cils ourlent des iris d’un bleu très pur, tournant facilement au gris quand la lumière se couvre. Ses cheveux sont noirs comme le jais, et presque vivants dans leurs boucles et ondulations, ce qui bien sûr, désespère la jeune femme qui rêverait d’avoir une chevelure raide.
  
  De taille et corpulence petite, car elle ne mesure qu’un mètre cinquante neuf pour quarante sept kilos, elle a un corps harmonieux, rendit souple et agile par des années de pratiques de danse. Elle a de jolies jambes, qu’elle trouve pourtant trop musculeuses au niveau des cuisses. Oui, les femmes ne sont jamais contentes d’elles. Son nez est droit et ses lèvres pulpeuses et la Miss sait qu’elle plait aux hommes. Elle n’hésite pas à en jouer, sans pour autant en abuser. Kennedy n’est pas une gourmandine et elle respecte son corps.
  
  Pourtant, les apparences peuvent jouer contre elle. Son style vestimentaire est carrément « street wear », alliant baggys, baskets et T-shirt déstructurés. Les années passées dans les quartiers miteux de New York l’ont profondément marquée, elle qui vient d’une bonne famille britannique. Depuis son intégration à l’ordre de Malte, elle a donc opéré de nombreux changements, comme reteindre ses cheveux en noir, alors qu’elle les avait décolorés en blond avec des mèches de couleur. Quelque part, elle continue à affirmer son look par pure provocation, désireuse de ne pas oublier cette partie d’elle et par simple envie de choquer et se faire remarquer.
  
  
  
• Signes Particuliers :
  Il fut un temps où Kennedy se remarquait par son opulence chevelure blonde javellisée et ses mèches de couleurs criardes : roses généralement, mais aussi rouges, noires ou bleues, tresses ou rajouts, témoin d’une vie mouvementée au sein d'un mouvement « rebelle ». Cependant, elle a reprit sa couleur naturelle.
  Par contre, elle a gardé de nombreux piercings : celui à l’aile droite du nez, le triple à chaque lobe et le double dans chaque cartilage d’oreille et le nombril. Après une longue bataille avec Sœur Josephia, elle a accepté de retirer ceux qu’elle avait aux seins de façon permanente, mais croyez-moi, ce fut épique. Elle enlève aussi ceux qu’elle porte au menton et à la langue quand cela est nécessaire.
  Kennedy n’a aucun tatouage, mais une marque de naissance sur la fesse gauche en forme de trèfle (quelque peu déformé…) et un grain de beauté à la naissance de la poitrine à droite.
  

Caractère :

• Mental :
  Kennedy est une personne profondément marquée par les événements de sa vie. Elle est consciente qu’il y a largement plus malheureux qu’elle sur Terre, et cela ne l’aide pas à trouver un équilibre entre toutes les composantes qui font d’elle ce qu’elle est. Humaine, mutant, I.A., fille de bonne famille, rebelle, fugueuse, voleuse, hackeuse, membre de l’Ordre de Malte. Elle est tout ça à la fois, et c’est beaucoup pour quelqu’un de vingt-quatre ans.
  
  Aussi sera-t-elle toujours sur la défensive, mais comme l’attaque est la meilleure des défenses, elle endosse un rôle de provocatrice pour justifier de ce comportement méfiant et agressif. Cependant, à force de le porter, le masque a commencé à durcir, et on ne sait plus, elle la première, où s’arrête l’illusion et où commence la véritable Kennedy. Elle cherchera à vous défier, à vous tester, jusqu’à vous faire perdre patience et que vous la traitiez en sale gosse mal élevée. Ce rôle-ci, elle le connait parfaitement, et y excelle. Elle ne fera jamais rien pour vous décourager de cette opinion et vous pousser à aller voir au-delà de l’apparence. Elle peut être vulgaire sur commande, juste pour « le fun ».
  
  Pourtant, si vous êtes sensible à cette agonisante douleur qu’elle exprime de cette bien maladroite manière, vous découvrirez une jeune femme sensible, plutôt bien élevée avec toutefois des acquis de la rue assez marquants, comme jurer comme un routier ou cette manie de toujours ruminer un chewing-gum. Le pire, c’est qu’elle aime se pomponner et sait parfaitement marcher avec des Stiletto de quinze centimètres. Aussi paradoxalement que cela puisse paraitre, si vous tendez la main à Kennedy, celle-ci cherchera par tous les moyens de vous séduire, alors qu’elle avait fait tout son possible pour vous écarter auparavant. Cela passe généralement par de la séduction physique, un jeu de tentation et de sous-entendu coquin, mais jamais malsain. Elle veut être admirée, désirée, ce qui est l’exact opposé, mais toujours dans la même veine que son attitude précédente : tout, pour qu’on la remarque.
  
  Cette drôle de pudeur est la preuve criante que la jeune femme a des valeurs morales forte et un code de conduite fermement établi. Elle vous sera loyale, à la vie à la mort. Elle vous défendra bec et ongles, telle une furie (d’ailleurs méfiez-vous de ses ongles, ils sont peut-être faux, mais cinq centimètres de plastiques dans les yeux, ça fait mal… On vous aura prévenu.) Kennedy ne vous mentira jamais, alors qu’elle sait si bien embobiner et tromper son monde.
  Pour autant, elle est tout sauf un ange. Elle est indépendante, butée, capricieuse, super-active et n’a qu’un sens relatif de l’orientation. Elle a aussi une définition de la propriété privée assez spéciale et une notion du respect et de la hiérarchie plutôt réduite. En fait, vous devrez lui prouver que vous méritez son respect, et ce sûrement pas en gueulant des ordres ou en la dominant physiquement. Etant petite, elle a l’habitude qu’on la regarde de haut, étant ancienne délinquante, les regards meurtriers la font rigoler…
  
  Allez, soyons gentils : elle est ponctuelle et aime les animaux. Elle ne fume ni ne boit. Elle respecte généralement le code de la route, sauf les limites de vitesse… sauf qu’elle n’a pas son permis.
  
  
  
  
  Concernant la question mutant, Kennedy n'a pas vraiment d'avis. Elle a été tellement fragilisée dans sa vie qu'elle commence tout juste à s'intéresser à ce qui se passe autour d'elle. Et cet regard nouveau est totalement teinté par la vision de l'Ordre de Malte, qui voudrait que les mutants et les humains soient tous enfants de Dieux. Pour elle, la distinction ne se fait pas au niveau de mutant/pas mutant, mais croyant/pas croyant. Elle aura donc tendance à repousser les idéaux de domination (qu'elle fût violente ou non) de Magneto, et elle renifla de façon peu convaincue devant le dogme de Xavier.
  Kennedy a sa propre croisade: ramener le plus de mutants dans l'Ordre de Malte, pour leur donner à leur tour une maison et un but. L'idée d'être tous égaux devant le regard divin est devenu pour elle la seule et unique solution pour un monde en paix.
  
  
  Si elle était
  1/ un animal? Le chat, élégant, séducteur et indépendant
  2/ une chanson? Je ne veux pas rester sage de Dolly
  3/ une couleur? Le violet, pour ce mélange entre le rose et le noir.
  4/ un vêtement? Une paire de chaussures. Une femme du monde est toujours bien dans ses pompes.
  5/ un bijou? Un pendentif, tellement sexy au creux de la poitrine
  6/ un plat ? Le poulet aigre-doux, pour le mélange de saveur
  7/ un parfum de glace ? Praline, presque comme le chocolat et la vanille, les choses classiques, mais tellement particulier
  8/ une fleur ? Le coquelicot, fleur sauvage, mais tellement belle.
  9/ un des éléments fondamentaux ? Le feu, qui brûle et purifie
  10/ une saison ? L’automne, qui mêle douceur de l’été et vent de l’hiver.
  11/ une boisson ? le moka, alliance du café et du chocolat
  12/ une ville ? New Dehli
  13/ un personnage de Star Wars ? Yan Solo
  14/ un livre ? Les Trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas
  15/ un style de musique ? ce mélange de musique classique et de techno.
  
  Aime : danser, le moka, la pluie, la littérature anglo-saxonne, les pizzas de chez Joey’s, les mauvaises séries B, faire des glissades en chaussettes dans les couloirs du Couvent St Elisabeth
  Déteste : sa tête au réveil, devoir se réveiller, les gens qui chantent faux, l’odeur de cigarette froide, quand les sacs plastiques restent collés, les infos à la télé, les fruits de mer, rester seule dans le noir
  

Histoire :

• Talents Particuliers :
  A part le hackage qui est propre à son pouvoir mutant, Kennedy a quelques talents cachés, plus ou moins utile :
  - Mentir et marchander
  - Pickpoquet
  - Vol de voitures (les faire démarrer par connexion de fils, puis en hackant le système électronique)
  - Danser (danse classique, danse moderne, hip-hop et danse traditionnelle gaëlique)
  - Marcher avec des stilettos de quinze centimètres (elle peut même vous faire un cinquante mètres sprint)
  - Planter des stilettos de quinze centimètres dans des parties du corps non prévues pour ça
  - Faire des nœuds avec les queues de cerise avec la langue
  - Parler le Gaëlique Ecossais et le Gaélique Irlandais
  - Jouer de la harpe celtique sur pied ou à bras.
  - Avaler trois maxi pizzas de chez Joey’s en moins de dix minutes
  - Réciter l’alphabet jusqu’à R en un seul rot
  
  
• Possessions :
  A part quelques bijoux qu’elle a conservé ou acquis depuis sa fugue, Kennedy ne possède rien, les sœurs du Couvent St Elizabeth ayant fait vœux de pauvreté et donc n’encourageant pas leurs pensionnaires à la possession. De toute façon, Kennedy n’a jamais été portée sur la mode, sauf pour les chaussures, dont elle a une bonne dizaine de paires.
  Cependant, pour contrecarrer cette peur de rester seule dans le noir, elle a toujours sur elle des bandes luminescentes.
  
  Elle ne possède ni arme ni appartement, puisqu'elle est logée dans un couvent. Sa chambre est un peu moins austère que les autres, puisqu'elle n'est pas dans les Ordres et n'a pas pour but de le faire, mais elle ne possède pas grand chose. L'Ordre de Malte lui verse depuis quelque temps un salaire sur un compte, qu'elle utilise de temps en temps pour s'acheter des paires des chaussures ou aller se faire un cinéma... Mais puisque Kennedy a un rapport privilégié avec la notion de propriété privé, elle n'a pas la même conception de l'argent. Cependant, au fur et à mesure qu'elle deviendra sûre d'elle, nul doute qu'elle cherchera à s'émanciper.
  Son pouvoir entrant dans la catégorie espionnage, la jeune femme ne possède pas d'arme ou même d'entrainement "militaire". Elle n'est pas destinée à être "sur le terrain" et donc encore moins "dans les premières lignes".
  
  
• Biographie :
  Kennedy est la seule fille d’un couple britannique, établi à Edinburgh. Elle a un frère de trois ans son ainé, Charles, et un benjamin de deux ans, Daniel. Paul et Eleanor Sullivan se considéraient comme des Ecossais pure souche, bien que madame eût des origines hispaniques. Paul est expert-comptable et Eleanor était dans un obscur comité culturel et historique rattaché aux affaires municipales. Aussi la jeune fille grandit dans l’opulence bourgeoise, sans manquer de rien, voire même en ayant trop.
  Ce nom très particulier de Kennedy, androgyne par excellence, est tiré d’un profond intérêt pour Paul envers les Etats-Unis et particulièrement JFK, premier président catholique des USA. En effet, les Sullivan sont une famille très pratiquante et le frère ainé de Paul est prêtre.
  
  Très jeune, Eleanor poussa sa fille à pratiquer la danse et à s’intéresser à la culture gaëlique. C’était une sorte de lubie de la mère, en soit toute bénigne, qui ne provoqua aucun mal chez l’enfant. Au contraire, en grandissant Kennedy s’attacha à ses deux loisirs, bien qu’elle s’aventurât sur les terres de la danse moderne. Elle commença la harpe à l’âge de neuf ans et acquit rapidement un bon niveau, pouvant être perfectible.
  Suivant la mouvance familiale, Kennedy fut baptisée et devint une catholique respectueuse, à défaut de pratiquante. Ce n’était pas qu’elle ne croyait pas au dogme de l’Eglise, mais que son jeune esprit ayant rapidement décidé qu’un Dieu qui ne se voyait, ne se touchait ni ne s’entendait ne l’intéressait pas plus que ça. Un peu comme on arrête de croire au Père Noël, Kennedy arrêta d’être « bernée » par les décors de la religion. Elle croit toujours en Dieu, mais pas en son clergé.
  
  Alors que la jeune fille était dans sa douzième année, la famille Sullivan déménagea aux Etats-Unis, réalisant ainsi le rêve paternel, qui avait décroché un emploi en or comme chef du département des recettes d’un grand casino à las Vegas. Toute la famille se délocalisa donc depuis la brumeuse et romantique Ecosse pour la désertique et clinquante Ville des Vices. Le choc fut rude, surtout pour des enfants de bonne famille qui avaient joui d’une liberté relative car élevés dans un cocon protégé. Face à la nature BCBG des familles du Nevada, où les jeunes sont très délurés et excessifs, l’intégration fut quelque peu compliquée.
  Surtout pour Kennedy, qui était restée une gamine rêveuse et romantique, entourée de tutu rose et de kilts, de monstres dans les lochs et de héros guerriers vikings. Elle eut du mal à trouver sa place dans son nouvel établissement scolaire, où elle ne faisait plus partie du système de clans et de cliques… Elle ne fut pas bizutée ou brimée, et elle finit même par se créer une place au sein d’un groupe, mais elle fut fortement marquée par ce clash des mentalités.
  
  La vie aurait pu continuer tranquillement son cours. Charly, comme il se faisait maintenant appeler, pour faire plus américain, entra en fac à Los Angeles l’année des seize ans de Kennedy. Mais elle ne connut pas ce moment car en mars 2002, l’improbable se passa. Kennedy était au bureau de son père, attendant qu’il eût fini ses derniers papiers pour rentrer ensemble. La jeune femme était passée à son bureau après avoir fini sa leçon de danse et terminait, avec une motivation molle, son devoir d’histoire. Soudain, il y eu une de ses micro-secousses et immédiatement le casino fut plongé dans le noir, le temps d’une seconde. Cela suffit. Il y eu un flash de lumière puissante accompagné d’un cri de douleur. Quand tout revint à la normal, moins de deux secondes plus tard, Kennedy était à terre, électrocutée, alors que l’ordinateur de son père fumait.
  
  Ce fut le début de la fin. Kennedy montra rapidement que cette électrocution avait développé ou réveillé en elle ce pouvoir de digitalisation. Ses parents furent consternés, car personne dans leur famille respective n’avait de gène mutant. Et le fait que Kennedy se retrouvait, au moindre contact d’un appareil électronique, « avalée », n’arrangeait pas la situation. Ils tentèrent de l’aider, de se montrer plein d’amour, mais la peur, peur de l’inconnu, peur de l’incompréhension, pour elle, pour eux… se lisait dans leurs yeux. Kennedy avait peur elle aussi. Peur de s’endormir et de ne pas se réveiller dans son corps. Peur de ses informations qu’elle avait captées lors de ses « sauts » involontaires.
  Après trois jours sans dormir, les choses deviennent différentes, et suite à un énième saut non désiré, Kennedy s’enfuit. Ce n’était pas vraiment une fugue, plutôt un geste désespéré, totalement idiot, et extrêmement dangereux. Elle voulait avant tout aller dans le désert, pour s’éloigner de toute cette technologie, pour pouvoir s’entendre penser. Penser, elle en eut le temps, alors qu’elle errait dans la plaine de poussière, complètement perdue et petit à petit déshydratée. Elle avait eu un flash noir : l’instant d’avant, elle courrait dans la rue derrière sa maison, celui d’après, elle se relevait plus ou moins indemne après que la voiture qu’elle conduisait (sans permis) eut fait un tourne-boule impressionnant. Elle ne se rappelait de rien au milieu. Et elle était surtout au milieu de nulle part.
  
  Elle fut recueillie par une sorte de clan de marginaux, voyageant d’Etat en Etat pour éviter de rester trop souvent sur place. Derrière eux, ils laissaient de nombreux portefeuilles ou maisons vides. Et bien que ce mode de vie fut absolument contre tout ce qu’elle avait été, Kennedy s’y attacha. Au moins parmi eux, elle avait le faux-sentiment de sécurité. Oui, ils n’avaient pas peur d’elle, malgré les crises provoquées par son pouvoir laissé à l’état sauvage. Oui, ils lui apprirent à voler et autre manœuvre illégale. Et oui, ils comprirent rapidement l’avantage qu’ils pourraient tirer d’elle. Elle commença ainsi à tester ses pouvoirs sur les circuits électroniques des alarmes, puis des systèmes de vidéosurveillance… Jusqu’au jour où ils arrivèrent à New-York et qu’elle fut prêtée à un nouveau clan, qui avait bien plus besoin de ses compétences. Jamais elle ne fut maltraitée. Nourrie, blanchie, logée, tout cela au même titre que le reste de la communauté, elle faisait partie intégrante de la « famille » et Kennedy, trop rassurée par cette idée, repoussait les voix qui chuchotaient dans sa tête.
  
  Passèrent ainsi quatre ans, entre les routes depuis Las Vegas jusqu’à New-York, et au cœur de la Big Apple. Kennedy ne chercha jamais à recontacter ses parents. Elle ne voulait plus penser, trop honteuse de cette fugue, ayant peur de reperdre le peu de contrôle de soi. Elle continuait la fuite en avant, s’aveuglant toute seule, dans la recherche désespérée de ne pas assumer ce qu’elle était devenue.
  A vingt ans donc, sa vie rebascula. Elle avait acquis une sorte de blocage de ses pouvoirs, ce qui lui permettait de ne plus avoir à se terrer dans une pièce presque insalubre car sans courant et uniquement éclairée par la lumière du soleil ou les bougies, pour éviter de « sauter ». Ce fut pendant ces années qu’elle développait une terreur de la solitude dans le noir. Ne plus savoir si elle était elle-même, ou avoir sauté… Ou être revenue autre part… absolument terrifiant.
  Elle était donc arrivée à mettre un bouton on/off sur ses pouvoirs, et elle pouvait sortir dans la rue et recommencer une vie normale. Peut-être était-ce ce souhait qui a guidé sa main ? Ou simplement un hasard heureux ? Il se trouva que la personne qu’elle essaya de soulager de son portefeuille appartenait à l’Ordre de Malte. Il la prit littéralement la main dans le sac. Cependant, après l’avoir livrée à la Police et avoir pris connaissance de son dossier, il jugea bon de lui donner un coup de pouce. Elle devint donc pupille de l’Ordre, bien que majeur.
  
  Les quatre dernières années de sa vie furent à la fois mornes et bien remplies. Pensionnaire dans un couvent, Kennedy dut réapprendre à vivre en bonne société. Elle était soumise à des tests et à des entrainements, pour apprendre à maitriser son pouvoir. Elle reprit contact avec sa famille, pour les rassurer, eux qui la pensait morte, après huit longues années de silence. Kennedy prétexta avoir trouvé un centre pour « les gens comme elle » et cela suffit à maintenir les siens à distance. Elle ne leur en voulait pas, car elle-même n’était pas prête à leur faire face.
  
  L’Ordre de Malte fut vraiment ce qui sauva Kennedy d’elle-même. L’organisation lui donna un foyer, un cadre de vie, un but. A travers les dogmes, elle reconnecta avec la religion de sa famille, et trouva réellement une salvation dans cette communauté. Elle saisit l’opportunité de travailler avec ces gens pour qui les mutants, en tant qu’enfant de Dieu, avaient leur place dans la société, s’ils suivaient les principes de l’Eglise. Ainsi, Kennedy mit tous ses pouvoir et savoir-faire au service d’une grande cause…
  

Avatar : Christina Aguilera
Personnage Marvel ? : Oui [] Non [X]
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Votre Age : Plus de 20, moins de 30… pour le moment.
Comment avez vous connu le Forum ? : Recommandé par Nathan Stern.

Magic Word : Vu par Kurkaru

Bienvenu parmi nous ! Je suis Kurkaru, l'un des deux admins de ce forum, avec la resplendissante, la sublime, l'inégalable lueur de l'orient et de l'occident qu'est l'incroyable Lisbeth Salender. Et moi, me diras tu ? Et bien moi, je suis le pile de sa face, l'ombre de sa lumière, le crade sous son trésor d'ingéniosité. Je suis ignoble, abjecte, et sans pitié. Garde bien ça en tête pendant ta modération. A oui, ne pleure pas, ça m'énerve, et ça excite les autres nouveaux, qui viennent ensuite te harcelé tels des rats... euh, j'en étais ou, moi ?

A oui, ta modération.

NOM : ok

PRENOM : Ils ne manquaient pas d'imagination, ses parents ><

ALIAS ET SURNOM : ok

AGE : Un petit problème de concordance age/date.

DATE DE NAISSANCE : cf ci dessus.

M ETIER: la classe

NATIONALITE : ok

GENRE : ok

CLAN : Donc, neutre.


Pouvoir
Description : Je crois que les mot qui qualifie ton pouvoir sont technopathie et digitalisation, et pas seulement digitalisation ^^ . Que ce passe t'il dans le cas ou le réseau se trouverait complètement désactivé ? Si une personne mal intentionné éloignait son corps de l'ordi ? A partir de quel niveau de complexité informatique elle peut pénétrer dans un objet (un smartphone ? Un minitel ?) Dans le cas ou elle affronte un autre cyberpathe, ça se passe comment ? Actuellement, elle crains les défense électronique qui ont quel niveau de sécurité ? Locale, infustriel, d'une agence nationale ?

Niveaux de maitrise: ok. Phobos va t'il avoir une compagne IA, that is the question, comme disait un ami anglais.

Lien entre les Pouvoirs: Donc, rien à mettre ici. Le reste se fera dans la section demande d'évolution de pouvoirs ^^

Apparence : ok

Mental : Il me faudrait son avis sur le fait d'être une mutante, et sur les idéologies Xavier et Magnéto.

Talents Particuliers :ok

Possessions : Pas d'arme, pas d'argent sur un compte, pas de logement perso ?

Biographie : ok
Corrige moi ça et ce sera bon pour moi ! Bon courage ^^ Sinon, faudra qu'on rp ensemble OO

Voilà, c'est fait (enfin, je crois...)

Au plaisir de RP avec toi.

Bienvenue parmi nous !

Bienvenue chère consoeur.

La zuzumobile étant en panne, j'arrive en scooter...

(et on arrête de rire !!)

C'est donc avec un handicape de -1000 en Charisme, que je reprend la modération de cette zolie demoiselle qui faute de se prendre pour Trinity dans Matrix sait faire le grand écart entre Sœur Marie Thérèse des Batignoles, Abby d'NCIS et une vile NERDZ de bas étage..

Accroches toi dans mon beau dos musculeux en montant sur Tonnerre Mécanique, Zuzu t'emmène au 7eme ciel....bon...on va dire ou sur le parking du prisu, c'est que ca carbure sec cte pétrolette !


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NOM : OK

PRENOM : OK

ALIAS ET SURNOM : OK

AGE : OK

DATE DE NAISSANCE : OK

METIER: OK

NATIONALITE : OK

GENRE : OK

CLAN : OK

Description : Fichtrement bien décrit et d’une façon assez originale. Je n’ai qu’une question. Que se passe t-il si une autre IA possédant un don de navigation analogue tente de prendre possession du véritable corps de la jeune fille ? Est-ce possible que cette « voyageuse » se retrouve à son tour le véhicule d’un hôte cybernétique ?

Niveaux de maitrise: Je t’attends au tournant lors de cette évolution de pouvoir car la par contre, il se posera pléthore de questionnements que tu devras élucider !

Lien entre les Pouvoirs: indique tout de même « aucun car pouvoir unique pour l’heure »

Apparence : OK : La photo de la fille brune : HAN !! O_O !!!!! ♥

Signes Particuliers : OK

Mental :
Excellent ! Rien à redire, j’arrive à la « voir » !
Vu son style, ca deviendra surement une copine a cette fondue de Caitlyn Elioth !

Talents Particuliers : Planter des stilettos de quinze centimètres dans des parties du corps non prévues pour ça : Oh LOL !!!
Réciter l’alphabet jusqu’à R en un seul rot : RE LOL ! OO

Possessions : OK

Biographie : Ok, la non plus rien à redire.
HJ : OK

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Ben sérieux c'est pas la fiche de Joe-Le-Rigolo celle là ! Sacrément bien fichue au point que j'en reste silencieux jusqu'au slip.

Félicitation en tout cas, corrige moi les trois, quatre broutilles et continue ta route..

Voilà, j'ai rajouté un paragraphe dans la description du pouvoir concernant le point pré-cité. Idem pour la phrase.

Merci pour ton soutien!

/me enfourche le zuzooter et s'envole vers l'infini et au-delà!!!! Bon, le prisu ira, mais on s'arrête au drive, j'ai envie de poulet frit!

Fiche validée, neutre beta, bon rp parmi nous !

N'oublie pas d'aller te recenser sur la liste des avatars , si la liste des pseudo et sur la liste des pouvoirs.

S'il s'agit d'un double compte, pense aussi à poster sur la liste des multi comptes.

S'il s'agit d'un personnage marvel, n'oublie pas te signaler sur cette liste.

Si tu veux qu'un joueur joue quelqu'un que tu as évoqué dans ta fiche, merci de remplir le formulaire que l'on trouve ici.

D'avance merci.